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Ép. 36 - L'UNIVERS A TOUJOURS RAISON! cover
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ILLUMINE TA VIE!

Ép. 36 - L'UNIVERS A TOUJOURS RAISON!

Ép. 36 - L'UNIVERS A TOUJOURS RAISON!

23min |07/05/2024|

20

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23min |07/05/2024|

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Description

Dans cet épisode je te raconte comment j’ai mal interprété les nombreux signes que l’Univers m’envoyait, je te jase de croyance, de destin, de transformation et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l’Univers !


Pour savoir ce que je peux faire pour toi: https://www.mariejoseestlaurent.com/


Deviens membre de mon groupe Facebook et tu auras accès à une foule d'exclusivités: https://www.facebook.com/groups/809403919463614


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Tu veux m'écrire? Fais-le au info@mariejoseestlaurent.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta croyance en une force supérieure ? Moi, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, Lapoune, les extraterrestres, Elvis, peu importe. Moi, je te parle de la force supérieure au-dessus de toi en laquelle tu crois. As-tu une petite voix qui te parle parfois ? Si oui, l'écoutes-tu ? Moi, j'en ai une. Je l'ai appelé Georgette parce que je trouve que ça y fait bien. Et Georgette, je l'écoute tout le temps. Sinon, je suis dans la merde. Quand tu es dans le trouble ou tu vis une situation difficile, demandes-tu à cette force supérieure qu'elle t'aide à passer au travers cette tempête ? Même si tu perçois les signes de l'univers ou que tu entends les sages paroles de ta petite voix qui te dit que ta conduite a adopté, fais-tu quand même à ta tête ou tu suis ses conseils ? Malgré tous ces avertissements entendus ou perçus, on les interprète parfois très mal. Bonne nouvelle, il n'est jamais trop tard pour réaligner notre destinée mal enlignée. Dans cet épisode, je te raconte comment j'ai mal interprété les nombreux signes que l'univers m'envoyait, je te jase de croyances, de destins, de transformations et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l'univers. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, c'est d'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Je vous l'ai partagé plusieurs fois dans mes épisodes que je suis une artiste par définition, que quand j'étais petite, j'avais une salle de jeu où j'écrivais, je jouais des pièces de théâtre, j'ai joué tous les rôles. J'étais vraiment une artiste. Et tout ça a cessé lorsque mon père m'a dit... que non, je ne serais pas une artiste dans la vie. Et ce nom-là a résonné tellement fort que j'en ai développé une scoliose. J'ai porté un corset orthopédique toute ma jeunesse. Et j'ai aussi eu une dépression silencieuse que personne n'a perçue. Ça, c'était un signe, oui, un grand signe de l'univers. Comme de quoi que, bon, mon père m'avait changé de voix. Bien, mon corps a changé de voix. C'était assez fort, merci. Quand le corps change suite à quelque chose, c'est un signe qui est assez fort. Suite à ça, à cause de mon corset, j'ai été exemptée au secondaire, tout mon secondaire de l'éducation physique. Et j'ai donc fait des cours d'art plastique. Ça aussi, c'était un signe de l'univers. On dirait que l'univers prenait soin de moi malgré tout. Elle me donnait l'occasion de m'évader dans l'art en faisant de la photographie, de la peinture, de la poterie, etc. Un jour, mon père m'a dit, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, puis tu vas écrire ton nom partout. Parce que je l'ai raconté aussi dans d'autres épisodes. Quand j'étais petite, mon père m'amenait à sa shop, puis je fouillais dans les poubelles, je cherchais des factures, puis je brossais des grosses affaires, toujours dans mon rôle, que je me donnais. Et ça aussi, c'était un signe de l'univers. Moi, j'avais perçu ce signe-là d'une façon, puis vous allez voir plus loin que ce n'était pas la bonne façon de l'interpréter. Mais il y a eu raison, là. Parce que oui, dans ma vie, pour ceux qui ne le savent pas, j'ai été notaire pendant 31 ans. Donc oui, effectivement, j'ai écrit mon nom partout parce que Dieu sait qu'un notaire, ça signe son nom un peu tout le temps. Et oui, j'ai joué dans le papier, bien évidemment. Moi, bien évidemment, je voulais être une artiste. Je voulais... créer et je voulais surtout par-dessus tout ça plaire à mon père. Je voulais aussi réussir parce que je voulais qu'il soit fier de moi et la fierté de mon père, ça voulait dire de l'amour. Je voulais que mon père m'aime, donc je l'écoutais. J'ai écouté mon père et je n'ai pas choisi d'être une artiste dans la vie. Et là, c'est sûr que tu as 16 ans, il faut que tu choisisses un métier. J'en ai parlé aussi dans d'autres épisodes. Pas évident. Et whoops ! Un mardi matin, Joanne au Cégep vient nous parler de testaments, fouille-moi pourquoi, mais ça a été le signe, encore là, un signe de l'univers. qui me disait, Hey, grande fille, t'es pardurée, t'as plus d'illusions dans la vie que tu vas être une artiste, fait qu'on va t'aider un petit peu. Puis Joanne est apparue, puis la brume s'est tassée dans mes lunettes pour me dire, Ah, ben coudonc, être notaire, peut-être que ça va être ça, ma vie finalement. Donc ça, c'est un signe de l'univers qui m'a été envoyée in extremis pour me dire, Regarde, suis cette voie-là, ça va être un... un compromis, si on peut dire. Il y a d'autres signes que l'univers m'a envoyé qui auraient dû me faire comprendre que je n'étais pas à la bonne place. Parce que j'ai été acceptée in extremis à l'université, genre cinq jours avant que l'université commence, parce que à ma deuxième année de cégep, j'avais été faire ma deuxième année à Montréal, étant... Étant native d'Amos, en Abitibi, où il n'y a pas grand-chose qui se passe, là chez Luz, en Grandville, c'est bien sûr qu'il y avait beaucoup de distractions. Donc, mes études en ont souffert un peu et ma moyenne aussi. Donc, je n'ai pas eu le loisir de choisir mon université. C'est l'université qui m'a choisie. Et ça, écoute, il était moins une quand l'université m'a appelée. Donc, ça, c'était un signe déjà là que ce n'était pas correct. Un autre signe, à ma première journée à l'université, j'ai joué tout le temps. tout ce monde-là. Imaginez, là, écoute, la faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Tous les élèves arrivaient en Mercedes, en toutes sortes de belles voitures de luxe, habillés en habits. Écoute, des preppys, là, des preppys de chez Preppys. Moi, j'arrive habillée en mou, colorée, les lunettes roses, j'avais les cheveux aux fesses permanentés. Je me faisais une grosse stock avec... Écoute, c'est pas compliqué, je faisais un nœud dans mes cheveux, je mettais trois, quatre... de crayon là-dedans pour que ça tienne. Puis moi, je rarrive à l'université. Eh boy, un méchant clash entre moi et eux. Écoute, ils m'ont regardé toutes comme si j'étais une extraterrestre. Donc, ça aussi, c'était un signe comme de quoi je n'avais vraiment pas ma place là. Un autre signe, durant ma première année d'université, j'ai eu des infections urinaires à répétition. Ça aussi, c'était un signe qu'il y avait de quoi de pas correct dans mon destin, où j'étais, où j'étais rendue. Et, euh... Un autre signe d'un univers que je crois, c'est que tout au long de ma scolarité universitaire, je vivais comme dans une illusion parce que j'ai de la douance, et j'en parle un peu des fois dans mes épisodes, et la douance fait que j'ai une mémoire photographique et je dis souvent que c'est grâce à ça que j'ai passé mon droit. Et aussi, j'aimais ça, moi, étudier. J'étais bonne. J'adorais étudier. Donc, tu sais, quand mon père m'avait dit, Ah, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, tu vas écrire ton nom partout bien déjà là, j'étudiais. Écoute, si je mettais bout à bout tout ce que j'ai lu durant mes quatre ans d'université, mon Dieu, ça mesure au moins 30 pieds de hauteur. Donc, c'était tous des signes qui me laissaient croire que j'étais à la bonne place. Un autre signe que j'aurais dû comprendre, mais tellement, écoute, moi, là, une fois que j'ai été reçue notaire, bien, il y a… Mon titre de maître. Maître. Oh mon Dieu, que je détestais. Je détestais tellement ce titre-là. Maître. Mon Dieu, que je trouvais ça prétentieux. Puis, je n'ai jamais été capable de m'appeler maître Saint-Laurent. Puis, quand les gens m'appelaient maître, je disais non, non, non. Moi, c'est notaire ou Marie-Josée. J'étais incapable. Bien, ça, ça voulait... C'était un signe assez fort pour dire que, mon Dieu, que je n'assumais pas ce titre-là pour en tout. Donc, si je n'assume pas le titre, j'assume peut-être... peut-être pas en profession non plus. Un autre signe, celui-là, positif, parce qu'encore là, l'univers a pris pitié de moi. À 45 ans, pour une raison X, Y, Z que j'explique dans d'autres épisodes, j'ai rencontré une coach de vie. Et elle m'annonce que mon archétype financier, c'est la célébrité. Donc, j'avais le droit, moi, de vouloir être on the spot que j'étais faite pour ça. Hey, wow ! Écoute, je trippais ma vie. C'est là que je me suis mise à étudier en écriture et en édition. J'ai pris plusieurs formations d'écriture et d'édition. J'ai même ouvert ma maison d'édition en 2016. Et je me suis mise à écrire des anecdotes de notaire. Pourquoi ? Parce que c'est le seul discours que j'avais, c'est le seul background que j'avais. Et je me suis mise aussi à faire des chroniques à la radio et à la télé communautaire de mon patelin. Donc, des chroniques juridiques encore là, parce que c'est tout ce que je connaissais. Et donc, ça, c'était correct. Ça me montrait que, wow, écoute, en fait, je conciliais ma profession notariale versus ma nature d'artiste. Mais l'univers, voyant que je n'étais pas capable de sauter dans le vide complètement, ah bien là, l'univers s'est choqué noir. À 53 ans, on m'a diagnostiqué que je devais subir une hystérectomie totale, babaye les ovaires, babaye l'utérus. Par mesure préventive, on voit bien que c'était rien qu'un signe de l'univers, il n'y avait rien de grave, mais il fallait que je me fasse enlever ça. Et ça, c'était le signe ultime de l'univers, que je devais changer de vie. parce qu'une hystérectomie totale, c'est deux mois de convalescence. Quand je prenais deux semaines de vacances, c'était la fin du monde au bureau. Donc, deux mois, oublie ça, ça ne marchait pas pantoute. Et donc, j'ai décidé, oui, de sauter dans le vide et de tout vendre et de changer de vie. Donc, après une voie de contournement de plus de 40 ans, avec l'aide de l'univers, Dieu merci, qui m'a, bien, l'aide de l'univers, c'était quasiment comme un deux par quatre dans la face, bien, j'ai finalement compris que je n'étais pas dans la bonne vie. Et mes... Maintenant, je suis dans la passion totale. Écoute, je ne travaille plus, moi. Moi, mon bureau, j'ai encore mon bureau de notaire, mais qui n'est plus un bureau de notaire, mon bureau est redevenu ma salle de jeu où je vis dans le bonheur et la liberté de créer. Je suis peut-être moins riche, mais maudit que je ne suis plus heureuse. Donc, tout ça pour vous dire que c'est important d'écouter sa petite voix, son intuition puis les