Bievenue sur Fragments 🎙️ Avec cet épisode introductif, j'ai souhaité me présenter, parler de la genèse de ce podcast, de ce qui m'anime, afin de (bientôt) vous embarquer avec moi dans des conversations qui s'annoncent passionnantes 🔥 Fragments c’est un podcast sur l’engagement, où j’interroge des personnes inspirantes et engagées de par leurs parcours, leurs actions, leurs façons d’appréhender le monde. Ça peut être un engagement politique, culturel, associatif, écologique, scientifique, mon but est de, modestement, donner goût à l’engagement aux personnes qui écouteront ce podcast, et de vous faire découvrir la multitude d’engagements qui existent au travers des différents intervenants et intervenantes.  Restez à l'écoute pour la première rencontre de ce podcast 👀 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Pour ce premier épisode de mon podcast, j’ai le plaisir de recevoir Antoine Jochyms.Antoine est le co-fondateur, avec Jasser Jebabli, d’Open Politics, une école de formation à l’engagement politique, gratuite et apartisane, qui forme aux codes de l’écosystème politique, aux enjeux de stratégie électorale, de vie parlementaire et plus encore avec des intervenants et intervenantes très différents les uns des autres afin de faire émerger une nouvelle génération de leaders. Dans cet épisode, Antoine retrace son parcours, de l’ESSEC à Sciences Po, à la croisée du monde associatif, du conseil et de la tech. Il évoque l’importance de l’engagement dans sa vie, de ce qui l’a amené à co-fonder Open Politics, sa vision de la politique, de ce qui l’inquiète et lui donne de l’espoir.Nous avons aussi discuté des barrières à l’engagement politique, de la dépolitisation des débats, de justice sociale, et de l’importance de bien s’entourer.Si Open Politics a piqué votre curiosité et que la formation vous intéresse, rendez-vous sur le site : https://www.openpolitics.fr/ ou sur Instagram : https://www.instagram.com/open_politics/ Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Cette semaine dans Fragments, j’ai le plaisir de recevoir Margot Lecoeur.Margot est la Présidente de l’association Des Territoires aux Grandes Ecoles, qui agit pour l'égalité des chances partout en France en fédérant étudiants et jeunes diplômés des territoires. Au travers diverses actions comme des interventions dans des lycées, du mentorat ou des bourses, l’organisation apporte son aide aux lycéens de nos territoires dans l'accès aux cursus sélectifs. Ce faisant, DTGE espère favoriser l'égalité des chances et renforcer l’économie locale en resserrant les liens entre les diplômés et les entrepreneurs locaux. Dans cet épisode, Margot nous parle du Pays-Basque, de ce que s’engager dans le milieu associatif lui a apporté, et de l’importance de la représentation et des rencontres dans la construction d’un parcours. Alors qu’un lycéen francilien à 6 fois plus de chances d’intégrer une grande école, son humilité et sa volonté de combattre les inégalités territoriales sont admirables.Avec Margot, nous avons aussi discuté de la nécessité de recréer du lien avec les territoires, de précarité étudiante, et de l’importance du collectif.Si l'association vous intéresse ou que vous pensez qu'elle pourrait être utile à quelqu'un de votre entourage, rendez-vous sur le site : https://www.desterritoiresauxgrandesecoles.org ou sur Instagram : https://www.instagram.com/dtge_/ Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Est-ce qu’il suffit d’être jeune en âge pour représenter la jeunesse dans ses combats, ses idées, ses aspirations ? Pour ce nouvel épisode de Fragments, mon podcast sur l'engagement, j’ai eu la chance de pouvoir échanger à ce sujet avec Mahaut Chaudouët Delmas 🎙Autrice, podcasteuse, et conseillère politique, elle vient de publier deux livres, ‘Le pouvoir jeune’, une enquête de plus d’un an auprès des jeunes militants et militantes les plus engagés de notre pays, qui démontre la nécessité de construire l'avenir avec celles et ceux qui vont le vivre, et ‘Gagner’, co-écrit avec Samuel Grzybowski et Priscillia Ludosky, qui revient sur les différentes luttes qui ont constitué notre histoire et les postulats stratégiques à envisager pour répondre aux urgences sociales, écologiques et démocratiques. Avec Mahaut, nous avons discuté de la nécessité pour les partis politiques de faire une place aux jeunes en leur sein - et d’intégrer leurs combats et leurs façons de militer, du besoin de formation politique et de transmission, et de la refondation de la gauche. 