- Speaker #0
Salut Julien, comment tu vas ?
- Speaker #1
Salut Louis, ça va très bien et toi ?
- Speaker #0
Écoute, ça va très bien, je suis en direct dans mon studio home cinéma, enfin home vidéo depuis Ibiza. Donc j'ai réussi à transporter une caméra, un ordinateur, une table de mixage pour faire des setups podcast nomades parce que je suis nomade depuis quelques temps, on va en parler un petit peu dans cet épisode. Aujourd'hui, si on est là Julien, c'est pour lancer mon podcast Flamme. Je me suis dit que c'était une bonne idée de le faire avec toi, parce que Julien est DG chez Grain, donc on travaille ensemble. Et moi, j'ai l'habitude de faire des vidéos face caméra très scriptées, très contrôlées. Et là, je me suis dit que le podcast, c'était une renaissance, un renouveau pour moi, une nouvelle façon de m'exprimer. Donc, on lance le podcast aujourd'hui. Et puis, je vais te laisser prendre les rênes des questions.
- Speaker #1
Eh bien, première question que moi, j'aurais, c'est pourquoi ? Pourquoi ce podcast ? Pourquoi Flamme ? Et il va paraître fort en plus, surtout.
- Speaker #0
Alors, très bonne question. Pourquoi ce podcast ? Eh bien, tout simplement parce que depuis un an, je suis en train de travailler sur un nouveau projet qui s'appelle OJA. OJA, ça veut dire force, énergie, puissance. Et le but de ce projet, c'est d'aider tous les passionnés à suivre leur passion, à transformer leur passion en métier en créant un business de formation ou de coaching en ligne. Et du coup, Flamme, c'est quoi ? C'est simplement le médium qu'on a trouvé. On appelle ça une source de trafic pour se faire connaître et pour trouver des clients et pour aussi inspirer un maximum de gens à transformer leur passion en métier.
- Speaker #1
Ok. Parce que toi, en fait, déjà, initialement, tu as créé Grain. Donc Grain, c'est une école qui forme les vidéastes.
- Speaker #0
Exactement.
- Speaker #1
Donc c'était déjà une passion. C'était ta passion, la vidéo à l'époque. Oui. Et donc, du coup, tu te sers un petit peu de cette expérience-là pour lancer Flamme, enfin, Oja, pardon. et Flamme du coup le podcast qu'est-ce que du coup tu vas tirer de grain, ta première grosse expérience pour Roja ?
- Speaker #0
En fait moi j'ai toujours été quelqu'un de passionné et j'étais passionné par la vidéo pendant très longtemps, aujourd'hui c'est plus le cas parce que je pense que j'en ai trop mangé de la vidéo et j'ai monté une boîte en faisant tout moi-même et je me suis un peu écœuré de la vidéo, même si ça commence à revenir maintenant. Bref en tout cas j'étais passionné par la vidéo, j'en ai fait un métier, j'ai transformé ma passion pour la vidéo en métier en devenant vidéaste freelance... Et ensuite, en créant une école de vidéo qui s'appelle l'école Grain, une école 100% en ligne, qui forme en fait des passionnés de vidéo, qui aiment juste la vidéo, qui sont juste, c'est juste un hobby pour les aider à devenir vidéastes freelance. Et aujourd'hui, c'est toi qui dirige cette école. Et donc en fait, depuis le début, le mot passion est ancré dans ma vie. Et donc ça a été d'abord la passion de la vidéo. Et maintenant, c'est la passion tout court. En fait, ma nouvelle passion, c'est plus la vidéo, c'est d'aider tous les passionnés à créer un business à partir de leur passion. Donc voilà un peu comment est né Grain. et comment est né Oja.
- Speaker #1
Ok. Et tu as arrêté la vidéo, donc on ne te voit plus sur grain. Oui. Pourquoi ? Pourquoi on ne te voit plus trop sur grain ?
- Speaker #0
Parce que, comme je te l'ai dit au début, j'étais vraiment passionné par la vidéo. Donc ce que j'ai fait, c'est que depuis tout petit, je fais des vidéos de voyage, je fais des vidéos de parodies, je fais des micro-trottoirs. J'ai toujours fait plein de vidéos. Ensuite, j'ai suivi une carrière un peu plus classique, enfin un début de carrière où j'ai fait une école de commerce pour faire de la publicité. Pourquoi de la publicité ? Parce que ça mêlait bien le côté créatif et le côté business. J'ai toujours réussi deux côtés en moi. Je me suis lancé dans la pub, j'ai beaucoup aimé. Mais de fil en aiguille, je suis atterri chez Evian à faire de la communication digitale. Plus ou moins de la pub. Avant, j'étais en agence, c'était créatif. Quand je suis passé chez l'annonceur, c'était un peu moins créatif. Puis ensuite, je suis passé chez Danone, la maison mère, à faire de la transformation digitale. Et là, ce n'était plus du tout créatif. Et je me suis dit, mais qu'est-ce que je fais là ? Et le métier n'avait plus de sens pour moi. Du coup, je me suis dit... autant renouer avec ta passion de toujours qui est la vidéo. Et à ce moment-là, je me suis lancé en 2016 en tant que vidéaste freelance sans rien connaître à la vidéo. Juste, j'avais appris sur YouTube ou tout seul un petit peu, avec ma petite caméra quand j'étais enfant. Et j'ai acheté une formation d'un Américain qui s'appelle Parker Walbeck. La formation s'appelle Full Time Filmmaker. Cette formation a changé ma vie parce que du coup, j'ai appris. Tu connais ?
