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Ép. 39 - QUESTION DE JUGEOTE ! cover
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ILLUMINE TA VIE!

Ép. 39 - QUESTION DE JUGEOTE !

Ép. 39 - QUESTION DE JUGEOTE !

26min |28/05/2024|

25

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Description

Dans cet épisode je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher-prise et d’ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t’en dédouaner !


Pour savoir ce que je peux faire pour toi: https://www.mariejoseestlaurent.com/


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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesures-tu ta capacité à ne pas juger les gens ? Avoir du jugement, c'est une chose, mais juger les gens, en est une autre. Avoir de la jugeote, c'est bien vu, mais quand on s'en sert à mauvais escient, c'est un petit peu moins beau. C'est bien connu, hein ? L'humain, il cherche la facilité. Et c'est facile de juger. Ça se fait de seul. On juge tout le monde et tout le temps, sans même s'en apercevoir. Pour le commun des mortels, juger les autres et leur situation, ça fait partie intégrante de l'existence. Je mets au défi n'importe qui de me dire qu'il n'a aucun préjugé. Impossible ! On en a tous, même sans s'en rendre compte. Quand c'est toi qui juges, il n'y a rien là. Mais quand les autres te jugent, ah ben là, ça ne marche plus. Einstein a déjà dit, il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé. C'est pas rien ça. Autrement dit, une fois ancré dans ton esprit, c'est difficile à changer. Bonne nouvelle, il y a toujours moyen de moyenner avec les préjugés. Dans cet épisode, je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher prise et d'ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t'en dédouaner. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Quand j'étais notaire, jadis naguère autrefois, écoute, j'ai un an de pratique, un petit couple dans la soixantaine, M. et Mme Vermette, et je te dis de tout de go que cette histoire-là, c'est ma première histoire de mon premier tome intitulé Les mémoires de la maîtresse un recueil d'anecdotes réellement vécues dans mon bureau, bien évidemment, j'ai masqué les vrais. informations. Donc, un petit couple aveu sécheuse dans la soixantaine. Lui ressemble je te dirais à Bill Clinton, puis elle à soeur Angèle, ça te donne une idée. Et ils viennent faire leur testament. Bon, ils ont des enfants, tout ça. Testament type, là. Ils se lèguent l'un l'autre leur bien, puis s'ils sont plus là, ça s'en va aux enfants. Bref, le plus vieux, il est nommé liquidateur si les deux parents sont plus là, puis jusqu'au plus jeune. dans l'ordre, un testament bien, bien standard. Et là, quand on a eu fini de signer, je leur présente ma facture parce que moi, j'ai des comptes à recevoir, j'étais allergique à ça. Fait que, tu sais, c'est comme à l'épicerie. Tu as eu ta livre de beurre, paye à cette heure. Moi, c'était comme ça. Fait que je présente la facture à M. Vermette. Et il me dit qu'il a oublié son portefeuille. Fait qu'il dit, je peux-tu repasser demain ? Bien, j'ai dit, pas de problème. Puis en même temps, je vous donnerai vos copies. Et le lendemain, M. Vermette il revient. Et là, il n'est pas comme d'habitude. Il est un peu, comment dire, un peu mal à l'aise. Je vois bien qu'il y a quelque chose. Puis, il dit, le notaire, il dit, Je peux-tu repasser dans votre bureau ? Moi, je dis oui parce qu'il ne m'a pas fait mon chèque. Fait que je le fais rentrer. Puis là, il s'assoit à ma chaise, à ma table de consultation. Puis là, il s'accorde bien, bien, bien profond dans la chaise. Je me dis, Boy, ça va être plus long que me faire un chèque, cette histoire-là. Puis là, il hésite. puis il tourne autour du pot, puis à un moment donné il dit, notaire, il dit je veux refaire mon testament. Moi là, j'ai un an de pratique, je me dis, oh mon dieu, c'est moi qui ai fait quelque chose de pas correct, qu'est-ce que j'ai fait, c'est-tu moi ? Ah, il dit, non, non, non, il dit, inquiète-toi pas. Il dit, non, non, c'est moi qui ai changé d'idée. Je dis, ah oui, qu'est-ce que vous voulez changer ? Ben, il dit, je change ma femme pour ma maîtresse. Vous avez bien compris ? C'est ça. Il déshéritait sa femme pour mettre sa maîtresse à qui il voulait le guider, tout c'est bien. Et là, moi, en toute naïve, écoute, ça fait pas longtemps que je pratique, puis là, je me dis, mon Dieu Seigneur, qu'est-ce que je fais avec ça ? Ça roule vite dans ma tête. Tu sais, la notaire, elle, elle disait, le raisonnement de la notaire, c'est de dire, bien, il n'y a rien d'illégal. Mais moi, comme jeune femme de 25 ans, je me disais, my God, c'est donc bien immoral. Mais, hein, j'étais une professionnelle, puis je ne pouvais pas juger de sa décision parce que ce n'était pas mon travail. J'ai tout simplement demandé, c'est quoi son nom ? Et j'ai refait son testament en espérant fort, fort que Madame meure avant lui parce que sinon, elle voudrait le ressusciter pour le tuer elle-même. Et j'espérais fort fort aussi de ne pas avoir à régler cette succession-là, parce qu'écoute, je m'imaginais la maîtresse et Mme Vermette dans mon bureau en train de s'obstiner, parce que Mme Vermette, elle perdait tout, là. Imaginez, elle perd toute la patente, la maison, les assurances, le compte en banque, puis M. Vermette, c'est un homme d'affaires, fait que tu sais, il faisait des sous quand même. Fait que bref, c'est ça. Et bien évidemment, il ne m'a pas demandé de copie. Il a dit, non, non, tu n'as pas besoin de m'envoyer de copie chez A.U. si j'en ai besoin. Tu sais, j'aurais pu y faire un speech de M. Vermette, ça n'a pas de bon sens, puis blablabla, tu sais, ou j'aurais pu carrément refuser de faire ces modifications, mais il serait allé ailleurs. Il serait arrivé à ses fins de toute façon, là. Tu sais, c'était dur pour moi de ne pas le juger. La professionnelle en moi ne jugeait pas. J'ai tout simplement appliqué ce que j'avais à faire. Mais la personne, c'est sûr que, oh my God, écoute, j'y pense encore aujourd'hui, puis ça fait 35 ans de ça, ça fait 30 ans de ça. Mais bon, c'était pas de mes affaires, fait que je m'en suis pas mêlée. Puis ça, tu sais, ça n'avait aucune incidence sur ma profession ni ma personne. Fait que j'ai lâché prise, puis je l'ai fait, tu sais. Tu as deviné qu'aujourd'hui, je parle de préjugés et la définition du dictionnaire du préjugé, c'est un jugement sur quelqu'un, quelque chose qui est formé à l'avance, ben oui, c'est un préjugé, selon certains critères personnels et qui oriente en bien ou en mal, je vous dirais que la plupart du temps, c'est en mal, les dispositions d'esprit à l'égard de cette personne, de cette chose, autrement dit, avoir un préjugé contre quelqu'un. Je te dirais que des phrases, on a des exemples, des phrases qui commencent par regarde-la donc elle ou juste tu regardes quelqu'un et tu fais ish ou ça n'a pas bien été tout ça, c'est du jugement, c'est du préjugé pur et dur. C'est rarement gentil. Puis je dirais aussi que la ligne est mince entre le jugement. le préjugé, le stéréotype, les croyances et la discrimination. Tu peux tout mettre ça dans le même pot, puis tu brases, puis ça ressort tout. Et tout ça, ça confronte l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy, je trouve que ça lui fait bien. C'est comme un petit diable. Le petit diable, c'est souvent notre ego. Mon Jean-Guy... Et ça, ça vient des blessures intérieures, puis ça, j'ai déjà fait des épisodes là-dessus, mais quand ça réveille nos blessures intérieures, bien, Jean-Guy se réveille, puis c'est là que Jean-Guy, il porte des jugements qui n'ont pas d'allure, puis ça lui fait du bien, puis c'est ça. Et des exemples de tout ça, de jugements, de préjugés, de stéréotypes, de croyances, de discrimination, on a déjà entendu quelqu'un qui dit une femme enceinte, c'est un paquet de troubles à engager parce que oui, il y a un congé de maternité qui vient à un moment donné. Un handicapé, ça ne peut pas être éduqué. Bien oui, ça peut. Les filles qui portent des jupes, c'est automatiquement des filles faciles. Puis que les garçons ont plus besoin de sexe que les filles, c'est tous des préjugés, ça. Un garçon, ça ne pleure pas. C'est aussi une croyance. Les filles, c'est nul en mathématiques. Là, je confirme, je suis nul en mathématiques. Je suis meilleure avec les mots. Mais il y en a des filles, ma soeur, elle est extraordinaire dans les chiffres. Ma comptable, c'est une fille. Il y en a, là. Vous allez me dire que c'est des exceptions. Peut-être. Ou le préjugé sur les Autochtones qui sont toujours en retard. On a même appelé ça l'Indian time. Puis, eux autres-mêmes, ils en rient, là, il faut dire. Mais c'est un préjugé. Ils ne sont pas tout en retard. On a déjà entendu des gens dire que les femmes, elles ne peuvent pas avoir des postes de gestion. Elles sont bien trop fines. Ou les schizophrènes, c'est des personnes violentes. Pas nécessairement. Les personnes dépressives, c'est juste du monde paresseux et qui ne se donnent pas la peine de faire des efforts. On y en a qui disent ça. Les personnes anxieuses, c'est des personnes qui manquent de caractère et qui sont faibles. Ça aussi, on peut entendre ça. Ou des personnes bipolaires, on peut facilement avoir le préjugé de dire qu'elles sont difficiles à gérer. Puis, ils font tout pour attirer l'attention finalement. La discrimination aussi, comme je l'ai dit au début, les mères de famille sont souvent absentes du travail, oui, parce qu'il y a la maternelle, puis il y en a un qui s'est planté dans l'escalier, puis whatever. Donc, la discrimination vient en disant, on est mieux d'engager des hommes à un poste de responsabilité. C'est ça. Ou l'autre affaire qui est épouvantable, c'est l'immigrant, c'est des terroristes, tous ceux qui ne viennent pas, tous ceux qui ne sont pas de souche, c'est automatiquement des... des terroristes aussi, avec tout ce qui s'est déjà passé dans le passé. Il y en a, là, puis il y en a encore aujourd'hui qui pensent comme ça. C'est tous des jugements, des préjugés, des croyances. Alors, comment se débarrasser de ça, de ces préjugés, de ces fausses croyances-là ? Bien, premièrement, en regardant les faits, uniquement les faits. Il ne faut pas, moi. Tu vois une madame un peu maladie qui pousse son carrosse d'épicerie et qui a juste des cochonneries, des cigarettes, de la liqueur et des chips. Puis là, toi, tu peux avoir le... Tu peux avoir le préjugé de dire Mon Dieu Seigneur, il me semble qu'elle devrait acheter des affaires plus saines pour se faire du bien et tout ça. Mais les faits, tu regardes les faits, ben écoute, elle achète ces affaires-là. Puis l'autre manière d'enlever les préjugés, c'est en regardant l'autre comme un être humain. Vraiment juste de façon objective. Puis essaie de te mettre dans ses bottines aussi. Tu sais, cette madame-là, c'est peut-être son seul plaisir dans la vie. Elle est peut-être toute seule dans son petit deux et demi, puis elle n'a rien. C'est peut-être ça, son seul plaisir dans la vie. Enlevis-y pas, bâtard. On comprend-tu ? Je sais que c'est dur. Je sais. Écoute, je me mets dans le tas. Ce n'est pas simple. C'est tellement facile d'avoir des préjugés. Ça vient tout seul. C'est tellement facile que moi, je l'avoue, je pratique l'oponopono. C'est une technique hawaïenne. Ceux qui ont déjà En tout cas, je vous encourage fortement d'aller googler ça, puis de lire des livres là-dessus, c'est extraordinaire, c'est pas compliqué. À chaque fois que tu dis une connerie comme un préjugé, tu dis, désolé, pardon, merci, je t'aime, ok ? En arrière de ça, c'est toute une manière de penser, puis c'est tout inconscient, ok ? Et le désolé, c'est que t'es désolé d'avoir jugé, donc t'es désolé par rapport à toi. T'es désolé de ça. Pardon. Bon, désolé, pardon. Le pardon, c'est que tu te demandes pardon à toi, puis tu pardonnes à ton égo aussi, parce que c'est toujours Jean-Guy, là. C'est toujours Jean-Guy qui a le poffin là-dedans. Merci. Bien, en disant merci, c'est que tu remercies de t'apprendre une leçon. Parce qu'en conscientisant que tu viens de porter un jugement sur quelqu'un ou sur une situation, bien, on dit merci à l'apprentissage. que tu viens, oui, de le conscientiser, de dire, ah mon Dieu, c'est vrai, bien oui, regarde, je viens de juger. Et le je t'aime bien c'est que tu t'aimes et t'aimes ton égo malgré tout, parce que l'égo, on en a besoin. Mais il faut qu'il soit assis sur le siège du halepard. J'en ai fait des chroniques à ce sujet-là. Si l'égo est assis sur tes genoux, bien c'est là que c'est lui qui met de la barque et c'est là que tu peux porter une foule de jugements qui n'ont pas d'allure. Alors là, tu sais, on en a besoin pour être fier de nous. l'ego, mais quand il te fait juger à outrance, bien là, il faut que tu le remettes un petit peu à sa place, mais tu en as besoin. C'est pour ça que tu lui dis merci. À chaque fois que tu portes un jugement, mettons qu'un exemple, moi, je ne trouve pas ça beau, une voiture orange brûlée, de couleur orange brûlée, et