Ep 115 : Echecs, blessures, peurs, croyances limitantes? Ce ne sont pas des gros mots ! cover
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FEMME PREMIUM

Ep 115 : Echecs, blessures, peurs, croyances limitantes? Ce ne sont pas des gros mots !

Ep 115 : Echecs, blessures, peurs, croyances limitantes? Ce ne sont pas des gros mots !

19min |07/04/2024
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Description

On est tellement conditionnées par le discours des autres qu’on s’empêche de penser avec notre libre arbitre.

On dirait que là aussi, on pas le « droit » de penser certaines choses, qu’il faut les penser d’une certaine manière.


Echec? Peur? Pensées et croyances limitantes? Blessure? Et si, au lieu de les romantiser pour éviter de souffrir, on se disait juste que c'est ok, c'est normal , ça arrive... et que non seulement ce n'est pas grave, mais qu'en plus, ça ne nous empêchera jamais de réussir quand on sait regarder la réalité en face pour shifter?


Je vous laisse avec cet épisode game changer.


Vous appréciez? Merci de laisser ⭐⭐⭐⭐⭐ 5 étoiles sur le podcast, vous lui permettez d'être plus écouté et de servir de plus en plus d'entrepreneuses chaque semaine!



RESSOURCES :


Pensez à télécharger les 33 principes PREMIUM pour manifester votre business à succès :
https://elodieflorenti2.systeme.io/33principes


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--------------

Hellooooo et bienvenue ! Je m'appelle Elodie FLORENTI , ça fait presque vingt ans que je suis en business et que j'aide les entrepreneuses badass à manifester et développer leur business à succès.


Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


Et pour ça, j'ai du changer mon mon intérieur et ma réalité.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à assumer leurs vrais désirs, libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

Le succès de votre business commence là où s'arrête votre auto-censure.

