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ILLUMINE TA VIE!

Ép. 35 - MAUVAIS(E) PERDANT(E) ?

Ép. 35 - MAUVAIS(E) PERDANT(E) ?

19min |30/04/2024|

19

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Description

Dans cet épisode je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d’apprentissage, de lâcher-prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec !


Pour savoir ce que je peux faire pour toi: https://www.mariejoseestlaurent.com/


Deviens membre de mon groupe Facebook et tu auras accès à une foule d'exclusivités: https://www.facebook.com/groups/809403919463614


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Tu veux m'écrire? Fais-le au info@mariejoseestlaurent.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta compétitivité ? Autrement dit, ta capacité à accepter un échec. Tu joues aux cartes et tu perds. Tu te choques noir ou tu acceptes ta défaite parce que c'est juste un jeu ? Tu expérimentes quelque chose et ça ne fonctionne pas pantoute. Tu abandonnes le tout en te traitant de tous les noms ou tu essaies une autre fois en te prenant autrement ? Tu joues au hockey. Et quand ton équipe perd, t'en veux à la terre entière ou tu te dis que tu pouvais pas faire mieux parce que t'as donné ton 100% ? Tu joues au tennis pis ça te coûte une raquette à chaque fois que tu perds ? T'as mis toute ton énergie dans un projet et t'en veux à la terre entière quand t'apprends qu'il a pas été retenu ? Lors de ton évaluation annuelle, ton employeur relève des points à améliorer et ça te met en pétard ? Bonne nouvelle ! Un échec n'est pas la fin du monde parce que tu respires encore. Dans cet épisode, je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie, le podcast qui changera ta vie assurément. Moi et mon chum, on a un couple d'amis qui ont des filles et ils font de la gymnastique de groupe. Et bien, on n'avait rien à faire, donc on a dit, on va aller voir la compétition régionale de gymnastique. C'est quelque chose, ça revole dans les airs, c'est incroyable. Et cette compétition-là, c'était la dernière dans le but d'aller aux provinciaux. Et qui dit gymnastique dit chute. Et ce qui devait arriver arriva. La fille de nos amis, elle est tombée. Elle a fait perdre des points à son équipe. Et son équipe est arrivée troisième. Et donc, il n'y a pas de provinciaux parce qu'ils prenaient les deux premières équipes. Et là, c'est la fin du monde. Et à la fin de la compétition, on s'en va à la sortie des athlètes et on va récupérer la demoiselle. Et là, écoute, elle braille sa vie. Là, écoute, la terre vient d'arrêter. tourner, c'est la fin du monde parce qu'elle est tombée. Tout ce qu'elle veut, c'est de retourner en arrière pour recommencer et faire ça mieux. Parce qu'elle avait oublié ça. Écoute, elle a dit, vraiment, c'était, écoute, elle a 15 ans. On s'est entendu que ce n'est pas la fin du monde. Loin de là. Et c'est sûr qu'elle est très, très, très compétitive, pour ne pas dire mauvaise perdante. Elle voudrait être parfaite tout le temps. temps, puis elle est très, très sévère avec elle-même. Ça peut être une qualité, mais des fois, ça peut être un défaut aussi. Puis moi, je regardais la scène, puis je me disais, mon Dieu Seigneur, écoute, elle s'en voulait, elle s'en voulait, d'après moi, je disais, elle va s'en vouloir jusqu'à la fin de ses jours, mais ça va être long parce qu'elle n'a rien de 15 ans. Puis je me dis, mais mon Dieu, pourquoi qu'elle n'accepte pas ça, qu'elle n'accepte pas sa défaite ? Puis qu'elle se pardonne donc ses erreurs en lâchant prise. Parce que de toute façon, elle ne peut pas revenir en arrière. C'est passé. Moi, je lui ai dit, je dis, Hey, fille, c'est parce que tu respires encore, là. Elle me regarde avec des yeux sortis des orbites. Et bien, bref. Écoute, et là, moi, ce que j'ai trouvé magique dans tout ça, c'est que toutes ses coéquipières, ils sont venus l'entourer. Puis ils sont tous venus la... la prendre dans un cocon. Puis il n'arrêtait pas de dire, Non, ce n'est pas grave. Fais-toi en pas. C'est juste une... Ça en est juste une. Puis blablabla. Il y avait tous des commentaires positifs face à elle. Puis moi, de rajouter, je dis, Regarde, aujourd'hui, c'est toi qui es tombée, mais d'autres fois, c'est d'autres. C'est vrai, là, je veux dire, cette fois-ci, c'était elle, mais... Il y en a d'autres compétitions où il y en a d'autres qui sont tombées et ce n'était pas elle. C'est quoi son attitude par rapport aux autres quand c'est les autres qui tombent ? Voilà, c'est ça. Moi, je me dis, un coup d'ombre, si ses coéquipières, ils l'ont pardonné d'être tombée, elle aussi, il faut qu'elle se pardonne là-dedans. Moi, j'ai pour mon dire que la défaite, ça fait partie du jeu. Comme dirait l'autre, c'est l'expérience qui rentre en tout éternel optimiste que je suis, puis que je trouve du positif partout. Il y en a du négatif, mais il ne faut pas te laisser abattre par le négatif. Il faut que tu le prennes de façon constructive. Pour moi, le négatif, ça fait avancer. C'est juste un pied dans le cul pour te dire, Hé, ok. recommence, change quelque chose, puis recommence, puis regarde, c'était juste une leçon, puis il doit avoir moyen de faire autrement, puis tu vas l'avoir. Il y a un proverbe qui dit On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. C'est ça. Si tu n'en casses pas, tu n'en mangeras pas d'omelette. Il faut se donner une chance de se reprendre quand on se trompe ou quand on perd. Il faut se pardonner nos erreurs parce que l'erreur est humaine. Si on était parfait, on ne serait pas ici. Je dis dans ma conférence, qui a déjà joué à un jeu sans bouger un pion ? Sans bouger son pion. Mais c'est ça l'affaire. C'est sûr que quand tu t'embarques dans un projet, dans un jeu, dans une compétition, peu importe, il faut que tu t'attendes à ne pas être parfait tout le temps. Il faut que tu t'attendes à un moment donné à avoir une tape sur la margoulette, à avoir une défaite. Ça fait juste partie de la vie. Ça fait partie de l'apprentissage de la vie, ça fait partie de notre évolution, d'apprendre de nos erreurs. Mais l'idée, c'est que dans tout ça, l'important, c'est de toujours garder l'attitude de gagnant, comme Elvis Gratton, Tim Biggesty. C'est ça, d'avoir le verre à moitié plein tout le temps, de voir le verre à moitié plein, je devrais dire, et de voir les échecs comme des apprentissages. Et l'important, c'est que la défaite… ou, en tout cas, le truc qui est négatif, qui vient de t'arriver, l'important, c'est de ne jamais arrêter de croire en tes dons, tes talents, tes compétences. Pas parce que tu t'es trompé une fois que t'es plus bon, t'es plus bon à rien, pas solidé, pas en tout. Faut juste se dire, on efface, puis on recommence, c'est tout. Comme à l'habitude, je te partage des citations et je les commente pour agrémenter mon propos. Une belle citation. Il n'y a pas d'échecs, il n'y a que des expériences. Mais voilà, comme je l'ai dit, les échecs, ça fait partie de l'apprentissage. Il y en a malheureusement qui n'apprennent pas de leurs erreurs. C'est toujours la faute des autres, c'est jamais de la leur. Puis il y a toujours quelque chose, puis c'est à cause d'eux. Puis tu sais là, ces gens-là, ils n'apprennent pas. Non, non, ils nient, ils nient leur erreur ou leur échec. Ça, c'est vraiment pas bon. Non, non. Faut apprendre de nos erreurs, puis t'avances avec ça dans la vie. C'est n'est qu'en fait, t'as plus de trucs dans ton bagage. Je te dis pas tout le temps de tromper, c'est pas ça que je dis, mais le fait de se tromper ou de perdre, ben, ça fait juste des expériences que tu mets dans ton bagage pour l'avenir. Une autre citation. Rien n'est permanent dans ce monde. pas même nos problèmes. Ça, c'est Charlie Chaplin qui a dit ça. Effectivement, ce n'est pas parce que tu as perdu une partie de poker ou que tu as perdu, mettons que je ne sais pas, il y avait un concours et tu as perdu. Ce n'est pas la fin du monde. Tu respires encore et, mon Dieu, on passe à d'autres choses. On efface, on recommence, on passe à d'autres choses. C'est tout. Une autre citation, la chute n'est pas un échec. L'échec, c'est de rester là où on est tombé. Évidemment, il faut que tu apprennes de tes erreurs. Il faut que tu apprennes des critiques. Quelqu'un va te donner une critique négative, tu peux t'effoirer à terre pour t'ébranler ta vie. Ou tu dis, ah, ok, il y a peut-être du sens, ça fait peut-être du sens que cette personne-là m'a dit. Puis tu dis, bien, Colin, comment je pourrais améliorer mon affaire pour ne pas répéter la même erreur ? Une autre citation. Les obstacles ne bloquent pas le chemin, ils sont le chemin. Voilà. Tu sais, des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde, tout m'arrive. Tu sais, non, non, non. Ça fait partie du chemin. Si c'est l'univers, puis là, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, les extraterrestres, Lapoune, Elvis. On