c'est vrai, et je m'en excuse pour tous ceux qui trouvent ça beau, moi, je trouve ça laid, mais quand j'en vois une, je dis, hé, maudite, c'est laid. Alors, je dis, désolé, pardon, merci, je t'aime. Mon chum, lui, il traduit ça en steak blé d'ail de patate. Ça, c'est son histoire à lui. Mais moi, je dis, désolé, merci, pardon, je t'aime. Mais je vous l'avoue, là, je peux le dire 25 fois dans une journée, là. Mais ça me conscientise à chaque fois. Puis là, bien, au fur et à mesure de la vie, bien, je juge moins. Puis ça m'aide à évoluer. Je vous en souhaite tout autant. Comme à l'habitude, je vous sors des citations sur le sujet. Une belle citation. L'œil plein de préjugés est aveugle. Oui, moi je suis d'accord avec cette citation-là, parce qu'effectivement, le préjugé, c'est comme un genre d'illusion. Tu te fais un préjugé, mais quand tu vas vers la personne que tu as jugée, puis que tu te mets dans ses bottines, ah, là c'est pas pareil, là tu as la vérité de cette personne-là, puis là ton jugement va changer nécessairement. Bien, peut-être pas non plus, mais normalement, souvent en tout cas. ton jugement va changer par rapport à cette personne-là parce que tu la regardes d'un tout autre œil, le vrai œil. Une autre citation, il n'est jamais trop tard pour renoncer à nos préjugés, effectivement. Il y a toujours moyen d'arrêter, mais je vous le dis, c'est difficile, l'humain étant ce qu'il est, c'est difficile de juger, mais à tout le moins contrôler, entre guillemets, notre jangui, notre égo, parce que c'est lui qui met le trouble. Donc, en contrôlant, Jean-Guy, puis en conscientisant que c'est ton égo, puis souvent, c'est parce qu'on est blessé soi-même, alors c'est pour ça qu'on jette notre dévolu sur d'autres, puis qu'on porte des jugements, ou on a des préjugés négatifs à l'égard d'autres personnes ou de situations quelconques, mais il y a toujours moyen de corriger ça, mais le point de départ, c'est de conscientiser, effectivement, qu'on a beaucoup de préjugés. Une autre citation. Si on s'était arrêté à l'apparence des huîtres, on n'aurait jamais découvert les perles. Hé, ça, je trouve ça beau. C'est Boucardiouf, hein, le humoriste Boucardiouf, qui dit ça. Ben, effectivement, tu sais, le préjugé qu'on a quand on regarde une huître, hein, c'est comme si ça venait d'une roche. Tu fais... Pis ça pue à part de ça. Mais, tu sais, hein, tu ouvres l'huître, pis tu retrouves une perle dedans. Wow, là, c'est pas la même affaire. Pis quand tu te fais cuisiner des... des huîtres Rockefeller, parce que, je vais te l'avouer, moi, c'est la seule façon de manger des huîtres en Rockefeller gratiné, parce que sinon, oublie ça, moi, la patente crûte, je suis pas crûte, pas crue crûte, je suis pas capable de manger ça, mais bref, c'est ça, c'est un moyen de comprendre que il faut aller voir au-delà des apparences, puis on a des surprises. Une autre citation, tes jugements ne définissent pas le genre de personne que je suis, ils définissent le genre de personne que tu es. Eh, voilà, je l'aime celle-là, parce que ça te remet en face un peu tes jugements. Parce que le fait de juger, d'avoir des préjugés, ça te définit toi dans le sens que c'est peut-être toi qui as un problème, un problème d'ego, un problème de blessure intérieure. C'est pour ça que tu portes des jugements vers les autres, parce que ça te fait du bien de planter les autres en bon québécois. Ça te remonte dans ton estime. Mais je ne dis pas que c'est une bonne affaire, pas ça. Mais le conscientiser, c'est le point de départ pour tenter d'arrêter tout ça. Une autre citation. Il y a une histoire derrière chaque personne et toujours une raison à pourquoi il est comme ça. Pensez-y avant de juger quelqu'un. Effectivement, on juge très facilement. On regarde quelqu'un et on fait hip, lay Oui, mais le hip de peler, elle n'a peut-être pas le choix, cette personne-là. Elle a toute une histoire en regard à soit son physique ou son attitude, ou peu importe. On nie qui pour juger ? On nie qui pour juger les autres personnes ? On ne nie pas mieux que les autres. Souvent, c'est ça. C'est des blessures intérieures. C'est notre jangui, notre égo qui fait que ça lui fait du bien de juger les autres parce que le temps qu'il juge les autres, ça ne regarde pas dans le miroir. Voilà. On va appeler un chat un chat. Une autre citation. Nous devrions nous examiner longuement et attentivement avant de porter un jugement sur les autres. C'est Molière qui a dit ça. Mais voilà. Donc, c'est ça. Regarde-toi dans le miroir avant de juger les autres parce que tu n'es pas mieux que les autres. Puis oui, il y en a aussi qui portent des jugements sur toi. Ça aussi, il faut lâcher prise là-dessus. Parce que là, je parle depuis tantôt qu'on juge beaucoup. Mais oui, on se fait juger aussi. Il y a des gens qui ont des préjugés par rapport à nous. Moi, j'en suis un sur deux pattes, un préjugé. Parce que, imaginez, j'étais notaire, mon envie, puis je suis devenue tout d'un coup une artiste. Écoute, il y a du monde qui m'ont jugée, il y a du monde qui ont des préjugés, puis qui disent, bien voyons donc que c'est ça. Mais c'est ça, mais ça, il ne faut pas s'arrêter à ça. Il faut les laisser faire, puis de continuer notre chemin, puis d'ignorer les gens qui ont des préjugés envers nous, parce que ça ne sert à rien de s'en faire avec ça. On n'a pas de contrôle là-dessus. Une autre belle citation. Ne jugez jamais sans connaître les deux côtés d'une médaille. N'oubliez jamais que chaque personne que vous croiserez sur votre chemin mène un combat dont vous ignorez l'existence. Bien voilà, on a tous nos combats dans la vie. Puis, tu sais, ça ne paraît pas tout le temps dans la face du monde au complet, ce qu'ils vivent, mais on en a une partie dans leur apparence ou dans leurs attitudes ou dans leur parler aussi. Mais on est qui pour juger ça ? Puis, tant qu'on n'est pas dans les bottines de cette personne-là, on n'a pas le droit de juger. On peut aider, par exemple. Tu sais, dans le fond, je ne suis pas meilleure qu'un autre, je vous le dis, mais on devrait… Mon Dieu, je suis capote à ma taille. Si tout le monde remplaçait l'énergie à avoir des préjugés, si on remplaçait cette énergie-là à aider les autres à la place. Tu vas voir une personne envers qui tu avais un préjugé il y a deux minutes, tu vas la voir et tu dis bonjour madame, bonjour monsieur, ça va bien ? Tu commences à jaser avec et tu te rends compte qu'ils ont une vie, ce n'est pas simple. Peut-être que tu peux faire une différence. Juste à tout le moins leur sourire et leur dire un beau bonjour, ça fait toute la différence. Je t'encourage à le faire. Une autre citation. L'ego s'obstine, s'entête et s'acharne. L'âme œuvre tranquillement, accueille, fait confiance et lâche prise. Ça, j'aime ça parce que c'est comme si, tu sais, dans les comiques, on voit ça des fois, on a un petit ange puis un petit diable. Le petit diable, moi, je prétends que c'est l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy. Puis le petit ange, moi, c'est la conscience, c'est l'intuition. Moi, je l'ai appelé Georgette, je trouve que ça lui fait bien. Fait que Georgette, elle, elle me dit de… Elle me dit d'accueillir, puis de faire confiance, puis de lâcher prise, tu sais, tout du positif. Puis Jean-Guy, il dit Ah ouais, ah ouais, juge, juge en masse. Puis tu sais, là, il n'a pas faim. Mais c'est ça. Mais là, tu réconcilies tout ce monde-là et la méthode Ho'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime, moi, je trouve que c'est une belle façon de le faire. Une autre citation. Il est aisé de s'accrocher à ses stéréotypes et ses idées préconçues. On se sent ainsi rassuré dans sa propre... ignorance. Et c'est Michelle Obama qui a dit ça. Effectivement, tu sais, quand tu ne connais pas, c'est facile de juger, mais c'est ça. Une fois que tu connais la situation ou la personne, bien, tu n'as plus la même vision de la patente. L'image vient de changer du tout, parce que là, tu viens d'avoir l'image au complet du personnage, puis tu ne peux pas avoir le même prix jugé. Ça peut être pire, comme ça peut être beaucoup mieux. Puis au-delà du jugement, bien, Caroline, si on peut faire une différence en aidant, tant mieux. Une autre citation, croyance, chose que l'on tient pour vrai malgré l'évidence du contraire. Ça, c'est bon. Parce qu'effectivement, puis surtout quand on est jeune, nos parents, écoute, ils ont la vérité infuse dans notre tête quand on est petit. On a des croyances, il faut travailler dur pour gagner de l'argent. C'est une croyance qui est très répandue. Mais non, pas nécessairement. Les artistes ne travaillent pas dur, ils ne travaillent pas. J'en suis la prévivante. Mais on gagne de l'argent pareil. Mais c'est ça. C'est des fausses croyances. Mais dans le fin fond de toi, tu peux penser le contraire. Mais là, vu que c'est ton parent qui te le dit, tu fais comme, ben, Colline doit avoir raison. Mais, dans ta tête, tu te fais comme Hum, pas sûr Bien, c'est ça. Ça, c'est des croyances. Puis, on peut s'en départir de ces croyances-là. J'ai des épisodes là-dessus. Comment on peut se départir de nos croyances qui ne nous appartiennent pas, en fait, parce que ces croyances-là ont été inculquées par tes parents. Ce n'est pas parce qu'elles viennent de tes parents qu'elles sont vraies. Donc, tout comme les valeurs et les vertus. Tout ça... on peut s'approprier nos propres valeurs, nos propres croyances, nos propres vertus à améliorer ou à avoir. Voilà. Une autre citation. L'ego est en compétition contre les autres. Il veut prouver à tous qu'il est le meilleur, le plus fort, le plus courageux, le plus beau, le plus éloquent, etc. Il est loin de se douter que nous ne formons qu'un et que nous ne sommes pas supérieurs ni inférieurs à quiconque. Moi, mon ego, je l'appelais Jean-Guy. Jean-Guy, lui, c'est le king. Écoute, c'est le king, the king. Lui, là, pour tout le monde autour, c'est tous des moins que rien. Jean-Guy, c'est le plus fort, c'est le meilleur. Lui, il est juste, tu penses. Écoute, moi, il faut que je le retienne. Avec ma Georgette, mon intuition, ma conscience. Georgette, elle dit, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy. Mais c'est ça. Avec la méthode Ho'oponopono, on break Jean-Guy. avec le désolé, merci, pardon, le désolé, pardon, merci, je t'aime, on break un peu Jean-Guy pour que l'ego se calme le pompon un peu, parce que l'ego, oui, on en a besoin pour être fier de nous, fier de ce qu'on est, fier de ce qu'on fait, fier de ce qu'on a, mais il ne peut pas contrôler notre vie, sinon on jugerait à outrance tout le monde et n'importe quoi et tout le temps. Face à tes préjugés envers les autres ou ceux des autres à ton endroit, t'as... deux options. La première option, quand tu te fais juger, ça te met en bout de ta basse-flac pour ne pas dire d'autres choses. Tu publies sur les réseaux sociaux pour rétablir les faits. Tu réponds à ceux qui t'insultent. Tu ne sors plus de chez vous de peur de te faire juger encore. Puis quand c'est toi qui juges les autres, tu te fous des conséquences complètement. Tu te dis que tu as le droit à tes opinions, un point c'est tout. Puis ce qu'on ne sait pas, ça ne fait pas mal. C'est ce que tu crois. Puis tant que tu ne le dis pas à la personne concernée, tu n'as pas l'impression de faire du mal. Ou, la deuxième option, quand tu te fais juger par les autres, ton égo est blessé, mais tu bénis et tu pardonnes aux personnes qui t'ont fait du mal parce que tu dis que ce n'est pas de leur faute, ils souffrent probablement plus que moi. Et tout ça n'ébranle en aucun temps ta confiance. Et tu fais l'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime. Donc, tu conscientises que ton jangui est dans le champ, que ton jangui est trop présent et que tu le rasseois. Sous le siège de l'alpeur pour dire, wow, Jean-Guy, tu pousses un peu trop fort et tu analyses la situation pour laquelle ton égo a besoin de juger. Puis, tu travailles le pourquoi du quoi qui fait en sorte que tu juges cette personne-là ou cette situation-là. En résumé, je t'ai raconté mon histoire à Bracadabrant. Je t'ai parlé de lâcher prise et d'égo. Je t'ai donné des exemples de situations où on juge les gens malgré nous. Je t'ai partagé des trucs pour arrêter de juger les autres et comment t'en dédouaner si tu continues à le faire. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Je t'ai présenté les options possibles du comment gérer tes préjugés et ceux des autres à ton endroit. À toi de décider comment tu gères les préjugés des autres et les tiens. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans la gestion de ton égo. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérail, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes cartes sourires virtuelles ou mes livres, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de honte.

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Dans cet épisode je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher-prise et d’ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t’en dédouaner !


