Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté cover
Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté cover
FEMME PREMIUM

Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté

Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté

32min |03/03/2024
Play
Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté cover
Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté cover
FEMME PREMIUM

Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté

Ep 110: ARGENT ET AUTOSABOTAGE = se libérer du trauma de pauvreté

32min |03/03/2024
Play

Description

Dans cet épisode, je vous emmène là où se créent vos programmations, y compris celles au niveau de l'argent, pour les débusquer et les transformer.


Enormément de femmes se sabotent avec l'argent, alors vous trouverez :


  • mon histoire personnelle à propos de l'argent

  • pourquoi on se sabote autant avec l'argent

  • ce que j'ai fait pour transformer la situation

  • comment se libérer du trauma de pauvreté ( en 4 questions de coaching)

    Abonnez vous à @elodieflorenti sur Insta pour partager votre avis avec nous


OFFERT:

🎁LE GUIDE DU BUSINESS ALIGNÉ : https://elodieflorenti2.systeme.io/guidealignement

LES COURS :

Pour démarrer ...
LA VRAIE STRUCTURE D'UN BUSINESS A SUCCES :https://choisirdereussir.com/structure-du-succes/

En profondeur...
THE LINE : https://choisirdereussir.com/the-line/


🤩Tous Les programmes : https://choisirdereussir.com/programmes/ 


Me rejoindre sur:

🔥Facebook :  https://www.facebook.com/elodie.florenti 

🔥Insta https://www.instagram.com/elodieflorenti/

🔥Threads: https://www.threads.net/@elodieflorenti


--------------


Hellooooo et bienvenue ! Je m'appelle Elodie FLORENTI , ça fait presque vingt ans que je suis en business et que j'aide les entrepreneuses badass qui ne se retrouvent pas dans les codes et les règles du business conventionnel à développer le leur, à leur façon. Grâce à leur identité non censurée, oui oui !


Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous motiver, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

Le succès de votre business commence là où s'arrête votre auto-censure.

Soyez la bienvenue !


