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IMPACTEDESMOTS

Utile ? : la question qui transforme

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15min |05/06/2025
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Utile ? : la question qui transforme

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15min |05/06/2025
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Description

Dans cet épisode, je t’invite à réfléchir à une question essentielle : Qu’est-ce qui est vraiment utile pour toi ?

On parle souvent, on débat, on cherche à convaincre… mais si chacun reste bloqué dans sa propre perception, les discussions tournent en rond.


Plutôt que d’imposer nos vérités, pourquoi ne pas commencer par définir ce qui est utile à notre propre conscience ?

C’est une démarche intime, qui permet de mieux comprendre nos comportements, notamment face aux addictions ou aux drames familiaux qui se répètent.


Et si, au lieu de chercher à avoir raison, on cherchait ce qui nous aide à avancer, à nous libérer, à mieux vivre ?

Parce qu’au fond, l’utile, c’est ce qui nous transforme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    De partout où tu te trouves, je te salue chaleureusement. Bienvenue sur ce podcast, je m'appelle Dée et c'est mon acronyme. Après des années de recherche et d'hésitation, j'ai décidé de trouver une manière de venir partager la profondeur que j'ai découvert derrière chaque mot. dans le but de te donner une piste de réflexion dans ton cheminement intérieur, pour que tu puisses te rendre compte que derrière chaque mot, il y a un impact positif ou négatif sur nos pensées. Si tu es croyant, tu vas découvrir ou redécouvrir la puissance de la parole à travers les mots. Si tu n'es pas croyant, tu vas découvrir que le hasard n'existe pas. D'ailleurs, la preuve, c'est que tu es en train d'écouter ce numéro. Je te souhaite une très bonne écoute.