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    Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesures-tu ta capacité à ne pas juger les gens ? Avoir du jugement, c'est une chose, mais juger les gens, en est une autre. Avoir de la jugeote, c'est bien vu, mais quand on s'en sert à mauvais escient, c'est un petit peu moins beau. C'est bien connu, hein ? L'humain, il cherche la facilité. Et c'est facile de juger. Ça se fait de seul. On juge tout le monde et tout le temps, sans même s'en apercevoir. Pour le commun des mortels, juger les autres et leur situation, ça fait partie intégrante de l'existence. Je mets au défi n'importe qui de me dire qu'il n'a aucun préjugé. Impossible ! On en a tous, même sans s'en rendre compte. Quand c'est toi qui juges, il n'y a rien là. Mais quand les autres te jugent, ah ben là, ça ne marche plus. Einstein a déjà dit, il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé. C'est pas rien ça. Autrement dit, une fois ancré dans ton esprit, c'est difficile à changer. Bonne nouvelle, il y a toujours moyen de moyenner avec les préjugés. Dans cet épisode, je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher prise et d'ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t'en dédouaner. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Quand j'étais notaire, jadis naguère autrefois, écoute, j'ai un an de pratique, un petit couple dans la soixantaine, M. et Mme Vermette, et je te dis de tout de go que cette histoire-là, c'est ma première histoire de mon premier tome intitulé Les mémoires de la maîtresse un recueil d'anecdotes réellement vécues dans mon bureau, bien évidemment, j'ai masqué les vrais. informations. Donc, un petit couple aveu sécheuse dans la soixantaine. Lui ressemble je te dirais à Bill Clinton, puis elle à soeur Angèle, ça te donne une idée. Et ils viennent faire leur testament. Bon, ils ont des enfants, tout ça. Testament type, là. Ils se lèguent l'un l'autre leur bien, puis s'ils sont plus là, ça s'en va aux enfants. Bref, le plus vieux, il est nommé liquidateur si les deux parents sont plus là, puis jusqu'au plus jeune. dans l'ordre, un testament bien, bien standard. Et là, quand on a eu fini de signer, je leur présente ma facture parce que moi, j'ai des comptes à recevoir, j'étais allergique à ça. Fait que, tu sais, c'est comme à l'épicerie. Tu as eu ta livre de beurre, paye à cette heure. Moi, c'était comme ça. Fait que je présente la facture à M. Vermette. Et il me dit qu'il a oublié son portefeuille. Fait qu'il dit, je peux-tu repasser demain ? Bien, j'ai dit, pas de problème. Puis en même temps, je vous donnerai vos copies. Et le lendemain, M. Vermette il revient. Et là, il n'est pas comme d'habitude. Il est un peu, comment dire, un peu mal à l'aise. Je vois bien qu'il y a quelque chose. Puis, il dit, le notaire, il dit, Je peux-tu repasser dans votre bureau ? Moi, je dis oui parce qu'il ne m'a pas fait mon chèque. Fait que je le fais rentrer. Puis là, il s'assoit à ma chaise, à ma table de consultation. Puis là, il s'accorde bien, bien, bien profond dans la chaise. Je me dis, Boy, ça va être plus long que me faire un chèque, cette histoire-là. Puis là, il hésite. puis il tourne autour du pot, puis à un moment donné il dit, notaire, il dit je veux refaire mon testament. Moi là, j'ai un an de pratique, je me dis, oh mon dieu, c'est moi qui ai fait quelque chose de pas correct, qu'est-ce que j'ai fait, c'est-tu moi ? Ah, il dit, non, non, non, il dit, inquiète-toi pas. Il dit, non, non, c'est moi qui ai changé d'idée. Je dis, ah oui, qu'est-ce que vous voulez changer ? Ben, il dit, je change ma femme pour ma maîtresse. Vous avez bien compris ? C'est ça. Il déshéritait sa femme pour mettre sa maîtresse à qui il voulait le guider, tout c'est bien. Et là, moi, en toute naïve, écoute, ça fait pas longtemps que je pratique, puis là, je me dis, mon Dieu Seigneur, qu'est-ce que je fais avec ça ? Ça roule vite dans ma tête. Tu sais, la notaire, elle, elle disait, le raisonnement de la notaire, c'est de dire, bien, il n'y a rien d'illégal. Mais moi, comme jeune femme de 25 ans, je me disais, my God, c'est donc bien immoral. Mais, hein, j'étais une professionnelle, puis je ne pouvais pas juger de sa décision parce que ce n'était pas mon travail. J'ai tout simplement demandé, c'est quoi son nom ? Et j'ai refait son testament en espérant fort, fort que Madame meure avant lui parce que sinon, elle voudrait le ressusciter pour le tuer elle-même. Et j'espérais fort fort aussi de ne pas avoir à régler cette succession-là, parce qu'écoute, je m'imaginais la maîtresse et Mme Vermette dans mon bureau en train de s'obstiner, parce que Mme Vermette, elle perdait tout, là. Imaginez, elle perd toute la patente, la maison, les assurances, le compte en banque, puis M. Vermette, c'est un homme d'affaires, fait que tu sais, il faisait des sous quand même. Fait que bref, c'est ça. Et bien évidemment, il ne m'a pas demandé de copie. Il a dit, non, non, tu n'as pas besoin de m'envoyer de copie chez A.U. si j'en ai besoin. Tu sais, j'aurais pu y faire un speech de M. Vermette, ça n'a pas de bon sens, puis blablabla, tu sais, ou j'aurais pu carrément refuser de faire ces modifications, mais il serait allé ailleurs. Il serait arrivé à ses fins de toute façon, là. Tu sais, c'était dur pour moi de ne pas le juger. La professionnelle en moi ne jugeait pas. J'ai tout simplement appliqué ce que j'avais à faire. Mais la personne, c'est sûr que, oh my God, écoute, j'y pense encore aujourd'hui, puis ça fait 35 ans de ça, ça fait 30 ans de ça. Mais bon, c'était pas de mes affaires, fait que je m'en suis pas mêlée. Puis ça, tu sais, ça n'avait aucune incidence sur ma profession ni ma personne. Fait que j'ai lâché prise, puis je l'ai fait, tu sais. Tu as deviné qu'aujourd'hui, je parle de préjugés et la définition du dictionnaire du préjugé, c'est un jugement sur quelqu'un, quelque chose qui est formé à l'avance, ben oui, c'est un préjugé, selon certains critères personnels et qui oriente en bien ou en mal, je vous dirais que la plupart du temps, c'est en mal, les dispositions d'esprit à l'égard de cette personne, de cette chose, autrement dit, avoir un préjugé contre quelqu'un. Je te dirais que des phrases, on a des exemples, des phrases qui commencent par regarde-la donc elle ou juste tu regardes quelqu'un et tu fais ish ou ça n'a pas bien été tout ça, c'est du jugement, c'est du préjugé pur et dur. C'est rarement gentil. Puis je dirais aussi que la ligne est mince entre le jugement. le préjugé, le stéréotype, les croyances et la discrimination. Tu peux tout mettre ça dans le même pot, puis tu brases, puis ça ressort tout. Et tout ça, ça confronte l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy, je trouve que ça lui fait bien. C'est comme un petit diable. Le petit diable, c'est souvent notre ego. Mon Jean-Guy... Et ça, ça vient des blessures intérieures, puis ça, j'ai déjà fait des épisodes là-dessus, mais quand ça réveille nos blessures intérieures, bien, Jean-Guy se réveille, puis c'est là que Jean-Guy, il porte des jugements qui n'ont pas d'allure, puis ça lui fait du bien, puis c'est ça. Et des exemples de tout ça, de jugements, de préjugés, de stéréotypes, de croyances, de discrimination, on a déjà entendu quelqu'un qui dit une femme enceinte, c'est un paquet de troubles à engager parce que oui, il y a un congé de maternité qui vient à un moment donné. Un handicapé, ça ne peut pas être éduqué. Bien oui, ça peut. Les filles qui portent des jupes, c'est automatiquement des filles faciles. Puis que les garçons ont plus besoin de sexe que les filles, c'est tous des préjugés, ça. Un garçon, ça ne pleure pas. C'est aussi une croyance. Les filles, c'est nul en mathématiques. Là, je confirme, je suis nul en mathématiques. Je suis meilleure avec les mots. Mais il y en a des filles, ma soeur, elle est extraordinaire dans les chiffres. Ma comptable, c'est une fille. Il y en a, là. Vous allez me dire que c'est des exceptions. Peut-être. Ou le préjugé sur les Autochtones qui sont toujours en retard. On a même appelé ça l'Indian time. Puis, eux autres-mêmes, ils en rient, là, il faut dire. Mais c'est un préjugé. Ils ne sont pas tout en retard. On a déjà entendu des gens dire que les femmes, elles ne peuvent pas avoir des postes de gestion. Elles sont bien trop fines. Ou les schizophrènes, c'est des personnes violentes. Pas nécessairement. Les personnes dépressives, c'est juste du monde paresseux et qui ne se donnent pas la peine de faire des efforts. On y en a qui disent ça. Les personnes anxieuses, c'est des personnes qui manquent de caractère et qui sont faibles. Ça aussi, on peut entendre ça. Ou des personnes bipolaires, on peut facilement avoir le préjugé de dire qu'elles sont difficiles à gérer. Puis, ils font tout pour attirer l'attention finalement. La discrimination aussi, comme je l'ai dit au début, les mères de famille sont souvent absentes du travail, oui, parce qu'il y a la maternelle, puis il y en a un qui s'est planté dans l'escalier, puis whatever. Donc, la discrimination vient en disant, on est mieux d'engager des hommes à un poste de responsabilité. C'est ça. Ou l'autre affaire qui est épouvantable, c'est l'immigrant, c'est des terroristes, tous ceux qui ne viennent pas, tous ceux qui ne sont pas de souche, c'est automatiquement des... des terroristes aussi, avec tout ce qui s'est déjà passé dans le passé. Il y en a, là, puis il y en a encore aujourd'hui qui pensent comme ça. C'est tous des jugements, des préjugés, des croyances. Alors, comment se débarrasser de ça, de ces préjugés, de ces fausses croyances-là ? Bien, premièrement, en regardant les faits, uniquement les faits. Il ne faut pas, moi. Tu vois une madame un peu maladie qui pousse son carrosse d'épicerie et qui a juste des cochonneries, des cigarettes, de la liqueur et des chips. Puis là, toi, tu peux avoir le... Tu peux avoir le préjugé de dire Mon Dieu Seigneur, il me semble qu'elle devrait acheter des affaires plus saines pour se faire du bien et tout ça. Mais les faits, tu regardes les faits, ben écoute, elle achète ces affaires-là. Puis l'autre manière d'enlever les préjugés, c'est en regardant l'autre comme un être humain. Vraiment juste de façon objective. Puis essaie de te mettre dans ses bottines aussi. Tu sais, cette madame-là, c'est peut-être son seul plaisir dans la vie. Elle est peut-être toute seule dans son petit deux et demi, puis elle n'a rien. C'est peut-être ça, son seul plaisir dans la vie. Enlevis-y pas, bâtard. On comprend-tu ? Je sais que c'est dur. Je sais. Écoute, je me mets dans le tas. Ce n'est pas simple. C'est tellement facile d'avoir des préjugés. Ça vient tout seul. C'est tellement facile que moi, je l'avoue, je pratique l'oponopono. C'est une technique hawaïenne. Ceux qui ont déjà En tout cas, je vous encourage fortement d'aller googler ça, puis de lire des livres là-dessus, c'est extraordinaire, c'est pas compliqué. À chaque fois que tu dis une connerie comme un préjugé, tu dis, désolé, pardon, merci, je t'aime, ok ? En arrière de ça, c'est toute une manière de penser, puis c'est tout inconscient, ok ? Et le désolé, c'est que t'es désolé d'avoir jugé, donc t'es désolé par rapport à toi. T'es désolé de ça. Pardon. Bon, désolé, pardon. Le pardon, c'est que tu te demandes pardon à toi, puis tu pardonnes à ton égo aussi, parce que c'est toujours Jean-Guy, là. C'est toujours Jean-Guy qui a le poffin là-dedans. Merci. Bien, en disant merci, c'est que tu remercies de t'apprendre une leçon. Parce qu'en conscientisant que tu viens de porter un jugement sur quelqu'un ou sur une situation, bien, on dit merci à l'apprentissage. que tu viens, oui, de le conscientiser, de dire, ah mon Dieu, c'est vrai, bien oui, regarde, je viens de juger. Et le je t'aime bien c'est que tu t'aimes et t'aimes ton égo malgré tout, parce que l'égo, on en a besoin. Mais il faut qu'il soit assis sur le siège du halepard. J'en ai fait des chroniques à ce sujet-là. Si l'égo est assis sur tes genoux, bien c'est là que c'est lui qui met de la barque et c'est là que tu peux porter une foule de jugements qui n'ont pas d'allure. Alors là, tu sais, on en a besoin pour être fier de nous. l'ego, mais quand il te fait juger à outrance, bien là, il faut que tu le remettes un petit peu à sa place, mais tu en as besoin. C'est pour ça que tu lui dis merci. À chaque fois que tu portes un jugement, mettons qu'un exemple, moi, je ne trouve pas ça beau, une voiture orange brûlée, de couleur orange brûlée, et c'est vrai, et je m'en excuse pour tous ceux qui trouvent ça beau, moi, je trouve ça laid, mais quand j'en vois une, je dis, hé, maudite, c'est laid. Alors, je