signes de l'univers. Parce qu'ils sont là pour nous aider, pas pour nous faire chier. En plus, je respire encore et je suis la preuve vivante qui n'est jamais trop tard pour changer de vie. La preuve, Corneille, le chanteur Corneille, dans un épisode de l'émission populaire La Voix, il a déjà dit à une concurrente, Il n'y a pas d'âge pour être là où tu as le goût d'être. Effectivement, il y avait... Il avait très raison. Et quand je parle de signes de l'univers, ça peut se traduire en plusieurs choses. Moi, ça a été le nom de mon père, donc ça peut être des paroles. Et la citation de mon père aussi, qui m'a dit que quand je serais grande, je jouerais dans le papier et j'écrirais mon nom partout. Moi, je l'ai mal interprété parce que si j'avais interprété ça comme du monde, puis si mon orienteur au secondaire m'avait parlé de journalisme, ou de littérature, j'aurais peut-être choisi cette voie-là au lieu du notariat. Ensuite, il y a des rencontres aussi qui sont des signes de l'univers. Moi, Joanne, qui est venue au cégep un mardi matin, nécessairement, ça a été une rencontre salutaire pour moi, mon coach de vie aussi. Et ça peut être aussi un accident. Tu sais, des fois, on se plaint, parce que là, tout arrive dans la vie. Des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde. Mais c'est peut-être parce que l'univers t'envoie des signes, mais tu ne les prends pas. Un accident peut être un signe qu'il faut que tu changes de vie, puis l'accident est là pour te faire réaliser ça, mais toi, tu ne le réalises pas. Ça fait que tu continues ta vie. Ça peut être une chirurgie. Regarde, moi, ça a été l'hystérectomie totale. Ça peut être aussi un événement, une rupture, un décès. Malheureux, oui, mais un décès, ça peut carrément te donner le cue en bon québécois qu'il faut. Tu changes quelque chose dans ta vie. Ça peut être aussi une maladie. Bref, moi, je dis tout le temps, tout arrive pour quelque chose. Il faut juste savoir lire les signes. Ce n'est pas toujours négatif. Puis des fois, comme moi, ça m'est arrivé, je les ai mal lus, les signes. Comme à l'habitude, je vais te citer des trucs et ça va, en fait, étayer le propos que j'essaie de te communiquer aujourd'hui. Une belle citation. Si ça doit arriver, ça arrivera. Tu n'as pas à devoir forcer, convaincre ou t'inquiéter. Laisse couler, laisse être et laisse venir à toi. Tu attires tout ce dont tu as besoin. Fais confiance au timing de ta vie. Ben voilà. Tu sais, des fois, quand tu rushes trop, quand c'est trop difficile, c'est peut-être parce que tu ne fais pas la bonne affaire. Des fois, il faut que tu... Tu sais, ta petite voix, je suis sûre qu'elle dit, arrête, arrête, tu vas pas, t'en vas pas dans... dans la bonne direction. Puis si tu dis, laisse-moi tranquille, puis tu continues pareil, puis tu rushes, puis tu rushes, c'est ça. Tu vas peut-être être dans une voie de contournement. Mais l'idée aussi, puis ça, il faut que je le dise, l'univers, tu sais, si tu te trompes, l'univers, il s'organise tout le temps pour te remettre dans la bonne track. Mais encore, il faut que tu comprennes le message. Pas toujours facile. Une autre citation. Continue à le désirer plus fort, car l'univers n'a pas cessé de t'écouter. Bien voilà, moi, même si moi, je n'écoutais pas les signes, ou je ne les voyais pas, ou je les interprétais mal, bien l'univers, comme je l'ai dit, l'univers, il te renvoie toujours dans le droit chemin donc sur la voie de ta destinée. Puis ça va être ça tout le temps. Tu sais, des fois, tu peux te dire, Voyons, comment ça se fait que je vis ça encore ? parce que tu vis des affaires à répétition. Tu te dis, voyons, ta barouette, comment ça se fait ? Je me suis encore mis là-dedans. Mais c'est peut-être parce qu'il faut que tu comprennes que tu n'es pas à la bonne place. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. Mais c'est ça. Des fois, il faut que tu apprennes. Une autre citation. Il faut faire confiance à l'univers. Il finit toujours par poser des choses là où elles doivent être. Bien, voilà. Tu sais, si tu ne comprends pas du premier coup, l'univers va te renvoyer. Elle va te renvoyer. Elle va te... te renvoyer encore des signes, des paroles, des gestes, des rencontres, des événements qui vont finir par te faire comprendre que tu n'es peut-être pas à la bonne place, tu n'es peut-être pas avec les bonnes personnes, tu n'es peut-être pas dans la bonne vie. Une autre citation, ce qui s'est passé, s'est passé, qui j'étais, je l'étais, j'ai eu besoin de ce passé, j'ai eu besoin de mes erreurs pour être qui je suis maintenant. Maintenant, moi, je l'ai mis cette citation-là parce qu'effectivement, malgré les mauvais chemins que tu peux prendre dans la vie parce que tu n'as pas entendu ta petite voix, tu n'as pas lu, tu n'as pas su lire les signes de l'univers, tu n'as pas vu passer ou tu t'es carrément foutu de tout ça en faisant ta tête, tu n'as pas à t'en vouloir. C'est arrivé, c'est arrivé. Puis comme moi, mon notariat, je le regrette. pas du tout parce qu'au cours de mes 31 années de pratique du notariat, j'ai rencontré des personnes formidables. Ça m'a permis d'aider des gens. Ça m'a permis, malgré tout, de m'épanouir d'une certaine façon. J'ai pu écrire une trilogie d'anecdotes notariales. Donc, tout ça m'a forgée. Ça ne sert à rien de nier ça. C'est là, c'est tout. Le passé, on ne peut pas revenir, c'est passé. Donc, il vaut mieux vivre avec. Une autre citation. Je suis lentement en train de me transformer en la personne que j'aurais déjà dû être il y a des années de cela. Il y a comme un peu de nostalgie dans cette citation-là. Moi, la nostalgie, je ne comprends pas ça parce que ça ne sert à rien de regarder en arrière. Sauf pour te comparer. Tu sais, si tu regardes en arrière pour regarder le chemin parcouru, pour dire Wow, j'ai fait… telle, telle, telle affaire, je suis rendue ici maintenant et pour mieux te voir regarder en avant, ça, c'est correct. Et on se transforme effectivement lentement. Il y en a qui se transforment plus vite que d'autres. Peu importe si tu as pris des mauvais embranchements dans la vie parce que tu n'as pas su lire les signes de l'univers, ça te prend plus de temps que les autres. Ce n'est pas grave. L'important, c'est que tu avances. Une autre citation. Le hasard n'existe pas. On s'est connu pour une des deux raisons essentielles. Soit t'es une leçon ou soit t'es une bénédiction. Ben voilà, il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Puis des fois, il y a des gens qui passent dans ta vie, ne serait-ce qu'une journée. Puis cette personne-là t'a laissé quelque chose. Ou toi, t'es passé dans la vie de quelqu'un pour une journée. Tu lui as apporté quelque chose. Ça devait arriver comme ça. Nous sommes des signes de l'univers pour des gens. Il y a des gens qui sont des signes de l'univers pour nous, mais il faut juste être capable de comprendre que c'est soit une leçon ou une bénédiction. Une autre citation. Quand on veut une chose, tout l'univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve. Ça, c'est Paul Coelho qui a dit ça. Moi, je dis souvent, l'univers conspire avec nous et non contre nous. Parce que l'univers est là pour qu'on se réalise, pour qu'on évolue positivement. et chaque chose qui nous arrive nous permet d'évoluer. Des fois, oui, c'est des mauvaises choses, mais ça nous fait avancer, ça nous fait rebondir. Tout ça dans le but, oui, de se réaliser et de réaliser nos rêves. Une autre citation. Ce qui t'est destiné trouvera le moyen de te rejoindre. Ah bien, absolument. Moi, c'est sûr, dans ma vie, effectivement, j'ai eu une voie de contournement de 31 ans. de notariat de 40 ans, si on retourne à mon adolescence, mais je suis artiste aujourd'hui. Ça nous rejoint, oui, tard, on va se le dire, mais il n'est jamais trop tard. Donc, ça finit toujours, notre destin finit toujours par nous revenir d'en face, j'oserais dire. Une autre citation. Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous. Oui, dans la vie, il n'y a rien qui arrive pour rien, je l'ai déjà dit. Des rendez-vous, ça peut être un rendez-vous avec quelqu'un. avec un événement, avec une maladie, avec un accident, avec, n'est-ce pas, chaque chose arrive pour quelque chose. Et ce n'est pas par hasard, non, c'est l'univers qui nous envoie ça pour qu'on puisse évoluer, puis pour qu'on puisse se faire ramener dans le droit chemin des fois parce qu'on est perdu ailleurs, puis que ce n'est pas là qu'il faut aller, mais c'est vraiment pour nous ramener. là où on doit être avec les gens avec qui on doit être, à faire ce qu'on est né pour être aussi. Une autre citation. L'univers n'est pas en train de vous punir ou de vous bénir. L'univers est seulement en train de répondre à la fréquence vibratoire que vous émettez. Ça, c'est important. Parce qu'effectivement, moi, dans ma vie, au moment où j'étais, l'univers m'a envoyé ce que j'avais besoin. Quand Johan est arrivé, au cégep pour me parler de testament. C'était une bénédiction parce que je ne savais pas qu'on fait dans la vie. Mon Dieu, j'étais en sciences humaines sans maths parce que je n'étais pas nulle en maths. Je me disais, qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Paf ! Elle est arrivée, elle. Ça a été une bénédiction, même si ce n'était pas ça que je devais être dans la vie. Au moment où j'étais dans le néant, l'univers a fait de Colin, on va lui envoyer ça. Sinon, on ne sait pas ce qui va arriver avec elle. On comprend. Donc, c'est nous autres qui émets une fréquence, puis l'univers fait avec dans le moment où on en a besoin. Face à la force supérieure au-dessus de toi et à ta petite voix qui te hurle parfois, tu as deux options. La première option, c'est que tu n'entends pas ton intuition, donc tu ne l'écoutes tellement pas. Tu te fous complètement de ce que les autres peuvent t'apporter comme conseil. Tu pratiques l'incrédulité professionnellement. Autrement dit, tu crois en rien et pas en tout. Tu fais ta petite affaire, tu deals avec ce qui te tombe dessus, point final, puis tu dis que tu ne demandes rien, donc tu ne dois rien. La deuxième option, c'est que tu écoutes religieusement ta petite voix, sinon tu es dans la marde. Tu crois en l'univers ou en cette force supérieure au-dessus de toi. Tu es à l'affût de tous les signes que la vie t'envoie. Tu crois que rien n'arrive pour rien et que chaque parole, chaque geste, chaque événement... qui arrivent sont des indications te guidant tout au long de ton parcours. Tu t'efforces de les interpréter de la bonne façon et si tu te trompes, t'effaces, puis tu recommences. En résumé, je t'ai parlé de croyances, de destin, de transformation. Je t'ai raconté mon parcours où je n'ai pas toujours écouté les signes par peur de décevoir. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Et je t'ai présenté des options possibles sur ta façon de gérer ton destin. À toi de décider comment tu agiras face aux prochains signes que l'univers t'enverra. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta destinée. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funéraire, pour l'animation d'un événement spécial ou pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie. un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de Mars et Vénus.