  • Speaker #1

    À l'école primaire, j'aimais beaucoup le cours de biologie. J'étais toujours fascinée par tout ce que le corps humain pouvait produire et en même temps tout ce qu'il cachait. Parce que physiquement, on voit un corps, mais à l'intérieur, tellement de choses peuvent se passer. Et puis, ce qui est formidable, c'est que tout être humain développe en tout cas de base cinq sens. Lui, donc écouter, l'odorat, sentir, le goût, la bouche, le toucher, les mains, la vue, les yeux. Entre parenthèses, bien qu'aujourd'hui, d'autres l'ont vu. En deux ou trois personnes, on va leur poser la question sur une couleur précise. Et c'est toujours étonnant parce que les réponses sont parfois très différentes. Qui a raison et qui a tort ? Car chacun, en fait, va utiliser ses propres yeux et va avoir sa perception personnelle pour définir la couleur qu'elle voit. Et donc, encore une fois, ici, la perception, le ressenti est complètement différent. Parmi les synonymes que nous connaissons de la perception, on peut remplacer ça par compréhension. par la conscience, par l'impression, par la vue. Et je cite tous ces synonymes tout simplement pour qu'on prenne conscience que tout dépend en fait d'une personne à l'autre. On va aller plus loin avec cet exemple de vue. Il y a des personnes qu'on appelle daltoniens. Et dans le daltonisme, il y a aussi... des types différents. La protanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la perception du rouge. La deutéronopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur du vert. Et la tritanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur bleue. Alors, les perceptions sont donc différentes, encore une fois, d'une couleur. Et ça, comparé aux personnes dites normales, ces personnes-là ont une perception complètement différente par rapport à une couleur. Et là, la question que je me pose, et qu'on devrait tous se poser, pour beaucoup d'autres sujets dans la vie, on devrait avoir ce raisonnement. À quoi bon, en fait, convaincre une personne d'un point de vue ou d'une perception Ou bien plutôt, non je reprends, comment convaincre une personne plutôt par rapport à un point de vue ou d'une perception que cette personne n'a pas ou dont elle n'a clairement pas conscience ? Et là, c'est exactement le déclencheur qu'on développe. par la foi, pour la foi. Avoir conscience, c'est le déclencheur. qui va développer la foi. C'est ce qui fait en fait faire naître cette distinction dans l'observation de son ressenti, de sa compréhension des choses. Dans un Corinthien... 6.12, il est dit ceci, si je ne me trompe pas, tout m'est permis, mais tout n'est pas utile. Tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. Et donc il y a cette notion d'asservitude, c'est-à-dire qu'on ne se laisse pas dominer par quoi que ce soit. Et là, c'est l'éternelle discussion qu'on entend régulièrement. Beaucoup trop de personnes, dans leur façon de partager la parole de Dieu, imposent ou déclarent publiquement, ouvertement, des interdits. On ne peut pas faire ceci, on ne doit pas faire cela, il n'est pas digne de ceci, il n'est pas digne de cela. Et ces formulations, en fait, quand elles sont mal placées, ou en tout cas quand elles sont annoncées face à des personnes qui n'ont peut-être pas pris conscience de certaines choses, eh bien, elles produisent l'effet contraire. Les personnes se braquent, se ferment et ne comprennent pas parce que leur... perception, leur compréhension est totalement différente. Dans ce verset que je viens de partager, tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Déjà, il y a l'utilisation de la première personne du singulier. Tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Il n'est clairement pas dit tout nous est permis mais tout nous n'est pas utile. Donc, c'est-à-dire que C'est vraiment une prise de conscience personnelle. Et je vais prendre un exemple, parce que c'est important de comprendre que pour pouvoir arrêter certaines habitudes, pour pouvoir prendre les bonnes décisions, il est important de comprendre pourquoi il faut les prendre. Et c'est le seul moyen qui va faire que Une fois que la décision a été prise, en tout cas la prise de conscience a été relevée chez la personne concernée, il y a une grande probabilité qu'elle ne retombe plus dans les mauvaises habitudes. Par exemple, on va prendre le cas d'une personne qui fait de l'hypotension, donc une tension super basse. de manière générale, et une personne qui a le diabète. Mais un diabète sévère parce qu'il y a plusieurs types de diabète. Et face à ces deux personnes, vous avez une barre de chocolat ou un coca. Et dans ces deux cas, dans ces deux scénarios, la question... qui est à se poser, c'est quelqu'un qui est en train d'avoir une baisse de tension. Est-ce que cette personne-là peut se permettre de prendre cette boisson, ce coca ou ce chocolat ? Et si elle le prend ? quel va en être l'effet sur elle. Donc, est-ce qu'elle peut se permettre de le faire ? Et en face, la personne qui a un diabète sévère, est-ce qu'elle peut se permettre de prendre ce chocolat ou ce coquin ? Eh bien, dans les deux cas, oui, chacun de ces deux personnes. Ils peuvent se le permettre. Mais la question qu'elles doivent se poser, c'est est-ce que c'est quelque chose qui est utile ? Et utile, en français, ça veut dire quelque chose qui leur sert à amener un plus, quelque chose de positif. En anglais aussi, j'aime beaucoup le terme helpful. qui traduit, qui apporte de l'aide. Et donc chacun de ces deux personnes se pose cette question. L'un, clairement, trouvera que ce coca est utile et l'autre trouvera que ce coca n'est vraiment pas utile. Or, ça leur s'est permis. C'est un choix, c'est une perception. Et cette réflexion, elle peut encore aller plus loin. Lorsqu'on regarde dans les familles, dans vos familles, dans ma famille, il y a des familles où chaque génération répète les mêmes choses. Il y a des familles où l'alcool fait des ravages. Il y a des familles où la drogue... fait des ravages. Il y a des familles où il y a certaines habitudes qui concrètement font du tort à la santé, soit physique, soit mentale, soit des choses qui font du tort au niveau intra-relationnel. Et donc, chaque famille connaît sa réalité, ou en tout cas, chaque personne dans une famille peut à un certain moment... Prendre le temps de juste analyser ce qui s'est passé dans les anciennes générations et voir ce qui se répète dans la génération dans laquelle elle se trouve aujourd'hui. Que chacun d'entre nous doit se poser, c'est est-ce que c'est utile ? Est-ce que moi aujourd'hui... Ces habitudes que je tiens quelque part de ma famille sont pour moi utiles. Bien qu'elles soient permis, mais est-ce qu'elles sont utiles ? Et là, il y a ce déclenchement de conscience qui apparaît. Et donc, c'est la responsabilité de chacun de se conscientiser sur certaines habitudes. ou certains choix. Dans Luc 6 41, il est dit « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » Et c'est exactement ça. Tout est une question de perception. Tout est une question de perception et de conscience. Et je pense que pour une personne qui est chrétienne, qui a accepté Jésus-Christ comme étant son Seigneur et Sauveur, nous sommes absolument certains d'une chose, c'est que... Les chrétiens sont égaux aux yeux de Dieu, sont autant égaux que les personnes qui sont païennes, parce que Dieu a un regard sur ceux qui croient en lui, mais aussi sur ceux qui ne croient pas en lui. Et donc quelque part, si nous sommes tous égaux, qui sommes-nous pour condamner ? L'autre, sur les mauvaises habitudes qu'elle a. Et ça, c'est une question sur laquelle on peut encore développer. Mais je pense que la profondeur du message est ceci, c'est que qu'est-ce qui est utile ? dans toutes les décisions que nous devons prendre. dans toutes les décisions que nous devons prendre, se poser la question, est-ce que cela est utile ? Et surtout, est-ce que je ne serai pas dominée par cette mauvaise habitude ? Merci d'avoir écouté cette émission.