xo, Love, Elo 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au pot-en pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, on va parler d'abord, bienvenue, mais pourquoi je zappe comme ça les bienvenus ? Mais ça ne va pas ou quoi ? Donc bienvenue à toutes celles et ceux qui nous rejoignent. Bienvenue aux nouvelles auditrices et aux nouveaux auditeurs du podcast. Et puis à toutes ces personnes, toutes ces auditrices et auditeurs qui écoutent les épisodes, les uns après les autres inlassablement depuis le début. Je vous aime, je vous remercie tellement d'être... fidèle à ce point de m'envoyer des messages à chaque fois. Donc voilà, c'est un truc que j'oublie... En fait, ce n'est pas que j'oublie de le dire, c'est que je suis tellement aux prises de mes contenus et de ma thématique pour ne pas partir dans tous les sens, que ben ouais, je nexte mon cerveau. Je ne sais pas, parfois il est très con. Je vous assure. Que j'entende personne me dire Ah oui, Mélo, ça dépend comment tu te parles, il ne faut pas que je te parle comme ça. Eh bien oui, il y a des fois, je suis obligée de lui balancer. une vanne pour qu'il s'arrête un peu. Donc, alors on va y aller tout de suite. J'ai pris la décision. Ce n'était pas prévu cet épisode, en fait. En tout cas, pas aujourd'hui. Mais finalement, il est arrivé un peu... Certainement parce que c'était le moment pour beaucoup de monde. Suite à un live que Laura, ma fille, avait fait sur TikTok. Et puis, il y avait une des super nanas de sa communauté qui posait une question. concernant l'argent, concernant l'autosabotage par rapport aux finances, comment se libérer du traumatisme de pauvreté quand on a vécu la pauvreté de l'enfance. Bref, ça tournait beaucoup autour de ce sujet. Puis il aurait dit, écoute, va demander plutôt à ma mère, c'est elle qui est là-dedans, pas moi. Et je me suis dit, ça pourrait être vachement sympa. Donc j'ai promis à Alice, je suppose que c'est Alice, Alicia ou Aline, je ne sais pas comment tu t'appelles vraiment. Mais en tout cas, non seulement ce... cet épisode est dédié et puis il est aussi dédié à toutes celles et ceux qui embarquent jour après jour dans leur business et puis dans leur vie, dans un schéma négatif de l'argent que moi je vais vous partager en fait le mien. pour que vous puissiez comprendre les tenants et les aboutissants de ce que je vais vous expliquer, et puis surtout pour vous aider à voir les choses autrement. Alors pour la faire très brève, je ne viens absolument pas d'une famille de gens riches, mais loin de là, loin, loin de là, je pars de très très loin, et je veux vraiment que vous entendiez les trucs, je ne suis pas en train de... de dramatiser les situations. Je veux juste poser un contexte et poser aussi, en même temps que je vous parle du mien, poser le vôtre aussi. Comme ça, vous allez pouvoir avancer en même temps que moi, de ma façon avec laquelle j'ai cheminé moi, pour pouvoir me libérer de ce sacré bordel. Parce qu'autant vous dire que d'avoir le poids de l'argent sur soi, Le poids de la pauvreté, le poids de la misère, le poids du manque d'argent sur soi, c'est surtout dans le business ultra, ultra difficile. Vous vous en doutez bien, ce n'est pas le fun. On est bien d'accord. Des fois, j'ai dit des choses absurdes, pardonnez-moi. Donc voilà le topo. Je viens évidemment d'une famille particulièrement pas riche. On ne va pas dire, je n'étais pas causette, mais on y est allé bien comme il faut. Et moi, j'ai des souvenirs qui m'ont marqué. Et j'ai 50 ans, bientôt 51 au mois de juillet. Je peux vous dire que ces souvenirs-là, je les ai comme si je les ai vécus la veille. Tellement ils m'ont impactée. Et pourtant, je pense que je devais avoir... je sais pas trois ou quatre ans pas plus que ça pour ce premier souvenir là où je voyais mes parents manger, enfin prendre un café au lait et du pain avec des tartines, bref avec de la confiture, comme un petit-déj en fait le soir. Et moi dans mon assiette, j'avais de la viande, des frites, des légumes, de la salade, etc. Et tous les jours, je demandais à mes parents comment ça se faisait que moi je mangeais un repas et eux mangeaient un différent repas. Puis même limite moi ça m'aurait intéressé d'aller manger des sucreries, donc le soir repas, petit-déj, tartines, ça aurait été très bien pour moi. et ma mère me disait tout le temps nous on ne digère pas ce qu'on a à manger le soir nous on ne peut pas manger ça on est obligé de manger ça comme ça parce que nous on ne digère pas toi tu es petite, tu as besoin de viande etc mais quand on est grand, on mange ça en fait Et j'ai très vite compris du mensonge absolu qui m'était balancé en pleine face. J'ai très vite senti qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. J'étais trop petite encore pour comprendre la réalité des choses, mais j'ai vraiment senti que quelque chose n'allait pas. Et puis, j'entendais très souvent, très souvent les discussions de mes parents à propos de l'argent, des difficultés, des difficultés financières, du mal qu'ils avaient à joindre les deux bouts, de mon père qui ne travaillait pas. et puis après il travaillait, puis il se plantait, enfin bref, c'était tout le temps le bordel. Et j'ai un deuxième souvenir, selon lequel, ben en fait c'était Noël, et moi j'étais... Aux prises, j'étais là-dedans, dans cette misère en fait. Et puis à Noël, j'ai vu je ne sais pas combien de cadeaux au pied du sapin. Je n'ai pas exactement les souvenirs, mais c'était rempli. Il y en avait partout, partout, partout. Et au lieu de bien le prendre, au lieu d'être heureuse de ces cadeaux-là, je me suis sentie en trop. C'est la première fois de ma vie avec ces histoires de repas où j'avais vraiment la sensation de me sentir en trop, d'être venue là, pas au bon moment, même de ne pas être bienvenue. Parce que tout ce que je voyais, c'était le sacrifice, le sacrifice que mes parents faisaient pour moi, les choses qu'ils faisaient à cause de moi. Et je me disais très souvent que si je n'étais pas venue, si je n'étais pas là. Il n'aurait pas eu à se sacrifier. en d'autres termes, c'est à cause de moi qu'il se sacrifie. Et moi, je l'ai perçu comme ça. À aucun moment, j'ai trouvé quelque chose de bénéfique dans cette façon de procéder. Parce qu'au lieu de me dire, waouh, comme tous les enfants, mon Dieu, j'ai plein de cadeaux, et en rester là, je me suis sentie tellement mal. Et je pense que j'ai ancré un mécanisme de déni, de refus, de rejet complet. par rapport à l'argent. Et même quand je vous le dis là, c'est quelque chose qui m'a suivi pendant des années parce que pour moi, l'argent était égal au fruit du sacrifice et moi, je ne voulais que personne se sacrifie pour moi. Et je veux vraiment, Ali, et puis vous autres qui entendez ce que je suis en train de vous dire, de vous faire votre petite histoire, ce petit chemin-là. C'est comme si on faisait un coaching, ok ? De refaire vous-même cette histoire du à quel moment l'argent... est devenu le mal bien avant qu'on vous dise tout le temps quelle est la situation précise selon laquelle vous avez senti qu'il y avait une espèce de fracture une espèce de plus que de malaise, mais de honte, de gêne, de culpabilité, de sacrifice à propos de l'argent. À quel moment vous avez senti ça ? C'est quoi la situation ? Rappelez-vous de cette situation-là. Je sais qu'elle pique, je sais qu'elle fait mal. Moi, quand je la raconte, là, je me contiens parce que je fais la grande, mais les larmes, elles me montent, et pas du tout. ou à cause du moins de la misère ou de ci ou de la situation de pauvre, de causette, etc. Pas du tout. C'est que je me souviens du sentiment extrêmement indélicat et douloureux que j'ai ressenti dans ces moments-là. Et puis, je pourrais vous en raconter 50 000 autres, mais alors, ce n'est pas un podcast qu'on pourrait faire, c'est un film. Donc, je vais rester sur ces deux exemples très frappants et très marquants pour moi. Donc, la première des choses, c'est aller regarder quels sont les souvenirs, les choses qui ont été ancrées en vous, les choses qui se sont attrapées à l'intérieur de vous comme des mécanismes qui sont devenus, en fait, une réalité et un lifestyle. Parce que c'est ça dont il s'agit. Quand on a des problématiques, surtout, et qu'on s'auto-sabote face à l'argent, c'est que derrière l'auto-sabotage, il y a une situation. et une situation sur laquelle vous avez collé des étiquettes. Alors moi, je vous parle de la mienne, humiliation. Je me suis sentie en fait humiliée, mais c'est sur d'autres sujets. Je me suis sentie humiliée, mais c'est surtout le sacrifice. Argent égale sacrifice. Et quand l'argent est un sacrifice pour vous, quand vous collez l'étiquette que vous allez coller, que ce soit sacrifice ou autre chose, on est bien d'accord, sur l'argent, il va se passer quoi ? Il va se passer que tout le long de votre vie, vous n'allez pas... vous allez éviter de ressentir l'émotion que ça vous a amené l'argent. Et c'est comme ça qu'on fonctionne tous en fait. Et que ce soit à propos de l'argent, que ce soit à propos de l'amour, que ce soit à propos de l'abondance, que ce soit à propos des relations, du travail, de n'importe quoi, je le dis tout le temps, c'est que derrière ce que vous n'arrivez pas à transformer, il y a une peur. et une blessure. Et je ne vais pas m'étaler là-dessus, je pourrais en faire un autre épisode de podcast, mais on parle beaucoup de blessures de l'âme, mais moi j'ai surtout envie de parler de blessures de l'ego qui ont touché l'âme. Et ça n'a plus rien à voir. Parce que souvent on se dit, oh j'ai une blessure de l'âme, qu'est-ce que t'as comme blessure, la blessure de l'abandon, c'est venu toucher ton âme. Moi je peux vous dire que ça touche bien avant l'âme, ça touche l'ego. Parce que quand on se sent abandonné, c'est notre ego qui en prend un coup. Quand on se sent rejeté, c'est notre égo qui en prend un coup. Quand on se sent humilié, c'est notre égo qui en prend un coup. N'importe quelle blessure dont on pourra parler. Je vais revenir à nos moutons, je vais revenir au centre. Donc c'est la première des choses à faire, d'aller regarder l'étiquette qu'on est allé mettre, parce que toute notre vie, c'est cette étiquette émotionnelle qui va nous empêcher, qui va faire créer l'autosabotage. Ça, c'est la première des choses. Puis la deuxième des choses, c'est que quand on va... vérifier quand on va se souvenir. Je sais que ce n'est pas facile. Je sais que c'est parfois extrêmement douloureux, mais on va y aller parce que parfois, vous savez, on a appris que, oh là là, changer les choses, c'était très difficile et c'est la vérité. Il y a des choses qui sont très douloureuses, très, waouh, rentre dedans, a changé. Mais je vous garantis que ce que vous vivez aujourd'hui est bien plus douloureux que de changer votre réalité intérieure. Mon business se situe sur... si le succès de ton business, c'est en fait changer. ta réalité intérieure. Et vous pouvez l'accorder à n'importe quelle des situations, que ce soit dans votre vie perso, sur l'argent, sur n'importe quoi. Changez votre réalité intérieure. C'est la base de la transformation. C'est à partir de là que vous transformez les choses. Donc, quand on s'autosabote, c'est pourquoi ? C'est parce qu'on a gardé l'empreinte énergétique, l'empreinte émotionnelle de ce qu'on a vécu et qui a fait, là pour Ali, elle disait, quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, en fait... quelles sont les situations qui ont été marquées, quelles sont les situations qui ont déchiré notre égo et notre cœur et qui ont fait de nous quelqu'un qui n'a pas été en accord, en lien avec ce qu'on vivait et qui a transformé qui on était vraiment en quelqu'un qui a dû s'adapter. à cette façon de vivre parce qu'on a cru que c'était la réalité. Et c'est vraiment la deuxième chose. C'est cette croyance, ces pensées qu'on a eues de nous qui ont cassé notre identité. Ça veut dire que l'identité qu'on avait, nous, on était tranquille quand on était enfant. On n'avait pas de problème de pauvreté, on avait problème de rien, en fait. On était peinard. Et moi, c'est ça que j'appelle identité premium. C'est cette réalité de départ, cette réalité avec laquelle nous sommes venus, cette identité avec laquelle nous sommes venus avant qu'on ait des emmerdes qui ont éteint notre lumière. Avant qu'on ait des emmerdes qui ont créé l'autosabotage, avant qu'il y ait des choses qui sont venues de l'extérieur qu'on nous a appris par expérience, par vécu ou par n'importe quoi, qui ont fait qu'on est venu autosaboter et qu'on est venu adapter cette identité extraordinaire en une identité de merde, on ne va pas se le cacher, en une identité low cost, complètement limitée, complètement saturée, qu'on a faite, qu'on a créée, qu'on a modelée, qu'on a adaptée pour pouvoir survivre. il n'y a pas moyen de faire autrement. C'est vraiment une question de survie que de s'auto-saboter. Ce n'est pas une peine, ce n'est pas une méchanceté que vous vous faites. C'est à l'intérieur qui dit Wow, attends, pour survivre à la vie que je suis en train de mener, je n'ai pas le choix que de m'auto-saboter. Je n'ai pas le choix que de devenir la misérable, que de devenir la sacrifiée. que de devenir la miséreuse, que de devenir la causette, que de devenir celle qui s'adapte en fait à la vie qu'on lui a filée. Donc cette deuxième chose, c'est tout simplement comprendre que vous avez transformé cette croyance que vous aviez en la réalité absolue. J'ai cru, j'ai cru, en fait, on m'a montré sur un plateau par A plus B que la vie était la pauvreté, que la vie devait être la misère, que je devais, que la vie, on me l'a montré en tant que quelque chose de difficile, de compliqué, de miséreux, de misérable, je ne sais même pas comment on pourrait le dire plus que ça, mais qu'en tout cas... le manque était bien là et que c'était ça, la vie. Donc après ça, la troisième des choses, c'est qu'il va... Ça va demander un petit challenge au niveau du questionnement de nos croyances. Est-ce que cette croyance que vous avez à propos de l'argent, cette croyance négative, cette croyance à propos de vous et de l'argent, de la vie et de l'argent, est-ce que... C'est la réalité absolue ou est-ce que c'est tout simplement une réalité, une croyance selon l'histoire de ceux qui vous l'ont raconté ? Par exemple, je peux dire aujourd'hui que ce que j'ai vécu par rapport à l'argent dans mon enfance est devenu une réalité. Parce que j'ai cru que c'était la réalité. Or, aujourd'hui, je suis très en mesure de vous dire que ce n'est pas la réalité absolue, c'est juste la réalité de mes parents à travers leurs histoires, leurs vécus, leurs expériences, qui m'ont projeté leur vision de l'argent et de la vie en pleine figure, sans que moi j'ai eu droit à donner mon avis. Parce que quand on est jeune et enfant, on ne peut pas se donner un avis sur l'argent, on ne peut pas se donner un avis sur la vie. On vit. On vit avec l'innocence la plus pure et la plus extraordinaire qui soit, puis il y a des choses qu'on nous amène, et comme on n'a pas le recul, et puis qu'on n'a pas non plus le cerveau suffisamment en place à l'âge qu'on a pour pouvoir gérer, calculer, voir un petit peu ce qui se passe ou pas, on le prend comme une vérité absolue, comme un acquis. Donc la question c'est, est-ce que cette croyance à propos de l'argent et de moi, à propos de la vie et de l'argent, à propos de la misère, à propos de tout ce que l'on veut, c'est une... Croyance absolue que j'ai, est-ce que c'est ma croyance ou est-ce que c'est leur croyance à propos de l'argent ? Ou est-ce que c'est leur vie à eux à propos de l'argent ? Donc très clairement, moi quand je me suis posé cette question, c'est inévitable de se dire, mais attends, non non, moi je ne veux pas croire ça, c'est eux qui l'ont cru, c'est leur vie, c'est leur problème, déjà que je me le suis empaigué alors que je n'ai rien demandé, je n'ai jamais demandé à croire à ça, je n'ai jamais demandé à m'imaginer que la vie pourrait être aussi misérable. Je n'ai jamais demandé à ce que ma vie, on me la montre en tant que l'enfer financier. Donc la suite qui m'est venue, mais juste machinalement, ça a été, mais en fait, du coup, qu'est-ce que je veux croire ? C'est quoi la croyance que je veux avoir au final à propos de l'argent ? Si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, de plus personne, si je remets l'argent à un niveau super neutre, mais qu'est-ce que j'ai envie de croire à propos de l'argent ? Et je peux vous dire que je ne me suis pas, ça n'a pas du tout... J'aurais trois secondes pour qu'il me sorte des tonnes et des tonnes de trucs extraordinaires à propos de l'argent. Que l'argent, si j'en voyais plein qui en avaient, pourquoi moi je n'en aurais pas ? C'était possible pour moi de le faire. Ça pourrait être beaucoup plus facile et confortable pour moi d'en avoir que de ne pas en avoir. Que ça pouvait être une super idée d'avoir de l'argent, que l'argent était bénéfique, que l'argent, ce n'est pas vrai, que ça ne pouvait pas être du sacrifice, qu'on pouvait avoir de l'argent et ne pas se sentir ni... ni sacrifier, ni sacrifier quelqu'un pour ça. Bref, il y a toute une salve de trucs qui m'est revenue. C'est un peu comme si toutes les pièces de puzzle se remettaient en place. Et c'est à partir de là que j'ai commencé à voir les choses complètement différemment. Donc, le truc, c'est vraiment d'aller chercher quelle est la croyance à propos de l'argent, à propos de l'argent et de moi, à propos de l'argent et de la vie, à propos de l'argent et du business, à propos de l'argent et du succès. C'est quoi cette croyance que je veux avoir ? de façon délibérée et consciente. C'est quel est le chemin que je veux faire prendre moi aujourd'hui à l'argent. Je vous rappelle un truc, c'est que si on n'est pas maître de beaucoup de situations, et notamment celles de nos parents, de notre vécu, de notre passé, on a une maîtrise absolue sur nos pensées, sur nos choix, sur nos décisions, de ce qu'on veut penser, de ce qu'on veut croire à nouveau, des émotions qu'on veut ressentir maintenant. Ça c'est très important de le comprendre. Parce qu'à partir du moment où vous êtes conscient de ça, que vous avez la main complète sur vos pensées, que vous avez la main complète sur la transformation de vos pensées, sur ce que vous voulez penser, sur ce que vous voulez croire, ça va changer littéralement votre vie. Donc l'idée, si vous êtes tellement aux prises, parce que moi, le truc c'est que très rapidement j'ai vu que, oh là là, ce que moi je veux croire de l'argent, ce n'est pas du tout ce que j'ai expérimenté à propos de l'argent, ni ce qu'on m'a fait croire à propos de l'argent, je veux croire autre chose, plein de... C'est une belle chose, mais la suite, c'est que quand on est ancré pendant des années dans la misère, dans le manque d'argent, il y a deux choses qui vont se passer. Même quand on a le pouvoir de changer nos pensées, c'est possible qu'il y ait un temps de latence parce que le cerveau a besoin de... travailler cette nouvelle croyance, il a besoin de croire en cette nouvelle croyance, il a besoin de temps pour croire à cette nouvelle croyance. On ne peut pas se dire, tiens, je décide de croire que ça va aller, que l'argent est devenu extraordinaire. Quand on a vécu 20, 30 ans dans la misère, ce n'est pas en trois secondes et demie que ça se passe. Par contre, la décision se prend en une fraction de seconde. À partir de maintenant, je décide que l'argent a une autre allure envers moi. À partir de maintenant, je décide de faire entrer l'abondance chez moi. Que l'argent vienne facilement. de plein d'endroits et de façons différentes à travers moi. Que je sois l'argent, que je sois celle qui soit en mesure de tenir l'argent, l'énergie de l'argent, la beauté de l'argent, l'amour de l'argent. Et l'amour de l'argent, croyez-moi, ça n'a rien de cupide, ça n'a rien de perfide, ça n'a rien de démoniaque. L'amour de l'argent, ce n'est pas l'amour de l'argent pour l'argent. C'est l'amour que l'argent nous permet de traverser et par rapport à toutes les choses qu'on va pouvoir atteindre. Ce à quoi on va pouvoir accéder, c'est cet amour-là dont je parle. C'est l'amour de l'argent en signe de reconnaissance de l'abondance à travers l'univers, à travers Dieu. Oui, merci Dieu, je reconnais que je suis en mesure d'avoir de l'argent. Merci pour ça. Merci pour l'amour que tu me laisses en mesure d'apporter à l'argent. Si jusqu'à maintenant, je n'ai pas été en mesure de l'aimer, point barre. Donc ce qui va se passer aussi, c'est que le cerveau, évidemment, il va aller chercher des preuves. Et moi des preuves que c'était possible je n'en voyais qu'à la télé, je n'en voyais que dans les livres, je n'en voyais que sur les réseaux sociaux, enfin à l'époque on était vraiment au bris des réseaux sociaux, c'est-à-dire en 2000, ça fait quand même un temps, putain je suis super vieille en fait. Et ce qui va se passer aussi c'est que ce cerveau qui va aller chercher les preuves, souvent il va aller les trouver les preuves que c'est possible mais on va avoir du mal à croire que c'est possible pour nous. Et ça vous le voyez, j'en ai beaucoup parlé dans The Line, dans ce programme que vraiment, allez voir ce programme qui est extraordinaire, que j'aime par-dessus tout et dans lequel je suis très fière parce que là-dedans, il y a vraiment un bijou absolu, enfin il y a huit bijoux absolus selon les huit thématiques et je pense que j'en rajouterai, c'est possible que j'en rajoute au fur et à mesure. Donc il va aller chercher des preuves et puis il va mettre du temps pour comprendre que c'est possible, mais que c'est aussi possible pour moi, mais que c'est aussi possible pour moi. pour moi maintenant. Et le possible pour moi maintenant, ça m'a fait comme un déclic parce que la seule chose à laquelle j'ai pu me raccrocher pour que ce soit possible pour moi maintenant, c'est à mon désir de changer les choses et à ma décision de les changer maintenant. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que quand j'ai compris que mon cerveau me disait Ah ouais, tu veux que ce soit possible pour toi maintenant ? Vas-y, montre que c'est possible pour toi maintenant. Mais je n'y arrivais pas en fait. Je n'y arrivais pas parce que Parce que ce que je voyais, c'était pour les autres que je le voyais. C'était les autres qui avaient de l'argent, c'était les autres qui étaient riches. C'était les autres qui me parlaient que l'argent était bien. Mais moi, je n'avais pas de preuves que c'était possible pour moi. Donc la seule chose que je suis allée chercher pour que ça devienne possible pour moi, c'est de me dire parce que je l'ai décidé. Parce que je l'ai décidé, parce que c'est un acquis de naissance. Je n'aime pas dire le droit de naissance, parce que qui dit droit de naissance, dit non droit. Qui dit droit, j'ai le droit de faire, aussi je peux ne plus avoir le droit. Et moi, c'est un truc qui ne m'allait pas là-dedans. donc là-dedans, slash même mon cerveau, donc je l'ai transformé pour que ça me convienne en acquis de naissance. Ce n'est pas une question de droit ou de non-droit, c'est une question que je sais acquis. Je suis venue avec ce bagage-là, de l'abondance et de l'argent en illimité, point final. Et c'est vraiment à ça que je me suis raccrochée pour avoir la preuve absolue, interne, intérieure, que ça allait se réaliser. Et c'est vraiment tout. Là, je viens de vous détailler ma manière d'en... Les moindres détails, je pense, il y a encore des choses, mais en gros, c'est ça, avec laquelle, ce que j'ai utilisé, moi en tout cas, pour pouvoir transformer cet auto-sabotage en merveille, en libération absolue à propos de l'argent, en facilité d'obtenir de l'argent, de créer de l'argent, de générer de l'argent, parce que je suis sortie du cadre. Alors, je pense que si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que j'embarque, moi, mes... deux versions, ma version low cost et ma version premium. Ma version premium, c'est celle avec laquelle je suis venue depuis le premier jour au monde. C'est une version complètement illimitée, complètement non censurée, abondante. de base abondante par la genèse Nous sommes arrivés complets, nous sommes arrivés abondance, nous sommes arrivés amour, nous sommes arrivés illimités, nous sommes arrivés joie et bonheur. C'est de cette façon que chaque bébé qui sort du ventre de sa maman arrive. On ne va pas commencer à parler du transgénérationnel, du karma, des machins, etc. Je parle juste de façon très neutre. Le bébé qui arrive, évidemment, qui transporte les trucs de sa maman, on est bien d'accord avec ça. Mais je veux parler de façon très simple, très schématisée, très neutre. Un bébé qui sort du ventre de sa maman. sort dans son identité premium, illimitée, abondante, non censurée, sans filtre, sans peur, sans quoi que ce soit. Et c'est au fur et à mesure de la vie, de ce qu'on lui apporte, de ce qu'on lui partage, de ce qu'on lui, malheureusement, propose comme croyance, comme pensée, comme façon, c'est juste en fait qui nous devenons et la projection de qui nous a élevés, de qui on a été en train de nous faire croire. entouré, etc. Et c'est là qu'on arrive dans notre version low cost. Et ce qui m'a toujours interpellé, moi, c'est de comprendre, c'est ça qui m'a aussi mis la puce à l'oreille, de me dire, mais putain, si on arrive ici, en illimité, sur des rives non censurées, qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui, on a des croyances de merde, des pensées de merde, des idées de merde, avec des blocages de merde, mais c'était insupportable pour moi. Et c'est là que je me suis dit, mais il y a un problème quelque part. Il y a un problème quelque part parce que... Moi, je ne suis pas arrivée de cette façon-là. Et il n'est absolument pas question que je continue un espèce de process ou une espèce de vie qui ne me correspond pas, dans laquelle je n'ai pas envie d'aller. J'ai envie d'avoir de l'argent. J'ai envie de faire ma best life. Oui, c'est de ça que j'ai envie. Je vais l'assumer. Je le désire. Et c'est comme ça. Ce n'est pas autrement. Et je ne blesserai personne. Ça aussi, c'est important que vous le sachiez. De ne pas avoir peur de blesser les gens pour lesquels ou qui vous ont appris des choses. et pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord en fait. Ces choses pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord, il y a un moment où il va falloir y renoncer, et sans avoir peur que de dire, waouh, si je n'écoute plus, si je ne suis plus le process de la vie de ma mère ou de mon père, si je ne suis plus d'accord avec ça, je rentre dans une espèce de déloyauté familiale qui ne va pas m'arranger, parce que du coup ils ne vont plus m'aimer. Ça c'est encore un autre sujet, mais soyez vigilante avec ça, quand vous prenez une décision, ça n'a rien à voir. Le fait que vous coupiez ce process n'a rien à voir avec le désamour que vous aurez pour vos parents. On peut aimer ses parents et couper une réalité. On peut aimer ses parents et être déloyal envers leurs pensées. On peut aimer ses parents et avoir nos propres pensées, choisir de nouvelles croyances. Ok ? Donc pour faire le topo, la première des choses, c'est que vous alliez repérer la scène et le ressenti du moment où vous avez eu le déclic de la musique. misère en fait. Quelles ont été les parties de votre vie ? Alors ça peut être une scène, une parole, une situation, un mot, un écrit, peu importe ce que c'est, allez chercher l'endroit où ça s'est accroché à vous en fait et où c'est devenu petit à petit votre lifestyle même en étant enfant. La deuxième des choses c'est de comprendre que cette croyance que vous avez eue parce que vous l'avez prise de l'extérieur, vous l'avez mise à l'intérieur de vous, c'est cette croyance qui nous a mis à vivre. ne vous appartenait pas, qui est devenu votre réalité. En l'occurrence, la croyance de la misère, que c'est la vie, que c'est comme ça, qui est devenu votre réalité. Vous devez mettre ça en conscience. C'est une croyance extérieure que vous avez fait, votre réalité intérieure, votre vie, votre croyance à vous. Troisièmement, est-ce que cette croyance que j'ai prise de l'extérieur à Pierre, Paul, Jacques, à ma mère, à mon père, à qui que ce soit, est ma croyance, est-ce que c'est la réalité ou est-ce que c'est leur réalité ? réalité, mais que j'ai faite mienne parce que j'ai pris leur croyance comme la mienne. Et quelle est donc, pour finir, la croyance que je veux moi choisir délibérément, que je décide de choisir délibérément cette nouvelle croyance à propos de l'argent, si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, mes soeurs, mes frères, de ceux qui vous ont en fait matrixé la tête pour, mais sans vouloir. Vous savez, il y a un truc, c'est que ce n'est pas une question... de ne pas aimer. Les parents, à l'époque, n'étaient pas, je le dis clairement, n'avaient un éveil. Et même moi, en tant que parent, si j'étais parent aujourd'hui, ça serait complètement différent. Aujourd'hui, j'ai un éveil, j'ai une conscience, j'ai une ouverture d'esprit qui est complètement différente de celle que j'avais quand j'avais 23 ans, le jour où j'ai fait ma fille. Donc, je lui ai inculqué des saloperies. sans même le vouloir, mais parce que j'en avais même pas conscience, parce que pour moi c'était la vie et que la vie je la transmettais à ma fille de la façon dont moi je l'avais vécue, j'avais pas d'autres expériences, pas d'autres références et encore moins l'ouverture d'esprit nécessaire à la compréhension des choses. Donc on peut même pas en vouloir à nos parents, moi je m'en veux moins, mais je peux même pas m'en vouloir moins parce qu'à l'époque je n'avais pas les ressources pour faire les choses autrement, différemment, ni à propos de... de mes pensées ni à propos de mes croyances. Si j'avais eu l'ouverture d'esprit que je vous partage aujourd'hui quand j'avais 10 ans ou 8 ans, ça se serait passé complètement différemment. et si mes parents avaient eu mon ouverture d'esprit quand moi j'étais enfance il ne se serait jamais produit des choses pareilles donc on ne peut en vouloir à personne et d'ailleurs c'est même pas nécessaire d'en vouloir à qui que ce soit l'idée c'est qu'aujourd'hui vous avez conscience que vous êtes en mesure de changer d'être complètement maître de vos Pensez. Vous êtes maître de ce que vous pensez, vous êtes maître de ce que vous croyez et c'est quand vous prenez conscience de ça que vous commencez à transcender votre vie et surtout votre relation à l'argent, vos croyances à propos de l'argent et votre vie face à l'argent. Même quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, on peut tout à fait, et vous pouvez le faire dès maintenant, c'est ça qui est extraordinaire. Vous êtes en mesure de le faire tout de suite. Donc vous pouvez, quel que fût notre passé, à partir du moment où dans le présent on en a conscience, on peut transformer notre futur. De façon très légère, de façon très aimante, de façon extraordinaire, de façon complètement excitante, joyeuse, abondante. Il s'agit juste de reprendre les choses au départ et puis de répondre à nos bonnes questions à nous pour notre meilleur à nous. Voilà, ça sera tout pour cet épisode de podcast. Ali, j'espère que ça t'a fait des déclics. J'espère qu'à partir de maintenant, Ali, évidemment toi, et puis toutes les autres et tous les autres auditeurs et auditrices de ce podcast vont avoir... le cœur en joie de comprendre la façon avec laquelle on peut transformer les choses, en tout cas, par rapport à notre perception de l'argent pour créer notre meilleure vie. Je vous souhaite une très très bonne journée, un excellent dimanche et puis je vous dis à bientôt. N'hésitez pas à me donner vos commentaires, votre point de vue. Vous pouvez m'envoyer des DM sur Instagram. Abonnez-vous sur Insta parce qu'on parle beaucoup de choses comme ça sur Instagram, dans mes posts. Donc, pensez à vous abonner sur Insta. je vous embrasse très très fort et puis je vous dis à dimanche prochain ciao ciao

Description

Dans cet épisode, je vous emmène là où se créent vos programmations, y compris celles au niveau de l'argent, pour les débusquer et les transformer.