Soyez la bienvenue !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Hello et bienvenue sur le podcast de Femme Premium, je m'appelle Élodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au potence pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Je suis ravie de vous retrouver sur ce nouvel épisode de podcast. Et puis aujourd'hui, on va y aller franco, direct. Non, je ne vais pas teaser, non, je ne vais rien faire d'autre. Je voudrais vous parler d'un truc que j'ai remarqué cette semaine en fait. concernant le discours des gens, en fait, qui sont comme si aujourd'hui... Je vais essayer de vous l'expliquer avec... Putain, ça ne va pas être facile. C'est comme si aujourd'hui, il y avait un certain discours à tenir. Puis que dans ce discours, les mots qu'on utilise dans le business, il faut faire attention, il faut les éviter, il ne faut pas trop en parler, il faut les détourner pour que ça passe mieux, etc. Puis moi, j'ai comme envie de vous dire aujourd'hui, je vais vous donner des exemples parce que là, j'ai l'impression de vous avoir dit que de la merde, on va être bien au clair. En fait, on est tellement conditionné par le discours des autres qu'on s'empêche de penser avec notre libre arbitre. Ça y est ? j'y suis. Comment vous dire ? On dirait qu'on n'a pas le droit de penser certaines choses, puis qu'il faut les penser d'une certaine manière. Et moi, je suis choquée de voir à quel point aujourd'hui, même ça, on est dans le contrôle, on est dans certaines paroles à avoir, ou surtout ne pas les avoir, comme ça portait malheur, tu sais. Et moi, ce que j'aime bien dans mon business, c'est appeler un chat un chat. Eh bien, un échec, par exemple, ben ouais, c'est un échec. On s'est ramassé, ouais, on a merdé, on s'est ramassé. Et alors ? À chacune d'y puiser sa leçon et l'apprentissage dedans. Mais un échec, ce n'est pas un gros mot. Je vais vous en donner d'autres, des exemples. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis je ne sais pas si vous avez remarqué, mais aujourd'hui, tout de suite, quand vous mettez le mot échec sur les réseaux sociaux, Ah oui, mais ce n'est pas un échec, c'est un apprentissage. Oui, mais ce n'est pas un échec, c'est une leçon. Ouais, ok, il n'y a pas de problème avec ça. Mais cette façon qu'on a de pousser les mots et puis de les détourner, de les mettre ailleurs, ça évite de voir la vérité en face. Et il n'y a rien de pire que de ne pas regarder la vérité en face. Et je vous dis ça, ce n'est pas pour vous faire du mal. On ne se fait pas du mal. Je ne suis pas là, moi, en train, si je merde quelque part, je me flagelle, j'ai fait un échec, je fais un échec. Non, next, on passe à autre chose, c'est OK, c'est normal, ça arrive, ça fait partie du jeu d'avoir des échecs. on ne met pas de poids, de valeur, d'intensité dessus. C'est un échec, basta, next step, on passe à autre chose. Et on en tire la leçon, oui. Et on apprend quelque chose là-dedans, absolument. Mais est-ce que ça veut pour autant dire que, oh là là, tout de suite, le mot échec doit être une leçon, un apprentissage ? Vous avez vu l'esquive ? L'esquive qui est inconsciente. Mais du coup, ça fait quoi en fait ? Et c'est ça qui me perturbe beaucoup dans le business parce que je vois que dès le moment... on prend l'habitude de détourner un mot, en fait, on n'est plus capable de le tenir. On n'est plus capable de l'accepter. On n'est plus capable... C'est comme si, oh là là, ça rend dans notre vie, c'est plus normal. Oui, oui, ça va, j'ai un échec, mais c'est une leçon. Mais, t'es capable de tenir un échec ? T'es capable de tenir un échec et de te dire, c'est OK, j'ai merdé. Parce que quand vous êtes capable de ça, vous êtes capable non seulement de comprendre la leçon, mais de lever votre leadership pour passer au-dessus. Je vais vous parler des peurs aussi. Une peur, ça fait flipper. Mais c'est une peur. Basta, point barre, et alors ? On a peur, c'est ok d'avoir peur. C'est pas grave d'avoir peur, c'est même normal d'avoir peur parfois. Et le truc, c'est ok de comprendre le signal. C'est ok de comprendre qu'une peur, c'est un signal vers quelque chose. Mais une peur, c'est pas un gros mot non plus. on a le droit d'avoir peur, on a le droit d'échouer. C'est même conseillé d'avoir peur et d'échouer. Parce que c'est quand vous regardez les choses en face, oui, j'ai peur, c'est OK. C'est pas, oui, mais la peur, c'est un signal. Mais ouais, mais j'ai peur en attendant. Ou j'ai subi un échec en attendant. Et c'est important, moi, de le faire descendre. Je dis toujours ça, en fait, à mes clientes. Faites descendre les choses. Parce que quand vous les faites descendre, vous les acceptez. Et quand vous les acceptez, vous êtes capables de vous en libérer. Et de dire, c'est OK. c'est ok, je marche derrière ça, c'est ok, il n'y a pas de problème. Oui, j'ai peur, je l'assume. Oui, j'ai un échec, je l'assume. Et vous voyez, ce genre de détournement, d'esquive des mots, c'est la meilleure façon de ne pas assumer les choses. Et quand on n'assume pas les choses, c'est vraiment galère pour le business. Je vais vous parler des croyances aussi. Alors là, les croyances de merde, c'est la totale. Une croyance de merde, je vous le dis tout le temps comme ça moi, c'est une croyance de merde. On a une croyance de merde et c'est ok d'avoir des croyances de merde. On est conditionné comme ça. On n'est pas né avec des croyances de merde. On nous les a inculquées, on a grandi avec, on les a apprises. On a eu un apprentissage, on a eu un bon truc de croyance de merde qui s'est élevé avec nous. Puis c'est ok d'avoir des croyances de merde. À chacune de nous de prendre conscience de cette croyance et de la changer. Mais une croyance de merde, ce n'est pas non plus un gros mot. La peur, ce n'est pas un gros mot. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis avoir une croyance de merde, ce n'est pas un gros mot non plus. Ce n'est pas grave. Et au lieu de détourner le truc en sachant... Je ne veux pas regarder que j'ai une croyance de merde parce que ce serait trop la honte, en fait. Je me sentirais tellement coupable. J'ai la honte. Je serais tellement déçue de moi-même si j'avais cette croyance-là et que les gens le savaient. Ce serait la honte, etc. Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Vous pouvez vous libérer, s'il vous plaît, de tous ces poids que vous vous imposez en permanence et qui, au lieu de vous pousser vers votre succès, vous retiennent au sol, attachés parce que les boulets sont trop lourds pour que vous puissiez avancer. Donc, une croyance de merde, bah oui, on l'a, on l'accepte, on l'assume, j'ai une croyance de merde, et alors ? Est-ce que ça va couper les jambes à quelqu'un ou à vous-même d'assumer ce genre de truc ? Parce que dès le moment où vous allez assumer ces choses-là, c'est vous... En fait, assumer, c'est le pas, c'est le shift, le pivot vers votre transformation. Je comprends, c'est ok, j'ai merdé, c'est ok, j'ai échoué. Mais levez-vous ce poids, libérez-vous de ce truc-là. Je vais vous parler des blessures aussi, parce que c'est vraiment les trucs que j'ai remarqués, c'est que les blessures aussi c'est pareil. Une blessure, vous savez j'ai travaillé dans un hôpital pendant des années, je vous garantis qu'une blessure ça fait mal. Oui, ça fait mal, et c'est ok. On peut avoir des blessures et on a le droit d'avoir mal d'avoir une blessure. Et alors ? C'est à chacune de nous. d'en prendre soin pour la guérir, cette blessure. Mais une blessure, ce n'est pas un gros mot. Ce n'est pas un handicap. Ce n'est pas un truc qui vous empêche d'avancer. C'est une blessure. Elle fait mal, on la soigne, effectivement. On la guérit. Mais ce n'est pas une raison de ne pas avancer. Et puis, ce n'est pas aussi un poids qui fait de vous quelqu'un de pas bien parce que vous avez une blessure. Vous savez, je pense qu'on les a toutes. Toutes les blessures. À un moment ou à un autre de notre vie, On les a eues, on les a. Moi je peux vous garantir que personnellement, blessure de rejet, oui. Blessure d'humiliation, oui. Blessure d'abandon, oui. Blessure de trahison, oui. Blessure d'injustice, oui. Plus, plus. Et alors, est-ce qu'on doit avoir honte ? Est-ce qu'on doit se sentir coupable ? Est-ce qu'on doit se taire ? Est-ce qu'on doit esquiver les mots blessure pour dire oui mais ça fait partie de ta vie, ça fait partie de... c'est ce qui t'a rendu forte aujourd'hui ? Oui, c'est vrai ! Mais est-ce que c'est une raison pour esquiver les mots ? Est-ce que c'est une raison pour cacher, pour tourner le dos aux vraies choses ? C'est beaucoup plus facile d'accepter et d'assumer les choses plutôt que de s'enfuir, de les fuir et de s'en détourner. parce que quand vous vous en détournez, quand vous les fuyez, quand vous transformez les mots, quand vous faites semblant que ce n'est pas vraiment une blessure, oui mais c'est une blessure, mais qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous ne regardez pas la vérité en face. Et le succès en général dans votre business, votre développement d'affaires, votre expansion dans le business, votre prospérité, votre succès, bref, tout ce qui génère l'élévation de votre business en illimité, C'est votre capacité à regarder les choses en face, à ne pas les fuir et à les traverser. C'est du leadership en puissance. Mais je vous garantis que quand vous comprenez ça, quand vous acceptez ça, quand ça devient non plus un... une illusion, quand on ne crée plus l'illusion autour d'une situation réelle, mais qu'on la vit, qu'on la voit, qu'on l'accepte et qu'on l'assume, là, on est en mesure de la changer, là, on est en mesure de la modifier, là, on est en mesure de transformer les choses, pas en la fuyant. Quand vous tournez le dos à quelque chose, ce quelque chose est toujours là. Quand vous le regardez en face, vous êtes en mesure de le transformer. Puis je vais vous dire un truc. Toutes nos pensées, nos croyances qui viennent barrer le chemin de notre succès, Je vais vous le dire, je voudrais vraiment que vous le gardiez dans votre tête. Enregistrez cet épisode, partagez-le à toutes vos copines entrepreneurs, parce que vraiment, je dois vous dire qu'il y a quelque chose qu'on ne dit jamais, que ces pensées, ces croyances qui viennent bloquer le chemin, ces croyances de merde que j'appelle, tous ces trucs-là, c'est absurde, c'est ridicule, c'est low cost au possible, c'est débile. Et comme ça fait du bien d'oser se le dire, enfin, sans gêne, sans doute. Sans culpabilité, au lieu de toujours tout, c'est un peu romantiser pour esquiver la réalité. Parce que c'est ce qu'on fait en fait. On essaie de romantiser, on essaie de tout transformer, d'édulcorer, d'adoucir un peu pour que les choses passent mieux. Mais adoucir votre discours intérieur, ça ne crée pas le changement. Ça fait juste mieux passer la pilule. C'est plus acceptable, c'est plus confortable. C'est plus... Ah, ça soulage mieux. Puis à force de romantiser les mots, on s'est... s'éloigne de la réalité, et c'est là qu'on la fuit. Et moi, j'ai envie de vous dire aujourd'hui que c'est des choses que j'ai faites, moi aussi. Je me souviens très bien, je me disais, ah ouais, cette histoire, surtout l'échec. L'échec, c'est, ah ouais, j'ai merdé. Non, mais enfin, l'échec, c'est un apprentissage. Alors, c'est vachement bien, c'est pratique, parce que c'est vrai en plus. Je le dis tout le temps, c'est vrai, vous avez échoué, quelle est la leçon ? Vous avez échoué, qu'est-ce que vous avez ? Au lieu de regarder l'échec, regardez qu'est-ce que vous avez appris là-dedans. Je le dis tout le temps dans mes programmes. Mes clientes, je le dis tout le temps, qu'est-ce que tu as appris de ce merdier ? Au lieu de regarder le merdier, au lieu de regarder la douleur de l'échec, etc. Sors de là ! Sors de là ! Qu'est-ce qu'il en ressort de magnifique de ça ? Regarde pas la laideur de l'échec, regarde la beauté de ce que ça t'a apporté. Quand vous avez la capacité de regarder les choses comme ça, c'est merveilleux. Puis moi avant, je regardais que la laideur de l'échec. Et au plus vous regardez la laideur de l'échec, au plus vous vous enfoncez dans la laideur. Au plus vous créez cette peur que cette laideur revienne. Et du coup, qu'est-ce qu'on fait ? Alors on romantise, on pousse vers le beau, mais sans... En esquivant la vérité. Osez vous dire les vraies choses, les assumer, les accepter, c'est certainement pas un signe de faiblesse, c'est du leadership puissance 1000. C'est pas un manque d'amour de vous ou de vous dénigrer ou de vous sous-estimer, c'est une déclaration d'amour vrai que vous vous faites. Je suis ok, j'entends, je suis ok, j'ai assumé ce que j'ai fait, j'ai assumé, j'assume cette erreur, j'assume cet échec, c'est ok, je le prends, il n'y a pas de problème avec ça. Ce n'est pas un problème. C'est un problème. C'est une merveille d'apprentissage. Mais c'est OK. Je n'ai plus peur de prononcer le mot échec, blessure, croyance de merde. Je n'ai plus peur de ça. Ce n'est pas non plus être mise en face, parce que ça, c'est un truc que j'ai beaucoup redouté. Ce n'est pas non plus être mise en face de son incapacité à réussir que de se dire, ouais. C'est pas un gros mot, j'ai échoué. J'ai échoué, c'est ok. C'est pas la peine de vous le marteler toute la journée dans la tête. Sortez de là. Mais c'est pas quand on se dit, j'ai une blessure, j'ai une croyance de merde, j'ai une peur, j'ai un échec. Mais c'est pas vous mettre en face d'une incapacité à réussir. C'est avoir un courage extraordinaire de les regarder et de continuer quand même. Et d'en extirper la leçon. Et de continuer quand même quoi qu'il arrive au-delà de ça. Puis c'est pas non plus, comment vous dire, comme trouver des preuves que c'est mort pour nous. Tu sais quand on fait le listing, on pourrait avoir l'impression que c'est mort pour nous. Oh là là, j'ai plein de pleurs, j'ai plein de blessures, j'ai plein d'échecs, j'ai plein de croyances de merde. Mais on s'en fout. Levez la valeur et l'intensité et l'importance que vous avez mis sur ces mots-là. Regardez-les en tant que source de shift, de transformation, de bascule de l'autre côté. Donc, Ce n'est pas trouver des preuves que c'est mort pour nous, c'est reprendre votre pouvoir, c'est croire encore plus fort et décider qu'on va les faire changer consciemment, délibérément. Ça ne vous empêchera jamais d'avancer. Ce qui nous empêche d'avancer, ce qui vous empêche d'avancer, c'est quand vous restez sur des constats et que ces constats, vous les voyez comme négatifs. C'est quand vous restez sur des choses que vous vivez. et que vous les romantisez pour que la pilule passe mieux alors qu'elles sont toujours là. Peut-être que c'est ma personnalité, mais moi j'y vais en frontal. Moi, je n'ai pas le temps de tourner autour du pot, je n'ai pas le temps de romantiser les choses et d'adoucir les discours. J'aime quand votre succès... vous l'avez en main, vous le détenez, vous le maintenez parce que vous avez pris le pouvoir. Vous avez repris votre pouvoir. Parce que vous maintenez votre leadership. Parce que vous y allez quoi qu'il arrive. C'est comme ça que vous réussissez. Vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait pour réussir. On s'en fout que ce soit parfait. Souvent, on attend la perfection, ça veut dire quoi ? Attends, j'attends de guérir mes blessures, j'attends de ne plus avoir peur, j'attends que toutes mes croyances soient extraordinaires, j'attends de ne plus échouer. Quand j'aurai ce rythme-là parfait, un minimum parfait ou un maximum parfait, alors ça sera vachement bien, ça sera ça le terrain pour réussir. Mais pas du tout ! Mais jamais de la vie, c'est pas ça le terrain de la réussite. Le terrain de la réussite, c'est vous, c'est votre message, c'est votre leadership, c'est votre engagement, c'est votre responsabilité, c'est votre amour pour votre business, pour vous, pour vos clients, pour vos offres. C'est ça votre succès en fait. Et non, vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait, d'attendre de ne plus avoir de blessures, d'attendre de ne plus avoir de peur, d'attendre de ne plus avoir de croyances de merde, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre. J'ai tellement attendu. Et je le dis souvent dans mes posts parce que j'aime vous dire les choses pour que l'impact que j'ai en vous disant ces choses-là, ça puisse être un impact qui vous fasse la transformation, qui vous amène à créer des shifts, qui vous amène à avoir des prises de conscience. C'est facile de dire aujourd'hui je réussis, je fais tant, je gagne tant, je célèbre tant. C'est facile ! Mais moi, ce n'est pas là que j'ai envie de vous amener. Ça ne m'intéresse pas, ça. J'ai envie de vous amener sur ce chemin de la transformation qui vous amène à générer tant, à avoir tant, à créer tant. C'est ça. C'est ça la réalité des choses. Donc vous n'avez pas besoin que tout soit parfait, vous avez besoin d'intentionnalité, vous avez besoin d'intention d'y aller, quoi qu'il arrive, de continuer, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos peurs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos échecs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos blessures, quoi qu'il arrive, mais pas en les esquivant, en les comprenant, en les assumant et en allant au-delà. et vous avez besoin d'intention d'y aller quoi qu'il arrive, parce que vous savez que vous êtes venu pour ça, et parce que vous êtes sur le chemin d'y arriver. Alors aujourd'hui, ce que je voulais vous dire, vraiment, c'était ça mon message, il ne s'agit pas de détourner les mots, les situations pour réussir, pour avoir du succès, il s'agit de les assumer pleinement, pour pouvoir les changer en conscience et délibérément. Voilà, ça sera mon épisode d'aujourd'hui. Ça me tenait vraiment à cœur de vous partager ces choses-là parce que je vois tellement de gens aujourd'hui sur les réseaux sociaux qui romantisent le discours, qui romantisent les situations pour que les choses passent mieux, qu'elles soient plus... Ouh là là, qu'elles soient plus... Ouais, qu'elles passent mieux, quoi. Donc, regardez les choses en face. un échec une peur une croyance une blessure c'est pas des gros mots et c'est ok vous avez non seulement le droit mais aussi le devoir de les vivre, de les expérimenter, et le devoir, une fois que vous les avez expérimentés, de les regarder en face pour pouvoir les changer. Donc j'espère que vous avez apprécié cet épisode. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un commentaire en DM ou sur Instagram, sous le post de l'épisode. Peu importe où vous avez envie. Les gens savent me trouver. Les personnes qui ont envie de me trouver savent me trouver très facilement. Donc je vous souhaite une très très belle journée. Et puis je vous dis à la semaine prochaine. Au prochain épisode, ciao !

