De grandes entreprises françaises, telles que Accor, Decathlon et même l'Urssaf, on fait appel à Juliette pour implémenter la méthode des OKR dans leurs équipes. Dans cette épisode, elle partage son expérience et son approche des OKR avec beaucoup de générosité. Si vous ne savez pas par où commencer et que les OKR vous intéressent, cet épisode est fait pour vous.

Vous avez sûrement déjà entendu parler des Objectifs de Développement Durables, les fameux ODD. Mais vous êtes vous déjà demandé comment l'ONU parvenait à mesurer l'atteinte de ces objectifs, au niveau du monde ? Quand on y pense, c'est quand même un sacré défi statistiques ! C'est ce dont nous avons parlé avec Guillaume, qui est en charge de l'édition du rapport annuel publié par le SDSN sur le niveau d'atteinte des ODD.

En l'espace de quelques années, Akeneo est passé d'une dizaine de collaborateurs a une bonne centaine. Les équipes ont grandi, les sujets se sont diversifiés, l'organisation s'est complexifié. La mise en place des OKR a permis au management de structurer l'entreprise et d'aligner les efforts des équipes grandissantes. Dans cet épisode, Didier nous raconte en détail l'envers du décor : la mise en place des OKR chez Akeneo, ou comment passer de 10 à 100 collaborateurs sans se planter.

Avec un peu plus de 300 salariés, Roole est une entreprise familiale créée il y a une quarantaine d'années. En forte croissance, l'entreprise s'est confrontée à des problématiques quant à l'appropriation de la vision stratégique, à l'autonomie des collaborateurs, aux leviers de motivation, entre autres... Quentin, en charge de la transformation de l'entreprise, nous partage les recettes qui ont permis de dépasser ces plafonds de verre successifs. Cet discussion avec Quentin arrive juste après que nous ayons publié notre premier baromètre. Alors forcément, je suis encore marqué par les chiffres surprenant que nous avons découverts. Comme par exemple, que : 13% des collaborateurs seulement participent aux décisions dans l'entreprise, 58% des personnes en quête de sens ne comprennent pas la stratégie de leur entreprise...   Bref. Même si ce n'est pas du tout l'objet de l'épisode, j'ai quand même tout ça bien en tête avant d'appuyer sur le bouton "record".   Alors forcément, quand Quentin aborde les questions d'alignement stratégique qui se sont posées quand l'entreprise a atteint une sorte de seuil critique en passant de 200 à 300 collaborateurs, disons que ça entre en résonnance avec ce que nous avons constaté dans les entreprises que nous avons intérrogées.   Comment s'assurer que les équipes priorisent des projets qui sont en ligne avec la stratégie ? Comment faire en sorte que les gens s'approprient la vision de l'entreprise ? Comment les engager autour de cette vision ?   Ces problématique sont omniprésentes dans les entreprises, qui sont parfois démunies.   J'ai été surpris par les méthodes et les moyens déployés par Roole pour répondre à ces questions, en profondeur. Par exemple, en organisant des ateliers d'appropriation de la stratégie auprès de 100% des collaborateurs, pour s'assurer que 100% d'entre eux avait effectivement compris 100% de la stratégie. En réorganisant les équipes autour de piliers stratégiques de l'entreprise. En traçant un fil entre la stratégie et les actions de chacun. En donnant de l'autonomie aux gens, pour de vrai. Entre autre.   Pour tout vous dire, en ce moment je m'intéresse au concept d'entreprise libérée. Mais jusqu'à présent, j'avais le sentiment que seules les activités industrielles étaient concernées. Il me semblait que le concept même d'entreprise libérée ne pouvait pas s'exporter sur des activités de service. Après cet échange avec Quentin, je me rends compte que j'avais tort. En fait, j'étais loin de m'imaginer à quel point cette discussion serait enrichissante.   Pensez à prendre des notes, ça pourrait vous servir. Bonne écoute ! Romain   PS : Si le baromètre vous intéresse, c'est par ici (https://www.fromtheinsight.com/barometre/).

À votre avis, qu’est-ce que votre entreprise pourrait avoir en commun avec Apple, L’Oréal, Nike ou encore Redbull ? Elle a une personnalité qui lui est propre, une manière d’être qui la défini et qui ne changera pas. Plongée dans l’introspection des entreprises pour découvrir comment elles héritent de la structure mentale de leurs fondateurs.

Redha est consultant en innovation, notamment sur les aspects de DataScience et d'Intelligence Artificielle. Il est également enseignant en intelligence artificielle à l’EPITA et à l’Institut Polytechnique de Rouen. Ensemble nous avons parlé du pilotage des projets d'innovation, et de comment l'open source a favorisé le développement des technologies d'intelligence artificielle ces dernières années. "Si l’innovation en IA est aujourd’hui si florissante, c’est en très grande partie grâce à l’open source et aux packages qui sont disponibles." -- Essayez gratuitement notre plateforme de pilotage de la transformation, et bénéficiez de 10% de remise à vis avec le code : ILOVEPODCAST

