Speaker #0Hello ! Hello et bienvenue dans ce nouvel épisode de Femmes Riches. J'ai 34 ans et à ce jour j'ai lancé 7 side business différents pour pouvoir augmenter mes revenus. Je t'en ai parlé dans un épisode précédent, il y a une différence entre gagner de l'argent et créer de l'argent. Quand tu gagnes de l'argent, en gros, tu vas échanger ton temps contre un revenu, donc un salaire typiquement. Ce qui fait que ta capacité à gagner de l'argent va être limitée par ton temps. Au contraire, Quand tu vas créer de l'argent, tu vas mettre en place un système, une entreprise, vendre un produit, etc. de manière à ce que l'argent que tu génères soit décorrélé du temps que tu y passes. Alors bien évidemment, un side business peut fonctionner comme il ne peut pas fonctionner, mais lorsqu'il fonctionne, ton side business va être une source de revenus potentiellement importante, même si le temps que tu y passes, lui, à côté, est plutôt réduit. Alors moi, j'ai toujours aimé créer de l'argent et j'ai d'ailleurs commencé mon premier side business quand j'avais 7 ans. Et après, j'ai testé différents types de business models, de produits à vendre. Il y en a qui m'ont plu, il y en a qui m'ont moins plu, il y en a qui étaient plus ou moins rentables. Alors, installe-toi bien. Dans cet épisode, je vais te parler des 7 side business que j'ai lancés au cours des dernières années, de leur rentabilité et de mon retour d'expérience. Mon tout premier side business, ça a été d'écrire un livre et de le vendre. Quand j'avais 7 ans, en gros, j'ai eu la varicelle et j'ai été... bloqué au lit pendant une semaine quasiment, parce que quand tu as la varicelle tu ne peux toucher personne en gros, et comme je m'ennuyais, j'ai commencé à écrire des histoires, et ma mère m'a dit, tu vois ces histoires sont intéressantes si tu veux je pourrais les retaper pour toi à l'ordinateur, comme ça tu pourras les garder pour plus tard, donc elle les a retapées à l'ordinateur pour moi, et après on a poussé la réflexion en se disant, mais attends vu qu'il y a plein d'histoires, c'était à l'époque les aventures du soleil, vu qu'il y a plein d'histoires différentes Merci. Tu pourrais en faire un livre et après, on pourrait essayer de le vendre aux gens autour de nous. Eh bien, comme dit comme fait, ma mère a du coup retapé mes histoires sur ordinateur et les a imprimées. Je me rappelle que mon père avait ce qu'on appelle un massico, c'est-à-dire une espèce de grand hachoir pour couper des feuilles. Et on était en atelier livre avec mes parents où du coup, on découpait les feuilles avec les histoires, on les agrafait. J'avais fait une jolie couverture sur un fond jaune avec plein de descents de soleil qui vivaient plein d'aventures différentes. Et donc du coup, j'ai pris mon bâton de pèlerin et j'ai littéralement été démarcher tous les gens de mon entourage proche, donc déjà ma famille, pour leur vendre le livre. Et comme je me suis dit, tiens, ça a l'air de bien marcher, la grande autrice que je suis. Donc j'ai également vendu des livres à des personnes un peu plus éloignées, comme les amis de mes parents, les collègues de mes parents, etc. Donc je marchais littéralement avec des exemplaires de mon livre sous le bras, en demandant aux gens s'ils étaient intéressés et s'ils voulaient l'acheter. Alors... J'avais 7-8 ans à l'époque. Très clairement, je pense que le côté bonne bouille, enfin, etc. a fait que j'ai vendu quand même pas mal d'exemplaires. Et à l'époque, j'avais réussi, donc je vendais les livres à 5 euros, l'équivalent de 5 euros parce qu'on était en franc à l'époque. Et j'avais réussi à engranger à peu près 600 ou 700 euros de chiffre d'affaires avec ces livres-là. Alors, très clairement, quant à 7-8 ans, 600 euros, c'est énorme. C'est une montagne d'argent. Et là, je me suis dit, en fait, c'est possible de créer de l'argent comme ça. Et ça n'a pas l'air très compliqué, finalement, de vendre. Donc, ça a été ma première expérience. Et ce n'est pas une expérience professionnelle parce