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Description

🎂 Aujourd'hui je t'emmène dans un épisode un peu particulier !


26 ans c'est l'occasion de me replonger dans un voyage introspectif pour te livrer 26 révélations qui font de moi la personne que je suis aujourd'hui. Aucun ordre dans les révélations, aucun filtre, en toute transparence.🌿


Comme d'hab, un épisode riche en émotions, n'hésite pas à venir me dire la révélations qui t'as le plus marquée ! 


Bon épisode !


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Chaque mardi, retrouve un épisode de podcast voyage et développement personnel, qui retrace une histoire de voyage, un témoignage inspirant, une aventure. Entre voyage émotionnel, exploration, découverte du monde, chaque épisode regorge de conseils, d'authenticité, de sortie de zone de confort. Vois ces épisodes comme ton mindset booster de la semaine, qui vient te prouver que TOUT est possible. 💥


Si toi aussi tu as un récit de voyage à raconter, contacte moi sur instagram : @instant_simple 📩


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Instant Simple, une parenthèse d'évasion. Aujourd'hui, je vous retrouve pour un épisode un peu spécial parce que c'est mon anniversaire, nous sommes le 19 septembre, j'ai 26 ans et qui dit 26 ans dit 26 révélations. Allez, je vous laisse avec la suite de l'épisode. Sous-titrage ST'501 Parfois un peu folle quand même. Alors si vous cherchez un podcast qui mixe développement personnel et voyage, vous êtes au bon endroit. Si ce concept vous plaît, je vous invite à soutenir ce podcast en laissant une note, un commentaire ou en le partageant à vos proches. Sur ce, bon épisode. Comment ça va aujourd'hui ? Ça fait longtemps ! Là, ça fait vraiment vraiment longtemps. Si vous saviez à quel point je... J'ai... Pouh ! Si vous saviez tout ce qui se passe dans ma vie actuellement, c'est bien rempli et en fait, j'ai eu du mal à me libérer du temps pour me poser et vous parler et surtout pour me poser et vous parler sincèrement parce que la semaine dernière, j'ai sorti un épisode de podcast. sur une semaine de retraite dans un monastère bouddhiste. Et j'ai publié l'épisode et ensuite je l'ai supprimé. Pourquoi ? Parce que je n'étais clairement pas assez authentique et j'avais enregistré cet épisode pour enregistrer un épisode et pour pouvoir sortir l'épisode. Et du coup, je me suis dit mais c'est pas moi, c'est pas ce que j'ai envie de faire et je ne veux pas m'enregistrer pour m'enregistrer parce que... Enfin voilà, je ne veux pas faire... Je ne veux pas vous donner du contenu, je ne veux pas vous donner des épisodes de podcast à écouter dans lesquels je ne suis pas à fond dans mon histoire et dans lesquels, en fait, juste je le fais parce que c'est un peu une obligation, mais pas parce que j'en ai envie. Et du coup, c'est pour ça que... La fois où j'ai enregistré l'épisode du monastère, j'ai aussi enregistré l'épisode dont je vais vous parler aujourd'hui. J'ai enregistré, on va dire, la première version de cet épisode-là. Et en fait, c'était une journée, j'étais tellement pas dans le mood pour enregistrer, mais j'allais partir en road trip, j'avais mes cours à organiser, etc. Et du coup, je m'étais dit, j'ai que cette journée-là pour enregistrer, du coup, je ne peux pas faire autrement. Donc, j'ai enregistré deux épisodes la même journée. Et clairement, aucun de ces deux-là ne sortira parce que, ben, j'étais pas moi. et j'étais très fatiguée, j'étais vraiment, enfin je ne dirais pas en burn-out parce que j'aime ce que je fais, mais voilà, j'étais fatiguée, je n'étais pas dans le mood, et du coup aujourd'hui, je reviens d'un road trip absolument incroyable dans les lacs suisses, dans les cascades, les lacs, j'ai été rendre visite à une amie sur Verdun aussi, et je me sens, vous voyez, rien que le fait de parler de... de cette dernière semaine, de toutes ces aventures. Mais waouh quoi, il s'est passé tellement de choses et j'ai envie de vous en parler à travers