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Gonzo Podcast

#040 - Gaylord Pedretti - Créateur d'événements hors normes: commencer à 17 ans, devenir une référence et puis se retirer en pleine lumière

#040 - Gaylord Pedretti - Créateur d'événements hors normes: commencer à 17 ans, devenir une référence et puis se retirer en pleine lumière

4h21 |23/10/2024
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Description

Gaylord Pedretti est un des premiers noms que j’avais noté en haut de ma liste quand j’ai lancé ce podcast. À l’époque, on entendait parler pas mal de lui, car c’était le visage derrière le High Five Festival, qui avait pris une sacrée ampleur à Annecy.

On avait échangé, et puis on n’avait jamais vraiment réussi à caler un épisode. En juin, j’ai relancé la discussion sur Instagram, et rendez-vous était pris pour la rentrée.


Gaylord est un autodidacte, pas brillant à l’école, mais avec un sens de la débrouille bien plus élevé que la moyenne, ce qui l’emmène à organiser un événement sportif à 17 ans. Un succès qui ne va jamais s’arrêter.


Gaylord est un passionné, motivé par l’idée de créer des événements originaux et uniques, dans lesquels il va y mettre toute sa créativité, penser les moindres détails et y appliquer un pragmatisme propre aux entrepreneurs.


Mais s’il est un acharné de boulot, c’est aussi un doux rêveur (ses mots, pas les miens), et il sera toujours fidèle à ses valeurs, ne poussant jamais trop loin les concepts, la tête dans les nuages, mais les pieds sur terre donc.


Dès le début de l’entretien, il a renversé un peu la discussion, et ça fait du bien. Sa curiosité l’avait conduit à écouter quelques épisodes de Gonzo avant notre entretien, cette même curiosité qui a guidé son parcours, fait de coup d’éclats, de prises de risque et de culot.


Il a su mener sa barque sans écraser les autres, ce qu’on appellerait en langage Linkedin, un leadership bienveillant et par l’exemple. Mais Gaylord s’en fiche un peu de ça, Linkedin ce n’est pas trop sa tasse de thé. C’est aussi pour ça qu’il a accepté de venir sur Gonzo, il n’avait rien à promouvoir, rien à vendre, alors on a discuté de tout et de rien. On a parlé de sa paternité, de sa nouvelle liberté, du bonheur…

Une discussion-fleuve, que  vous écouterez jusqu’au bout je l’espère, en prenant le temps, car finalement, est-ce que ce n’est pas ça le plus important, prendre le temps?


Merci à Gaylord!


Vous souhaitez me suggérer un invité, je vous invite à le faire sur Instagram ou par mail à gonzo@mailo.com


Gonzo est disponible sur toutes les plateformes de podcast. N’hésitez pas à vous abonner et à laisser 5 étoiles et un petit commentaire, c’est le meilleur des soutiens. Merci


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Gaylord Pedretti est un des premiers noms que j’avais noté en haut de ma liste quand j’ai lancé ce podcast. À l’époque, on entendait parler pas mal de lui, car c’était le visage derrière le High Five Festival, qui avait pris une sacrée ampleur à Annecy.

On avait échangé, et puis on n’avait jamais vraiment réussi à caler un épisode. En juin, j’ai relancé la discussion sur Instagram, et rendez-vous était pris pour la rentrée.


Gaylord est un autodidacte, pas brillant à l’école, mais avec un sens de la débrouille bien plus élevé que la moyenne, ce qui l’emmène à organiser un événement sportif à 17 ans. Un succès qui ne va jamais s’arrêter.


Gaylord est un passionné, motivé par l’idée de créer des événements originaux et uniques, dans lesquels il va y mettre toute sa créativité, penser les moindres détails et y appliquer un pragmatisme propre aux entrepreneurs.


Mais s’il est un acharné de boulot, c’est aussi un doux rêveur (ses mots, pas les miens), et il sera toujours fidèle à ses valeurs, ne poussant jamais trop loin les concepts, la tête dans les nuages, mais les pieds sur terre donc.