Enormément de femmes se sabotent avec l'argent, alors vous trouverez :


  • mon histoire personnelle à propos de l'argent

  • pourquoi on se sabote autant avec l'argent

  • ce que j'ai fait pour transformer la situation

  • comment se libérer du trauma de pauvreté ( en 4 questions de coaching)

    Abonnez vous à @elodieflorenti sur Insta pour partager votre avis avec nous


OFFERT:

🎁LE GUIDE DU BUSINESS ALIGNÉ : https://elodieflorenti2.systeme.io/guidealignement

LES COURS :

Pour démarrer ...
LA VRAIE STRUCTURE D'UN BUSINESS A SUCCES :https://choisirdereussir.com/structure-du-succes/

En profondeur...
THE LINE : https://choisirdereussir.com/the-line/


🤩Tous Les programmes : https://choisirdereussir.com/programmes/ 


Me rejoindre sur:

🔥Facebook :  https://www.facebook.com/elodie.florenti 

🔥Insta https://www.instagram.com/elodieflorenti/

🔥Threads: https://www.threads.net/@elodieflorenti


--------------


Hellooooo et bienvenue ! Je m'appelle Elodie FLORENTI , ça fait presque vingt ans que je suis en business et que j'aide les entrepreneuses badass qui ne se retrouvent pas dans les codes et les règles du business conventionnel à développer le leur, à leur façon. Grâce à leur identité non censurée, oui oui !


Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous motiver, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

Le succès de votre business commence là où s'arrête votre auto-censure.

Soyez la bienvenue !