justement cet épisode de podcast qui risque ô combien d'être riche en émotions puisque c'est un épisode tout particulier, vous l'aurez compris. Aujourd'hui, on est le 19 septembre et... Vraiment, là, littéralement, j'enregistre cet épisode le mardi 19 septembre. Certes, mes épisodes, je les sors à 6h30 du matin d'habitude. Là, il doit être 15h. Je commence l'enregistrement. Après, je vais faire direct le montage, etc. Et j'ai envie de vous le poster aujourd'hui parce que ça me tenait quand même à cœur. Et voilà, j'ai envie vraiment de vous partager ma vibe du moment et vous partager ce qui, mine de rien... Vous parlez un peu... Alors, bon, ça fera l'objet d'un épisode à part entière, ça, mais de la semaine que j'ai passée et la semaine que j'ai vécue. Alors attendez, je vérifie juste que ça enregistre parce que... Ouais, on est bon. Non, je voulais être sûre que je ne parlais pas dans le vide depuis un petit moment quand même. Donc, je disais, la semaine qui est passée a été riche en émotions dans le sens où, vous voyez, rien... Et rien que le fait d'en parler, ça m'émeut. Non, mais ça me donne les larmes aux yeux parce que toute la semaine dernière, c'était ma dernière semaine de 25 ans. Voilà, c'était la dernière semaine de mes 25 ans. Et c'est comme si en une semaine, je me suis pris un shot d'émotion, d'énergie, de bonnes vibes et aussi de révélations incroyables. Et j'ai ressenti une... Et voilà, je commence déjà à pleurer, tout va bien se passer. Mais en fait, j'ai un peu pris du recul sur la semaine qui vient de se passer et j'ai ressenti... une vague de gratitude sur le fait que j'ai 25 ans aujourd'hui, littéralement 26 ans, et pendant ces 26 années sur cette terre, j'ai l'impression... d'avoir évolué et surtout les derniers mois, pendant le 1er octobre, ça fera un an que je suis entrepreneuse, et pendant, oui je vais renifler un petit peu, je m'excuse d'avance, et du coup pendant ces un an d'entrepreneuriat, j'ai vraiment l'impression de m'être révélée, aussi bien en tant que femme professionnelle, mais aussi d'avoir révélé ma vraie personnalité, en tant, voilà, humainement parlant. Voilà, j'ai l'impression de vivre en accord... Enfin, c'est pas... Désolée, j'enivre. Mais c'est pas... Vous voyez, j'ai vraiment l'impression de vivre en accord avec mes valeurs et... et d'incarner la personne que j'ai envie d'être, et la personne que je suis au final. Et du coup aujourd'hui je me rends compte, et c'est pour ça que cette semaine a été riche en émotions, parce que je me rends compte que je m'entoure de personnes incroyables, et que ce n'est pas par chance que je m'entoure de ces personnes-là, c'est parce qu'au final, comme toute personne, je le mérite. Et je suis tellement heureuse d'être entourée des personnes qui m'entourent aujourd'hui. Voilà. Bref, sur ces... Quand même 5 minutes d'intro c'est bien assez, on va essayer de ne pas dépasser les 1h de podcast je vous le promets. Donc sur ce, en fait aujourd'hui j'avais envie pour mes 26 ans du coup de vous enregistrer un épisode de podcast qui parle toujours de voyage évidemment, qui parle de voyage intérieur cette fois-ci. Mais vous enregistrez 26 révélations que j'ai eues dans ma vie, voilà. 26 révélations qui... qui me servent aujourd'hui, 26 phrases, ça peut être des phrases, des citations, ça peut être des enseignements, mais vraiment 26 révélations que j'ai eues et qui aujourd'hui en fait me définissent et qui guident en fait ma ligne de conduite au quotidien. Je me suis dit que... On a tous des révélations, évidemment, on vit tous en accord avec nos principes, avec certaines choses. Et moi, j'avais envie, en fait, de me poser et d'écrire noir sur blanc. ce qui me définit, ce que je ressens aujourd'hui et les phrases qui m'aident à toujours vous proposer et me proposer en fait la meilleure version de moi-même. Donc on s'entend que ces 26 révélations, elles ne vont pas du tout... Enfin, j'ai essayé de les classer par... je ne sais pas, de les regrouper par thématique, mais