Description

Dans cet épisode, je t’invite à réfléchir à une question essentielle : Qu’est-ce qui est vraiment utile pour toi ?

On parle souvent, on débat, on cherche à convaincre… mais si chacun reste bloqué dans sa propre perception, les discussions tournent en rond.


Plutôt que d’imposer nos vérités, pourquoi ne pas commencer par définir ce qui est utile à notre propre conscience ?

C’est une démarche intime, qui permet de mieux comprendre nos comportements, notamment face aux addictions ou aux drames familiaux qui se répètent.


Et si, au lieu de chercher à avoir raison, on cherchait ce qui nous aide à avancer, à nous libérer, à mieux vivre ?

Parce qu’au fond, l’utile, c’est ce qui nous transforme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    De partout où tu te trouves, je te salue chaleureusement. Bienvenue sur ce podcast, je m'appelle Dée et c'est mon acronyme. Après des années de recherche et d'hésitation, j'ai décidé de trouver une manière de venir partager la profondeur que j'ai découvert derrière chaque mot. dans le but de te donner une piste de réflexion dans ton cheminement intérieur, pour que tu puisses te rendre compte que derrière chaque mot, il y a un impact positif ou négatif sur nos pensées. Si tu es croyant, tu vas découvrir ou redécouvrir la puissance de la parole à travers les mots. Si tu n'es pas croyant, tu vas découvrir que le hasard n'existe pas. D'ailleurs, la preuve, c'est que tu es en train d'écouter ce numéro. Je te souhaite une très bonne écoute.