- Speaker #1
Oui, je l'avais acheté aussi à l'époque.
- Speaker #0
Pour moi, c'est mon mentor. En fait, c'est mon premier mentor, Parker Walbeck. Je n'ai jamais rencontré, mais c'est mon premier mentor. Et donc, il m'a appris avec sa formation à devenir vidéaste freelance. Donc comme ça, j'ai réussi à garder Danone comme client. C'est génial, je suis parti. En plus, j'ai gardé mon client, donc c'était super. C'est très dur au début, mais assez vite, j'ai réussi à faire 100 000 euros par an avec la vidéo en 2-3 ans. Et Parker Walbeck m'a donné envie de moi aussi monter une chaîne YouTube et donner des conseils sur la vidéo. Et c'était encore une fois par passion. Comme j'étais passionné par la vidéo, je me suis dit, je vais être freelance dans la vidéo, mais en même temps, je vais créer une chaîne YouTube et je vais donner plein de conseils. Et c'est comme ça que la chaîne Grain est née en 2017.
- Speaker #1
Et que je t'ai connue.
- Speaker #0
Et qu'elle a te suivi sur YouTube. Exactement. Déjà à l'époque ?
- Speaker #1
Moi quasiment au tout début je pense au tout début je regardais les vidéos et après quand t'avais sorti l'école j'avais attendu, il y avait un Black Friday je crois c'était en 2021 je larguais tout le temps, je me disais j'ai peut-être pas encore trop les moyens là et tout et d'un coup j'ai sauté sur l'occasion et c'est comme ça que j'ai créé ma boîte après
- Speaker #0
C'est dingue ce que tu dis parce qu'en fait aujourd'hui on travaille ensemble avec Julien, si vous aussi vous voulez monter un business sur votre passion, ce qui est fou c'est que c'est souvent les premiers qui te suivent au début qui après se lèveraient et qui restent et qui aiment la culture et que tu peux recruter par la suite Donc ça qui est fabuleux quand tu crées une audience, c'est que tu donnes tellement ce que tu as, toute ta passion, que tu vas attirer des gens comme toi, les premiers qui me suivent. En fait, au final, ça se matérialise par le fait d'être DG de ma boîte 3-4 ans après. Donc c'est fou. Bref, parenthèse. Je suis cette formation de Parker Walbeck, je lance ma chaîne YouTube, ça commence à marchouiller un peu. Et en fait, au bout d'un an, je lance ma première formation. Je me dis que ça peut être cool aussi de ne pas être que derrière la caméra à filmer, mais aussi être devant la caméra à donner des conseils. Et de vendre ça aux gens, parce qu'en fait, pour moi, la formation en ligne ou le coaching, c'est le plus beau métier du monde. Apprendre des choses, les structurer, les apprendre aux gens, transformer la vie des gens et être payé très bien pour ça, c'est exceptionnel. Donc, quand j'ai découvert ça grâce à Parker Wellbeck, je me suis dit mais c'est fou, il faut absolument que je lance moi aussi mes formations. J'en ai lancé une première, une deuxième. La première, c'était sur l'étalonnage. La deuxième, sur un pack de luttes, un peu comme des presets Instagram pour des vidéos. Ça a très bien marché. Et là, je me suis posé la question, en fait, Louis, ce que tu préfères, c'est quoi ? C'est être devant la caméra ou derrière la caméra ? Et je me suis dit, j'aime toujours être derrière la caméra, mais j'avoue que ce que je préfère, c'est être devant. Et je pense que ma zone de génie, et c'est un terme dont on parlera beaucoup chez Oja, comment trouver sa zone de génie, là où on est le meilleur ? Eh bien, j'ai trouvé à ce moment-là. Et ma zone de génie, c'est quoi ? C'est apprendre des choses, les structurer, transmettre et créer. J'ai toujours aimé la création. Et en fait, faire des vidéos comme ça, faire des podcasts, ça réunit toutes les valeurs qui sont très hautes pour moi. Et du coup, c'est comme ça que j'ai lancé en 2020 l'école grain. Je n'ai pas lancé tout seul, j'ai lancé parce que Parker Lebec, après avoir lancé son école de vidéo, a lancé la méthode sur comment lancer une école en ligne. Donc j'avais tout. J'avais le produit duquel m'inspirer et j'avais la méthode pour créer une école en ligne. Du coup, j'ai importé son système en France. Je me suis inspiré de ce qu'il avait fait, mais je l'ai adapté à ma sauce. Très important de ne pas pléager. Et j'ai lancé l'école grain en France, qui était un produit similaire au sien. Et qui, en fait, a très bien marché puisque j'ai eu de la chance ou pas, mais j'ai lancé cinq jours avant le Covid. Donc, tout le monde voulait se former à ce moment-là. Et donc, du coup, ça a bien pris. Et depuis 2020, ça ne fait que grossir. Et maintenant, Julien, c'est toi qui gères cette belle maison qui est l'école Grin.
- Speaker #1
Oui, c'est ça. Pour moi, ça a fait bizarre un peu. C'était de te suivre au départ, donc de te suivre après, même en achetant ta formation. Et après d'intégrer carrément le bateau, enfin c'est... Après l'avantage c'est que moi j'ai les yeux de... En fait je veux que Grain reste et soit comme moi je le voyais en fait à l'époque quand j'étais totalement externe.