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On est tellement conditionnées par le discours des autres qu’on s’empêche de penser avec notre libre arbitre.

On dirait que là aussi, on pas le « droit » de penser certaines choses, qu’il faut les penser d’une certaine manière.


Echec? Peur? Pensées et croyances limitantes? Blessure? Et si, au lieu de les romantiser pour éviter de souffrir, on se disait juste que c'est ok, c'est normal , ça arrive... et que non seulement ce n'est pas grave, mais qu'en plus, ça ne nous empêchera jamais de réussir quand on sait regarder la réalité en face pour shifter?


Je vous laisse avec cet épisode game changer.


Vous appréciez? Merci de laisser ⭐⭐⭐⭐⭐ 5 étoiles sur le podcast, vous lui permettez d'être plus écouté et de servir de plus en plus d'entrepreneuses chaque semaine!



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Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


Et pour ça, j'ai du changer mon mon intérieur et ma réalité.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à assumer leurs vrais désirs, libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

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    Hello et bienvenue sur le podcast de Femme Premium, je m'appelle Élodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au potence pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Je suis ravie de vous retrouver sur ce nouvel épisode de podcast. Et puis aujourd'hui, on va y aller franco, direct. Non, je ne vais pas teaser, non, je ne vais rien faire d'autre. Je voudrais vous parler d'un truc que j'ai remarqué cette semaine en fait. concernant le discours des gens, en fait, qui sont comme si aujourd'hui... Je vais essayer de vous l'expliquer avec... Putain, ça ne va pas être facile. C'est comme si aujourd'hui, il y avait un certain discours à tenir. Puis que dans ce discours, les mots qu'on utilise dans le business, il faut faire attention, il faut les éviter, il ne faut pas trop en parler, il faut les détourner pour que ça passe mieux, etc. Puis moi, j'ai comme envie de vous dire aujourd'hui, je vais vous donner des exemples parce que là, j'ai l'impression de vous avoir dit que de la merde, on va être bien au clair. En fait, on est tellement conditionné par le discours des autres qu'on s'empêche de penser avec notre libre arbitre. Ça y est ? j'y suis. Comment vous dire ? On dirait qu'on n'a pas le droit de penser certaines choses, puis qu'il faut les penser d'une certaine manière. Et moi, je suis choquée de voir à quel point aujourd'hui, même ça, on est dans le contrôle, on est dans certaines paroles à avoir, ou surtout ne pas les avoir, comme ça portait malheur, tu sais. Et moi, ce que j'aime bien dans mon business, c'est appeler un chat un chat. Eh bien, un échec, par exemple, ben ouais, c'est un échec. On s'est ramassé, ouais, on a merdé, on s'est ramassé. Et alors ? À chacune d'y puiser sa leçon et l'apprentissage dedans. Mais un échec, ce n'est pas un gros mot. Je vais vous en donner d'autres, des exemples. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis je ne sais pas si vous avez remarqué, mais aujourd'hui, tout de suite, quand vous mettez le mot échec sur les réseaux sociaux, Ah oui, mais ce n'est pas un échec, c'est un apprentissage. Oui, mais ce n'est pas un échec, c'est une leçon. Ouais, ok, il n'y a pas de problème avec ça. Mais cette façon qu'on a de pousser les mots et puis de les détourner, de les mettre ailleurs, ça évite de voir la vérité en face. Et il n'y a rien de pire que de ne pas regarder la vérité en face. Et je vous dis ça, ce n'est pas pour vous faire du mal. On ne se fait pas du mal. Je ne suis pas là, moi, en train, si je merde quelque part, je me flagelle, j'ai fait un échec, je fais un échec. Non, next, on passe à autre chose, c'est OK, c'est normal, ça arrive, ça fait partie du jeu d'avoir des échecs. on ne met pas de poids, de valeur, d'intensité dessus. C'est un échec, basta, next step, on passe à autre chose. Et on en tire la leçon, oui. Et on apprend quelque chose là-dedans, absolument. Mais est-ce que ça veut pour autant dire que, oh là là, tout de suite, le mot échec doit être une leçon, un apprentissage ? Vous avez vu l'esquive ? L'esquive qui est inconsciente. Mais du coup, ça fait quoi en fait ? Et c'est ça qui me perturbe beaucoup dans le business parce que je vois que dès le moment... on prend l'habitude de détourner un mot, en fait, on n'est plus capable de le tenir. On n'est plus capable de l'accepter. On n'est plus capable... C'est comme si, oh là là, ça rend dans notre vie, c'est plus normal. Oui, oui, ça va, j'ai un échec, mais c'est une leçon. Mais, t'es capable de tenir un échec ? T'es capable de tenir un échec et de te dire, c'est OK, j'ai merdé. Parce que quand vous êtes capable de ça, vous êtes capable non seulement de comprendre la leçon, mais de lever votre leadership pour passer au-dessus. Je vais vous parler des peurs aussi. Une peur, ça fait flipper. Mais c'est une peur. Basta, point barre, et alors ? On a peur, c'est ok d'avoir peur. C'est pas grave d'avoir peur, c'est même normal d'avoir peur parfois. Et le truc, c'est ok de comprendre le signal. C'est ok de comprendre qu'une peur, c'est un signal vers quelque chose. Mais une peur, c'est pas un gros mot non plus. on a le droit d'avoir peur, on a le droit d'échouer. C'est même conseillé d'avoir peur et d'échouer. Parce que c'est quand vous regardez les choses en face, oui, j'ai peur, c'est OK. C'est pas, oui, mais la peur, c'est un signal. Mais ouais, mais j'ai peur en attendant. Ou j'ai subi un échec en attendant. Et c'est important, moi, de le faire descendre. Je dis toujours ça, en fait, à mes clientes. Faites descendre les choses. Parce que quand vous les faites descendre, vous les acceptez. Et quand vous les acceptez, vous êtes capables de vous en libérer. Et de dire, c'est OK. c'est ok, je marche derrière ça, c'est ok, il n'y a pas de problème. Oui, j'ai peur, je l'assume. Oui, j'ai un échec, je l'assume. Et vous voyez, ce genre de détournement, d'esquive des mots, c'est la meilleure façon de ne pas assumer les choses. Et quand on n'assume pas les choses, c'est vraiment galère pour le business. Je vais vous parler des croyances aussi. Alors là, les croyances de merde, c'est la totale. Une croyance de merde, je vous le dis tout le temps comme ça moi, c'est une croyance de merde. On a une croyance de merde et c'est ok d'avoir des croyances de merde. On est conditionné comme ça. On n'est pas né avec des croyances de merde. On nous les a inculquées, on a grandi avec, on les a apprises. On a eu un apprentissage, on a eu un bon truc de croyance de merde qui s'est élevé avec nous. Puis c'est ok d'avoir des croyances de merde. À chacune de nous de prendre conscience de cette croyance et de la changer. Mais une croyance de merde, ce n'est pas non plus un gros mot. La peur, ce n'est pas un gros mot. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis avoir une croyance de merde, ce n'est pas un gros mot non plus. Ce n'est pas grave. Et au lieu de détourner le truc en sachant... Je ne veux pas regarder que j'ai une croyance de merde parce que ce serait trop la honte, en fait. Je me sentirais tellement coupable. J'ai la honte. Je serais tellement déçue de moi-même si j'avais cette croyance-là et que les gens le savaient. Ce serait la honte, etc. Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Vous pouvez vous libérer, s'il vous plaît, de tous ces poids que vous vous imposez en permanence et qui, au lieu de vous pousser vers votre succès, vous retiennent au sol, attachés parce que les boulets sont trop lourds pour que vous puissiez avancer. Donc, une croyance de merde, bah oui, on l'a, on l'accepte, on l'assume, j'ai une croyance de merde, et alors ? Est-ce que ça va couper les jambes à quelqu'un ou à vous-même d'assumer ce genre de truc ? Parce que dès le moment où vous allez assumer ces choses-là, c'est vous... En fait, assumer, c'est le pas, c'est le shift, le pivot vers votre transformation. Je comprends, c'est ok, j'ai merdé, c'est ok, j'ai échoué. Mais levez-vous ce poids, libérez-vous de ce truc-là. Je vais vous parler des blessures aussi, parce que c'est vraiment les trucs que j'ai remarqués, c'est que les blessures aussi c'est pareil. Une blessure, vous savez j'ai travaillé dans un hôpital pendant des années, je vous garantis qu'une blessure ça fait mal. Oui, ça fait mal, et c'est ok. On peut avoir des blessures et on a le droit d'avoir mal d'avoir une blessure. Et alors ? C'est à chacune de nous. d'en prendre soin pour la guérir, cette blessure. Mais une blessure, ce n'est pas un gros mot. Ce n'est pas un handicap. Ce n'est pas un truc qui vous empêche d'avancer. C'est une blessure. Elle fait mal, on la soigne, effectivement. On la guérit. Mais ce n'est pas une raison de ne pas avancer. Et puis, ce n'est pas aussi un poids qui fait de vous quelqu'un de pas bien parce que vous avez une blessure. Vous savez, je pense qu'on les a toutes. Toutes les blessures. À un moment ou à un autre de notre vie, On les a eues, on les a. Moi je peux vous garantir que personnellement, blessure de rejet, oui. Blessure d'humiliation, oui. Blessure d'abandon, oui. Blessure de trahison, oui. Blessure d'injustice, oui. Plus, plus. Et alors, est-ce qu'on doit avoir honte ? Est-ce qu'on doit se sentir coupable ? Est-ce qu'on doit se taire ? Est-ce qu'on doit esquiver les mots blessure pour dire oui mais ça fait partie de ta vie, ça fait partie de... c'est ce qui t'a rendu forte aujourd'hui ? Oui, c'est vrai ! Mais est-ce que c'est une raison pour esquiver les mots ? Est-ce que c'est une raison pour cacher, pour tourner le dos aux vraies choses ? C'est beaucoup plus facile d'accepter et d'assumer les choses plutôt que de s'enfuir, de les fuir et de s'en détourner. parce que quand vous vous en détournez, quand vous les fuyez, quand vous transformez les mots, quand vous faites semblant que ce n'est pas vraiment une blessure, oui mais c'est une blessure, mais qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous ne regardez pas la vérité en face. Et le succès en général dans votre business, votre développement d'affaires, votre expansion dans le business, votre prospérité, votre succès, bref, tout ce qui génère l'élévation de votre business en illimité, C'est votre capacité à regarder les choses en face, à ne pas les fuir et à les traverser. C'est du leadership