comprend, quand je dis l'univers, c'est la force supérieure qui est au-dessus de toi, à laquelle tu crois. Si l'univers t'envoie des obstacles sur ton chemin de ta vie, c'est parce que tu en as besoin pour évoluer, tout simplement. Il faut que tu prennes ça comme des apprentissages. Une autre citation. La confiance en soi, ce n'est pas penser que l'on est meilleur que les autres. Non, c'est savoir que l'on n'a pas besoin de se comparer aux autres. Ça aussi, ça fait partie de la patente. Parce que, oui, on peut se comparer, mais ça donne quoi ? Moi, je ne me suis jamais comparée aux autres. Je trouve que c'est une perte de temps tellement. En fait, se comparer à soi, c'est la seule façon d'évoluer aussi et de s'améliorer dans la vie. Hein ? Je le sais pas, moi, tu joues, tu joues. Moi, je joue à patience sur mon cellulaire, OK ? Puis là, bien, on a le score. Puis là, tu sais, oui, j'essaye d'avoir un nouveau score à chaque fois, mais si je l'ai pas, tu sais, gars, je pétille pas mon cellulaire sur le mur. C'est pas ça, là. C'est un jeu. On s'amuse. Puis de se comparer à moi-même, tu sais, mon chum, lui, il joue à quenne-décroche. Moi, j'haïs ça, quenne-décroche, je suis pas capable. Mais si, mettons, là, je jouais à quenne-décroche, moi aussi, puis là, il disait, je suis à tel niveau, puis là, je dirais, bien, moi, je joue juste à celui-là. Ça serait juste ça. En tout cas. Moi, je trouve que ça ne sert absolument à rien de se mettre en pétard, de se mettre en colère pour des pacotilles de même. Voyons donc. Une autre citation. Si tu n'aimes pas ce que tu récoltes, alors change ce que tu sèmes. Ben voilà, les échecs, les critiques que tu reçois, peu importe, tes expériences négatives qui t'arrivent, ben si tu répètes toujours la même chose... tu vas toujours avoir le même résultat. Il faut que tu changes quelque chose. Donc, si... Je ne sais pas, moi, tu as ta rencontre annuelle ou trimestrielle avec ton employeur pour évaluer tes performances au travail, puis là, il te donne des commentaires, puis tu mets tes têtes de mule, puis tu fais, non, non, non, j'ai toujours fait ça de même, je vais continuer à faire ça de même. Bien, si le... La période suivante, à la prochaine évaluation, ton employeur, il dit encore les mêmes commentaires. À un moment donné, il faudra que tu comprennes qu'il faut que tu changes quelque chose. Sinon, effectivement, tu vas arriver toujours au même. Une autre citation. Ce qui compte, ce n'est pas ce qui arrive, c'est ce qu'on fait de ce qui arrive. Voilà, ça revient tout au même, ce que je dis. Mais effectivement, c'est dit en d'autres mots pour que peut-être que ça résonne plus, cette citation-là. Mais effectivement, ce qui arrive... C'est une chose, mais ce qu'on fait avec ce qui arrive en est une autre. Il faut apprendre de ce qui arrive. Moi, je dis souvent, rien n'arrive pour rien, tout arrive pour quelque chose. Tu te dois de vivre ça, que ce soit une rupture, une chicane, un échec, une défaite, peu importe, des commentaires négatifs, peu importe. C'est à toi de rebondir suite à ce qui est arrivé. Une autre citation, et celle-là, elle est... Écoute, il y en a six. En fait, je vais vous résumer ça. Il y a des célébrités qui ont vécu des échecs. Albert Einstein, il était incapable de parler jusqu'à presque quatre ans. Ses professeurs disaient qu'il n'irait jamais très loin. Je pense qu'il est allé assez loin, merci. Michael Jordan, viré de son équipe de basket au lycée, il s'enferme dans sa chambre pour pleurer. Et on comprend-tu que s'il avait continué à broyer dans sa chambre, il n'aurait pas réussi ce qu'il a réussi. Walt Disney, il a été viré d'un journal pour panne d'imagination et absence d'idée originale. On comprend-tu que s'il s'était juste fait à l'idée que c'était un bon à rien, il n'aurait pas créé l'Empire Walt Disney. Steve Jobs, dépressif à 30 ans après avoir été viré sans ménagement. de sa propre société. Steve Jobs, il a fait des choses grandioses dans la vie. Mais c'est ça, il ne s'est pas assis sur ça. Au contraire, il a rebondi et il a fait des grandes choses. Oprah Winfrey, rétrogradée de son poste de présentatrice vedette parce qu'elle n'était pas faite pour la télévision. Ben oui, il me semble. Mais c'est ça, on comprend que ces gens-là, ils ont tous rebondi suite à des remarques négatives. Et finalement, les Beatles, ils ont été virés des studios déca qui n'aimaient pas leur son, disant qu'ils n'avaient aucun avenir dans le show business. Ils s'étaient trompés. Le gars qu'ils ont viré, lui, il doit s'en vouloir en basse-lac. Mais les Beatles, eux autres, ils ont su rebondir. Alors, si vous n'avez jamais échoué, vous n'avez jamais rien tenté de nouveau. Voilà, c'est ça le dé. C'est que quand tu te trompes, il faut juste que tu réessaies. d'une autre manière, plus fort, plus performante. Voilà. Une autre citation. Le passé est dans ta tête, le futur est dans tes mains. Bien, une autre affaire. Quand tu te trompes, que tu perds, que tu n'es pas choisi, blablabla, arrête de penser à ça, OK, c'est passé, là. Reviens-en, comme dirait l'autre, puis regarde en avant, tout simplement. Ça ne sert à rien de ressasser ta défaite. Ça ne sert à rien de ressasser ton échec. Il faut juste que tu... tu retravailles la patente, puis tu regardes en avant, puis tu rebondisses. Une autre citation. Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. Ça, c'est Franklin Roosevelt qui a dit ça, pas étonnu, là. Bien, effectivement, quand tu as l'attitude de gagnant, face à un échec, tu vas réfléchir à comment, bon, pourquoi tu as fait telle ou telle affaire, puis OK, si tu avais fait telle affaire, peut-être que, puis là, tu vas l'essayer, puis tu vas te repratiquer. puis tu vas y réussir. Le perdant, lui, il s'assit sur son cul puis il fait, Wow, là, là, là, c'est à cause de ci, puis là, c'était pas une bonne journée, puis la température était pas bonne, puis lui, c'était un tel qui avait dit que c'était de sa faute. Tu comprends-tu ? Ça, là, c'est pas bon, ça. Faut que tu... Comment dire ? Que t'assumes. Faut que t'assumes ce qui te revient. Faut que t'assumes que c'est peut-être de ta faute, ce qui arrive, mais tu en respectes. pas là, tu te battes le cul puis tu recommences. Une autre citation, Albert Einstein. La vraie folie, c'est de toujours faire la même chose et d'espérer des changements. Mais voilà, si tu t'entêtes, tu sais, mettons, on jase là, mettons, tu fais une recette, elle n'est pas mangeable. Puis là, tu te dis, ça doit être parce que ci, parce que ça, tu t'es trompé, tu as peut-être mis du sucre au lieu du ciel, whatever. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Mais c'est peut-être parce que tu n'aimes pas cette recette-là, tout simplement. Comprends-tu ? Mais c'est ça. Fait que change de recette, c'est tout. Face à ta compétitivité maladive, tu as deux options. Premièrement, tu as l'option de t'en vouloir à ne plus finir d'avoir échoué. Tu te jures que pour toi, c'est terminé. Tu abandonnes au premier revers, tu causes tout, tu dis que c'était de la merde de toute façon, c'était la faute de ci ou de ça, tu entretiens de la rancœur, de la rage, de la colère face à ton expérience désastreuse, puis tu as honte de ta défaite ou de ton échec. Tu prends toute critique négativement, puis à force de ruminer du négatif, tu vas te rendre malade. La deuxième option. Oui, tu es déçu d'avoir perdu, c'est sûr, mais tu te dis que ce n'est pas la fin du monde, que c'est juste partie remise. L'important, c'est d'avoir eu du plaisir à jouer au jeu où tu as perdu ou à monter le projet que tu as monté et qui n'a pas été retenu ou peu importe. Il y a d'autres occasions de se reprendre. La terre n'arrêtera pas de tourner parce que tu n'as pas réussi telle ou telle chose. Tu relèves ce qui n'a pas fonctionné et tu dis que la prochaine fois, tu ne feras pas les mêmes erreurs. Tu prends la critique de façon constructive et tu es d'avis qu'il y a toujours place à de l'amélioration. En ayant une attitude positive, tu vas vivre très longtemps. En résumé, je t'ai parlé d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon. Je t'ai raconté mon anecdote de gymnastique qui s'est terminée en crise de larmes. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir sur le sujet de la compétitivité. Je t'ai présenté des options possibles sur la façon de gérer ton attitude face à une défaite ou à un échec. À toi de décider comment tu agiras la prochaine fois que tu joueras au poker ou à ta prochaine évaluation annuelle de ton emploi. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta compétitivité. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérailles, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou préparée sur un sujet donné, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a sincèrement aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle des signes trompeurs de l'univers.