dis, désolé, pardon, merci, je t'aime. Mon chum, lui, il traduit ça en steak blé d'ail de patate. Ça, c'est son histoire à lui. Mais moi, je dis, désolé, merci, pardon, je t'aime. Mais je vous l'avoue, là, je peux le dire 25 fois dans une journée, là. Mais ça me conscientise à chaque fois. Puis là, bien, au fur et à mesure de la vie, bien, je juge moins. Puis ça m'aide à évoluer. Je vous en souhaite tout autant. Comme à l'habitude, je vous sors des citations sur le sujet. Une belle citation. L'œil plein de préjugés est aveugle. Oui, moi je suis d'accord avec cette citation-là, parce qu'effectivement, le préjugé, c'est comme un genre d'illusion. Tu te fais un préjugé, mais quand tu vas vers la personne que tu as jugée, puis que tu te mets dans ses bottines, ah, là c'est pas pareil, là tu as la vérité de cette personne-là, puis là ton jugement va changer nécessairement. Bien, peut-être pas non plus, mais normalement, souvent en tout cas. ton jugement va changer par rapport à cette personne-là parce que tu la regardes d'un tout autre œil, le vrai œil. Une autre citation, il n'est jamais trop tard pour renoncer à nos préjugés, effectivement. Il y a toujours moyen d'arrêter, mais je vous le dis, c'est difficile, l'humain étant ce qu'il est, c'est difficile de juger, mais à tout le moins contrôler, entre guillemets, notre jangui, notre égo, parce que c'est lui qui met le trouble. Donc, en contrôlant, Jean-Guy, puis en conscientisant que c'est ton égo, puis souvent, c'est parce qu'on est blessé soi-même, alors c'est pour ça qu'on jette notre dévolu sur d'autres, puis qu'on porte des jugements, ou on a des préjugés négatifs à l'égard d'autres personnes ou de situations quelconques, mais il y a toujours moyen de corriger ça, mais le point de départ, c'est de conscientiser, effectivement, qu'on a beaucoup de préjugés. Une autre citation. Si on s'était arrêté à l'apparence des huîtres, on n'aurait jamais découvert les perles. Hé, ça, je trouve ça beau. C'est Boucardiouf, hein, le humoriste Boucardiouf, qui dit ça. Ben, effectivement, tu sais, le préjugé qu'on a quand on regarde une huître, hein, c'est comme si ça venait d'une roche. Tu fais... Pis ça pue à part de ça. Mais, tu sais, hein, tu ouvres l'huître, pis tu retrouves une perle dedans. Wow, là, c'est pas la même affaire. Pis quand tu te fais cuisiner des... des huîtres Rockefeller, parce que, je vais te l'avouer, moi, c'est la seule façon de manger des huîtres en Rockefeller gratiné, parce que sinon, oublie ça, moi, la patente crûte, je suis pas crûte, pas crue crûte, je suis pas capable de manger ça, mais bref, c'est ça, c'est un moyen de comprendre que il faut aller voir au-delà des apparences, puis on a des surprises. Une autre citation, tes jugements ne définissent pas le genre de personne que je suis, ils définissent le genre de personne que tu es. Eh, voilà, je l'aime celle-là, parce que ça te remet en face un peu tes jugements. Parce que le fait de juger, d'avoir des préjugés, ça te définit toi dans le sens que c'est peut-être toi qui as un problème, un problème d'ego, un problème de blessure intérieure. C'est pour ça que tu portes des jugements vers les autres, parce que ça te fait du bien de planter les autres en bon québécois. Ça te remonte dans ton estime. Mais je ne dis pas que c'est une bonne affaire, pas ça. Mais le conscientiser, c'est le point de départ pour tenter d'arrêter tout ça. Une autre citation. Il y a une histoire derrière chaque personne et toujours une raison à pourquoi il est comme ça. Pensez-y avant de juger quelqu'un. Effectivement, on juge très facilement. On regarde quelqu'un et on fait hip, lay Oui, mais le hip de peler, elle n'a peut-être pas le choix, cette personne-là. Elle a toute une histoire en regard à soit son physique ou son attitude, ou peu importe. On nie qui pour juger ? On nie qui pour juger les autres personnes ? On ne nie pas mieux que les autres. Souvent, c'est ça. C'est des blessures intérieures. C'est notre jangui, notre égo qui fait que ça lui fait du bien de juger les autres parce que le temps qu'il juge les autres, ça ne regarde pas dans le miroir. Voilà. On va appeler un chat un chat. Une autre citation. Nous devrions nous examiner longuement et attentivement avant de porter un jugement sur les autres. C'est Molière qui a dit ça. Mais voilà. Donc, c'est ça. Regarde-toi dans le miroir avant de juger les autres parce que tu n'es pas mieux que les autres. Puis oui, il y en a aussi qui portent des jugements sur toi. Ça aussi, il faut lâcher prise là-dessus. Parce que là, je parle depuis tantôt qu'on juge beaucoup. Mais oui, on se fait juger aussi. Il y a des gens qui ont des préjugés par rapport à nous. Moi, j'en suis un sur deux pattes, un préjugé. Parce que, imaginez, j'étais notaire, mon envie, puis je suis devenue tout d'un coup une artiste. Écoute, il y a du monde qui m'ont jugée, il y a du monde qui ont des préjugés, puis qui disent, bien voyons donc que c'est ça. Mais c'est ça, mais ça, il ne faut pas s'arrêter à ça. Il faut les laisser faire, puis de continuer notre chemin, puis d'ignorer les gens qui ont des préjugés envers nous, parce que ça ne sert à rien de s'en faire avec ça. On n'a pas de contrôle là-dessus. Une autre belle citation. Ne jugez jamais sans connaître les deux côtés d'une médaille. N'oubliez jamais que chaque personne que vous croiserez sur votre chemin mène un combat dont vous ignorez l'existence. Bien voilà, on a tous nos combats dans la vie. Puis, tu sais, ça ne paraît pas tout le temps dans la face du monde au complet, ce qu'ils vivent, mais on en a une partie dans leur apparence ou dans leurs attitudes ou dans leur parler aussi. Mais on est qui pour juger ça ? Puis, tant qu'on n'est pas dans les bottines de cette personne-là, on n'a pas le droit de juger. On peut aider, par exemple. Tu sais, dans le fond, je ne suis pas meilleure qu'un autre, je vous le dis, mais on devrait… Mon Dieu, je suis capote à ma taille. Si tout le monde remplaçait l'énergie à avoir des préjugés, si on remplaçait cette énergie-là à aider les autres à la place. Tu vas voir une personne envers qui tu avais un préjugé il y a deux minutes, tu vas la voir et tu dis bonjour madame, bonjour monsieur, ça va bien ? Tu commences à jaser avec et tu te rends compte qu'ils ont une vie, ce n'est pas simple. Peut-être que tu peux faire une différence. Juste à tout le moins leur sourire et leur dire un beau bonjour, ça fait toute la différence. Je t'encourage à le faire. Une autre citation. L'ego s'obstine, s'entête et s'acharne. L'âme œuvre tranquillement, accueille, fait confiance et lâche prise. Ça, j'aime ça parce que c'est comme si, tu sais, dans les comiques, on voit ça des fois, on a un petit ange puis un petit diable. Le petit diable, moi, je prétends que c'est l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy. Puis le petit ange, moi, c'est la conscience, c'est l'intuition. Moi, je l'ai appelé Georgette, je trouve que ça lui fait bien. Fait que Georgette, elle, elle me dit de… Elle me dit d'accueillir, puis de faire confiance, puis de lâcher prise, tu sais, tout du positif. Puis Jean-Guy, il dit Ah ouais, ah ouais, juge, juge en masse. Puis tu sais, là, il n'a pas faim. Mais c'est ça. Mais là, tu réconcilies tout ce monde-là et la méthode Ho'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime, moi, je trouve que c'est une belle façon de le faire. Une autre citation. Il est aisé de s'accrocher à ses stéréotypes et ses idées préconçues. On se sent ainsi rassuré dans sa propre... ignorance. Et c'est Michelle Obama qui a dit ça. Effectivement, tu sais, quand tu ne connais pas, c'est facile de juger, mais c'est ça. Une fois que tu connais la situation ou la personne, bien, tu n'as plus la même vision de la patente. L'image vient de changer du tout, parce que là, tu viens d'avoir l'image au complet du personnage, puis tu ne peux pas avoir le même prix jugé. Ça peut être pire, comme ça peut être beaucoup mieux. Puis au-delà du jugement, bien, Caroline, si on peut faire une différence en aidant, tant mieux. Une autre citation, croyance, chose que l'on tient pour vrai malgré l'évidence du contraire. Ça, c'est bon. Parce qu'effectivement, puis surtout quand on est jeune, nos parents, écoute, ils ont la vérité infuse dans notre tête quand on est petit. On a des croyances, il faut travailler dur pour gagner de l'argent. C'est une croyance qui est très répandue. Mais non, pas nécessairement. Les artistes ne travaillent pas dur, ils ne travaillent pas. J'en suis la prévivante. Mais on gagne de l'argent pareil. Mais c'est ça. C'est des fausses croyances. Mais dans le fin fond de toi, tu peux penser le contraire. Mais là, vu que c'est ton parent qui te le dit, tu fais comme, ben, Colline doit avoir raison. Mais, dans ta tête, tu te fais comme Hum, pas sûr Bien, c'est ça. Ça, c'est des croyances. Puis, on peut s'en départir de ces croyances-là. J'ai des épisodes là-dessus. Comment on peut se départir de nos croyances qui ne nous appartiennent pas, en fait, parce que ces croyances-là ont été inculquées par tes parents. Ce n'est pas parce qu'elles viennent de tes parents qu'elles sont vraies. Donc, tout comme les valeurs et les vertus. Tout ça... on peut s'approprier nos propres valeurs, nos propres croyances, nos propres vertus à améliorer ou à avoir. Voilà. Une autre citation. L'ego est en compétition contre les autres. Il veut prouver à tous qu'il est le meilleur, le plus fort, le plus courageux, le plus beau, le plus éloquent, etc. Il est loin de se douter que nous ne formons qu'un et que nous ne sommes pas supérieurs ni inférieurs à quiconque. Moi, mon ego, je l'appelais Jean-Guy. Jean-Guy, lui, c'est le king. Écoute, c'est le king, the king. Lui, là, pour tout le monde autour, c'est tous des moins que rien. Jean-Guy, c'est le plus fort, c'est le meilleur. Lui, il est juste, tu penses. Écoute, moi, il faut que je le retienne. Avec ma Georgette, mon intuition, ma conscience. Georgette, elle dit, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy. Mais c'est ça. Avec la méthode Ho'oponopono, on break Jean-Guy. avec le désolé, merci, pardon, le désolé, pardon, merci, je t'aime, on break un peu Jean-Guy pour que l'ego se calme le pompon un peu, parce que l'ego, oui, on en a besoin pour être fier de nous, fier de ce qu'on est, fier de ce qu'on fait, fier de ce qu'on a, mais il ne peut pas contrôler notre vie, sinon on jugerait à outrance tout le monde et n'importe quoi et tout le temps. Face à tes préjugés envers les autres ou ceux des autres à ton endroit, t'as... deux options. La première option, quand tu te fais juger, ça te met en bout de ta basse-flac pour ne pas dire d'autres choses. Tu publies sur les réseaux sociaux pour rétablir les faits. Tu réponds à ceux qui t'insultent. Tu ne sors plus de chez vous de peur de te faire juger encore. Puis quand c'est toi qui juges les autres, tu te fous des conséquences complètement. Tu te dis que tu as le droit à tes opinions, un point c'est tout. Puis ce qu'on ne sait pas, ça ne fait pas mal. C'est ce que tu crois. Puis tant que tu ne le dis pas à la personne concernée, tu n'as pas l'impression de faire du mal. Ou, la deuxième option, quand tu te fais juger par les autres, ton égo est blessé, mais tu bénis et tu pardonnes aux personnes qui t'ont fait du mal parce que tu dis que ce n'est pas de leur faute, ils souffrent probablement plus que moi. Et tout ça n'ébranle en aucun temps ta confiance. Et tu fais l'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime. Donc, tu conscientises que ton jangui est dans le champ, que ton jangui est trop présent et que tu le rasseois. Sous le siège de l'alpeur pour dire, wow, Jean-Guy, tu pousses un peu trop fort et tu analyses la situation pour laquelle ton égo a besoin de juger. Puis, tu travailles le pourquoi du quoi qui fait en sorte que tu juges cette personne-là ou cette situation-là. En résumé, je t'ai raconté mon histoire à Bracadabrant. Je t'ai parlé de lâcher prise et d'égo. Je t'ai donné des exemples de situations où on juge les gens malgré nous. Je t'ai partagé des trucs pour arrêter de juger les autres et comment t'en dédouaner si tu continues à le faire. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Je t'ai présenté les options possibles du comment gérer tes préjugés et ceux des autres à ton endroit. À toi de décider comment tu gères les préjugés des autres et les tiens. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans la gestion de ton égo. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérail, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes cartes sourires virtuelles ou mes livres, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de honte.

