Speaker #1Bonjour et bienvenue pour un nouvel épisode de podcast. Je suis très heureuse de vous retrouver pour un épisode. en solo, c'était pas prévu initialement, j'avais envie de vous partager un épisode en duo et en fait ce que je suis en train de vivre et ce que je suis en train de traverser actuellement je crois que j'ai besoin de vous le déposer sur les ondes de Heal the World parce que c'est très vivant à l'intérieur de moi et que le pourquoi du projet de Heal the World et de mes activités c'est vraiment que chacun et chacune puisse se sentir acteur et actrice de sa santé c'est l'essence ... de ce que je propose, c'est l'essence de ce que je suis, je crois, c'est d'accompagner le changement de l'humanité dans laquelle on est actuellement, vers une santé et une médecine intégrative, une médecine qui accueille l'être humain dans tout ce qu'il est, dans tout, dans toute sa globalité, dans... Je peux pas le dire autrement, je sais pas comment le dire, j'aurais envie de le crier et de le hurler en ce moment. Je crois à un système de santé et de médecine qui réunit la médecine conventionnelle, la médecine allopathique et les méthodes alternatives. Et quand je vous le dis là, c'est tellement vivant, ça me ramène de l'émotion. Je ne crois pas que l'on puisse continuer à espérer être en santé si on continue à nourrir un conflit entre ces deux branches de la santé. Nous vivons une période absolument incroyable, on a accès à des ressources qu'on n'aurait jamais peut-être crues possibles et en même temps on se coupe de tout ce qui est là depuis toujours, de tout ce qui est en lien avec les êtres humains que nous sommes. Nous sommes des êtres humains, nous sommes des êtres avec un corps physique. avec des émotions, avec un monde de pensée, de croyance, d'imagination, avec un monde énergétique, un monde spirituel, notre environnement, nos relations, nos occupations, le sens de ce que l'on fait, le sens que l'on met dans ce qu'on fait. C'est ce que nous sommes. Combien de temps va-t-il falloir ? pour que l'on se rende compte que la santé, c'est un état d'équilibre et de bien-être, mais qui englobe tout ça. Et c'est pas uniquement se couper ou taire un symptôme. C'est pas juste ça. Les mots, la douleur et la maladie, et j'ai pas toujours eu cette façon de croire et cette façon de penser, mais pour moi, aujourd'hui, ce sont des invitations. Et ça veut pas dire que je minimise ce que traverse. les personnes qui vivent un état où ils se sentent malades. Pas du tout. Par contre, ce que je crois et là où mon parcours m'a amenée, c'est aujourd'hui que je me sens actrice de ma santé. Je me sens la possibilité du choix de ma santé. Je me sens fondamentalement la personne la plus concernée et la plus... s'adapter pour prendre des décisions qui me concernent et qui concernent ma santé. C'est un épisode qui me touche, qui est très particulier pour moi, parce que je crois qu'à travers les mots de cet épisode, j'ai envie de prendre soin de la version de moi qui s'est sentie déresponsabilisée de sa santé, complètement spectatrice de ce qui se jouait devant elle et qui concernait sa santé. Et aujourd'hui... dans mon d'environnement proche. J'ai plusieurs personnes qui font l'expérience de la maladie et j'aurais tendance à avoir envie de leur épargner ce par quoi je suis passée, ce que j'ai eu à traverser. Parce qu'en préparant l'épisode de podcast, je me rends compte que ça fait des années que je suis sur ce chemin de santé et de guérison. Ça fait des années. La première fois que je me fracture un tibia, j'ai 12 ans. Donc ça fait quelques années. Et à la suite de ça... j'ai vécu un parcours où c'était pas très confortable, ça a déjà mis en lumière des choses vis-à-vis de ce que je me faisais vivre, en lien avec l'autorité, en lien avec le monde médical. Déjà, j'avais l'impression de subir les choses. Et puis ça s'est majoré. Des années plus tard, étudiante en médecine, et je tombe malade. Ce qui est ce qui arrive. Sauf que, en général, quand on tombe malade, L'idée, c'est d'avoir un diagnostic rapidement et de pouvoir, en tout