qu'en soi, il n'y avait pas de maison d'édition, il n'y avait pas de processus à part les ateliers de livres avec mes parents le dimanche matin à la maison. Mais ça, c'était ma première expérience de j'ai une idée. Je lui donne vie, je lui donne corps et je la vends à des gens. Et je me suis rendu compte très tôt que ça pouvait marcher. Alors, on peut... Peu de temps après, j'ai réessayé cette fois en vendant mon art. Et ça, c'était mon deuxième side business. Donc là, j'avais à peu près 10 ans, puisque j'étais en CM1, CM2. À l'époque, j'ai toujours aimé dessiner, j'ai toujours un goût pour l'art. Et à l'époque, je décorais les cahiers de mes camarades à l'école et je me faisais payer pour ça. Alors encore une fois, ce n'était pas des milliers d'essence. On parle à l'époque de 5-10 francs par cahier, donc grand max 2 euros, pas plus. Mais n'empêche, à l'époque, mon lifestyle, c'est-à-dire pouvoir m'acheter des bonbons après l'école, parce qu'en fait, à l'époque, chez moi, on n'avait pas d'argent de poche, c'était pas dans notre éducation. Donc, si je voulais m'acheter quelque chose, il fallait que je prenne dans mes économies, dans ma tyrolire. Et comme moi, je vais bien garder ma tyrolire remplie, je me suis dit non, je ne touche pas à l'argent que j'ai de côté. Par contre, je vais récupérer de l'argent ailleurs, donc créer de l'argent. Et à l'époque, ce qui me paraissait le plus intéressant, c'était... de faire ces décorations de cahiers. En gros, je me suis dit, j'ai un talent, pouvoir dessiner, pouvoir choisir des couleurs, pouvoir faire de beaux dessins. Je vais pimper les cahiers de mes camarades. Donc là, c'était mon deuxième side business. Là, on est encore dans les trucs vraiment mignons. On est enfant, c'est de la petite monnaie. Après, on fait un grand bond, puisque j'ai eu ma phase collège-lycée. Pas de temps pour les side business. Quand j'ai été étudiante, j'ai donné des cours de soutien. Je l'ai... donné des cours à la fin quand j'étais en école d'ingénieur, puis après quand j'ai commencé à travailler. Et là, ça a été vraiment un revenu supplémentaire, mais qui dépendait encore énormément de mon temps, dans le sens où je me faisais payer à l'heure. Donc, pour une heure de cours, je touchais à l'époque à peu près 15 ou 17 euros. Donc, c'était un chiffre d'affaires mensuel. d'environ 150 euros. Ce n'est pas énorme, mais c'était toujours cool, en plus de la file de paie que j'avais à l'époque, puisque je touchais à l'époque environ 2200 euros par mois. Ça faisait de l'argent en plus, c'était vraiment pour le kiff. Très clairement, ce n'est pas une activité que j'ai aimée plus que ça. En fait, je ne l'ai faite que pendant deux ou trois ans. Pourquoi ? Parce que, encore une fois, l'argent que je gagnais dépendait du temps que j'investissais. Et au final, passer du temps à... après le boulot ou après les cours, à travailler encore, c'était moyennement satisfaisant pour moi. Chaque élève avait des besoins particuliers, donc il y avait un effort de préparation qui était quand même important. Et j'en suis arrivée à la conclusion que ce n'était clairement pas le meilleur usage de mon temps et qu'en termes de rentabilité sur le temps investi, je ne m'y retrouvais pas du tout. Donc cette activité, je l'ai arrêtée assez rapidement. Bon, là, je t'ai parlé des petits side business que j'ai lancés un peu pour tester, pour voir si... comment gagner de l'argent, etc. Maintenant, parlons de choses sérieuses. Quand j'avais 29, 30 ans à peu près, j'étais freelance, donc du coup, j'avais un client principal. Donc là, c'était l'équivalent de travail salarié dans le sens où j'échangeais mon temps contre de l'argent. Je me suis dit, je n'ai pas envie de me limiter à ça, donc je vais à côté relancer un nouveau side business. À l'époque, j'avais, et j'ai toujours d'ailleurs, des compétences dans tout ce qui est développement de sites web. donc Je me suis dit que j'allais proposer des prestations dans ce domaine-là. Et pour choisir ce business, mon