xo, Love, Elo 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au pot-en pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, on va parler d'abord, bienvenue, mais pourquoi je zappe comme ça les bienvenus ? Mais ça ne va pas ou quoi ? Donc bienvenue à toutes celles et ceux qui nous rejoignent. Bienvenue aux nouvelles auditrices et aux nouveaux auditeurs du podcast. Et puis à toutes ces personnes, toutes ces auditrices et auditeurs qui écoutent les épisodes, les uns après les autres inlassablement depuis le début. Je vous aime, je vous remercie tellement d'être... fidèle à ce point de m'envoyer des messages à chaque fois. Donc voilà, c'est un truc que j'oublie... En fait, ce n'est pas que j'oublie de le dire, c'est que je suis tellement aux prises de mes contenus et de ma thématique pour ne pas partir dans tous les sens, que ben ouais, je nexte mon cerveau. Je ne sais pas, parfois il est très con. Je vous assure. Que j'entende personne me dire Ah oui, Mélo, ça dépend comment tu te parles, il ne faut pas que je te parle comme ça. Eh bien oui, il y a des fois, je suis obligée de lui balancer. une vanne pour qu'il s'arrête un peu. Donc, alors on va y aller tout de suite. J'ai pris la décision. Ce n'était pas prévu cet épisode, en fait. En tout cas, pas aujourd'hui. Mais finalement, il est arrivé un peu... Certainement parce que c'était le moment pour beaucoup de monde. Suite à un live que Laura, ma fille, avait fait sur TikTok. Et puis, il y avait une des super nanas de sa communauté qui posait une question. concernant l'argent, concernant l'autosabotage par rapport aux finances, comment se libérer du traumatisme de pauvreté quand on a vécu la pauvreté de l'enfance. Bref, ça tournait beaucoup autour de ce sujet. Puis il aurait dit, écoute, va demander plutôt à ma mère, c'est elle qui est là-dedans, pas moi. Et je me suis dit, ça pourrait être vachement sympa. Donc j'ai promis à Alice, je suppose que c'est Alice, Alicia ou Aline, je ne sais pas comment tu t'appelles vraiment. Mais en tout cas, non seulement ce... cet épisode est dédié et puis il est aussi dédié à toutes celles et ceux qui embarquent jour après jour dans leur business et puis dans leur vie, dans un schéma négatif de l'argent que moi je vais vous partager en fait le mien. pour que vous puissiez comprendre les tenants et les aboutissants de ce que je vais vous expliquer, et puis surtout pour vous aider à voir les choses autrement. Alors pour la faire très brève, je ne viens absolument pas d'une famille de gens riches, mais loin de là, loin, loin de là, je pars de très très loin, et je veux vraiment que vous entendiez les trucs, je ne suis pas en train de... de dramatiser les situations. Je veux juste poser un contexte et poser aussi, en même temps que je vous parle du mien, poser le vôtre aussi. Comme ça, vous allez pouvoir avancer en même temps que moi, de ma façon avec laquelle j'ai cheminé moi, pour pouvoir me libérer de ce sacré bordel. Parce qu'autant vous dire que d'avoir le poids de l'argent sur soi, Le poids de la pauvreté, le poids de la misère, le poids du manque d'argent sur soi, c'est surtout dans le business ultra, ultra difficile. Vous vous en doutez bien, ce n'est pas le fun. On est bien d'accord. Des fois, j'ai dit des choses absurdes, pardonnez-moi. Donc voilà le topo. Je viens évidemment d'une famille particulièrement pas riche. On ne va pas dire, je n'étais pas causette, mais on y est allé bien comme il faut. Et moi, j'ai des souvenirs qui m'ont marqué. Et j'ai 50 ans, bientôt 51 au mois de juillet. Je peux vous dire que ces souvenirs-là, je les ai comme si je les ai vécus la veille. Tellement ils m'ont impactée. Et pourtant, je pense que je devais avoir... je sais pas trois ou quatre ans pas plus que ça pour ce premier souvenir là où je voyais mes parents manger, enfin prendre un café au lait et du pain avec des tartines, bref avec de la confiture, comme un petit-déj en fait le soir. Et moi dans mon assiette, j'avais de la viande, des frites, des légumes, de la salade, etc. Et tous les jours, je demandais à mes parents comment ça se faisait que moi je mangeais un repas et eux mangeaient un différent repas. Puis même limite moi ça m'aurait intéressé d'aller manger des sucreries, donc le soir repas, petit-déj, tartines, ça aurait été très bien pour moi. et ma mère me disait tout le temps nous on ne digère pas ce qu'on a à manger le soir nous on ne peut pas manger ça on est obligé de manger ça comme ça parce que nous on ne digère pas toi tu es petite, tu as besoin de viande etc mais quand on est grand, on mange ça en fait Et j'ai très vite compris du mensonge absolu qui m'était balancé en pleine face. J'ai très vite senti qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. J'étais trop petite encore pour comprendre la réalité des choses, mais j'ai vraiment senti que quelque chose n'allait pas. Et puis, j'entendais très souvent, très souvent les discussions de mes parents à propos de l'argent, des difficultés, des difficultés financières, du mal qu'ils avaient à joindre les deux bouts, de mon père qui ne travaillait pas. et puis après il travaillait, puis il se plantait, enfin bref, c'était tout le temps le bordel. Et j'ai un deuxième souvenir, selon lequel, ben en fait c'était Noël, et moi j'étais... Aux prises, j'étais là-dedans, dans cette misère en fait. Et puis à Noël, j'ai vu je ne sais pas combien de cadeaux au pied du sapin. Je n'ai pas exactement les souvenirs, mais c'était rempli. Il y en avait partout, partout, partout. Et au lieu de bien le prendre, au lieu d'être heureuse de ces cadeaux-là, je me suis sentie en trop. C'est la première fois de ma vie avec ces histoires de repas où j'avais vraiment la sensation de me sentir en trop, d'être venue là, pas au bon moment, même de ne pas être bienvenue. Parce que tout ce que je voyais, c'était le sacrifice, le sacrifice que mes parents faisaient pour moi, les choses qu'ils faisaient à cause de moi. Et je me disais très souvent que si je n'étais pas venue, si je n'étais pas là. Il n'aurait pas eu à se sacrifier. en d'autres termes, c'est à cause de moi qu'il se sacrifie. Et moi, je l'ai perçu comme ça. À aucun moment, j'ai trouvé quelque chose de bénéfique dans cette façon de procéder. Parce qu'au lieu de me dire, waouh, comme tous les enfants, mon Dieu, j'ai plein de cadeaux, et en rester là, je me suis sentie tellement mal. Et je pense que j'ai ancré un mécanisme de déni, de refus, de rejet complet. par rapport à l'argent. Et même quand je vous le dis là, c'est quelque chose qui m'a suivi pendant des années parce que pour moi, l'argent était égal au fruit du sacrifice et moi, je ne voulais que personne se sacrifie pour moi. Et je veux vraiment, Ali, et puis vous autres qui entendez ce que je suis en train de vous dire, de vous faire votre petite histoire, ce petit chemin-là. C'est comme si on faisait un coaching, ok ? De refaire vous-même cette histoire du à quel moment l'argent... est devenu le mal bien avant qu'on vous dise tout le temps quelle est la situation précise selon laquelle vous avez senti qu'il y avait une espèce de fracture une espèce de plus que de malaise, mais de honte, de gêne, de culpabilité, de sacrifice à propos de l'argent. À quel moment vous avez senti ça ? C'est quoi la situation ? Rappelez-vous de cette situation-là. Je sais qu'elle pique, je sais qu'elle fait mal. Moi, quand je la raconte, là, je me contiens parce que je fais la grande, mais les larmes, elles me montent, et pas du tout. ou à cause du moins de la misère ou de ci ou de la situation de pauvre, de causette, etc. Pas du tout. C'est que je me souviens du sentiment extrêmement indélicat et douloureux que j'ai ressenti dans ces moments-là. Et puis, je pourrais vous en raconter 50 000 autres, mais alors, ce n'est pas un podcast qu'on pourrait faire, c'est un film. Donc, je vais rester sur ces deux exemples très frappants et très marquants pour moi. Donc, la première des choses, c'est aller regarder quels sont les souvenirs, les choses qui ont été ancrées en vous, les choses qui se sont attrapées à l'intérieur de vous comme des mécanismes qui sont devenus, en fait, une réalité et un lifestyle. Parce que c'est ça dont il s'agit. Quand on a des problématiques, surtout, et qu'on s'auto-sabote face à l'argent, c'est que derrière l'auto-sabotage, il y a une situation. et une situation sur laquelle vous avez collé des étiquettes. Alors moi, je vous parle de la mienne, humiliation. Je me suis sentie en fait humiliée, mais c'est sur d'autres sujets. Je me suis sentie humiliée, mais c'est surtout le sacrifice. Argent égale sacrifice. Et quand l'argent est un sacrifice pour vous, quand vous collez l'étiquette que vous allez coller, que ce soit sacrifice ou autre chose, on est bien d'accord, sur l'argent, il va se passer quoi ? Il va se passer que tout le long de votre vie, vous n'allez pas... vous allez éviter de ressentir l'émotion que ça vous a amené l'argent. Et c'est comme ça qu'on fonctionne tous en fait. Et que ce soit à propos de l'argent, que ce soit à propos de l'amour, que ce soit à propos de l'abondance, que ce soit à propos des relations, du travail, de n'importe quoi, je le dis tout le temps, c'est que derrière ce que vous n'arrivez pas à transformer, il y a une peur. et une blessure. Et je ne vais pas m'étaler là-dessus, je pourrais en faire un autre épisode de podcast, mais on parle beaucoup de blessures de l'âme, mais moi j'ai surtout envie de parler de blessures de l'ego qui ont touché l'âme. Et ça n'a plus rien à voir. Parce que souvent on se dit, oh j'ai une blessure de l'âme, qu'est-ce que t'as comme blessure, la blessure de l'abandon, c'est venu toucher ton âme. Moi je peux vous dire que ça touche bien avant l'âme, ça touche l'ego. Parce que quand on se sent abandonné, c'est notre ego qui en prend un coup. Quand on se sent rejeté, c'est notre égo qui en prend un coup. Quand on se sent humilié, c'est notre égo qui en prend un coup. N'importe quelle blessure dont on pourra parler. Je vais revenir à nos moutons, je vais revenir au centre. Donc c'est la première des choses à faire, d'aller regarder l'étiquette qu'on est allé mettre, parce que toute notre vie, c'est cette étiquette émotionnelle qui va nous empêcher, qui va faire créer l'autosabotage. Ça, c'est la première des choses. Puis la deuxième des choses, c'est que quand on va... vérifier quand on va se souvenir. Je sais que ce n'est pas facile. Je sais que c'est parfois extrêmement douloureux, mais on va y aller parce que parfois, vous savez, on a appris que, oh là là, changer les choses, c'était très difficile et c'est la vérité. Il y a des choses qui sont très douloureuses, très, waouh, rentre dedans, a changé. Mais je vous garantis que ce que vous vivez aujourd'hui est bien plus douloureux que de changer votre réalité intérieure. Mon business se situe sur... si le succès de ton business, c'est en fait changer. ta réalité intérieure. Et vous pouvez l'accorder à n'importe quelle des situations, que ce soit dans votre vie perso, sur l'argent, sur n'importe quoi. Changez votre réalité intérieure. C'est la base de la transformation. C'est à partir de là que vous transformez les choses. Donc, quand on s'autosabote, c'est pourquoi ? C'est parce qu'on a gardé l'empreinte énergétique, l'empreinte émotionnelle de ce qu'on a vécu et qui a fait, là pour Ali, elle disait, quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, en fait... quelles sont les situations qui ont été marquées, quelles sont les situations qui ont déchiré notre égo et notre cœur et qui ont fait de nous quelqu'un qui n'a pas été en accord, en lien avec ce qu'on vivait et qui a transformé qui on était vraiment en quelqu'un qui a dû s'adapter. à cette façon de vivre parce qu'on a cru que c'était la réalité. Et c'est vraiment la deuxième chose. C'est cette croyance, ces pensées qu'on a eues de nous qui ont cassé notre identité. Ça veut dire que l'identité qu'on avait, nous, on était tranquille quand on était enfant. On n'avait pas de problème de pauvreté, on avait problème de rien, en fait. On était peinard. Et moi, c'est ça que j'appelle identité premium. C'est cette réalité de départ, cette réalité avec laquelle nous sommes venus, cette identité avec laquelle nous sommes venus avant qu'on ait des emmerdes qui ont éteint notre lumière. Avant qu'on ait des emmerdes qui ont créé l'autosabotage, avant qu'il y ait des choses qui sont venues de l'extérieur qu'on nous a appris par expérience, par vécu ou par n'importe quoi, qui ont fait qu'on est venu autosaboter et qu'on est venu adapter cette identité extraordinaire en une identité de merde, on ne va pas se le cacher, en une identité low cost, complètement limitée, complètement saturée, qu'on a faite, qu'on a créée, qu'on a modelée, qu'on a adaptée pour pouvoir survivre. il n'y a pas moyen de faire autrement. C'est vraiment une question de survie que de s'auto-saboter. Ce n'est pas une peine, ce n'est pas une méchanceté que vous vous faites. C'est à l'intérieur qui dit Wow, attends, pour survivre à la vie que je suis en train de mener, je n'ai pas le choix que de m'auto-saboter. Je n'ai pas le choix que de devenir la misérable, que de devenir la sacrifiée. que de devenir la miséreuse, que de devenir la causette, que de devenir celle qui s'adapte en fait à la vie qu'on lui a filée. Donc cette deuxième chose, c'est tout simplement comprendre que vous avez transformé cette croyance que vous aviez en la réalité absolue. J'ai cru, j'ai cru, en fait, on m'a montré sur un plateau par A plus B que la vie était la pauvreté, que la vie devait être la misère, que je devais, que la vie, on me l'a montré en tant que quelque chose de difficile, de compliqué, de miséreux, de misérable, je ne sais même pas comment on pourrait le dire plus que ça, mais qu'en tout cas... le manque était bien là et que c'était ça, la vie. Donc après ça, la troisième des choses, c'est qu'il va... Ça va demander un petit challenge au niveau du questionnement de nos croyances. Est-ce que cette croyance que vous avez à propos de l'argent, cette croyance négative, cette croyance à propos de vous et de l'argent, de la vie et de l'argent, est-ce que... C'est la réalité absolue ou est-ce que c'est tout simplement une réalité, une croyance selon l'histoire de ceux qui vous l'ont raconté ? Par exemple, je peux dire aujourd'hui que ce que j'ai vécu par rapport à l'argent dans mon enfance est devenu une réalité. Parce que j'ai cru que c'était la réalité. Or, aujourd'hui, je suis très en mesure de vous dire que ce n'est pas la réalité absolue, c'est juste la réalité de mes parents à travers leurs histoires, leurs vécus, leurs expériences, qui m'ont projeté leur vision de l'argent et de la vie en pleine figure, sans que moi j'ai eu droit à donner mon avis. Parce que quand on est jeune et enfant, on ne peut pas se donner un avis sur l'argent, on ne peut pas se donner un avis sur la vie. On vit. On vit avec l'innocence la plus pure et la plus extraordinaire qui soit, puis il y a des choses qu'on nous amène, et comme on n'a pas le recul, et puis qu'on n'a pas non plus le cerveau suffisamment en place à l'âge qu'on a pour pouvoir gérer, calculer, voir un petit peu ce qui se passe ou pas, on le prend comme une vérité absolue, comme un acquis. Donc la question c'est, est-ce que cette croyance à propos de l'argent et de moi, à propos de la vie et de l'argent, à propos de la misère, à propos de tout ce que l'on veut, c'est une... Croyance absolue que j'ai, est-ce que c'est ma croyance ou est-ce que c'est leur croyance à propos de l'argent ? Ou est-ce que c'est leur vie à eux à propos de l'argent ? Donc très clairement, moi quand je me suis posé cette question, c'est inévitable de se dire, mais attends, non non, moi je ne veux pas croire ça, c'est eux qui l'ont cru, c'est leur vie, c'est leur problème, déjà que je me le suis empaigué alors que je n'ai rien demandé, je n'ai jamais demandé à croire à ça, je n'ai jamais demandé à m'imaginer que la vie pourrait être aussi misérable. Je n'ai jamais demandé à ce que ma vie, on me la montre en tant que l'enfer financier. Donc la suite qui m'est venue, mais juste machinalement, ça a été, mais en fait, du coup, qu'est-ce que je veux croire ? C'est quoi la croyance que je veux avoir au final à propos de l'argent ? Si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, de plus personne, si je remets l'argent à un niveau super neutre, mais qu'est-ce que j'ai envie de croire à propos de l'argent ? Et je peux vous dire que je ne me suis pas, ça n'a pas du tout... J'aurais trois secondes pour qu'il me sorte des tonnes et des tonnes de trucs extraordinaires à propos de l'argent. Que l'argent, si j'en voyais plein qui en avaient, pourquoi moi je n'en aurais pas ? C'était possible pour moi de le faire. Ça pourrait être beaucoup plus facile et confortable pour moi d'en avoir que de ne pas en avoir. Que ça pouvait être une super idée d'avoir de l'argent, que l'argent était bénéfique, que l'argent, ce n'est pas vrai, que ça ne pouvait pas être du sacrifice, qu'on pouvait avoir de l'argent et ne pas se sentir ni... ni sacrifier, ni sacrifier quelqu'un pour ça. Bref, il y a toute une salve de trucs qui m'est revenue. C'est un peu comme si toutes les pièces de puzzle se remettaient en place. Et c'est à partir de là que j'ai commencé à voir les choses complètement différemment. Donc, le truc, c'est vraiment d'aller chercher quelle est la croyance à propos de l'argent, à propos de l'argent et de moi, à propos de l'argent et de la vie, à propos de l'argent et du business, à propos de l'argent et du succès. C'est quoi cette croyance que je veux avoir ? de façon délibérée et consciente. C'est quel est le chemin que je veux faire prendre moi aujourd'hui à l'argent. Je vous rappelle un truc, c'est que si on n'est pas maître de beaucoup de situations, et notamment celles de nos parents, de notre vécu, de notre passé, on a une maîtrise absolue sur nos pensées, sur nos choix, sur nos décisions, de ce qu'on veut penser, de ce qu'on veut croire à nouveau, des émotions qu'on veut ressentir maintenant. Ça c'est très important de le comprendre. Parce qu'à partir du moment où vous êtes conscient de ça, que vous avez la main complète sur vos pensées, que vous avez la main complète sur la transformation de vos pensées, sur ce que vous voulez penser, sur ce que vous voulez croire, ça va changer littéralement votre vie. Donc l'idée, si vous êtes tellement aux prises, parce que moi, le truc c'est que très rapidement j'ai vu que, oh là là, ce que moi je veux croire de l'argent, ce n'est pas du tout ce que j'ai expérimenté à propos de l'argent, ni ce qu'on m'a fait croire à propos de l'argent, je veux croire autre chose, plein de... C'est une belle chose, mais la suite, c'est que quand on est ancré pendant des années dans la misère, dans le manque d'argent, il y a deux choses qui vont se passer. Même quand on a le pouvoir de changer nos pensées, c'est possible qu'il y ait un temps de latence parce que le cerveau a besoin de... travailler cette nouvelle croyance, il a besoin de croire en cette nouvelle croyance, il a besoin de temps pour croire à cette nouvelle croyance. On ne peut pas se dire, tiens, je décide de croire que ça va aller, que l'argent est devenu extraordinaire. Quand on a vécu 20, 30 ans dans la misère, ce n'est pas en trois secondes et demie que ça se passe. Par contre, la décision se prend en une fraction de seconde. À partir de maintenant, je décide que l'argent a une autre allure envers moi. À partir de maintenant, je décide de faire entrer l'abondance chez moi. Que l'argent vienne facilement. de plein d'endroits et de façons différentes à travers moi. Que je sois l'argent, que je sois celle qui soit en mesure de tenir l'argent, l'énergie de l'argent, la beauté de l'argent, l'amour de l'argent. Et l'amour de l'argent, croyez-moi, ça n'a rien de cupide, ça n'a rien de perfide, ça n'a rien de démoniaque. L'amour de l'argent, ce n'est pas l'amour de l'argent pour l'argent. C'est l'amour que l'argent nous permet de traverser et par rapport à toutes les choses qu'on va pouvoir atteindre. Ce à quoi on va pouvoir accéder, c'est cet amour-là dont je parle. C'est l'amour de l'argent en signe de reconnaissance de l'abondance à travers l'univers, à travers Dieu. Oui, merci Dieu, je reconnais que je suis en mesure d'avoir de l'argent. Merci pour ça. Merci pour l'amour que tu me laisses en mesure d'apporter à l'argent. Si jusqu'à maintenant, je n'ai pas été en mesure de l'aimer, point barre. Donc ce qui va se passer aussi, c'est que le cerveau, évidemment, il va aller chercher des preuves. Et moi des preuves que c'était possible je n'en voyais qu'à la télé, je n'en voyais que dans les livres, je n'en voyais que sur les réseaux sociaux, enfin à l'époque on était vraiment au bris des réseaux sociaux, c'est-à-dire en 2000, ça fait quand même un temps, putain je suis super vieille en fait. Et ce qui va se passer aussi c'est que ce cerveau qui va aller chercher les preuves, souvent il va aller les trouver les preuves que c'est possible mais on va avoir du mal à croire que c'est possible pour nous. Et ça vous le voyez, j'en ai beaucoup parlé dans The Line, dans ce programme que vraiment, allez voir ce programme qui est extraordinaire, que j'aime par-dessus tout et dans lequel je suis très fière parce que là-dedans, il y a vraiment un bijou absolu, enfin il y a huit bijoux absolus selon les huit thématiques et je pense que j'en rajouterai, c'est possible que j'en rajoute au fur et à mesure. Donc il va aller chercher des preuves et puis il va mettre du temps pour comprendre que c'est possible, mais que c'est aussi possible pour moi, mais que c'est aussi possible pour moi. pour moi maintenant. Et le possible pour moi maintenant, ça m'a fait comme un déclic parce que la seule chose à laquelle j'ai pu me raccrocher pour que ce soit possible pour moi maintenant, c'est à mon désir de changer les choses et à ma décision de les changer maintenant. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que quand j'ai compris que mon cerveau me disait Ah ouais, tu veux que ce soit possible pour toi maintenant ? Vas-y, montre que c'est possible pour toi maintenant. Mais je n'y arrivais pas en fait. Je n'y arrivais pas parce que Parce que ce que je voyais, c'était pour les autres que je le voyais. C'était les autres qui avaient de l'argent, c'était les autres qui étaient riches. C'était les autres qui me parlaient que l'argent était bien. Mais moi, je n'avais pas de preuves que c'était possible pour moi. Donc la seule chose que je suis allée chercher pour que ça devienne possible pour moi, c'est de me dire parce que je l'ai décidé. Parce que je l'ai décidé, parce que c'est un acquis de naissance. Je n'aime pas dire le droit de naissance, parce que qui dit droit de naissance, dit non droit. Qui dit droit, j'ai le droit de faire, aussi je peux ne plus avoir le droit. Et moi, c'est un truc qui ne m'allait pas là-dedans. donc là-dedans, slash même mon cerveau, donc je l'ai transformé pour que ça me convienne en acquis de naissance. Ce n'est pas une question de droit ou de non-droit, c'est une question que je sais acquis. Je suis venue avec ce bagage-là, de l'abondance et de l'argent en illimité, point final. Et c'est vraiment à ça que je me suis raccrochée pour avoir la preuve absolue, interne, intérieure, que ça allait se réaliser. Et c'est vraiment tout. Là, je viens de vous détailler ma manière d'en... Les moindres détails, je pense, il y a encore des choses, mais en gros, c'est ça, avec laquelle, ce que j'ai utilisé, moi en tout cas, pour pouvoir transformer cet auto-sabotage en merveille, en libération absolue à propos de l'argent, en facilité d'obtenir de l'argent, de créer de l'argent, de générer de l'argent, parce que je suis sortie du cadre. Alors, je pense que si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que j'embarque, moi, mes... deux versions, ma version low cost et ma version premium. Ma version premium, c'est celle avec laquelle je suis venue depuis le premier jour au monde. C'est une version complètement illimitée, complètement non censurée, abondante. de base abondante par la genèse Nous sommes arrivés complets, nous sommes arrivés abondance, nous sommes arrivés amour, nous sommes arrivés illimités, nous sommes arrivés joie et bonheur. C'est de cette façon que chaque bébé qui sort du ventre de sa maman arrive. On ne va pas commencer à parler du transgénérationnel, du karma, des machins, etc. Je parle juste de façon très neutre. Le bébé qui arrive, évidemment, qui transporte les trucs de sa maman, on est bien d'accord avec ça. Mais je veux parler de façon très simple, très schématisée, très neutre. Un bébé qui sort du ventre de sa maman. sort dans son identité premium, illimitée, abondante, non censurée, sans filtre, sans peur, sans quoi que ce soit. Et c'est au fur et à mesure de la vie, de ce qu'on lui apporte, de ce qu'on lui partage, de ce qu'on lui, malheureusement, propose comme croyance, comme pensée, comme façon, c'est juste en fait qui nous devenons et la projection de qui nous a élevés, de qui on a été en train de nous faire croire. entouré, etc. Et c'est là qu'on arrive dans notre version low cost. Et ce qui m'a toujours interpellé, moi, c'est de comprendre, c'est ça qui m'a aussi mis la puce à l'oreille, de me dire, mais putain, si on arrive ici, en illimité, sur des rives non censurées, qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui, on a des croyances de merde, des pensées de merde, des idées de merde, avec des blocages de merde, mais c'était insupportable pour moi. Et c'est là que je me suis dit, mais il y a un problème quelque part. Il y a un problème quelque part parce que... Moi, je ne suis pas arrivée de cette façon-là. Et il n'est absolument pas question que je continue un espèce de process ou une espèce de vie qui ne me correspond pas, dans laquelle je n'ai pas envie d'aller. J'ai envie d'avoir de l'argent. J'ai envie de faire ma best life. Oui, c'est de ça que j'ai envie. Je vais l'assumer. Je le désire. Et c'est comme ça. Ce n'est pas autrement. Et je ne blesserai personne. Ça aussi, c'est important que vous le sachiez. De ne pas avoir peur de blesser les gens pour lesquels ou qui vous ont appris des choses. et pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord en fait. Ces choses pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord, il y a un moment où il va falloir y renoncer, et sans avoir peur que de dire, waouh, si je n'écoute plus, si je ne suis plus le process de la vie de ma mère ou de mon père, si je ne suis plus d'accord avec ça, je rentre dans une espèce de déloyauté familiale qui ne va pas m'arranger, parce que du coup ils ne vont plus m'aimer. Ça c'est encore un autre sujet, mais soyez vigilante avec ça, quand vous prenez une décision, ça n'a rien à voir. Le fait que vous coupiez ce process n'a rien à voir avec le désamour que vous aurez pour vos parents. On peut aimer ses parents et couper une réalité. On peut aimer ses parents et être déloyal envers leurs pensées. On peut aimer ses parents et avoir nos propres pensées, choisir de nouvelles croyances. Ok ? Donc pour faire le topo, la première des choses, c'est que vous alliez repérer la scène et le ressenti du moment où vous avez eu le déclic de la musique. misère en fait. Quelles ont été les parties de votre vie ? Alors ça peut être une scène, une parole, une situation, un mot, un écrit, peu importe ce que c'est, allez chercher l'endroit où ça s'est accroché à vous en fait et où c'est devenu petit à petit votre lifestyle même en étant enfant. La deuxième des choses c'est de comprendre que cette croyance que vous avez eue parce que vous l'avez prise de l'extérieur, vous l'avez mise à l'intérieur de vous, c'est cette croyance qui nous a mis à vivre. ne vous appartenait pas, qui est devenu votre réalité. En l'occurrence, la croyance de la misère, que c'est la vie, que c'est comme ça, qui est devenu votre réalité. Vous devez mettre ça en conscience. C'est une croyance extérieure que vous avez fait, votre réalité intérieure, votre vie, votre croyance à vous. Troisièmement, est-ce que cette croyance que j'ai prise de l'extérieur à Pierre, Paul, Jacques, à ma mère, à mon père, à qui que ce soit, est ma croyance, est-ce que c'est la réalité ou est-ce que c'est leur réalité ? réalité, mais que j'ai faite mienne parce que j'ai pris leur croyance comme la mienne. Et quelle est donc, pour finir, la croyance que je veux moi choisir délibérément, que je décide de choisir délibérément cette nouvelle croyance à propos de l'argent, si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, mes soeurs, mes frères, de ceux qui vous ont en fait matrixé la tête pour, mais sans vouloir. Vous savez, il y a un truc, c'est que ce n'est pas une question... de ne pas aimer. Les parents, à l'époque, n'étaient pas, je le dis clairement, n'avaient un éveil. Et même moi, en tant que parent, si j'étais parent aujourd'hui, ça serait complètement différent. Aujourd'hui, j'ai un éveil, j'ai une conscience, j'ai une ouverture d'esprit qui est complètement différente de celle que j'avais quand j'avais 23 ans, le jour où j'ai fait ma fille. Donc, je lui ai inculqué des saloperies. sans même le vouloir, mais parce que j'en avais même pas conscience, parce que pour moi c'était la vie et que la vie je la transmettais à ma fille de la façon dont moi je l'avais vécue, j'avais pas d'autres expériences, pas d'autres références et encore moins l'ouverture d'esprit nécessaire à la compréhension des choses. Donc on peut même pas en vouloir à nos parents, moi je m'en veux moins, mais je peux même pas m'en vouloir moins parce qu'à l'époque je n'avais pas les ressources pour faire les choses autrement, différemment, ni à propos de... de mes pensées ni à propos de mes croyances. Si j'avais eu l'ouverture d'esprit que je vous partage aujourd'hui quand j'avais 10 ans ou 8 ans, ça se serait passé complètement différemment. et si mes parents avaient eu mon ouverture d'esprit quand moi j'étais enfance il ne se serait jamais produit des choses pareilles donc on ne peut en vouloir à personne et d'ailleurs c'est même pas nécessaire d'en vouloir à qui que ce soit l'idée c'est qu'aujourd'hui vous avez conscience que vous êtes en mesure de changer d'être complètement maître de vos Pensez. Vous êtes maître de ce que vous pensez, vous êtes maître de ce que vous croyez et c'est quand vous prenez conscience de ça que vous commencez à transcender votre vie et surtout votre relation à l'argent, vos croyances à propos de l'argent et votre vie face à l'argent. Même quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, on peut tout à fait, et vous pouvez le faire dès maintenant, c'est ça qui est extraordinaire. Vous êtes en mesure de le faire tout de suite. Donc vous pouvez, quel que fût notre passé, à partir du moment où dans le présent on en a conscience, on peut transformer notre futur. De façon très légère, de façon très aimante, de façon extraordinaire, de façon complètement excitante, joyeuse, abondante. Il s'agit juste de reprendre les choses au départ et puis de répondre à nos bonnes questions à nous pour notre meilleur à nous. Voilà, ça sera tout pour cet épisode de podcast. Ali, j'espère que ça t'a fait des déclics. J'espère qu'à partir de maintenant, Ali, évidemment toi, et puis toutes les autres et tous les autres auditeurs et auditrices de ce podcast vont avoir... le cœur en joie de comprendre la façon avec laquelle on peut transformer les choses, en tout cas, par rapport à notre perception de l'argent pour créer notre meilleure vie. Je vous souhaite une très très bonne journée, un excellent dimanche et puis je vous dis à bientôt. N'hésitez pas à me donner vos commentaires, votre point de vue. Vous pouvez m'envoyer des DM sur Instagram. Abonnez-vous sur Insta parce qu'on parle beaucoup de choses comme ça sur Instagram, dans mes posts. Donc, pensez à vous abonner sur Insta. je vous embrasse très très fort et puis je vous dis à dimanche prochain ciao ciao

Share

Embed

You may also like

Description

Dans cet épisode, je vous emmène là où se créent vos programmations, y compris celles au niveau de l'argent, pour les débusquer et les transformer.


