Speaker #0Vivre en conscience cette période d'ascension collective avec amour, simplicité, parfois poésie. Les podcasts de l'ascension.com Aujourd'hui on célèbre le dimanche des rameaux et j'avais envie de t'éclairer un peu sur cet événement. Alors au-delà de la religion, tu sais que moi je tiens vraiment à être libre et sans dogme aucun. Donc ni pour la religion ni contre la religion. Chacun vit sa foi à sa façon et c'est très bien comme ça. Ici c'est juste pour t'éclairer un peu plus et... Et savoir aussi ce qui s'est réellement passé avant cette entrée dans Jérusalem, parce que les rameaux, c'est ça, ça symbolise son entrée, l'entrée d'Yéchoa, pardon, dans la Jérusalem, la ville de Jérusalem, avant qu'il vive son arrestation et toutes les horreurs qu'il a subies ensuite. Alors, avant d'entrer dans Jérusalem, il y a eu... Beaucoup, beaucoup d'événements. Certains très positifs, et puis d'autres moins. Alors, on va commencer par les positifs. Ça faisait déjà plusieurs semaines que nous parlions entre nous de cette entrée dans la ville. Il en parlait beaucoup à ses disciples, notamment, et puis à Marie-Madeleine, et puis voilà. ceux qui étaient proches de lui. Et c'était un sujet très important parce que les mois qui ont précédé, il a vraiment amplifié son enseignement. Il y avait de plus en plus de monde qui venait à lui l'écouter. C'était merveilleux d'ailleurs, bien sûr. Et puis, donc ça prenait de l'ampleur, si tu veux. Et en même temps que ça prenait de l'ampleur... Donc il en était à la fois heureux et à la fois investi et à la fois détaché dans sa grande humilité, sa grande présence. Et il y avait beaucoup de tensions par rapport aux autorités de cette époque, avec vraiment un acharnement. contre lui qui commençait à prendre beaucoup beaucoup beaucoup d'ampleur là aussi parce que comme il y avait de plus en plus de monde qui suivait ses enseignements, bien forcément ça dérangeait énormément si tu veux et plus il dérangeait plus les autorités et les prêtres étaient vraiment en rage contre lui ne le reconnaissant pas, c'est ça qui est quand même terrible ne le reconnaissant pas dans qui il est, ce roi, ce vrai roi, ce fils divin, descendu, ce messie, attendu et prophétisé par notamment Zacharie en amont, et puis Jean-Baptiste bien sûr aussi, et puis d'autres. Et Yeshua était très soucieux à ce moment-là, très guidé. Et vraiment, son père était vraiment présent. Abba était vraiment beaucoup, beaucoup présent avec lui dans sa guidance. Évidemment, ses anges autour de lui, tellement de monde. Et ses maîtres incarnés et non incarnés aussi. Et heureusement, il était entouré de sa famille, de ceux qu'il aimait profondément. Et sur qui il pouvait vraiment compter, tu vois. Et dans les tensions, il y avait aussi les prémices, enfin les prémices, plus que des prémices d'ailleurs, de ceux qui le trahissaient, qui étaient en train déjà de le trahir et qui l'ont tellement trahi ensuite, même au sein de ses disciples, ça c'est une réalité. Et donc si tu veux, il y avait vraiment une ambiance qui était... pas facile, qui n'était pas saine. Donc, il se réfugiait beaucoup dans la prière, il se réfugiait beaucoup avec... avec Madeleine, avec Marie, Joseph, ceux sur qui vraiment ils pouvaient compter, ceux qui ne le trahiraient jamais, et qui étaient ses piliers fondateurs, Jean notamment, qui est un de ses piliers forts, et puis d'autres bien sûr. Et donc pendant toute cette préparation, Avec Madeleine, il discutait beaucoup de comment il allait entrer dans cette ville parce que vraiment, il y avait une foule qui l'attendait, qui était assez considérable. Et l'entrée, de façon assez spectaculaire et en même temps très humble. Et donc Madeleine a émis... La volonté aussi pour le protéger, de l'accompagner, d'être même au devant. Et donc pour une femme à cette époque-là, c'était sacrément culotté et puissant de symbole. Et puis, bien sûr, il y avait d'autres disciples qui étaient au devant et qui le protégeaient. Et il y a choix absolument tenu. à être accompagné d'un âne, pour la simplicité du berger, pour la terre, pour le vivant, pour se défendre aussi contre les accusations que certains proféraient contre lui. Vraiment des choses que je ne vais pas te répéter ici parce que c'est vraiment immonde ce qu'ils pouvaient entendre. contre lui. Et donc, c'était sa façon à lui de montrer le vrai roi, le roi du peuple, et pas un roi intouchable, distant, vraiment pas au fait de la