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Dans cet épisode je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d’apprentissage, de lâcher-prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec !


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  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta compétitivité ? Autrement dit, ta capacité à accepter un échec. Tu joues aux cartes et tu perds. Tu te choques noir ou tu acceptes ta défaite parce que c'est juste un jeu ? Tu expérimentes quelque chose et ça ne fonctionne pas pantoute. Tu abandonnes le tout en te traitant de tous les noms ou tu essaies une autre fois en te prenant autrement ? Tu joues au hockey. Et quand ton équipe perd, t'en veux à la terre entière ou tu te dis que tu pouvais pas faire mieux parce que t'as donné ton 100% ? Tu joues au tennis pis ça te coûte une raquette à chaque fois que tu perds ? T'as mis toute ton énergie dans un projet et t'en veux à la terre entière quand t'apprends qu'il a pas été retenu ? Lors de ton évaluation annuelle, ton employeur relève des points à améliorer et ça te met en pétard ? Bonne nouvelle ! Un échec n'est pas la fin du monde parce que tu respires encore. Dans cet épisode, je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie, le podcast qui changera ta vie assurément. Moi et mon chum, on a un couple d'amis qui ont des filles et ils font de la gymnastique de groupe. Et bien, on n'avait rien à faire, donc on a dit, on va aller voir la compétition régionale de gymnastique. C'est quelque chose, ça revole dans les airs, c'est incroyable. Et cette compétition-là, c'était la dernière dans le but d'aller aux provinciaux. Et qui dit gymnastique dit chute. Et ce qui devait arriver arriva. La fille de nos amis, elle est tombée. Elle a fait perdre des points à son équipe. Et son équipe est arrivée troisième. Et donc, il n'y a pas de provinciaux parce qu'ils prenaient les deux premières équipes. Et là, c'est la fin du monde. Et à la fin de la compétition, on s'en va à la sortie des athlètes et on va récupérer la demoiselle. Et là, écoute, elle braille sa vie. Là, écoute, la terre vient d'arrêter. tourner, c'est la fin du monde parce qu'elle est tombée. Tout ce qu'elle veut, c'est de retourner en arrière pour recommencer et faire ça mieux. Parce qu'elle avait oublié ça. Écoute, elle a dit, vraiment, c'était, écoute, elle a 15 ans. On s'est entendu que ce n'est pas la fin du monde. Loin de là. Et c'est sûr qu'elle est très, très, très compétitive, pour ne pas dire mauvaise perdante. Elle voudrait être parfaite tout le temps. temps, puis elle est très, très sévère avec elle-même. Ça peut être une qualité, mais des fois, ça peut être un défaut aussi. Puis moi, je regardais la scène, puis je me disais, mon Dieu Seigneur, écoute, elle s'en voulait, elle s'en voulait, d'après moi, je disais, elle va s'en vouloir jusqu'à la fin de ses jours, mais ça va être long parce qu'elle n'a rien de 15 ans. Puis je me dis, mais mon Dieu, pourquoi qu'elle n'accepte pas ça, qu'elle n'accepte pas sa défaite ? Puis qu'elle se pardonne donc ses erreurs en lâchant prise. Parce que de toute façon, elle ne peut pas revenir en arrière. C'est passé. Moi, je lui ai dit, je dis, Hey, fille, c'est parce que tu respires encore, là. Elle me regarde avec des yeux sortis des orbites. Et bien, bref. Écoute, et là, moi, ce que j'ai trouvé magique dans tout ça, c'est que toutes ses coéquipières, ils sont venus l'entourer. Puis ils sont tous venus la... la prendre dans un cocon. Puis il n'arrêtait pas de dire, Non, ce n'est pas grave. Fais-toi en pas. C'est juste une... Ça en est juste une. Puis blablabla. Il y avait tous des commentaires positifs face à elle. Puis moi, de rajouter, je dis, Regarde, aujourd'hui, c'est toi qui es tombée, mais d'autres fois, c'est d'autres. C'est vrai, là, je veux dire, cette fois-ci, c'était elle, mais... Il y en a d'autres compétitions où il y en a d'autres qui sont tombées et ce n'était pas elle. C'est quoi son attitude par rapport aux autres quand c'est les autres qui tombent ? Voilà, c'est ça. Moi, je me dis, un coup d'ombre, si ses coéquipières, ils l'ont pardonné d'être tombée, elle aussi, il faut qu'elle se pardonne là-dedans. Moi, j'ai pour mon dire que la défaite, ça fait partie du jeu. Comme dirait l'autre, c'est l'expérience qui rentre en tout éternel optimiste que je suis, puis que je trouve du positif partout. Il y en a du négatif, mais il ne faut pas te laisser abattre par le négatif. Il faut que tu le prennes de façon constructive. Pour moi, le négatif, ça fait avancer. C'est juste un pied dans le cul pour te dire, Hé, ok. recommence, change quelque chose, puis recommence, puis regarde, c'était juste une leçon, puis il doit avoir moyen de faire autrement, puis tu vas l'avoir. Il y a un proverbe qui dit On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. C'est ça. Si tu n'en casses pas, tu n'en mangeras pas d'omelette. Il faut se donner une chance de se reprendre quand on se trompe ou quand on perd. Il faut se pardonner nos erreurs parce que l'erreur est humaine. Si on était parfait, on ne serait pas ici. Je dis dans ma conférence, qui a déjà joué à un jeu sans bouger un pion ? Sans bouger son pion. Mais c'est ça l'affaire. C'est sûr que quand tu t'embarques dans un projet, dans un jeu, dans une compétition, peu importe, il faut que tu t'attendes à ne pas être parfait tout le temps. Il faut que tu t'attendes à un moment donné à avoir une tape sur la margoulette, à avoir une défaite. Ça fait juste partie de la vie. Ça fait partie de l'apprentissage de la vie, ça fait partie de notre évolution, d'apprendre de nos erreurs. Mais l'idée, c'est que dans tout ça, l'important, c'est de toujours garder l'attitude de gagnant, comme Elvis Gratton, Tim Biggesty. C'est ça, d'avoir le verre à moitié plein tout le temps, de voir le verre à moitié plein, je devrais dire, et de voir les échecs comme des apprentissages. Et l'important, c'est que la défaite… ou, en tout cas, le truc qui est négatif, qui vient de t'arriver, l'important, c'est de ne jamais arrêter de croire en tes dons, tes talents, tes compétences. Pas parce que tu t'es trompé une fois que t'es plus bon, t'es plus bon à rien, pas solidé, pas en tout. Faut juste se dire, on efface, puis on recommence, c'est tout. Comme à l'habitude, je te partage des citations et je les commente pour agrémenter mon propos. Une belle citation. Il n'y a pas d'échecs, il n'y a que des expériences. Mais voilà, comme je l'ai dit, les échecs, ça fait partie de l'apprentissage. Il y en a malheureusement qui n'apprennent pas de leurs erreurs. C'est toujours la faute des autres, c'est jamais de la leur. Puis il y a toujours quelque chose, puis c'est à cause d'eux. Puis tu sais là, ces gens-là, ils n'apprennent pas. Non, non, ils nient, ils nient leur erreur ou leur échec. Ça, c'est vraiment pas bon. Non, non. Faut apprendre de nos erreurs, puis t'avances avec ça dans la vie. C'est n'est qu'en fait, t'as plus de trucs dans ton bagage. Je te dis pas tout le temps de tromper, c'est pas ça que je dis, mais le fait de se tromper ou de perdre, ben, ça fait juste des expériences que tu mets dans ton bagage pour l'avenir. Une autre citation. Rien n'est permanent dans ce monde. pas même nos problèmes. Ça, c'est Charlie Chaplin qui a dit ça. Effectivement, ce n'est pas parce que tu as perdu une partie de poker ou que tu as perdu, mettons que je ne sais pas, il y avait un concours et tu as perdu. Ce n'est pas la fin du monde. Tu respires encore et, mon Dieu, on passe à d'autres choses. On efface, on recommence, on passe à d'autres choses. C'est tout. Une autre citation, la chute n'est pas un échec. L'échec, c'est de rester là où on est tombé. Évidemment, il faut que tu apprennes de tes erreurs. Il faut que tu apprennes des critiques. Quelqu'un va te donner une critique négative, tu peux t'effoirer à terre pour t'ébranler ta vie. Ou tu dis, ah, ok, il y a peut-être du sens, ça fait peut-être du sens que cette personne-là m'a dit. Puis tu dis, bien, Colin, comment je pourrais améliorer mon affaire pour ne pas répéter la même erreur ? Une autre citation. Les obstacles ne bloquent pas le chemin, ils sont le chemin. Voilà. Tu sais, des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde, tout m'arrive. Tu sais, non, non, non. Ça fait partie du chemin. Si c'est l'univers, puis là, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, les extraterrestres, Lapoune, Elvis. On comprend, quand je dis l'univers, c'est la force supérieure qui est au-dessus de toi, à laquelle tu crois. Si l'univers t'envoie des obstacles sur ton chemin de ta vie, c'est parce que tu en as besoin pour évoluer, tout