Enormément de femmes se sabotent avec l'argent, alors vous trouverez :


  • mon histoire personnelle à propos de l'argent

  • pourquoi on se sabote autant avec l'argent

  • ce que j'ai fait pour transformer la situation

  • comment se libérer du trauma de pauvreté ( en 4 questions de coaching)

    Abonnez vous à @elodieflorenti sur Insta pour partager votre avis avec nous


OFFERT:

🎁LE GUIDE DU BUSINESS ALIGNÉ : https://elodieflorenti2.systeme.io/guidealignement

LES COURS :

Pour démarrer ...
LA VRAIE STRUCTURE D'UN BUSINESS A SUCCES :https://choisirdereussir.com/structure-du-succes/

En profondeur...
THE LINE : https://choisirdereussir.com/the-line/


🤩Tous Les programmes : https://choisirdereussir.com/programmes/ 


Me rejoindre sur:

🔥Facebook :  https://www.facebook.com/elodie.florenti 

🔥Insta https://www.instagram.com/elodieflorenti/

🔥Threads: https://www.threads.net/@elodieflorenti


--------------


Hellooooo et bienvenue ! Je m'appelle Elodie FLORENTI , ça fait presque vingt ans que je suis en business et que j'aide les entrepreneuses badass qui ne se retrouvent pas dans les codes et les règles du business conventionnel à développer le leur, à leur façon. Grâce à leur identité non censurée, oui oui !


Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous motiver, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

Le succès de votre business commence là où s'arrête votre auto-censure.

Soyez la bienvenue !