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Dans cet épisode je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher-prise et d’ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t’en dédouaner !


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  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesures-tu ta capacité à ne pas juger les gens ? Avoir du jugement, c'est une chose, mais juger les gens, en est une autre. Avoir de la jugeote, c'est bien vu, mais quand on s'en sert à mauvais escient, c'est un petit peu moins beau. C'est bien connu, hein ? L'humain, il cherche la facilité. Et c'est facile de juger. Ça se fait de seul. On juge tout le monde et tout le temps, sans même s'en apercevoir. Pour le commun des mortels, juger les autres et leur situation, ça fait partie intégrante de l'existence. Je mets au défi n'importe qui de me dire qu'il n'a aucun préjugé. Impossible ! On en a tous, même sans s'en rendre compte. Quand c'est toi qui juges, il n'y a rien là. Mais quand les autres te jugent, ah ben là, ça ne marche plus. Einstein a déjà dit, il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé. C'est pas rien ça. Autrement dit, une fois ancré dans ton esprit, c'est difficile à changer. Bonne nouvelle, il y a toujours moyen de moyenner avec les préjugés. Dans cet épisode, je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher prise et d'ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t'en dédouaner. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Quand j'étais notaire, jadis naguère autrefois, écoute, j'ai un an de pratique, un petit couple dans la soixantaine, M. et Mme Vermette, et je te dis de tout de go que cette histoire-là, c'est ma première histoire de mon premier tome intitulé Les mémoires de la maîtresse un recueil d'anecdotes réellement vécues dans mon bureau, bien évidemment, j'ai masqué les vrais. informations. Donc, un petit couple aveu sécheuse dans la soixantaine. Lui ressemble je te dirais à Bill Clinton, puis elle à soeur Angèle, ça te donne une idée. Et ils viennent faire leur testament. Bon, ils ont des enfants, tout ça. Testament type, là. Ils se lèguent l'un l'autre leur bien, puis s'ils sont plus là, ça s'en va aux enfants. Bref, le plus vieux, il est nommé liquidateur si les deux parents sont plus là, puis jusqu'au plus jeune. dans l'ordre, un testament bien, bien standard. Et là, quand on a eu fini de signer, je leur présente ma facture parce que moi, j'ai des comptes à recevoir, j'étais allergique à ça. Fait que, tu sais, c'est comme à l'épicerie. Tu as eu ta livre de beurre, paye à cette heure. Moi, c'était comme ça. Fait que je présente la facture à M. Vermette. Et il me dit qu'il a oublié son portefeuille. Fait qu'il dit, je peux-tu repasser demain ? Bien, j'ai dit, pas de problème. Puis en même temps, je vous donnerai vos copies. Et le lendemain, M. Vermette il revient. Et là, il n'est pas comme d'habitude. Il est un peu, comment dire, un peu mal à l'aise. Je vois bien qu'il y a quelque chose. Puis, il dit, le notaire, il dit, Je peux-tu repasser dans votre bureau ? Moi, je dis oui parce qu'il ne m'a pas fait mon chèque. Fait que je le fais rentrer. Puis là, il s'assoit à ma chaise, à ma table de consultation. Puis là, il s'accorde bien, bien, bien profond dans la chaise. Je me dis, Boy, ça va être plus long que me faire un chèque, cette histoire-là. Puis là, il hésite. puis il tourne autour du pot, puis à un moment donné il dit, notaire, il dit je veux refaire mon testament. Moi là, j'ai un an de pratique, je me dis, oh mon dieu, c'est moi qui ai fait quelque chose de pas correct, qu'est-ce que j'ai fait, c'est-tu moi ? Ah, il dit, non, non, non, il dit, inquiète-toi pas. Il dit, non, non, c'est moi qui ai changé d'idée. Je dis, ah oui, qu'est-ce que vous voulez changer ? Ben, il dit, je change ma femme pour ma maîtresse. Vous avez bien compris ? C'est ça. Il déshéritait sa femme pour mettre sa maîtresse à qui il voulait le guider, tout c'est bien. Et là, moi, en toute naïve, écoute, ça fait pas longtemps que je pratique, puis là, je me dis, mon Dieu Seigneur, qu'est-ce que je fais avec ça ? Ça roule vite dans ma tête. Tu sais, la notaire, elle, elle disait, le raisonnement de la notaire, c'est de dire, bien, il n'y a rien d'illégal. Mais moi, comme jeune femme de 25 ans, je me disais, my God, c'est donc bien immoral. Mais, hein, j'étais une professionnelle, puis je ne pouvais pas juger de sa décision parce que ce n'était pas mon travail. J'ai tout simplement demandé, c'est quoi son nom ? Et j'ai refait son testament en espérant fort, fort que Madame meure avant lui parce que sinon, elle voudrait le ressusciter pour le tuer elle-même. Et j'espérais fort fort aussi de ne pas avoir à régler cette succession-là, parce qu'écoute, je m'imaginais la maîtresse et Mme Vermette dans mon bureau en train de s'obstiner, parce que Mme Vermette, elle perdait tout, là. Imaginez, elle perd toute la patente, la maison, les assurances, le compte en banque, puis M. Vermette, c'est un homme d'affaires, fait que tu sais, il faisait des sous quand même. Fait que bref, c'est ça. Et bien évidemment, il ne m'a pas demandé de copie. Il a dit, non, non, tu n'as pas besoin de m'envoyer de copie chez A.U. si j'en ai besoin. Tu sais, j'aurais pu y faire un speech de M. Vermette, ça n'a pas de bon sens, puis blablabla, tu sais, ou j'aurais pu carrément refuser de faire ces modifications, mais il serait allé ailleurs. Il serait arrivé à ses fins de toute façon, là. Tu sais, c'était dur pour moi de ne pas le juger. La professionnelle en moi ne jugeait pas. J'ai tout simplement appliqué ce que j'avais à faire. Mais la personne, c'est sûr que, oh my God, écoute, j'y pense encore aujourd'hui, puis ça fait 35 ans de ça, ça fait 30 ans de ça. Mais bon, c'était pas de mes affaires, fait que je m'en suis pas mêlée. Puis ça, tu sais, ça n'avait aucune incidence sur ma profession ni ma personne. Fait que j'ai lâché prise, puis je l'ai fait, tu sais. Tu as deviné qu'aujourd'hui, je parle de préjugés et la définition du dictionnaire du préjugé, c'est un jugement sur quelqu'un, quelque chose qui est formé à l'avance, ben oui, c'est un préjugé, selon certains critères personnels et qui oriente en bien ou en mal, je vous dirais que la plupart du temps, c'est en mal, les dispositions d'esprit à l'égard de cette personne, de cette chose, autrement dit, avoir un préjugé contre quelqu'un. Je te dirais que des phrases, on a des exemples, des phrases qui commencent par regarde-la donc elle ou juste tu regardes quelqu'un et tu fais ish ou ça n'a pas bien été tout ça, c'est du jugement, c'est du préjugé pur et dur. C'est rarement gentil. Puis je dirais aussi que la ligne est mince entre le jugement. le préjugé, le stéréotype, les croyances et la discrimination. Tu peux tout mettre ça dans le même pot, puis tu brases, puis ça ressort tout. Et tout ça, ça confronte l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy, je trouve que ça lui fait bien. C'est comme un petit diable. Le petit diable, c'est souvent notre ego. Mon Jean-Guy... Et ça, ça vient des blessures intérieures, puis ça, j'ai déjà fait des épisodes là-dessus, mais quand ça réveille nos blessures intérieures, bien, Jean-Guy se réveille, puis c'est là que Jean-Guy, il porte des jugements qui n'ont pas d'allure, puis ça lui fait du bien, puis c'est ça. Et des exemples de tout ça, de jugements, de préjugés, de stéréotypes, de croyances, de discrimination, on a déjà entendu quelqu'un qui dit une femme enceinte, c'est un paquet de troubles à engager parce que oui, il y a un congé de maternité qui vient à un moment donné. Un handicapé, ça ne peut pas être éduqué. Bien oui, ça peut. Les filles qui portent des jupes, c'est automatiquement des filles faciles. Puis que les garçons ont plus besoin de sexe que les filles, c'est tous des préjugés, ça. Un garçon, ça ne pleure pas. C'est aussi une croyance. Les filles, c'est nul en mathématiques. Là, je confirme, je suis nul en mathématiques. Je suis meilleure avec les mots. Mais il y en a des filles, ma soeur, elle est extraordinaire dans les chiffres. Ma comptable, c'est une fille. Il y en a, là. Vous allez me dire que c'est des exceptions. Peut-être. Ou le préjugé sur les Autochtones qui sont toujours en retard. On a même appelé ça l'Indian time. Puis, eux autres-mêmes, ils en rient, là, il faut dire. Mais c'est un préjugé. Ils ne sont pas tout en retard. On a déjà entendu des gens dire que les femmes, elles ne peuvent pas avoir des postes de gestion. Elles sont bien trop fines. Ou les schizophrènes, c'est des personnes violentes. Pas nécessairement. Les personnes dépressives, c'est juste du monde paresseux et qui ne se donnent pas la peine de faire des efforts. On y en a qui disent ça. Les personnes anxieuses, c'est des personnes qui manquent de caractère et qui sont faibles. Ça aussi, on peut entendre ça. Ou des personnes bipolaires, on peut facilement avoir le préjugé de dire qu'elles sont difficiles à gérer. Puis, ils font tout pour attirer l'attention finalement. La discrimination aussi, comme je l'ai dit au début, les mères de famille sont souvent absentes du travail, oui, parce qu'il y a la maternelle, puis il y en a un qui s'est planté dans l'escalier, puis whatever. Donc, la discrimination vient en disant, on est mieux d'engager des hommes à un poste de responsabilité. C'est ça. Ou l'autre affaire qui est épouvantable, c'est l'immigrant, c'est des terroristes, tous ceux qui ne viennent pas, tous ceux qui ne sont pas de souche, c'est automatiquement des... des terroristes aussi, avec tout ce qui s'est déjà passé dans le passé. Il y en a, là, puis il y en a encore aujourd'hui qui pensent comme ça. C'est tous des jugements, des préjugés, des croyances. Alors, comment se débarrasser de ça, de ces préjugés, de ces fausses croyances-là ? Bien, premièrement, en regardant les faits, uniquement les faits. Il ne faut pas, moi. Tu vois une madame un peu maladie qui pousse son carrosse d'épicerie et qui a juste des cochonneries, des cigarettes, de la liqueur et des chips. Puis là, toi, tu peux avoir le... Tu peux avoir le préjugé de dire Mon Dieu Seigneur, il me semble qu'elle devrait acheter des affaires plus saines pour se faire du bien et tout ça. Mais les faits, tu regardes les faits, ben écoute, elle achète ces affaires-là. Puis l'autre manière d'enlever les préjugés, c'est en regardant l'autre comme un être humain. Vraiment juste de façon objective. Puis essaie de te mettre dans ses bottines aussi. Tu sais, cette madame-là, c'est peut-être son seul plaisir dans la vie. Elle est peut-être toute seule dans son petit deux et demi, puis elle n'a rien. C'est peut-être ça, son seul plaisir dans la vie. Enlevis-y pas, bâtard. On comprend-tu ? Je sais que c'est dur. Je sais. Écoute, je me mets dans le tas. Ce n'est pas simple. C'est tellement facile d'avoir des préjugés. Ça vient tout seul. C'est tellement facile que moi, je l'avoue, je pratique l'oponopono. C'est une technique hawaïenne. Ceux qui ont déjà En tout cas, je vous encourage fortement d'aller googler ça, puis de lire des livres là-dessus, c'est extraordinaire, c'est pas compliqué. À chaque fois que tu dis une connerie comme un préjugé, tu dis, désolé, pardon, merci, je t'aime, ok ? En arrière de ça, c'est toute une manière de penser, puis c'est tout inconscient, ok ? Et le désolé, c'est que t'es désolé d'avoir jugé, donc t'es désolé par rapport à toi. T'es désolé de ça. Pardon. Bon, désolé, pardon. Le pardon, c'est que tu te demandes pardon à toi, puis tu pardonnes à ton égo aussi, parce que c'est toujours Jean-Guy, là. C'est toujours Jean-Guy qui a le poffin là-dedans. Merci. Bien, en disant merci, c'est que tu remercies de t'apprendre une leçon. Parce qu'en conscientisant que tu viens de porter un jugement sur quelqu'un ou sur une situation, bien, on dit merci à l'apprentissage. que tu viens, oui, de le conscientiser, de dire, ah mon Dieu, c'est vrai, bien oui, regarde, je viens de juger. Et le je t'aime bien c'est que tu t'aimes et t'aimes ton égo malgré tout, parce que l'égo, on en a besoin. Mais il faut qu'il soit assis sur le siège du halepard. J'en ai fait des chroniques à ce sujet-là. Si l'égo est assis sur tes genoux, bien c'est là que c'est lui qui met de la barque et c'est là que tu peux porter une foule de jugements qui n'ont pas d'allure. Alors là, tu sais, on en a besoin pour être fier de nous. l'ego, mais quand il te fait juger à outrance, bien là, il faut que tu le remettes un petit peu à sa place, mais tu en as besoin. C'est pour ça que tu lui dis merci. À chaque fois que tu portes un jugement, mettons qu'un exemple, moi, je ne trouve pas ça beau, une voiture orange brûlée, de couleur orange brûlée, et c'est vrai, et je m'en excuse pour tous ceux qui trouvent ça