cas à ce moment-là, c'est ce à quoi je crois, avoir les moyens d'éradiquer, de me couper des symptômes et de continuer à étudier et à vivre. À ce moment-là, j'attends de l'extérieur, j'attends des sachants, j'attends en majorité des hommes, je pense que dans mon parcours médical, j'ai eu beaucoup beaucoup d'hommes, qu'ils me disent ce que je dois faire pour retrouver cet état de santé. Et alors on peut pas dire que cela se soit passé ainsi, j'ai fait l'expérience de l'errance médicale, avec comme cadeau à l'intérieur de ça, des expériences que j'ai vécues dans lesquelles je me suis sentie abandonnée par ma cellule familiale, par certains de mes proches, par le monde médical. Je me suis sentie trahie, humiliée pour plein de raisons, mais en fait parce que je pense que... En premier, ce que j'avais l'impression de vivre à l'intérieur de moi, c'était de me sentir trahi par mon corps. J'avais la sensation que mon corps était défaillant. J'avais l'impression qu'il n'était pas à la hauteur, qu'il ne m'obéissait plus. À aucun moment, je me suis demandé si moi, j'avais quelque chose que je pouvais entendre ou accueillir. Pour moi, c'était lui, mon corps, qui se mettait entre moi et une possible réussite scolaire et ou un possible échec. Mais je... projeter la responsabilité à l'extérieur de moi. Ça a duré des mois et je suis passée par plein de stades différents avec au fond de moi je crois un profond dégoût et un profond rejet de ce système-là, de ce système médical qui n'entendait pas ma douleur, qui n'entendait pas à quel point c'était insupportable pour la jeune femme que j'étais de survivre dans un contexte où en permanence je me sentais vulnérable, je me sentais... défaillante, où je me sentais presque prisonnière des circonstances. Et ça a continué comme ça pendant un petit moment, et à l'époque j'étais pas du tout branchée soins alternatifs, branchée méthodes complémentaires, et la seule personne que j'avais dû voir en dehors de mon médecin et de mon chirurgien, c'était le kiné, le kiné pour ma rééducation. Et je me retrouve un été dans la région de hier, complètement bloquée du dos. Je suis immobilisée, je suis clouée dans mon lit, je ne peux pas bouger, je ne peux pas me redresser, c'est une catastrophe. C'est la première fois que je vis ça, je n'en peux plus, je suis fatiguée, j'en ai assez, je suis agacée. Et à ce moment-là, nous sommes avec ma mère sur un lieu de camping et il nous est partagé le nom d'un ostéopathe, d'un kiné-ostéo. Je ne sais plus à quel symbole, je ne sais pas à quoi me raccrocher, donc je sollicite un rendez-vous avec lui en urgence. Et c'est la première fois que je rencontre un ostéo, que je rencontre quelqu'un. qui ne m'en fera pas état, mais qui partage cette vision de la santé intégrative. Et là, je crois, à ce moment-là, il pose une graine dans mon esprit de en fait, à cet instant, il m'a accueillie, il m'a écoutée, et puis il est venu mettre du lien entre moi et mon corps. Ça a probablement tout changé dans la suite de mon parcours de santé. Parce qu'à ce moment-là, il me dit, à la fin je crois de la séance, qu'il serait judicieux d'explorer ce qui se passe au niveau de ma thyroïde. Que lui perçoit qu'elle est fatiguée. Je le remercie, je quitte son cabinet et puis je décide de contacter un médecin traitant pour faire ce que je crois être nécessaire. Pour moi, il me parle de ma thyroïde, on n'en a jamais vraiment parlé. Une glande du système endocrinien, qu'elle est située... au niveau de l'avant de mon cou et que ça a plein d'influence sur plein d'hormones. Et alors l'expérience avec ce médecin, un médecin qui ne m'avait pas été recommandé, mais un médecin qui avait de la disponibilité pendant mon séjour en vacances et qui voyait des personnes tout au long de la journée et qui était probablement fatigué, je lui parle de ça, je lui dis écoutez, je vis une situation où je suis épuisée, où je suis... On ne trouve pas ce que j'ai, c'est compliqué. Je sors chez l'ostéopathe et il me dit, vous devriez explorer la thyroïde, donc je vous demande si vous pourriez m'accompagner