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Hystériques

EP35 - AUDREY : SOIGNER LES FEMMES BLESSÉES

EP35 - AUDREY : SOIGNER LES FEMMES BLESSÉES

51min |16/11/2022
Play
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51min |16/11/2022
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Description

Plus de 𝟐𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐚𝐧 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 ont une 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐯𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 dû à 5 types de chirurgies majeures (césarienne, chirurgie pour une endométriose, une PMA, un cancer, une chirurgie gynécologique ou hormonale). Et bien d’autres encore. 


Ces cicatrices, pourtant invisibles dans l’espace public, handicapent au quotidien, pour les gestes élémentaires comme 𝐬'𝐡𝐚𝐛𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫, 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞𝐫, 𝐬'𝐚𝐬𝐬𝐨𝐢𝐫 𝐞𝐭 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐝𝐨𝐫𝐦𝐢𝐫. Et ce pendant, parfois, des mois, voire pour certaines plus d'une année.

Une fois sorties du parcours de soins élémentaires, ces femmes se retrouvent souvent 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 leur 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 il leur 𝙚𝙨𝙩 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙞𝙢𝙥𝙤𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 leur 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣 sans gêne.

𝙄𝙡 𝙮 𝙖 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙖𝙣𝙨, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 150 000 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙧 𝙖𝙣 𝙚𝙣 𝙁𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚, Audrey 𝙚𝙪 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙚́𝙨𝙖𝙧𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚. Et comme 60 % d’entre elles, elle était en urgence. Une fois rentrée chez elle, Audrey s’est sentie seule avec sa cicatrice. Elle raconte avoir eu la sensation que personne ne la comprenait, ni ne vivait la même situation.

Car bien s𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 les 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙣𝙚 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙘𝙞𝙘𝙖𝙩𝙧𝙞𝙘𝙚 (𝙢𝙚̂𝙢𝙚 𝙨𝙞 𝙚𝙡𝙡𝙚 leur 𝙧𝙖𝙥𝙥𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙚 𝙨𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧), 𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙚𝙭𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙚̂𝙡𝙚 𝙣𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙚𝙩 𝙢𝙤𝙧𝙩, 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙘𝙪𝙡𝙥𝙖𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́, 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙤𝙣𝙙 𝙨𝙚𝙣𝙩𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙’𝙚́𝙘𝙝𝙚𝙘.

De ce traumatisme est né l’envie d’aider et d’accompagner les femmes dans la même situation qui pourraient se sentir seules. Je laisse Audrey vous raconter son beau projet innovant pour le confort et l’épanouissement des femmes, et je vous souhaite une très bonne écoute !  


Pour retrouver Audrey : 

- Sur instagram : @woundedwomen_officiel 

- S'inscire à la Newsletter Wounded Women  



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Plus de 𝟐𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐚𝐧 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 ont une 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐯𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 dû à 5 types de chirurgies majeures (césarienne, chirurgie pour une endométriose, une PMA, un cancer, une chirurgie gynécologique ou hormonale). Et bien d’autres encore. 


Ces cicatrices, pourtant invisibles dans l’espace public, handicapent au quotidien, pour les gestes élémentaires comme 𝐬'𝐡𝐚𝐛𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫, 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞𝐫, 𝐬'𝐚𝐬𝐬𝐨𝐢𝐫 𝐞𝐭 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐝𝐨𝐫𝐦𝐢𝐫. Et ce pendant, parfois, des mois, voire pour certaines plus d'une année.

Une fois sorties du parcours de soins élémentaires, ces femmes se retrouvent souvent 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 leur 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 il leur 𝙚𝙨𝙩 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙞𝙢𝙥𝙤𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 leur 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣 sans gêne.

𝙄𝙡 𝙮 𝙖 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙖𝙣𝙨, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 150 000 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙧 𝙖𝙣 𝙚𝙣 𝙁𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚, Audrey 𝙚𝙪 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙚́𝙨𝙖𝙧𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚. Et comme 60 % d’entre elles, elle était en urgence. Une fois rentrée chez elle, Audrey s’est sentie seule avec sa cicatrice. Elle raconte avoir eu la sensation que personne ne la comprenait, ni ne vivait la même situation.

Car bien s𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 les 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙣𝙚 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙘𝙞𝙘𝙖𝙩𝙧𝙞𝙘𝙚 (𝙢𝙚̂𝙢𝙚 𝙨𝙞 𝙚𝙡𝙡𝙚 leur 𝙧𝙖𝙥𝙥𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙚 𝙨𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧), 𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙚𝙭𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙚̂𝙡𝙚 𝙣𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙚𝙩 𝙢𝙤𝙧𝙩, 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙘𝙪𝙡𝙥𝙖𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́, 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙤𝙣𝙙 𝙨𝙚𝙣𝙩𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙’𝙚́𝙘𝙝𝙚𝙘.

De ce traumatisme est né l’envie d’aider et d’accompagner les femmes dans la même situation qui pourraient se sentir seules. Je laisse Audrey vous raconter son beau projet innovant pour le confort et l’épanouissement des femmes, et je vous souhaite une très bonne écoute !  


Pour retrouver Audrey : 

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Plus de 𝟐𝟎𝟎 𝟎𝟎𝟎 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐚𝐧 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 ont une 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐚𝐮 𝐯𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 dû à 5 types de chirurgies majeures (césarienne, chirurgie pour une endométriose, une PMA, un cancer, une chirurgie gynécologique ou hormonale). Et bien d’autres encore. 


