50 Don Quichotte au Moulin Rouge | Grosses bises | Ausha

50 Don Quichotte au Moulin Rouge

50 Don Quichotte au Moulin Rouge

04min | 11/12/2024|

113

50 Don Quichotte au Moulin Rouge

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04min | 11/12/2024|

113

Description

43 ans plus tard, Don Quichotte souhaite cette fois ci pouvoir entrer au Moulin Rouge et se fait menaçant afin d'obtenir une place dans le carré VIP.

Musique :

Don Quichotte - Minkus "A battle with the mindwill" Mariinsky Orchestra

Don Quichotte : Julio Iglesias

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

About Grosses bises

"GROSSES BISES" : le podcast des correspondances imaginaires.

Une bonne dose de surréalisme, des morceaux d’érudition et du sourire partout, tels sont les ingrédients de « Grosses bises » le podcast des correspondances imaginaires en format carte postale.

Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

Tout est vrai, rien n'est possible.

Contact : grossesbises@orange.fr

« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

About Grosses bises

"GROSSES BISES" : le podcast des correspondances imaginaires.

Une bonne dose de surréalisme, des morceaux d’érudition et du sourire partout, tels sont les ingrédients de « Grosses bises » le podcast des correspondances imaginaires en format carte postale.

Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

Tout est vrai, rien n'est possible.

Contact : grossesbises@orange.fr

« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

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Description

43 ans plus tard, Don Quichotte souhaite cette fois ci pouvoir entrer au Moulin Rouge et se fait menaçant afin d'obtenir une place dans le carré VIP.

Musique :

Don Quichotte - Minkus "A battle with the mindwill" Mariinsky Orchestra

Don Quichotte : Julio Iglesias

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About Grosses bises

"GROSSES BISES" : le podcast des correspondances imaginaires.

Une bonne dose de surréalisme, des morceaux d’érudition et du sourire partout, tels sont les ingrédients de « Grosses bises » le podcast des correspondances imaginaires en format carte postale.

Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

Tout est vrai, rien n'est possible.

Contact : grossesbises@orange.fr

« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

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Une bonne dose de surréalisme, des morceaux d’érudition et du sourire partout, tels sont les ingrédients de « Grosses bises » le podcast des correspondances imaginaires en format carte postale.

Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

Tout est vrai, rien n'est possible.

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« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

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43 ans plus tard, Don Quichotte souhaite cette fois ci pouvoir entrer au Moulin Rouge et se fait menaçant afin d'obtenir une place dans le carré VIP.

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Don Quichotte : Julio Iglesias

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Une bonne dose de surréalisme, des morceaux d’érudition et du sourire partout, tels sont les ingrédients de « Grosses bises » le podcast des correspondances imaginaires en format carte postale.

Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

Tout est vrai, rien n'est possible.

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« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

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Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

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« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

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43 ans plus tard, Don Quichotte souhaite cette fois ci pouvoir entrer au Moulin Rouge et se fait menaçant afin d'obtenir une place dans le carré VIP.

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Une bonne dose de surréalisme, des morceaux d’érudition et du sourire partout, tels sont les ingrédients de « Grosses bises » le podcast des correspondances imaginaires en format carte postale.

Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

Tout est vrai, rien n'est possible.

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« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

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"GROSSES BISES" : le podcast des correspondances imaginaires.

Une bonne dose de surréalisme, des morceaux d’érudition et du sourire partout, tels sont les ingrédients de « Grosses bises » le podcast des correspondances imaginaires en format carte postale.

Dites par son auteur Olivier Bas qui incarne un anthropologue des correspondances imaginaires, ces « Grosses bises » se déclinent en trois temps forts.

Le contexte pour lequel on fait appel à son expertise, où est mentionné l’adresse (toujours exacte) du destinataire et la date toujours importante.

La description du recto de la carte postale qui donne des indications sur l’expéditeur.

Le verso avec le texte (l’intrigue ?) en lui même et qui se termine toujours par la signature « Grosses bises ».

La musique toujours en rapport avec le sujet ou les protagonistes a également son rôle à jouer.

Sur un laps de temps court - autour de 4 minutes - pour respecter le format carte postale, l'ambition est d'instruire, faire rire, et pourquoi pas faire rêver l'heureux auditeur qui devient ainsi le voyeur sonore d'une correspondance imaginaire…

Le nécessaire surréalisme permet tous les anachronismes et ainsi les époques, les humains aussi bien que les animaux, les êtres réels ou fictifs, tous peuvent se côtoyer dans ces "Grosses bises".

Tout est vrai, rien n'est possible.

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« Grosses bises, c’est une relation épistolaire imaginaire entre tout et n’importe qui ou quoi, et c’est la que la finesse réside car ce podcast est intelligent, recherché, bien rédigé documenté et accessible à tous selon vos passions...Un seul mot : génial » Philippe Chapot (Directeur de la publication - Le pod)

"Et si la Petite Sirène avait écrit à Freddie Mercury ? Brigitte Bardot à Marilyn Monroe ? Ou encore Peter Pan au Petit Prince ? Cela aurait sans doute donné lieu à des correspondances passionnantes, qu’Olivier Bas imagine dans ses cartes postales, sans avoir peur de tomber dans l’absurde. Neil Armstrong confie à Cyrano de Bergerac qu’il n’y a rien de ce qu’il avait imaginé sur la Lune, Boby Lapointe partage avec Molière la joie qu’il aurait eue de jouer dans sa troupe… Et l’auditeur, lui, sourit. — M.M. Télérama - TT

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