raisonnement était le suivant. Déjà, je me suis dit, un, j'ai la compétence. Je suis capable de créer un site web facilement. J'ai des templates déjà disponibles. Je peux customiser des sites web, proposer des chartes graphiques, proposer des mises en page cohérentes avec une image de marque. Ça ne me prend pas beaucoup de temps. C'est quelque chose que j'aime faire. Donc là, c'est accroché à la première case. Ensuite. Les prestations varient, mais en gros, pour un site web, on est sur des prestations qui vont entre 1 000 et 3 000 euros de base pour un projet. Troisième point, donc en fait, là, le deuxième point en termes de chiffre d'affaires était validé. Troisième point, c'est qu'à l'échelle régionale, il existe souvent des subventions du type chèque informatique ou chèque informatique et communication qui vont permettre aux entreprises de faire subventionner. leur consulting informatique. Donc typiquement, une prestation de création de site web peut rentrer dans la catégorie chèque informatique ou chèque informatique et communication, ce qui fait que ma prestation pouvait être subventionnée par des données publiques. Et là, ça Ausha la troisième case, c'est-à-dire que j'avais une activité qui me plaisait, une activité qui ne me demandait pas beaucoup de temps puisqu'en fait, comme j'avais mis en place un système pour pouvoir créer des sites web rapidement, finalement à prestation égale, je passais à peu près une demi-journée à créer un site web. C'était une activité qui était bien rémunérée puisqu'une demi-journée de travail pour un projet qui est facturé en moyenne à 1500 euros, franchement, c'est un bon deal. Et surtout, la friction à l'achat était faible puisque, en me marketant, je mettais en avant le fait auprès des entrepreneurs qu'ils n'avaient pas à sortir l'argent eux-mêmes et que j'allais être rémunérée à travers des subventions publiques. Donc, puisque toutes les cases étaient cochées, j'ai packagé une offre Merci. qui incluait du coup la création d'un site web avec des allers-retours, qui incluait de la maintenance, qui incluait un suivi si jamais la charte graphique changeait, etc. Bref, j'ai vraiment le package complet avec différents niveaux, genre que le site web ou site web plus maintenance, par exemple, et j'ai commencé à en parler autour de moi. Donc là, j'ai identifié ma cible, donc des entrepreneurs qui viennent de se lancer, qui veulent se faire connaître à travers un site web, qui veulent avoir une forme de crédibilité. numérique. Je me suis également créé un portfolio, c'est-à-dire des exemples de sites web que j'avais moi-même créés, même si c'était pour de faux clients en fait à l'époque, c'était juste pour montrer ce dont j'étais capable. Et grâce à ça, j'ai commencé à avoir des clients. Alors mes clients, j'allais les chercher là où on les trouve, donc soit sur les réseaux sociaux, sur LinkedIn et normalement sur les auto-entrepreneurs ou au niveau des incubateurs, donc là où il y a de nouvelles entreprises qui se créent et j'allais tout simplement discuter avec eux et leur parler de mes services. Et c'est là que j'ai vraiment commencé à faire rentrer entre guillemets du gros cash, c'est-à-dire du 1500 euros, 2000 euros, voire 3000 euros pour différents projets. Sachant qu'à côté, le temps que j'y consacrais était minime puisque j'avais mis en place tout un système pour pouvoir vraiment automatiser au max la création d'un site web tout en respectant les standards de qualité, bien évidemment. Social Business, je l'ai vraiment aimé le temps qu'il a duré parce qu'il était très simple pour moi, peu de charge de travail. et une très bonne rentabilité au final, puisque je n'avais aucun frais à avancer, j'avais juste du temps à consacrer au démarchage des clients, et après un peu de temps pour la mise en place de leur projet. Je l'ai arrêté parce qu'au bout d'un moment, je ne trouvais plus de plaisir à créer des sites web, je trouvais que c'était plus challengeant pour moi, donc j'ai décidé d'arrêter parce que ça ne