aucune n'est plus importante qu'une autre. Et voilà, il n'y a pas de hiérarchisation de valeur dans toutes ces révélations, c'est vraiment des façons de penser que j'ai aujourd'hui, que j'applique au quotidien et qui m'aident tellement à avancer. Et je me dis, si à travers ce podcast, vous pouvez, si je peux aider ne serait-ce qu'une personne à avoir une petite révélation et qu'elle se dise, ah tiens, Bah moi aussi j'aimerais bien penser comme ça, puis j'aimerais bien appliquer comme ça, etc. Bah voilà, avec plaisir. Donc bah écoutez, c'est parti. Donc j'ai classé ces révélations en... Laissez-moi... Non parce que... Et pensez pas que je fais tout de tête. Là j'ai quand même écrit des petites choses. Mais en 1, 2, 4, 5 catégories. La première catégorie, ça va être des révélations autour du système de pensée, autour de mon cerveau. La deuxième catégorie, ce sera des révélations autour de la zone de confort, de la force, du courage et du fait d'oser. La troisième catégorie, je l'ai appelée révélation, tout simplement, parce que c'est vraiment des grands... Je ne suis pas attachée à... à des religions, enfin on ne va pas parler de religion aujourd'hui, mais voilà, pour moi ces révélations ce sont des grands préceptes, on va dire, sans parler de religion, mais voilà, des grands préceptes qui dictent ma vie. Ensuite, autre catégorie, je l'ai appelée moi, moi dans le sens... Ce qui se passe à l'intérieur de moi au niveau de certaines révélations. Et dernière catégorie, les autres. C'est-à-dire des révélations sur mes relations avec les personnes. Alors, commençons par la première. Je me remets sur ma petite liste. Première catégorie, les pensées. Dans les pensées, j'ai regroupé quatre révélations qui, selon moi, je ne vais pas dire que chaque révélation est essentielle parce que sinon je vais lire tout le temps en fait. Donc, première révélation, notre caractère ne nous définit pas et c'est libre à nous de le changer. Qu'est-ce que j'entends par là ? J'entends derrière ça l'exemple qui me frappe le plus, enfin en tout cas qui m'a le plus touchée, c'est la timidité. Depuis toute petite, je suis une personne timide. C'est-à-dire, enfin, je me définissais comme ça. À chaque fois, je disais je suis timide. C'est-à-dire que j'associais à mon être, donc je mettais le verbe être, donc je suis, j'associais... au mot être, le mot timide. Et en fait, depuis toute petite, j'ai toujours pensé que voilà, j'étais timide, que j'étais née comme ça, et que voilà, ça ne se choisissait pas, c'était la vie, voilà, il fallait dealer avec ça. Et au final, ben, c'est tellement pas ça. Enfin, je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais genre... J'ai toujours pensé que j'étais timide. Et vu que j'alimentais cette pensée, mon cerveau a admis ça comme vrai, etc. Et du coup, je ne me voyais pas vivre autrement. Et un jour, j'ai compris, et ça je l'ai compris dans mes années, dans mes premières soirées de lycée, donc je devais avoir 16-17 ans. Et à ces premières soirées, en fait j'en avais marre de parler à personne, puis d'être toute rouge quand un garçon m'adressait la parole, et puis de... Enfin voilà, j'en avais marre de cette timidité dans laquelle je m'étais engluée et j'osais rien faire toute seule. Et vraiment, j'étais dans un état, mais c'était très compliqué. Mais le truc, c'est que je ne me voyais pas comment sortir de cette timidité. Et un jour, pendant ces premières soirées, je me suis dit, vas-y, fake it until you make it. C'est-à-dire, genre, j'ai... Je vais aller à une soirée, je vais faker que je suis ultra populaire, ultra sociable, ultra tout ce que vous voulez, enfin les mots qu'on utilise au lycée quoi, et je me suis dit vas-y, cette soirée j'y vais et je vais faire semblant d'être une personne ultra sociable et je vais aller parler à tout le monde. Et bien sûr dans cette soirée je me suis clairement forcée à adresser la parole aux gens, et j'ai découvert... que j'aimais ça. J'ai découvert que j'aimais la personne que