- Speaker #0
Mais c'est ça qui est fabuleux, c'est que j'ai tellement de chance parce que une boîte classique, qu'est-ce qui se passe ? Le fondateur il crée sa boîte, il développe sa boîte et au bout de je sais pas moi, un an, deux ans, trois ans, cinq ans, dix ans, il cherche un DG. Il va publier des petites annonces dans LinkedIn, dans ce que tu veux. Et en fait, les gens qui arrivent, ils ne connaissent pas la boîte. Ils arrivent, ils découvrent la boîte. Et donc, le talent aussi du fondateur, c'est de pitcher sa vision à son futur DG. L'avantage qu'on a quand on crée une audience, en fait, nos talents, ils sont déjà là depuis le début. Et il faut juste aller les chercher où ils arrivent. Et toi, tu es arrivé, c'est marrant parce que tu es arrivé en fait dans un poste qui est un poste de support client. Est-ce qu'on peut en parler, Julien ?
- Speaker #1
Oui, carrément. C'est ça ce que je venais de... J'avais deux boîtes qui prenaient beaucoup de temps, je m'en étais séparé. Et à ce moment-là, j'avais déjà vu une offre chez Grain pour être DG en fait. Mais je m'étais dit que ça allait me prendre trop de temps dans la semaine. Donc il y avait l'offre support client, expérience client, qui prenait 15 heures par semaine. Et en fait, j'ai démarré ici. Alors c'est bien, au moins j'ai vu tout. Je voyais toutes les questions clients qui pouvaient être posées, je répondais. J'avais cette connaissance technique, donc c'était un avantage aussi au niveau du support. Et puis petit à petit, en fait, je participais beaucoup, même aux échanges, même si ce n'était pas trop ma place au départ. Mais j'avais bien participé aux échanges, donné mon avis. Et puis on m'écoutait, c'est ça qui était cool. Ce n'est pas, tu n'es pas dans la direction, donc on n'a pas, ton avis, on s'en fout. Non, pas du tout. C'était, on écoutait, on disait oui, on mettait en place. Et ça, c'est trop cool. Parce qu'au moment où on m'a proposé de passer des G, mais...
- Speaker #0
En fait, il ne le dira pas, Julien, parce qu'il est très humble, mais en fait, il y a postulé. pour un poste de support client, alors qu'il est surqualifié, puisque c'est un salaire d'entrepreneur. Il a monté six ou sept boîtes, je crois, avant. Et en fait, il est arrivé par la petite porte et en fait, il a fait des étincelles chez Grain, parce que forcément, tu es hyper talentueux, tu connais plein de choses. Et il a en fait prêté main forte à tout le monde. Et naturellement, en fait, après, il a évolué en tant que DG. Mais ce qui est fou, c'est que les personnes qui comptent et qui sont alignées sur les valeurs du fondateur... quand on crée un business, en tout cas avec une source de trafic, comme on est en train de faire aussi avec Flamme, ils sont là en fait. Et c'est tellement plus facile de monter une équipe soudée qui dure et qui est heureuse comme ça.
- Speaker #1
Non, c'est cool. Et puis après, c'est vrai que ton nouveau projet, même au JAR, ce qui est intéressant, c'est que tu as peut être en parler, mais il y a eu sur Grain, il y a eu des choses que tu as, tu vas mieux expliquer que moi, mais que tu ne veux pas forcément reproduire et que tu veux aussi expliquer aux gens.
- Speaker #0
Bien sûr.
- Speaker #1
Soyez heureux dans votre travail. Explique un petit peu.
- Speaker #0
Vas-y, quelle est ta question ?
- Speaker #1
La question, c'est en gros, qu'est-ce que tu en retiens de ton expérience grain que tu ne veux pas reproduire que Roja, et que tu vas justement dire aux gens Moi, j'ai fait ces erreurs-là, ne les faites pas.
- Speaker #0
Beaucoup de choses. Quand on monte une boîte, on... Le principal, c'est d'avoir la flamme, la passion au fond de soi. C'est pour ça que Ausha, ça s'appelle Ausha, et que ça veut dire force, énergie, puissance en sanskrit, qui est de l'ancien hindou, et que flamme, ça veut dire flamme. Le nom du podcast, c'est flamme. La flamme, c'est la base de tout, c'est la passion. Mais quand on est passionné, on fait tout avec son cœur, avec ses tripes, avec son âme, et on peut aussi se brûler avec cette flamme. Donc c'est là d'où vient en fait ce nom Ausha, c'est que la flamme, il faut la créer, elle te porte, mais tu vas t'arriver à faire de grandes choses, de travailler beaucoup, d'avoir plein d'énergie, mais ensuite tu peux te brûler. Et moi, j'ai trop travaillé sur ce projet. Je n'avais plus de vacances, je n'avais plus de week-end, je n'avais plus d'amis. Bon, je faisais toujours du sport, mais voilà. En fait, je n'avais plus du tout une vie équilibrée. Même si le déséquilibre, il faut le chercher parfois quand on est entrepreneur, c'est important de retrouver l'équilibre ensuite. Et moi, j'ai été déséquilibré pendant beaucoup trop de temps avec Grain, ce qui fait que ça m'a dégoûté de la vidéo, ça m'a dégoûté de ma boîte. J'ai fait un énorme burn-out, voire une dépression. Et là, je sors, je renais. je sors de cette dépression parce que j'ai aussi fait un travail sur moi j'ai fait un travail avec ma thérapeute que j'adore on l'embrasse qui s'appelle Amandine et maintenant je renais mais en fait tout ça pourquoi enfin je vous dis ça pourquoi c'est parce que si vous créez une boîte il y aura forcément des moments up et down et il faut continuer et il faut réussir surtout à tirer des leçons de son passé donc moi ce que je vais faire avec Oja c'est très simple c'est aider les gens à transformer leur passion en métier en créant un business qui leur ressemble très important... On voit plein de créateurs à Dubaï ou autres qui vont livrer des méthodes toutes faites mais qui ne sont pas réplicables parce qu'on a chacun notre propre flamme. On n'a pas la flamme de quelqu'un d'autre. Du coup, avec Oja, ce qu'on veut faire surtout, c'est aider les gens à trouver leur flamme. C'est quoi ma flamme à moi ? Et ensuite, de créer un business surtout sans sacrifier son bien-être et son énergie. C'est pour ça que dans Oja, il y aura toujours beaucoup de bien-être. On va parler aussi d'alimentation, de sport, de travail, de santé. Parce que moi, j'en ai souffert, j'ai fait une dépression, ça aurait pu m'emmener encore plus bas que ce que j'ai vécu. Donc voilà, l'entrepreneuriat, c'est bien, c'est beau, mais ça peut aussi être très noir. Et donc du coup, c'est très important d'avoir conscience de ça. Et quand on est passionné, même si c'est la plus belle chose au monde, il faut savoir aussi dompter cette passion, l'apprivoiser, savoir donner beaucoup de choses dans son business, mais aussi parfois se reposer. Il n'y a pas que le business dans la vie.