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Dans cet épisode je te raconte comment j’ai mal interprété les nombreux signes que l’Univers m’envoyait, je te jase de croyance, de destin, de transformation et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l’Univers !


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  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta croyance en une force supérieure ? Moi, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, Lapoune, les extraterrestres, Elvis, peu importe. Moi, je te parle de la force supérieure au-dessus de toi en laquelle tu crois. As-tu une petite voix qui te parle parfois ? Si oui, l'écoutes-tu ? Moi, j'en ai une. Je l'ai appelé Georgette parce que je trouve que ça y fait bien. Et Georgette, je l'écoute tout le temps. Sinon, je suis dans la merde. Quand tu es dans le trouble ou tu vis une situation difficile, demandes-tu à cette force supérieure qu'elle t'aide à passer au travers cette tempête ? Même si tu perçois les signes de l'univers ou que tu entends les sages paroles de ta petite voix qui te dit que ta conduite a adopté, fais-tu quand même à ta tête ou tu suis ses conseils ? Malgré tous ces avertissements entendus ou perçus, on les interprète parfois très mal. Bonne nouvelle, il n'est jamais trop tard pour réaligner notre destinée mal enlignée. Dans cet épisode, je te raconte comment j'ai mal interprété les nombreux signes que l'univers m'envoyait, je te jase de croyances, de destins, de transformations et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l'univers. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, c'est d'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Je vous l'ai partagé plusieurs fois dans mes épisodes que je suis une artiste par définition, que quand j'étais petite, j'avais une salle de jeu où j'écrivais, je jouais des pièces de théâtre, j'ai joué tous les rôles. J'étais vraiment une artiste. Et tout ça a cessé lorsque mon père m'a dit... que non, je ne serais pas une artiste dans la vie. Et ce nom-là a résonné tellement fort que j'en ai développé une scoliose. J'ai porté un corset orthopédique toute ma jeunesse. Et j'ai aussi eu une dépression silencieuse que personne n'a perçue. Ça, c'était un signe, oui, un grand signe de l'univers. Comme de quoi que, bon, mon père m'avait changé de voix. Bien, mon corps a changé de voix. C'était assez fort, merci. Quand le corps change suite à quelque chose, c'est un signe qui est assez fort. Suite à ça, à cause de mon corset, j'ai été exemptée au secondaire, tout mon secondaire de l'éducation physique. Et j'ai donc fait des cours d'art plastique. Ça aussi, c'était un signe de l'univers. On dirait que l'univers prenait soin de moi malgré tout. Elle me donnait l'occasion de m'évader dans l'art en faisant de la photographie, de la peinture, de la poterie, etc. Un jour, mon père m'a dit, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, puis tu vas écrire ton nom partout. Parce que je l'ai raconté aussi dans d'autres épisodes. Quand j'étais petite, mon père m'amenait à sa shop, puis je fouillais dans les poubelles, je cherchais des factures, puis je brossais des grosses affaires, toujours dans mon rôle, que je me donnais. Et ça aussi, c'était un signe de l'univers. Moi, j'avais perçu ce signe-là d'une façon, puis vous allez voir plus loin que ce n'était pas la bonne façon de l'interpréter. Mais il y a eu raison, là. Parce que oui, dans ma vie, pour ceux qui ne le savent pas, j'ai été notaire pendant 31 ans. Donc oui, effectivement, j'ai écrit mon nom partout parce que Dieu sait qu'un notaire, ça signe son nom un peu tout le temps. Et oui, j'ai joué dans le papier, bien évidemment. Moi, bien évidemment, je voulais être une artiste. Je voulais... créer et je voulais surtout par-dessus tout ça plaire à mon père. Je voulais aussi réussir parce que je voulais qu'il soit fier de moi et la fierté de mon père, ça voulait dire de l'amour. Je voulais que mon père m'aime, donc je l'écoutais. J'ai écouté mon père et je n'ai pas choisi d'être une artiste dans la vie. Et là, c'est sûr que tu as 16 ans, il faut que tu choisisses un métier. J'en ai parlé aussi dans d'autres épisodes. Pas évident. Et whoops ! Un mardi matin, Joanne au Cégep vient nous parler de testaments, fouille-moi pourquoi, mais ça a été le signe, encore là, un signe de l'univers. qui me disait, Hey, grande fille, t'es pardurée, t'as plus d'illusions dans la vie que tu vas être une artiste, fait qu'on va t'aider un petit peu. Puis Joanne est apparue, puis la brume s'est tassée dans mes lunettes pour me dire, Ah, ben coudonc, être notaire, peut-être que ça va être ça, ma vie finalement. Donc ça, c'est un signe de l'univers qui m'a été envoyée in extremis pour me dire, Regarde, suis cette voie-là, ça va être un... un compromis, si on peut dire. Il y a d'autres signes que l'univers m'a envoyé qui auraient dû me faire comprendre que je n'étais pas à la bonne place. Parce que j'ai été acceptée in extremis à l'université, genre cinq jours avant que l'université commence, parce que à ma deuxième année de cégep, j'avais été faire ma deuxième année à Montréal, étant... Étant native d'Amos, en Abitibi, où il n'y a pas grand-chose qui se passe, là chez Luz, en Grandville, c'est bien sûr qu'il y avait beaucoup de distractions. Donc, mes études en ont souffert un peu et ma moyenne aussi. Donc, je n'ai pas eu le loisir de choisir mon université. C'est l'université qui m'a choisie. Et ça, écoute, il était moins une quand l'université m'a appelée. Donc, ça, c'était un signe déjà là que ce n'était pas correct. Un autre signe, à ma première journée à l'université, j'ai joué tout le temps. tout ce monde-là. Imaginez, là, écoute, la faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Tous les élèves arrivaient en Mercedes, en toutes sortes de belles voitures de luxe, habillés en habits. Écoute, des preppys, là, des preppys de chez Preppys. Moi, j'arrive habillée en mou, colorée, les lunettes roses, j'avais les cheveux aux fesses permanentés. Je me faisais une grosse stock avec... Écoute, c'est pas compliqué, je faisais un nœud dans mes cheveux, je mettais trois, quatre... de crayon là-dedans pour que ça tienne. Puis moi, je rarrive à l'université. Eh boy, un méchant clash entre moi et eux. Écoute, ils m'ont regardé toutes comme si j'étais une extraterrestre. Donc, ça aussi, c'était un signe comme de quoi je n'avais vraiment pas ma place là. Un autre signe, durant ma première année d'université, j'ai eu des infections urinaires à répétition. Ça aussi, c'était un signe qu'il y avait de quoi de pas correct dans mon destin, où j'étais, où j'étais rendue. Et, euh... Un autre signe d'un univers que je crois, c'est que tout au long de ma scolarité universitaire, je vivais comme dans une illusion parce que j'ai de la douance, et j'en parle un peu des fois dans mes épisodes, et la douance fait que j'ai une mémoire photographique et je dis souvent que c'est grâce à ça que j'ai passé mon droit. Et aussi, j'aimais ça, moi, étudier. J'étais bonne. J'adorais étudier. Donc, tu sais, quand mon père m'avait dit, Ah, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, tu vas écrire ton nom partout bien déjà là, j'étudiais. Écoute, si je mettais bout à bout tout ce que j'ai lu durant mes quatre ans d'université, mon Dieu, ça mesure au moins 30 pieds de hauteur. Donc, c'était tous des signes qui me laissaient croire que j'étais à la bonne place. Un autre signe que j'aurais dû comprendre, mais tellement, écoute, moi, là, une fois que j'ai été reçue notaire, bien, il y a… Mon titre de maître. Maître. Oh mon Dieu, que je détestais. Je détestais tellement ce titre-là. Maître. Mon Dieu, que je trouvais ça prétentieux. Puis, je n'ai jamais été capable de m'appeler maître Saint-Laurent. Puis, quand les gens m'appelaient maître, je disais non, non, non. Moi, c'est notaire ou Marie-Josée. J'étais incapable. Bien, ça, ça voulait... C'était un signe assez fort pour dire que, mon Dieu, que je n'assumais pas ce titre-là pour en tout. Donc, si je n'assume pas le titre, j'assume peut-être... peut-être pas en profession non plus. Un autre signe, celui-là, positif, parce qu'encore là, l'univers a pris pitié de moi. À 45 ans, pour une raison X, Y, Z que j'explique dans d'autres épisodes, j'ai rencontré une coach de vie. Et elle m'annonce que mon archétype financier, c'est la célébrité. Donc, j'avais le droit, moi, de vouloir être on the spot que j'étais faite pour ça. Hey, wow ! Écoute, je trippais ma vie. C'est là que je me suis mise à étudier en écriture et en édition. J'ai pris plusieurs formations d'écriture et d'édition. J'ai même ouvert ma maison d'édition en 2016. Et je me suis mise à écrire des anecdotes de notaire. Pourquoi ? Parce que c'est le seul discours que j'avais, c'est le seul background que j'avais. Et je me suis mise aussi à faire des chroniques à la radio et à la télé communautaire de mon patelin. Donc, des chroniques juridiques encore là, parce que c'est tout ce que je connaissais. Et donc, ça, c'était correct. Ça me montrait que, wow, écoute, en fait, je conciliais ma profession notariale versus ma nature d'artiste. Mais l'univers, voyant que je n'étais pas capable de sauter dans le vide complètement, ah bien là, l'univers s'est choqué noir. À 53 ans, on m'a diagnostiqué que je devais subir une hystérectomie totale, babaye les ovaires, babaye l'utérus. Par mesure préventive, on voit bien que c'était rien qu'un signe de l'univers, il n'y avait rien de grave, mais il fallait que je me fasse enlever ça. Et ça, c'était le signe ultime de l'univers, que je devais changer de vie. parce qu'une hystérectomie totale, c'est deux mois de convalescence. Quand je prenais deux semaines de vacances, c'était la fin du monde au bureau. Donc, deux mois, oublie ça, ça ne marchait pas pantoute. Et donc, j'ai décidé, oui, de sauter dans le vide et de tout vendre et de changer de vie. Donc, après une voie de contournement de plus de 40 ans, avec l'aide de l'univers, Dieu merci, qui m'a, bien, l'aide de l'univers, c'était quasiment comme un deux par quatre dans la face, bien, j'ai finalement compris que je n'étais pas dans la bonne vie. Et mes... Maintenant, je suis dans la passion totale. Écoute, je ne travaille plus, moi. Moi, mon bureau, j'ai encore mon bureau de notaire, mais qui n'est plus un bureau de notaire, mon bureau est redevenu ma salle de jeu où je vis dans le bonheur et la liberté de créer. Je suis peut-être moins riche, mais maudit que je ne suis plus heureuse. Donc, tout ça pour vous dire que c'est important d'écouter sa petite voix, son intuition puis les signes de l'univers. Parce qu'ils sont là pour nous aider, pas pour nous faire chier. En plus, je respire encore et je suis la preuve vivante qui n'est jamais trop tard pour changer de vie. La preuve, Corneille, le chanteur Corneille, dans un épisode de l'émission populaire La Voix, il a déjà dit à une concurrente, Il