m'intéressait plus. Le prochain side business que je voulais aborder, c'est la création de cours en ligne. Ça, c'est un side business que j'ai tenté lorsque j'avais pareil 30-31 ans à peu près. En fait, il y a plein de sujets techniques que j'adore. Je suis moi de base ingénieur qualité, mais j'ai fait un double master en maths. Je suis devenue data scientist. Il y a plein de sujets autour de la création d'algorithmes, de la création de modèles d'IA également, au sens large du terme, qui m'intéressent et que j'aime beaucoup vulgariser. D'ailleurs, j'ai été prof en école d'ingénieur pour le langage Python, par exemple. Donc, en fait, j'adore vraiment enseigner. Et je me suis dit, mais quels sont les sujets que je maîtrise, que j'aime expliquer, sur lesquels j'ai une expertise et une pédagogie, une appétence pour pouvoir creuser encore plus le sujet. Et donc, par rapport à ça, j'ai créé différents cours en ligne. Et pour les mettre en vente, je suis passée par une plateforme qui s'appelle Udemy, mais il en existe plein d'autres du même style. Donc l'idée, c'est que vous filmez vos vidéos, vous les postez sur la plateforme et après, la plateforme les rend accessibles à n'importe qui à l'achat. Donc, quand même ici, le business model m'a fait m'arrêter assez rapidement parce que les plateformes vont vous prendre entre 50 et 70 % des revenus que vous générez, ce qui est énorme comme pourcentage. Donc pour pouvoir réussir à faire un chiffre d'affaires intéressant, vous devez développer une stratégie marketing. Du feu de Dieu, c'est-à-dire que vous devez vraiment parler de votre formation partout et avoir un volume très important d'élèves pour pouvoir vraiment en tirer un chiffre d'affaires qui soit correct à la fin. Et je sais à l'époque que les sujets sur lesquels j'avais créé les cours certes m'intéressaient, j'adorais faire du contenu pour expliquer ces sujets-là. Par contre, tout le domaine marketing qui allait à côté ne m'intéressait pas. absolument pas. Ce qui fait que j'ai dû vendre une dizaine de cours, peut-être une vingtaine à la montée, mais ce n'est pas un side business qui a vraiment duré dans le temps, parce que l'effort marketing qui allait avec, même si le business en soi aurait pu être intéressant avec un volume suffisant, mais l'effort marketing qui allait avec la promotion, pouvoir attirer des clients, ne me correspondait absolument pas. Donc ça, c'est un side business que j'ai tenté, que j'ai créé des contenus, j'étais ultra motivée. Mais quand je me suis rendue compte de la difficulté que j'avais à attirer les gens, je me suis dit que ça ne valait pas le coup d'y dépenser plus d'efforts. Et c'est là que rentre en scène mon cinquième side business, qui est Femme Riche, en l'occurrence. J'ai commencé Femme Riche comme étant uniquement un média d'éducation financière. C'est un média qui est hébergé sur la plateforme Substack, qui permet de diffuser des newsletters, soit de manière gratuite, soit de manière payante. Et je me suis dit, dès le départ, que je voulais que mes newsletters soient gratuites. Par contre, je voulais pouvoir être rémunérée pour le travail que je faisais. Parce qu'en soi, sortir une newsletter, ça demande du temps de recherche d'informations. Alors, clairement, je kiffe apprendre des choses sur l'argent. Et c'est toujours un plaisir pour moi d'aller fouiller un sujet, de le comprendre, de le maîtriser, de tester un investissement, de vous faire les retours. Mais ça me demande quand même du temps. Je me suis dit, quitte à y passer du temps, autant le rentabiliser. Donc, pour moi, à défaut de faire... payer les newsletters, je me suis dit que j'allais trouver des sponsors pour financer le contenu. Donc ça, c'est une forme de rémunération, donc une forme de side business que j'ai testée en 2023 avec la newsletter où j'ai intégré du sponsoring au niveau des newsletters. Donc là, j'ai commencé à aller démarcher des fournisseurs de produits comme des fournisseurs de PER, d'assurance vie, des calculateurs immobiliers, etc. En