j'étais quand je faisais semblant d'être cette personne sociable et pas cette personne timide. Et au fur et à mesure, ça a été un travail de longue haleine, mais j'ai réussi à surmonter cette timidité. Je ne dis pas qu'aujourd'hui, je ne suis plus du tout timide, mais en tout cas, je ne me définis plus comme telle. Et voilà, ça, c'est vraiment une des premières révélations que j'ai eues quand j'ai commencé à m'intéresser au développement perso. C'est vraiment... que mon caractère ne me définit pas et est libre à nous de le changer. Deuxième révélation, et ça, pareil, c'est... C'est vraiment une révélation que j'ai eue quand j'ai commencé tout juste à m'intéresser aux devs perso. J'ai commencé à m'intéresser au développement personnel grâce au podcast Oui Change Ma Vie de Clotilde Dussoulier. Et je vous le conseille vraiment et surtout écoutez ses 5-6 premiers épisodes parce qu'elle explique très bien ce que je vais expliquer là en quelques minutes. Mais elle explique très bien que tu n'es pas tes pensées. Et en utilisant le modèle de Brooke Castillo. qui est Faites penser, émotions, actions Je vais vous l'expliquer un peu plus longuement, mais le jour où j'ai pris conscience vraiment que je ne suis pas à mes pensées et que libre à moi, justement, de prendre cette position de libre penseur sur chaque situation qui m'arrive pour agir en fonction de mes valeurs, le jour où j'ai pris conscience de ça, ma vie a changé. Non, j'ai l'impression que je fais une pub pour un truc nul, mais je vous jure que c'est vrai. Je vous donne un exemple. Le modèle de Brooke Castillo, Tu n'es pas tes pensées, c'est qu'on part du principe que le cerveau, chaque jour, il doit prendre des milliers de décisions. Et du coup, forcément, c'est une machine. Et pour se simplifier la vie, il a décidé d'automatiser certains choix. Comme tous les matins, vous n'allez pas vous demander où est votre brosse à dents, ou vous n'allez pas vous demander... Est-ce que je mets du dentifrice sur ma brosse à dents ou quoi ? Non, ça c'est des décisions que votre cerveau a automatisées. Et donc, il automatise aussi bien les petits gestes du quotidien comme se brosser les dents, se laver, se brosser les cheveux, etc. Et il automatise aussi des concepts plus compliqués qui vont justement définir notre caractère. Et dans... Et dans ces choses-là, justement, dans ces choix, c'est-à-dire à chaque fois qu'il y a un fait, donc ça, c'est le modèle de Brooke Castillo, à chaque fois qu'il y a un fait, enfin qu'il y a un fait, c'est-à-dire un fait, ça part du principe que c'est vérifiable en tribunal. Je vous donne l'exemple d'un champion, je ne sais pas, un champion en sport, un champion de ski, oui, parce qu'on reste dans la montagne quand même, un champion de ski, par exemple, qui arrive deuxième à sa compétition. Donc ça, de manière littérale... Genre, il arrive deuxième, c'est un fait, c'est vérifiable en tribunal, il est arrivé deuxième, genre... c'est certain, eh bien, si on se met dans la tête du champion de ski, il va, de ce fait, générer une pensée. Et on a toujours une pensée automatique qui arrive. Ça se trouve, sa pensée automatique, ça va être de se dire, ça va être d'être dégoûté. Et de se dire, purée, j'étais à deux centièmes du premier, je suis dégoûté, ça me saoule, etc. Il peut décider de penser ça. Et de manière consciente, il peut aussi prendre cette position de libre-penseur et de choisir quelque chose qui est plus en accord avec ses valeurs. Il peut décider de penser, de choisir, ben, je suis arrivé deuxième, c'est top, j'ai battu mon meilleur record, et la prochaine fois, ce sera encore mieux. Et du coup, de la pensée qu'on a va générer une émotion. Une émotion, par exemple, là, pour la pensée d'il est dégoûté d'avoir perdu, l'émotion qui va le générer, ça va être de la tristesse, peut-être de la colère, de la frustration, de l'envie. Ce ne sera peut-être pas des bonnes émotions, alors que s'il décide de penser qu'il fera mieux la prochaine fois, là, les