n'y a pas d'âge pour être là où tu as le goût d'être. Effectivement, il y avait... Il avait très raison. Et quand je parle de signes de l'univers, ça peut se traduire en plusieurs choses. Moi, ça a été le nom de mon père, donc ça peut être des paroles. Et la citation de mon père aussi, qui m'a dit que quand je serais grande, je jouerais dans le papier et j'écrirais mon nom partout. Moi, je l'ai mal interprété parce que si j'avais interprété ça comme du monde, puis si mon orienteur au secondaire m'avait parlé de journalisme, ou de littérature, j'aurais peut-être choisi cette voie-là au lieu du notariat. Ensuite, il y a des rencontres aussi qui sont des signes de l'univers. Moi, Joanne, qui est venue au cégep un mardi matin, nécessairement, ça a été une rencontre salutaire pour moi, mon coach de vie aussi. Et ça peut être aussi un accident. Tu sais, des fois, on se plaint, parce que là, tout arrive dans la vie. Des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde. Mais c'est peut-être parce que l'univers t'envoie des signes, mais tu ne les prends pas. Un accident peut être un signe qu'il faut que tu changes de vie, puis l'accident est là pour te faire réaliser ça, mais toi, tu ne le réalises pas. Ça fait que tu continues ta vie. Ça peut être une chirurgie. Regarde, moi, ça a été l'hystérectomie totale. Ça peut être aussi un événement, une rupture, un décès. Malheureux, oui, mais un décès, ça peut carrément te donner le cue en bon québécois qu'il faut. Tu changes quelque chose dans ta vie. Ça peut être aussi une maladie. Bref, moi, je dis tout le temps, tout arrive pour quelque chose. Il faut juste savoir lire les signes. Ce n'est pas toujours négatif. Puis des fois, comme moi, ça m'est arrivé, je les ai mal lus, les signes. Comme à l'habitude, je vais te citer des trucs et ça va, en fait, étayer le propos que j'essaie de te communiquer aujourd'hui. Une belle citation. Si ça doit arriver, ça arrivera. Tu n'as pas à devoir forcer, convaincre ou t'inquiéter. Laisse couler, laisse être et laisse venir à toi. Tu attires tout ce dont tu as besoin. Fais confiance au timing de ta vie. Ben voilà. Tu sais, des fois, quand tu rushes trop, quand c'est trop difficile, c'est peut-être parce que tu ne fais pas la bonne affaire. Des fois, il faut que tu... Tu sais, ta petite voix, je suis sûre qu'elle dit, arrête, arrête, tu vas pas, t'en vas pas dans... dans la bonne direction. Puis si tu dis, laisse-moi tranquille, puis tu continues pareil, puis tu rushes, puis tu rushes, c'est ça. Tu vas peut-être être dans une voie de contournement. Mais l'idée aussi, puis ça, il faut que je le dise, l'univers, tu sais, si tu te trompes, l'univers, il s'organise tout le temps pour te remettre dans la bonne track. Mais encore, il faut que tu comprennes le message. Pas toujours facile. Une autre citation. Continue à le désirer plus fort, car l'univers n'a pas cessé de t'écouter. Bien voilà, moi, même si moi, je n'écoutais pas les signes, ou je ne les voyais pas, ou je les interprétais mal, bien l'univers, comme je l'ai dit, l'univers, il te renvoie toujours dans le droit chemin donc sur la voie de ta destinée. Puis ça va être ça tout le temps. Tu sais, des fois, tu peux te dire, Voyons, comment ça se fait que je vis ça encore ? parce que tu vis des affaires à répétition. Tu te dis, voyons, ta barouette, comment ça se fait ? Je me suis encore mis là-dedans. Mais c'est peut-être parce qu'il faut que tu comprennes que tu n'es pas à la bonne place. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. Mais c'est ça. Des fois, il faut que tu apprennes. Une autre citation. Il faut faire confiance à l'univers. Il finit toujours par poser des choses là où elles doivent être. Bien, voilà. Tu sais, si tu ne comprends pas du premier coup, l'univers va te renvoyer. Elle va te renvoyer. Elle va te... te renvoyer encore des signes, des paroles, des gestes, des rencontres, des événements qui vont finir par te faire comprendre que tu n'es peut-être pas à la bonne place, tu n'es peut-être pas avec les bonnes personnes, tu n'es peut-être pas dans la bonne vie. Une autre citation, ce qui s'est passé, s'est passé, qui j'étais, je l'étais, j'ai eu besoin de ce passé, j'ai eu besoin de mes erreurs pour être qui je suis maintenant. Maintenant, moi, je l'ai mis cette citation-là parce qu'effectivement, malgré les mauvais chemins que tu peux prendre dans la vie parce que tu n'as pas entendu ta petite voix, tu n'as pas lu, tu n'as pas su lire les signes de l'univers, tu n'as pas vu passer ou tu t'es carrément foutu de tout ça en faisant ta tête, tu n'as pas à t'en vouloir. C'est arrivé, c'est arrivé. Puis comme moi, mon notariat, je le regrette. pas du tout parce qu'au cours de mes 31 années de pratique du notariat, j'ai rencontré des personnes formidables. Ça m'a permis d'aider des gens. Ça m'a permis, malgré tout, de m'épanouir d'une certaine façon. J'ai pu écrire une trilogie d'anecdotes notariales. Donc, tout ça m'a forgée. Ça ne sert à rien de nier ça. C'est là, c'est tout. Le passé, on ne peut pas revenir, c'est passé. Donc, il vaut mieux vivre avec. Une autre citation. Je suis lentement en train de me transformer en la personne que j'aurais déjà dû être il y a des années de cela. Il y a comme un peu de nostalgie dans cette citation-là. Moi, la nostalgie, je ne comprends pas ça parce que ça ne sert à rien de regarder en arrière. Sauf pour te comparer. Tu sais, si tu regardes en arrière pour regarder le chemin parcouru, pour dire Wow, j'ai fait… telle, telle, telle affaire, je suis rendue ici maintenant et pour mieux te voir regarder en avant, ça, c'est correct. Et on se transforme effectivement lentement. Il y en a qui se transforment plus vite que d'autres. Peu importe si tu as pris des mauvais embranchements dans la vie parce que tu n'as pas su lire les signes de l'univers, ça te prend plus de temps que les autres. Ce n'est pas grave. L'important, c'est que tu avances. Une autre citation. Le hasard n'existe pas. On s'est connu pour une des deux raisons essentielles. Soit t'es une leçon ou soit t'es une bénédiction. Ben voilà, il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Puis des fois, il y a des gens qui passent dans ta vie, ne serait-ce qu'une journée. Puis cette personne-là t'a laissé quelque chose. Ou toi, t'es passé dans la vie de quelqu'un pour une journée. Tu lui as apporté quelque chose. Ça devait arriver comme ça. Nous sommes des signes de l'univers pour des gens. Il y a des gens qui sont des signes de l'univers pour nous, mais il faut juste être capable de comprendre que c'est soit une leçon ou une bénédiction. Une autre citation. Quand on veut une chose, tout l'univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve. Ça, c'est Paul Coelho qui a dit ça. Moi, je dis souvent, l'univers conspire avec nous et non contre nous. Parce que l'univers est là pour qu'on se réalise, pour qu'on évolue positivement. et chaque chose qui nous arrive nous permet d'évoluer. Des fois, oui, c'est des mauvaises choses, mais ça nous fait avancer, ça nous fait rebondir. Tout ça dans le but, oui, de se réaliser et de réaliser nos rêves. Une autre citation. Ce qui t'est destiné trouvera le moyen de te rejoindre. Ah bien, absolument. Moi, c'est sûr, dans ma vie, effectivement, j'ai eu une voie de contournement de 31 ans. de notariat de 40 ans, si on retourne à mon adolescence, mais je suis artiste aujourd'hui. Ça nous rejoint, oui, tard, on va se le dire, mais il n'est jamais trop tard. Donc, ça finit toujours, notre destin finit toujours par nous revenir d'en face, j'oserais dire. Une autre citation. Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous. Oui, dans la vie, il n'y a rien qui arrive pour rien, je l'ai déjà dit. Des rendez-vous, ça peut être un rendez-vous avec quelqu'un. avec un événement, avec une maladie, avec un accident, avec, n'est-ce pas, chaque chose arrive pour quelque chose. Et ce n'est pas par hasard, non, c'est l'univers qui nous envoie ça pour qu'on puisse évoluer, puis pour qu'on puisse se faire ramener dans le droit chemin des fois parce qu'on est perdu ailleurs, puis que ce n'est pas là qu'il faut aller, mais c'est vraiment pour nous ramener. là où on doit être avec les gens avec qui on doit être, à faire ce qu'on est né pour être aussi. Une autre citation. L'univers n'est pas en train de vous punir ou de vous bénir. L'univers est seulement en train de répondre à la fréquence vibratoire que vous émettez. Ça, c'est important. Parce qu'effectivement, moi, dans ma vie, au moment où j'étais, l'univers m'a envoyé ce que j'avais besoin. Quand Johan est arrivé, au cégep pour me parler de testament. C'était une bénédiction parce que je ne savais pas qu'on fait dans la vie. Mon Dieu, j'étais en sciences humaines sans maths parce que je n'étais pas nulle en maths. Je me disais, qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Paf ! Elle est arrivée, elle. Ça a été une bénédiction, même si ce n'était pas ça que je devais être dans la vie. Au moment où j'étais dans le néant, l'univers a fait de Colin, on va lui envoyer ça. Sinon, on ne sait pas ce qui va arriver avec elle. On comprend. Donc, c'est nous autres qui émets une fréquence, puis l'univers fait avec dans le moment où on en a besoin. Face à la force supérieure au-dessus de toi et à ta petite voix qui te hurle parfois, tu as deux options. La première option, c'est que tu n'entends pas ton intuition, donc tu ne l'écoutes tellement pas. Tu te fous complètement de ce que les autres peuvent t'apporter comme conseil. Tu pratiques l'incrédulité professionnellement. Autrement dit, tu crois en rien et pas en tout. Tu fais ta petite affaire, tu deals avec ce qui te tombe dessus, point final, puis tu dis que tu ne demandes rien, donc tu ne dois rien. La deuxième option, c'est que tu écoutes religieusement ta petite voix, sinon tu es dans la marde. Tu crois en l'univers ou en cette force supérieure au-dessus de toi. Tu es à l'affût de tous les signes que la vie t'envoie. Tu crois que rien n'arrive pour rien et que chaque parole, chaque geste, chaque événement... qui arrivent sont des indications te guidant tout au long de ton parcours. Tu t'efforces de les interpréter de la bonne façon et si tu te trompes, t'effaces, puis tu recommences. En résumé, je t'ai parlé de croyances, de destin, de transformation. Je t'ai raconté mon parcours où je n'ai pas toujours écouté les signes par peur de décevoir. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Et je t'ai présenté des options possibles sur ta façon de gérer ton destin. À toi de décider comment tu agiras face aux prochains signes que l'univers t'enverra. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta destinée. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funéraire, pour l'animation d'un événement spécial ou pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie. un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de Mars et Vénus.