simplement. Il faut que tu prennes ça comme des apprentissages. Une autre citation. La confiance en soi, ce n'est pas penser que l'on est meilleur que les autres. Non, c'est savoir que l'on n'a pas besoin de se comparer aux autres. Ça aussi, ça fait partie de la patente. Parce que, oui, on peut se comparer, mais ça donne quoi ? Moi, je ne me suis jamais comparée aux autres. Je trouve que c'est une perte de temps tellement. En fait, se comparer à soi, c'est la seule façon d'évoluer aussi et de s'améliorer dans la vie. Hein ? Je le sais pas, moi, tu joues, tu joues. Moi, je joue à patience sur mon cellulaire, OK ? Puis là, bien, on a le score. Puis là, tu sais, oui, j'essaye d'avoir un nouveau score à chaque fois, mais si je l'ai pas, tu sais, gars, je pétille pas mon cellulaire sur le mur. C'est pas ça, là. C'est un jeu. On s'amuse. Puis de se comparer à moi-même, tu sais, mon chum, lui, il joue à quenne-décroche. Moi, j'haïs ça, quenne-décroche, je suis pas capable. Mais si, mettons, là, je jouais à quenne-décroche, moi aussi, puis là, il disait, je suis à tel niveau, puis là, je dirais, bien, moi, je joue juste à celui-là. Ça serait juste ça. En tout cas. Moi, je trouve que ça ne sert absolument à rien de se mettre en pétard, de se mettre en colère pour des pacotilles de même. Voyons donc. Une autre citation. Si tu n'aimes pas ce que tu récoltes, alors change ce que tu sèmes. Ben voilà, les échecs, les critiques que tu reçois, peu importe, tes expériences négatives qui t'arrivent, ben si tu répètes toujours la même chose... tu vas toujours avoir le même résultat. Il faut que tu changes quelque chose. Donc, si... Je ne sais pas, moi, tu as ta rencontre annuelle ou trimestrielle avec ton employeur pour évaluer tes performances au travail, puis là, il te donne des commentaires, puis tu mets tes têtes de mule, puis tu fais, non, non, non, j'ai toujours fait ça de même, je vais continuer à faire ça de même. Bien, si le... La période suivante, à la prochaine évaluation, ton employeur, il dit encore les mêmes commentaires. À un moment donné, il faudra que tu comprennes qu'il faut que tu changes quelque chose. Sinon, effectivement, tu vas arriver toujours au même. Une autre citation. Ce qui compte, ce n'est pas ce qui arrive, c'est ce qu'on fait de ce qui arrive. Voilà, ça revient tout au même, ce que je dis. Mais effectivement, c'est dit en d'autres mots pour que peut-être que ça résonne plus, cette citation-là. Mais effectivement, ce qui arrive... C'est une chose, mais ce qu'on fait avec ce qui arrive en est une autre. Il faut apprendre de ce qui arrive. Moi, je dis souvent, rien n'arrive pour rien, tout arrive pour quelque chose. Tu te dois de vivre ça, que ce soit une rupture, une chicane, un échec, une défaite, peu importe, des commentaires négatifs, peu importe. C'est à toi de rebondir suite à ce qui est arrivé. Une autre citation, et celle-là, elle est... Écoute, il y en a six. En fait, je vais vous résumer ça. Il y a des célébrités qui ont vécu des échecs. Albert Einstein, il était incapable de parler jusqu'à presque quatre ans. Ses professeurs disaient qu'il n'irait jamais très loin. Je pense qu'il est allé assez loin, merci. Michael Jordan, viré de son équipe de basket au lycée, il s'enferme dans sa chambre pour pleurer. Et on comprend-tu que s'il avait continué à broyer dans sa chambre, il n'aurait pas réussi ce qu'il a réussi. Walt Disney, il a été viré d'un journal pour panne d'imagination et absence d'idée originale. On comprend-tu que s'il s'était juste fait à l'idée que c'était un bon à rien, il n'aurait pas créé l'Empire Walt Disney. Steve Jobs, dépressif à 30 ans après avoir été viré sans ménagement. de sa propre société. Steve Jobs, il a fait des choses grandioses dans la vie. Mais c'est ça, il ne s'est pas assis sur ça. Au contraire, il a rebondi et il a fait des grandes choses. Oprah Winfrey, rétrogradée de son poste de présentatrice vedette parce qu'elle n'était pas faite pour la télévision. Ben oui, il me semble. Mais c'est ça, on comprend que ces gens-là, ils ont tous rebondi suite à des remarques négatives. Et finalement, les Beatles, ils ont été virés des studios déca qui n'aimaient pas leur son, disant qu'ils n'avaient aucun avenir dans le show business. Ils s'étaient trompés. Le gars qu'ils ont viré, lui, il doit s'en vouloir en basse-lac. Mais les Beatles, eux autres, ils ont su rebondir. Alors, si vous n'avez jamais échoué, vous n'avez jamais rien tenté de nouveau. Voilà, c'est ça le dé. C'est que quand tu te trompes, il faut juste que tu réessaies. d'une autre manière, plus fort, plus performante. Voilà. Une autre citation. Le passé est dans ta tête, le futur est dans tes mains. Bien, une autre affaire. Quand tu te trompes, que tu perds, que tu n'es pas choisi, blablabla, arrête de penser à ça, OK, c'est passé, là. Reviens-en, comme dirait l'autre, puis regarde en avant, tout simplement. Ça ne sert à rien de ressasser ta défaite. Ça ne sert à rien de ressasser ton échec. Il faut juste que tu... tu retravailles la patente, puis tu regardes en avant, puis tu rebondisses. Une autre citation. Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. Ça, c'est Franklin Roosevelt qui a dit ça, pas étonnu, là. Bien, effectivement, quand tu as l'attitude de gagnant, face à un échec, tu vas réfléchir à comment, bon, pourquoi tu as fait telle ou telle affaire, puis OK, si tu avais fait telle affaire, peut-être que, puis là, tu vas l'essayer, puis tu vas te repratiquer. puis tu vas y réussir. Le perdant, lui, il s'assit sur son cul puis il fait, Wow, là, là, là, c'est à cause de ci, puis là, c'était pas une bonne journée, puis la température était pas bonne, puis lui, c'était un tel qui avait dit que c'était de sa faute. Tu comprends-tu ? Ça, là, c'est pas bon, ça. Faut que tu... Comment dire ? Que t'assumes. Faut que t'assumes ce qui te revient. Faut que t'assumes que c'est peut-être de ta faute, ce qui arrive, mais tu en respectes. pas là, tu te battes le cul puis tu recommences. Une autre citation, Albert Einstein. La vraie folie, c'est de toujours faire la même chose et d'espérer des changements. Mais voilà, si tu t'entêtes, tu sais, mettons, on jase là, mettons, tu fais une recette, elle n'est pas mangeable. Puis là, tu te dis, ça doit être parce que ci, parce que ça, tu t'es trompé, tu as peut-être mis du sucre au lieu du ciel, whatever. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Mais c'est peut-être parce que tu n'aimes pas cette recette-là, tout simplement. Comprends-tu ? Mais c'est ça. Fait que change de recette, c'est tout. Face à ta compétitivité maladive, tu as deux options. Premièrement, tu as l'option de t'en vouloir à ne plus finir d'avoir échoué. Tu te jures que pour toi, c'est terminé. Tu abandonnes au premier revers, tu causes tout, tu dis que c'était de la merde de toute façon, c'était la faute de ci ou de ça, tu entretiens de la rancœur, de la rage, de la colère face à ton expérience désastreuse, puis tu as honte de ta défaite ou de ton échec. Tu prends toute critique négativement, puis à force de ruminer du négatif, tu vas te rendre malade. La deuxième option. Oui, tu es déçu d'avoir perdu, c'est sûr, mais tu te dis que ce n'est pas la fin du monde, que c'est juste partie remise. L'important, c'est d'avoir eu du plaisir à jouer au jeu où tu as perdu ou à monter le projet que tu as monté et qui n'a pas été retenu ou peu importe. Il y a d'autres occasions de se reprendre. La terre n'arrêtera pas de tourner parce que tu n'as pas réussi telle ou telle chose. Tu relèves ce qui n'a pas fonctionné et tu dis que la prochaine fois, tu ne feras pas les mêmes erreurs. Tu prends la critique de façon constructive et tu es d'avis qu'il y a toujours place à de l'amélioration. En ayant une attitude positive, tu vas vivre très longtemps. En résumé, je t'ai parlé d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon. Je t'ai raconté mon anecdote de gymnastique qui s'est terminée en crise de larmes. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir sur le sujet de la compétitivité. Je t'ai présenté des options possibles sur la façon de gérer ton attitude face à une défaite ou à un échec. À toi de décider comment tu agiras la prochaine fois que tu joueras au poker ou à ta prochaine évaluation annuelle de ton emploi. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta compétitivité. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérailles, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou préparée sur un sujet donné, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a sincèrement aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle des signes trompeurs de l'univers.