là-dessus. Et la réaction du médecin, aujourd'hui ça me fait sourire, à l'époque ça ne me faisait pas du tout rien, c'était un rejet profond de ce que je venais de lui déposer, et une notion de colère, je pense qu'il était furieux, il m'avait dit que c'était certainement pas à quelqu'un d'extérieur à lui. encore moins à un ostéopathe de lui dire comment il devait pratiquer et que, en fait, tout allait très bien et que j'allais continuer à prendre le soleil et puis à être en vacances et puis que ça irait mieux à la rentrée. Ça a pris encore des mois et des mois pour que je me rende compte que ça suffisait là. J'en avais assez de pas savoir, j'en avais assez de pas me sentir écoutée, vue et qu'il était temps, j'étais en train de vivre un enfer. Et je me souviendrai toujours, Verlaine... qui est une amie à moi qui me propose un contact, un contact de son médecin traitant. Et là encore j'arrive avec mon bagage et l'impression qu'il faut qu'on trouve quelque chose, il faut refaire, il faut reprendre les choses du départ. Je veux me sentir vue, je veux me sentir entendue et je veux trouver avec lui. Et notre conversation se passe très bien, il est à l'écoute, il est disponible, il est bienveillant, il est attentif à ma situation et il admet que là où j'en suis, j'ai... besoin de reprendre les choses et on va refaire un bilan sanguin. A cette époque-là, je ne suis plus en première année de médecine, je viens d'intégrer ma première année d'infirmière et on va découvrir très rapidement, mais très rapidement par rapport au moment où j'ai eu cette consultation, au moins six mois, peut-être un an après la consultation chez l'ostéopathe, mais c'est plus très frais dans ma mémoire. Et on trouve que j'ai une pathologie, que j'ai une thyroïde qui est en hypo-fonctionnement, elle fonctionne au ralenti. que ça va bien aller en fait, que tout va bien se passer, que ça se traite, etc. Et donc ça, c'est un deuxième pas pour moi dans me sentir responsable et me sentir actrice de ma santé. Et ça a continué comme ça pendant des années. J'ai deux autres éléments clés, peut-être, à vous partager de façon assez synthétique. C'est une agression sur mon lieu de travail. Et je me rends compte que là, il va falloir que je m'accompagne et que je me soutienne. Et donc je fais appel à un médecin traitant. Un médecin psychiatre, un hypnothérapeute, c'est la première fois je crois que je fais appel à quelqu'un qui fait de l'hypnose, mais je me dis, eh bien pourquoi pas. À une micro-kinésithérapeute, et je pense qu'à ce moment-là c'est à peu près tout, je me rends compte qu'il y a quelque chose qui est possible en fait, et que c'est bien plus vaste que ce à quoi j'ai goûté jusqu'alors. Et tout ça, tout ce que je mets en place à ce niveau-là, à ce moment-là, eh bien j'intègre que la santé en fait, c'est peut-être pas uniquement de chanter un symptôme. C'est peut-être aussi qu'il y a des choses au niveau émotionnel qui se jouent. C'est peut-être au niveau mental que mon alimentation, elle est relativement correcte. Potentiellement, il y a quand même des incidences ou des choses où je pourrais être plus consciente de ce que je mange ou de la façon dont je mange. Et vraiment, pour moi, les deux axes majeurs à ce niveau-là, c'est l'importance de mon alimentation et l'importance de mes croyances, de mes pensées. Et ça, c'est deux aspects qui vont être tellement, tellement précieux des mois plus tard, en juillet 2018. quand Arnaud, mon époux, se donne la mort sur son lieu de travail, à ce moment-là, je me rends compte que tout ce que j'ai déjà mis en place, il faut absolument que je m'en saisisse et que j'aille encore plus loin, encore plus profondément sur ok, c'est quoi la santé là ? Comment est-ce que je vais me faire traverser ce que je suis en train de traverser ? Aujourd'hui, on est des années plus tard, c'était en 2018, ça fait 6 ans et demi. J'ai trois points que j'ai à cœur de vous partager, de là où j'en suis, de ce que j'aurais aimé entendre. du contenu auquel j'aurais eu envie d'avoir accès, c'est quand les émotions sont hautes, l'intelligence