- Speaker #1
Non, mais tu vois, encore une fois, moi, je suis... Pourquoi ça m'intéressait quand tu m'en avais parlé ? C'est que je suis un peu aussi cette cible-là. Parce que ça fait depuis 2017-2018 que j'entreprends et j'ai eu une période où je n'arrêtais pas. Tout le temps, tout le temps, tout le temps, je me couchais à 4h du mat, je communiquais avec la Chine. C'était un bordel. Un matin, je me réveille, j'ai une paralysie faciale, la face droite complètement paralysée. Le médecin te dit qu'on ne sait pas d'où ça vient, de toute façon, on ne peut pas savoir. Potentiellement, la fatigue, le stress, je veux dire que tu vois les choses un peu différemment quand même. Donc en fait, c'est vrai qu'il faut faire attention à sa santé. C'est hyper important. Mais surtout, je reprends sur un truc que tu disais. Tu disais, on a tous notre flamme. On a tous notre passion. On a tous une situation différente. Donc, Oja, ce sera personnalisé par rapport à ce qu'on peut voir, comme tu dis, à Dubaï, on te fout de méthode et tu l'appliques, mais c'est très court-termiste. Donc, toi, il y aura vraiment du coaching, d'accompagnement. Ça va être comment, un peu ?
- Speaker #0
Donc là, c'est intéressant parce que tu poses une question plus sur le produit, sur les produits qu'on va lancer. Et le premier produit qu'on va lancer va s'appeler Oja Launch. Et clairement, la promesse, c'est quoi ? C'est de permettre à n'importe quel passionné de lancer un business qui lui ressemble, basé sur sa passion. Et comment ça va se passer ? On ne sait pas encore exactement, Julien. D'ailleurs, on attend, on veut créer cette fameuse flamme chez vous en lançant ce podcast Flamme, pour avoir aussi des feedbacks de nos premiers prospects, premiers clients pour créer le produit parfait. Donc, on n'a pas une idée fixe de ce qu'on va faire. Mais ce qui est sûr, c'est qu'il y aura... plusieurs étapes. Il y aura forcément un étape énergie. Comment réussir à avoir l'énergie pour aussi laisser naître cette flamme parce que cette flamme-là, elle ne peut pas naître parfois quand tu n'es pas bien dans ta vie. Donc, bien manger, bien faire du sport, bien travailler, avoir des bonnes relations amicales. Donc, il y aura un module forcément sur l'énergie, sur le momentum. Il y aura sûrement un module sur comment créer une offre, sur comment créer aussi une source de trafic, donc du contenu comme on fait là, sur comment vendre. Donc, je pense qu'il y aura plusieurs modules. Mais ce qui est important de retenir, c'est qu'il y aura un coach qui suivra chaque élève chaque semaine. Et tous les produits, alors je ne vais pas, désolé, mais je tape un peu sur les dubaillotes et sur des formateurs en ligne qui font du travail vraiment qui est très laborieux. Ou ils vont te promettre du coaching, mais c'est du coaching qui dure trois mois. Et c'est du coaching fait par un enfant de 17 ans qui t'appelle tous les jours en te disant, parce que j'ai acheté des formations des gens de Dubaï, je ne vais pas citer un nom, mais j'ai acheté. Le mec t'appelle tous les jours pour te dire, alors tu en es où sur tes objectifs ? Est-ce que tu as réussi ou pas ? Ça, pour moi, ce n'est pas du coaching, c'est juste de l'agression. Nous, ce qu'on va faire, c'est avoir un vrai coach qui est certifié, qui est coach professionnel et qui va suivre chaque membre pendant des périodes, on ne sait pas encore, trois, six mois, un an. En tout cas, ce qui est sûr, c'est qu'on ne va pas vendre du rêve en disant deviens millionnaire en trois mois Ça n'existe pas, c'est impossible. Nous, ce qu'on fait chez Oja, c'est qu'on promeut le slow business, le slow entrepreneuriat. Moi, je suis un escargot du business en ligne. Mon business grain, j'ai commencé à travailler dessus en 2018 et il a commencé à porter ses fruits en 2022. C'est normal, c'est le business, c'est long. Donc, tout ce qu'on va vous apprendre à faire chez Oja, c'est de monter un business en prenant votre temps, à votre rythme, sans sacrifier votre bien-être. quand même en mettant un peu d'intensité parce que c'est important aussi, et surtout suivi, encadré par un coach, avec une communauté, avec aussi des rencontres dans la vraie vie. Vraiment, on veut... Alors, je vous préviens, ça va coûter cher. Donc, si vous n'avez pas d'argent à investir en vous, ne venez pas chez nous. Par contre, il va y avoir des résultats, et des résultats sur le long terme. On veut suivre les gens vraiment sur des années.