leur proposant de mettre un encart publicitaire dans la newsletter et faire rémunérer cet encart. Donc le coût du sponsoring était varié en fonction de la taille de l'encart, entre 200 et 800 euros par publication. Je trouve que ce mode de side business est vraiment intéressant, surtout si, comme moi, tu bosses sur un sujet, enfin tu es passionné par un sujet, que dans tous les cas tu crées du contenu dessus, trouver des marques qui pourraient être intéressées pour collaborer avec toi, c'est une très bonne manière de rémunérer le travail que tu fais et que tu aurais fait par ailleurs. Et ce qui est aussi très intéressant ici, c'est que plus ton audience va être importante, plus le prix que tu vas faire payer pour le sponsoring va être important. J'ai commencé avec des tarifs à 200 euros quand la newsletter avait à peu près 1500 abonnés, puis le tarif de sponsoring a augmenté. J'ai eu également quelques collaborations sur les réseaux sociaux comme Instagram. Et pareil, sur Instagram, plus ton audience va être importante, plus le coût du sponsoring, plus le prix que tu vas payer pour le sponsoring, Merci. sera également important. Donc, pour moi, c'est un side business qui, finalement, peut vraiment devenir exponentiel en termes de rentabilité, puisque plus tu vas faire grandir ton audience, newsletters, réseaux sociaux, qu'importe, plus tu vas pouvoir faire payer cher un sponsor pour un niveau de travail équivalent. Ensuite, mon sixième side business était toujours avec Sam Rich. En fait, j'ai fait évoluer le side business en passant du simple sponsoring de contenu à de l'accompagnement, du coaching, du mentoring. Aujourd'hui, c'est mon activité principale dans Femme Riche, à tel point que d'ailleurs, pour le moment, j'ai mis en pause le sponsoring. À travers le coaching et le mentoring, l'idée, c'est de donner accès à de l'éducation financière aux femmes que j'accompagne, à travers des programmes en ligne qui vont comprendre des vidéos éducatives, qui vont comprendre également du coaching de groupe, voire du coaching individuel, et du coup, faire payer pour ça. Et clairement aujourd'hui, c'est de tout temps mon side business. le plus rentable. Concrètement, comme je disais, je kiffe me renseigner sur l'argent, j'adore investir, j'adore me renseigner sur les stratégies d'investissement, et en fait, j'ai vraiment comme vision de créer un monde de femmes riches. Donc partager ce que je fais, ce que j'apprends, la manière dont je raisonne, c'est quelque chose qui me fait vraiment vibrer au quotidien. Pour moi, l'activité actuelle des femmes riches à travers le coaching ou le mentoring, C'est quelque chose qui me demande très peu d'effort. Ça me demande de l'organisation, ça c'est clair. Mais ça me demande très peu d'effort d'aller rechercher de l'information, de mettre en forme les cours, de faire les coachings. Au contraire, même si c'est une activité qui me redonne de l'énergie. Quand je suis claquée mais que j'ai un coaching, je ressors toujours du coaching en étant totalement euphorique à la fin. Et rétrospectivement, c'est également un business qui est rentable parce qu'il permet de grandir sans avoir à augmenter l'effort qui est associé. Aujourd'hui, quand je lance un programme comme Rich360, que j'accueille 10 personnes, 20 personnes ou 50 personnes comme c'est le cas aujourd'hui, l'effort pour pouvoir déployer le produit, pouvoir en parler, pour faire les masterclass en amont, pour pouvoir ensuite accompagner les coachés est le même pour moi. Puisqu'il y aura toujours le même nombre de coachings, il y aura peut-être un peu plus de questions auxquelles répondre sur les groupes d'accompagnement, mais en termes de mise en place du produit en termes de cycle de vente, en termes également de suivi, l'effort, lui, sera à peu près le même. Donc, il n'y a pas une explosion de la charge là où le chiffre d'affaires va augmenter. Ce qui veut dire que le chiffre d'affaires va augmenter sans que la charge de travail, elle, n'augmente dans la