xo, Love, Elo 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au pot-en pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, on va parler d'abord, bienvenue, mais pourquoi je zappe comme ça les bienvenus ? Mais ça ne va pas ou quoi ? Donc bienvenue à toutes celles et ceux qui nous rejoignent. Bienvenue aux nouvelles auditrices et aux nouveaux auditeurs du podcast. Et puis à toutes ces personnes, toutes ces auditrices et auditeurs qui écoutent les épisodes, les uns après les autres inlassablement depuis le début. Je vous aime, je vous remercie tellement d'être... fidèle à ce point de m'envoyer des messages à chaque fois. Donc voilà, c'est un truc que j'oublie... En fait, ce n'est pas que j'oublie de le dire, c'est que je suis tellement aux prises de mes contenus et de ma thématique pour ne pas partir dans tous les sens, que ben ouais, je nexte mon cerveau. Je ne sais pas, parfois il est très con. Je vous assure. Que j'entende personne me dire Ah oui, Mélo, ça dépend comment tu te parles, il ne faut pas que je te parle comme ça. Eh bien oui, il y a des fois, je suis obligée de lui balancer. une vanne pour qu'il s'arrête un peu. Donc, alors on va y aller tout de suite. J'ai pris la décision. Ce n'était pas prévu cet épisode, en fait. En tout cas, pas aujourd'hui. Mais finalement, il est arrivé un peu... Certainement parce que c'était le moment pour beaucoup de monde. Suite à un live que Laura, ma fille, avait fait sur TikTok. Et puis, il y avait une des super nanas de sa communauté qui posait une question. concernant l'argent, concernant l'autosabotage par rapport aux finances, comment se libérer du traumatisme de pauvreté quand on a vécu la pauvreté de l'enfance. Bref, ça tournait beaucoup autour de ce sujet. Puis il aurait dit, écoute, va demander plutôt à ma mère, c'est elle qui est là-dedans, pas moi. Et je me suis dit, ça pourrait être vachement sympa. Donc j'ai promis à Alice, je suppose que c'est Alice, Alicia ou Aline, je ne sais pas comment tu t'appelles vraiment. Mais en tout cas, non seulement ce... cet épisode est dédié et puis il est aussi dédié à toutes celles et ceux qui embarquent jour après jour dans leur business et puis dans leur vie, dans un schéma négatif de l'argent que moi je vais vous partager en fait le mien. pour que vous puissiez comprendre les tenants et les aboutissants de ce que je vais vous expliquer, et puis surtout pour vous aider à voir les choses autrement. Alors pour la faire très brève, je ne viens absolument pas d'une famille de gens riches, mais loin de là, loin, loin de là, je pars de très très loin, et je veux vraiment que vous entendiez les trucs, je ne suis pas en train de... de dramatiser les situations. Je veux juste poser un contexte et poser aussi, en même temps que je vous parle du mien, poser le vôtre aussi. Comme ça, vous allez pouvoir avancer en même temps que moi, de ma façon avec laquelle j'ai cheminé moi, pour pouvoir me libérer de ce sacré bordel. Parce qu'autant vous dire que d'avoir le poids de l'argent sur soi, Le poids de la pauvreté, le poids de la misère, le poids du manque d'argent sur soi, c'est surtout dans le business ultra, ultra difficile. Vous vous en doutez bien, ce n'est pas le fun. On est bien d'accord. Des fois, j'ai dit des choses absurdes, pardonnez-moi. Donc voilà le topo. Je viens évidemment d'une famille particulièrement pas riche. On ne va pas dire, je n'étais pas causette, mais on y est allé bien comme il faut. Et moi, j'ai des souvenirs qui m'ont marqué. Et j'ai 50 ans, bientôt 51 au mois de juillet. Je peux vous dire que ces souvenirs-là, je les ai comme si je les ai vécus la veille. Tellement ils m'ont impactée. Et pourtant, je pense que je devais avoir... je sais pas trois ou quatre ans pas plus que ça pour ce premier souvenir là où je voyais mes parents manger, enfin prendre un café au lait et du pain avec des tartines, bref avec de la confiture, comme un petit-déj en fait le soir. Et moi dans mon assiette, j'avais de la viande, des frites, des légumes, de la salade, etc. Et tous les jours, je demandais à mes parents comment ça se faisait que moi je mangeais un repas et eux mangeaient un différent repas. Puis même limite moi ça m'aurait intéressé d'aller manger des sucreries, donc le soir repas, petit-déj, tartines, ça aurait été très bien pour moi. et ma mère me disait tout le temps nous on ne digère pas ce qu'on a à manger le soir nous on ne peut pas manger ça on est obligé de manger ça comme ça parce que nous on ne digère pas toi tu es petite, tu as besoin de viande etc mais quand on est grand, on mange ça en fait Et j'ai très vite compris du mensonge absolu qui m'était balancé en pleine face. J'ai très vite senti qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. J'étais trop petite encore pour comprendre la réalité des choses, mais j'ai vraiment senti que quelque chose n'allait pas. Et puis, j'entendais très souvent, très souvent les discussions de mes parents à propos de l'argent, des difficultés, des difficultés financières, du mal qu'ils avaient à joindre les deux bouts, de mon père qui ne travaillait pas. et puis après il travaillait, puis il se plantait, enfin bref, c'était tout le temps le bordel. Et j'ai un deuxième souvenir, selon lequel, ben en fait c'était Noël, et moi j'étais... Aux prises, j'étais là-dedans, dans cette misère en fait. Et puis à Noël, j'ai vu je ne sais pas combien de cadeaux au pied du sapin. Je n'ai pas exactement les souvenirs, mais c'était rempli. Il y en avait partout, partout, partout. Et au lieu de bien le prendre, au lieu d'être heureuse de ces cadeaux-là, je me suis sentie en trop. C'est la première fois de ma vie avec ces histoires de repas où j'avais vraiment la sensation de me sentir en trop, d'être venue là, pas au bon moment, même de ne pas être bienvenue. Parce que tout ce que je voyais, c'était le sacrifice, le sacrifice que mes parents faisaient pour moi, les choses qu'ils faisaient à cause de moi. Et je me disais très souvent que si je n'étais pas venue, si je n'étais pas là. Il n'aurait pas eu à se sacrifier. en d'autres termes, c'est à cause de moi qu'il se sacrifie. Et moi, je l'ai perçu comme ça. À aucun moment, j'ai trouvé quelque chose de bénéfique dans cette façon de procéder. Parce qu'au lieu de me dire, waouh, comme tous les enfants, mon Dieu, j'ai plein de cadeaux, et en rester là, je me suis sentie tellement mal. Et je pense que j'ai ancré un mécanisme de déni, de refus, de rejet complet. par rapport à l'argent. Et même quand je vous le dis là, c'est quelque chose qui m'a suivi pendant des années parce que pour moi, l'argent était égal au fruit du sacrifice et moi, je ne voulais que personne se sacrifie pour moi. Et je veux vraiment, Ali, et puis vous autres qui entendez ce que je suis en train de vous dire, de vous faire votre petite histoire, ce petit chemin-là. C'est comme si on faisait un coaching, ok ? De refaire vous-même cette histoire du à quel moment l'argent... est devenu le mal bien avant qu'on vous dise tout le temps quelle est la situation précise selon laquelle vous avez senti qu'il y avait une espèce de fracture une espèce de plus que de malaise, mais de honte, de gêne, de culpabilité, de sacrifice à propos de l'argent. À quel moment vous avez senti ça ? C'est quoi la situation ? Rappelez-vous de cette situation-là. Je sais qu'elle pique, je sais qu'elle fait mal. Moi, quand je la raconte, là, je me contiens parce que je fais la grande, mais les larmes, elles me montent, et pas du tout. ou à cause du moins de la misère ou de ci ou de la situation de pauvre, de causette, etc. Pas du tout. C'est que je me souviens du sentiment extrêmement indélicat et douloureux que j'ai ressenti dans ces moments-là. Et puis, je pourrais vous en raconter 50 000 autres, mais alors, ce n'est pas un podcast qu'on pourrait faire, c'est un film. Donc, je vais rester sur ces deux exemples très frappants et très marquants pour moi. Donc, la première des choses, c'est aller regarder quels sont les souvenirs, les choses qui ont été ancrées en vous, les choses qui se sont attrapées à l'intérieur de vous comme des mécanismes qui sont devenus, en fait, une réalité et un lifestyle. Parce que c'est ça dont il s'agit. Quand on a des problématiques, surtout, et qu'on s'auto-sabote face à l'argent, c'est que derrière l'auto-sabotage, il y a une situation. et une situation sur laquelle vous avez collé des étiquettes. Alors moi, je vous parle de la mienne, humiliation. Je me suis sentie en fait humiliée, mais c'est sur d'autres sujets. Je me suis sentie humiliée, mais c'est surtout le sacrifice. Argent égale sacrifice. Et quand l'argent est un sacrifice pour vous, quand vous collez l'étiquette que vous allez coller, que ce soit sacrifice ou autre chose, on est bien d'accord, sur l'argent, il va se passer quoi ? Il va se passer que tout le long de votre vie, vous n'allez pas... vous allez éviter de ressentir l'émotion que ça vous a amené l'argent. Et c'est comme ça qu'on fonctionne tous en fait. Et que ce soit à propos de l'argent, que ce soit à propos de l'amour, que ce soit à propos de l'abondance, que ce soit à propos des relations, du travail, de n'importe quoi, je le dis tout le temps, c'est que derrière ce que vous n'arrivez pas à transformer, il y a une peur. et une blessure. Et je ne vais pas m'étaler là-dessus, je pourrais en faire un autre épisode de podcast, mais on parle beaucoup de blessures de l'âme, mais moi j'ai surtout envie de parler de blessures de l'ego qui ont touché l'âme. Et ça n'a plus rien à voir. Parce que souvent on se dit, oh j'ai une blessure de l'âme, qu'est-ce que t'as comme blessure, la blessure de l'abandon, c'est venu toucher ton âme. Moi je peux vous dire que ça touche bien avant l'âme, ça touche l'ego. Parce que quand on se sent abandonné, c'est notre ego qui en prend un coup. Quand on se sent rejeté, c'est notre égo qui en prend un coup. Quand on se sent humilié, c'est notre égo qui en prend un coup. N'importe quelle blessure dont on pourra parler. Je vais revenir à nos moutons, je vais revenir au centre. Donc c'est la première des choses à faire, d'aller regarder l'étiquette qu'on est allé mettre, parce que toute notre vie, c'est cette étiquette émotionnelle qui va nous empêcher, qui va faire créer l'autosabotage. Ça, c'est la première des choses. Puis la deuxième des choses, c'est que quand on va... vérifier quand on va se souvenir. Je sais que ce n'est pas facile. Je sais que c'est parfois extrêmement douloureux, mais on va y aller parce que parfois, vous savez, on a appris que, oh là là, changer les choses, c'était très difficile et c'est la vérité. Il y a des choses qui sont très douloureuses, très, waouh, rentre dedans, a changé. Mais je vous garantis que ce que vous vivez aujourd'hui est bien plus douloureux que de changer votre réalité intérieure. Mon business se situe sur... si le succès de ton business, c'est en fait changer. ta réalité intérieure. Et vous pouvez l'accorder à n'importe quelle des situations, que ce soit dans votre vie perso, sur l'argent, sur n'importe quoi. Changez votre réalité intérieure. C'est la base de la transformation. C'est à partir de là que vous transformez les choses. Donc, quand on s'autosabote, c'est pourquoi ? C'est parce qu'on a gardé l'empreinte énergétique, l'empreinte émotionnelle de ce qu'on a vécu et qui a fait, là pour Ali, elle disait, quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, en fait... quelles sont les situations qui ont été marquées, quelles sont les situations qui ont déchiré notre égo et notre cœur et qui ont fait de nous quelqu'un qui n'a pas été en accord, en lien avec ce qu'on vivait et qui a transformé qui on était vraiment en quelqu'un qui a dû s'adapter. à cette façon de vivre parce qu'on a cru que c'était la réalité. Et c'est vraiment la deuxième chose. C'est cette croyance, ces pensées qu'on a eues de nous qui ont cassé notre identité. Ça veut dire que l'identité qu'on avait, nous, on était tranquille quand on était enfant. On n'avait pas de problème de pauvreté, on avait problème de rien, en fait. On était peinard. Et moi, c'est ça que j'appelle identité premium. C'est cette réalité de départ, cette réalité avec laquelle nous sommes venus, cette identité avec laquelle nous sommes venus avant qu'on ait des emmerdes qui ont éteint notre lumière. Avant qu'on ait des emmerdes qui ont créé l'autosabotage, avant qu'il y ait des choses qui sont venues de l'extérieur qu'on nous a appris par expérience, par vécu ou par n'importe quoi, qui ont fait qu'on est venu autosaboter et qu'on est venu adapter cette identité extraordinaire en une identité de merde, on ne va pas se le cacher, en une identité low cost, complètement limitée, complètement saturée, qu'on a faite, qu'on a créée, qu'on a modelée, qu'on a adaptée pour pouvoir survivre. il n'y a pas moyen de faire autrement. C'est vraiment une question de survie que de s'auto-saboter. Ce n'est pas une peine, ce n'est pas une méchanceté que vous vous faites. C'est à l'intérieur qui dit Wow, attends, pour survivre à la vie que je suis en train de mener, je n'ai pas le choix que de m'auto-saboter. Je n'ai pas le choix que de devenir la misérable, que de devenir la sacrifiée. que de devenir la miséreuse, que de devenir la causette, que de devenir celle qui s'adapte en fait à la vie qu'on lui a filée. Donc cette deuxième chose, c'est tout simplement comprendre que vous avez transformé cette croyance que vous aviez en la réalité absolue. J'ai cru, j'ai cru, en fait, on m'a montré sur un plateau par A plus B que la vie était la pauvreté, que la vie devait être la misère, que je devais, que la vie, on me l'a montré en tant que quelque chose de difficile, de compliqué, de miséreux, de misérable, je ne sais même pas comment on pourrait le dire plus que ça, mais qu'en tout cas... le manque était bien là et que c'était ça, la vie. Donc après ça, la troisième des choses, c'est qu'il va... Ça va demander un petit challenge au niveau du questionnement de nos croyances. Est-ce que cette croyance que vous avez à propos de l'argent, cette croyance négative, cette croyance à propos de vous et de l'argent, de la vie et de l'argent, est-ce que... C'est la réalité absolue ou est-ce que c'est tout simplement une réalité, une croyance selon l'histoire de ceux qui vous l'ont raconté ? Par exemple, je peux dire aujourd'hui que ce que j'ai vécu par rapport à l'argent dans mon enfance est devenu une réalité. Parce que j'ai cru que c'était la réalité. Or, aujourd'hui, je suis très en mesure de vous dire que ce n'est pas la réalité absolue, c'est juste la réalité de mes parents à travers leurs histoires, leurs vécus, leurs expériences, qui m'ont projeté leur vision de l'argent et de la vie en pleine figure, sans que moi j'ai eu droit à donner mon avis. Parce que quand on est jeune et enfant, on ne peut pas se donner un avis sur l'argent, on ne peut pas se donner un avis sur la vie. On vit. On vit avec l'innocence la plus pure et la plus extraordinaire qui soit, puis il y a des choses qu'on nous amène, et comme on n'a pas le recul, et puis qu'on n'a pas non plus le cerveau suffisamment en place à l'âge qu'on a pour pouvoir gérer, calculer, voir un petit peu ce qui se passe ou pas, on le prend comme une vérité absolue, comme un acquis. Donc la question c'est, est-ce que cette croyance à propos de l'argent et de moi, à propos de la vie et de l'argent, à propos de la misère, à propos de tout ce que l'on veut, c'est une... Croyance absolue que j'ai, est-ce que c'est ma croyance ou est-ce que c'est leur croyance à propos de l'argent ? Ou est-ce que c'est leur vie à eux à propos de l'argent ? Donc très clairement, moi quand je me suis posé cette question, c'est inévitable de se dire, mais attends, non non, moi je ne veux pas croire ça, c'est eux qui l'ont cru, c'est leur vie, c'est leur problème, déjà que je me le suis empaigué alors que je n'ai rien demandé, je n'ai jamais demandé à croire à ça, je n'ai jamais demandé à m'imaginer que la vie pourrait être aussi misérable. Je n'ai jamais demandé à ce que ma vie, on me la montre en tant que l'enfer financier. Donc la suite qui m'est venue, mais juste machinalement, ça a été, mais en fait, du coup, qu'est-ce que je veux croire ? C'est quoi la croyance que je veux avoir au final à propos de l'argent ? Si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, de plus personne, si je remets l'argent à un niveau super neutre, mais qu'est-ce que j'ai envie de croire à propos de l'argent ? Et je peux vous dire que je ne me suis pas, ça n'a pas du tout... J'aurais trois secondes pour qu'il me sorte des tonnes et des tonnes de trucs extraordinaires à propos de l'argent. Que l'argent, si j'en voyais plein qui en avaient, pourquoi moi je n'en aurais pas ? C'était possible pour moi de le faire. Ça pourrait être beaucoup plus facile et confortable pour moi d'en avoir que de ne pas en avoir. Que ça pouvait être une super idée d'avoir de l'argent, que l'argent était bénéfique, que l'argent, ce n'est pas vrai, que ça ne pouvait pas être du sacrifice, qu'on pouvait avoir de l'argent et ne pas se sentir ni... ni sacrifier, ni sacrifier quelqu'un pour ça. Bref, il y a toute une salve de trucs qui m'est revenue. C'est un peu comme si toutes les pièces de puzzle se remettaient en place. Et c'est à partir de là que j'ai commencé à voir les choses complètement différemment. Donc, le truc, c'est vraiment d'aller chercher quelle est la croyance à propos de l'argent, à propos de l'argent et de moi, à propos de l'argent et de la vie, à propos de l'argent et du business, à propos de l'argent et du succès. C'est quoi cette croyance que je veux avoir ? de façon délibérée et consciente. C'est quel est le chemin que je veux faire prendre moi aujourd'hui à l'argent. Je vous rappelle un truc, c'est que si on n'est pas maître de beaucoup de situations, et notamment celles de nos parents, de notre vécu, de notre passé, on a une maîtrise absolue sur nos pensées, sur nos choix, sur nos décisions, de ce qu'on veut penser, de ce qu'on veut croire à nouveau, des émotions qu'on veut ressentir maintenant. Ça c'est très important de le comprendre. Parce qu'à partir du moment où vous êtes conscient de ça, que vous avez la main complète sur vos pensées, que vous avez la main complète sur la transformation de vos pensées, sur ce que vous voulez penser, sur ce que vous voulez croire, ça va changer littéralement votre vie. Donc l'idée, si vous êtes tellement aux prises, parce que moi, le truc c'est que très rapidement j'ai vu que, oh là là, ce que moi je veux croire de l'argent, ce n'est pas du tout ce que j'ai expérimenté à propos de l'argent, ni ce qu'on m'a fait croire à propos de l'argent, je veux croire autre chose, plein de... C'est une belle chose, mais la suite, c'est que quand on est ancré pendant des années dans la misère, dans le manque d'argent, il y a deux choses qui vont se passer. Même quand on a le pouvoir de changer nos pensées, c'est possible qu'il y ait un temps de latence parce que le cerveau a besoin de... travailler cette nouvelle croyance, il a besoin de croire en cette nouvelle croyance, il a besoin de temps pour croire à cette nouvelle croyance. On ne peut pas se dire, tiens, je décide de croire que ça va aller, que l'argent est devenu extraordinaire. Quand on a vécu 20, 30 ans dans la misère, ce n'est pas en trois secondes et demie que ça se passe. Par contre, la décision se prend en une fraction de seconde. À partir de maintenant, je décide que l'argent a une autre allure envers moi. À partir de maintenant, je décide de faire entrer l'abondance chez moi. Que l'argent vienne facilement. de plein d'endroits et de façons différentes à travers moi. Que je sois l'argent, que je sois celle qui soit en mesure de tenir l'argent, l'énergie de l'argent, la beauté de l'argent, l'amour de l'argent. Et l'amour de l'argent, croyez-moi, ça n'a rien de cupide, ça n'a rien de perfide, ça n'a rien de démoniaque. L'amour de l'argent, ce n'est pas l'amour de l'argent pour l'argent. C'est l'amour que l'argent nous permet de traverser et par rapport à toutes les choses qu'on va pouvoir atteindre. Ce à quoi on va pouvoir accéder, c'est cet amour-là dont je parle. C'est l'amour de l'argent en signe de reconnaissance de l'abondance à travers l'univers, à travers Dieu. Oui, merci Dieu, je reconnais que je suis en mesure d'avoir de l'argent. Merci pour ça. Merci pour l'amour que tu me laisses en mesure d'apporter à l'argent. Si jusqu'à maintenant, je n'ai pas été en mesure de l'aimer, point barre. Donc ce qui va se passer aussi, c'est que le cerveau, évidemment, il va aller chercher des preuves. Et moi des preuves que c'était possible je n'en voyais qu'à la télé, je n'en voyais que dans les livres, je n'en voyais que sur les réseaux sociaux, enfin à l'époque on était vraiment au bris des réseaux sociaux, c'est-à-dire en 2000, ça fait quand même un temps, putain je suis super vieille en fait. Et ce qui va se passer aussi c'est que ce cerveau qui va aller chercher les preuves, souvent il va aller les trouver les preuves que c'est possible mais on va avoir du mal à croire que c'est possible pour nous. Et ça vous le voyez, j'en ai beaucoup parlé dans The Line, dans ce programme que vraiment, allez voir ce programme qui est extraordinaire, que j'aime par-dessus tout et dans lequel je suis très fière parce que là-dedans, il y a vraiment un bijou absolu, enfin il y a huit bijoux absolus selon les huit thématiques et je pense que j'en rajouterai, c'est possible que j'en rajoute au fur et à mesure. Donc il va aller chercher des preuves et puis il va mettre du temps pour comprendre que c'est possible, mais que c'est aussi possible pour moi, mais que c'est aussi possible pour moi. pour moi maintenant. Et le possible pour moi maintenant, ça m'a fait comme un déclic parce que la seule chose à laquelle j'ai pu me raccrocher pour que ce soit possible pour moi maintenant, c'est à mon désir de changer les choses et à ma décision de les changer maintenant. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que quand j'ai compris que mon cerveau me disait Ah ouais, tu veux que ce soit possible pour toi maintenant ? Vas-y, montre que c'est possible pour toi maintenant. Mais je n'y arrivais pas en fait. Je n'y arrivais pas parce que Parce que ce que je voyais, c'était pour les autres que je le voyais. C'était les autres qui avaient de l'argent, c'était les autres qui étaient riches. C'était les autres qui me parlaient que l'argent était bien. Mais moi, je n'avais pas de preuves que c'était possible pour moi. Donc la seule chose que je suis allée chercher pour que ça devienne possible pour moi, c'est de me dire parce que je l'ai décidé. Parce que je l'ai décidé, parce que c'est un acquis de naissance. Je n'aime pas dire le droit de naissance, parce que qui dit droit de naissance, dit non droit. Qui dit droit, j'ai le droit de faire, aussi je peux ne plus avoir le droit. Et moi, c'est un truc qui ne m'allait pas là-dedans. donc là-dedans, slash même mon cerveau, donc je l'ai transformé pour que ça me convienne en acquis de naissance. Ce n'est pas une question de droit ou de non-droit, c'est une question que je sais acquis. Je suis venue avec ce bagage-là, de l'abondance et de l'argent en illimité, point final. Et c'est vraiment à ça que je me suis raccrochée pour avoir la preuve absolue, interne, intérieure, que ça allait se réaliser. Et c'est vraiment tout. Là, je viens de vous détailler ma manière d'en... Les moindres détails, je pense, il y a encore des choses, mais en gros, c'est ça, avec laquelle, ce que j'ai utilisé, moi en tout cas, pour pouvoir transformer cet auto-sabotage en merveille, en libération absolue à propos de l'argent, en facilité d'obtenir de l'argent, de créer de l'argent, de générer de l'argent, parce que je suis sortie du cadre. Alors, je pense que si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que j'embarque, moi, mes... deux versions, ma version low cost et ma version premium. Ma version premium, c'est celle avec laquelle je suis venue depuis le premier jour au monde. C'est une version complètement illimitée, complètement non censurée, abondante. de base abondante par la genèse Nous sommes arrivés complets, nous sommes arrivés abondance, nous sommes arrivés amour, nous sommes arrivés illimités, nous sommes arrivés joie et bonheur. C'est de cette façon que chaque bébé qui sort du ventre de sa maman arrive. On ne va pas commencer à parler du transgénérationnel, du karma, des machins, etc. Je parle juste de façon très neutre. Le bébé qui arrive, évidemment, qui transporte les trucs de sa maman, on est bien d'accord avec ça. Mais je veux parler de façon très simple, très schématisée, très neutre. Un bébé qui sort du ventre de sa maman. sort dans son identité premium, illimitée, abondante, non censurée, sans filtre, sans peur, sans quoi que ce soit. Et c'est au fur et à mesure de la vie, de ce qu'on lui apporte, de ce qu'on lui partage, de ce qu'on lui, malheureusement, propose comme croyance, comme pensée, comme façon, c'est juste en fait qui nous devenons et la projection de qui nous a élevés, de qui on a été en train de nous faire croire. entouré, etc. Et c'est là qu'on arrive dans notre version low cost. Et ce qui m'a toujours interpellé, moi, c'est de comprendre, c'est ça qui m'a aussi mis la puce à l'oreille, de me dire, mais putain, si on arrive ici, en illimité, sur des rives non censurées, qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui, on a des croyances de merde, des pensées de merde, des idées de merde, avec des blocages de merde, mais c'était insupportable pour moi. Et c'est là que je me suis dit, mais il y a un problème quelque part. Il y a un problème quelque part parce que... Moi, je ne suis pas arrivée de cette façon-là. Et il n'est absolument pas question que je continue un espèce de process ou une espèce de vie qui ne me correspond pas, dans laquelle je n'ai pas envie d'aller. J'ai envie d'avoir de l'argent. J'ai envie de faire ma best life. Oui, c'est de ça que j'ai envie. Je vais l'assumer. Je le désire. Et c'est comme ça. Ce n'est pas autrement. Et je ne blesserai personne. Ça aussi, c'est important que vous le sachiez. De ne pas avoir peur de blesser les gens pour lesquels ou qui vous ont appris des choses. et pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord en fait. Ces choses pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord, il y a un moment où il va falloir y renoncer, et sans avoir peur que de dire, waouh, si je n'écoute plus, si je ne suis plus le process de la vie de ma mère ou de mon père, si je ne suis plus d'accord avec ça, je rentre dans une espèce de déloyauté familiale qui ne va pas m'arranger, parce que du coup ils ne vont plus m'aimer. Ça c'est encore un autre sujet, mais soyez vigilante avec ça, quand vous prenez une décision, ça n'a rien à voir. Le fait que vous coupiez ce process n'a rien à voir avec le désamour que vous aurez pour vos parents. On peut aimer ses parents et couper une réalité. On peut aimer ses parents et être déloyal envers leurs pensées. On peut aimer ses parents et avoir nos propres pensées, choisir de nouvelles croyances. Ok ? Donc pour faire le topo, la première des choses, c'est que vous alliez repérer la scène et le ressenti du moment où vous avez eu le déclic de la musique. misère en fait. Quelles ont été les parties de votre vie ? Alors ça peut être une scène, une parole, une situation, un mot, un écrit, peu importe ce que c'est, allez chercher l'endroit où ça s'est accroché à vous en fait et où c'est devenu petit à petit votre lifestyle même en étant enfant. La deuxième des choses c'est de comprendre que cette croyance que vous avez eue parce que vous l'avez prise de l'extérieur, vous l'avez mise à l'intérieur de vous, c'est cette croyance qui nous a mis à vivre. ne vous appartenait pas, qui est devenu votre réalité. En l'occurrence, la croyance de la misère, que c'est la vie, que c'est comme ça, qui est devenu votre réalité. Vous devez mettre ça en conscience. C'est une croyance extérieure que vous avez fait, votre réalité intérieure, votre vie, votre croyance à vous. Troisièmement, est-ce que cette croyance que j'ai prise de l'extérieur à Pierre, Paul, Jacques, à ma mère, à mon père, à qui que ce soit, est ma croyance, est-ce que c'est la réalité ou est-ce que c'est leur réalité ? réalité, mais que j'ai faite mienne parce que j'ai pris leur croyance comme la mienne. Et quelle est donc, pour finir, la croyance que je veux moi choisir délibérément, que je décide de choisir délibérément cette nouvelle croyance à propos de l'argent, si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, mes soeurs, mes frères, de ceux qui vous ont en fait matrixé la tête pour, mais sans vouloir. Vous savez, il y a un truc, c'est que ce n'est pas une question... de ne pas aimer. Les parents, à l'époque, n'étaient pas, je le dis clairement, n'avaient un éveil. Et même moi, en tant que parent, si j'étais parent aujourd'hui, ça serait complètement différent. Aujourd'hui, j'ai un éveil, j'ai une conscience, j'ai une ouverture d'esprit qui est complètement différente de celle que j'avais quand j'avais 23 ans, le jour où j'ai fait ma fille. Donc, je lui ai inculqué des saloperies. sans même le vouloir, mais parce que j'en avais même pas conscience, parce que pour moi c'était la vie et que la vie je la transmettais à ma fille de la façon dont moi je l'avais vécue, j'avais pas d'autres expériences, pas d'autres références et encore moins l'ouverture d'esprit nécessaire à la compréhension des choses. Donc on peut même pas en vouloir à nos parents, moi je m'en veux moins, mais je peux même pas m'en vouloir moins parce qu'à l'époque je n'avais pas les ressources pour faire les choses autrement, différemment, ni à propos de... de mes pensées ni à propos de mes croyances. Si j'avais eu l'ouverture d'esprit que je vous partage aujourd'hui quand j'avais 10 ans ou 8 ans, ça se serait passé complètement différemment. et si mes parents avaient eu mon ouverture d'esprit quand moi j'étais enfance il ne se serait jamais produit des choses pareilles donc on ne peut en vouloir à personne et d'ailleurs c'est même pas nécessaire d'en vouloir à qui que ce soit l'idée c'est qu'aujourd'hui vous avez conscience que vous êtes en mesure de changer d'être complètement maître de vos Pensez. Vous êtes maître de ce que vous pensez, vous êtes maître de ce que vous croyez et c'est quand vous prenez conscience de ça que vous commencez à transcender votre vie et surtout votre relation à l'argent, vos croyances à propos de l'argent et votre vie face à l'argent. Même quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, on peut tout à fait, et vous pouvez le faire dès maintenant, c'est ça qui est extraordinaire. Vous êtes en mesure de le faire tout de suite. Donc vous pouvez, quel que fût notre passé, à partir du moment où dans le présent on en a conscience, on peut transformer notre futur. De façon très légère, de façon très aimante, de façon extraordinaire, de façon complètement excitante, joyeuse, abondante. Il s'agit juste de reprendre les choses au départ et puis de répondre à nos bonnes questions à nous pour notre meilleur à nous. Voilà, ça sera tout pour cet épisode de podcast. Ali, j'espère que ça t'a fait des déclics. J'espère qu'à partir de maintenant, Ali, évidemment toi, et puis toutes les autres et tous les autres auditeurs et auditrices de ce podcast vont avoir... le cœur en joie de comprendre la façon avec laquelle on peut transformer les choses, en tout cas, par rapport à notre perception de l'argent pour créer notre meilleure vie. Je vous souhaite une très très bonne journée, un excellent dimanche et puis je vous dis à bientôt. N'hésitez pas à me donner vos commentaires, votre point de vue. Vous pouvez m'envoyer des DM sur Instagram. Abonnez-vous sur Insta parce qu'on parle beaucoup de choses comme ça sur Instagram, dans mes posts. Donc, pensez à vous abonner sur Insta. je vous embrasse très très fort et puis je vous dis à dimanche prochain ciao ciao

Description

Dans cet épisode, je vous emmène là où se créent vos programmations, y compris celles au niveau de l'argent, pour les débusquer et les transformer.