est basse. C'est tellement, tellement, tellement important et précieux de ramener de la présence, de l'écoute, de l'accueil, de ce que je ressens. Lorsque je suis dans une posture où j'ai peur, où je me sens sous pression, où j'ai l'impression d'être acculée, étranglée, je ne suis pas, je ne crois pas être en capacité de prendre les meilleures décisions des décisions. pérenne. A force de vivre en permanence, sous pression, en permanence, dans cette urgence, on finit par être en tout le temps pressé, comme contraint à prendre des décisions depuis pas d'espace. Depuis, je n'ai pas d'autre choix. Et c'est tellement important de se sentir en capacité de prendre les décisions, de faire ses choix. C'est un des axes majeurs de ce que je fais quand je vous accompagne en séance. C'est que je viens avec vous mettre en lumière des émotions. Je viens vous accompagner pour vivre, pour accueillir, pour être traversée par l'énergie qui est en mouvement à l'intérieur de vous. Quelle que soit cette énergie, quelle que soit cette émotion, qu'elle soit agréable ou qu'elle ne le soit pas, qu'elle soit confortable ou qu'elle ne le soit pas. Et je vous ramène dans un espace de sécurité. Je vous ramène dans un espace où c'est possible pour vous d'y aller jusque là où vous êtes capable de ressentir. Et au fur et à mesure, ça c'est de plus en plus grand, vous êtes de plus en plus en capacité d'accueillir ça. Ce que je viens vous aider à faire, c'est revenir dans ce point de neutralité, dans ce point où vous êtes disponible, où vous êtes présente pour prendre une décision. Le deuxième axe que j'ai à cœur de vous partager, c'est à quel point j'entretiens aujourd'hui une relation. avec moi, de moi à moi, de moi à mon corps, de moi à mes émotions, de moi à mes pensées, de moi à mon environnement, de moi à ma spiritualité. Je pars de moi et je réponds à mes besoins, je réponds à ce qui est vivant pour moi. C'est ce que j'aurais envie d'appeler me recentrer. Plutôt que de prendre une décision depuis quelque chose qui est extérieur à moi, quand je reviens dans cet espace, je prends les décisions à l'intérieur de moi. Et ma relation avec moi, elle passe par accueillir ce que je vis, ce que je traverse et en particulier au niveau émotionnel en particulier à ce niveau là parce que je vis avec des émotions quand on vit à côté de moi on peut se rendre compte en fait que j'ai beaucoup d'intensité au niveau de mes émotions et quand j'étais petite, quand j'étais ado même ça m'a été reproché que c'était pas une bonne chose, que c'était pas c'était pas adapté, que c'était pas voilà ça répondait pas aux attentes de l'extérieur Et aujourd'hui, j'ai envie de dire à la version de moi qui était ado, qui était abattue après sa consultation chez le médecin, où il lui dit « en fait madame, tout va bien aller, profitez du soleil et puis c'est bon, laissez la place aux gens qui ont vraiment quelque chose à soigner » . J'aurais envie de lui dire « mais en fait, t'as le droit d'être en colère, t'as le droit de ressentir de l'amertume, t'as le droit d'être frustrée, t'as le droit de dire non, t'as le droit de ressentir » . Et quel cadeau ça serait pour moi que d'être en mesure d'accueillir et de ressentir les émotions que j'avais à cette époque-là. Peut-être que tout ça s'amène aujourd'hui à pouvoir vous en parler et vous dire à quel point c'est important pour moi. En ce moment particulièrement, tous les matins, je prends un temps pour me connecter à... Enfin, pour me connecter, pour ressentir. Je prends un temps d'accueil, ça peut être littéralement deux minutes. Et je me mets en écoute, mon regard tourné vers l'intérieur de moi pour ressentir. Pour ressentir l'énergie qui circule. à l'intérieur de moi, c'est tout. Ça fait une grosse différence dans ma journée, dans ma qualité de présence, de disponibilité, dans ce que je traverse, dans ce que je vis. Ça n'empêche pas que je vive des périodes avec des émotions. Typiquement, cette semaine, je suis passée par des hauts et des bas, des vagues émotionnelles, et c'est complètement OK, en fait. Pas