- Speaker #1
Oui, c'est vraiment un investissement. C'est un investissement sur soi-même et sur potentiellement une nouvelle carrière. Mais après, quand tu dis qu'un business, c'est long, ça, moi, j'ai toujours du mal. Avec ça, on a tous envie de devenir millionnaire en trois mois. En vrai, si c'était si facile, tout le monde le ferait. Je ne sais même pas si on vendrait des formations.
- Speaker #0
C'est le problème de la société actuelle qui ne te montre que des objets brillants et qui te fait croire que c'est facile de gagner de l'argent. Ce n'est pas facile, c'est difficile, mais c'est ça qui est beau. C'est la difficulté. Il faut embrasser cette difficulté, embrasser ce processus, prendre le temps de devenir bon. C'est ce qu'on vous apprend à faire avec Oja. Et surtout... J'aimerais rajouter une chose. On veut vraiment concurrencer les écoles de commerce. Nous, ce qu'on veut faire, c'est être l'anti-école de commerce. En tout cas, on veut vous apprendre à créer un business. Et on veut vous apprendre à créer un business seul, sans lever de fond. On n'est pas des startups, nous. On crée des business en ligne, de coaching en ligne et de formation en ligne pour commencer. Peut-être que plus tard, on créera autre chose. Mais pour l'instant, moi, je vais vous apprendre à faire ce que je sais faire. Ce que je sais faire, c'est quoi ? C'est business de coaching en ligne ou de formation en ligne. Et grâce à ça, vous allez être heureux, vous allez être riches. Et vous allez impacter plein de gens.
- Speaker #1
Et du coup, ça va s'adresser à quelle typologie de personnes ? Des jeunes qui n'ont jamais travaillé, des personnes qui sont plutôt en reconversion ?
- Speaker #0
Ça va s'adresser à des passionnés qui sont sans reconversion, parce que forcément, il faut avoir un petit budget pour investir chez nous. Soit des personnes qui, directement après leurs études, ou même qui n'ont pas fait d'études, veulent se lancer dans une passion. Moi, le critère principal pour rejoindre les promotions OJA... C'est quelqu'un qui a une flamme en lui qui est forte, qui a une intensité en lui et qui va tout exploser. Qui sait qu'il va réussir à vivre de sa passion et qui a juste besoin d'un moyen pour le faire. Et nous, ce qu'on veut être, c'est ce moyen-là. On veut permettre à tous les passionnés de vivre pleinement de leur passion. C'est ça le why de Ausha. C'est permettre à tous les passionnés de vivre pleinement de leur passion. Et aujourd'hui, comment on va le faire ? On va le faire avec des programmes d'accompagnement qui vont aider les passionnés à lancer et développer, parce qu'il y aura aussi un programme dans le futur où on va aider à développer un business. de formation en ligne. Et aussi, j'en parle dès maintenant, on va créer sûrement aussi une autre branche, même si c'est encore un tas de projets, pour aider les passionnés à développer leur business dans les meilleures conditions possibles. Donc, on a des idées assez dingues, mais pour l'instant, on n'en parle pas parce qu'on va commencer les choses étape par étape. Et le premier produit qui est pour moi mon produit de cœur et qui est la plus belle chose que je peux lancer aujourd'hui avec mon expérience, c'est Ausha Launch, à savoir comment lancer un business de formation et de coaching basé sur une passion.
- Speaker #1
Sur la flamme.