Le Groupe Les Echos – Le Parisien, c'est 1600 collaborateurs, dont 700 journalistes qui s'adressent chaque mois à quelque 25 millions de Français. Ça fait beaucoup de monde tout ça. Beaucoup d'Humains. Les considérations et l'approche "humaine" dont fait preuve Aymeric m'ont touché, justement. Je ne m'attendais pas à ce qu'elles aient de telles proportions. Penser vision, futur, voir loin, très loin, tout en gardant la fonction RH au coeur des problématiques business. C'est passionnant. Cet épisode va susciter des vocations, j'en suis sûr...  "Je préfère gérer des humains qui sont compliqués, plutôt que des robots qui sont automatisés"

Lucie est débordante d'énergie et sa bonne humeur est communicative. J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir son parcours, de la littérature au marketing, à parler business, entrepreneuriat, et alignement. Ionos est le leader européen du cloud, Lucie nous raconte comment les OKR sont utilisées pour aligner les équipes autour d'objectifs partagés. "Est-ce que je suis heureuse comme ça ? C’est ça, mon KPI number one." Vous avez sûrement déjà entendu parler de la méthodologie des Objectives and Key Results (OKR), qui consiste à décliner les objectifs en résultats clés puis en actions. Mais concrètement, en tout cas pour ma part, j'ai toujours du un peu de mal à me représenter ce que ça pourrait donner quand on l'applique à la réalité du quotidien, des équipes.   Ionos est le leader européen du cloud. Avec plus de 9000 collaborateurs à travers le monde. Un mastodonte organisationnel... qui utilise les OKR, justement ! L'occasion était trop belle de satisfaire ma curiosité vis à vis de cette méthodologie et Lucie a accepté de me livrer les détails quant à son implémentation.   Vous découvrirez dans cet épisode comment utiliser les OKR, en : définir les objectifs dériver les résultats clefs et les KPIs planifier les actions de chacun organiser les interdépendances avec d'autres équipes ... entre autre !   Si vous aviez des questions quant aux OKR, cet épisode est fait pour vous.   En bonus : Découvrez son site perso : Luciepoisson.org (https://www.luciepoisson.org) Et sa newsletter : Marketing x Teams x Entrepreneurs (https://www.luciepoisson.org/lead-collection) Le livre recommandé : "Nice girls don't get the corner office (https://livre.fnac.com/a2991486/Lois-P-Frankel-Nice-girls-don-t-get-the-corner-office)"

La chance sourit aux audacieux paraît-il. Je ne saurai pas dire si Jérémie a eu de la chance ou pas. Ce qui est sûr en revanche, c'est qu'il n'a pas manqué d'audace ! Propulsé à la tête du pôle data après le départ de ses N+1 et N+2, à peine quelques mois après avoir rejoint la BNP... et se saisir de l'opportunité pour créer un DataLab qui va révolutionner l'usage de la data métier, il fallait en avoir. La trentaine, reprendre les études et rendre sa thèse à3h du mat, la veille de son mariage. Voilà qui en dit long sur le personnage. Comme dirait l'autre, "la chance, ça se provoque".   En bossant sa thèse sur les modèles de traitement du langage, il trouve un modèle sur un blog au fin fond du web. L'auteur du modèle est un ingénieur de chez Google. Le genre de mec inaccessible. C'est presque une bouteille à la mer que lui a lancé Jérémie en lui demandant de l'aide pour avancer sur le modèle de sa thèse. Surprise, le gars répond 2 jours plus trad.   Découverte de l'open source, d'un mindset nouveau fait d'ouverture, de partage et de confiance. Piqûre.   C'est avec ce même mindset qu'il rejoint la BNP. Quand il lance le DataLab, il repart d'une plateforme embryonnaire, le projet d'une plateforme à destination des Data Scientist du groupe. Quelques mois plus tard, cette plateforme devient une véritable boîte à outil pour plus de 400 Data Scientist, dans une vingtaine de pays.   Changement de paradigme. Avant l'existence de cette plateforme par exemple, pour enregistrer une donnée quelque part, il fallait se déplacer, physiquement, parfois loin, avec un disque dur crypté, ouvrir un ticket, etc. Ce qui pouvait parfois prendre des semaines. Avec cette plateforme, tout est intégré, chacun est autonome. La première pierre était posée.   La deuxième pierre est peut être plus ambitieuse encore : former les collaborateurs qui le souhaitent aux métiers de demain. C'est ainsi que, profitant du programme Upskilling déjà en place, des gens sont formés au métier de data engineer.   Évidemment, c'est très difficile pour eux de rattraper les années, d'être sur des technologies de pointe. Techniquement, ce retard est parfois irratrapable. En revanche, ce qui est sûr, c'est que les années d'expérience métier de ces collaborateurs valent de l'or. Et c'est tout l'enjeu !   Casser les silos, ou plutôt, outrepasser les silos, les ignorer si intensément qu'on ne se souvient même plus qu'ils existent, voilà l'enjeu. Ces collaborateurs formés permettent d'ouvrir de nouvelles portes, d'arriver jusqu'à des CODIR jusqu'alors inatteignables, le fruit de plusieurs années de labeurs et de projets en tous genre.    L'art de favoriser des échanges intergénérationnels pour briser les silos.