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Dans cet épisode je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d’apprentissage, de lâcher-prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec !


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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta compétitivité ? Autrement dit, ta capacité à accepter un échec. Tu joues aux cartes et tu perds. Tu te choques noir ou tu acceptes ta défaite parce que c'est juste un jeu ? Tu expérimentes quelque chose et ça ne fonctionne pas pantoute. Tu abandonnes le tout en te traitant de tous les noms ou tu essaies une autre fois en te prenant autrement ? Tu joues au hockey. Et quand ton équipe perd, t'en veux à la terre entière ou tu te dis que tu pouvais pas faire mieux parce que t'as donné ton 100% ? Tu joues au tennis pis ça te coûte une raquette à chaque fois que tu perds ? T'as mis toute ton énergie dans un projet et t'en veux à la terre entière quand t'apprends qu'il a pas été retenu ? Lors de ton évaluation annuelle, ton employeur relève des points à améliorer et ça te met en pétard ? Bonne nouvelle ! Un échec n'est pas la fin du monde parce que tu respires encore. Dans cet épisode, je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie, le podcast qui changera ta vie assurément. Moi et mon chum, on a un couple d'amis qui ont des filles et ils font de la gymnastique de groupe. Et bien, on n'avait rien à faire, donc on a dit, on va aller voir la compétition régionale de gymnastique. C'est quelque chose, ça revole dans les airs, c'est incroyable. Et cette compétition-là, c'était la dernière dans le but d'aller aux provinciaux. Et qui dit gymnastique dit chute. Et ce qui devait arriver arriva. La fille de nos amis, elle est tombée. Elle a fait perdre des points à son équipe. Et son équipe est arrivée troisième. Et donc, il n'y a pas de provinciaux parce qu'ils prenaient les deux premières équipes. Et là, c'est la fin du monde. Et à la fin de la compétition, on s'en va à la sortie des athlètes et on va récupérer la demoiselle. Et là, écoute, elle braille sa vie. Là, écoute, la terre vient d'arrêter. tourner, c'est la fin du monde parce qu'elle est tombée. Tout ce qu'elle veut, c'est de retourner en arrière pour recommencer et faire ça mieux. Parce qu'elle avait oublié ça. Écoute, elle a dit, vraiment, c'était, écoute, elle a 15 ans. On s'est entendu que ce n'est pas la fin du monde. Loin de là. Et c'est sûr qu'elle est très, très, très compétitive, pour ne pas dire mauvaise perdante. Elle voudrait être parfaite tout le temps. temps, puis elle est très, très sévère avec elle-même. Ça peut être une qualité, mais des fois, ça peut être un défaut aussi. Puis moi, je regardais la scène, puis je me disais, mon Dieu Seigneur, écoute, elle s'en voulait, elle s'en voulait, d'après moi, je disais, elle va s'en vouloir jusqu'à la fin de ses jours, mais ça va être long parce qu'elle n'a rien de 15 ans. Puis je me dis, mais mon Dieu, pourquoi qu'elle n'accepte pas ça, qu'elle n'accepte pas sa défaite ? Puis qu'elle se pardonne donc ses erreurs en lâchant prise. Parce que de toute façon, elle ne peut pas revenir en arrière. C'est passé. Moi, je lui ai dit, je dis, Hey, fille, c'est parce que tu respires encore, là. Elle me regarde avec des yeux sortis des orbites. Et bien, bref. Écoute, et là, moi, ce que j'ai trouvé magique dans tout ça, c'est que toutes ses coéquipières, ils sont venus l'entourer. Puis ils sont tous venus la... la prendre dans un cocon. Puis il n'arrêtait pas de dire, Non, ce n'est pas grave. Fais-toi en pas. C'est juste une... Ça en est juste une. Puis blablabla. Il y avait tous des commentaires positifs face à elle. Puis moi, de rajouter, je dis, Regarde, aujourd'hui, c'est toi qui es tombée, mais d'autres fois, c'est d'autres. C'est vrai, là, je veux dire, cette fois-ci, c'était elle, mais... Il y en a d'autres compétitions où il y en a d'autres qui sont tombées et ce n'était pas elle. C'est quoi son attitude par rapport aux autres quand c'est les autres qui tombent ? Voilà, c'est ça. Moi, je me dis, un coup d'ombre, si ses coéquipières, ils l'ont pardonné d'être tombée, elle aussi, il faut qu'elle se pardonne là-dedans. Moi, j'ai pour mon dire que la défaite, ça fait partie du jeu. Comme dirait l'autre, c'est l'expérience qui rentre en tout éternel optimiste que je suis, puis que je trouve du positif partout. Il y en a du négatif, mais il ne faut pas te laisser abattre par le négatif. Il faut que tu le prennes de façon constructive. Pour moi, le négatif, ça fait avancer. C'est juste un pied dans le cul pour te dire, Hé, ok. recommence, change quelque chose, puis recommence, puis regarde, c'était juste une leçon, puis il doit avoir moyen de faire autrement, puis tu vas l'avoir. Il y a un proverbe qui dit On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. C'est ça. Si tu n'en casses pas, tu n'en mangeras pas d'omelette. Il faut se donner une chance de se reprendre quand on se trompe ou quand on perd. Il faut se pardonner nos erreurs parce que l'erreur est humaine. Si on était parfait, on ne serait pas ici. Je dis dans ma conférence, qui a déjà joué à un jeu sans bouger un pion ? Sans bouger son pion. Mais c'est ça l'affaire. C'est sûr que quand tu t'embarques dans un projet, dans un jeu, dans une compétition, peu importe, il faut que tu t'attendes à ne pas être parfait tout le temps. Il faut que tu t'attendes à un moment donné à avoir une tape sur la margoulette, à avoir une défaite. Ça fait juste partie de la vie. Ça fait partie de l'apprentissage de la vie, ça fait partie de notre évolution, d'apprendre de nos erreurs. Mais l'idée, c'est que dans tout ça, l'important, c'est de toujours garder l'attitude de gagnant, comme Elvis Gratton, Tim Biggesty. C'est ça, d'avoir le verre à moitié plein tout le temps, de voir le verre à moitié plein, je devrais dire, et de voir les échecs comme des apprentissages. Et l'important, c'est que la défaite… ou, en tout cas, le truc qui est négatif, qui vient de t'arriver, l'important, c'est de ne jamais arrêter de croire en tes dons, tes talents, tes compétences. Pas parce que tu t'es trompé une fois que t'es plus bon, t'es plus bon à rien, pas solidé, pas en tout. Faut juste se dire, on efface, puis on recommence, c'est tout. Comme à l'habitude, je te partage des citations et je les commente pour agrémenter mon propos. Une belle citation. Il n'y a pas d'échecs, il n'y a que des expériences. Mais voilà, comme je l'ai dit, les échecs, ça fait partie de l'apprentissage. Il y en a malheureusement qui n'apprennent pas de leurs erreurs. C'est toujours la faute des autres, c'est jamais de la leur. Puis il y a toujours quelque chose, puis c'est à cause d'eux. Puis tu sais là, ces gens-là, ils n'apprennent pas. Non, non, ils nient, ils nient leur erreur ou leur échec. Ça, c'est vraiment pas bon. Non, non. Faut apprendre de nos erreurs, puis t'avances avec ça dans la vie. C'est n'est qu'en fait, t'as plus de trucs dans ton bagage. Je te dis pas tout le temps de tromper, c'est pas ça que je dis, mais le fait de se tromper ou de perdre, ben, ça fait juste des expériences que tu mets dans ton bagage pour l'avenir. Une autre citation. Rien n'est permanent dans ce monde. pas même nos problèmes. Ça, c'est Charlie Chaplin qui a dit ça. Effectivement, ce n'est pas parce que tu as perdu une partie de poker ou que tu as perdu, mettons que je ne sais pas, il y avait un concours et tu as perdu. Ce n'est pas la fin du monde. Tu respires encore et, mon Dieu, on passe à d'autres choses. On efface, on recommence, on passe à d'autres choses. C'est tout. Une autre citation, la chute n'est pas un échec. L'échec, c'est de rester là où on est tombé. Évidemment, il faut que tu apprennes de tes erreurs. Il faut que tu apprennes des critiques. Quelqu'un va te donner une critique négative, tu peux t'effoirer à terre pour t'ébranler ta vie. Ou tu dis, ah, ok, il y a peut-être du sens, ça fait peut-être du sens que cette personne-là m'a dit. Puis tu dis, bien, Colin, comment je pourrais améliorer mon affaire pour ne pas répéter la même erreur ? Une autre citation. Les obstacles ne bloquent pas le chemin, ils sont le chemin. Voilà. Tu sais, des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde, tout m'arrive. Tu sais, non, non, non. Ça fait partie du chemin. Si c'est l'univers, puis là, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, les extraterrestres, Lapoune, Elvis. On comprend, quand je dis l'univers, c'est la force supérieure qui est au-dessus de toi, à laquelle tu crois. Si l'univers t'envoie des obstacles sur ton chemin de ta vie, c'est parce que tu en as besoin pour évoluer, tout simplement. Il faut que tu prennes ça comme des apprentissages. Une autre citation. La