[EXTRAIT] "Je n’avais pas toute la liberté pour être tout ce que je voulais" avec  Emel Mathlouthi -  Auteure, interprète et productrice cover
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HeyA

[EXTRAIT] "Je n’avais pas toute la liberté pour être tout ce que je voulais" avec Emel Mathlouthi - Auteure, interprète et productrice

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04min |22/08/2023
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Description

Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique. 

  

Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution. 

  

Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.  

  

Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans. 

  

Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. 

  

Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi de ses répercussions. 

  

Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. 

  

Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    



-----------------------------------------------------  

Pour suivre Emel 

Instagram: @emelmathlouthi 

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Instagram: @heya_podcast  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Aujourd’hui je partage avec vous un extrait de ma conversation à venir avec Emel Methlouthi, chanteuse, auteure-compositrice et productrice de musique. 

  

Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution. 

  

Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.  

  

Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans. 

  

Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. 

  

Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi de ses répercussions. 

  

Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. 

  

Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    



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Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution. 

  

Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.  

  

Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans. 

  

Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. 

  

Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi de ses répercussions. 

  

Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. 

  

Rendez-vous demain pour l’intégralité de l’épisode !    



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Il y a dix ans, le monde entier découvrait sa voix et son visage sur la célèbre Avenue Habib Bourguiba de Tunis. Vêtue d’un manteau rouge, on l’a vu se lever au milieu de la foule et chanter sans micro a capella, « Kelmti Horra » - « Ma parole est libre » - des mots forts relayés aux quatre coins de la planète qui vont cumuler des millions de vues sur les réseaux sociaux. C’est ainsi qu’Emel est devenue l’égérie chantante d’une révolution. 

  

Dans cet épisode, elle revient sur son enfance en Tunisie. Ses parents enseignants lui offrent très tôt une éducation littéraire et musicale, notamment son papa féru de musique classique et jazz.  

  

Autodictate, Emel revient sur son parcours, ses influences très éclectiques (de Vivaldi au métal en passant par Joan Base) et les raisons qui l’ont incité à s’expatrier en France à l’âge de 25 ans. 

  

Elle évoque son arrivée sur ce nouveau territoire et le sentiment ambivalent qui la prend en étau : d’un côté le bonheur d’être dans le pays des libertés et pouvoir exercer son art et d’un autre le fait d’être coincée dans une case qui ne lui correspond pas. 

  

Nous avons évidemment aussi discuté de ce 14 janvier historique, du sentiment ressenti lorsqu’elle a entonné ce chant, entourée du peuple tunisien mais aussi de ses répercussions. 

  

Enfin nous avons parlé de représentativité et de maternité. 

  

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