- Speaker #0
exactement,
- Speaker #1
sur la flamme et du coup pour en revenir un peu sur le podcast flamme du coup qui on va y voir ? on va voir qui dans ce podcast explique nous un petit peu comment ça va être ok,
- Speaker #0
alors ce podcast là peut-être que je peux vous parler des objectifs du podcast, en fait il y a 3 objectifs le plus important des objectifs c'est de vous donner envie de suivre votre passion et de lancer un business. En fait, chacun, je pense à une petite flamme, chacun a une passion. Dans sa vie, soit on l'a suivie, soit on ne l'a pas suivie. Ça dépend de son éducation, ça dépend de plein de facteurs externes. de ses parents, etc. Moi, ce que je veux avec ce podcast, c'est réveiller la flamme en vous, parce qu'elle existe, je pense, chez chacun, et ensuite vous aider à la transformer en business. Comment on va faire ça ? Je pense avec principalement deux formats, Julien. Le premier format, c'est un format où je vais aller à la rencontre de passionnés qui ont suivi leur passion. Ça peut être des entrepreneurs, ça peut être des artistes, ça peut être des écrivains, ça peut être des sportifs, des gens qui ont suivi leur passion et voir en fait la flamme en eux. Je veux que vous puissiez entendre et voir, parce qu'il y aura podcast vidéo et audio. la flamme dans leurs yeux, la flamme dans leur voix et que ça vous donne envie d'allumer votre flamme. Ça, c'est la première chose. Et deuxième chose, c'est des réflexions. Mes réflexions. Peut-être tes réflexions aussi, Julien. On va voir. On ne sait pas comment ça va évoluer, ce podcast. À ce moment-là, je vais être tout seul dans les podcasts. À ce moment-là, je vais être avec Julien, avec d'autres gens. En tout cas, je vais partager mes réflexions d'un mec qui a monté un business passion et qui est en train d'en monter un deuxième. Donc, d'un côté, des passionnés pour vous inspirer, vous montrer que c'est possible de créer un business basé sur une passion. Et de l'autre côté, mes réflexions. d'un entrepreneur qui développe un business passion pour vous montrer concrètement comment faire. Ça, c'est le premier objectif. C'est vraiment allumer la flamme chez les gens. Et ensuite, je dirais deux autres objectifs. Le deuxième, c'est de me donner un espace à moi. C'est important d'être bien dans son business. Moi, pendant longtemps, j'ai fait des vidéos hyper contrôlées où je notais tout, j'étais enfermé dans quelque chose. Grin, en fait, on me voit tout sourire, content sur YouTube, mais au fond de moi, je n'étais pas très heureux. Et ce que je veux ici, c'est avoir un nouvel espace où je me sens bien et je suis moi-même, je suis authentique. Donc, c'est me donner un espace dans lequel je peux partager des choses de façon détendue, authentique, sans contrôle. Et là, c'est ce qu'on est en train de faire aujourd'hui, même si c'est le premier épisode, donc on n'est pas trop habitué, mais bientôt, on sera à l'aise, je pense. Et enfin, rencontrer aussi des gens passionnants et passionnés pour m'élever en tant que personne. Donc, vous voyez, c'est assez égocentrique un podcast souvent. C'est beaucoup pour moi, mais c'est aussi beaucoup aussi pour les gens. Pour que je puisse faire le bien, il faut que je sois bien moi. Donc, avoir un espace pour moi, pour être bien, rencontrer des gens. et surtout ensuite, parce que c'est la mission de la boîte et c'est la mission de ma vie, de mes 5-10 prochaines années, je te le dis Julien, c'est d'aider les gens à vivre de leur passion, à suivre leur passion. Voilà l'objectif de Flamme. Ok.
- Speaker #1
Et t'as des noms que tu rêverais d'avoir ? Wow. Deux par exemple. Deux que tu les as, c'est le gros qu'il faut.
- Speaker #0
En fait, c'est marrant que tu me poses la question parce que je cherche, il y a beaucoup de podcasts avec des... qui interviewent des grosses stars, des gens connus. Moi, ce n'est pas mon but, forcément. C'est surtout d'aller voir...
- Speaker #1
Peut-être pas des gens connus. Oui, je sais. Ça peut être des gens que toi, tu connais seulement.
- Speaker #0
Oui, mais je veux surtout aller voir des gens qui ont la passion dans le cœur et que ça s'entende. Et ensuite, des personnes... Peut-être mon premier mentor, Parker Welbeck, tu vois, l'Américain. Peut-être qu'un jour, on fera des podcasts en anglais. Non, en fait, je dis ça parce qu'on a tous besoin d'un mentor. Vraiment, et moi, ma vie a changé le jour où j'ai trouvé cet Américain. Il ne me connaît pas, on a échangé par mail, on ne s'est jamais vu. Mais ce mec-là a changé ma vie. Et donc moi, ça serait quelque chose de magique pour moi de pouvoir inviter à mon podcast la personne qui a changé ma vie. Et je veux être cette personne-là pour plein de gens. Je veux changer la vie de plein de passionnés. C'est ma mission aussi avec ce podcast. Donc désolé pour cette réponse un peu décalée, mais je n'ai pas forcément en tête de personne que je veux absolument avoir. Je veux surtout commencer à le faire. le lancer le plus vite possible et kiffer un maximum.
- Speaker #1
Très bien. Et du coup, ça va être tout le temps dans ce format-là, un peu à distance, ou par exemple vraiment en physique, un peu comme on peut voir aujourd'hui sur… Pour l'instant,
- Speaker #0
on n'en a pas encore parlé, mais moi, j'ai quitté Paris il y a un mois. J'ai vécu à Paris pendant dix ans. J'ai beaucoup voyagé aussi parce que mon business me le permettait, donc je partais en voyage régulièrement. Mais là, j'ai quitté Paris pour de bon, je suis 100% nomade. Donc là, je suis à Ibiza. Dans quelques jours, je vais à Fuerteventura. Après, je vais à Cape Town pendant plusieurs mois, dans l'Afrique du Sud. Du coup, j'ai tout en l'air avec moi. Une lumière, une super caméra, un micro, une mixette. Voilà, je suis vraiment le nomade confort. Je suis l'anti-nomade minimaliste. Et on a prévu de faire beaucoup de podcasts à distance, évidemment, puisque je suis à distance. Mais si jamais je trouve quelqu'un qui est à Cape Town ou où je suis, évidemment, ça peut être sympa de faire des podcasts en vrai aussi. Mais ce que je veux surtout, c'est tenir un rythme. Je veux alimenter ce podcast régulièrement. Et pour ça, c'est quand même cool de pouvoir le faire à distance. Donc, ce sera beaucoup à distance, mais ce sera diffusé sur YouTube. Donc, sur toutes les plateformes de podcast. C'est un peu bizarre de dire toutes les plateformes de podcast. Sur quoi ? Sur Spotify ? Sur Apple Podcast, je pense.