communauté. C'était vraiment tout l'inverse qu'il souhaitait. Être très... à proximité du peuple, des peuples, à proximité aussi de celui ou celle étant capable de le voir, l'entendre, le reconnaître, et s'asseoir à ses pieds en recevant son enseignement, oral, de façon pure, simple, vraie, dans la nature, souvent près des arbres. où il aimait beaucoup s'inspirer de ces endroits sacrés. Et donc, ceux qui le reconnaissaient, qui sentaient dans leur cœur et dans leur esprit que c'était un être particulier et magnifique, envoyé de Dieu, clairement, et bien... se nourrissait de sa lumière, mais pas dans une avidité, dans un accomplissement, dans un moment assez unique d'être en présence d'un maître. Et quand on est en présence d'un maître, c'est ça qu'il se passe. On sait au fond de soi, on le ressent, on ne comprend pas forcément tout, mais peu importe. On a cette certitude en nous d'être au contact de quelqu'un de précieux, de rare, d'important. mais qui ne se croit pas important, qui ne se rend pas important, qui ne fait pas tout un tas de fioritures et de déguisements pour être important. Non, au contraire, il y a une vérité et Yeshua incarne la vérité. Et donc, dans cette entrée à Jérusalem, où il savait qu'il allait être vraiment décrié, ou spiés et possiblement arrêtés. Il le savait très bien, je vous en parlerai après. Je vous en parlerai pour la Pâques. Mais il était à la fois inquiet et à la fois extrêmement confiant parce que c'était aussi sa mission. À ce moment-là, il remplissait sa mission d'âme. Donc c'était une étape extrêmement importante. où il avait donc notion du danger, mais aussi de se montrer, d'oser se montrer tel qu'il était, d'oser prendre sa vraie place. Donc, parmi le peuple, avec le peuple, pour révolutionner ce qui se passait à cette époque-là et où le temple était interdit. Il n'y avait que les prêtres et les hauts prêtres qui avaient accès au temple, ce qui pour lui était absolument inconcevable, puisque le vrai temple, c'est celui qui accueille tout le monde. Et les femmes y compris, et à cette époque-là, je crois bien que c'était révolutionnaire, et ma foi encore aujourd'hui malheureusement, et qui pouvaient aussi accueillir les enfants avec beaucoup de sécurité, d'amour et de bienveillance. Et les hommes mariés et non mariés, parce qu'à cette époque-là, il y avait une importance à ça. Alors ça, je sais que ça m'a choqué beaucoup. Peut-être de juifs qui m'écoutent, mais c'est vrai. L'homme marié n'avait pas le droit d'accéder à certains endroits. L'homme non marié, pardon, n'avait pas le droit d'accéder au temple, n'avait pas le droit d'accéder à prêcher. Ce n'est pas le terme prêcher, mais vous avez compris. Il y avait plein de choses comme ça. Donc Yeshua tenait à enseigner aux hommes mariés, non mariés, les femmes pareilles, et ça c'était extraordinaire. Et puis comme les enfants l'aimaient énormément, il y avait toujours beaucoup d'enfants autour de lui. Et son geste pour entrer dans cette ville à ce moment-là, c'était d'être avec ses disciples, bien sûr. qui l'entourait, d'être avec sa famille qui était là et l'âne. Alors l'âne, là, c'est vraiment cette notion, comme je te disais, du vivant, de la terre, de la simplicité et de l'humilité. C'est-à-dire que les rois, à cette époque-là, arrivaient dans des... Il y avait de l'or partout, il y avait... Il y avait des couronnes d'or, des machins, des gardes royaux, tout un tas de cortèges, des chevaux, etc. Et donc ce contre-pied de prendre l'âne, par la simplicité de l'âne, par sa douceur aussi. L'âne, c'est un animal qui est très affectueux. On le sait peu, ça, mais il est très, très affectueux, l'âne. Et Yeshua choisit aussi l'âne parce que c'est un message de paix. Contrairement au cheval, qui a un message un peu de supériorité, de guerre aussi, de conquête, parce qu'à cette époque-là, les conquérants étaient sur des chevaux pour vraiment parcourir des distances assez exceptionnelles. Avec un âne, tu peux le faire, ce n'est pas le même rythme, tu comprends ? Il y a quelque chose de beaucoup plus rural, proche, tu vois. L'âne, c'est un message vraiment d'humilité profonde, avec cette idée qu'il n'était pas venu pour établir son royaume par la force. mais vraiment son royaume spirituel fondé sur l'amour et la justice, sur l'équité. Donc un roi arrivant sur un âne dans la ville de Jérusalem, rien que ça si tu veux, rien que ça, c'est révolutionnaire en fait. Tu vois, il y avait un côté, il y avait