confiance en soi, ce n'est pas penser que l'on est meilleur que les autres. Non, c'est savoir que l'on n'a pas besoin de se comparer aux autres. Ça aussi, ça fait partie de la patente. Parce que, oui, on peut se comparer, mais ça donne quoi ? Moi, je ne me suis jamais comparée aux autres. Je trouve que c'est une perte de temps tellement. En fait, se comparer à soi, c'est la seule façon d'évoluer aussi et de s'améliorer dans la vie. Hein ? Je le sais pas, moi, tu joues, tu joues. Moi, je joue à patience sur mon cellulaire, OK ? Puis là, bien, on a le score. Puis là, tu sais, oui, j'essaye d'avoir un nouveau score à chaque fois, mais si je l'ai pas, tu sais, gars, je pétille pas mon cellulaire sur le mur. C'est pas ça, là. C'est un jeu. On s'amuse. Puis de se comparer à moi-même, tu sais, mon chum, lui, il joue à quenne-décroche. Moi, j'haïs ça, quenne-décroche, je suis pas capable. Mais si, mettons, là, je jouais à quenne-décroche, moi aussi, puis là, il disait, je suis à tel niveau, puis là, je dirais, bien, moi, je joue juste à celui-là. Ça serait juste ça. En tout cas. Moi, je trouve que ça ne sert absolument à rien de se mettre en pétard, de se mettre en colère pour des pacotilles de même. Voyons donc. Une autre citation. Si tu n'aimes pas ce que tu récoltes, alors change ce que tu sèmes. Ben voilà, les échecs, les critiques que tu reçois, peu importe, tes expériences négatives qui t'arrivent, ben si tu répètes toujours la même chose... tu vas toujours avoir le même résultat. Il faut que tu changes quelque chose. Donc, si... Je ne sais pas, moi, tu as ta rencontre annuelle ou trimestrielle avec ton employeur pour évaluer tes performances au travail, puis là, il te donne des commentaires, puis tu mets tes têtes de mule, puis tu fais, non, non, non, j'ai toujours fait ça de même, je vais continuer à faire ça de même. Bien, si le... La période suivante, à la prochaine évaluation, ton employeur, il dit encore les mêmes commentaires. À un moment donné, il faudra que tu comprennes qu'il faut que tu changes quelque chose. Sinon, effectivement, tu vas arriver toujours au même. Une autre citation. Ce qui compte, ce n'est pas ce qui arrive, c'est ce qu'on fait de ce qui arrive. Voilà, ça revient tout au même, ce que je dis. Mais effectivement, c'est dit en d'autres mots pour que peut-être que ça résonne plus, cette citation-là. Mais effectivement, ce qui arrive... C'est une chose, mais ce qu'on fait avec ce qui arrive en est une autre. Il faut apprendre de ce qui arrive. Moi, je dis souvent, rien n'arrive pour rien, tout arrive pour quelque chose. Tu te dois de vivre ça, que ce soit une rupture, une chicane, un échec, une défaite, peu importe, des commentaires négatifs, peu importe. C'est à toi de rebondir suite à ce qui est arrivé. Une autre citation, et celle-là, elle est... Écoute, il y en a six. En fait, je vais vous résumer ça. Il y a des célébrités qui ont vécu des échecs. Albert Einstein, il était incapable de parler jusqu'à presque quatre ans. Ses professeurs disaient qu'il n'irait jamais très loin. Je pense qu'il est allé assez loin, merci. Michael Jordan, viré de son équipe de basket au lycée, il s'enferme dans sa chambre pour pleurer. Et on comprend-tu que s'il avait continué à broyer dans sa chambre, il n'aurait pas réussi ce qu'il a réussi. Walt Disney, il a été viré d'un journal pour panne d'imagination et absence d'idée originale. On comprend-tu que s'il s'était juste fait à l'idée que c'était un bon à rien, il n'aurait pas créé l'Empire Walt Disney. Steve Jobs, dépressif à 30 ans après avoir été viré sans ménagement. de sa propre société. Steve Jobs, il a fait des choses grandioses dans la vie. Mais c'est ça, il ne s'est pas assis sur ça. Au contraire, il a rebondi et il a fait des grandes choses. Oprah Winfrey, rétrogradée de son poste de présentatrice vedette parce qu'elle n'était pas faite pour la télévision. Ben oui, il me semble. Mais c'est ça, on comprend que ces gens-là, ils ont tous rebondi suite à des remarques négatives. Et finalement, les Beatles, ils ont été virés des studios déca qui n'aimaient pas leur son, disant qu'ils n'avaient aucun avenir dans le show business. Ils s'étaient trompés. Le gars qu'ils ont viré, lui, il doit s'en vouloir en basse-lac. Mais les Beatles, eux autres, ils ont su rebondir. Alors, si vous n'avez jamais échoué, vous n'avez jamais rien tenté de nouveau. Voilà, c'est ça le dé. C'est que quand tu te trompes, il faut juste que tu réessaies. d'une autre manière, plus fort, plus performante. Voilà. Une autre citation. Le passé est dans ta tête, le futur est dans tes mains. Bien, une autre affaire. Quand tu te trompes, que tu perds, que tu n'es pas choisi, blablabla, arrête de penser à ça, OK, c'est passé, là. Reviens-en, comme dirait l'autre, puis regarde en avant, tout simplement. Ça ne sert à rien de ressasser ta défaite. Ça ne sert à rien de ressasser ton échec. Il faut juste que tu... tu retravailles la patente, puis tu regardes en avant, puis tu rebondisses. Une autre citation. Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. Ça, c'est Franklin Roosevelt qui a dit ça, pas étonnu, là. Bien, effectivement, quand tu as l'attitude de gagnant, face à un échec, tu vas réfléchir à comment, bon, pourquoi tu as fait telle ou telle affaire, puis OK, si tu avais fait telle affaire, peut-être que, puis là, tu vas l'essayer, puis tu vas te repratiquer. puis tu vas y réussir. Le perdant, lui, il s'assit sur son cul puis il fait, Wow, là, là, là, c'est à cause de ci, puis là, c'était pas une bonne journée, puis la température était pas bonne, puis lui, c'était un tel qui avait dit que c'était de sa faute. Tu comprends-tu ? Ça, là, c'est pas bon, ça. Faut que tu... Comment dire ? Que t'assumes. Faut que t'assumes ce qui te revient. Faut que t'assumes que c'est peut-être de ta faute, ce qui arrive, mais tu en respectes. pas là, tu te battes le cul puis tu recommences. Une autre citation, Albert Einstein. La vraie folie, c'est de toujours faire la même chose et d'espérer des changements. Mais voilà, si tu t'entêtes, tu sais, mettons, on jase là, mettons, tu fais une recette, elle n'est pas mangeable. Puis là, tu te dis, ça doit être parce que ci, parce que ça, tu t'es trompé, tu as peut-être mis du sucre au lieu du ciel, whatever. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Mais c'est peut-être parce que tu n'aimes pas cette recette-là, tout simplement. Comprends-tu ? Mais c'est ça. Fait que change de recette, c'est tout. Face à ta compétitivité maladive, tu as deux options. Premièrement, tu as l'option de t'en vouloir à ne plus finir d'avoir échoué. Tu te jures que pour toi, c'est terminé. Tu abandonnes au premier revers, tu causes tout, tu dis que c'était de la merde de toute façon, c'était la faute de ci ou de ça, tu entretiens de la rancœur, de la rage, de la colère face à ton expérience désastreuse, puis tu as honte de ta défaite ou de ton échec. Tu prends toute critique négativement, puis à force de ruminer du négatif, tu vas te rendre malade. La deuxième option. Oui, tu es déçu d'avoir perdu, c'est sûr, mais tu te dis que ce n'est pas la fin du monde, que c'est juste partie remise. L'important, c'est d'avoir eu du plaisir à jouer au jeu où tu as perdu ou à monter le projet que tu as monté et qui n'a pas été retenu ou peu importe. Il y a d'autres occasions de se reprendre. La terre n'arrêtera pas de tourner parce que tu n'as pas réussi telle ou telle chose. Tu relèves ce qui n'a pas fonctionné et tu dis que la prochaine fois, tu ne feras pas les mêmes erreurs. Tu prends la critique de façon constructive et tu es d'avis qu'il y a toujours place à de l'amélioration. En ayant une attitude positive, tu vas vivre très longtemps. En résumé, je t'ai parlé d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon. Je t'ai raconté mon anecdote de gymnastique qui s'est terminée en crise de larmes. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir sur le sujet de la compétitivité. Je t'ai présenté des options possibles sur la façon de gérer ton attitude face à une défaite ou à un échec. À toi de décider comment tu agiras la prochaine fois que tu joueras au poker ou à ta prochaine évaluation annuelle de ton emploi. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta compétitivité. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérailles, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou préparée sur un sujet donné, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a sincèrement aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle des signes trompeurs de l'univers.

Description

Dans cet épisode je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d’apprentissage, de lâcher-prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec !


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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta compétitivité ? Autrement dit, ta capacité à accepter un échec. Tu joues aux cartes et tu perds. Tu te choques noir ou tu acceptes ta défaite parce que c'est juste un jeu ? Tu expérimentes quelque chose et ça ne fonctionne pas pantoute. Tu abandonnes le tout en te traitant de tous les noms ou tu essaies une autre fois en te prenant autrement ? Tu joues au hockey. Et quand ton équipe perd, t'en veux à la terre entière ou tu te dis que tu pouvais pas faire mieux parce que t'as donné ton 100% ? Tu joues au tennis pis ça te coûte une raquette à chaque fois que tu perds ? T'as mis toute ton énergie dans un projet et t'en veux à la terre entière quand t'apprends qu'il a pas été retenu ? Lors de ton évaluation annuelle, ton employeur relève des points à améliorer et ça te met en pétard ? Bonne nouvelle ! Un échec n'est pas la fin du monde parce que tu respires encore. Dans cet épisode, je te raconte une anecdote réellement vécue le week-end dernier, je te jase d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon et je te donne des trucs pour transformer positivement un échec. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie, le podcast qui changera ta vie assurément. Moi et mon chum, on a un couple d'amis qui ont des filles et ils font de la gymnastique de groupe. Et bien, on n'avait rien à faire, donc on a dit, on va aller voir la compétition régionale de gymnastique. C'est quelque chose, ça revole dans les airs, c'est incroyable. Et cette compétition-là, c'était la dernière dans le but d'aller aux provinciaux. Et qui dit gymnastique dit chute. Et ce qui devait arriver arriva. La fille de nos amis, elle est tombée. Elle a fait perdre des points à son équipe. Et son équipe est arrivée troisième. Et donc, il n'y a pas de provinciaux parce qu'ils prenaient les deux premières équipes. Et là, c'est la fin du monde. Et à la fin de la compétition, on s'en va à la sortie des athlètes et on va récupérer la demoiselle. Et là, écoute, elle braille sa vie. Là, écoute, la terre vient d'arrêter. tourner, c'est la fin du monde parce qu'elle est tombée. Tout ce qu'elle veut, c'est de retourner en arrière pour recommencer et faire ça mieux. Parce qu'elle avait oublié ça. Écoute, elle a dit, vraiment, c'était, écoute, elle a 15 ans. On s'est entendu que ce n'est pas la fin du monde. Loin de là. Et c'est sûr qu'elle est très, très, très compétitive, pour ne pas dire mauvaise perdante. Elle voudrait être parfaite tout le temps. temps, puis elle est très, très sévère avec elle-même. Ça peut être une qualité, mais des fois, ça peut être un défaut aussi. Puis moi, je regardais la scène, puis je me disais, mon Dieu Seigneur, écoute, elle s'en voulait, elle s'en voulait, d'après moi, je disais, elle va s'en vouloir jusqu'à la fin de ses jours, mais ça va être long parce qu'elle n'a rien de 15 ans. Puis je me dis, mais mon Dieu, pourquoi qu'elle n'accepte pas ça, qu'elle n'accepte pas sa défaite ? Puis qu'elle se pardonne donc ses erreurs en lâchant prise. Parce que de toute façon, elle ne peut pas revenir en arrière. C'est passé. Moi, je lui ai dit, je dis, Hey, fille, c'est parce que tu respires encore, là. Elle me regarde avec des yeux sortis des orbites. Et bien, bref. Écoute, et là, moi, ce que j'ai trouvé magique dans tout ça, c'est que toutes ses coéquipières, ils sont venus l'entourer. Puis ils sont tous venus la... la prendre dans un cocon. Puis il n'arrêtait pas de dire, Non, ce n'est pas grave. Fais-toi en pas. C'est juste une... Ça en est juste une. Puis blablabla. Il y avait tous des commentaires positifs face à elle. Puis moi, de rajouter, je dis, Regarde, aujourd'hui, c'est toi qui es tombée, mais d'autres fois, c'est d'autres. C'est vrai, là, je veux dire, cette fois-ci, c'était elle, mais... Il y en a d'autres compétitions où il y en a d'autres qui sont tombées et ce n'était pas elle. C'est quoi son attitude par rapport aux autres quand c'est les autres qui tombent ? Voilà, c'est ça. Moi, je me dis, un coup d'ombre, si ses coéquipières, ils l'ont pardonné d'être tombée, elle aussi, il faut qu'elle se pardonne là-dedans. Moi, j'ai pour mon dire que la défaite, ça fait partie du jeu. Comme dirait l'autre, c'est l'expérience qui rentre en tout éternel optimiste que je suis, puis que je trouve du positif partout. Il y en a du négatif, mais il ne faut pas te laisser abattre par le négatif. Il faut que tu le prennes de façon constructive. Pour moi, le négatif, ça fait avancer. C'est juste un pied dans le cul pour te dire, Hé, ok. recommence, change quelque chose, puis recommence, puis regarde, c'était juste une leçon, puis il doit avoir moyen de faire autrement, puis tu vas l'avoir. Il y a un proverbe qui dit On ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs. C'est ça. Si tu n'en casses pas, tu n'en mangeras pas d'omelette. Il faut se donner une chance de se reprendre quand on se trompe ou quand on perd. Il faut se pardonner nos erreurs parce que l'erreur est humaine. Si on était parfait, on ne serait pas ici. Je dis dans ma conférence, qui a déjà joué à un jeu sans bouger un pion ? Sans bouger son pion. Mais c'est ça l'affaire. C'est sûr que quand tu t'embarques dans un projet, dans un jeu, dans une compétition, peu importe, il faut que tu t'attendes à ne pas être parfait tout le temps. Il faut que tu t'attendes à un moment donné à avoir une tape sur la margoulette, à avoir une défaite. Ça fait juste partie de la vie. Ça fait partie de l'apprentissage de la vie, ça fait partie de notre évolution, d'apprendre de nos erreurs. Mais l'idée, c'est que dans tout ça, l'important, c'est de toujours garder l'attitude de gagnant, comme Elvis Gratton, Tim Biggesty. C'est ça, d'avoir le verre à moitié plein tout le temps, de voir le verre à moitié plein, je devrais dire, et de voir les échecs comme des apprentissages. Et l'important, c'est que la défaite… ou, en tout cas, le truc qui est négatif, qui vient de t'arriver, l'important, c'est de ne jamais arrêter de croire en tes dons, tes talents, tes compétences. Pas parce que tu t'es trompé une fois que t'es plus bon, t'es plus bon à rien, pas solidé, pas en tout. Faut juste se dire, on efface, puis on recommence, c'est tout. Comme à l'habitude, je te partage des citations et je les commente pour agrémenter mon propos. Une belle citation. Il n'y a pas d'échecs, il n'y a que des expériences. Mais voilà, comme je l'ai dit, les échecs, ça fait partie de l'apprentissage. Il y en a malheureusement qui n'apprennent pas de leurs erreurs. C'est toujours la faute des autres, c'est jamais de la leur. Puis il y a toujours quelque chose, puis c'est à cause d'eux. Puis tu sais là, ces gens-là, ils n'apprennent pas. Non, non, ils nient, ils nient leur erreur ou leur échec. Ça, c'est vraiment pas bon. Non, non. Faut apprendre de nos erreurs, puis t'avances avec ça dans la vie. C'est n'est qu'en fait, t'as plus de trucs dans ton bagage. Je te dis pas tout le temps de tromper, c'est pas ça que je dis, mais le fait de se tromper ou de perdre, ben, ça fait juste des expériences que tu mets dans ton bagage pour l'avenir. Une autre citation. Rien n'est permanent dans ce monde. pas même nos problèmes. Ça, c'est Charlie Chaplin qui a dit ça. Effectivement, ce n'est pas parce que tu as perdu une partie de poker ou que tu as perdu, mettons que je ne sais pas, il y avait un concours et tu as perdu. Ce n'est pas la fin du monde. Tu respires encore et, mon Dieu, on passe à d'autres choses. On efface, on recommence, on passe à d'autres choses. C'est tout. Une autre citation, la chute n'est pas un échec. L'échec, c'est de rester là où on est tombé. Évidemment, il faut que tu apprennes de tes erreurs. Il faut que tu apprennes des critiques. Quelqu'un va te donner une critique négative, tu peux t'effoirer à terre pour t'ébranler ta vie. Ou tu dis, ah, ok, il y a peut-être du sens, ça fait peut-être du sens que cette personne-là m'a dit. Puis tu dis, bien, Colin, comment je pourrais améliorer mon affaire pour ne pas répéter la même erreur ? Une autre citation. Les obstacles ne bloquent pas le chemin, ils sont le chemin. Voilà. Tu sais, des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde, tout m'arrive. Tu sais, non, non, non. Ça fait partie du chemin. Si c'est l'univers, puis là, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, les extraterrestres, Lapoune, Elvis. On comprend, quand je dis l'univers, c'est la force supérieure qui est au-dessus de toi, à laquelle tu crois. Si l'univers t'envoie des obstacles sur ton chemin de ta vie, c'est parce que tu en as besoin pour évoluer, tout simplement. Il faut que tu prennes ça comme des apprentissages. Une