- Speaker #1
Spotify, Apple Podcast, Deezer.
- Speaker #0
Il faut savoir, c'est Julien qui gère toute la technique. Moi, je suis le créateur de contenu. Mais du coup, c'est toi qui... C'est mieux que moi. Mais en tout cas, ce que je veux, c'est que ce soit diffusé sur les plateformes de podcast et aussi sur YouTube. Pour que ce soit en vidéo et en audio. Et en termes de rythme, on va essayer de faire un épisode par semaine peut-être, ou au début deux par mois, je ne sais pas, on verra, on se laisse en fait, on n'est pas trop dur avec nous-mêmes, on se laisse la flexibilité d'apprendre à être bon, d'apprendre à kiffer, de prendre le temps comme je dis avec Oja. Voilà, il faut se laisser le temps de faire les choses tranquillement, à son rythme.
- Speaker #1
Je pense que l'important, c'est de faire. Nous, on a un peu ce côté très exigeant, vu qu'on vient de la vidéo, on veut que tout soit parfait, tout soit nickel. Mais bon, si on attend que tout soit parfait, parfait, en fait, on ne le fera jamais, parce qu'il y aura toujours un petit truc.
- Speaker #0
Et d'ailleurs, quand on a commencé le podcast, Julien, moi, j'étais hyper stressé, il y a une 33 minutes qu'on a commencé. On ne savait pas comment commencer le podcast, on était en panique. On fait comment ? Est-ce que je fais une intro ? Est-ce que je te pose des questions ? Est-ce qu'on commence ? Salut Julien ! Et je pense que si vous recrutez le début, c'est un peu gênant. Mais en fait, ce n'est pas grave. Il faut juste le faire. Donc là, on a passé ce moment gênant. Et là, on est dans une discussion super cool. Et je fais le lien avec vos projets à vous. Si vous avez des projets que vous lancez, au début, ça va toujours être dur. Vous allez être nul. C'est sûr, vous allez être très nul. Il faut juste accepter d'être très nul. Se lancer. Et à force de répéter, vous allez devenir très bon.
- Speaker #1
C'est ce que je disais un petit peu au support aux personnes quand on parlait de la première vidéo. Je leur disais tout le temps, ce qui me parait beaucoup de la formation, il faut la suivre, mais surtout, il faut aller dehors, faire des vidéos. C'est un peu ton slogan, d'ailleurs, sortez et faites des vidéos.
- Speaker #0
Exactement.
- Speaker #1
Je leur disais tout le temps, suivez la formation, mais prenez le même temps pour aller pratiquer. Parce que c'est là où vous allez vous rendre compte des erreurs que vous faites et que vous n'allez pas les faire. Et je leur disais, votre première vidéo, elle ne sera pas folle. La deuxième, elle ne sera pas folle, mais mieux que la première. Et ainsi de suite, jusqu'à là, peut-être la 10, 20, 30e, où là, ça sera un banger, quoi. Mais il faut faire. Parce qu'en fait, c'est ça le problème. Le problème, c'est que... On ne fait jamais, on n'apprend pas.
- Speaker #0
Dans l'entrepreneuriat, c'est pareil. Il faut juste faire.
- Speaker #1
Après, dans l'entrepreneuriat, je ne sais pas toi, la vision que tu as là-dessus, mais je trouve souvent quand quelqu'un a échoué, il y a toujours un peu ce... Ah, il a raté sa boîte. Il a craché sa boîte. Alors qu'en fait, moi, je trouve que quelqu'un qui a craché sa boîte, je me dis qu'il a appris plein de trucs. Bien sûr. Il est bon. Et en fait, je mets ça à l'échelle d'une entreprise, mais si tu pars sur une vidéo, sur un projet... C'est pas grave, t'apprends.
- Speaker #0
C'est un peu la culture française de l'échec versus la culture américaine. Évidemment que l'échec, c'est génial. Il faut échouer, échouer, échouer, échouer. Et ensuite, c'est comme ça qu'on apprend. Moi, ce podcast-là, je fais un parallèle avec ça. La semaine dernière, j'ai essayé combien de fois de faire ce podcast, Julien ? Là, ce qu'on fait maintenant, vous ne vous rendez pas compte, mais c'est un truc que dans ma tête, ça explose depuis des mois. J'y pense tous les jours. Je n'arrive pas à passer à l'action. Je me sens nul, comme tout le monde. On se sent tous nuls, en fait. La seule différence, c'est comment tu réagis au fait de te sentir nul. Est-ce que tu abandonnes ou est-ce que tu continues ? Et j'ai continué, j'ai continué. La semaine dernière, je me suis mis tout seul devant la caméra sans Julien. Cinq fois, cinq fois j'ai raté, je transpirais à grosses gouttes, j'étais pas bien, je dormais mal et je me disais je vais jamais y arriver. Et en fait, si, on va y arriver, il faut juste réessayer, réessayer. Et un jour, je me suis levé, j'ai appelé Julien, j'ai fait Julien, j'arrive pas. Viens, on le fait à deux, tu me poses des questions. Il m'a dit, ça te tombe bien, moi aussi j'ai toujours rêvé de lancer un podcast. Eh ben, on y va. Voilà. Donc c'est juste essayer, réessayer et jamais jeter l'éponge. Et c'est que ça, en fait, la vie. Si tu essayes plein de fois, tu vas réussir.