presque un côté rebelle parfois chez lui. Et dans ses disciples proches, tu vois, c'était un peu une révolution quand même ce qu'ils étaient en train de faire. Remets ça à aujourd'hui, si tu veux. Imagine, imagine le choc des femmes autour de lui, des enfants, des êtres libres. Enfin, mariés ou pas, imagine, c'était juste exceptionnel en fait ce qui se passait. Et qu'en plus donc, il démontre qu'il ne vient pas. revendiquer un trône. Il l'a déjà, son trône. Il est même son trône, tu vois. Il n'a pas besoin de le démontrer. C'est on le reconnaît comme étant ce messie ou pas. Et il n'a pas à le dire, il n'a pas à le prouver en fait. Pas du tout. Et il ne vient pas guéroyer, il n'entre pas en force dans cette ville. Au contraire, il vient juste annoncer qu'il est là. Alors ça c'est certain. qu'il prend sa place, qu'il a des choses à dire, qu'il a des choses à faire. Et même s'il sait qu'il prend un risque énorme, il a le courage. Il a le courage, il a la volonté de se rapprocher de son peuple, en fait. Des peuples, parce que ce n'est pas que le peuple du Jérusalem, à ce moment-là, absolument pas. Des peuples sans distinction. de rang et de statut sociaux. Et chez l'âne, il y a une idée de service. Parce que l'âne, il aide au travail, acharné même, au niveau de la terre, il porte des charges hyper lourdes pour aider les fermiers, etc. Donc on peut compter sur l'âne. Et l'âne, il n'est pas bête. Tu vois, il a cette croyance populaire qu'il est bête, mais au contraire, l'âne, il est ultra intelligent. Et donc, il y a aussi cette idée d'aller sous son apparence très simple, très fraternelle, parce qu'il était tellement avec tout le monde. Il appelait tout le monde ma sœur, mon frère. Alors, c'était courant à l'époque, mais bon, il prenait les gens dans ses bras. Il leur tapait sur l'épaule, il plaisantait tout le temps. Il prenait les enfants comme ça, il riait avec eux, il leur faisait des blagues. C'était juste exceptionnel. Donc il a cette proximité naturelle, cette empathie évidemment, tellement cette hypersensibilité, cette présence bienveillante, ce sourire tout le temps, il se marrait tout le temps. Donc il y a cette idée, tu vois, où il vient servir l'humanité. Tu vois, il est au service de l'humanité. Il est au service du peuple, dans sa grandeur, comme ça. Il est aussi au service de son père et du divin plus large. Il démontre comme ça, par cette arrivée. magistral encore une fois, vraiment, qu'il est là pour apporter ce message de paix, ce message de partage. Et donc il décide ça, il décide donc qu'il va arriver comme ça, monter sur l'âne, et Madeleine tient donc à être devant. Et elle tient la bride à un moment du... de l'âne. Elle est très belle, comme d'habitude. Son voile rouge, une robe assez foncée ce jour-là. Et Yeshua lui est vêtu de sa robe crème, lin crème, et puis de son voile aussi rouge, long, magnifique. Ce rouge carme un peu, qui lui va si bien. Et puis donc les disciples sont autour, la famille est derrière, etc. Et donc il entre, c'est le moment, donc il y a toute une procession. Il vient de plus loin, il vient d'un village qui est aux abords de Jérusalem à ce moment-là, où il s'était réfugié, parce que comme je te disais, ça commençait à chauffer costaud, mais vraiment, je te le dis de façon simple, mais c'est ça. Et donc, il descend la montagne, ça fait des petits chemins escarpés comme ça. Et les gens des villages le voient passer et se disent, allez, on y va, on le suit. Ils sentent qu'il y a un moment important. Et je vois à ce moment-là le visage très fermé, il est très connecté en prière, en chanling. Mais c'est du ocean-ling, c'est de la connexion permanente de toute façon avec son père. Et donc il y a une sorte de procession, mais c'en est une, qui commence. C'est un moment intense. On sait les enjeux, on a peur, on est heureux à la fois. C'est un moment assez puissant, vraiment puissant. Donc beaucoup de villageois décident de le suivre, les enfants courent. Et Madeleine tient cette bride fermement, à la fois inquiète, à la fois sereine. Et donc il y a une foule déjà qui est autour de lui au moment où il entre dans Jérusalem. Et là, il y a les regards perçants, horribles, des prêtres, de certains gardes, de Pilate et puis d'autres. Et dans la foule, il y a beaucoup de gens qui ne le connaissent pas, qui s'en fichent. Et puis, il y a aussi ceux qui le connaissent et qui ont dans leurs mains des rameaux d'olivier, des feuilles de palme. Et il