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Dans cet épisode je te raconte comment j’ai mal interprété les nombreux signes que l’Univers m’envoyait, je te jase de croyance, de destin, de transformation et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l’Univers !


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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta croyance en une force supérieure ? Moi, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, Lapoune, les extraterrestres, Elvis, peu importe. Moi, je te parle de la force supérieure au-dessus de toi en laquelle tu crois. As-tu une petite voix qui te parle parfois ? Si oui, l'écoutes-tu ? Moi, j'en ai une. Je l'ai appelé Georgette parce que je trouve que ça y fait bien. Et Georgette, je l'écoute tout le temps. Sinon, je suis dans la merde. Quand tu es dans le trouble ou tu vis une situation difficile, demandes-tu à cette force supérieure qu'elle t'aide à passer au travers cette tempête ? Même si tu perçois les signes de l'univers ou que tu entends les sages paroles de ta petite voix qui te dit que ta conduite a adopté, fais-tu quand même à ta tête ou tu suis ses conseils ? Malgré tous ces avertissements entendus ou perçus, on les interprète parfois très mal. Bonne nouvelle, il n'est jamais trop tard pour réaligner notre destinée mal enlignée. Dans cet épisode, je te raconte comment j'ai mal interprété les nombreux signes que l'univers m'envoyait, je te jase de croyances, de destins, de transformations et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l'univers. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, c'est d'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Je vous l'ai partagé plusieurs fois dans mes épisodes que je suis une artiste par définition, que quand j'étais petite, j'avais une salle de jeu où j'écrivais, je jouais des pièces de théâtre, j'ai joué tous les rôles. J'étais vraiment une artiste. Et tout ça a cessé lorsque mon père m'a dit... que non, je ne serais pas une artiste dans la vie. Et ce nom-là a résonné tellement fort que j'en ai développé une scoliose. J'ai porté un corset orthopédique toute ma jeunesse. Et j'ai aussi eu une dépression silencieuse que personne n'a perçue. Ça, c'était un signe, oui, un grand signe de l'univers. Comme de quoi que, bon, mon père m'avait changé de voix. Bien, mon corps a changé de voix. C'était assez fort, merci. Quand le corps change suite à quelque chose, c'est un signe qui est assez fort. Suite à ça, à cause de mon corset, j'ai été exemptée au secondaire, tout mon secondaire de l'éducation physique. Et j'ai donc fait des cours d'art plastique. Ça aussi, c'était un signe de l'univers. On dirait que l'univers prenait soin de moi malgré tout. Elle me donnait l'occasion de m'évader dans l'art en faisant de la photographie, de la peinture, de la poterie, etc. Un jour, mon père m'a dit, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, puis tu vas écrire ton nom partout. Parce que je l'ai raconté aussi dans d'autres épisodes. Quand j'étais petite, mon père m'amenait à sa shop, puis je fouillais dans les poubelles, je cherchais des factures, puis je brossais des grosses affaires, toujours dans mon rôle, que je me donnais. Et ça aussi, c'était un signe de l'univers. Moi, j'avais perçu ce signe-là d'une façon, puis vous allez voir plus loin que ce n'était pas la bonne façon de l'interpréter. Mais il y a eu raison, là. Parce que oui, dans ma vie, pour ceux qui ne le savent pas, j'ai été notaire pendant 31 ans. Donc oui, effectivement, j'ai écrit mon nom partout parce que Dieu sait qu'un notaire, ça signe son nom un peu tout le temps. Et oui, j'ai joué dans le papier, bien évidemment. Moi, bien évidemment, je voulais être une artiste. Je voulais... créer et je voulais surtout par-dessus tout ça plaire à mon père. Je voulais aussi réussir parce que je voulais qu'il soit fier de moi et la fierté de mon père, ça voulait dire de l'amour. Je voulais que mon père m'aime, donc je l'écoutais. J'ai écouté mon père et je n'ai pas choisi d'être une artiste dans la vie. Et là, c'est sûr que tu as 16 ans, il faut que tu choisisses un métier. J'en ai parlé aussi dans d'autres épisodes. Pas évident. Et whoops ! Un mardi matin, Joanne au Cégep vient nous parler de testaments, fouille-moi pourquoi, mais ça a été le signe, encore là, un signe de l'univers. qui me disait, Hey, grande fille, t'es pardurée, t'as plus d'illusions dans la vie que tu vas être une artiste, fait qu'on va t'aider un petit peu. Puis Joanne est apparue, puis la brume s'est tassée dans mes lunettes pour me dire, Ah, ben coudonc, être notaire, peut-être que ça va être ça, ma vie finalement. Donc ça, c'est un signe de l'univers qui m'a été envoyée in extremis pour me dire, Regarde, suis cette voie-là, ça va être un... un compromis, si on peut dire. Il y a d'autres signes que l'univers m'a envoyé qui auraient dû me faire comprendre que je n'étais pas à la bonne place. Parce que j'ai été acceptée in extremis à l'université, genre cinq jours avant que l'université commence, parce que à ma deuxième année de cégep, j'avais été faire ma deuxième année à Montréal, étant... Étant native d'Amos, en Abitibi, où il n'y a pas grand-chose qui se passe, là chez Luz, en Grandville, c'est bien sûr qu'il y avait beaucoup de distractions. Donc, mes études en ont souffert un peu et ma moyenne aussi. Donc, je n'ai pas eu le loisir de choisir mon université. C'est l'université qui m'a choisie. Et ça, écoute, il était moins une quand l'université m'a appelée. Donc, ça, c'était un signe déjà là que ce n'était pas correct. Un autre signe, à ma première journée à l'université, j'ai joué tout le temps. tout ce monde-là. Imaginez, là, écoute, la faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Tous les élèves arrivaient en Mercedes, en toutes sortes de belles voitures de luxe, habillés en habits. Écoute, des preppys, là, des preppys de chez Preppys. Moi, j'arrive habillée en mou, colorée, les lunettes roses, j'avais les cheveux aux fesses permanentés. Je me faisais une grosse stock avec... Écoute, c'est pas compliqué, je faisais un nœud dans mes cheveux, je mettais trois, quatre... de crayon là-dedans pour que ça tienne. Puis moi, je rarrive à l'université. Eh boy, un méchant clash entre moi et eux. Écoute, ils m'ont regardé toutes comme si j'étais une extraterrestre. Donc, ça aussi, c'était un signe comme de quoi je n'avais vraiment pas ma place là. Un autre signe, durant ma première année d'université, j'ai eu des infections urinaires à répétition. Ça aussi, c'était un signe qu'il y avait de quoi de pas correct dans mon destin, où j'étais, où j'étais rendue. Et, euh... Un autre signe d'un univers que je crois, c'est que tout au long de ma scolarité universitaire, je vivais comme dans une illusion parce que j'ai de la douance, et j'en parle un peu des fois dans mes épisodes, et la douance fait que j'ai une mémoire photographique et je dis souvent que c'est grâce à ça que j'ai passé mon droit. Et aussi, j'aimais ça, moi, étudier. J'étais bonne. J'adorais étudier. Donc, tu sais, quand mon père m'avait dit, Ah, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, tu vas écrire ton nom partout bien déjà là, j'étudiais. Écoute, si je mettais bout à bout tout ce que j'ai lu durant mes quatre ans d'université, mon Dieu, ça mesure au moins 30 pieds de hauteur. Donc, c'était tous des signes qui me laissaient croire que j'étais à la bonne place. Un autre signe que j'aurais dû comprendre, mais tellement, écoute, moi, là, une fois que j'ai été reçue notaire, bien, il y a… Mon titre de maître. Maître. Oh mon Dieu, que je détestais. Je détestais tellement ce titre-là. Maître. Mon Dieu, que je trouvais ça prétentieux. Puis, je n'ai jamais été capable de m'appeler maître Saint-Laurent. Puis, quand les gens m'appelaient maître, je disais non, non, non. Moi, c'est notaire ou Marie-Josée. J'étais incapable. Bien, ça, ça voulait... C'était un signe assez fort pour dire que, mon Dieu, que je n'assumais pas ce titre-là pour en tout. Donc, si je n'assume pas le titre, j'assume peut-être... peut-être pas en profession non plus. Un autre signe, celui-là, positif, parce qu'encore là, l'univers a pris pitié de moi. À 45 ans, pour une raison X, Y, Z que j'explique dans d'autres épisodes, j'ai rencontré une coach de vie. Et elle m'annonce que mon archétype financier, c'est la célébrité. Donc, j'avais le droit, moi, de vouloir être on the spot que j'étais faite pour ça. Hey, wow ! Écoute, je trippais ma vie. C'est là que je me suis mise à étudier en écriture et en édition. J'ai pris plusieurs formations d'écriture et d'édition. J'ai même ouvert ma maison d'édition en 2016. Et je me suis mise à écrire des anecdotes de notaire. Pourquoi ? Parce que c'est le seul discours que j'avais, c'est le seul background que j'avais. Et je me suis mise aussi à faire des chroniques à la radio et à la télé communautaire de mon patelin. Donc, des chroniques juridiques encore là, parce que c'est tout ce que je connaissais. Et donc, ça, c'était correct. Ça me montrait que, wow, écoute, en fait, je conciliais ma profession notariale versus ma nature d'artiste. Mais l'univers, voyant que je n'étais pas capable de sauter dans le vide complètement, ah bien là, l'univers s'est choqué noir. À 53 ans, on m'a diagnostiqué que je devais subir une hystérectomie totale, babaye les ovaires, babaye l'utérus. Par mesure préventive, on voit bien que c'était rien qu'un signe de l'univers, il n'y avait rien de grave, mais il fallait que je me fasse enlever ça. Et ça, c'était le signe ultime de l'univers, que je devais changer de vie. parce qu'une hystérectomie totale, c'est deux mois de convalescence. Quand je prenais deux semaines de vacances, c'était la fin du monde au bureau. Donc, deux mois, oublie ça, ça ne marchait pas pantoute. Et donc, j'ai décidé, oui, de sauter dans le vide et de tout vendre et de changer de vie. Donc, après une voie de contournement de plus de 40 ans, avec l'aide de l'univers, Dieu merci, qui m'a, bien, l'aide de l'univers, c'était quasiment comme un deux par quatre dans la face, bien, j'ai finalement compris que je n'étais pas dans la bonne vie. Et mes... Maintenant, je suis dans la passion totale. Écoute, je ne travaille plus, moi. Moi, mon bureau, j'ai encore mon bureau de notaire, mais qui n'est plus un bureau de notaire, mon bureau est redevenu ma salle de jeu où je vis dans le bonheur et la liberté de créer. Je suis peut-être moins riche, mais maudit que je ne suis plus heureuse. Donc, tout ça pour vous dire que c'est important d'écouter sa petite voix, son intuition puis les signes de l'univers. Parce qu'ils sont là pour nous aider, pas pour nous faire chier. En plus, je respire encore et je suis la preuve vivante qui n'est jamais trop tard pour changer de vie. La preuve, Corneille, le chanteur Corneille, dans un épisode de l'émission populaire La Voix, il a déjà dit à une concurrente, Il