en puissance. Mais je vous garantis que quand vous comprenez ça, quand vous acceptez ça, quand ça devient non plus un... une illusion, quand on ne crée plus l'illusion autour d'une situation réelle, mais qu'on la vit, qu'on la voit, qu'on l'accepte et qu'on l'assume, là, on est en mesure de la changer, là, on est en mesure de la modifier, là, on est en mesure de transformer les choses, pas en la fuyant. Quand vous tournez le dos à quelque chose, ce quelque chose est toujours là. Quand vous le regardez en face, vous êtes en mesure de le transformer. Puis je vais vous dire un truc. Toutes nos pensées, nos croyances qui viennent barrer le chemin de notre succès, Je vais vous le dire, je voudrais vraiment que vous le gardiez dans votre tête. Enregistrez cet épisode, partagez-le à toutes vos copines entrepreneurs, parce que vraiment, je dois vous dire qu'il y a quelque chose qu'on ne dit jamais, que ces pensées, ces croyances qui viennent bloquer le chemin, ces croyances de merde que j'appelle, tous ces trucs-là, c'est absurde, c'est ridicule, c'est low cost au possible, c'est débile. Et comme ça fait du bien d'oser se le dire, enfin, sans gêne, sans doute. Sans culpabilité, au lieu de toujours tout, c'est un peu romantiser pour esquiver la réalité. Parce que c'est ce qu'on fait en fait. On essaie de romantiser, on essaie de tout transformer, d'édulcorer, d'adoucir un peu pour que les choses passent mieux. Mais adoucir votre discours intérieur, ça ne crée pas le changement. Ça fait juste mieux passer la pilule. C'est plus acceptable, c'est plus confortable. C'est plus... Ah, ça soulage mieux. Puis à force de romantiser les mots, on s'est... s'éloigne de la réalité, et c'est là qu'on la fuit. Et moi, j'ai envie de vous dire aujourd'hui que c'est des choses que j'ai faites, moi aussi. Je me souviens très bien, je me disais, ah ouais, cette histoire, surtout l'échec. L'échec, c'est, ah ouais, j'ai merdé. Non, mais enfin, l'échec, c'est un apprentissage. Alors, c'est vachement bien, c'est pratique, parce que c'est vrai en plus. Je le dis tout le temps, c'est vrai, vous avez échoué, quelle est la leçon ? Vous avez échoué, qu'est-ce que vous avez ? Au lieu de regarder l'échec, regardez qu'est-ce que vous avez appris là-dedans. Je le dis tout le temps dans mes programmes. Mes clientes, je le dis tout le temps, qu'est-ce que tu as appris de ce merdier ? Au lieu de regarder le merdier, au lieu de regarder la douleur de l'échec, etc. Sors de là ! Sors de là ! Qu'est-ce qu'il en ressort de magnifique de ça ? Regarde pas la laideur de l'échec, regarde la beauté de ce que ça t'a apporté. Quand vous avez la capacité de regarder les choses comme ça, c'est merveilleux. Puis moi avant, je regardais que la laideur de l'échec. Et au plus vous regardez la laideur de l'échec, au plus vous vous enfoncez dans la laideur. Au plus vous créez cette peur que cette laideur revienne. Et du coup, qu'est-ce qu'on fait ? Alors on romantise, on pousse vers le beau, mais sans... En esquivant la vérité. Osez vous dire les vraies choses, les assumer, les accepter, c'est certainement pas un signe de faiblesse, c'est du leadership puissance 1000. C'est pas un manque d'amour de vous ou de vous dénigrer ou de vous sous-estimer, c'est une déclaration d'amour vrai que vous vous faites. Je suis ok, j'entends, je suis ok, j'ai assumé ce que j'ai fait, j'ai assumé, j'assume cette erreur, j'assume cet échec, c'est ok, je le prends, il n'y a pas de problème avec ça. Ce n'est pas un problème. C'est un problème. C'est une merveille d'apprentissage. Mais c'est OK. Je n'ai plus peur de prononcer le mot échec, blessure, croyance de merde. Je n'ai plus peur de ça. Ce n'est pas non plus être mise en face, parce que ça, c'est un truc que j'ai beaucoup redouté. Ce n'est pas non plus être mise en face de son incapacité à réussir que de se dire, ouais. C'est pas un gros mot, j'ai échoué. J'ai échoué, c'est ok. C'est pas la peine de vous le marteler toute la journée dans la tête. Sortez de là. Mais c'est pas quand on se dit, j'ai une blessure, j'ai une croyance de merde, j'ai une peur, j'ai un échec. Mais c'est pas vous mettre en face d'une incapacité à réussir. C'est avoir un courage extraordinaire de les regarder et de continuer quand même. Et d'en extirper la leçon. Et de continuer quand même quoi qu'il arrive au-delà de ça. Puis c'est pas non plus, comment vous dire, comme trouver des preuves que c'est mort pour nous. Tu sais quand on fait le listing, on pourrait avoir l'impression que c'est mort pour nous. Oh là là, j'ai plein de pleurs, j'ai plein de blessures, j'ai plein d'échecs, j'ai plein de croyances de merde. Mais on s'en fout. Levez la valeur et l'intensité et l'importance que vous avez mis sur ces mots-là. Regardez-les en tant que source de shift, de transformation, de bascule de l'autre côté. Donc, Ce n'est pas trouver des preuves que c'est mort pour nous, c'est reprendre votre pouvoir, c'est croire encore plus fort et décider qu'on va les faire changer consciemment, délibérément. Ça ne vous empêchera jamais d'avancer. Ce qui nous empêche d'avancer, ce qui vous empêche d'avancer, c'est quand vous restez sur des constats et que ces constats, vous les voyez comme négatifs. C'est quand vous restez sur des choses que vous vivez. et que vous les romantisez pour que la pilule passe mieux alors qu'elles sont toujours là. Peut-être que c'est ma personnalité, mais moi j'y vais en frontal. Moi, je n'ai pas le temps de tourner autour du pot, je n'ai pas le temps de romantiser les choses et d'adoucir les discours. J'aime quand votre succès... vous l'avez en main, vous le détenez, vous le maintenez parce que vous avez pris le pouvoir. Vous avez repris votre pouvoir. Parce que vous maintenez votre leadership. Parce que vous y allez quoi qu'il arrive. C'est comme ça que vous réussissez. Vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait pour réussir. On s'en fout que ce soit parfait. Souvent, on attend la perfection, ça veut dire quoi ? Attends, j'attends de guérir mes blessures, j'attends de ne plus avoir peur, j'attends que toutes mes croyances soient extraordinaires, j'attends de ne plus échouer. Quand j'aurai ce rythme-là parfait, un minimum parfait ou un maximum parfait, alors ça sera vachement bien, ça sera ça le terrain pour réussir. Mais pas du tout ! Mais jamais de la vie, c'est pas ça le terrain de la réussite. Le terrain de la réussite, c'est vous, c'est votre message, c'est votre leadership, c'est votre engagement, c'est votre responsabilité, c'est votre amour pour votre business, pour vous, pour vos clients, pour vos offres. C'est ça votre succès en fait. Et non, vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait, d'attendre de ne plus avoir de blessures, d'attendre de ne plus avoir de peur, d'attendre de ne plus avoir de croyances de merde, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre. J'ai tellement attendu. Et je le dis souvent dans mes posts parce que j'aime vous dire les choses pour que l'impact que j'ai en vous disant ces choses-là, ça puisse être un impact qui vous fasse la transformation, qui vous amène à créer des shifts, qui vous amène à avoir des prises de conscience. C'est facile de dire aujourd'hui je réussis, je fais tant, je gagne tant, je célèbre tant. C'est facile ! Mais moi, ce n'est pas là que j'ai envie de vous amener. Ça ne m'intéresse pas, ça. J'ai envie de vous amener sur ce chemin de la transformation qui vous amène à générer tant, à avoir tant, à créer tant. C'est ça. C'est ça la réalité des choses. Donc vous n'avez pas besoin que tout soit parfait, vous avez besoin d'intentionnalité, vous avez besoin d'intention d'y aller, quoi qu'il arrive, de continuer, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos peurs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos échecs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos blessures, quoi qu'il arrive, mais pas en les esquivant, en les comprenant, en les assumant et en allant au-delà. et vous avez besoin d'intention d'y aller quoi qu'il arrive, parce que vous savez que vous êtes venu pour ça, et parce que vous êtes sur le chemin d'y arriver. Alors aujourd'hui, ce que je voulais vous dire, vraiment, c'était ça mon message, il ne s'agit pas de détourner les mots, les situations pour réussir, pour avoir du succès, il s'agit de les assumer pleinement, pour pouvoir les changer en conscience et délibérément. Voilà, ça sera mon épisode d'aujourd'hui. Ça me tenait vraiment à cœur de vous partager ces choses-là parce que je vois tellement de gens aujourd'hui sur les réseaux sociaux qui romantisent le discours, qui romantisent les situations pour que les choses passent mieux, qu'elles soient plus... Ouh là là, qu'elles soient plus... Ouais, qu'elles passent mieux, quoi. Donc, regardez les choses en face. un échec une peur une croyance une blessure c'est pas des gros mots et c'est ok vous avez non seulement le droit mais aussi le devoir de les vivre, de les expérimenter, et le devoir, une fois que vous les avez expérimentés, de les regarder en face pour pouvoir les changer. Donc j'espère que vous avez apprécié cet épisode. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un commentaire en DM ou sur Instagram, sous le post de l'épisode. Peu importe où vous avez envie. Les gens savent me trouver. Les personnes qui ont envie de me trouver savent me trouver très facilement. Donc je vous souhaite une très très belle journée. Et puis je vous dis à la semaine prochaine. Au prochain épisode, ciao !

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On est tellement conditionnées par le discours des autres qu’on s’empêche de penser avec notre libre arbitre.

On dirait que là aussi, on pas le « droit » de penser certaines choses, qu’il faut les penser d’une certaine manière.


Echec? Peur? Pensées et croyances limitantes? Blessure? Et si, au lieu de les romantiser pour éviter de souffrir, on se disait juste que c'est ok, c'est normal , ça arrive... et que non seulement ce n'est pas grave, mais qu'en plus, ça ne nous empêchera jamais de réussir quand on sait regarder la réalité en face pour shifter?


Je vous laisse avec cet épisode game changer.


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Hellooooo et bienvenue ! Je m'appelle Elodie FLORENTI , ça fait presque vingt ans que je suis en business et que j'aide les entrepreneuses badass à manifester et développer leur business à succès.


Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


Et pour ça, j'ai du changer mon mon intérieur et ma réalité.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à assumer leurs vrais désirs, libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

Le succès de votre business commence là où s'arrête votre auto-censure.

Soyez la bienvenue !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • #0

    Hello et bienvenue sur le podcast de Femme Premium, je m'appelle Élodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au potence pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Je suis ravie de vous retrouver sur ce nouvel épisode de podcast. Et puis aujourd'hui, on va y aller franco, direct. Non, je ne vais pas teaser, non, je ne vais rien faire d'autre. Je voudrais vous parler d'un truc que j'ai remarqué cette semaine en fait. concernant le discours des gens, en fait, qui sont comme si aujourd'hui... Je vais essayer de vous l'expliquer avec... Putain, ça ne va pas être facile. C'est comme si aujourd'hui, il y avait un certain discours à tenir. Puis que dans ce discours, les mots qu'on utilise dans le business, il faut faire attention, il faut les éviter, il ne faut pas trop en parler, il faut les détourner pour que ça passe mieux, etc. Puis moi, j'ai comme envie de vous dire aujourd'hui, je vais vous donner des exemples parce que là, j'ai l'impression de vous avoir dit que de la merde, on va être bien au clair. En fait, on est tellement conditionné par le discours des autres qu'on s'empêche de penser avec notre libre arbitre. Ça y est ? j'y suis. Comment vous dire ? On dirait qu'on n'a pas le droit de penser certaines choses, puis qu'il faut les penser d'une certaine manière. Et moi, je suis choquée de voir à quel point aujourd'hui, même ça, on est dans le contrôle, on est dans certaines paroles à avoir, ou surtout ne pas les avoir, comme ça portait malheur, tu sais. Et moi, ce que j'aime bien dans mon business, c'est appeler un chat un chat. Eh bien, un échec, par exemple, ben ouais, c'est un échec. On s'est ramassé, ouais, on a merdé, on s'est ramassé. Et alors ? À chacune d'y puiser sa leçon et l'apprentissage dedans. Mais un échec, ce n'est pas un gros mot. Je vais vous en donner d'autres, des exemples. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis je ne sais pas si vous avez remarqué, mais aujourd'hui, tout de suite, quand vous mettez le mot échec sur les réseaux sociaux, Ah oui, mais ce n'est pas un échec, c'est un apprentissage. Oui, mais ce n'est pas un échec, c'est une leçon. Ouais, ok, il n'y a pas de problème avec ça. Mais cette façon qu'on a de pousser les mots et puis de les détourner, de les mettre ailleurs, ça évite de voir la vérité en face. Et il n'y a rien de pire que de ne pas regarder la vérité en face. Et je vous dis ça, ce n'est pas pour vous faire du mal. On ne se fait pas du mal. Je ne suis pas là, moi, en train, si je merde quelque part, je me flagelle, j'ai fait un échec, je fais un échec. Non, next, on passe à autre chose, c'est OK, c'est normal, ça arrive, ça fait partie du jeu d'avoir des échecs. on ne met pas de poids, de valeur, d'intensité dessus. C'est un échec, basta, next step, on passe à autre chose. Et on en tire la leçon, oui. Et on apprend quelque chose là-dedans, absolument. Mais est-ce que ça veut pour autant dire que, oh là là, tout de suite, le mot échec doit être une leçon, un apprentissage ? Vous avez vu l'esquive ? L'esquive qui est inconsciente. Mais du coup, ça fait quoi en fait ? Et c'est ça qui me perturbe beaucoup dans le business parce que je vois que dès le moment... on prend l'habitude de détourner un mot, en fait, on n'est plus capable de le tenir. On n'est plus capable de l'accepter. On n'est plus capable... C'est comme si, oh là là, ça rend dans notre vie, c'est plus normal. Oui, oui, ça va, j'ai un échec, mais c'est une leçon. Mais, t'es capable de tenir un échec ? T'es capable de tenir un échec et de te dire, c'est OK, j'ai merdé. Parce que quand vous êtes capable de ça, vous êtes capable non seulement de comprendre la leçon, mais de lever votre leadership pour passer au-dessus. Je vais vous parler des peurs aussi. Une peur, ça fait flipper. Mais c'est une peur. Basta, point barre, et alors ? On a peur, c'est ok d'avoir peur. C'est pas grave d'avoir peur, c'est même normal d'avoir peur parfois. Et le truc, c'est ok de comprendre le signal. C'est ok de comprendre qu'une peur, c'est un signal vers quelque chose. Mais une peur, c'est pas un gros mot non plus. on a le droit d'avoir peur, on a le droit d'échouer. C'est même conseillé d'avoir peur et d'échouer. Parce que c'est quand vous regardez les choses en face, oui, j'ai peur, c'est OK. C'est pas, oui, mais la peur, c'est un signal. Mais ouais, mais j'ai peur en attendant. Ou j'ai subi un échec en attendant. Et c'est important, moi, de le faire descendre. Je dis toujours ça, en fait, à mes clientes. Faites descendre les choses. Parce que quand vous les faites descendre, vous les acceptez. Et quand vous les acceptez, vous êtes capables de vous en libérer. Et de dire, c'est OK. c'est ok, je marche derrière ça, c'est ok, il n'y a pas de problème. Oui, j'ai peur, je l'assume. Oui, j'ai un échec, je l'assume. Et vous voyez, ce genre de détournement, d'esquive des mots, c'est la meilleure façon de ne pas assumer les choses. Et quand on n'assume pas les choses, c'est vraiment galère pour le business. Je vais vous parler des croyances aussi. Alors là, les croyances de merde, c'est la totale. Une croyance de merde, je vous le dis tout le temps comme ça moi, c'est une croyance de merde. On a une croyance de merde et c'est ok d'avoir des croyances de merde. On est conditionné comme ça. On n'est pas né avec des croyances de merde. On nous les a inculquées, on a grandi avec, on les a apprises. On a eu un apprentissage, on a eu un bon truc de croyance de merde qui s'est élevé avec nous. Puis c'est ok d'avoir des croyances de merde. À chacune de nous de prendre conscience de cette croyance et de la changer. Mais une croyance de merde, ce n'est pas non plus un gros mot. La peur, ce n'est pas un gros mot. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis avoir une croyance de merde, ce n'est pas un gros mot non plus. Ce n'est pas grave. Et au lieu de détourner le truc en sachant... Je ne veux pas regarder que j'ai une croyance de merde parce que ce serait trop la honte, en fait. Je me sentirais tellement coupable. J'ai la honte. Je serais tellement déçue de moi-même si j'avais cette croyance-là et que les gens le savaient. Ce serait la honte, etc. Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Vous pouvez vous libérer, s'il vous plaît, de tous ces poids que vous vous imposez en permanence et qui, au lieu de vous pousser vers votre succès, vous retiennent au sol, attachés parce que les boulets sont trop lourds pour que vous puissiez avancer. Donc, une croyance de merde, bah oui, on l'a, on l'accepte, on l'assume, j'ai une croyance de merde, et alors ? Est-ce que ça va couper les jambes à quelqu'un ou à vous-même d'assumer ce genre de truc ? Parce que dès le moment où vous allez assumer ces choses-là, c'est vous... En fait, assumer, c'est le pas, c'est le shift, le pivot vers votre transformation. Je comprends, c'est ok, j'ai merdé, c'est ok, j'ai échoué. Mais levez-vous ce poids, libérez-vous de ce truc-là. Je vais vous parler des blessures aussi, parce que c'est vraiment les trucs que j'ai remarqués, c'est que les blessures aussi c'est pareil. Une blessure, vous savez j'ai travaillé dans un hôpital pendant des années, je vous garantis qu'une blessure ça fait mal. Oui, ça fait mal, et c'est ok. On peut avoir des blessures et on a le droit d'avoir mal d'avoir une blessure. Et alors ? C'est à chacune de nous. d'en prendre soin pour la guérir, cette blessure. Mais une blessure, ce n'est pas un gros mot. Ce n'est pas un handicap. Ce n'est pas un truc qui vous empêche d'avancer. C'est une blessure. Elle fait mal, on la soigne, effectivement. On la guérit. Mais ce n'est pas une raison de ne pas avancer. Et puis, ce n'est pas aussi un poids qui fait de vous quelqu'un de pas bien parce que vous avez une blessure. Vous savez, je pense qu'on les a toutes. Toutes les blessures. À un moment ou à un autre de notre vie, On les a eues, on les a. Moi je peux vous garantir que personnellement, blessure de rejet, oui. Blessure d'humiliation, oui. Blessure d'abandon, oui. Blessure de trahison, oui. Blessure d'injustice, oui. Plus, plus. Et alors, est-ce qu'on doit avoir honte ? Est-ce qu'on doit se sentir coupable ? Est-ce qu'on doit se taire ? Est-ce qu'on doit esquiver les mots blessure pour dire oui mais ça fait partie de ta vie, ça fait partie de... c'est ce qui t'a rendu forte aujourd'hui ? Oui, c'est vrai ! Mais est-ce que c'est une raison pour esquiver les mots ? Est-ce que c'est une raison pour cacher, pour tourner le dos aux vraies choses ? C'est beaucoup plus facile d'accepter et d'assumer les choses plutôt que de s'enfuir, de les fuir et de s'en détourner. parce que quand vous vous en détournez, quand vous les fuyez, quand vous transformez les mots, quand vous faites semblant que ce n'est pas vraiment une blessure, oui mais c'est une blessure, mais qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous ne regardez pas la vérité en face. Et le succès en général dans votre business, votre développement d'affaires, votre expansion dans le business, votre prospérité, votre succès, bref, tout ce qui génère l'élévation de votre business en illimité, C'est votre capacité à regarder les choses en face, à ne pas les fuir et à les traverser. C'est du leadership en puissance. Mais je vous garantis que quand vous comprenez ça, quand vous acceptez ça, quand ça devient non plus un... une illusion, quand on ne crée plus l'illusion autour d'une situation réelle, mais qu'on la vit, qu'on la voit, qu'on l'accepte et qu'on l'assume, là, on est en mesure de la changer, là, on est en mesure de la modifier, là, on est en mesure de transformer les choses, pas en la fuyant. Quand vous tournez le dos à quelque chose, ce quelque chose est toujours là. Quand vous le regardez en face, vous êtes en mesure de le transformer. Puis je vais vous dire un truc. Toutes nos pensées, nos croyances qui viennent barrer le chemin de notre succès, Je vais vous le dire, je voudrais vraiment que vous le gardiez dans votre tête. Enregistrez cet épisode, partagez-le à toutes vos copines entrepreneurs, parce que vraiment, je dois vous dire qu'il y a quelque chose qu'on ne dit jamais, que ces pensées, ces croyances qui viennent bloquer le chemin, ces croyances de merde que j'appelle, tous ces trucs-là, c'est absurde, c'est ridicule, c'est low cost au possible, c'est débile. Et comme ça fait du bien d'oser se le dire, enfin, sans gêne, sans doute. Sans culpabilité, au lieu de toujours tout, c'est un peu romantiser pour esquiver la réalité. Parce que c'est ce qu'on fait en fait. On essaie de romantiser, on essaie de tout transformer, d'édulcorer, d'adoucir un peu pour que les choses passent mieux. Mais adoucir votre discours intérieur, ça ne crée pas le changement. Ça fait juste mieux passer la pilule. C'est plus acceptable, c'est plus confortable. C'est plus... Ah, ça soulage mieux. Puis à force de romantiser les mots, on s'est... s'éloigne de la réalité, et c'est là qu'on la fuit. Et moi, j'ai envie de vous dire aujourd'hui que c'est des choses que j'ai faites, moi aussi. Je me souviens très bien, je me disais, ah ouais, cette histoire, surtout l'échec. L'échec, c'est, ah ouais, j'ai merdé. Non, mais enfin, l'échec, c'est un apprentissage. Alors, c'est vachement bien, c'est pratique, parce que c'est vrai en plus. Je le dis tout le temps, c'est vrai, vous avez échoué, quelle est la leçon ? Vous avez échoué, qu'est-ce que vous avez ? Au lieu de regarder l'échec, regardez qu'est-ce que vous avez appris là-dedans. Je le dis tout le temps dans mes programmes. Mes clientes, je le dis tout le temps, qu'est-ce que tu as appris de ce merdier ? Au lieu de regarder le merdier, au lieu de regarder la douleur de l'échec, etc. Sors de là ! Sors de là ! Qu'est-ce qu'il en ressort de magnifique de ça ? Regarde pas la laideur de l'échec, regarde la beauté de ce que ça t'a apporté. Quand vous avez la capacité de regarder les choses comme ça, c'est merveilleux. Puis moi avant, je regardais que la laideur de l'échec. Et au plus vous regardez la laideur de l'échec, au plus vous vous enfoncez dans la laideur. Au plus vous créez cette peur que cette laideur revienne. Et du coup, qu'est-ce qu'on fait ? Alors on romantise, on pousse vers le beau, mais sans... En esquivant la vérité. Osez vous dire les vraies choses, les assumer, les accepter, c'est certainement pas un signe de faiblesse, c'est du leadership puissance 1000. C'est pas un manque d'amour de vous ou de vous dénigrer ou de vous sous-estimer, c'est une déclaration d'amour vrai que vous vous faites. Je suis ok, j'entends, je suis ok, j'ai assumé ce que j'ai fait, j'ai assumé, j'assume cette erreur, j'assume cet échec, c'est ok, je le prends, il n'y a pas de problème avec ça. Ce n'est pas un problème. C'est un problème. C'est une merveille d'apprentissage. Mais c'est OK. Je n'ai plus peur de prononcer le mot échec, blessure, croyance de merde. Je n'ai plus peur de ça. Ce n'est pas non plus être mise en face, parce que ça, c'est un truc que j'ai beaucoup redouté. Ce n'est pas non plus être mise en face de son incapacité à réussir que de se dire, ouais. C'est pas un gros mot, j'ai échoué. J'ai échoué, c'est ok. C'est pas la peine de vous le marteler toute la journée dans la tête. Sortez de là. Mais c'est pas quand on se dit, j'ai une blessure, j'ai une croyance de merde, j'ai une peur, j'ai un échec. Mais c'est pas vous mettre en face d'une incapacité à réussir. C'est avoir un courage extraordinaire de les regarder et de continuer quand même. Et d'en extirper la leçon. Et de continuer quand même quoi qu'il arrive au-delà de ça. Puis c'est pas non plus, comment vous dire, comme trouver des preuves que c'est mort pour nous. Tu sais quand on fait le listing, on pourrait avoir l'impression que c'est mort pour nous. Oh là là, j'ai plein de pleurs, j'ai plein de blessures, j'ai plein d'échecs, j'ai plein de croyances de merde. Mais on s'en fout. Levez la valeur et l'intensité et l'importance que vous avez mis sur ces mots-là. Regardez-les en tant que source de shift, de transformation, de bascule de l'autre côté. Donc, Ce n'est pas trouver des preuves que c'est mort pour nous, c'est reprendre votre pouvoir, c'est croire encore plus fort et décider qu'on va les faire changer consciemment, délibérément. Ça ne vous empêchera jamais d'avancer. Ce qui nous empêche d'avancer, ce qui vous empêche d'avancer, c'est quand vous restez sur des constats et que ces constats, vous les voyez comme négatifs. C'est quand vous restez sur des choses que vous vivez. et que vous les romantisez pour que la pilule passe mieux alors qu'elles sont toujours là. Peut-être que c'est ma personnalité, mais moi j'y vais en frontal. Moi, je n'ai pas le temps de tourner autour du pot, je n'ai pas le temps de romantiser les choses et d'adoucir les discours. J'aime quand votre succès... vous l'avez en main, vous le détenez, vous le maintenez parce que vous avez pris le pouvoir. Vous avez repris votre pouvoir. Parce que vous maintenez votre leadership. Parce que vous y allez quoi qu'il arrive. C'est comme ça que vous réussissez. Vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait pour réussir. On s'en fout que ce soit parfait. Souvent, on attend la perfection, ça veut dire quoi ? Attends, j'attends de guérir mes blessures, j'attends de ne plus avoir peur, j'attends que toutes mes croyances soient extraordinaires, j'attends de ne plus échouer. Quand j'aurai ce rythme-là parfait, un minimum parfait ou un maximum parfait, alors ça sera vachement bien, ça sera ça le terrain pour réussir. Mais pas du tout ! Mais jamais de la vie, c'est pas ça le terrain de la réussite. Le terrain de la réussite, c'est vous, c'est votre message, c'est votre leadership, c'est votre engagement, c'est votre responsabilité, c'est votre amour pour votre business, pour vous, pour vos clients, pour vos offres. C'est ça votre succès en fait. Et non, vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait, d'attendre de ne plus avoir de blessures, d'attendre de ne plus avoir de peur, d'attendre de ne plus avoir de croyances de merde, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre. J'ai tellement attendu. Et je le dis souvent dans mes posts parce que j'aime vous dire les choses pour que l'impact que j'ai en vous disant ces choses-là, ça puisse être un impact qui vous fasse la transformation, qui vous amène à créer des shifts, qui vous amène à avoir des prises de conscience. C'est facile de dire aujourd'hui je réussis, je fais tant, je gagne tant, je célèbre tant. C'est facile ! Mais moi, ce n'est pas là que j'ai envie de vous amener. Ça ne m'intéresse pas, ça. J'ai envie de vous amener sur ce chemin de la transformation qui vous amène à générer tant, à avoir tant, à créer tant. C'est ça. C'est ça la réalité des choses. Donc vous n'avez pas besoin que tout soit parfait, vous avez besoin d'intentionnalité, vous avez besoin d'intention d'y aller, quoi qu'il arrive, de continuer, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos peurs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos échecs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos blessures, quoi qu'il arrive, mais pas en les esquivant, en les comprenant, en les assumant et en allant au-delà. et vous avez besoin d'intention d'y aller quoi qu'il arrive, parce que vous savez que vous êtes venu pour ça, et parce que vous êtes sur le chemin d'y arriver. Alors aujourd'hui, ce que je voulais vous dire, vraiment, c'était ça mon message, il ne s'agit pas de détourner les mots, les situations pour réussir, pour avoir du succès, il s'agit de les assumer pleinement, pour pouvoir les changer en conscience et délibérément. Voilà, ça sera mon épisode d'aujourd'hui. Ça me tenait vraiment à cœur de vous partager ces choses-là parce que je vois tellement de gens aujourd'hui sur les réseaux sociaux qui romantisent le discours, qui romantisent les situations pour que les choses passent mieux, qu'elles soient plus... Ouh là là, qu'elles soient plus... Ouais, qu'elles passent mieux, quoi. Donc, regardez les choses en face. un échec une peur une croyance une blessure c'est pas des gros mots et c'est ok vous avez non seulement le droit mais aussi le devoir de les vivre, de les expérimenter, et le devoir, une fois que vous les avez expérimentés, de les regarder en face pour pouvoir les changer. Donc j'espère que vous avez apprécié cet épisode. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un commentaire en DM ou sur Instagram, sous le post de l'épisode. Peu importe où vous avez envie. Les gens savent me trouver. Les personnes qui ont envie de me trouver savent me trouver très facilement. Donc je vous souhaite une très très belle journée. Et puis je vous dis à la semaine prochaine. Au prochain épisode, ciao !