fait très beau ce jour-là. Il y a une grande lumière, il y a un grand soleil. Il fait chaud, comme souvent là-bas, mais quand même. Il y a une lumière particulière autour de lui, vraiment très forte, très magnifique encore une fois. Et il avance, il avance comme ça. Et là, il y a à la fois la clameur de la foule qui monte, et tellement fort. tellement fort que ça appelle voilà je me souviens au loin dans la ville il ya à ce moment là tiens mais qu'est ce qui se passe donc il ya beaucoup de gardes qui arrive d'un coup parce que le rassemblement de la foule devient de plus en plus important il ya une hardiesse de la foule à ce moment là tu voyais Tu vois, c'est vraiment joyeux, c'est festif. Certains crient Ausha. Donc Ausha, c'est vraiment cette louange au Seigneur qui sauve, tu vois. Il y a des prières, il y a tout un tas de choses. Certains scandent son nom. Je vois à ce moment-là, il est souriant, heureux aussi de provoquer cette joie, évidemment. Il tend la main à certains. L'âne est très calme. C'était un âne qu'il connaissait bien, mais quand même, il est très calme. Il est là aussi, l'âne, à ce moment-là. Tu vois, vraiment. Et puis très vite, il décide de descendre de l'âne. Il a un geste affectueux pour Madeleine à ce moment-là. Et puis Madeleine revient vers sa famille. Et les disciples hommes l'entourent davantage parce qu'il fallait le protéger. Ça, c'est évident à ce moment-là. Et puis il avance encore. Et puis là, il va se passer beaucoup de choses. Il commence à donner un enseignement. Cette cour où il s'est arrêté, près du temple. Et vraiment là, on sent toute la noirceur autour des prêtres, honnêtement, et du danger qui rôde de ce négatif, de ce mal, parce que voilà, ce négatif, à ce moment-là... rodait pour essayer de l'atteindre parce que là il atteignait un point crucial dans son enseignement et dans sa prise de place et de position et et là encore ça se passe bien Là encore ça se passe bien certains dans la foule Créent qu'il n'est pas le messie qu'on attend D'autres disent que oui, d'autres en ont eu des preuves très concrètes lors des guérisons, lors des enseignements, et qui ont ressenti son immense et infinie présence d'amour et de lumière. Alors voilà, c'est complexe. Quelques jours après, très vite, deux ou trois jours après, dans ma mémoire, il est arrêté. Et la foule qui l'acclamait va se retourner contre lui. Et ça, c'est la Pâques, donc je vous en reparlerai. Mais cette même foule qu'il a accueillie, qu'il a acclamée, a décidé de le crucifier. Et tu vois, au fond, ça nous montre tellement que de toute façon, on ne peut pas s'attacher à cette foule qui nous aime, qui nous porte, qui nous veut. Et puis qui ensuite refuse l'évidence. En tout cas, une partie de la foule. Parce que Pilate a vraiment demandé à ce moment-là. Alors, il l'avait torturé avant. Bon, ça a été terrible, je t'en reparlerai. Je t'en reparlerai ou pas, j'en sais rien encore. Enfin bon, bref. Mais il a vraiment demandé à la foule à ce moment-là si la foule voulait le sauver. il a vraiment demandé ça ou bien s'il fallait l'exécuter quoi et là bon nous on était effondré un tu imagines bien comment et là la foule à la décider que après il y avait aussi Il y en avait aussi dans cette foule qui scandait que non, il fallait les libérer, heureusement. Les enjeux politiques étaient tels à ce moment-là, comme toujours d'ailleurs, malheureusement, que sans doute, il y a eu aussi une forme de manipulation à demander à la foule si elle voulait le sauver ou pas. Bon. Voilà. La suite, on la connaît. À peu près. On en reparlera. Donc dans ce dimanche des rameaux, tu peux honorer Yeshua dans son humilité, son savoir, sa force, sa vérité, sa bienveillance, sa lumière. son unité aussi, sa présence, enfin tellement tout. Et prendre une branche avec des feuilles, tout simplement. Tu n'es pas obligé que ce soit des rameaux d'olivier ou de palme. Ce n'est pas ça qui est important. L'important c'est... c'est le reconnaître c'est ça qui est important c'est redonner sa valeur du vrai roi du vrai messie du maquillage et le remercier pour tout ce qu'il a été et est serein enfin voilà libre à toi de toute façon de voir comment tu vas faire cette ce geste d'attention envers lui en tous les cas En tous les cas, merci à lui, et puis à toi aussi. Et merci d'avoir écouté cet épisode. Vivre en conscience cette période d'ascension collective avec un mot, simplicité, parfois poésie. Les podcasts de l'ascension.com