n'y a pas d'âge pour être là où tu as le goût d'être. Effectivement, il y avait... Il avait très raison. Et quand je parle de signes de l'univers, ça peut se traduire en plusieurs choses. Moi, ça a été le nom de mon père, donc ça peut être des paroles. Et la citation de mon père aussi, qui m'a dit que quand je serais grande, je jouerais dans le papier et j'écrirais mon nom partout. Moi, je l'ai mal interprété parce que si j'avais interprété ça comme du monde, puis si mon orienteur au secondaire m'avait parlé de journalisme, ou de littérature, j'aurais peut-être choisi cette voie-là au lieu du notariat. Ensuite, il y a des rencontres aussi qui sont des signes de l'univers. Moi, Joanne, qui est venue au cégep un mardi matin, nécessairement, ça a été une rencontre salutaire pour moi, mon coach de vie aussi. Et ça peut être aussi un accident. Tu sais, des fois, on se plaint, parce que là, tout arrive dans la vie. Des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde. Mais c'est peut-être parce que l'univers t'envoie des signes, mais tu ne les prends pas. Un accident peut être un signe qu'il faut que tu changes de vie, puis l'accident est là pour te faire réaliser ça, mais toi, tu ne le réalises pas. Ça fait que tu continues ta vie. Ça peut être une chirurgie. Regarde, moi, ça a été l'hystérectomie totale. Ça peut être aussi un événement, une rupture, un décès. Malheureux, oui, mais un décès, ça peut carrément te donner le cue en bon québécois qu'il faut. Tu changes quelque chose dans ta vie. Ça peut être aussi une maladie. Bref, moi, je dis tout le temps, tout arrive pour quelque chose. Il faut juste savoir lire les signes. Ce n'est pas toujours négatif. Puis des fois, comme moi, ça m'est arrivé, je les ai mal lus, les signes. Comme à l'habitude, je vais te citer des trucs et ça va, en fait, étayer le propos que j'essaie de te communiquer aujourd'hui. Une belle citation. Si ça doit arriver, ça arrivera. Tu n'as pas à devoir forcer, convaincre ou t'inquiéter. Laisse couler, laisse être et laisse venir à toi. Tu attires tout ce dont tu as besoin. Fais confiance au timing de ta vie. Ben voilà. Tu sais, des fois, quand tu rushes trop, quand c'est trop difficile, c'est peut-être parce que tu ne fais pas la bonne affaire. Des fois, il faut que tu... Tu sais, ta petite voix, je suis sûre qu'elle dit, arrête, arrête, tu vas pas, t'en vas pas dans... dans la bonne direction. Puis si tu dis, laisse-moi tranquille, puis tu continues pareil, puis tu rushes, puis tu rushes, c'est ça. Tu vas peut-être être dans une voie de contournement. Mais l'idée aussi, puis ça, il faut que je le dise, l'univers, tu sais, si tu te trompes, l'univers, il s'organise tout le temps pour te remettre dans la bonne track. Mais encore, il faut que tu comprennes le message. Pas toujours facile. Une autre citation. Continue à le désirer plus fort, car l'univers n'a pas cessé de t'écouter. Bien voilà, moi, même si moi, je n'écoutais pas les signes, ou je ne les voyais pas, ou je les interprétais mal, bien l'univers, comme je l'ai dit, l'univers, il te renvoie toujours dans le droit chemin donc sur la voie de ta destinée. Puis ça va être ça tout le temps. Tu sais, des fois, tu peux te dire, Voyons, comment ça se fait que je vis ça encore ? parce que tu vis des affaires à répétition. Tu te dis, voyons, ta barouette, comment ça se fait ? Je me suis encore mis là-dedans. Mais c'est peut-être parce qu'il faut que tu comprennes que tu n'es pas à la bonne place. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. Mais c'est ça. Des fois, il faut que tu apprennes. Une autre citation. Il faut faire confiance à l'univers. Il finit toujours par poser des choses là où elles doivent être. Bien, voilà. Tu sais, si tu ne comprends pas du premier coup, l'univers va te renvoyer. Elle va te renvoyer. Elle va te... te renvoyer encore des signes, des paroles, des gestes, des rencontres, des événements qui vont finir par te faire comprendre que tu n'es peut-être pas à la bonne place, tu n'es peut-être pas avec les bonnes personnes, tu n'es peut-être pas dans la bonne vie. Une autre citation, ce qui s'est passé, s'est passé, qui j'étais, je l'étais, j'ai eu besoin de ce passé, j'ai eu besoin de mes erreurs pour être qui je suis maintenant. Maintenant, moi, je l'ai mis cette citation-là parce qu'effectivement, malgré les mauvais chemins que tu peux prendre dans la vie parce que tu n'as pas entendu ta petite voix, tu n'as pas lu, tu n'as pas su lire les signes de l'univers, tu n'as pas vu passer ou tu t'es carrément foutu de tout ça en faisant ta tête, tu n'as pas à t'en vouloir. C'est arrivé, c'est arrivé. Puis comme moi, mon notariat, je le regrette. pas du tout parce qu'au cours de mes 31 années de pratique du notariat, j'ai rencontré des personnes formidables. Ça m'a permis d'aider des gens. Ça m'a permis, malgré tout, de m'épanouir d'une certaine façon. J'ai pu écrire une trilogie d'anecdotes notariales. Donc, tout ça m'a forgée. Ça ne sert à rien de nier ça. C'est là, c'est tout. Le passé, on ne peut pas revenir, c'est passé. Donc, il vaut mieux vivre avec. Une autre citation. Je suis lentement en train de me transformer en la personne que j'aurais déjà dû être il y a des années de cela. Il y a comme un peu de nostalgie dans cette citation-là. Moi, la nostalgie, je ne comprends pas ça parce que ça ne sert à rien de regarder en arrière. Sauf pour te comparer. Tu sais, si tu regardes en arrière pour regarder le chemin parcouru, pour dire Wow, j'ai fait… telle, telle, telle affaire, je suis rendue ici maintenant et pour mieux te voir regarder en avant, ça, c'est correct. Et on se transforme effectivement lentement. Il y en a qui se transforment plus vite que d'autres. Peu importe si tu as pris des mauvais embranchements dans la vie parce que tu n'as pas su lire les signes de l'univers, ça te prend plus de temps que les autres. Ce n'est pas grave. L'important, c'est que tu avances. Une autre citation. Le hasard n'existe pas. On s'est connu pour une des deux raisons essentielles. Soit t'es une leçon ou soit t'es une bénédiction. Ben voilà, il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Puis des fois, il y a des gens qui passent dans ta vie, ne serait-ce qu'une journée. Puis cette personne-là t'a laissé quelque chose. Ou toi, t'es passé dans la vie de quelqu'un pour une journée. Tu lui as apporté quelque chose. Ça devait arriver comme ça. Nous sommes des signes de l'univers pour des gens. Il y a des gens qui sont des signes de l'univers pour nous, mais il faut juste être capable de comprendre que c'est soit une leçon ou une bénédiction. Une autre citation. Quand on veut une chose, tout l'univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve. Ça, c'est Paul Coelho qui a dit ça. Moi, je dis souvent, l'univers conspire avec nous et non contre nous. Parce que l'univers est là pour qu'on se réalise, pour qu'on évolue positivement. et chaque chose qui nous arrive nous permet d'évoluer. Des fois, oui, c'est des mauvaises choses, mais ça nous fait avancer, ça nous fait rebondir. Tout ça dans le but, oui, de se réaliser et de réaliser nos rêves. Une autre citation. Ce qui t'est destiné trouvera le moyen de te rejoindre. Ah bien, absolument. Moi, c'est sûr, dans ma vie, effectivement, j'ai eu une voie de contournement de 31 ans. de notariat de 40 ans, si on retourne à mon adolescence, mais je suis artiste aujourd'hui. Ça nous rejoint, oui, tard, on va se le dire, mais il n'est jamais trop tard. Donc, ça finit toujours, notre destin finit toujours par nous revenir d'en face, j'oserais dire. Une autre citation. Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous. Oui, dans la vie, il n'y a rien qui arrive pour rien, je l'ai déjà dit. Des rendez-vous, ça peut être un rendez-vous avec quelqu'un. avec un événement, avec une maladie, avec un accident, avec, n'est-ce pas, chaque chose arrive pour quelque chose. Et ce n'est pas par hasard, non, c'est l'univers qui nous envoie ça pour qu'on puisse évoluer, puis pour qu'on puisse se faire ramener dans le droit chemin des fois parce qu'on est perdu ailleurs, puis que ce n'est pas là qu'il faut aller, mais c'est vraiment pour nous ramener. là où on doit être avec les gens avec qui on doit être, à faire ce qu'on est né pour être aussi. Une autre citation. L'univers n'est pas en train de vous punir ou de vous bénir. L'univers est seulement en train de répondre à la fréquence vibratoire que vous émettez. Ça, c'est important. Parce qu'effectivement, moi, dans ma vie, au moment où j'étais, l'univers m'a envoyé ce que j'avais besoin. Quand Johan est arrivé, au cégep pour me parler de testament. C'était une bénédiction parce que je ne savais pas qu'on fait dans la vie. Mon Dieu, j'étais en sciences humaines sans maths parce que je n'étais pas nulle en maths. Je me disais, qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Paf ! Elle est arrivée, elle. Ça a été une bénédiction, même si ce n'était pas ça que je devais être dans la vie. Au moment où j'étais dans le néant, l'univers a fait de Colin, on va lui envoyer ça. Sinon, on ne sait pas ce qui va arriver avec elle. On comprend. Donc, c'est nous autres qui émets une fréquence, puis l'univers fait avec dans le moment où on en a besoin. Face à la force supérieure au-dessus de toi et à ta petite voix qui te hurle parfois, tu as deux options. La première option, c'est que tu n'entends pas ton intuition, donc tu ne l'écoutes tellement pas. Tu te fous complètement de ce que les autres peuvent t'apporter comme conseil. Tu pratiques l'incrédulité professionnellement. Autrement dit, tu crois en rien et pas en tout. Tu fais ta petite affaire, tu deals avec ce qui te tombe dessus, point final, puis tu dis que tu ne demandes rien, donc tu ne dois rien. La deuxième option, c'est que tu écoutes religieusement ta petite voix, sinon tu es dans la marde. Tu crois en l'univers ou en cette force supérieure au-dessus de toi. Tu es à l'affût de tous les signes que la vie t'envoie. Tu crois que rien n'arrive pour rien et que chaque parole, chaque geste, chaque événement... qui arrivent sont des indications te guidant tout au long de ton parcours. Tu t'efforces de les interpréter de la bonne façon et si tu te trompes, t'effaces, puis tu recommences. En résumé, je t'ai parlé de croyances, de destin, de transformation. Je t'ai raconté mon parcours où je n'ai pas toujours écouté les signes par peur de décevoir. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Et je t'ai présenté des options possibles sur ta façon de gérer ton destin. À toi de décider comment tu agiras face aux prochains signes que l'univers t'enverra. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta destinée. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funéraire, pour l'animation d'un événement spécial ou pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie. un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de Mars et Vénus.