  • Speaker #1

    À l'école primaire, j'aimais beaucoup le cours de biologie. J'étais toujours fascinée par tout ce que le corps humain pouvait produire et en même temps tout ce qu'il cachait. Parce que physiquement, on voit un corps, mais à l'intérieur, tellement de choses peuvent se passer. Et puis, ce qui est formidable, c'est que tout être humain développe en tout cas de base cinq sens. Lui, donc écouter, l'odorat, sentir, le goût, la bouche, le toucher, les mains, la vue, les yeux. Entre parenthèses, bien qu'aujourd'hui, d'autres l'ont vu. En deux ou trois personnes, on va leur poser la question sur une couleur précise. Et c'est toujours étonnant parce que les réponses sont parfois très différentes. Qui a raison et qui a tort ? Car chacun, en fait, va utiliser ses propres yeux et va avoir sa perception personnelle pour définir la couleur qu'elle voit. Et donc, encore une fois, ici, la perception, le ressenti est complètement différent. Parmi les synonymes que nous connaissons de la perception, on peut remplacer ça par compréhension. par la conscience, par l'impression, par la vue. Et je cite tous ces synonymes tout simplement pour qu'on prenne conscience que tout dépend en fait d'une personne à l'autre. On va aller plus loin avec cet exemple de vue. Il y a des personnes qu'on appelle daltoniens. Et dans le daltonisme, il y a aussi... des types différents. La protanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la perception du rouge. La deutéronopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur du vert. Et la tritanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur bleue. Alors, les perceptions sont donc différentes, encore une fois, d'une couleur. Et ça, comparé aux personnes dites normales, ces personnes-là ont une perception complètement différente par rapport à une couleur. Et là, la question que je me pose, et qu'on devrait tous se poser, pour beaucoup d'autres sujets dans la vie, on devrait avoir ce raisonnement. À quoi bon, en fait, convaincre une personne d'un point de vue ou d'une perception Ou bien plutôt, non je reprends, comment convaincre une personne plutôt par rapport à un point de vue ou d'une perception que cette personne n'a pas ou dont elle n'a clairement pas conscience ? Et là, c'est exactement le déclencheur qu'on développe. par la foi, pour la foi. Avoir conscience, c'est le déclencheur. qui va développer la foi. C'est ce qui fait en fait faire naître cette distinction dans l'observation de son ressenti, de sa compréhension des choses. Dans un Corinthien... 6.12, il est dit ceci, si je ne me trompe pas, tout m'est permis, mais tout n'est pas utile. Tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. Et donc il y a cette notion d'asservitude, c'est-à-dire qu'on ne se laisse pas dominer par quoi que ce soit. Et là, c'est l'éternelle discussion qu'on entend régulièrement. Beaucoup trop de personnes, dans leur façon de partager la parole de Dieu, imposent ou déclarent publiquement, ouvertement, des interdits. On ne peut pas faire ceci, on ne doit pas faire cela, il n'est pas digne de ceci, il n'est pas digne de cela. Et ces formulations, en fait, quand elles sont mal placées, ou en tout cas quand elles sont annoncées face à des personnes qui n'ont peut-être pas pris conscience de certaines choses, eh bien, elles produisent l'effet contraire. Les personnes se braquent, se ferment et ne comprennent pas parce que leur... perception, leur compréhension est totalement différente. Dans ce verset que je viens de partager, tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Déjà, il y a l'utilisation de la première personne du singulier. Tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Il n'est clairement pas dit tout nous est permis mais tout nous n'est pas utile. Donc, c'est-à-dire que C'est vraiment une prise de conscience personnelle. Et je vais prendre un exemple, parce que c'est important de comprendre que pour pouvoir arrêter certaines habitudes, pour pouvoir prendre les bonnes décisions, il est important de comprendre pourquoi il faut les prendre. Et c'est le seul moyen qui va faire que Une fois que la décision a été prise, en tout cas la prise de conscience a été relevée chez la personne concernée, il y a une grande probabilité qu'elle ne retombe plus dans les mauvaises habitudes. Par exemple, on va prendre le cas d'une personne qui fait de l'hypotension, donc une tension super basse. de manière générale, et une personne qui a le diabète. Mais un diabète sévère parce qu'il y a plusieurs types de diabète. Et face à ces deux personnes, vous avez une barre de chocolat ou un coca. Et dans ces deux cas, dans ces deux scénarios, la question... qui est à se poser, c'est quelqu'un qui est en train d'avoir une baisse de tension. Est-ce que cette personne-là peut se permettre de prendre cette boisson, ce coca ou ce chocolat ? Et si elle le prend ? quel va en être l'effet sur elle. Donc, est-ce qu'elle peut se permettre de le faire ? Et en face, la personne qui a un diabète sévère, est-ce qu'elle peut se permettre de prendre ce chocolat ou ce coquin ? Eh bien, dans les deux cas, oui, chacun de ces deux personnes. Ils peuvent se le permettre. Mais la question qu'elles doivent se poser, c'est est-ce que c'est quelque chose qui est utile ? Et utile, en français, ça veut dire quelque chose qui leur sert à amener un plus, quelque chose de positif. En anglais aussi, j'aime beaucoup le terme helpful. qui traduit, qui apporte de l'aide. Et donc chacun de ces deux personnes se pose cette question. L'un, clairement, trouvera que ce coca est utile et l'autre trouvera que ce coca n'est vraiment pas utile. Or, ça leur s'est permis. C'est un choix, c'est une perception. Et cette réflexion, elle peut encore aller plus loin. Lorsqu'on regarde dans les familles, dans vos familles, dans ma famille, il y a des familles où chaque génération répète les mêmes choses. Il y a des familles où l'alcool fait des ravages. Il y a des familles où la drogue... fait des ravages. Il y a des familles où il y a certaines habitudes qui concrètement font du tort à la santé, soit physique, soit mentale, soit des choses qui font du tort au niveau intra-relationnel. Et donc, chaque famille connaît sa réalité, ou en tout cas, chaque personne dans une famille peut à un certain moment... Prendre le temps de juste analyser ce qui s'est passé dans les anciennes générations et voir ce qui se répète dans la génération dans laquelle elle se trouve aujourd'hui. Que chacun d'entre nous doit se poser, c'est est-ce que c'est utile ? Est-ce que moi aujourd'hui... Ces habitudes que je tiens quelque part de ma famille sont pour moi utiles. Bien qu'elles soient permis, mais est-ce qu'elles sont utiles ? Et là, il y a ce déclenchement de conscience qui apparaît. Et donc, c'est la responsabilité de chacun de se conscientiser sur certaines habitudes. ou certains choix. Dans Luc 6 41, il est dit « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » Et c'est exactement ça. Tout est une question de perception. Tout est une question de perception et de conscience. Et je pense que pour une personne qui est chrétienne, qui a accepté Jésus-Christ comme étant son Seigneur et Sauveur, nous sommes absolument certains d'une chose, c'est que... Les chrétiens sont égaux aux yeux de Dieu, sont autant égaux que les personnes qui sont païennes, parce que Dieu a un regard sur ceux qui croient en lui, mais aussi sur ceux qui ne croient pas en lui. Et donc quelque part, si nous sommes tous égaux, qui sommes-nous pour condamner ? L'autre, sur les mauvaises habitudes qu'elle a. Et ça, c'est une question sur laquelle on peut encore développer. Mais je pense que la profondeur du message est ceci, c'est que qu'est-ce qui est utile ? dans toutes les décisions que nous devons prendre. dans toutes les décisions que nous devons prendre, se poser la question, est-ce que cela est utile ? Et surtout, est-ce que je ne serai pas dominée par cette mauvaise habitude ? Merci d'avoir écouté cette émission.