Enormément de femmes se sabotent avec l'argent, alors vous trouverez :


  • mon histoire personnelle à propos de l'argent

  • pourquoi on se sabote autant avec l'argent

  • ce que j'ai fait pour transformer la situation

  • comment se libérer du trauma de pauvreté ( en 4 questions de coaching)

    Abonnez vous à @elodieflorenti sur Insta pour partager votre avis avec nous


OFFERT:

🎁LE GUIDE DU BUSINESS ALIGNÉ : https://elodieflorenti2.systeme.io/guidealignement

LES COURS :

Pour démarrer ...
LA VRAIE STRUCTURE D'UN BUSINESS A SUCCES :https://choisirdereussir.com/structure-du-succes/

En profondeur...
THE LINE : https://choisirdereussir.com/the-line/


🤩Tous Les programmes : https://choisirdereussir.com/programmes/ 


Me rejoindre sur:

🔥Facebook :  https://www.facebook.com/elodie.florenti 

🔥Insta https://www.instagram.com/elodieflorenti/

🔥Threads: https://www.threads.net/@elodieflorenti


--------------


Hellooooo et bienvenue ! Je m'appelle Elodie FLORENTI , ça fait presque vingt ans que je suis en business et que j'aide les entrepreneuses badass qui ne se retrouvent pas dans les codes et les règles du business conventionnel à développer le leur, à leur façon. Grâce à leur identité non censurée, oui oui !


Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous motiver, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

Le succès de votre business commence là où s'arrête votre auto-censure.

Soyez la bienvenue !