même mesure. Et pour moi, c'est vraiment un bon signal, encore une fois, d'avoir un side business qui, de un, consiste à faire quelque chose que vous aimez faire et qui vous excite vraiment au quotidien. De deux, vous permet d'avoir un potentiel de croissance de chiffre d'affaires important tout en maintenant la charge de travail. Ça, c'est vraiment important. Parce que le désir, ce n'est pas de vous créer un deuxième emploi qui va vous prendre autant de temps et d'énergie que votre emploi principal, mais vraiment d'avoir quelque chose à côté de votre emploi principal qui vient vous ramener du chiffre d'affaires et donc, à terme, un revenu complémentaire sans avoir à en sortir totalement épuisé. Voilà, je crois que je t'ai fait le tour de tous les side business que j'ai lancés jusqu'à ce jour. Peut-être que j'en ai oublié un ou deux. Mais en fait, ce que j'aimerais que tu retiennes ici, ce sont deux points essentiels. Déjà, tu peux lancer autant de side business que tu veux. Tu n'es limité par personne. Et ça, c'est la magie qu'il y a à créer de l'argent. C'est que tu peux tenter quelque chose, voir si ça marche. Si ça marche et que ça te plaît, go for it. C'est-à-dire vraiment tu y vas à fond et tu te fais kiffer tout en te générant des revenus complémentaires. Par contre, si tu vois que ça ne fonctionne pas, que l'effort que tu y mets est trop important, que finalement, ce n'est pas aussi rentable que tu l'espérais, ou même tout simplement que tu perds de l'intérêt au bout d'un moment, tu peux toujours arrêter et ce n'est pas un problème. Et le deuxième point que je voulais faire ressortir également dans la notion de side business, c'est qu'à partir du moment où tu veux vendre un produit, il faut que tu aies un public. ça peut être bête dit comme ça mais on pense souvent qu'on veut créer un side business se dire je vais avoir le produit parfait ou le service parfait sans se poser la question de qui va acheter et comment la personne va acheter. Sauf que c'est là que l'argent se crée. Donc vous devez toujours vous poser la question mais quel va être le marketing, quel va être l'effort marketing associé au side business que je vais lancer ? Est-ce que déjà je suis à l'aise avec ? Est-ce que j'ai envie de le faire ? Et quelle est l'énergie que ça va me demander ? Il faut vraiment que vous soyez à l'aise avec ces trois points-là. Parce que si vous avez un produit du feu de Dieu que vous kiffez, mais que vous détestez en parler, que vous n'avez pas envie de le mettre à la vue de tous, votre side business ne fonctionnera pas. Donc, vous aurez passé potentiellement beaucoup de temps à créer quelque chose de très bien, mais que personne ne verra jamais. Donc, la notion de l'effort marketing est vraiment à intégrer dès le début, lorsque vous lancez un side business. Voilà, on est déjà arrivé à la fin de l'épisode et j'espère qu'il t'a inspiré, qu'il t'a donné plein d'idées de side business que tu pourrais lancer. par rapport à tes compétences, à tes expertises, à tes zones de génie ou à tes zones d'intérêt. Vraiment, il y a pléthore d'idées possibles, pléthore de business models possibles. Surtout, ne te limite pas parce que développer un side business, développer une forme de revenu complémentaire, c'est l'une des façons les plus accessibles de vraiment reprendre le contrôle, le pouvoir sur l'argent qui rentre dans ta poche, tes revenus et donc de pouvoir derrière activer ta viru, c'est-à-dire Pouvoir réinvestir si tu le souhaites, pouvoir kiffer ta vie en vivant le lifestyle dont tu rêves sans avoir à donner tout ton temps en échange. Ça y est, là on est vraiment arrivé à la fin de l'épisode. J'espère encore une fois qu'il t'a plu, que tu as appris des choses. Et si c'est le cas, mets 5 étoiles sur ta plateforme d'écoute préférée. Partage l'épisode à une personne que tu kiffes et que tu veux voir s'enrichir. Et surtout, abonne-toi pour ne pas rater les prochains épisodes. je te laisse là je te dis à très vite pour le prochain épisode de Femme Riche