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Dans cet épisode, je t’invite à réfléchir à une question essentielle : Qu’est-ce qui est vraiment utile pour toi ?

On parle souvent, on débat, on cherche à convaincre… mais si chacun reste bloqué dans sa propre perception, les discussions tournent en rond.


Plutôt que d’imposer nos vérités, pourquoi ne pas commencer par définir ce qui est utile à notre propre conscience ?

C’est une démarche intime, qui permet de mieux comprendre nos comportements, notamment face aux addictions ou aux drames familiaux qui se répètent.


Et si, au lieu de chercher à avoir raison, on cherchait ce qui nous aide à avancer, à nous libérer, à mieux vivre ?

Parce qu’au fond, l’utile, c’est ce qui nous transforme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    De partout où tu te trouves, je te salue chaleureusement. Bienvenue sur ce podcast, je m'appelle Dée et c'est mon acronyme. Après des années de recherche et d'hésitation, j'ai décidé de trouver une manière de venir partager la profondeur que j'ai découvert derrière chaque mot. dans le but de te donner une piste de réflexion dans ton cheminement intérieur, pour que tu puisses te rendre compte que derrière chaque mot, il y a un impact positif ou négatif sur nos pensées. Si tu es croyant, tu vas découvrir ou redécouvrir la puissance de la parole à travers les mots. Si tu n'es pas croyant, tu vas découvrir que le hasard n'existe pas. D'ailleurs, la preuve, c'est que tu es en train d'écouter ce numéro. Je te souhaite une très bonne écoute.