beau, moi, je trouve ça laid, mais quand j'en vois une, je dis, hé, maudite, c'est laid. Alors, je dis, désolé, pardon, merci, je t'aime. Mon chum, lui, il traduit ça en steak blé d'ail de patate. Ça, c'est son histoire à lui. Mais moi, je dis, désolé, merci, pardon, je t'aime. Mais je vous l'avoue, là, je peux le dire 25 fois dans une journée, là. Mais ça me conscientise à chaque fois. Puis là, bien, au fur et à mesure de la vie, bien, je juge moins. Puis ça m'aide à évoluer. Je vous en souhaite tout autant. Comme à l'habitude, je vous sors des citations sur le sujet. Une belle citation. L'œil plein de préjugés est aveugle. Oui, moi je suis d'accord avec cette citation-là, parce qu'effectivement, le préjugé, c'est comme un genre d'illusion. Tu te fais un préjugé, mais quand tu vas vers la personne que tu as jugée, puis que tu te mets dans ses bottines, ah, là c'est pas pareil, là tu as la vérité de cette personne-là, puis là ton jugement va changer nécessairement. Bien, peut-être pas non plus, mais normalement, souvent en tout cas. ton jugement va changer par rapport à cette personne-là parce que tu la regardes d'un tout autre œil, le vrai œil. Une autre citation, il n'est jamais trop tard pour renoncer à nos préjugés, effectivement. Il y a toujours moyen d'arrêter, mais je vous le dis, c'est difficile, l'humain étant ce qu'il est, c'est difficile de juger, mais à tout le moins contrôler, entre guillemets, notre jangui, notre égo, parce que c'est lui qui met le trouble. Donc, en contrôlant, Jean-Guy, puis en conscientisant que c'est ton égo, puis souvent, c'est parce qu'on est blessé soi-même, alors c'est pour ça qu'on jette notre dévolu sur d'autres, puis qu'on porte des jugements, ou on a des préjugés négatifs à l'égard d'autres personnes ou de situations quelconques, mais il y a toujours moyen de corriger ça, mais le point de départ, c'est de conscientiser, effectivement, qu'on a beaucoup de préjugés. Une autre citation. Si on s'était arrêté à l'apparence des huîtres, on n'aurait jamais découvert les perles. Hé, ça, je trouve ça beau. C'est Boucardiouf, hein, le humoriste Boucardiouf, qui dit ça. Ben, effectivement, tu sais, le préjugé qu'on a quand on regarde une huître, hein, c'est comme si ça venait d'une roche. Tu fais... Pis ça pue à part de ça. Mais, tu sais, hein, tu ouvres l'huître, pis tu retrouves une perle dedans. Wow, là, c'est pas la même affaire. Pis quand tu te fais cuisiner des... des huîtres Rockefeller, parce que, je vais te l'avouer, moi, c'est la seule façon de manger des huîtres en Rockefeller gratiné, parce que sinon, oublie ça, moi, la patente crûte, je suis pas crûte, pas crue crûte, je suis pas capable de manger ça, mais bref, c'est ça, c'est un moyen de comprendre que il faut aller voir au-delà des apparences, puis on a des surprises. Une autre citation, tes jugements ne définissent pas le genre de personne que je suis, ils définissent le genre de personne que tu es. Eh, voilà, je l'aime celle-là, parce que ça te remet en face un peu tes jugements. Parce que le fait de juger, d'avoir des préjugés, ça te définit toi dans le sens que c'est peut-être toi qui as un problème, un problème d'ego, un problème de blessure intérieure. C'est pour ça que tu portes des jugements vers les autres, parce que ça te fait du bien de planter les autres en bon québécois. Ça te remonte dans ton estime. Mais je ne dis pas que c'est une bonne affaire, pas ça. Mais le conscientiser, c'est le point de départ pour tenter d'arrêter tout ça. Une autre citation. Il y a une histoire derrière chaque personne et toujours une raison à pourquoi il est comme ça. Pensez-y avant de juger quelqu'un. Effectivement, on juge très facilement. On regarde quelqu'un et on fait hip, lay Oui, mais le hip de peler, elle n'a peut-être pas le choix, cette personne-là. Elle a toute une histoire en regard à soit son physique ou son attitude, ou peu importe. On nie qui pour juger ? On nie qui pour juger les autres personnes ? On ne nie pas mieux que les autres. Souvent, c'est ça. C'est des blessures intérieures. C'est notre jangui, notre égo qui fait que ça lui fait du bien de juger les autres parce que le temps qu'il juge les autres, ça ne regarde pas dans le miroir. Voilà. On va appeler un chat un chat. Une autre citation. Nous devrions nous examiner longuement et attentivement avant de porter un jugement sur les autres. C'est Molière qui a dit ça. Mais voilà. Donc, c'est ça. Regarde-toi dans le miroir avant de juger les autres parce que tu n'es pas mieux que les autres. Puis oui, il y en a aussi qui portent des jugements sur toi. Ça aussi, il faut lâcher prise là-dessus. Parce que là, je parle depuis tantôt qu'on juge beaucoup. Mais oui, on se fait juger aussi. Il y a des gens qui ont des préjugés par rapport à nous. Moi, j'en suis un sur deux pattes, un préjugé. Parce que, imaginez, j'étais notaire, mon envie, puis je suis devenue tout d'un coup une artiste. Écoute, il y a du monde qui m'ont jugée, il y a du monde qui ont des préjugés, puis qui disent, bien voyons donc que c'est ça. Mais c'est ça, mais ça, il ne faut pas s'arrêter à ça. Il faut les laisser faire, puis de continuer notre chemin, puis d'ignorer les gens qui ont des préjugés envers nous, parce que ça ne sert à rien de s'en faire avec ça. On n'a pas de contrôle là-dessus. Une autre belle citation. Ne jugez jamais sans connaître les deux côtés d'une médaille. N'oubliez jamais que chaque personne que vous croiserez sur votre chemin mène un combat dont vous ignorez l'existence. Bien voilà, on a tous nos combats dans la vie. Puis, tu sais, ça ne paraît pas tout le temps dans la face du monde au complet, ce qu'ils vivent, mais on en a une partie dans leur apparence ou dans leurs attitudes ou dans leur parler aussi. Mais on est qui pour juger ça ? Puis, tant qu'on n'est pas dans les bottines de cette personne-là, on n'a pas le droit de juger. On peut aider, par exemple. Tu sais, dans le fond, je ne suis pas meilleure qu'un autre, je vous le dis, mais on devrait… Mon Dieu, je suis capote à ma taille. Si tout le monde remplaçait l'énergie à avoir des préjugés, si on remplaçait cette énergie-là à aider les autres à la place. Tu vas voir une personne envers qui tu avais un préjugé il y a deux minutes, tu vas la voir et tu dis bonjour madame, bonjour monsieur, ça va bien ? Tu commences à jaser avec et tu te rends compte qu'ils ont une vie, ce n'est pas simple. Peut-être que tu peux faire une différence. Juste à tout le moins leur sourire et leur dire un beau bonjour, ça fait toute la différence. Je t'encourage à le faire. Une autre citation. L'ego s'obstine, s'entête et s'acharne. L'âme œuvre tranquillement, accueille, fait confiance et lâche prise. Ça, j'aime ça parce que c'est comme si, tu sais, dans les comiques, on voit ça des fois, on a un petit ange puis un petit diable. Le petit diable, moi, je prétends que c'est l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy. Puis le petit ange, moi, c'est la conscience, c'est l'intuition. Moi, je l'ai appelé Georgette, je trouve que ça lui fait bien. Fait que Georgette, elle, elle me dit de… Elle me dit d'accueillir, puis de faire confiance, puis de lâcher prise, tu sais, tout du positif. Puis Jean-Guy, il dit Ah ouais, ah ouais, juge, juge en masse. Puis tu sais, là, il n'a pas faim. Mais c'est ça. Mais là, tu réconcilies tout ce monde-là et la méthode Ho'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime, moi, je trouve que c'est une belle façon de le faire. Une autre citation. Il est aisé de s'accrocher à ses stéréotypes et ses idées préconçues. On se sent ainsi rassuré dans sa propre... ignorance. Et c'est Michelle Obama qui a dit ça. Effectivement, tu sais, quand tu ne connais pas, c'est facile de juger, mais c'est ça. Une fois que tu connais la situation ou la personne, bien, tu n'as plus la même vision de la patente. L'image vient de changer du tout, parce que là, tu viens d'avoir l'image au complet du personnage, puis tu ne peux pas avoir le même prix jugé. Ça peut être pire, comme ça peut être beaucoup mieux. Puis au-delà du jugement, bien, Caroline, si on peut faire une différence en aidant, tant mieux. Une autre citation, croyance, chose que l'on tient pour vrai malgré l'évidence du contraire. Ça, c'est bon. Parce qu'effectivement, puis surtout quand on est jeune, nos parents, écoute, ils ont la vérité infuse dans notre tête quand on est petit. On a des croyances, il faut travailler dur pour gagner de l'argent. C'est une croyance qui est très répandue. Mais non, pas nécessairement. Les artistes ne travaillent pas dur, ils ne travaillent pas. J'en suis la prévivante. Mais on gagne de l'argent pareil. Mais c'est ça. C'est des fausses croyances. Mais dans le fin fond de toi, tu peux penser le contraire. Mais là, vu que c'est ton parent qui te le dit, tu fais comme, ben, Colline doit avoir raison. Mais, dans ta tête, tu te fais comme Hum, pas sûr Bien, c'est ça. Ça, c'est des croyances. Puis, on peut s'en départir de ces croyances-là. J'ai des épisodes là-dessus. Comment on peut se départir de nos croyances qui ne nous appartiennent pas, en fait, parce que ces croyances-là ont été inculquées par tes parents. Ce n'est pas parce qu'elles viennent de tes parents qu'elles sont vraies. Donc, tout comme les valeurs et les vertus. Tout ça... on peut s'approprier nos propres valeurs, nos propres croyances, nos propres vertus à améliorer ou à avoir. Voilà. Une autre citation. L'ego est en compétition contre les autres. Il veut prouver à tous qu'il est le meilleur, le plus fort, le plus courageux, le plus beau, le plus éloquent, etc. Il est loin de se douter que nous ne formons qu'un et que nous ne sommes pas supérieurs ni inférieurs à quiconque. Moi, mon ego, je l'appelais Jean-Guy. Jean-Guy, lui, c'est le king. Écoute, c'est le king, the king. Lui, là, pour tout le monde autour, c'est tous des moins que rien. Jean-Guy, c'est le plus fort, c'est le meilleur. Lui, il est juste, tu penses. Écoute, moi, il faut que je le retienne. Avec ma Georgette, mon intuition, ma conscience. Georgette, elle dit, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy. Mais c'est ça. Avec la méthode Ho'oponopono, on break Jean-Guy. avec le désolé, merci, pardon, le désolé, pardon, merci, je t'aime, on break un peu Jean-Guy pour que l'ego se calme le pompon un peu, parce que l'ego, oui, on en a besoin pour être fier de nous, fier de ce qu'on est, fier de ce qu'on fait, fier de ce qu'on a, mais il ne peut pas contrôler notre vie, sinon on jugerait à outrance tout le monde et n'importe quoi et tout le temps. Face à tes préjugés envers les autres ou ceux des autres à ton endroit, t'as... deux options. La première option, quand tu te fais juger, ça te met en bout de ta basse-flac pour ne pas dire d'autres choses. Tu publies sur les réseaux sociaux pour rétablir les faits. Tu réponds à ceux qui t'insultent. Tu ne sors plus de chez vous de peur de te faire juger encore. Puis quand c'est toi qui juges les autres, tu te fous des conséquences complètement. Tu te dis que tu as le droit à tes opinions, un point c'est tout. Puis ce qu'on ne sait pas, ça ne fait pas mal. C'est ce que tu crois. Puis tant que tu ne le dis pas à la personne concernée, tu n'as pas l'impression de faire du mal. Ou, la deuxième option, quand tu te fais juger par les autres, ton égo est blessé, mais tu bénis et tu pardonnes aux personnes qui t'ont fait du mal parce que tu dis que ce n'est pas de leur faute, ils souffrent probablement plus que moi. Et tout ça n'ébranle en aucun temps ta confiance. Et tu fais l'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime. Donc, tu conscientises que ton jangui est dans le champ, que ton jangui est trop présent et que tu le rasseois. Sous le siège de l'alpeur pour dire, wow, Jean-Guy, tu pousses un peu trop fort et tu analyses la situation pour laquelle ton égo a besoin de juger. Puis, tu travailles le pourquoi du quoi qui fait en sorte que tu juges cette personne-là ou cette situation-là. En résumé, je t'ai raconté mon histoire à Bracadabrant. Je t'ai parlé de lâcher prise et d'égo. Je t'ai donné des exemples de situations où on juge les gens malgré nous. Je t'ai partagé des trucs pour arrêter de juger les autres et comment t'en dédouaner si tu continues à le faire. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Je t'ai présenté les options possibles du comment gérer tes préjugés et ceux des autres à ton endroit. À toi de décider comment tu gères les préjugés des autres et les tiens. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans la gestion de ton égo. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérail, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes cartes sourires virtuelles ou mes livres, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de honte.