émotions qui sont générées, ça va être peut-être du courage, de la détermination, de la motivation, etc. Et suite à l'émotion, donc on a fait penser émotion et générer une action. et du coup une action qui sera plus en accord avec ses valeurs. Peut-être dans son premier schéma de pensée qui est automatique, il va décider de baisser les bras et puis d'arrêter de s'entraîner, et peut-être que dans la deuxième option justement, il décidera de s'entraîner encore plus, vu qu'il sera motivé, il se reboostera et il fera des entraînements peut-être plus longs, etc. Voilà la deuxième révélation qui est tu n'es pas tes pensées. Ensuite, troisième révélation, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. Dans le sens où, à partir du moment où tu comprends que tu n'es pas tes pensées, et bien certes tu n'es pas responsable des faits, c'est-à-dire des choses factuelles, mais tu es responsable à partir du moment où tu comprends justement que tu n'es pas tes pensées et que tu peux adopter cette position de libre penseur et de consciemment changer ta manière de penser, eh bien tu peux justement faire absolument ce que tu veux et reformater ton cerveau. Donc à partir de ce moment-là, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. C'est-à-dire qu'à partir du moment où tu n'es pas responsable des faits, mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ça, mais ça, mais ça c'est tellement essentiel. Je vais répéter cette phrase mais je l'aime vraiment, c'est tu n'es pas responsable des faits mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ta manière de penser un fait va considérablement changer ton état d'esprit. Mais ça, puissance 1000. Ensuite, quatrième révélation. c'est l'importance de vivre en accord avec ses valeurs. Donc déjà l'importance de les connaître. Pour moi, une valeur, c'est ce qui est important pour moi. C'est la sincérité, la liberté, l'aventure, la découverte, et puis la simplicité. Voilà, on va dire que c'est mes grands présèpes, mes grandes valeurs. Et du coup, quand on connaît ces valeurs-là, quand on prend cette position de libre-penseur et qu'on veut choisir ce qu'on pense, et bien... on va décider en fait de faire des actions et de penser des choses qui sont en accord avec nos valeurs. Et plus des pensées automatiques qui sont générées par notre cerveau. Et plus on va faire cet exercice de reprogrammation mentale, plus justement... Et bien, on va se reprogrammer avec les valeurs qui nous sont propres et on va savoir expliquer chacune de nos actions parce qu'on va avoir l'impression d'être beaucoup plus aligné puisque chacune de nos actions et nos décisions seront en raccord avec nos valeurs parce qu'on les connaît. Et on n'aura vraiment plus cette impression d'être à côté de la plaque, mais on aura cette impression d'être genre à notre place et d'être légitime et d'être fort et d'être puissant. Voilà. Je ne sais pas si ce format vous plaît. parce que j'ai l'impression de vous balancer comme ça plein de choses, mais en tout cas, moi, j'aime beaucoup. J'aime beaucoup parce que, voilà, prenez ce qu'il y a à prendre dans cette vidéo, vraiment, prenez ce qui vous intéresse. Et je ne dis pas que... Et je ne fais pas du tout ce podcast pour avoir raison sur tous les sujets et pour dire que ma parole, c'est la meilleure et la vôtre, non, etc. Non, je fais vraiment ça pour vous expliquer mon point de vue sur les choses et vous expliquer en fait moi les révélations qui me font du bien à penser qui me font du bien à entendre parce que peut-être que ça peut aussi vous faire du bien mais si vous n'êtes pas raccord avec c'est vraiment correct et il n'y a aucun problème avec ça voilà on en a fini pour la partie sur les pensées, maintenant on va passer à la partie force, courage, oser Numéro 5, donc cinquième révélation, tu es plus fort que ce que tu crois. Si vous avez écouté l'épisode qui s'appelle la nuit du 4 août, la nuit où tout a basculé, vous comprendrez pourquoi. Voilà, je n'ai pas besoin de m'éterniser