Description

Dans cet épisode je te raconte comment j’ai mal interprété les nombreux signes que l’Univers m’envoyait, je te jase de croyance, de destin, de transformation et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l’Univers !


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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien tu mesures ta croyance en une force supérieure ? Moi, je parle de l'univers, mais ça peut être Dieu, Bouddha, Allah, Jéhovah, Lapoune, les extraterrestres, Elvis, peu importe. Moi, je te parle de la force supérieure au-dessus de toi en laquelle tu crois. As-tu une petite voix qui te parle parfois ? Si oui, l'écoutes-tu ? Moi, j'en ai une. Je l'ai appelé Georgette parce que je trouve que ça y fait bien. Et Georgette, je l'écoute tout le temps. Sinon, je suis dans la merde. Quand tu es dans le trouble ou tu vis une situation difficile, demandes-tu à cette force supérieure qu'elle t'aide à passer au travers cette tempête ? Même si tu perçois les signes de l'univers ou que tu entends les sages paroles de ta petite voix qui te dit que ta conduite a adopté, fais-tu quand même à ta tête ou tu suis ses conseils ? Malgré tous ces avertissements entendus ou perçus, on les interprète parfois très mal. Bonne nouvelle, il n'est jamais trop tard pour réaligner notre destinée mal enlignée. Dans cet épisode, je te raconte comment j'ai mal interprété les nombreux signes que l'univers m'envoyait, je te jase de croyances, de destins, de transformations et je te donne des trucs pour percevoir les signes concrets de l'univers. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, c'est d'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Je vous l'ai partagé plusieurs fois dans mes épisodes que je suis une artiste par définition, que quand j'étais petite, j'avais une salle de jeu où j'écrivais, je jouais des pièces de théâtre, j'ai joué tous les rôles. J'étais vraiment une artiste. Et tout ça a cessé lorsque mon père m'a dit... que non, je ne serais pas une artiste dans la vie. Et ce nom-là a résonné tellement fort que j'en ai développé une scoliose. J'ai porté un corset orthopédique toute ma jeunesse. Et j'ai aussi eu une dépression silencieuse que personne n'a perçue. Ça, c'était un signe, oui, un grand signe de l'univers. Comme de quoi que, bon, mon père m'avait changé de voix. Bien, mon corps a changé de voix. C'était assez fort, merci. Quand le corps change suite à quelque chose, c'est un signe qui est assez fort. Suite à ça, à cause de mon corset, j'ai été exemptée au secondaire, tout mon secondaire de l'éducation physique. Et j'ai donc fait des cours d'art plastique. Ça aussi, c'était un signe de l'univers. On dirait que l'univers prenait soin de moi malgré tout. Elle me donnait l'occasion de m'évader dans l'art en faisant de la photographie, de la peinture, de la poterie, etc. Un jour, mon père m'a dit, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, puis tu vas écrire ton nom partout. Parce que je l'ai raconté aussi dans d'autres épisodes. Quand j'étais petite, mon père m'amenait à sa shop, puis je fouillais dans les poubelles, je cherchais des factures, puis je brossais des grosses affaires, toujours dans mon rôle, que je me donnais. Et ça aussi, c'était un signe de l'univers. Moi, j'avais perçu ce signe-là d'une façon, puis vous allez voir plus loin que ce n'était pas la bonne façon de l'interpréter. Mais il y a eu raison, là. Parce que oui, dans ma vie, pour ceux qui ne le savent pas, j'ai été notaire pendant 31 ans. Donc oui, effectivement, j'ai écrit mon nom partout parce que Dieu sait qu'un notaire, ça signe son nom un peu tout le temps. Et oui, j'ai joué dans le papier, bien évidemment. Moi, bien évidemment, je voulais être une artiste. Je voulais... créer et je voulais surtout par-dessus tout ça plaire à mon père. Je voulais aussi réussir parce que je voulais qu'il soit fier de moi et la fierté de mon père, ça voulait dire de l'amour. Je voulais que mon père m'aime, donc je l'écoutais. J'ai écouté mon père et je n'ai pas choisi d'être une artiste dans la vie. Et là, c'est sûr que tu as 16 ans, il faut que tu choisisses un métier. J'en ai parlé aussi dans d'autres épisodes. Pas évident. Et whoops ! Un mardi matin, Joanne au Cégep vient nous parler de testaments, fouille-moi pourquoi, mais ça a été le signe, encore là, un signe de l'univers. qui me disait, Hey, grande fille, t'es pardurée, t'as plus d'illusions dans la vie que tu vas être une artiste, fait qu'on va t'aider un petit peu. Puis Joanne est apparue, puis la brume s'est tassée dans mes lunettes pour me dire, Ah, ben coudonc, être notaire, peut-être que ça va être ça, ma vie finalement. Donc ça, c'est un signe de l'univers qui m'a été envoyée in extremis pour me dire, Regarde, suis cette voie-là, ça va être un... un compromis, si on peut dire. Il y a d'autres signes que l'univers m'a envoyé qui auraient dû me faire comprendre que je n'étais pas à la bonne place. Parce que j'ai été acceptée in extremis à l'université, genre cinq jours avant que l'université commence, parce que à ma deuxième année de cégep, j'avais été faire ma deuxième année à Montréal, étant... Étant native d'Amos, en Abitibi, où il n'y a pas grand-chose qui se passe, là chez Luz, en Grandville, c'est bien sûr qu'il y avait beaucoup de distractions. Donc, mes études en ont souffert un peu et ma moyenne aussi. Donc, je n'ai pas eu le loisir de choisir mon université. C'est l'université qui m'a choisie. Et ça, écoute, il était moins une quand l'université m'a appelée. Donc, ça, c'était un signe déjà là que ce n'était pas correct. Un autre signe, à ma première journée à l'université, j'ai joué tout le temps. tout ce monde-là. Imaginez, là, écoute, la faculté de droit de l'Université d'Ottawa. Tous les élèves arrivaient en Mercedes, en toutes sortes de belles voitures de luxe, habillés en habits. Écoute, des preppys, là, des preppys de chez Preppys. Moi, j'arrive habillée en mou, colorée, les lunettes roses, j'avais les cheveux aux fesses permanentés. Je me faisais une grosse stock avec... Écoute, c'est pas compliqué, je faisais un nœud dans mes cheveux, je mettais trois, quatre... de crayon là-dedans pour que ça tienne. Puis moi, je rarrive à l'université. Eh boy, un méchant clash entre moi et eux. Écoute, ils m'ont regardé toutes comme si j'étais une extraterrestre. Donc, ça aussi, c'était un signe comme de quoi je n'avais vraiment pas ma place là. Un autre signe, durant ma première année d'université, j'ai eu des infections urinaires à répétition. Ça aussi, c'était un signe qu'il y avait de quoi de pas correct dans mon destin, où j'étais, où j'étais rendue. Et, euh... Un autre signe d'un univers que je crois, c'est que tout au long de ma scolarité universitaire, je vivais comme dans une illusion parce que j'ai de la douance, et j'en parle un peu des fois dans mes épisodes, et la douance fait que j'ai une mémoire photographique et je dis souvent que c'est grâce à ça que j'ai passé mon droit. Et aussi, j'aimais ça, moi, étudier. J'étais bonne. J'adorais étudier. Donc, tu sais, quand mon père m'avait dit, Ah, toi, quand tu vas être grande, tu vas jouer dans le papier, tu vas écrire ton nom partout bien déjà là, j'étudiais. Écoute, si je mettais bout à bout tout ce que j'ai lu durant mes quatre ans d'université, mon Dieu, ça mesure au moins 30 pieds de hauteur. Donc, c'était tous des signes qui me laissaient croire que j'étais à la bonne place. Un autre signe que j'aurais dû comprendre, mais tellement, écoute, moi, là, une fois que j'ai été reçue notaire, bien, il y a… Mon titre de maître. Maître. Oh mon Dieu, que je détestais. Je détestais tellement ce titre-là. Maître. Mon Dieu, que je trouvais ça prétentieux. Puis, je n'ai jamais été capable de m'appeler maître Saint-Laurent. Puis, quand les gens m'appelaient maître, je disais non, non, non. Moi, c'est notaire ou Marie-Josée. J'étais incapable. Bien, ça, ça voulait... C'était un signe assez fort pour dire que, mon Dieu, que je n'assumais pas ce titre-là pour en tout. Donc, si je n'assume pas le titre, j'assume peut-être... peut-être pas en profession non plus. Un autre signe, celui-là, positif, parce qu'encore là, l'univers a pris pitié de moi. À 45 ans, pour une raison X, Y, Z que j'explique dans d'autres épisodes, j'ai rencontré une coach de vie. Et elle m'annonce que mon archétype financier, c'est la célébrité. Donc, j'avais le droit, moi, de vouloir être on the spot que j'étais faite pour ça. Hey, wow ! Écoute, je trippais ma vie. C'est là que je me suis mise à étudier en écriture et en édition. J'ai pris plusieurs formations d'écriture et d'édition. J'ai même ouvert ma maison d'édition en 2016. Et je me suis mise à écrire des anecdotes de notaire. Pourquoi ? Parce que c'est le seul discours que j'avais, c'est le seul background que j'avais. Et je me suis mise aussi à faire des chroniques à la radio et à la télé communautaire de mon patelin. Donc, des chroniques juridiques encore là, parce que c'est tout ce que je connaissais. Et donc, ça, c'était correct. Ça me montrait que, wow, écoute, en fait, je conciliais ma profession notariale versus ma nature d'artiste. Mais l'univers, voyant que je n'étais pas capable de sauter dans le vide complètement, ah bien là, l'univers s'est choqué noir. À 53 ans, on m'a diagnostiqué que je devais subir une hystérectomie totale, babaye les ovaires, babaye l'utérus. Par mesure préventive, on voit bien que c'était rien qu'un signe de l'univers, il n'y avait rien de grave, mais il fallait que je me fasse enlever ça. Et ça, c'était le signe ultime de l'univers, que je devais changer de vie. parce qu'une hystérectomie totale, c'est deux mois de convalescence. Quand je prenais deux semaines de vacances, c'était la fin du monde au bureau. Donc, deux mois, oublie ça, ça ne marchait pas pantoute. Et donc, j'ai décidé, oui, de sauter dans le vide et de tout vendre et de changer de vie. Donc, après une voie de contournement de plus de 40 ans, avec l'aide de l'univers, Dieu merci, qui m'a, bien, l'aide de l'univers, c'était quasiment comme un deux par quatre dans la face, bien, j'ai finalement compris que je n'étais pas dans la bonne vie. Et mes... Maintenant, je suis dans la passion totale. Écoute, je ne travaille plus, moi. Moi, mon bureau, j'ai encore mon bureau de notaire, mais qui n'est plus un bureau de notaire, mon bureau est redevenu ma salle de jeu où je vis dans le bonheur et la liberté de créer. Je suis peut-être moins riche, mais maudit que je ne suis plus heureuse. Donc, tout ça pour vous dire que c'est important d'écouter sa petite voix, son intuition puis les signes de l'univers. Parce qu'ils sont là pour nous aider, pas pour nous faire chier. En plus, je respire encore et je suis la preuve vivante qui n'est jamais trop tard pour changer de vie. La preuve, Corneille, le chanteur Corneille, dans un épisode de l'émission populaire La Voix, il a déjà dit à une concurrente, Il n'y a pas d'âge pour être là où tu as le goût d'être. Effectivement, il y avait... Il avait très raison. Et quand