Description

On est tellement conditionnées par le discours des autres qu’on s’empêche de penser avec notre libre arbitre.

On dirait que là aussi, on pas le « droit » de penser certaines choses, qu’il faut les penser d’une certaine manière.


Echec? Peur? Pensées et croyances limitantes? Blessure? Et si, au lieu de les romantiser pour éviter de souffrir, on se disait juste que c'est ok, c'est normal , ça arrive... et que non seulement ce n'est pas grave, mais qu'en plus, ça ne nous empêchera jamais de réussir quand on sait regarder la réalité en face pour shifter?


Je vous laisse avec cet épisode game changer.


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Hellooooo et bienvenue ! Je m'appelle Elodie FLORENTI , ça fait presque vingt ans que je suis en business et que j'aide les entrepreneuses badass à manifester et développer leur business à succès.


Un sacré paquet d'années après avoir essayé de me plier au système conventionnel business (alors que je ne m'y retrouvais absolument pas), à me censurer, à m'interdire d'y aller à fond, à taire ma Vérité ou à ne pas faire ce que je voulais faire vraiment dans le monde, j'ai finalement décidé de me faire confiance et de m'écouter, d'assumer qui j'étais vraiment, de dire oui à mes vrais désirs, et à libérer pleinement mon message en tant que mission véritable.


Et pour ça, j'ai du changer mon mon intérieur et ma réalité.


J'ai créé l'Univers sur mesure dans lequel je tiens à évoluer, avec une communauté extraordinaire de femmes responsables et déterminées à ne plus s'autocensurer, prêtes et motivées à assumer leurs vrais désirs, libérer leur impact et à monétiser leur Vérité pour développer leur business prospère et avoir la vie qu'elles veulent vraiment.