  • Speaker #1

    À l'école primaire, j'aimais beaucoup le cours de biologie. J'étais toujours fascinée par tout ce que le corps humain pouvait produire et en même temps tout ce qu'il cachait. Parce que physiquement, on voit un corps, mais à l'intérieur, tellement de choses peuvent se passer. Et puis, ce qui est formidable, c'est que tout être humain développe en tout cas de base cinq sens. Lui, donc écouter, l'odorat, sentir, le goût, la bouche, le toucher, les mains, la vue, les yeux. Entre parenthèses, bien qu'aujourd'hui, d'autres l'ont vu. En deux ou trois personnes, on va leur poser la question sur une couleur précise. Et c'est toujours étonnant parce que les réponses sont parfois très différentes. Qui a raison et qui a tort ? Car chacun, en fait, va utiliser ses propres yeux et va avoir sa perception personnelle pour définir la couleur qu'elle voit. Et donc, encore une fois, ici, la perception, le ressenti est complètement différent. Parmi les synonymes que nous connaissons de la perception, on peut remplacer ça par compréhension. par la conscience, par l'impression, par la vue. Et je cite tous ces synonymes tout simplement pour qu'on prenne conscience que tout dépend en fait d'une personne à l'autre. On va aller plus loin avec cet exemple de vue. Il y a des personnes qu'on appelle daltoniens. Et dans le daltonisme, il y a aussi... des types différents. La protanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la perception du rouge. La deutéronopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur du vert. Et la tritanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur bleue. Alors, les perceptions sont donc différentes, encore une fois, d'une couleur. Et ça, comparé aux personnes dites normales, ces personnes-là ont une perception complètement différente par rapport à une couleur. Et là, la question que je me pose, et qu'on devrait tous se poser, pour beaucoup d'autres sujets dans la vie, on devrait avoir ce raisonnement. À quoi bon, en fait, convaincre une personne d'un point de vue ou d'une perception Ou bien plutôt, non je reprends, comment convaincre une personne plutôt par rapport à un point de vue ou d'une perception que cette personne n'a pas ou dont elle n'a clairement pas conscience ? Et là, c'est exactement le déclencheur qu'on développe. par la foi, pour la foi. Avoir conscience, c'est le déclencheur. qui va développer la foi. C'est ce qui fait en fait faire naître cette distinction dans l'observation de son ressenti, de sa compréhension des choses. Dans un Corinthien... 6.12, il est dit ceci, si je ne me trompe pas, tout m'est permis, mais tout n'est pas utile. Tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. Et donc il y a cette notion d'asservitude, c'est-à-dire qu'on ne se laisse pas dominer par quoi que ce soit. Et là, c'est l'éternelle discussion qu'on entend régulièrement. Beaucoup trop de personnes, dans leur façon de partager la parole de Dieu, imposent ou déclarent publiquement, ouvertement, des interdits. On ne peut pas faire ceci, on ne doit pas faire cela, il n'est pas digne de ceci, il n'est pas digne de cela. Et ces formulations, en fait, quand elles sont mal placées, ou en tout cas quand elles sont annoncées face à des personnes qui n'ont peut-être pas pris conscience de certaines choses, eh bien, elles produisent l'effet contraire. Les personnes se braquent, se ferment et ne comprennent pas parce que leur... perception, leur compréhension est totalement différente. Dans ce verset que je viens de partager, tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Déjà, il y a l'utilisation de la première personne du singulier. Tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Il n'est clairement pas dit tout nous est permis mais tout nous n'est pas utile. Donc, c'est-à-dire que C'est vraiment une prise de conscience personnelle. Et je vais prendre un exemple, parce que c'est important de comprendre que pour pouvoir arrêter certaines habitudes, pour pouvoir prendre les bonnes décisions, il est important de comprendre pourquoi il faut les prendre. Et c'est le seul moyen qui va faire que Une fois que la décision a été prise, en tout cas la prise de conscience a été relevée chez la personne concernée, il y a une grande probabilité qu'elle ne retombe plus dans les mauvaises habitudes. Par exemple, on va prendre le cas d'une personne qui fait de l'hypotension, donc une tension super basse. de manière générale, et une personne qui a le diabète. Mais un diabète sévère parce qu'il y a plusieurs types de diabète. Et face à ces deux personnes, vous avez une barre de chocolat ou un coca. Et dans ces deux cas, dans ces deux scénarios, la question... qui est à se poser, c'est quelqu'un qui est en train d'avoir une baisse de tension. Est-ce que cette personne-là peut se permettre de prendre cette boisson, ce coca ou ce chocolat ? Et si elle le prend ? quel va en être l'effet sur elle. Donc, est-ce qu'elle peut se permettre de le faire ? Et en face, la personne qui a un diabète sévère, est-ce qu'elle peut se permettre de prendre ce chocolat ou ce coquin ? Eh bien, dans les deux cas, oui, chacun de ces deux personnes. Ils peuvent se le permettre. Mais la question qu'elles doivent se poser, c'est est-ce que c'est quelque chose qui est utile ? Et utile, en français, ça veut dire quelque chose qui leur sert à amener un plus, quelque chose de positif. En anglais aussi, j'aime beaucoup le terme helpful. qui traduit, qui apporte de l'aide. Et donc chacun de ces deux personnes se pose cette question. L'un, clairement, trouvera que ce coca est utile et l'autre trouvera que ce coca n'est vraiment pas utile. Or, ça leur s'est permis. C'est un choix, c'est une perception. Et cette réflexion, elle peut encore aller plus loin. Lorsqu'on regarde dans les familles, dans vos familles, dans ma famille, il y a des familles où chaque génération répète les mêmes choses. Il y a des familles où l'alcool fait des ravages. Il y a des familles où la drogue... fait des ravages. Il y a des familles où il y a certaines habitudes qui concrètement font du tort à la santé, soit physique, soit mentale, soit des choses qui font du tort au niveau intra-relationnel. Et donc, chaque famille connaît sa réalité, ou en tout cas, chaque personne dans une famille peut à un certain moment... Prendre le temps de juste analyser ce qui s'est passé dans les anciennes générations et voir ce qui se répète dans la génération dans laquelle elle se trouve aujourd'hui. Que chacun d'entre nous doit se poser, c'est est-ce que c'est utile ? Est-ce que moi aujourd'hui... Ces habitudes que je tiens quelque part de ma famille sont pour moi utiles. Bien qu'elles soient permis, mais est-ce qu'elles sont utiles ? Et là, il y a ce déclenchement de conscience qui apparaît. Et donc, c'est la responsabilité de chacun de se conscientiser sur certaines habitudes. ou certains choix. Dans Luc 6 41, il est dit « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » Et c'est exactement ça. Tout est une question de perception. Tout est une question de perception et de conscience. Et je pense que pour une personne qui est chrétienne, qui a accepté Jésus-Christ comme étant son Seigneur et Sauveur, nous sommes absolument certains d'une chose, c'est que... Les chrétiens sont égaux aux yeux de Dieu, sont autant égaux que les personnes qui sont païennes, parce que Dieu a un regard sur ceux qui croient en lui, mais aussi sur ceux qui ne croient pas en lui. Et donc quelque part, si nous sommes tous égaux, qui sommes-nous pour condamner ? L'autre, sur les mauvaises habitudes qu'elle a. Et ça, c'est une question sur laquelle on peut encore développer. Mais je pense que la profondeur du message est ceci, c'est que qu'est-ce qui est utile ? dans toutes les décisions que nous devons prendre. dans toutes les décisions que nous devons prendre, se poser la question, est-ce que cela est utile ? Et surtout, est-ce que je ne serai pas dominée par cette mauvaise habitude ? Merci d'avoir écouté cette émission.

Description

Dans cet épisode, je t’invite à réfléchir à une question essentielle : Qu’est-ce qui est vraiment utile pour toi ?