autre citation. La confiance en soi, ce n'est pas penser que l'on est meilleur que les autres. Non, c'est savoir que l'on n'a pas besoin de se comparer aux autres. Ça aussi, ça fait partie de la patente. Parce que, oui, on peut se comparer, mais ça donne quoi ? Moi, je ne me suis jamais comparée aux autres. Je trouve que c'est une perte de temps tellement. En fait, se comparer à soi, c'est la seule façon d'évoluer aussi et de s'améliorer dans la vie. Hein ? Je le sais pas, moi, tu joues, tu joues. Moi, je joue à patience sur mon cellulaire, OK ? Puis là, bien, on a le score. Puis là, tu sais, oui, j'essaye d'avoir un nouveau score à chaque fois, mais si je l'ai pas, tu sais, gars, je pétille pas mon cellulaire sur le mur. C'est pas ça, là. C'est un jeu. On s'amuse. Puis de se comparer à moi-même, tu sais, mon chum, lui, il joue à quenne-décroche. Moi, j'haïs ça, quenne-décroche, je suis pas capable. Mais si, mettons, là, je jouais à quenne-décroche, moi aussi, puis là, il disait, je suis à tel niveau, puis là, je dirais, bien, moi, je joue juste à celui-là. Ça serait juste ça. En tout cas. Moi, je trouve que ça ne sert absolument à rien de se mettre en pétard, de se mettre en colère pour des pacotilles de même. Voyons donc. Une autre citation. Si tu n'aimes pas ce que tu récoltes, alors change ce que tu sèmes. Ben voilà, les échecs, les critiques que tu reçois, peu importe, tes expériences négatives qui t'arrivent, ben si tu répètes toujours la même chose... tu vas toujours avoir le même résultat. Il faut que tu changes quelque chose. Donc, si... Je ne sais pas, moi, tu as ta rencontre annuelle ou trimestrielle avec ton employeur pour évaluer tes performances au travail, puis là, il te donne des commentaires, puis tu mets tes têtes de mule, puis tu fais, non, non, non, j'ai toujours fait ça de même, je vais continuer à faire ça de même. Bien, si le... La période suivante, à la prochaine évaluation, ton employeur, il dit encore les mêmes commentaires. À un moment donné, il faudra que tu comprennes qu'il faut que tu changes quelque chose. Sinon, effectivement, tu vas arriver toujours au même. Une autre citation. Ce qui compte, ce n'est pas ce qui arrive, c'est ce qu'on fait de ce qui arrive. Voilà, ça revient tout au même, ce que je dis. Mais effectivement, c'est dit en d'autres mots pour que peut-être que ça résonne plus, cette citation-là. Mais effectivement, ce qui arrive... C'est une chose, mais ce qu'on fait avec ce qui arrive en est une autre. Il faut apprendre de ce qui arrive. Moi, je dis souvent, rien n'arrive pour rien, tout arrive pour quelque chose. Tu te dois de vivre ça, que ce soit une rupture, une chicane, un échec, une défaite, peu importe, des commentaires négatifs, peu importe. C'est à toi de rebondir suite à ce qui est arrivé. Une autre citation, et celle-là, elle est... Écoute, il y en a six. En fait, je vais vous résumer ça. Il y a des célébrités qui ont vécu des échecs. Albert Einstein, il était incapable de parler jusqu'à presque quatre ans. Ses professeurs disaient qu'il n'irait jamais très loin. Je pense qu'il est allé assez loin, merci. Michael Jordan, viré de son équipe de basket au lycée, il s'enferme dans sa chambre pour pleurer. Et on comprend-tu que s'il avait continué à broyer dans sa chambre, il n'aurait pas réussi ce qu'il a réussi. Walt Disney, il a été viré d'un journal pour panne d'imagination et absence d'idée originale. On comprend-tu que s'il s'était juste fait à l'idée que c'était un bon à rien, il n'aurait pas créé l'Empire Walt Disney. Steve Jobs, dépressif à 30 ans après avoir été viré sans ménagement. de sa propre société. Steve Jobs, il a fait des choses grandioses dans la vie. Mais c'est ça, il ne s'est pas assis sur ça. Au contraire, il a rebondi et il a fait des grandes choses. Oprah Winfrey, rétrogradée de son poste de présentatrice vedette parce qu'elle n'était pas faite pour la télévision. Ben oui, il me semble. Mais c'est ça, on comprend que ces gens-là, ils ont tous rebondi suite à des remarques négatives. Et finalement, les Beatles, ils ont été virés des studios déca qui n'aimaient pas leur son, disant qu'ils n'avaient aucun avenir dans le show business. Ils s'étaient trompés. Le gars qu'ils ont viré, lui, il doit s'en vouloir en basse-lac. Mais les Beatles, eux autres, ils ont su rebondir. Alors, si vous n'avez jamais échoué, vous n'avez jamais rien tenté de nouveau. Voilà, c'est ça le dé. C'est que quand tu te trompes, il faut juste que tu réessaies. d'une autre manière, plus fort, plus performante. Voilà. Une autre citation. Le passé est dans ta tête, le futur est dans tes mains. Bien, une autre affaire. Quand tu te trompes, que tu perds, que tu n'es pas choisi, blablabla, arrête de penser à ça, OK, c'est passé, là. Reviens-en, comme dirait l'autre, puis regarde en avant, tout simplement. Ça ne sert à rien de ressasser ta défaite. Ça ne sert à rien de ressasser ton échec. Il faut juste que tu... tu retravailles la patente, puis tu regardes en avant, puis tu rebondisses. Une autre citation. Les gagnants trouvent des moyens, les perdants des excuses. Ça, c'est Franklin Roosevelt qui a dit ça, pas étonnu, là. Bien, effectivement, quand tu as l'attitude de gagnant, face à un échec, tu vas réfléchir à comment, bon, pourquoi tu as fait telle ou telle affaire, puis OK, si tu avais fait telle affaire, peut-être que, puis là, tu vas l'essayer, puis tu vas te repratiquer. puis tu vas y réussir. Le perdant, lui, il s'assit sur son cul puis il fait, Wow, là, là, là, c'est à cause de ci, puis là, c'était pas une bonne journée, puis la température était pas bonne, puis lui, c'était un tel qui avait dit que c'était de sa faute. Tu comprends-tu ? Ça, là, c'est pas bon, ça. Faut que tu... Comment dire ? Que t'assumes. Faut que t'assumes ce qui te revient. Faut que t'assumes que c'est peut-être de ta faute, ce qui arrive, mais tu en respectes. pas là, tu te battes le cul puis tu recommences. Une autre citation, Albert Einstein. La vraie folie, c'est de toujours faire la même chose et d'espérer des changements. Mais voilà, si tu t'entêtes, tu sais, mettons, on jase là, mettons, tu fais une recette, elle n'est pas mangeable. Puis là, tu te dis, ça doit être parce que ci, parce que ça, tu t'es trompé, tu as peut-être mis du sucre au lieu du ciel, whatever. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Tu recommences la même recette, elle est toujours pas mangeable. Mais c'est peut-être parce que tu n'aimes pas cette recette-là, tout simplement. Comprends-tu ? Mais c'est ça. Fait que change de recette, c'est tout. Face à ta compétitivité maladive, tu as deux options. Premièrement, tu as l'option de t'en vouloir à ne plus finir d'avoir échoué. Tu te jures que pour toi, c'est terminé. Tu abandonnes au premier revers, tu causes tout, tu dis que c'était de la merde de toute façon, c'était la faute de ci ou de ça, tu entretiens de la rancœur, de la rage, de la colère face à ton expérience désastreuse, puis tu as honte de ta défaite ou de ton échec. Tu prends toute critique négativement, puis à force de ruminer du négatif, tu vas te rendre malade. La deuxième option. Oui, tu es déçu d'avoir perdu, c'est sûr, mais tu te dis que ce n'est pas la fin du monde, que c'est juste partie remise. L'important, c'est d'avoir eu du plaisir à jouer au jeu où tu as perdu ou à monter le projet que tu as monté et qui n'a pas été retenu ou peu importe. Il y a d'autres occasions de se reprendre. La terre n'arrêtera pas de tourner parce que tu n'as pas réussi telle ou telle chose. Tu relèves ce qui n'a pas fonctionné et tu dis que la prochaine fois, tu ne feras pas les mêmes erreurs. Tu prends la critique de façon constructive et tu es d'avis qu'il y a toujours place à de l'amélioration. En ayant une attitude positive, tu vas vivre très longtemps. En résumé, je t'ai parlé d'apprentissage, de lâcher prise, de pardon. Je t'ai raconté mon anecdote de gymnastique qui s'est terminée en crise de larmes. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir sur le sujet de la compétitivité. Je t'ai présenté des options possibles sur la façon de gérer ton attitude face à une défaite ou à un échec. À toi de décider comment tu agiras la prochaine fois que tu joueras au poker ou à ta prochaine évaluation annuelle de ton emploi. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta compétitivité. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérailles, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou préparée sur un sujet donné, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a sincèrement aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle des signes trompeurs de l'univers.

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