Et tous les jours, je fais ce pourquoi je suis vraiment venue et ce que j'aime le plus au monde: vous partager mon message, vous inspirer et vous autonomiser pour y parvenir, que ce soit dans le podcast, sur mes réseaux, dans mes cours et mes diverses offres d'accompagnement.


Je dois le développement de mon business en ligne à qui je suis vraiment , (dans ma version non censurée), à ma façon d'assumer et d'incarner ma vérité, et en suivant non pas les règles établies du business en ligne, mais bien l'appel de mon âme en ne répondant qu'à ce qui m'allume, simplement et facilement, et à ce pour quoi je suis venue.


Aujourd'hui, je sais clairement que je suis venue pour montrer qu'il existe un autre chemin pour réussir avec son business, une façon pour prospérer autre que celle de suivre les règles du business conventionnel. 


C'est ma mission de vous y aider.

Le succès de votre business commence là où s'arrête votre auto-censure.

Soyez la bienvenue !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

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    Hello et bienvenue sur le podcast de Femme Premium, je m'appelle Élodie Florenti, entrepreneuse depuis presque 20 ans et business coach de Femme Premium. C'est le podcast des femmes qui veulent se créer le mindset des entrepreneurs à succès pour développer les business prospères et manifester la vie libre qu'elles veulent vraiment. Alors je vous laisse vous abonner au potence pour que vous puissiez avoir chaque semaine du contenu pour y parvenir vraiment. A tout de suite ! Hello, hello tout le monde, j'espère que vous allez bien, que vous êtes en pleine forme. Je suis ravie de vous retrouver sur ce nouvel épisode de podcast. Et puis aujourd'hui, on va y aller franco, direct. Non, je ne vais pas teaser, non, je ne vais rien faire d'autre. Je voudrais vous parler d'un truc que j'ai remarqué cette semaine en fait. concernant le discours des gens, en fait, qui sont comme si aujourd'hui... Je vais essayer de vous l'expliquer avec... Putain, ça ne va pas être facile. C'est comme si aujourd'hui, il y avait un certain discours à tenir. Puis que dans ce discours, les mots qu'on utilise dans le business, il faut faire attention, il faut les éviter, il ne faut pas trop en parler, il faut les détourner pour que ça passe mieux, etc. Puis moi, j'ai comme envie de vous dire aujourd'hui, je vais vous donner des exemples parce que là, j'ai l'impression de vous avoir dit que de la merde, on va être bien au clair. En fait, on est tellement conditionné par le discours des autres qu'on s'empêche de penser avec notre libre arbitre. Ça y est ? j'y suis. Comment vous dire ? On dirait qu'on n'a pas le droit de penser certaines choses, puis qu'il faut les penser d'une certaine manière. Et moi, je suis choquée de voir à quel point aujourd'hui, même ça, on est dans le contrôle, on est dans certaines paroles à avoir, ou surtout ne pas les avoir, comme ça portait malheur, tu sais. Et moi, ce que j'aime bien dans mon business, c'est appeler un chat un chat. Eh bien, un échec, par exemple, ben ouais, c'est un échec. On s'est ramassé, ouais, on a merdé, on s'est ramassé. Et alors ? À chacune d'y puiser sa leçon et l'apprentissage dedans. Mais un échec, ce n'est pas un gros mot. Je vais vous en donner d'autres, des exemples. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis je ne sais pas si vous avez remarqué, mais aujourd'hui, tout de suite, quand vous mettez le mot échec sur les réseaux sociaux, Ah oui, mais ce n'est pas un échec, c'est un apprentissage. Oui, mais ce n'est pas un échec, c'est une leçon. Ouais, ok, il n'y a pas de problème avec ça. Mais cette façon qu'on a de pousser les mots et puis de les détourner, de les mettre ailleurs, ça évite de voir la vérité en face. Et il n'y a rien de pire que de ne pas regarder la vérité en face. Et je vous dis ça, ce n'est pas pour vous faire du mal. On ne se fait pas du mal. Je ne suis pas là, moi, en train, si je merde quelque part, je me flagelle, j'ai fait un échec, je fais un échec. Non, next, on passe à autre chose, c'est OK, c'est normal, ça arrive, ça fait partie du jeu d'avoir des échecs. on ne met pas de poids, de valeur, d'intensité dessus. C'est un échec, basta, next step, on passe à autre chose. Et on en tire la leçon, oui. Et on apprend quelque chose là-dedans, absolument. Mais est-ce que ça veut pour autant dire que, oh là là, tout de suite, le mot échec doit être une leçon, un apprentissage ? Vous avez vu l'esquive ? L'esquive qui est inconsciente. Mais du coup, ça fait quoi en fait ? Et c'est ça qui me perturbe beaucoup dans le business parce que je vois que dès le moment... on prend l'habitude de détourner un mot, en fait, on n'est plus capable de le tenir. On n'est plus capable de l'accepter. On n'est plus capable... C'est comme si, oh là là, ça rend dans notre vie, c'est plus normal. Oui, oui, ça va, j'ai un échec, mais c'est une leçon. Mais, t'es capable de tenir un échec ? T'es capable de tenir un échec et de te dire, c'est OK, j'ai merdé. Parce que quand vous êtes capable de ça, vous êtes capable non seulement de comprendre la leçon, mais de lever votre leadership pour passer au-dessus. Je vais vous parler des peurs aussi. Une peur, ça fait flipper. Mais c'est une peur. Basta, point barre, et alors ? On a peur, c'est ok d'avoir peur. C'est pas grave d'avoir peur, c'est même normal d'avoir peur parfois. Et le truc, c'est ok de comprendre le signal. C'est ok de comprendre qu'une peur, c'est un signal vers quelque chose. Mais une peur, c'est pas un gros mot non plus. on a le droit d'avoir peur, on a le droit d'échouer. C'est même conseillé d'avoir peur et d'échouer. Parce que c'est quand vous regardez les choses en face, oui, j'ai peur, c'est OK. C'est pas, oui, mais la peur, c'est un signal. Mais ouais, mais j'ai peur en attendant. Ou j'ai subi un échec en attendant. Et c'est important, moi, de le faire descendre. Je dis toujours ça, en fait, à mes clientes. Faites descendre les choses. Parce que quand vous les faites descendre, vous les acceptez. Et quand vous les acceptez, vous êtes capables de vous en libérer. Et de dire, c'est OK. c'est ok, je marche derrière ça, c'est ok, il n'y a pas de problème. Oui, j'ai peur, je l'assume. Oui, j'ai un échec, je l'assume. Et vous voyez, ce genre de détournement, d'esquive des mots, c'est la meilleure façon de ne pas assumer les choses. Et quand on n'assume pas les choses, c'est vraiment galère pour le business. Je vais vous parler des croyances aussi. Alors là, les croyances de merde, c'est la totale. Une croyance de merde, je vous le dis tout le temps comme ça moi, c'est une croyance de merde. On a une croyance de merde et c'est ok d'avoir des croyances de merde. On est conditionné comme ça. On n'est pas né avec des croyances de merde. On nous les a inculquées, on a grandi avec, on les a apprises. On a eu un apprentissage, on a eu un bon truc de croyance de merde qui s'est élevé avec nous. Puis c'est ok d'avoir des croyances de merde. À chacune de nous de prendre conscience de cette croyance et de la changer. Mais une croyance de merde, ce n'est pas non plus un gros mot. La peur, ce n'est pas un gros mot. Un échec, ce n'est pas un gros mot. Puis avoir une croyance de merde, ce n'est pas un gros mot non plus. Ce n'est pas grave. Et au lieu de détourner le truc en sachant... Je ne veux pas regarder que j'ai une croyance de merde parce que ce serait trop la honte, en fait. Je me sentirais tellement coupable. J'ai la honte. Je serais tellement déçue de moi-même si j'avais cette croyance-là et que les gens le savaient. Ce serait la honte, etc. Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Mais qu'est-ce qu'on s'en fout ? Vous pouvez vous libérer, s'il vous plaît, de tous ces poids que vous vous imposez en permanence et qui, au lieu de vous pousser vers votre succès, vous retiennent au sol, attachés parce que les boulets sont trop lourds pour que vous puissiez avancer. Donc, une croyance de merde, bah oui, on l'a, on l'accepte, on l'assume, j'ai une croyance de merde, et alors ? Est-ce que ça va couper les jambes à quelqu'un ou à vous-même d'assumer ce genre de truc ? Parce que dès le moment où vous allez assumer ces choses-là, c'est vous... En fait, assumer, c'est le pas, c'est le shift, le pivot vers votre transformation. Je comprends, c'est ok, j'ai merdé, c'est ok, j'ai échoué. Mais levez-vous ce poids, libérez-vous de ce truc-là. Je vais vous parler des blessures aussi, parce que c'est vraiment les trucs que j'ai remarqués, c'est que les blessures aussi c'est pareil. Une blessure, vous savez j'ai travaillé dans un hôpital pendant des années, je vous garantis qu'une blessure ça fait mal. Oui, ça fait mal, et c'est ok. On peut avoir des blessures et on a le droit d'avoir mal d'avoir une blessure. Et alors ? C'est à chacune de nous. d'en prendre soin pour la guérir, cette blessure. Mais une blessure, ce n'est pas un gros mot. Ce n'est pas un handicap. Ce n'est pas un truc qui vous empêche d'avancer. C'est une blessure. Elle fait mal, on la soigne, effectivement. On la guérit. Mais ce n'est pas une raison de ne pas avancer. Et puis, ce n'est pas aussi un poids qui fait de vous quelqu'un de pas bien parce que vous avez une blessure. Vous savez, je pense qu'on les a toutes. Toutes les blessures. À un moment ou à un autre de notre vie, On les a eues, on les a. Moi je peux vous garantir que personnellement, blessure de rejet, oui. Blessure d'humiliation, oui. Blessure d'abandon, oui. Blessure de trahison, oui. Blessure d'injustice, oui. Plus, plus. Et alors, est-ce qu'on doit avoir honte ? Est-ce qu'on doit se sentir coupable ? Est-ce qu'on doit se taire ? Est-ce qu'on doit esquiver les mots blessure pour dire oui mais ça fait partie de ta vie, ça fait partie de... c'est ce qui t'a rendu forte aujourd'hui ? Oui, c'est vrai ! Mais est-ce que c'est une raison pour esquiver les mots ? Est-ce que c'est une raison pour cacher, pour tourner le dos aux vraies choses ? C'est beaucoup plus facile d'accepter et d'assumer les choses plutôt que de s'enfuir, de les fuir et de s'en détourner. parce que quand vous vous