Ces cicatrices, pourtant invisibles dans l’espace public, handicapent au quotidien, pour les gestes élémentaires comme 𝐬'𝐡𝐚𝐛𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫, 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞𝐫, 𝐬'𝐚𝐬𝐬𝐨𝐢𝐫 𝐞𝐭 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐝𝐨𝐫𝐦𝐢𝐫. Et ce pendant, parfois, des mois, voire pour certaines plus d'une année.

Une fois sorties du parcours de soins élémentaires, ces femmes se retrouvent souvent 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 leur 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 il leur 𝙚𝙨𝙩 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙞𝙢𝙥𝙤𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 leur 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣 sans gêne.

𝙄𝙡 𝙮 𝙖 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙖𝙣𝙨, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 150 000 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙧 𝙖𝙣 𝙚𝙣 𝙁𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚, Audrey 𝙚𝙪 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙚́𝙨𝙖𝙧𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚. Et comme 60 % d’entre elles, elle était en urgence. Une fois rentrée chez elle, Audrey s’est sentie seule avec sa cicatrice. Elle raconte avoir eu la sensation que personne ne la comprenait, ni ne vivait la même situation.

Car bien s𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 les 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙣𝙚 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙘𝙞𝙘𝙖𝙩𝙧𝙞𝙘𝙚 (𝙢𝙚̂𝙢𝙚 𝙨𝙞 𝙚𝙡𝙡𝙚 leur 𝙧𝙖𝙥𝙥𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙚 𝙨𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧), 𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙚𝙭𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙚̂𝙡𝙚 𝙣𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙚𝙩 𝙢𝙤𝙧𝙩, 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙘𝙪𝙡𝙥𝙖𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́, 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙤𝙣𝙙 𝙨𝙚𝙣𝙩𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙’𝙚́𝙘𝙝𝙚𝙘.

De ce traumatisme est né l’envie d’aider et d’accompagner les femmes dans la même situation qui pourraient se sentir seules. Je laisse Audrey vous raconter son beau projet innovant pour le confort et l’épanouissement des femmes, et je vous souhaite une très bonne écoute !  


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Ces cicatrices, pourtant invisibles dans l’espace public, handicapent au quotidien, pour les gestes élémentaires comme 𝐬'𝐡𝐚𝐛𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫, 𝐦𝐚𝐫𝐜𝐡𝐞𝐫, 𝐬'𝐚𝐬𝐬𝐨𝐢𝐫 𝐞𝐭 𝐦𝐞̂𝐦𝐞 𝐝𝐨𝐫𝐦𝐢𝐫. Et ce pendant, parfois, des mois, voire pour certaines plus d'une année.

Une fois sorties du parcours de soins élémentaires, ces femmes se retrouvent souvent 𝐬𝐞𝐮𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐯𝐞𝐜 leur 𝐜𝐢𝐜𝐚𝐭𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐞𝐭 il leur 𝙚𝙨𝙩 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙫𝙤𝙞𝙧𝙚 𝙞𝙢𝙥𝙤𝙨𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚 𝙙𝙚 𝙫𝙞𝙫𝙧𝙚 leur 𝙦𝙪𝙤𝙩𝙞𝙙𝙞𝙚𝙣 sans gêne.

𝙄𝙡 𝙮 𝙖 𝙩𝙧𝙤𝙞𝙨 𝙖𝙣𝙨, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 150 000 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙧 𝙖𝙣 𝙚𝙣 𝙁𝙧𝙖𝙣𝙘𝙚, Audrey 𝙚𝙪 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙚́𝙨𝙖𝙧𝙞𝙚𝙣𝙣𝙚. Et comme 60 % d’entre elles, elle était en urgence. Une fois rentrée chez elle, Audrey s’est sentie seule avec sa cicatrice. Elle raconte avoir eu la sensation que personne ne la comprenait, ni ne vivait la même situation.

Car bien s𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙩 les 𝙛𝙚𝙢𝙢𝙚𝙨 𝙣𝙚 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙡𝙚𝙪𝙧 𝙘𝙞𝙘𝙖𝙩𝙧𝙞𝙘𝙚 (𝙢𝙚̂𝙢𝙚 𝙨𝙞 𝙚𝙡𝙡𝙚 leur 𝙧𝙖𝙥𝙥𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙘𝙚 𝙨𝙤𝙪𝙫𝙚𝙣𝙞𝙧), 𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙩𝙧𝙖𝙪𝙢𝙖𝙩𝙞𝙨𝙚́𝙚𝙨 𝙙𝙚 𝙘𝙚𝙩𝙩𝙚 𝙚𝙭𝙥𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙣𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙢𝙚̂𝙡𝙚 𝙣𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙘𝙚 𝙚𝙩 𝙢𝙤𝙧𝙩, 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙘𝙪𝙡𝙥𝙖𝙗𝙞𝙡𝙞𝙩𝙚́, 𝙙𝙪 𝙥𝙧𝙤𝙛𝙤𝙣𝙙 𝙨𝙚𝙣𝙩𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙙’𝙚́𝙘𝙝𝙚𝙘.

De ce traumatisme est né l’envie d’aider et d’accompagner les femmes dans la même situation qui pourraient se sentir seules. Je laisse Audrey vous raconter son beau projet innovant pour le confort et l’épanouissement des femmes, et je vous souhaite une très bonne écoute !  


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