Description

Dans cet épisode je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher-prise et d’ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t’en dédouaner !


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Transcription

  • Speaker #0

    Sur une échelle de 1 à 10, à combien mesures-tu ta capacité à ne pas juger les gens ? Avoir du jugement, c'est une chose, mais juger les gens, en est une autre. Avoir de la jugeote, c'est bien vu, mais quand on s'en sert à mauvais escient, c'est un petit peu moins beau. C'est bien connu, hein ? L'humain, il cherche la facilité. Et c'est facile de juger. Ça se fait de seul. On juge tout le monde et tout le temps, sans même s'en apercevoir. Pour le commun des mortels, juger les autres et leur situation, ça fait partie intégrante de l'existence. Je mets au défi n'importe qui de me dire qu'il n'a aucun préjugé. Impossible ! On en a tous, même sans s'en rendre compte. Quand c'est toi qui juges, il n'y a rien là. Mais quand les autres te jugent, ah ben là, ça ne marche plus. Einstein a déjà dit, il est plus facile de désintégrer un atome qu'un préjugé. C'est pas rien ça. Autrement dit, une fois ancré dans ton esprit, c'est difficile à changer. Bonne nouvelle, il y a toujours moyen de moyenner avec les préjugés. Dans cet épisode, je te raconte une histoire abracadabrante, je te jase de lâcher prise et d'ego, je te donne des trucs pour arrêter de juger les autres et si tu continues à le faire, tu pourras au moins t'en dédouaner. Merci de passer quelques minutes de ton temps avec moi aujourd'hui. Je suis Marie-Josée Saint-Laurent, créatrice de bonheur et de positif. Ma passion, c'est la création. Que ce soit en écriture, en édition, en conférence, en chaufferance, en show d'humour, dans l'organisation d'événements ou ici dans mon podcast, mon objectif, t'aider à mettre du positif dans ta vie et ou à prendre les décisions pour l'améliorer. Ajouter du positif dans ton existence, c'est le moyen par excellence pour transformer ta vie totalement et c'est disponible ici uniquement. Bienvenue dans Illumine ta vie. Le podcast qui changera ta vie, assurément. Quand j'étais notaire, jadis naguère autrefois, écoute, j'ai un an de pratique, un petit couple dans la soixantaine, M. et Mme Vermette, et je te dis de tout de go que cette histoire-là, c'est ma première histoire de mon premier tome intitulé Les mémoires de la maîtresse un recueil d'anecdotes réellement vécues dans mon bureau, bien évidemment, j'ai masqué les vrais. informations. Donc, un petit couple aveu sécheuse dans la soixantaine. Lui ressemble je te dirais à Bill Clinton, puis elle à soeur Angèle, ça te donne une idée. Et ils viennent faire leur testament. Bon, ils ont des enfants, tout ça. Testament type, là. Ils se lèguent l'un l'autre leur bien, puis s'ils sont plus là, ça s'en va aux enfants. Bref, le plus vieux, il est nommé liquidateur si les deux parents sont plus là, puis jusqu'au plus jeune. dans l'ordre, un testament bien, bien standard. Et là, quand on a eu fini de signer, je leur présente ma facture parce que moi, j'ai des comptes à recevoir, j'étais allergique à ça. Fait que, tu sais, c'est comme à l'épicerie. Tu as eu ta livre de beurre, paye à cette heure. Moi, c'était comme ça. Fait que je présente la facture à M. Vermette. Et il me dit qu'il a oublié son portefeuille. Fait qu'il dit, je peux-tu repasser demain ? Bien, j'ai dit, pas de problème. Puis en même temps, je vous donnerai vos copies. Et le lendemain, M. Vermette il revient. Et là, il n'est pas comme d'habitude. Il est un peu, comment dire, un peu mal à l'aise. Je vois bien qu'il y a quelque chose. Puis, il dit, le notaire, il dit, Je peux-tu repasser dans votre bureau ? Moi, je dis oui parce qu'il ne m'a pas fait mon chèque. Fait que je le fais rentrer. Puis là, il s'assoit à ma chaise, à ma table de consultation. Puis là, il s'accorde bien, bien, bien profond dans la chaise. Je me dis, Boy, ça va être plus long que me faire un chèque, cette histoire-là. Puis là, il hésite. puis il tourne autour du pot, puis à un moment donné il dit, notaire, il dit je veux refaire mon testament. Moi là, j'ai un an de pratique, je me dis, oh mon dieu, c'est moi qui ai fait quelque chose de pas correct, qu'est-ce que j'ai fait, c'est-tu moi ? Ah, il dit, non, non, non, il dit, inquiète-toi pas. Il dit, non, non, c'est moi qui ai changé d'idée. Je dis, ah oui, qu'est-ce que vous voulez changer ? Ben, il dit, je change ma femme pour ma maîtresse. Vous avez bien compris ? C'est ça. Il déshéritait sa femme pour mettre sa maîtresse à qui il voulait le guider, tout c'est bien. Et là, moi, en toute naïve, écoute, ça fait pas longtemps que je pratique, puis là, je me dis, mon Dieu Seigneur, qu'est-ce que je fais avec ça ? Ça roule vite dans ma tête. Tu sais, la notaire, elle, elle disait, le raisonnement de la notaire, c'est de dire, bien, il n'y a rien d'illégal. Mais moi, comme jeune femme de 25 ans, je me disais, my God, c'est donc bien immoral. Mais, hein, j'étais une professionnelle, puis je ne pouvais pas juger de sa décision parce que ce n'était pas mon travail. J'ai tout simplement demandé, c'est quoi son nom ? Et j'ai refait son testament en espérant fort, fort que Madame meure avant lui parce que sinon, elle voudrait le ressusciter pour le tuer elle-même. Et j'espérais fort fort aussi de ne pas avoir à régler cette succession-là, parce qu'écoute, je m'imaginais la maîtresse et Mme Vermette dans mon bureau en train de s'obstiner, parce que Mme Vermette, elle perdait tout, là. Imaginez, elle perd toute la patente, la maison, les assurances, le compte en banque, puis M. Vermette, c'est un homme d'affaires, fait que tu sais, il faisait des sous quand même. Fait que bref, c'est ça. Et bien évidemment, il ne m'a pas demandé de copie. Il a dit, non, non, tu n'as pas besoin de m'envoyer de copie chez A.U. si j'en ai besoin. Tu sais, j'aurais pu y faire un speech de M. Vermette, ça n'a pas de bon sens, puis blablabla, tu sais, ou j'aurais pu carrément refuser de faire ces modifications, mais il serait allé ailleurs. Il serait arrivé à ses fins de toute façon, là. Tu sais, c'était dur pour moi de ne pas le juger. La professionnelle en moi ne jugeait pas. J'ai tout simplement appliqué ce que j'avais à faire. Mais la personne, c'est sûr que, oh my God, écoute, j'y pense encore aujourd'hui, puis ça fait 35 ans de ça, ça fait 30 ans de ça. Mais bon, c'était pas de mes affaires, fait que je m'en suis pas mêlée. Puis ça, tu sais, ça n'avait aucune incidence sur ma profession ni ma personne. Fait que j'ai lâché prise, puis je l'ai fait, tu sais. Tu as deviné qu'aujourd'hui, je parle de préjugés et la définition du dictionnaire du préjugé, c'est un jugement sur quelqu'un, quelque chose qui est formé à l'avance, ben oui, c'est un préjugé, selon certains critères personnels et qui oriente en bien ou en mal, je vous dirais que la plupart du temps, c'est en mal, les dispositions d'esprit à l'égard de cette personne, de cette chose, autrement dit, avoir un préjugé contre quelqu'un. Je te dirais que des phrases, on a des exemples, des phrases qui commencent par regarde-la donc elle ou juste tu regardes quelqu'un et tu fais ish ou ça n'a pas bien été tout ça, c'est du jugement, c'est du préjugé pur et dur. C'est rarement gentil. Puis je dirais aussi que la ligne est mince entre le jugement. le préjugé, le stéréotype, les croyances et la discrimination. Tu peux tout mettre ça dans le même pot, puis tu brases, puis ça ressort tout. Et tout ça, ça confronte l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy, je trouve que ça lui fait bien. C'est comme un petit diable. Le petit diable, c'est souvent notre ego. Mon Jean-Guy... Et ça, ça vient des blessures intérieures, puis ça, j'ai déjà fait des épisodes là-dessus, mais quand ça réveille nos blessures intérieures, bien, Jean-Guy se réveille, puis c'est là que Jean-Guy, il porte des jugements qui n'ont pas d'allure, puis ça lui fait du bien, puis c'est ça. Et des exemples de tout ça, de jugements, de préjugés, de stéréotypes, de croyances, de discrimination, on a déjà entendu quelqu'un qui dit une femme enceinte, c'est un paquet de troubles à engager parce que oui, il y a un congé de maternité qui vient à un moment donné. Un handicapé, ça ne peut pas être éduqué. Bien oui, ça peut. Les filles qui portent des jupes, c'est automatiquement des filles faciles. Puis que les garçons ont plus besoin de sexe que les filles, c'est tous des préjugés, ça. Un garçon, ça ne pleure pas. C'est aussi une croyance. Les filles, c'est nul en mathématiques. Là, je confirme, je suis nul en mathématiques. Je suis meilleure avec les mots. Mais il y en a des filles, ma soeur, elle est extraordinaire dans les chiffres. Ma comptable, c'est une fille. Il y en a, là. Vous allez me dire que c'est des exceptions. Peut-être. Ou le préjugé sur les Autochtones qui sont toujours en retard. On a même appelé ça l'Indian time. Puis, eux autres-mêmes, ils en rient, là, il faut dire. Mais c'est un préjugé. Ils ne sont pas tout en retard. On a déjà entendu des gens dire que les femmes, elles ne peuvent pas avoir des postes de gestion. Elles sont bien trop fines. Ou les schizophrènes, c'est des personnes violentes. Pas nécessairement. Les personnes dépressives, c'est juste du monde paresseux et qui ne se donnent pas la peine de faire des efforts. On y en a qui disent ça. Les personnes anxieuses, c'est des personnes qui manquent de caractère et qui sont faibles. Ça aussi, on peut entendre ça. Ou des personnes bipolaires, on peut facilement avoir le préjugé de dire qu'elles sont difficiles à gérer. Puis, ils font tout pour attirer l'attention finalement. La discrimination aussi, comme je l'ai dit au début, les mères de famille sont souvent absentes du travail, oui, parce qu'il y a la maternelle, puis il y en a un qui s'est planté dans l'escalier, puis whatever. Donc, la discrimination vient en disant, on est mieux d'engager des hommes à un poste de responsabilité. C'est ça. Ou l'autre affaire qui est épouvantable, c'est l'immigrant, c'est des terroristes, tous ceux qui ne viennent pas, tous ceux qui ne sont pas de souche, c'est automatiquement des... des terroristes aussi, avec tout ce qui s'est déjà passé dans le passé. Il y en a, là, puis il y en a encore aujourd'hui qui pensent comme ça. C'est tous des jugements, des préjugés, des croyances. Alors, comment se débarrasser de ça, de ces préjugés, de ces fausses croyances-là ? Bien, premièrement, en regardant les faits, uniquement les faits. Il ne faut pas, moi. Tu vois une madame un peu maladie qui pousse son carrosse d'épicerie et qui a juste des cochonneries, des cigarettes, de la liqueur et des chips. Puis là, toi, tu peux avoir le... Tu peux avoir le préjugé de dire Mon Dieu Seigneur, il me semble qu'elle devrait acheter des affaires plus saines pour se faire du bien et tout ça. Mais les faits, tu regardes les faits, ben écoute, elle achète ces affaires-là. Puis l'autre manière d'enlever les préjugés, c'est en regardant l'autre comme un être humain. Vraiment juste de façon objective. Puis essaie de te mettre dans ses bottines aussi. Tu sais, cette madame-là, c'est peut-être son seul plaisir dans la vie. Elle est peut-être toute seule dans son petit deux et demi, puis elle n'a rien. C'est peut-être ça, son seul plaisir dans la vie. Enlevis-y pas, bâtard. On comprend-tu ? Je sais que c'est dur. Je sais. Écoute, je me mets dans le tas. Ce n'est pas simple. C'est tellement facile d'avoir des préjugés. Ça vient tout seul. C'est tellement facile que moi, je l'avoue, je pratique l'oponopono. C'est une technique hawaïenne. Ceux qui ont déjà En tout cas, je vous encourage fortement d'aller googler ça, puis de lire des livres là-dessus, c'est extraordinaire, c'est pas compliqué. À chaque fois que tu dis une connerie comme un préjugé, tu dis, désolé, pardon, merci, je t'aime, ok ? En arrière de ça, c'est toute une manière de penser, puis c'est tout inconscient, ok ? Et le désolé, c'est que t'es désolé d'avoir jugé, donc t'es désolé par rapport à toi. T'es désolé de ça. Pardon. Bon, désolé, pardon. Le pardon, c'est que tu te demandes pardon à toi, puis tu pardonnes à ton égo aussi, parce que c'est toujours Jean-Guy, là. C'est toujours Jean-Guy qui a le poffin là-dedans. Merci. Bien, en disant merci, c'est que tu remercies de t'apprendre une leçon. Parce qu'en conscientisant que tu viens de porter un jugement sur quelqu'un ou sur une situation, bien, on dit merci à l'apprentissage. que tu viens, oui, de le conscientiser, de dire, ah mon Dieu, c'est vrai, bien oui, regarde, je viens de juger. Et le je t'aime bien c'est que tu t'aimes et t'aimes ton égo malgré tout, parce que l'égo, on en a besoin. Mais il faut qu'il soit assis sur le siège du halepard. J'en ai fait des chroniques à ce sujet-là. Si l'égo est assis sur tes genoux, bien c'est là que c'est lui qui met de la barque et c'est là que tu peux porter une foule de jugements qui n'ont pas d'allure. Alors là, tu sais, on en a besoin pour être fier de nous. l'ego, mais quand il te fait juger à outrance, bien là, il faut que tu le remettes un petit peu à sa place, mais tu en as besoin. C'est pour ça que tu lui dis merci. À chaque fois que tu portes un jugement, mettons