en détournez, quand vous les fuyez, quand vous transformez les mots, quand vous faites semblant que ce n'est pas vraiment une blessure, oui mais c'est une blessure, mais qu'est-ce qui se passe ? C'est que vous ne regardez pas la vérité en face. Et le succès en général dans votre business, votre développement d'affaires, votre expansion dans le business, votre prospérité, votre succès, bref, tout ce qui génère l'élévation de votre business en illimité, C'est votre capacité à regarder les choses en face, à ne pas les fuir et à les traverser. C'est du leadership en puissance. Mais je vous garantis que quand vous comprenez ça, quand vous acceptez ça, quand ça devient non plus un... une illusion, quand on ne crée plus l'illusion autour d'une situation réelle, mais qu'on la vit, qu'on la voit, qu'on l'accepte et qu'on l'assume, là, on est en mesure de la changer, là, on est en mesure de la modifier, là, on est en mesure de transformer les choses, pas en la fuyant. Quand vous tournez le dos à quelque chose, ce quelque chose est toujours là. Quand vous le regardez en face, vous êtes en mesure de le transformer. Puis je vais vous dire un truc. Toutes nos pensées, nos croyances qui viennent barrer le chemin de notre succès, Je vais vous le dire, je voudrais vraiment que vous le gardiez dans votre tête. Enregistrez cet épisode, partagez-le à toutes vos copines entrepreneurs, parce que vraiment, je dois vous dire qu'il y a quelque chose qu'on ne dit jamais, que ces pensées, ces croyances qui viennent bloquer le chemin, ces croyances de merde que j'appelle, tous ces trucs-là, c'est absurde, c'est ridicule, c'est low cost au possible, c'est débile. Et comme ça fait du bien d'oser se le dire, enfin, sans gêne, sans doute. Sans culpabilité, au lieu de toujours tout, c'est un peu romantiser pour esquiver la réalité. Parce que c'est ce qu'on fait en fait. On essaie de romantiser, on essaie de tout transformer, d'édulcorer, d'adoucir un peu pour que les choses passent mieux. Mais adoucir votre discours intérieur, ça ne crée pas le changement. Ça fait juste mieux passer la pilule. C'est plus acceptable, c'est plus confortable. C'est plus... Ah, ça soulage mieux. Puis à force de romantiser les mots, on s'est... s'éloigne de la réalité, et c'est là qu'on la fuit. Et moi, j'ai envie de vous dire aujourd'hui que c'est des choses que j'ai faites, moi aussi. Je me souviens très bien, je me disais, ah ouais, cette histoire, surtout l'échec. L'échec, c'est, ah ouais, j'ai merdé. Non, mais enfin, l'échec, c'est un apprentissage. Alors, c'est vachement bien, c'est pratique, parce que c'est vrai en plus. Je le dis tout le temps, c'est vrai, vous avez échoué, quelle est la leçon ? Vous avez échoué, qu'est-ce que vous avez ? Au lieu de regarder l'échec, regardez qu'est-ce que vous avez appris là-dedans. Je le dis tout le temps dans mes programmes. Mes clientes, je le dis tout le temps, qu'est-ce que tu as appris de ce merdier ? Au lieu de regarder le merdier, au lieu de regarder la douleur de l'échec, etc. Sors de là ! Sors de là ! Qu'est-ce qu'il en ressort de magnifique de ça ? Regarde pas la laideur de l'échec, regarde la beauté de ce que ça t'a apporté. Quand vous avez la capacité de regarder les choses comme ça, c'est merveilleux. Puis moi avant, je regardais que la laideur de l'échec. Et au plus vous regardez la laideur de l'échec, au plus vous vous enfoncez dans la laideur. Au plus vous créez cette peur que cette laideur revienne. Et du coup, qu'est-ce qu'on fait ? Alors on romantise, on pousse vers le beau, mais sans... En esquivant la vérité. Osez vous dire les vraies choses, les assumer, les accepter, c'est certainement pas un signe de faiblesse, c'est du leadership puissance 1000. C'est pas un manque d'amour de vous ou de vous dénigrer ou de vous sous-estimer, c'est une déclaration d'amour vrai que vous vous faites. Je suis ok, j'entends, je suis ok, j'ai assumé ce que j'ai fait, j'ai assumé, j'assume cette erreur, j'assume cet échec, c'est ok, je le prends, il n'y a pas de problème avec ça. Ce n'est pas un problème. C'est un problème. C'est une merveille d'apprentissage. Mais c'est OK. Je n'ai plus peur de prononcer le mot échec, blessure, croyance de merde. Je n'ai plus peur de ça. Ce n'est pas non plus être mise en face, parce que ça, c'est un truc que j'ai beaucoup redouté. Ce n'est pas non plus être mise en face de son incapacité à réussir que de se dire, ouais. C'est pas un gros mot, j'ai échoué. J'ai échoué, c'est ok. C'est pas la peine de vous le marteler toute la journée dans la tête. Sortez de là. Mais c'est pas quand on se dit, j'ai une blessure, j'ai une croyance de merde, j'ai une peur, j'ai un échec. Mais c'est pas vous mettre en face d'une incapacité à réussir. C'est avoir un courage extraordinaire de les regarder et de continuer quand même. Et d'en extirper la leçon. Et de continuer quand même quoi qu'il arrive au-delà de ça. Puis c'est pas non plus, comment vous dire, comme trouver des preuves que c'est mort pour nous. Tu sais quand on fait le listing, on pourrait avoir l'impression que c'est mort pour nous. Oh là là, j'ai plein de pleurs, j'ai plein de blessures, j'ai plein d'échecs, j'ai plein de croyances de merde. Mais on s'en fout. Levez la valeur et l'intensité et l'importance que vous avez mis sur ces mots-là. Regardez-les en tant que source de shift, de transformation, de bascule de l'autre côté. Donc, Ce n'est pas trouver des preuves que c'est mort pour nous, c'est reprendre votre pouvoir, c'est croire encore plus fort et décider qu'on va les faire changer consciemment, délibérément. Ça ne vous empêchera jamais d'avancer. Ce qui nous empêche d'avancer, ce qui vous empêche d'avancer, c'est quand vous restez sur des constats et que ces constats, vous les voyez comme négatifs. C'est quand vous restez sur des choses que vous vivez. et que vous les romantisez pour que la pilule passe mieux alors qu'elles sont toujours là. Peut-être que c'est ma personnalité, mais moi j'y vais en frontal. Moi, je n'ai pas le temps de tourner autour du pot, je n'ai pas le temps de romantiser les choses et d'adoucir les discours. J'aime quand votre succès... vous l'avez en main, vous le détenez, vous le maintenez parce que vous avez pris le pouvoir. Vous avez repris votre pouvoir. Parce que vous maintenez votre leadership. Parce que vous y allez quoi qu'il arrive. C'est comme ça que vous réussissez. Vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait pour réussir. On s'en fout que ce soit parfait. Souvent, on attend la perfection, ça veut dire quoi ? Attends, j'attends de guérir mes blessures, j'attends de ne plus avoir peur, j'attends que toutes mes croyances soient extraordinaires, j'attends de ne plus échouer. Quand j'aurai ce rythme-là parfait, un minimum parfait ou un maximum parfait, alors ça sera vachement bien, ça sera ça le terrain pour réussir. Mais pas du tout ! Mais jamais de la vie, c'est pas ça le terrain de la réussite. Le terrain de la réussite, c'est vous, c'est votre message, c'est votre leadership, c'est votre engagement, c'est votre responsabilité, c'est votre amour pour votre business, pour vous, pour vos clients, pour vos offres. C'est ça votre succès en fait. Et non, vous n'avez absolument pas besoin que tout soit parfait, d'attendre de ne plus avoir de blessures, d'attendre de ne plus avoir de peur, d'attendre de ne plus avoir de croyances de merde, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre, d'attendre. J'ai tellement attendu. Et je le dis souvent dans mes posts parce que j'aime vous dire les choses pour que l'impact que j'ai en vous disant ces choses-là, ça puisse être un impact qui vous fasse la transformation, qui vous amène à créer des shifts, qui vous amène à avoir des prises de conscience. C'est facile de dire aujourd'hui je réussis, je fais tant, je gagne tant, je célèbre tant. C'est facile ! Mais moi, ce n'est pas là que j'ai envie de vous amener. Ça ne m'intéresse pas, ça. J'ai envie de vous amener sur ce chemin de la transformation qui vous amène à générer tant, à avoir tant, à créer tant. C'est ça. C'est ça la réalité des choses. Donc vous n'avez pas besoin que tout soit parfait, vous avez besoin d'intentionnalité, vous avez besoin d'intention d'y aller, quoi qu'il arrive, de continuer, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos peurs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos échecs, quoi qu'il arrive, de passer au-dessus de vos blessures, quoi qu'il arrive, mais pas en les esquivant, en les comprenant, en les assumant et en allant au-delà. et vous avez besoin d'intention d'y aller quoi qu'il arrive, parce que vous savez que vous êtes venu pour ça, et parce que vous êtes sur le chemin d'y arriver. Alors aujourd'hui, ce que je voulais vous dire, vraiment, c'était ça mon message, il ne s'agit pas de détourner les mots, les situations pour réussir, pour avoir du succès, il s'agit de les assumer pleinement, pour pouvoir les changer en conscience et délibérément. Voilà, ça sera mon épisode d'aujourd'hui. Ça me tenait vraiment à cœur de vous partager ces choses-là parce que je vois tellement de gens aujourd'hui sur les réseaux sociaux qui romantisent le discours, qui romantisent les situations pour que les choses passent mieux, qu'elles soient plus... Ouh là là, qu'elles soient plus... Ouais, qu'elles passent mieux, quoi. Donc, regardez les choses en face. un échec une peur une croyance une blessure c'est pas des gros mots et c'est ok vous avez non seulement le droit mais aussi le devoir de les vivre, de les expérimenter, et le devoir, une fois que vous les avez expérimentés, de les regarder en face pour pouvoir les changer. Donc j'espère que vous avez apprécié cet épisode. Si c'est le cas, n'hésitez pas à m'envoyer un commentaire en DM ou sur Instagram, sous le post de l'épisode. Peu importe où vous avez envie. Les gens savent me trouver. Les personnes qui ont envie de me trouver savent me trouver très facilement. Donc je vous souhaite une très très belle journée. Et puis je vous dis à la semaine prochaine. Au prochain épisode, ciao !

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