plus sur cette phrase qui a fait sens pour moi le jour où j'ai perdu mon père et où je me suis rendu compte que je suis... tellement plus forte que ce que je crois. Je peux tellement plus accomplir que ce que je crois. Je suis tellement plus que je ne pense être, en fait. Et voilà. Ensuite, en sixième révélation, tout est surmontable. peu importe ce qui m'arrive aujourd'hui, je sais que ça va aller. Je sais que j'y crois et je sais que tout est surmontable et que tant qu'on a la santé, on a tout et tout peut bien se passer. Et en fait, j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses. Bon, j'en reparlerai tout à l'heure, mais j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses et surtout de... de chercher des... A chaque fois que je me lance dans un nouveau projet, avant, je me disais tout le temps, ouais, mais et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et puis, en fait, je me rendais compte que je mettais toujours du négatif derrière le et s'il se passe ça ? Alors, je disais, je vais lancer un podcast, puis après, je suis là, et si j'arrive pas à le tenir ? Et si, au final, ça me prend trop de temps ? Et si je trouve plus personne pour l'écouter ? Et si personne m'écoute ? Et si tout le monde s'en fout ? Et genre, je mettais toujours quelque chose de négatif, et aujourd'hui, je me dis, et genre, je me dis, et si ça se passait bien ? et si j'arrêtais pour une fois, quand je me lance dans un projet, de voir tout ce qui pourrait mal se passer, mais d'essayer d'étudier tout ce qui pourrait aussi très bien se passer. Voilà. Ensuite, septième révélation, la ZDC, hashtag zone de confort. La zone de confort est faite pour être repoussée. La zone de confort est faite pour être repoussée. Je l'ai répétée deux fois, c'est normal. Je la répète une troisième fois. La zone de confort est faite pour être repoussée. Ça, c'est franchement... Le jour où je suis partie toute seule à Budapest, c'était mon premier voyage solo du coup, c'est là que j'ai compris que la zone de confort était faite justement pour être franchie, et était faite pour être élargie, être repoussée dans le sens... En fait, aujourd'hui, j'ai l'impression que quand j'avais 19 ans, avant mes voyages solo, j'avais une zone de confort qui était toute petite, genre de la taille d'un village. Et aujourd'hui, j'ai l'impression que plus je voyage, plus des choses m'arrivent, et plus j'entreprends, etc. Et du coup, plus j'agrandis. les limites de ma ville, en fait. Et j'agrandis les limites de ma zone de confort. Et aujourd'hui, des choses qui me paraissaient insurmontables avant, eh bien, aujourd'hui, je les ai surmontées. Et maintenant, elles font partie de mon paysage. Elles font partie de cette zone de confort. Donc voilà, la zone de confort est faite pour être surmontée. Et au final, quand on sort de notre zone de confort, moi, au final, je sors de ma zone de confort, mais pour... C'est un peu comme rentrer... C'est un peu comme partir en bataille contre soi-même et aller conquérir des nouveaux espaces. Je vois vraiment la zone de confort comme ça. C'est-à-dire quand je sors de ma zone de confort, je vais conquérir un terrain inconnu. Et une fois que je le connais et que du coup je me sens confortable avec, il fait partie de ma zone de confort et mon territoire s'agrandit. C'est vraiment... C'est un peu les conquistadors, vous voyez. Genre vraiment, je pars en bataille contre moi-même et je vais agrandir mon terrain. Ensuite, la huitième révélation, c'est l'importance d'explorer ses zones d'ombre. Ça, je m'en rends compte quand des potes me posent des questions ou des choses comme ça. Et des fois... Des fois, on le sent. En vrai, ça arrive à tout le monde. Des fois, on sent en nous, quand on donne une réponse, qu'on ne donne pas une réponse 100% honnête envers nous. C'est-à-dire que même il y a des situations où on se ment à nous-mêmes sur certains sujets. Et au fond, nous, on est conscient qu'on se ment à nous-mêmes, mais on n'ose pas se l'avouer à