de problème. Ça va bien. Et le troisième point, je crois que j'aurais envie de me... de parler de la vision, de ma vision, de mon état de santé. de l'envie pour moi de manifester cet état de santé. Et la façon dont je procède, c'est-à-dire que je l'ai déjà partagé dans l'épisode de podcast sur la vision, mais je me vois en santé, je me ressens en santé, je me sens reliée à cet état d'être. Et le plus souvent possible, quand je prends des décisions, je prends des décisions qui servent cette vision. Et ça passe par des choses toutes petites, ça passe par... Ça passe par... mon hygiène émotionnelle du moment. Ça passe par mon hygiène buccodentaire. Ça passe par me sentir demandé à être accompagnée par quelqu'un dont c'est la profession. Je pense à mes rendez-vous chez le kiné, chez l'ostéo, chez Mathieu Manuac par exemple qui fait de l'accompagnement en médecine fonctionnelle. Ça passe par tout ça. Et ça passe aussi par quand à l'intérieur de moi, j'entends des voix qui s'élèvent un conflit, pour peu que je m'en rende. compte je vais recréer du lien je vais ramener du lien je vais ramener de la présence entre eux ces deux aspects de ce que je suis c'est exactement ce que je vous accompagne à vivre dans renaissance je vous ramène dans cet espace de vous à vous avec ce miroir que je vous tends pour remettre du lien pour amener de l'équilibré de l'harmonie dans ce que vous vivez et je ne suis personne pour vous dire de quelle façon est ce que ça se fait Dans les actions que vous devez prendre, je peux vous partager des choses que moi j'ai mises en place, des choses que j'ai expérimentées. Hier par exemple j'avais une conversation avec un de mes consultants sur un accompagnement Renaissance, la première séance, on parle de la qualité de son sommeil et de la qualité de son énergie. Il est de type énergétique manifesting generator, c'est un type énergétique en design humain. que je partage avec lui. Et si ça vous intéresse, vous pouvez faire votre analyse de design humain et puis aller explorer votre type énergétique. Il y a plein plein plein de ressources à ce niveau-là. Mais une des recommandations pour les personnes qui ont un sacral défini, c'est d'aller se coucher quand elles sont fatiguées. Et de ne pas aller se coucher avant d'avoir vidé leur jauge énergétique, vidé leur énergie. Voilà, donc ça je peux lui dire, écoute, tu es. Essaye, tente, explore. Le reste, ça lui appartient. Et le reste, ça vous appartient. Vous êtes acteur, actrice de votre santé. C'est à vous, c'est votre histoire. Ça vous appartient. Pour tout vous avouer, je ne sais pas dans quelle mesure j'ai besoin de communiquer là-dessus. Je sens que c'est important, je ne sais pas sous quelle forme. Et cet épisode de podcast, c'est probablement le début de ce que j'ai envie de créer. Mais on en est là, on en est à honorer cet état d'être. Si ça vous parle, si vous êtes prêts à l'entendre, je vais... recevoir des personnes qui ont fait l'expérience de tomber malade et qui aujourd'hui s'en sont saisies comme d'un tremplin pour être là où elles ont vraiment envie d'être et je pense en particulier à deux épisodes de podcast que j'ai partagé ici l'un avec Oriane Jurado c'est le premier épisode de l'année c'est un épisode magnifique que je vous encourage à aller écouter Oriane elle est passée par l'expérience de la maladie, le deuxième épisode auquel je pense c'est un épisode que j'ai partager avec Alice Rebière sur la magie de l'autoguerrison. Et notre point commun finalement à toutes les trois, c'est que l'on s'est saisi de la maladie comme d'un temps plein. J'aurai probablement l'occasion d'en reparler avec vous, mais Tiffaine Gualda aussi, enfin, les gens que j'ai autour de moi aujourd'hui partagent cette vision, partagent ces valeurs. Je vous remercie pour votre écoute, merci pour votre présence, merci pour le partage de cet épisode ou les recommandations, les mots que vous... vous m'apportez, c'est précieux, c'est important et on a tous un rôle à jouer dans l'émergence de cette santé intégratique je vous souhaite une belle journée, à bientôt