je parle de signes de l'univers, ça peut se traduire en plusieurs choses. Moi, ça a été le nom de mon père, donc ça peut être des paroles. Et la citation de mon père aussi, qui m'a dit que quand je serais grande, je jouerais dans le papier et j'écrirais mon nom partout. Moi, je l'ai mal interprété parce que si j'avais interprété ça comme du monde, puis si mon orienteur au secondaire m'avait parlé de journalisme, ou de littérature, j'aurais peut-être choisi cette voie-là au lieu du notariat. Ensuite, il y a des rencontres aussi qui sont des signes de l'univers. Moi, Joanne, qui est venue au cégep un mardi matin, nécessairement, ça a été une rencontre salutaire pour moi, mon coach de vie aussi. Et ça peut être aussi un accident. Tu sais, des fois, on se plaint, parce que là, tout arrive dans la vie. Des fois, il y en a qui disent, Ah, j'ai un karma de marde. Mais c'est peut-être parce que l'univers t'envoie des signes, mais tu ne les prends pas. Un accident peut être un signe qu'il faut que tu changes de vie, puis l'accident est là pour te faire réaliser ça, mais toi, tu ne le réalises pas. Ça fait que tu continues ta vie. Ça peut être une chirurgie. Regarde, moi, ça a été l'hystérectomie totale. Ça peut être aussi un événement, une rupture, un décès. Malheureux, oui, mais un décès, ça peut carrément te donner le cue en bon québécois qu'il faut. Tu changes quelque chose dans ta vie. Ça peut être aussi une maladie. Bref, moi, je dis tout le temps, tout arrive pour quelque chose. Il faut juste savoir lire les signes. Ce n'est pas toujours négatif. Puis des fois, comme moi, ça m'est arrivé, je les ai mal lus, les signes. Comme à l'habitude, je vais te citer des trucs et ça va, en fait, étayer le propos que j'essaie de te communiquer aujourd'hui. Une belle citation. Si ça doit arriver, ça arrivera. Tu n'as pas à devoir forcer, convaincre ou t'inquiéter. Laisse couler, laisse être et laisse venir à toi. Tu attires tout ce dont tu as besoin. Fais confiance au timing de ta vie. Ben voilà. Tu sais, des fois, quand tu rushes trop, quand c'est trop difficile, c'est peut-être parce que tu ne fais pas la bonne affaire. Des fois, il faut que tu... Tu sais, ta petite voix, je suis sûre qu'elle dit, arrête, arrête, tu vas pas, t'en vas pas dans... dans la bonne direction. Puis si tu dis, laisse-moi tranquille, puis tu continues pareil, puis tu rushes, puis tu rushes, c'est ça. Tu vas peut-être être dans une voie de contournement. Mais l'idée aussi, puis ça, il faut que je le dise, l'univers, tu sais, si tu te trompes, l'univers, il s'organise tout le temps pour te remettre dans la bonne track. Mais encore, il faut que tu comprennes le message. Pas toujours facile. Une autre citation. Continue à le désirer plus fort, car l'univers n'a pas cessé de t'écouter. Bien voilà, moi, même si moi, je n'écoutais pas les signes, ou je ne les voyais pas, ou je les interprétais mal, bien l'univers, comme je l'ai dit, l'univers, il te renvoie toujours dans le droit chemin donc sur la voie de ta destinée. Puis ça va être ça tout le temps. Tu sais, des fois, tu peux te dire, Voyons, comment ça se fait que je vis ça encore ? parce que tu vis des affaires à répétition. Tu te dis, voyons, ta barouette, comment ça se fait ? Je me suis encore mis là-dedans. Mais c'est peut-être parce qu'il faut que tu comprennes que tu n'es pas à la bonne place. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. L'univers te ramène, puis woup, tu t'en retournes. Mais c'est ça. Des fois, il faut que tu apprennes. Une autre citation. Il faut faire confiance à l'univers. Il finit toujours par poser des choses là où elles doivent être. Bien, voilà. Tu sais, si tu ne comprends pas du premier coup, l'univers va te renvoyer. Elle va te renvoyer. Elle va te... te renvoyer encore des signes, des paroles, des gestes, des rencontres, des événements qui vont finir par te faire comprendre que tu n'es peut-être pas à la bonne place, tu n'es peut-être pas avec les bonnes personnes, tu n'es peut-être pas dans la bonne vie. Une autre citation, ce qui s'est passé, s'est passé, qui j'étais, je l'étais, j'ai eu besoin de ce passé, j'ai eu besoin de mes erreurs pour être qui je suis maintenant. Maintenant, moi, je l'ai mis cette citation-là parce qu'effectivement, malgré les mauvais chemins que tu peux prendre dans la vie parce que tu n'as pas entendu ta petite voix, tu n'as pas lu, tu n'as pas su lire les signes de l'univers, tu n'as pas vu passer ou tu t'es carrément foutu de tout ça en faisant ta tête, tu n'as pas à t'en vouloir. C'est arrivé, c'est arrivé. Puis comme moi, mon notariat, je le regrette. pas du tout parce qu'au cours de mes 31 années de pratique du notariat, j'ai rencontré des personnes formidables. Ça m'a permis d'aider des gens. Ça m'a permis, malgré tout, de m'épanouir d'une certaine façon. J'ai pu écrire une trilogie d'anecdotes notariales. Donc, tout ça m'a forgée. Ça ne sert à rien de nier ça. C'est là, c'est tout. Le passé, on ne peut pas revenir, c'est passé. Donc, il vaut mieux vivre avec. Une autre citation. Je suis lentement en train de me transformer en la personne que j'aurais déjà dû être il y a des années de cela. Il y a comme un peu de nostalgie dans cette citation-là. Moi, la nostalgie, je ne comprends pas ça parce que ça ne sert à rien de regarder en arrière. Sauf pour te comparer. Tu sais, si tu regardes en arrière pour regarder le chemin parcouru, pour dire Wow, j'ai fait… telle, telle, telle affaire, je suis rendue ici maintenant et pour mieux te voir regarder en avant, ça, c'est correct. Et on se transforme effectivement lentement. Il y en a qui se transforment plus vite que d'autres. Peu importe si tu as pris des mauvais embranchements dans la vie parce que tu n'as pas su lire les signes de l'univers, ça te prend plus de temps que les autres. Ce n'est pas grave. L'important, c'est que tu avances. Une autre citation. Le hasard n'existe pas. On s'est connu pour une des deux raisons essentielles. Soit t'es une leçon ou soit t'es une bénédiction. Ben voilà, il n'y a rien qui arrive pour rien dans la vie. Puis des fois, il y a des gens qui passent dans ta vie, ne serait-ce qu'une journée. Puis cette personne-là t'a laissé quelque chose. Ou toi, t'es passé dans la vie de quelqu'un pour une journée. Tu lui as apporté quelque chose. Ça devait arriver comme ça. Nous sommes des signes de l'univers pour des gens. Il y a des gens qui sont des signes de l'univers pour nous, mais il faut juste être capable de comprendre que c'est soit une leçon ou une bénédiction. Une autre citation. Quand on veut une chose, tout l'univers conspire à nous permettre de réaliser notre rêve. Ça, c'est Paul Coelho qui a dit ça. Moi, je dis souvent, l'univers conspire avec nous et non contre nous. Parce que l'univers est là pour qu'on se réalise, pour qu'on évolue positivement. et chaque chose qui nous arrive nous permet d'évoluer. Des fois, oui, c'est des mauvaises choses, mais ça nous fait avancer, ça nous fait rebondir. Tout ça dans le but, oui, de se réaliser et de réaliser nos rêves. Une autre citation. Ce qui t'est destiné trouvera le moyen de te rejoindre. Ah bien, absolument. Moi, c'est sûr, dans ma vie, effectivement, j'ai eu une voie de contournement de 31 ans. de notariat de 40 ans, si on retourne à mon adolescence, mais je suis artiste aujourd'hui. Ça nous rejoint, oui, tard, on va se le dire, mais il n'est jamais trop tard. Donc, ça finit toujours, notre destin finit toujours par nous revenir d'en face, j'oserais dire. Une autre citation. Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous. Oui, dans la vie, il n'y a rien qui arrive pour rien, je l'ai déjà dit. Des rendez-vous, ça peut être un rendez-vous avec quelqu'un. avec un événement, avec une maladie, avec un accident, avec, n'est-ce pas, chaque chose arrive pour quelque chose. Et ce n'est pas par hasard, non, c'est l'univers qui nous envoie ça pour qu'on puisse évoluer, puis pour qu'on puisse se faire ramener dans le droit chemin des fois parce qu'on est perdu ailleurs, puis que ce n'est pas là qu'il faut aller, mais c'est vraiment pour nous ramener. là où on doit être avec les gens avec qui on doit être, à faire ce qu'on est né pour être aussi. Une autre citation. L'univers n'est pas en train de vous punir ou de vous bénir. L'univers est seulement en train de répondre à la fréquence vibratoire que vous émettez. Ça, c'est important. Parce qu'effectivement, moi, dans ma vie, au moment où j'étais, l'univers m'a envoyé ce que j'avais besoin. Quand Johan est arrivé, au cégep pour me parler de testament. C'était une bénédiction parce que je ne savais pas qu'on fait dans la vie. Mon Dieu, j'étais en sciences humaines sans maths parce que je n'étais pas nulle en maths. Je me disais, qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Qu'est-ce que je veux faire dans la vie ? Paf ! Elle est arrivée, elle. Ça a été une bénédiction, même si ce n'était pas ça que je devais être dans la vie. Au moment où j'étais dans le néant, l'univers a fait de Colin, on va lui envoyer ça. Sinon, on ne sait pas ce qui va arriver avec elle. On comprend. Donc, c'est nous autres qui émets une fréquence, puis l'univers fait avec dans le moment où on en a besoin. Face à la force supérieure au-dessus de toi et à ta petite voix qui te hurle parfois, tu as deux options. La première option, c'est que tu n'entends pas ton intuition, donc tu ne l'écoutes tellement pas. Tu te fous complètement de ce que les autres peuvent t'apporter comme conseil. Tu pratiques l'incrédulité professionnellement. Autrement dit, tu crois en rien et pas en tout. Tu fais ta petite affaire, tu deals avec ce qui te tombe dessus, point final, puis tu dis que tu ne demandes rien, donc tu ne dois rien. La deuxième option, c'est que tu écoutes religieusement ta petite voix, sinon tu es dans la marde. Tu crois en l'univers ou en cette force supérieure au-dessus de toi. Tu es à l'affût de tous les signes que la vie t'envoie. Tu crois que rien n'arrive pour rien et que chaque parole, chaque geste, chaque événement... qui arrivent sont des indications te guidant tout au long de ton parcours. Tu t'efforces de les interpréter de la bonne façon et si tu te trompes, t'effaces, puis tu recommences. En résumé, je t'ai parlé de croyances, de destin, de transformation. Je t'ai raconté mon parcours où je n'ai pas toujours écouté les signes par peur de décevoir. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Et je t'ai présenté des options possibles sur ta façon de gérer ton destin. À toi de décider comment tu agiras face aux prochains signes que l'univers t'enverra. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans ta destinée. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funéraire, pour l'animation d'un événement spécial ou pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie. un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes livres et mes cartes sourires virtuelles, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de Mars et Vénus.

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