- Speaker #1
Non, c'est ça, c'est la répétition, la répétition, la répétition. Et ça, on ne le dit jamais assez. Je crois que c'est on a toujours l'impression comme tu parles des dubaïotes, tout est beau, ils ont tout réussi, tout ce qu'ils font. Et tout ça se transforme en or. En fait,
- Speaker #0
non, exactement. Et moi aussi, dans Oja, ce que je veux faire, c'est vraiment montrer toutes les facettes de l'entrepreneuriat, tu vois tout ce qui est difficile aussi. et là c'est ce qu'on fait, on veut être vulnérable et authentique en fait c'est pas rose tous les jours moi j'ai fait une dépression, j'ai fait un burn-out j'étais en souffrance j'ai même pris de la drogue j'ai fait des trucs parce que j'étais en souffrance et en fait je veux pas cacher ça, je veux l'expliquer aux gens et en fait ça va être, dans Roja ça va être que ça ça va être pure authenticité oui on a une passion, oui on va réussir oui on va impacter des gens, être très heureux gagner plein d'argent, parce que c'est important aussi l'argent pour moi mais on va parler aussi de nos souffrances on va être vulnérable, de notre douleur Et on va s'ouvrir parce que c'est comme ça qu'on est plus fort. Et ce n'est pas en montrant sur les réseaux sociaux que des voitures de luxe et qu'une vidéo ouf qu'on va réussir, je pense, à aider au mieux les gens. Donc voilà, je pense qu'on a fait un petit peu le tour de ce podcast. Donc pour résumer, Flamme, c'est quoi ? C'est un podcast dans lequel je vais à la rencontre de passionnés qui ont suivi leur passion et je partage mes réflexions. sur la création d'un business passion. Pour l'instant, c'est ça. Peut-être que ça évoluera. En tout cas, si ça vous a parlé, ce qu'on a dit, qu'est-ce qu'on doit dire ? Je viens. Abonnez-vous.
- Speaker #1
Ouais, abonnez-vous au podcast. Il faut mettre des notes aussi. C'est hyper important de mettre les notes 5 étoiles.
- Speaker #0
Voilà, 5 étoiles. On n'est pas encore habitués, mais mettez 5 étoiles. Mettez un like sur YouTube si vous voyez cette vidéo sur YouTube parce que ça fait remonter dans l'algorithme. J'aurais juste kiffé. Écoutez-nous en voiture. Écoutez-nous en jogging. prenez le temps d'écouter ça tranquillement Est-ce que tu avais d'autres questions Julien ? Non, t'as répondu. Donc, normalement, toutes les semaines, on devrait retrouver un épisode.
- Speaker #1
Ouais, je pense.
- Speaker #0
On va te voir aussi sur YouTube. On te revoira sur YouTube ?
- Speaker #1
Grande question, Julien. Est-ce qu'on va faire qu'un épisode par semaine ? Dans tous les cas, il sera diffusé sur YouTube. Donc, vous allez me voir sur YouTube. Mais est-ce que vous allez me voir en mode face caméra comme avant ? Oui. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Peut-être, peut-être pas. Parce que... On finira là-dessus, si tu veux. Ouais. Moi, je suis quelqu'un de très structuré. OK ? Et quand j'explique des choses aux gens, j'aime que ce soit structuré. Donc, j'ai toujours fait des vidéos YouTube très carrées, préparer les choses. Et donc, j'aime ce côté aussi carré, sans chichi, sans blabla inutile où je vais droit au but. Mais en même temps, ce truc-là, il peut aussi me faire du mal. Donc, je suis en train d'essayer de trouver la meilleure façon de transmettre mes idées, que ce soit des vidéos quotidiennes, vidéos gratuites, mais aussi des idées de formation payante. Donc, comment est-ce qu'on va délivrer cette formation ? Au Jalounge, est-ce qu'on va le délivrer sous forme de... podcast, un peu comme ça, sous forme de vidéo très structurée, on sait pas. En tout cas, on est en train d'essayer de trouver la meilleure manière de le faire. Donc voilà, je sais pas, vous allez me retrouver sur Youtube sous forme de podcast, mais sous forme de vidéo plus structurée peut-être, on verra.
- Speaker #0
Et ben on peut leur dire merci de l'écoute, on leur dit au revoir.
- Speaker #1
Et ouais, et alors du coup tu me disais c'était quoi mon ancien slogan Julien ?
- Speaker #0
C'était sortez et faites des vidéos.
- Speaker #1
C'est pas mon ancien, c'est le slogan de grain toujours, sortez et faites des vidéos. C'est quoi le slogan de Ausha ? Tu le connais ou pas ?
- Speaker #0
Dis-le nous.
- Speaker #1
tu le dis beaucoup tu le dis beaucoup moi d'abord dans le grain je disais sur ce je vous dis à très vite et n'oubliez pas sortez et faites des vidéos et là si jamais je refais des vidéos sur Youtube en tout cas je dirais sur ce je vous dis à très vite et surtout restez passionnés ça te va ? c'est beau merci Julien c'était trop cool et puis on se retrouve le plus vite possible peut-être dès la semaine prochaine ou dans deux semaines on verra parce que là on lance le podcast donc il faut qu'on le Voilà, le début, c'est toujours le plus difficile. Il faut qu'on le mette en ligne, il faut qu'on figure tout, mais ensuite, ça va dérouler mieux.
- Speaker #0
Et bon, on peut stopper là-dessus,
- Speaker #1
alors. Ça marche. Bonne semaine, Julien. Et puis, merci à tous pour l'écoute. À bientôt. Oui, salut. Ciao, ciao.