qu'un exemple, moi, je ne trouve pas ça beau, une voiture orange brûlée, de couleur orange brûlée, et c'est vrai, et je m'en excuse pour tous ceux qui trouvent ça beau, moi, je trouve ça laid, mais quand j'en vois une, je dis, hé, maudite, c'est laid. Alors, je dis, désolé, pardon, merci, je t'aime. Mon chum, lui, il traduit ça en steak blé d'ail de patate. Ça, c'est son histoire à lui. Mais moi, je dis, désolé, merci, pardon, je t'aime. Mais je vous l'avoue, là, je peux le dire 25 fois dans une journée, là. Mais ça me conscientise à chaque fois. Puis là, bien, au fur et à mesure de la vie, bien, je juge moins. Puis ça m'aide à évoluer. Je vous en souhaite tout autant. Comme à l'habitude, je vous sors des citations sur le sujet. Une belle citation. L'œil plein de préjugés est aveugle. Oui, moi je suis d'accord avec cette citation-là, parce qu'effectivement, le préjugé, c'est comme un genre d'illusion. Tu te fais un préjugé, mais quand tu vas vers la personne que tu as jugée, puis que tu te mets dans ses bottines, ah, là c'est pas pareil, là tu as la vérité de cette personne-là, puis là ton jugement va changer nécessairement. Bien, peut-être pas non plus, mais normalement, souvent en tout cas. ton jugement va changer par rapport à cette personne-là parce que tu la regardes d'un tout autre œil, le vrai œil. Une autre citation, il n'est jamais trop tard pour renoncer à nos préjugés, effectivement. Il y a toujours moyen d'arrêter, mais je vous le dis, c'est difficile, l'humain étant ce qu'il est, c'est difficile de juger, mais à tout le moins contrôler, entre guillemets, notre jangui, notre égo, parce que c'est lui qui met le trouble. Donc, en contrôlant, Jean-Guy, puis en conscientisant que c'est ton égo, puis souvent, c'est parce qu'on est blessé soi-même, alors c'est pour ça qu'on jette notre dévolu sur d'autres, puis qu'on porte des jugements, ou on a des préjugés négatifs à l'égard d'autres personnes ou de situations quelconques, mais il y a toujours moyen de corriger ça, mais le point de départ, c'est de conscientiser, effectivement, qu'on a beaucoup de préjugés. Une autre citation. Si on s'était arrêté à l'apparence des huîtres, on n'aurait jamais découvert les perles. Hé, ça, je trouve ça beau. C'est Boucardiouf, hein, le humoriste Boucardiouf, qui dit ça. Ben, effectivement, tu sais, le préjugé qu'on a quand on regarde une huître, hein, c'est comme si ça venait d'une roche. Tu fais... Pis ça pue à part de ça. Mais, tu sais, hein, tu ouvres l'huître, pis tu retrouves une perle dedans. Wow, là, c'est pas la même affaire. Pis quand tu te fais cuisiner des... des huîtres Rockefeller, parce que, je vais te l'avouer, moi, c'est la seule façon de manger des huîtres en Rockefeller gratiné, parce que sinon, oublie ça, moi, la patente crûte, je suis pas crûte, pas crue crûte, je suis pas capable de manger ça, mais bref, c'est ça, c'est un moyen de comprendre que il faut aller voir au-delà des apparences, puis on a des surprises. Une autre citation, tes jugements ne définissent pas le genre de personne que je suis, ils définissent le genre de personne que tu es. Eh, voilà, je l'aime celle-là, parce que ça te remet en face un peu tes jugements. Parce que le fait de juger, d'avoir des préjugés, ça te définit toi dans le sens que c'est peut-être toi qui as un problème, un problème d'ego, un problème de blessure intérieure. C'est pour ça que tu portes des jugements vers les autres, parce que ça te fait du bien de planter les autres en bon québécois. Ça te remonte dans ton estime. Mais je ne dis pas que c'est une bonne affaire, pas ça. Mais le conscientiser, c'est le point de départ pour tenter d'arrêter tout ça. Une autre citation. Il y a une histoire derrière chaque personne et toujours une raison à pourquoi il est comme ça. Pensez-y avant de juger quelqu'un. Effectivement, on juge très facilement. On regarde quelqu'un et on fait hip, lay Oui, mais le hip de peler, elle n'a peut-être pas le choix, cette personne-là. Elle a toute une histoire en regard à soit son physique ou son attitude, ou peu importe. On nie qui pour juger ? On nie qui pour juger les autres personnes ? On ne nie pas mieux que les autres. Souvent, c'est ça. C'est des blessures intérieures. C'est notre jangui, notre égo qui fait que ça lui fait du bien de juger les autres parce que le temps qu'il juge les autres, ça ne regarde pas dans le miroir. Voilà. On va appeler un chat un chat. Une autre citation. Nous devrions nous examiner longuement et attentivement avant de porter un jugement sur les autres. C'est Molière qui a dit ça. Mais voilà. Donc, c'est ça. Regarde-toi dans le miroir avant de juger les autres parce que tu n'es pas mieux que les autres. Puis oui, il y en a aussi qui portent des jugements sur toi. Ça aussi, il faut lâcher prise là-dessus. Parce que là, je parle depuis tantôt qu'on juge beaucoup. Mais oui, on se fait juger aussi. Il y a des gens qui ont des préjugés par rapport à nous. Moi, j'en suis un sur deux pattes, un préjugé. Parce que, imaginez, j'étais notaire, mon envie, puis je suis devenue tout d'un coup une artiste. Écoute, il y a du monde qui m'ont jugée, il y a du monde qui ont des préjugés, puis qui disent, bien voyons donc que c'est ça. Mais c'est ça, mais ça, il ne faut pas s'arrêter à ça. Il faut les laisser faire, puis de continuer notre chemin, puis d'ignorer les gens qui ont des préjugés envers nous, parce que ça ne sert à rien de s'en faire avec ça. On n'a pas de contrôle là-dessus. Une autre belle citation. Ne jugez jamais sans connaître les deux côtés d'une médaille. N'oubliez jamais que chaque personne que vous croiserez sur votre chemin mène un combat dont vous ignorez l'existence. Bien voilà, on a tous nos combats dans la vie. Puis, tu sais, ça ne paraît pas tout le temps dans la face du monde au complet, ce qu'ils vivent, mais on en a une partie dans leur apparence ou dans leurs attitudes ou dans leur parler aussi. Mais on est qui pour juger ça ? Puis, tant qu'on n'est pas dans les bottines de cette personne-là, on n'a pas le droit de juger. On peut aider, par exemple. Tu sais, dans le fond, je ne suis pas meilleure qu'un autre, je vous le dis, mais on devrait… Mon Dieu, je suis capote à ma taille. Si tout le monde remplaçait l'énergie à avoir des préjugés, si on remplaçait cette énergie-là à aider les autres à la place. Tu vas voir une personne envers qui tu avais un préjugé il y a deux minutes, tu vas la voir et tu dis bonjour madame, bonjour monsieur, ça va bien ? Tu commences à jaser avec et tu te rends compte qu'ils ont une vie, ce n'est pas simple. Peut-être que tu peux faire une différence. Juste à tout le moins leur sourire et leur dire un beau bonjour, ça fait toute la différence. Je t'encourage à le faire. Une autre citation. L'ego s'obstine, s'entête et s'acharne. L'âme œuvre tranquillement, accueille, fait confiance et lâche prise. Ça, j'aime ça parce que c'est comme si, tu sais, dans les comiques, on voit ça des fois, on a un petit ange puis un petit diable. Le petit diable, moi, je prétends que c'est l'ego. Moi, mon ego, je l'ai appelé Jean-Guy. Puis le petit ange, moi, c'est la conscience, c'est l'intuition. Moi, je l'ai appelé Georgette, je trouve que ça lui fait bien. Fait que Georgette, elle, elle me dit de… Elle me dit d'accueillir, puis de faire confiance, puis de lâcher prise, tu sais, tout du positif. Puis Jean-Guy, il dit Ah ouais, ah ouais, juge, juge en masse. Puis tu sais, là, il n'a pas faim. Mais c'est ça. Mais là, tu réconcilies tout ce monde-là et la méthode Ho'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime, moi, je trouve que c'est une belle façon de le faire. Une autre citation. Il est aisé de s'accrocher à ses stéréotypes et ses idées préconçues. On se sent ainsi rassuré dans sa propre... ignorance. Et c'est Michelle Obama qui a dit ça. Effectivement, tu sais, quand tu ne connais pas, c'est facile de juger, mais c'est ça. Une fois que tu connais la situation ou la personne, bien, tu n'as plus la même vision de la patente. L'image vient de changer du tout, parce que là, tu viens d'avoir l'image au complet du personnage, puis tu ne peux pas avoir le même prix jugé. Ça peut être pire, comme ça peut être beaucoup mieux. Puis au-delà du jugement, bien, Caroline, si on peut faire une différence en aidant, tant mieux. Une autre citation, croyance, chose que l'on tient pour vrai malgré l'évidence du contraire. Ça, c'est bon. Parce qu'effectivement, puis surtout quand on est jeune, nos parents, écoute, ils ont la vérité infuse dans notre tête quand on est petit. On a des croyances, il faut travailler dur pour gagner de l'argent. C'est une croyance qui est très répandue. Mais non, pas nécessairement. Les artistes ne travaillent pas dur, ils ne travaillent pas. J'en suis la prévivante. Mais on gagne de l'argent pareil. Mais c'est ça. C'est des fausses croyances. Mais dans le fin fond de toi, tu peux penser le contraire. Mais là, vu que c'est ton parent qui te le dit, tu fais comme, ben, Colline doit avoir raison. Mais, dans ta tête, tu te fais comme Hum, pas sûr Bien, c'est ça. Ça, c'est des croyances. Puis, on peut s'en départir de ces croyances-là. J'ai des épisodes là-dessus. Comment on peut se départir de nos croyances qui ne nous appartiennent pas, en fait, parce que ces croyances-là ont été inculquées par tes parents. Ce n'est pas parce qu'elles viennent de tes parents qu'elles sont vraies. Donc, tout comme les valeurs et les vertus. Tout ça... on peut s'approprier nos propres valeurs, nos propres croyances, nos propres vertus à améliorer ou à avoir. Voilà. Une autre citation. L'ego est en compétition contre les autres. Il veut prouver à tous qu'il est le meilleur, le plus fort, le plus courageux, le plus beau, le plus éloquent, etc. Il est loin de se douter que nous ne formons qu'un et que nous ne sommes pas supérieurs ni inférieurs à quiconque. Moi, mon ego, je l'appelais Jean-Guy. Jean-Guy, lui, c'est le king. Écoute, c'est le king, the king. Lui, là, pour tout le monde autour, c'est tous des moins que rien. Jean-Guy, c'est le plus fort, c'est le meilleur. Lui, il est juste, tu penses. Écoute, moi, il faut que je le retienne. Avec ma Georgette, mon intuition, ma conscience. Georgette, elle dit, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy, wow, Jean-Guy. Mais c'est ça. Avec la méthode Ho'oponopono, on break Jean-Guy. avec le désolé, merci, pardon, le désolé, pardon, merci, je t'aime, on break un peu Jean-Guy pour que l'ego se calme le pompon un peu, parce que l'ego, oui, on en a besoin pour être fier de nous, fier de ce qu'on est, fier de ce qu'on fait, fier de ce qu'on a, mais il ne peut pas contrôler notre vie, sinon on jugerait à outrance tout le monde et n'importe quoi et tout le temps. Face à tes préjugés envers les autres ou ceux des autres à ton endroit, t'as... deux options. La première option, quand tu te fais juger, ça te met en bout de ta basse-flac pour ne pas dire d'autres choses. Tu publies sur les réseaux sociaux pour rétablir les faits. Tu réponds à ceux qui t'insultent. Tu ne sors plus de chez vous de peur de te faire juger encore. Puis quand c'est toi qui juges les autres, tu te fous des conséquences complètement. Tu te dis que tu as le droit à tes opinions, un point c'est tout. Puis ce qu'on ne sait pas, ça ne fait pas mal. C'est ce que tu crois. Puis tant que tu ne le dis pas à la personne concernée, tu n'as pas l'impression de faire du mal. Ou, la deuxième option, quand tu te fais juger par les autres, ton égo est blessé, mais tu bénis et tu pardonnes aux personnes qui t'ont fait du mal parce que tu dis que ce n'est pas de leur faute, ils souffrent probablement plus que moi. Et tout ça n'ébranle en aucun temps ta confiance. Et tu fais l'oponopono, désolé, pardon, merci, je t'aime. Donc, tu conscientises que ton jangui est dans le champ, que ton jangui est trop présent et que tu le rasseois. Sous le siège de l'alpeur pour dire, wow, Jean-Guy, tu pousses un peu trop fort et tu analyses la situation pour laquelle ton égo a besoin de juger. Puis, tu travailles le pourquoi du quoi qui fait en sorte que tu juges cette personne-là ou cette situation-là. En résumé, je t'ai raconté mon histoire à Bracadabrant. Je t'ai parlé de lâcher prise et d'égo. Je t'ai donné des exemples de situations où on juge les gens malgré nous. Je t'ai partagé des trucs pour arrêter de juger les autres et comment t'en dédouaner si tu continues à le faire. Je t'ai partagé et commenté plusieurs citations qui font réfléchir. Je t'ai présenté les options possibles du comment gérer tes préjugés et ceux des autres à ton endroit. À toi de décider comment tu gères les préjugés des autres et les tiens. J'espère sincèrement que tout ça t'a aidé et je te souhaite bonne chance dans la gestion de ton égo. Que ce soit pour une cérémonie de mariage, une cérémonie de funérail, pour l'animation d'un événement spécial, pour une conférence positive, spontanée ou sur mesure, pour écrire ta vie, un roman, un scénario, un hommage ou un discours, ou pour te procurer mes cartes sourires virtuelles ou mes livres, consulte le marijosé-saint-laurent.com. J'espère que tout ça t'a aidé. On reprend ça la semaine prochaine où je te parle de honte.

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