🤝J’ai vraiment apprécié faire cette interview, car Mahaut ne se contente pas de dresser un constat mais formule aussi des propositions de réformes très concrètes, comme l’abaissement du droit de vote, la dotation de certaines instances consultatives d’un pôle jeune, la réforme de la pratique référendaire, une limitation plus poussée du cumul des mandats - et tant d’autres, qu'il vous reste à découvrir !Vous pouvez retrouver toutes les productions de Mahaut, podcasts et écrits, via ce lien : https://linktr.ee/mahautchaudouetdelmasBonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Cette semaine dans Fragments, j’ai la joie de recevoir Alice Apostoly.Alice est la co-fondatrice de l’Institut du Genre en Géopolitique, un think tank qui adopte le genre comme outil d'analyse, de recherche et de compréhension des relations internationales. Né du constat que le genre est trop peu intégré comme instrument pour aborder les enjeux qui traversent l’actualité internationale et que la géopolitique n’est pas neutre, l’institut propose de s'en saisir pour comprendre nos sociétés et les dynamiques à l'oeuvre. Leur but ? Sensibiliser la société civile, conseiller les décideurs et décideuses politiques pour que le genre devienne un outil transversal des politiques nationales et étrangères, et proposer des recommandations, avec déjà plus de 400 travaux de recherche publiés.Dans cet épisode, Alice aborde des concepts cruciaux comme celui de la diplomatie féministe, de l’impact des violences sexistes en ligne, de ce qu’est le masculinisme et de ses recommandations pour une politique étrangère féministe européenne, à l’approche des élections le 9 juin prochain.Avec Alice, nous avons aussi échangé autour de la notion d’intersectionnalité, des objectifs de développement durable, et de la difficulté d’écrire à chaud sur certains sujets.Si vous souhaitez en savoir plus sur l'IGG, lire leurs publications ou même y contribuer, rendez-vous sur le site : https://igg-geo.org/?page_id=182 ou sur Instagram : https://www.instagram.com/igg.geo/Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Comment lutter contre l’auto-censure et le sentiment d’illégitimité ? De quelle façon peut-on récréer du lien entre les institutions et les citoyens, notamment les plus précaires ? Pour ce nouvel épisode de Fragments, j’ai eu le plaisir de recevoir Ahouefa Fagbemi et Aminata Fadigua.Ahouefa Fagbemi et Aminata Fadigua. Ahouefa et Aminata sont étudiantes, mais aussi - et surtout - directrice générale et directrice du pôle relations publiques de l’association Cité des chances.Cité des chances est une association qui promeut l’engagement citoyen des jeunes de banlieues et de quartiers populaires en leur donnant des outils, au travers d’un parcours citoyen, et diverses actions comme le projet Europe ou La Cité a Voté, pour les faire grandir et les accompagner dans la construction de leur vie citoyenne. Dans cet épisode, Ahouefa et Aminata évoquent l’importance des rencontres et de la solidarité, de ramener la politique dans le quotidien des gens et de précarité, du Parlement qui semble parfois si loin mais qui est pourtant la maison du peuple, mais aussi et surtout de la beauté des victoires collectives.La transmission est un tremplin, une fenêtre qui s’ouvre sur le monde qui permet d’imaginer son destin et de faire exploser les plafonds de verre. Cité des chances permet cela, d’espérer un monde plus juste, de faire société au-delà de nos différences et en additionnant nos richesses, et de se sentir tous légitimes et tous capables.Si l'association vous intéresse ou que vous pensez qu'elle peut être utile à quelqu'un de votre entourage, rendez-vous sur le site : https://www.citedeschances.org/ ou sur le compte Instagram : https://www.instagram.com/citedeschances/ Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Pour ce nouvel épisode de Fragments, mon podcast sur l'engagement, j’ai eu le plaisir de recevoir Claire Thoury. Claire est la présidente du Mouvement associatif, la représentation nationale des associations françaises, elle est membre du Conseil économique, social et environnemental, le CESE, et autrice de « S’engager, comment les jeunes se mobilisent face aux crises ».Dans ce livre, elle retrace l’évolution des formes d’engagement, que le sociologue Jacques Ion identifie et théorise en 1997 avec le passage d’un engagement dit « timbre » à un engagement dit « post-it », analyse en quoi les engagements des jeunes diffèrent de leurs aînés, pour quoi ils s’engagent et analyse leur rapport aux institutions, dans un contexte où leur taux d'abstention aux élections ne cesse de croître.Dans cet épisode, Claire évoque l’importance du collectif et de faire société, s’inquiète des attaques contre les libertés associatives, démystifie l’idée selon laquelle le dialogue intergénérationnel serait rompu, et rappelle le besoin de construire une culture politique commune, notamment grâce à la transmission. Plus que jamais, il est nécessaire de défendre une démocratie sociale et civile forte, avec des corps intermédiaires capables de transformer des indignations en leviers de mobilisation collective, mais surtout de garder comme boussole l’optimisme de la volonté, et de toujours embrasser la complexité de la nuance. Retrouvez ici le site internet du Mouvement associatif : https://lemouvementassociatif.org et le livre de Claire Thoury est disponible là : https://www.lalibrairie.com/livres/changer-le-monde--l-engagement-des-jeunes-face-aux-crises_0-10223679_9782363833938.htmlBonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En 2021, 85% des femmes dans le monde étaient exposées à de la violence sur Internet, notamment à du harcèlement, selon une étude de The Economist Intelligence Unit, et ce chiffre a probablement explosé depuis.Pour parler de cybersexisme, j’ai eu le plaisir de recevoir Rachel-Flore Pardo pour ce nouvel épisode de Fragments, mon podcast sur l'engagement.Rachel-Flore est avocate, activiste féministe et l’une des co-fondatrices de l’association Stop Fisha qui lutte contre le cybersexisme.Stop Fisha soutient moralement et juridiquement les victimes de violences en ligne, signale les contenus illicites en qualité de tiers de confiance, et sensibilise le plus grand nombre aux mécanismes du cybersexisme. Les comptes Fisha désignent des comptes qui divulguent sur les réseaux sociaux, sans leur consentement, des photos et des vidéos intimes, principalement de jeunes filles et de femmes.Dans cet épisode, Rachel-Flore aborde le danger que représentent les deepfakes, alors que plus de 96% des deepfakes seraient à caractère pornographique, du besoin de réguler le numérique pour ne pas faire d’internet une zone de non-droit, de la nécessité de lutter contre la haine en ligne et d’antisémitisme.A la fois un idéal philosophique et moral et une question de droit, la justice est aussi un sentiment. Un rempart, une aspiration, un besoin absolu de se lever quand apparaissent les premiers signes de toute forme de haine, de domination, et de ne jamais s’y habituer. Je nous souhaite des lois justes et de rester vigilant notre vie durant, c’est peut être le chemin de notre réparation collective.Retrouvez ici le site internet de Stop Fisha : https://stopfisha.org et le compte Instagram de Rachel-Flore Pardo : https://www.instagram.com/rachelflore/Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

« Je sais que la poésie est indispensable, mais je ne sais pas à quoi. » Ces mots sont ceux de Cocteau dans son discours de réception à l’Académie française en 1995. Pour ce nouvel épisode de Fragments, mon podcast sur l’engagement, j’ai eu la joie de recevoir Blaise Rosnay, le gérant et fils du poète Jean-Pierre Rosnay, fondateur du Club des poètes.Le Club des poètes est un lieu hors du temps, absolument unique et qui m’est cher. On y dit des poèmes, par coeur toujours, entouré de vieux livres et de recueils de poètes plus contemporains, de bougies et de verres de vin, déclamant Robert Desnos, Anna de Noailles ou Forough Farrokhzad. Établi à quelques mètres de l’Assemblée nationale, ce repaire d’âmes sensibles à la beauté des mots a vu défiler Louis Aragon comme Christian Bobin, et rassemble des personnes de tous âges, de toutes classes sociales, de toutes opinions politiques, ayant parfois pour seul lien, l’amour de la poésie. Avec Blaise, nous avons parlé de l’importance de la substance de la langue et du besoin de trouver le mot juste, de la nécessité de révéler toute la beauté de la poésie et de la littérature comme compagnonnage, des émotions qui dansent en nous, de liberté et d’aventure.Loin des clichés poussiéreux, la poésie a une véritable utilité sociale et n’est pas nécessairement éthérée - faire vivre le verbe peut permettre de nous rejoindre dans nos singularités, nous retrouver dans l’écoute, et de peupler nos esprits. Il est urgent de réinventer, de réimaginer un langage commun pour nous comprendre, et c’est sûrement là que réside toute la force de l’art.Si cet épisode a piqué votre curiosité et que vous souhaitez passer la porte du Club des poètes, c'est au 30 rue de Bourgogne dans le 7ème arrondissement de Paris que ça se passe.Retrouvez ici le site du Club qui réunit toutes ses productions (podcast, publications) : http://www.poesie.net et ici son compte Instagram : https://www.instagram.com/club.des.poetes/ et Facebook : https://fr-fr.facebook.com/vivelapoesie/Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Cette semaine dans Fragments, j’ai le plaisir de recevoir Stéphanie Rivoal. Stéphanie est l’ancienne présidente d'Action contre la faim, ancienne ambassadrice de France en Ouganda, ancienne secrétaire générale du Sommet Afrique France 2020, photographe, et aujourd’hui Membre du Conseil de Surveillance de Meridiam.Dans cet épisode, Stéphanie retrace son parcours, les réussites mais aussi les échecs qui ont jalonné sa vie, de l’importance de se poser les bonnes questions, de marquer une pause de temps à autre afin de réfléchir à la direction que l’on souhaite prendre, mais aussi de campagne présidentielle, d’aide humanitaire, de l’Ouganda et de sororité. La philosophe Marie Robert a une formule qui me touche particulièrement, qui est celle de “Penser sa vie et vivre sa pensée”. Je nous souhaite de tenter de sortir des règles et des rôles que l’on nous impose,  d’ouvrir le chemin des possibles, et de garder l’optimisme de la volonté.Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.