On parle souvent, on débat, on cherche à convaincre… mais si chacun reste bloqué dans sa propre perception, les discussions tournent en rond.


Plutôt que d’imposer nos vérités, pourquoi ne pas commencer par définir ce qui est utile à notre propre conscience ?

C’est une démarche intime, qui permet de mieux comprendre nos comportements, notamment face aux addictions ou aux drames familiaux qui se répètent.


Et si, au lieu de chercher à avoir raison, on cherchait ce qui nous aide à avancer, à nous libérer, à mieux vivre ?

Parce qu’au fond, l’utile, c’est ce qui nous transforme.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    De partout où tu te trouves, je te salue chaleureusement. Bienvenue sur ce podcast, je m'appelle Dée et c'est mon acronyme. Après des années de recherche et d'hésitation, j'ai décidé de trouver une manière de venir partager la profondeur que j'ai découvert derrière chaque mot. dans le but de te donner une piste de réflexion dans ton cheminement intérieur, pour que tu puisses te rendre compte que derrière chaque mot, il y a un impact positif ou négatif sur nos pensées. Si tu es croyant, tu vas découvrir ou redécouvrir la puissance de la parole à travers les mots. Si tu n'es pas croyant, tu vas découvrir que le hasard n'existe pas. D'ailleurs, la preuve, c'est que tu es en train d'écouter ce numéro. Je te souhaite une très bonne écoute.