Dès le début de l’entretien, il a renversé un peu la discussion, et ça fait du bien. Sa curiosité l’avait conduit à écouter quelques épisodes de Gonzo avant notre entretien, cette même curiosité qui a guidé son parcours, fait de coup d’éclats, de prises de risque et de culot.


Il a su mener sa barque sans écraser les autres, ce qu’on appellerait en langage Linkedin, un leadership bienveillant et par l’exemple. Mais Gaylord s’en fiche un peu de ça, Linkedin ce n’est pas trop sa tasse de thé. C’est aussi pour ça qu’il a accepté de venir sur Gonzo, il n’avait rien à promouvoir, rien à vendre, alors on a discuté de tout et de rien. On a parlé de sa paternité, de sa nouvelle liberté, du bonheur…

Une discussion-fleuve, que  vous écouterez jusqu’au bout je l’espère, en prenant le temps, car finalement, est-ce que ce n’est pas ça le plus important, prendre le temps?


Merci à Gaylord!


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On avait échangé, et puis on n’avait jamais vraiment réussi à caler un épisode. En juin, j’ai relancé la discussion sur Instagram, et rendez-vous était pris pour la rentrée.


Gaylord est un autodidacte, pas brillant à l’école, mais avec un sens de la débrouille bien plus élevé que la moyenne, ce qui l’emmène à organiser un événement sportif à 17 ans. Un succès qui ne va jamais s’arrêter.


Gaylord est un passionné, motivé par l’idée de créer des événements originaux et uniques, dans lesquels il va y mettre toute sa créativité, penser les moindres détails et y appliquer un pragmatisme propre aux entrepreneurs.


Mais s’il est un acharné de boulot, c’est aussi un doux rêveur (ses mots, pas les miens), et il sera toujours fidèle à ses valeurs, ne poussant jamais trop loin les concepts, la tête dans les nuages, mais les pieds sur terre donc.


Dès le début de l’entretien, il a renversé un peu la discussion, et ça fait du bien. Sa curiosité l’avait conduit à écouter quelques épisodes de Gonzo avant notre entretien, cette même curiosité qui a guidé son parcours, fait de coup d’éclats, de prises de risque et de culot.


Il a su mener sa barque sans écraser les autres, ce qu’on appellerait en langage Linkedin, un leadership bienveillant et par l’exemple. Mais Gaylord s’en fiche un peu de ça, Linkedin ce n’est pas trop sa tasse de thé. C’est aussi pour ça qu’il a accepté de venir sur Gonzo, il n’avait rien à promouvoir, rien à vendre, alors on a discuté de tout et de rien. On a parlé de sa paternité, de sa nouvelle liberté, du bonheur…

Une discussion-fleuve, que  vous écouterez jusqu’au bout je l’espère, en prenant le temps, car finalement, est-ce que ce n’est pas ça le plus important, prendre le temps?


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On avait échangé, et puis on n’avait jamais vraiment réussi à caler un épisode. En juin, j’ai relancé la discussion sur Instagram, et rendez-vous était pris pour la rentrée.


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Gaylord est un passionné, motivé par l’idée de créer des événements originaux et uniques, dans lesquels il va y mettre toute sa créativité, penser les moindres détails et y appliquer un pragmatisme propre aux entrepreneurs.


Mais s’il est un acharné de boulot, c’est aussi un doux rêveur (ses mots, pas les miens), et il sera toujours fidèle à ses valeurs, ne poussant jamais trop loin les concepts, la tête dans les nuages, mais les pieds sur terre donc.


Dès le début de l’entretien, il a renversé un peu la discussion, et ça fait du bien. Sa curiosité l’avait conduit à écouter quelques épisodes de Gonzo avant notre entretien, cette même curiosité qui a guidé son parcours, fait de coup d’éclats, de prises de risque et de culot.


Il a su mener sa barque sans écraser les autres, ce qu’on appellerait en langage Linkedin, un leadership bienveillant et par l’exemple. Mais Gaylord s’en fiche un peu de ça, Linkedin ce n’est pas trop sa tasse de thé. C’est aussi pour ça qu’il a accepté de venir sur Gonzo, il n’avait rien à promouvoir, rien à vendre, alors on a discuté de tout et de rien. On a parlé de sa paternité, de sa nouvelle liberté, du bonheur…

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