xo, Love, Elo 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Hello et bienvenue sur le podcast Femme Premium, je m'appelle Elodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au pot-en pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Aujourd'hui, on va parler d'abord, bienvenue, mais pourquoi je zappe comme ça les bienvenus ? Mais ça ne va pas ou quoi ? Donc bienvenue à toutes celles et ceux qui nous rejoignent. Bienvenue aux nouvelles auditrices et aux nouveaux auditeurs du podcast. Et puis à toutes ces personnes, toutes ces auditrices et auditeurs qui écoutent les épisodes, les uns après les autres inlassablement depuis le début. Je vous aime, je vous remercie tellement d'être... fidèle à ce point de m'envoyer des messages à chaque fois. Donc voilà, c'est un truc que j'oublie... En fait, ce n'est pas que j'oublie de le dire, c'est que je suis tellement aux prises de mes contenus et de ma thématique pour ne pas partir dans tous les sens, que ben ouais, je nexte mon cerveau. Je ne sais pas, parfois il est très con. Je vous assure. Que j'entende personne me dire Ah oui, Mélo, ça dépend comment tu te parles, il ne faut pas que je te parle comme ça. Eh bien oui, il y a des fois, je suis obligée de lui balancer. une vanne pour qu'il s'arrête un peu. Donc, alors on va y aller tout de suite. J'ai pris la décision. Ce n'était pas prévu cet épisode, en fait. En tout cas, pas aujourd'hui. Mais finalement, il est arrivé un peu... Certainement parce que c'était le moment pour beaucoup de monde. Suite à un live que Laura, ma fille, avait fait sur TikTok. Et puis, il y avait une des super nanas de sa communauté qui posait une question. concernant l'argent, concernant l'autosabotage par rapport aux finances, comment se libérer du traumatisme de pauvreté quand on a vécu la pauvreté de l'enfance. Bref, ça tournait beaucoup autour de ce sujet. Puis il aurait dit, écoute, va demander plutôt à ma mère, c'est elle qui est là-dedans, pas moi. Et je me suis dit, ça pourrait être vachement sympa. Donc j'ai promis à Alice, je suppose que c'est Alice, Alicia ou Aline, je ne sais pas comment tu t'appelles vraiment. Mais en tout cas, non seulement ce... cet épisode est dédié et puis il est aussi dédié à toutes celles et ceux qui embarquent jour après jour dans leur business et puis dans leur vie, dans un schéma négatif de l'argent que moi je vais vous partager en fait le mien. pour que vous puissiez comprendre les tenants et les aboutissants de ce que je vais vous expliquer, et puis surtout pour vous aider à voir les choses autrement. Alors pour la faire très brève, je ne viens absolument pas d'une famille de gens riches, mais loin de là, loin, loin de là, je pars de très très loin, et je veux vraiment que vous entendiez les trucs, je ne suis pas en train de... de dramatiser les situations. Je veux juste poser un contexte et poser aussi, en même temps que je vous parle du mien, poser le vôtre aussi. Comme ça, vous allez pouvoir avancer en même temps que moi, de ma façon avec laquelle j'ai cheminé moi, pour pouvoir me libérer de ce sacré bordel. Parce qu'autant vous dire que d'avoir le poids de l'argent sur soi, Le poids de la pauvreté, le poids de la misère, le poids du manque d'argent sur soi, c'est surtout dans le business ultra, ultra difficile. Vous vous en doutez bien, ce n'est pas le fun. On est bien d'accord. Des fois, j'ai dit des choses absurdes, pardonnez-moi. Donc voilà le topo. Je viens évidemment d'une famille particulièrement pas riche. On ne va pas dire, je n'étais pas causette, mais on y est allé bien comme il faut. Et moi, j'ai des souvenirs qui m'ont marqué. Et j'ai 50 ans, bientôt 51 au mois de juillet. Je peux vous dire que ces souvenirs-là, je les ai comme si je les ai vécus la veille. Tellement ils m'ont impactée. Et pourtant, je pense que je devais avoir... je sais pas trois ou quatre ans pas plus que ça pour ce premier souvenir là où je voyais mes parents manger, enfin prendre un café au lait et du pain avec des tartines, bref avec de la confiture, comme un petit-déj en fait le soir. Et moi dans mon assiette, j'avais de la viande, des frites, des légumes, de la salade, etc. Et tous les jours, je demandais à mes parents comment ça se faisait que moi je mangeais un repas et eux mangeaient un différent repas. Puis même limite moi ça m'aurait intéressé d'aller manger des sucreries, donc le soir repas, petit-déj, tartines, ça aurait été très bien pour moi. et ma mère me disait tout le temps nous on ne digère pas ce qu'on a à manger le soir nous on ne peut pas manger ça on est obligé de manger ça comme ça parce que nous on ne digère pas toi tu es petite, tu as besoin de viande etc mais quand on est grand, on mange ça en fait Et j'ai très vite compris du mensonge absolu qui m'était balancé en pleine face. J'ai très vite senti qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. J'étais trop petite encore pour comprendre la réalité des choses, mais j'ai vraiment senti que quelque chose n'allait pas. Et puis, j'entendais très souvent, très souvent les discussions de mes parents à propos de l'argent, des difficultés, des difficultés financières, du mal qu'ils avaient à joindre les deux bouts, de mon père qui ne travaillait pas. et puis après il travaillait, puis il se plantait, enfin bref, c'était tout le temps le bordel. Et j'ai un deuxième souvenir, selon lequel, ben en fait c'était Noël, et moi j'étais... Aux prises, j'étais là-dedans, dans cette misère en fait. Et puis à Noël, j'ai vu je ne sais pas combien de cadeaux au pied du sapin. Je n'ai pas exactement les souvenirs, mais c'était rempli. Il y en avait partout, partout, partout. Et au lieu de bien le prendre, au lieu d'être heureuse de ces cadeaux-là, je me suis sentie en trop. C'est la première fois de ma vie avec ces histoires de repas où j'avais vraiment la sensation de me sentir en trop, d'être venue là, pas au bon moment, même de ne pas être bienvenue. Parce que tout ce que je voyais, c'était le sacrifice, le sacrifice que mes parents faisaient pour moi, les choses qu'ils faisaient à cause de moi. Et je me disais très souvent que si je n'étais pas venue, si je n'étais pas là. Il n'aurait pas eu à se sacrifier. en d'autres termes, c'est à cause de moi qu'il se sacrifie. Et moi, je l'ai perçu comme ça. À aucun moment, j'ai trouvé quelque chose de bénéfique dans cette façon de procéder. Parce qu'au lieu de me dire, waouh, comme tous les enfants, mon Dieu, j'ai plein de cadeaux, et en rester là, je me suis sentie tellement mal. Et je pense que j'ai ancré un mécanisme de déni, de refus, de rejet complet. par rapport à l'argent. Et même quand je vous le dis là, c'est quelque chose qui m'a suivi pendant des années parce que pour moi, l'argent était égal au fruit du sacrifice et moi, je ne voulais que personne se sacrifie pour moi. Et je veux vraiment, Ali, et puis vous autres qui entendez ce que je suis en train de vous dire, de vous faire votre petite histoire, ce petit chemin-là. C'est comme si on faisait un coaching, ok ? De refaire vous-même cette histoire du à quel moment l'argent... est devenu le mal bien avant qu'on vous dise tout le temps quelle est la situation précise selon laquelle vous avez senti qu'il y avait une espèce de fracture une espèce de plus que de malaise, mais de honte, de gêne, de culpabilité, de sacrifice à propos de l'argent. À quel moment vous avez senti ça ? C'est quoi la situation ? Rappelez-vous de cette situation-là. Je sais qu'elle pique, je sais qu'elle fait mal. Moi, quand je la raconte, là, je me contiens parce que je fais la grande, mais les larmes, elles me montent, et pas du tout. ou à cause du moins de la misère ou de ci ou de la situation de pauvre, de causette, etc. Pas du tout. C'est que je me souviens du sentiment extrêmement indélicat et douloureux que j'ai ressenti dans ces moments-là. Et puis, je pourrais vous en raconter 50 000 autres, mais alors, ce n'est pas un podcast qu'on pourrait faire, c'est un film. Donc, je vais rester sur ces deux exemples très frappants et très marquants pour moi. Donc, la première des choses, c'est aller regarder quels sont les souvenirs, les choses qui ont été ancrées en vous, les choses qui se sont attrapées à l'intérieur de vous comme des mécanismes qui sont devenus, en fait, une réalité et un lifestyle. Parce que c'est ça dont il s'agit. Quand on a des problématiques, surtout, et qu'on s'auto-sabote face à l'argent, c'est que derrière l'auto-sabotage, il y a une situation. et une situation sur laquelle vous avez collé des étiquettes. Alors moi, je vous parle de la mienne, humiliation. Je me suis sentie en fait humiliée, mais c'est sur d'autres sujets. Je me suis sentie humiliée, mais c'est surtout le sacrifice. Argent égale sacrifice. Et quand l'argent est un sacrifice pour vous, quand vous collez l'étiquette que vous allez coller, que ce soit sacrifice ou autre chose, on est bien d'accord, sur l'argent, il va se passer quoi ? Il va se passer que tout le long de votre vie, vous n'allez pas... vous allez éviter de ressentir l'émotion que ça vous a amené l'argent. Et c'est comme ça qu'on fonctionne tous en fait. Et que ce soit à propos de l'argent, que ce soit à propos de l'amour, que ce soit à propos de l'abondance, que ce soit à propos des relations, du travail, de n'importe quoi, je le dis tout le temps, c'est que derrière ce que vous n'arrivez pas à transformer, il y a une peur. et une blessure. Et je ne vais pas m'étaler là-dessus, je pourrais en faire un autre épisode de podcast, mais on parle beaucoup de blessures de l'âme, mais moi j'ai surtout envie de parler de blessures de l'ego qui ont touché l'âme. Et ça n'a plus rien à voir. Parce que souvent on se dit, oh j'ai une blessure de l'âme, qu'est-ce que t'as comme blessure, la blessure de l'abandon, c'est venu toucher ton âme. Moi je peux vous dire que ça touche bien avant l'âme, ça touche l'ego. Parce que quand on se sent abandonné, c'est notre ego qui en prend un coup. Quand on se sent rejeté, c'est notre égo qui en prend un coup. Quand on se sent humilié, c'est notre égo qui en prend un coup. N'importe quelle blessure dont on pourra parler. Je vais revenir à nos moutons, je vais revenir au centre. Donc c'est la première des choses à faire, d'aller regarder l'étiquette qu'on est allé mettre, parce que toute notre vie, c'est cette étiquette émotionnelle qui va nous empêcher, qui va faire créer l'autosabotage. Ça, c'est la première des choses. Puis la deuxième des choses, c'est que quand on va... vérifier quand on va se souvenir. Je sais que ce n'est pas facile. Je sais que c'est parfois extrêmement douloureux, mais on va y aller parce que parfois, vous savez, on a appris que, oh là là, changer les choses, c'était très difficile et c'est la vérité. Il y a des choses qui sont très douloureuses, très, waouh, rentre dedans, a changé. Mais je vous garantis que ce que vous vivez aujourd'hui est bien plus douloureux que de changer votre réalité intérieure. Mon business se situe sur... si le succès de ton business, c'est en fait changer. ta réalité intérieure. Et vous pouvez l'accorder à n'importe quelle des situations, que ce soit dans votre vie perso, sur l'argent, sur n'importe quoi. Changez votre réalité intérieure. C'est la base de la transformation. C'est à partir de là que vous transformez les choses. Donc, quand on s'autosabote, c'est pourquoi ? C'est parce qu'on a gardé l'empreinte énergétique, l'empreinte émotionnelle de ce qu'on a vécu et qui a fait, là pour Ali, elle disait, quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, en fait... quelles sont les situations qui ont été marquées, quelles sont les situations qui ont déchiré notre égo et notre cœur et qui ont fait de nous quelqu'un qui n'a pas été en accord, en lien avec ce qu'on vivait et qui a transformé qui on était vraiment en quelqu'un qui a dû s'adapter. à cette façon de vivre parce qu'on a cru que c'était la réalité. Et c'est vraiment la deuxième chose. C'est cette croyance, ces pensées qu'on a eues de nous qui ont cassé notre identité. Ça veut dire que l'identité qu'on avait, nous, on était tranquille quand on était enfant. On n'avait pas de problème de pauvreté, on avait problème de rien, en fait. On était peinard. Et moi, c'est ça que j'appelle identité premium. C'est cette réalité de départ, cette réalité avec laquelle nous sommes venus, cette identité avec laquelle nous sommes venus avant qu'on ait des emmerdes qui ont éteint notre lumière. Avant qu'on ait des emmerdes qui ont créé l'autosabotage, avant qu'il y ait des choses qui sont venues de l'extérieur qu'on nous a appris par expérience, par vécu ou par n'importe quoi, qui ont fait qu'on est venu autosaboter et qu'on est venu adapter cette identité extraordinaire en une identité de merde, on ne va pas se le cacher, en une identité low cost, complètement limitée, complètement saturée, qu'on a faite, qu'on a créée, qu'on a modelée, qu'on a adaptée pour pouvoir survivre. il n'y a pas moyen de faire autrement. C'est vraiment une question de survie que de s'auto-saboter. Ce n'est pas une peine, ce n'est pas une méchanceté que vous vous faites. C'est à l'intérieur qui dit Wow, attends, pour survivre à la vie que je suis en train de mener, je n'ai pas le choix que de m'auto-saboter. Je n'ai pas le choix que de devenir la misérable, que de devenir la sacrifiée. que de devenir la miséreuse, que de devenir la causette, que de devenir celle qui s'adapte en fait à la vie qu'on lui a filée. Donc cette deuxième chose, c'est tout simplement comprendre que vous avez transformé cette croyance que vous aviez en la réalité absolue. J'ai cru, j'ai cru, en fait, on m'a montré sur un plateau par A plus B que la vie était la pauvreté, que la vie devait être la misère, que je devais, que la vie, on me l'a montré en tant que quelque chose de difficile, de compliqué, de miséreux, de misérable, je ne sais même pas comment on pourrait le dire plus que ça, mais qu'en tout cas... le manque était bien là et que c'était ça, la vie. Donc après ça, la troisième des choses, c'est qu'il va... Ça va demander un petit challenge au niveau du questionnement de nos croyances. Est-ce que cette croyance que vous avez à propos de l'argent, cette croyance négative, cette croyance à propos de vous et de l'argent, de la vie et de l'argent, est-ce que... C'est la réalité absolue ou est-ce que c'est tout simplement une réalité, une croyance selon l'histoire de ceux qui vous l'ont raconté ? Par exemple, je peux dire aujourd'hui que ce que j'ai vécu par rapport à l'argent dans mon enfance est devenu une réalité. Parce que j'ai cru que c'était la réalité. Or, aujourd'hui, je suis très en mesure de vous dire que ce n'est pas la réalité absolue, c'est juste la réalité de mes parents à travers leurs histoires, leurs vécus, leurs expériences, qui m'ont projeté leur vision de l'argent et de la vie en pleine figure, sans que moi j'ai eu droit à donner mon avis. Parce que quand on est jeune et enfant, on ne peut pas se donner un avis sur l'argent, on ne peut pas se donner un avis sur la vie. On vit. On vit avec l'innocence la plus pure et la plus extraordinaire qui soit, puis il y a des choses qu'on nous amène, et comme on n'a pas le recul, et puis qu'on n'a pas non plus le cerveau suffisamment en place à l'âge qu'on a pour pouvoir gérer, calculer, voir un petit peu ce qui se passe ou pas, on le prend comme une vérité absolue, comme un acquis. Donc la question c'est, est-ce que cette croyance à propos de l'argent et de moi, à propos de la vie et de l'argent, à propos de la misère, à propos de tout ce que l'on veut, c'est une... Croyance absolue que j'ai, est-ce que c'est ma croyance ou est-ce que c'est leur croyance à propos de l'argent ? Ou est-ce que c'est leur vie à eux à propos de l'argent ? Donc très clairement, moi quand je me suis posé cette question, c'est inévitable de se dire, mais attends, non non, moi je ne veux pas croire ça, c'est eux qui l'ont cru, c'est leur vie, c'est leur problème, déjà que je me le suis empaigué alors que je n'ai rien demandé, je n'ai jamais demandé à croire à ça, je n'ai jamais demandé à m'imaginer que la vie pourrait être aussi misérable. Je n'ai jamais demandé à ce que ma vie, on me la montre en tant que l'enfer financier. Donc la suite qui m'est venue, mais juste machinalement, ça a été, mais en fait, du coup, qu'est-ce que je veux croire ? C'est quoi la croyance que je veux avoir au final à propos de l'argent ? Si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, de plus personne, si je remets l'argent à un niveau super neutre, mais qu'est-ce que j'ai envie de croire à propos de l'argent ? Et je peux vous dire que je ne me suis pas, ça n'a pas du tout... J'aurais trois secondes pour qu'il me sorte des tonnes et des tonnes de trucs extraordinaires à propos de l'argent. Que l'argent, si j'en voyais plein qui en avaient, pourquoi moi je n'en aurais pas ? C'était possible pour moi de le faire. Ça pourrait être beaucoup plus facile et confortable pour moi d'en avoir que de ne pas en avoir. Que ça pouvait être une super idée d'avoir de l'argent, que l'argent était bénéfique, que l'argent, ce n'est pas vrai, que ça ne pouvait pas être du sacrifice, qu'on pouvait avoir de l'argent et ne pas se sentir ni... ni sacrifier, ni sacrifier quelqu'un pour ça. Bref, il y a toute une salve de trucs qui m'est revenue. C'est un peu comme si toutes les pièces de puzzle se remettaient en place. Et c'est à partir de là que j'ai commencé à voir les choses complètement différemment. Donc, le truc, c'est vraiment d'aller chercher quelle est la croyance à propos de l'argent, à propos de l'argent et de moi, à propos de l'argent et de la vie, à propos de l'argent et du business, à propos de l'argent et du succès. C'est quoi cette croyance que je veux avoir ? de façon délibérée et consciente. C'est quel est le chemin que je veux faire prendre moi aujourd'hui à l'argent. Je vous rappelle un truc, c'est que si on n'est pas maître de beaucoup de situations, et notamment celles de nos parents, de notre vécu, de notre passé, on a une maîtrise absolue sur nos pensées, sur nos choix, sur nos décisions, de ce qu'on veut penser, de ce qu'on veut croire à nouveau, des émotions qu'on veut ressentir maintenant. Ça c'est très important de le comprendre. Parce qu'à partir du moment où vous êtes conscient de ça, que vous avez la main complète sur vos pensées, que vous avez la main complète sur la transformation de vos pensées, sur ce que vous voulez penser, sur ce que vous voulez croire, ça va changer littéralement votre vie. Donc l'idée, si vous êtes tellement aux prises, parce que moi, le truc c'est que très rapidement j'ai vu que, oh là là, ce que moi je veux croire de l'argent, ce n'est pas du tout ce que j'ai expérimenté à propos de l'argent, ni ce qu'on m'a fait croire à propos de l'argent, je veux croire autre chose, plein de... C'est une belle chose, mais la suite, c'est que quand on est ancré pendant des années dans la misère, dans le manque d'argent, il y a deux choses qui vont se passer. Même quand on a le pouvoir de changer nos pensées, c'est possible qu'il y ait un temps de latence parce que le cerveau a besoin de... travailler cette nouvelle croyance, il a besoin de croire en cette nouvelle croyance, il a besoin de temps pour croire à cette nouvelle croyance. On ne peut pas se dire, tiens, je décide de croire que ça va aller, que l'argent est devenu extraordinaire. Quand on a vécu 20, 30 ans dans la misère, ce n'est pas en trois secondes et demie que ça se passe. Par contre, la décision se prend en une fraction de seconde. À partir de maintenant, je décide que l'argent a une autre allure envers moi. À partir de maintenant, je décide de faire entrer l'abondance chez moi. Que l'argent vienne facilement. de plein d'endroits et de façons différentes à travers moi. Que je sois l'argent, que je sois celle qui soit en mesure de tenir l'argent, l'énergie de l'argent, la beauté de l'argent, l'amour de l'argent. Et l'amour de l'argent, croyez-moi, ça n'a rien de cupide, ça n'a rien de perfide, ça n'a rien de démoniaque. L'amour de l'argent, ce n'est pas l'amour de l'argent pour l'argent. C'est l'amour que l'argent nous permet de traverser et par rapport à toutes les choses qu'on va pouvoir atteindre. Ce à quoi on va pouvoir accéder, c'est cet amour-là dont je parle. C'est l'amour de l'argent en signe de reconnaissance de l'abondance à travers l'univers, à travers Dieu. Oui, merci Dieu, je reconnais que je suis en mesure d'avoir de l'argent. Merci pour ça. Merci pour l'amour que tu me laisses en mesure d'apporter à l'argent. Si jusqu'à maintenant, je n'ai pas été en mesure de l'aimer, point barre. Donc ce qui va se passer aussi, c'est que le cerveau, évidemment, il va aller chercher des preuves. Et moi des preuves que c'était possible je n'en voyais qu'à la télé, je n'en voyais que dans les livres, je n'en voyais que sur les réseaux sociaux, enfin à l'époque on était vraiment au bris des réseaux sociaux, c'est-à-dire en 2000, ça fait quand même un temps, putain je suis super vieille en fait. Et ce qui va se passer aussi c'est que ce cerveau qui va aller chercher les preuves, souvent il va aller les trouver les preuves que c'est possible mais on va avoir du mal à croire que c'est possible pour nous. Et ça vous le voyez, j'en ai beaucoup parlé dans The Line, dans ce programme que vraiment, allez voir ce programme qui est extraordinaire, que j'aime par-dessus tout et dans lequel je suis très fière parce que là-dedans, il y a vraiment un bijou absolu, enfin il y a huit bijoux absolus selon les huit thématiques et je pense que j'en rajouterai, c'est possible que j'en rajoute au fur et à mesure. Donc il va aller chercher des preuves et puis il va mettre du temps pour comprendre que c'est possible, mais que c'est aussi possible pour moi, mais que c'est aussi possible pour moi. pour moi maintenant. Et le possible pour moi maintenant, ça m'a fait comme un déclic parce que la seule chose à laquelle j'ai pu me raccrocher pour que ce soit possible pour moi maintenant, c'est à mon désir de changer les choses et à ma décision de les changer maintenant. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que quand j'ai compris que mon cerveau me disait Ah ouais, tu veux que ce soit possible pour toi maintenant ? Vas-y, montre que c'est possible pour toi maintenant. Mais je n'y arrivais pas en fait. Je n'y arrivais pas parce que Parce que ce que je voyais, c'était pour les autres que je le voyais. C'était les autres qui avaient de l'argent, c'était les autres qui étaient riches. C'était les autres qui me parlaient que l'argent était bien. Mais moi, je n'avais pas de preuves que c'était possible pour moi. Donc la seule chose que je suis allée chercher pour que ça devienne possible pour moi, c'est de me dire parce que je l'ai décidé. Parce que je l'ai décidé, parce que c'est un acquis de naissance. Je n'aime pas dire le droit de naissance, parce que qui dit droit de naissance, dit non droit. Qui dit droit, j'ai le droit de faire, aussi je peux ne plus avoir le droit. Et moi, c'est un truc qui ne m'allait pas là-dedans. donc là-dedans, slash même mon cerveau, donc je l'ai transformé pour que ça me convienne en acquis de naissance. Ce n'est pas une question de droit ou de non-droit, c'est une question que je sais acquis. Je suis venue avec ce bagage-là, de l'abondance et de l'argent en illimité, point final. Et c'est vraiment à ça que je me suis raccrochée pour avoir la preuve absolue, interne, intérieure, que ça allait se réaliser. Et c'est vraiment tout. Là, je viens de vous détailler ma manière d'en... Les moindres détails, je pense, il y a encore des choses, mais en gros, c'est ça, avec laquelle, ce que j'ai utilisé, moi en tout cas, pour pouvoir transformer cet auto-sabotage en merveille, en libération absolue à propos de l'argent, en facilité d'obtenir de l'argent, de créer de l'argent, de générer de l'argent, parce que je suis sortie du cadre. Alors, je pense que si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que j'embarque, moi, mes... deux versions, ma version low cost et ma version premium. Ma version premium, c'est celle avec laquelle je suis venue depuis le premier jour au monde. C'est une version complètement illimitée, complètement non censurée, abondante. de base abondante par la genèse Nous sommes arrivés complets, nous sommes arrivés abondance, nous sommes arrivés amour, nous sommes arrivés illimités, nous sommes arrivés joie et bonheur. C'est de cette façon que chaque bébé qui sort du ventre de sa maman arrive. On ne va pas commencer à parler du transgénérationnel, du karma, des machins, etc. Je parle juste de façon très neutre. Le bébé qui arrive, évidemment, qui transporte les trucs de sa maman, on est bien d'accord avec ça. Mais je veux parler de façon très simple, très schématisée, très neutre. Un bébé qui sort du ventre de sa maman. sort dans son identité premium, illimitée, abondante, non censurée, sans filtre, sans peur, sans quoi que ce soit. Et c'est au fur et à mesure de la vie, de ce qu'on lui apporte, de ce qu'on lui partage, de ce qu'on lui, malheureusement, propose comme croyance, comme pensée, comme façon, c'est juste en fait qui nous devenons et la projection de qui nous a élevés, de qui on a été en train de nous faire croire. entouré, etc. Et c'est là qu'on arrive dans notre version low cost. Et ce qui m'a toujours interpellé, moi, c'est de comprendre, c'est ça qui m'a aussi mis la puce à l'oreille, de me dire, mais putain, si on arrive ici, en illimité, sur des rives non censurées, qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui, on a des croyances de merde, des pensées de merde, des idées de merde, avec des blocages de merde, mais c'était insupportable pour moi. Et c'est là que je me suis dit, mais il y a un problème quelque part. Il y a un problème quelque part parce que... Moi, je ne suis pas arrivée de cette façon-là. Et il n'est absolument pas question que je continue un espèce de process ou une espèce de vie qui ne me correspond pas, dans laquelle je n'ai pas envie d'aller. J'ai envie d'avoir de l'argent. J'ai envie de faire ma best life. Oui, c'est de ça que j'ai envie. Je vais l'assumer. Je le désire. Et c'est comme ça. Ce n'est pas autrement. Et je ne blesserai personne. Ça aussi, c'est important que vous le sachiez. De ne pas avoir peur de blesser les gens pour lesquels ou qui vous ont appris des choses. et pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord en fait. Ces choses pour lesquelles vous n'êtes plus d'accord, il y a un moment où il va falloir y renoncer, et sans avoir peur que de dire, waouh, si je n'écoute plus, si je ne suis plus le process de la vie de ma mère ou de mon père, si je ne suis plus d'accord avec ça, je rentre dans une espèce de déloyauté familiale qui ne va pas m'arranger, parce que du coup ils ne vont plus m'aimer. Ça c'est encore un autre sujet, mais soyez vigilante avec ça, quand vous prenez une décision, ça n'a rien à voir. Le fait que vous coupiez ce process n'a rien à voir avec le désamour que vous aurez pour vos parents. On peut aimer ses parents et couper une réalité. On peut aimer ses parents et être déloyal envers leurs pensées. On peut aimer ses parents et avoir nos propres pensées, choisir de nouvelles croyances. Ok ? Donc pour faire le topo, la première des choses, c'est que vous alliez repérer la scène et le ressenti du moment où vous avez eu le déclic de la musique. misère en fait. Quelles ont été les parties de votre vie ? Alors ça peut être une scène, une parole, une situation, un mot, un écrit, peu importe ce que c'est, allez chercher l'endroit où ça s'est accroché à vous en fait et où c'est devenu petit à petit votre lifestyle même en étant enfant. La deuxième des choses c'est de comprendre que cette croyance que vous avez eue parce que vous l'avez prise de l'extérieur, vous l'avez mise à l'intérieur de vous, c'est cette croyance qui nous a mis à vivre. ne vous appartenait pas, qui est devenu votre réalité. En l'occurrence, la croyance de la misère, que c'est la vie, que c'est comme ça, qui est devenu votre réalité. Vous devez mettre ça en conscience. C'est une croyance extérieure que vous avez fait, votre réalité intérieure, votre vie, votre croyance à vous. Troisièmement, est-ce que cette croyance que j'ai prise de l'extérieur à Pierre, Paul, Jacques, à ma mère, à mon père, à qui que ce soit, est ma croyance, est-ce que c'est la réalité ou est-ce que c'est leur réalité ? réalité, mais que j'ai faite mienne parce que j'ai pris leur croyance comme la mienne. Et quelle est donc, pour finir, la croyance que je veux moi choisir délibérément, que je décide de choisir délibérément cette nouvelle croyance à propos de l'argent, si je ne tiens plus compte de l'histoire de mes parents, mes soeurs, mes frères, de ceux qui vous ont en fait matrixé la tête pour, mais sans vouloir. Vous savez, il y a un truc, c'est que ce n'est pas une question... de ne pas aimer. Les parents, à l'époque, n'étaient pas, je le dis clairement, n'avaient un éveil. Et même moi, en tant que parent, si j'étais parent aujourd'hui, ça serait complètement différent. Aujourd'hui, j'ai un éveil, j'ai une conscience, j'ai une ouverture d'esprit qui est complètement différente de celle que j'avais quand j'avais 23 ans, le jour où j'ai fait ma fille. Donc, je lui ai inculqué des saloperies. sans même le vouloir, mais parce que j'en avais même pas conscience, parce que pour moi c'était la vie et que la vie je la transmettais à ma fille de la façon dont moi je l'avais vécue, j'avais pas d'autres expériences, pas d'autres références et encore moins l'ouverture d'esprit nécessaire à la compréhension des choses. Donc on peut même pas en vouloir à nos parents, moi je m'en veux moins, mais je peux même pas m'en vouloir moins parce qu'à l'époque je n'avais pas les ressources pour faire les choses autrement, différemment, ni à propos de... de mes pensées ni à propos de mes croyances. Si j'avais eu l'ouverture d'esprit que je vous partage aujourd'hui quand j'avais 10 ans ou 8 ans, ça se serait passé complètement différemment. et si mes parents avaient eu mon ouverture d'esprit quand moi j'étais enfance il ne se serait jamais produit des choses pareilles donc on ne peut en vouloir à personne et d'ailleurs c'est même pas nécessaire d'en vouloir à qui que ce soit l'idée c'est qu'aujourd'hui vous avez conscience que vous êtes en mesure de changer d'être complètement maître de vos Pensez. Vous êtes maître de ce que vous pensez, vous êtes maître de ce que vous croyez et c'est quand vous prenez conscience de ça que vous commencez à transcender votre vie et surtout votre relation à l'argent, vos croyances à propos de l'argent et votre vie face à l'argent. Même quand on a vécu la pauvreté dans l'enfance, on peut tout à fait, et vous pouvez le faire dès maintenant, c'est ça qui est extraordinaire. Vous êtes en mesure de le faire tout de suite. Donc vous pouvez, quel que fût notre passé, à partir du moment où dans le présent on en a conscience, on peut transformer notre futur. De façon très légère, de façon très aimante, de façon extraordinaire, de façon complètement excitante, joyeuse, abondante. Il s'agit juste de reprendre les choses au départ et puis de répondre à nos bonnes questions à nous pour notre meilleur à nous. Voilà, ça sera tout pour cet épisode de podcast. Ali, j'espère que ça t'a fait des déclics. J'espère qu'à partir de maintenant, Ali, évidemment toi, et puis toutes les autres et tous les autres auditeurs et auditrices de ce podcast vont avoir... le cœur en joie de comprendre la façon avec laquelle on peut transformer les choses, en tout cas, par rapport à notre perception de l'argent pour créer notre meilleure vie. Je vous souhaite une très très bonne journée, un excellent dimanche et puis je vous dis à bientôt. N'hésitez pas à me donner vos commentaires, votre point de vue. Vous pouvez m'envoyer des DM sur Instagram. Abonnez-vous sur Insta parce qu'on parle beaucoup de choses comme ça sur Instagram, dans mes posts. Donc, pensez à vous abonner sur Insta. je vous embrasse très très fort et puis je vous dis à dimanche prochain ciao ciao

Share

Embed

You may also like