  • Speaker #1

    À l'école primaire, j'aimais beaucoup le cours de biologie. J'étais toujours fascinée par tout ce que le corps humain pouvait produire et en même temps tout ce qu'il cachait. Parce que physiquement, on voit un corps, mais à l'intérieur, tellement de choses peuvent se passer. Et puis, ce qui est formidable, c'est que tout être humain développe en tout cas de base cinq sens. Lui, donc écouter, l'odorat, sentir, le goût, la bouche, le toucher, les mains, la vue, les yeux. Entre parenthèses, bien qu'aujourd'hui, d'autres l'ont vu. En deux ou trois personnes, on va leur poser la question sur une couleur précise. Et c'est toujours étonnant parce que les réponses sont parfois très différentes. Qui a raison et qui a tort ? Car chacun, en fait, va utiliser ses propres yeux et va avoir sa perception personnelle pour définir la couleur qu'elle voit. Et donc, encore une fois, ici, la perception, le ressenti est complètement différent. Parmi les synonymes que nous connaissons de la perception, on peut remplacer ça par compréhension. par la conscience, par l'impression, par la vue. Et je cite tous ces synonymes tout simplement pour qu'on prenne conscience que tout dépend en fait d'une personne à l'autre. On va aller plus loin avec cet exemple de vue. Il y a des personnes qu'on appelle daltoniens. Et dans le daltonisme, il y a aussi... des types différents. La protanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la perception du rouge. La deutéronopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur du vert. Et la tritanopie, c'est lorsqu'on a l'absence de la couleur bleue. Alors, les perceptions sont donc différentes, encore une fois, d'une couleur. Et ça, comparé aux personnes dites normales, ces personnes-là ont une perception complètement différente par rapport à une couleur. Et là, la question que je me pose, et qu'on devrait tous se poser, pour beaucoup d'autres sujets dans la vie, on devrait avoir ce raisonnement. À quoi bon, en fait, convaincre une personne d'un point de vue ou d'une perception Ou bien plutôt, non je reprends, comment convaincre une personne plutôt par rapport à un point de vue ou d'une perception que cette personne n'a pas ou dont elle n'a clairement pas conscience ? Et là, c'est exactement le déclencheur qu'on développe. par la foi, pour la foi. Avoir conscience, c'est le déclencheur. qui va développer la foi. C'est ce qui fait en fait faire naître cette distinction dans l'observation de son ressenti, de sa compréhension des choses. Dans un Corinthien... 6.12, il est dit ceci, si je ne me trompe pas, tout m'est permis, mais tout n'est pas utile. Tout m'est permis, mais je ne me laisserai asservir par quoi que ce soit. Et donc il y a cette notion d'asservitude, c'est-à-dire qu'on ne se laisse pas dominer par quoi que ce soit. Et là, c'est l'éternelle discussion qu'on entend régulièrement. Beaucoup trop de personnes, dans leur façon de partager la parole de Dieu, imposent ou déclarent publiquement, ouvertement, des interdits. On ne peut pas faire ceci, on ne doit pas faire cela, il n'est pas digne de ceci, il n'est pas digne de cela. Et ces formulations, en fait, quand elles sont mal placées, ou en tout cas quand elles sont annoncées face à des personnes qui n'ont peut-être pas pris conscience de certaines choses, eh bien, elles produisent l'effet contraire. Les personnes se braquent, se ferment et ne comprennent pas parce que leur... perception, leur compréhension est totalement différente. Dans ce verset que je viens de partager, tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Déjà, il y a l'utilisation de la première personne du singulier. Tout m'est permis mais tout n'est pas utile. Il n'est clairement pas dit tout nous est permis mais tout nous n'est pas utile. Donc, c'est-à-dire que C'est vraiment une prise de conscience personnelle. Et je vais prendre un exemple, parce que c'est important de comprendre que pour pouvoir arrêter certaines habitudes, pour pouvoir prendre les bonnes décisions, il est important de comprendre pourquoi il faut les prendre. Et c'est le seul moyen qui va faire que Une fois que la décision a été prise, en tout cas la prise de conscience a été relevée chez la personne concernée, il y a une grande probabilité qu'elle ne retombe plus dans les mauvaises habitudes. Par exemple, on va prendre le cas d'une personne qui fait de l'hypotension, donc une tension super basse. de manière générale, et une personne qui a le diabète. Mais un diabète sévère parce qu'il y a plusieurs types de diabète. Et face à ces deux personnes, vous avez une barre de chocolat ou un coca. Et dans ces deux cas, dans ces deux scénarios, la question... qui est à se poser, c'est quelqu'un qui est en train d'avoir une baisse de tension. Est-ce que cette personne-là peut se permettre de prendre cette boisson, ce coca ou ce chocolat ? Et si elle le prend ? quel va en être l'effet sur elle. Donc, est-ce qu'elle peut se permettre de le faire ? Et en face, la personne qui a un diabète sévère, est-ce qu'elle peut se permettre de prendre ce chocolat ou ce coquin ? Eh bien, dans les deux cas, oui, chacun de ces deux personnes. Ils peuvent se le permettre. Mais la question qu'elles doivent se poser, c'est est-ce que c'est quelque chose qui est utile ? Et utile, en français, ça veut dire quelque chose qui leur sert à amener un plus, quelque chose de positif. En anglais aussi, j'aime beaucoup le terme helpful. qui traduit, qui apporte de l'aide. Et donc chacun de ces deux personnes se pose cette question. L'un, clairement, trouvera que ce coca est utile et l'autre trouvera que ce coca n'est vraiment pas utile. Or, ça leur s'est permis. C'est un choix, c'est une perception. Et cette réflexion, elle peut encore aller plus loin. Lorsqu'on regarde dans les familles, dans vos familles, dans ma famille, il y a des familles où chaque génération répète les mêmes choses. Il y a des familles où l'alcool fait des ravages. Il y a des familles où la drogue... fait des ravages. Il y a des familles où il y a certaines habitudes qui concrètement font du tort à la santé, soit physique, soit mentale, soit des choses qui font du tort au niveau intra-relationnel. Et donc, chaque famille connaît sa réalité, ou en tout cas, chaque personne dans une famille peut à un certain moment... Prendre le temps de juste analyser ce qui s'est passé dans les anciennes générations et voir ce qui se répète dans la génération dans laquelle elle se trouve aujourd'hui. Que chacun d'entre nous doit se poser, c'est est-ce que c'est utile ? Est-ce que moi aujourd'hui... Ces habitudes que je tiens quelque part de ma famille sont pour moi utiles. Bien qu'elles soient permis, mais est-ce qu'elles sont utiles ? Et là, il y a ce déclenchement de conscience qui apparaît. Et donc, c'est la responsabilité de chacun de se conscientiser sur certaines habitudes. ou certains choix. Dans Luc 6 41, il est dit « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'œil de ton frère et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? » Et c'est exactement ça. Tout est une question de perception. Tout est une question de perception et de conscience. Et je pense que pour une personne qui est chrétienne, qui a accepté Jésus-Christ comme étant son Seigneur et Sauveur, nous sommes absolument certains d'une chose, c'est que... Les chrétiens sont égaux aux yeux de Dieu, sont autant égaux que les personnes qui sont païennes, parce que Dieu a un regard sur ceux qui croient en lui, mais aussi sur ceux qui ne croient pas en lui. Et donc quelque part, si nous sommes tous égaux, qui sommes-nous pour condamner ? L'autre, sur les mauvaises habitudes qu'elle a. Et ça, c'est une question sur laquelle on peut encore développer. Mais je pense que la profondeur du message est ceci, c'est que qu'est-ce qui est utile ? dans toutes les décisions que nous devons prendre. dans toutes les décisions que nous devons prendre, se poser la question, est-ce que cela est utile ? Et surtout, est-ce que je ne serai pas dominée par cette mauvaise habitude ? Merci d'avoir écouté cette émission.

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