haute voix. Et pour moi, c'est ça une part d'ombre. C'est-à-dire que quand on essaye... Consciemment de se cacher quelque chose, enfin de cacher quelque chose à notre propre personne, c'est que... Il y a quelque chose qui est caché dans l'ombre là-dedans et il y a quelque chose de sous-jacent avec ça. Et pour moi, c'est ultra important d'aller explorer ces zones d'ombre. On peut le faire de différentes façons. Le mieux pour moi, ça reste quand même d'être accompagné d'un expert, enfin d'un expert, d'un praticien pour tout ça. Mais voilà. Ensuite, neuvième révélation. On est toujours à une seule décision de changer notre vie pour le mieux. et aussi pour le moins bien, mais bon, là, on axe un petit peu sur le mieux quand même, on est toujours à une décision de changer notre vie. Dans le sens où, moi, j'aime cette phrase parce qu'à chaque fois, je me dis... Et bien, je suis toujours à une décision d'accomplir un rêve. Et en fait, ça rend le parcours plus simple. Ça rend le chemin mental plus simple. Par exemple, là, je suis en train de me questionner sur le fait de partir en voyage au Mexique. Et je me dis, je suis toujours à une décision de le faire. Je suis à une décision d'aller sur l'ordouille et de réserver mon billet. Et sans me dire, il faut que j'étudie ça, puis la météo, puis le climat, puis l'hébergement, puis l'avion, etc. Non, je suis toujours à une décision de décider d'y aller. et ça c'est quelque chose, à chaque fois ça me motive énormément pour commencer tous mes projets, parce que je me dis je suis toujours à un chouïa, vous voyez, à une décision, que ce soit que je fasse un game change dans ma vie. Après on va passer à l'autre catégorie qui est la catégorie des révélations, où je vais vous balancer des phrases, mais que je trouve vraiment importantes et qui ont changé ma vie. La dixième révélation c'est... Bisous Charline, si tu m'écoutes. C'est tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Je crois en la destinée, pas tout le monde n'y croit, mais pour moi voilà, des fois il y a des choses qui se passent qui sont trop énormes pour se dire que c'est un hasard. Et je crois en la destinée et tout est juste dans l'univers et si certaines choses ne se font pas, et bien c'est peut-être juste que ça ne devait pas se faire ou alors pas à ce moment-là parce que le mieux arrive au meilleur moment. Et cette phrase, je ne sais pas, elle me plaît tellement parce que... Enfin voilà, tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Moi, cette phrase, elle me soulage, elle me fait du bien. Et puis au final, c'est tout ce qu'on recherche. Phrase 11, les choses sont simples. Voilà, je n'ai pas implé mon entreprise Instant Simple pour rien. C'est parce que, selon moi, les choses sont simples. Et c'est juste nous qui aimons les compliqués. On n'aime pas forcément ça, mais genre, c'est juste nous qui les compliquons. Mais... Au final, tout est simple dans les faits. Genre, vraiment, tout est simple, que ce soit au niveau des relations, au niveau de ce qui se passe dans notre vie, au niveau de notre manière de penser, tout est simple. Et quand on... C'est un peu le fait de relativiser, quoi. Tu te retrouves dans une situation ultra compliquée et tout. Et des fois, mais simplifie-la. En fait, tout peut être beaucoup plus simple. Et des fois, on se complique tellement la vie. Et je sais que... Moi, j'ai commencé à penser comme ça quand j'ai perdu mon père. Parce que... Après son départ, eh ben... Je sais pas, quand j'allais voir mes potes et tout, des fois, on pouvait... Enfin, des fois, quand j'entendais les autres parler entre eux, eh ben, genre, les gens s'embrouillaient pour des détails qui, selon moi, étaient tellement futiles que la vie et la mort, parce que j'étais vraiment, à l'époque, dans cette dualité, quand je venais de perdre mon papa. Et du coup, en fait, pour moi, tout était plus simple que ce que je vivais. Et donc, en fait, ça m'a appris à simplifier toutes les situations. C'est-à-dire que... les gens qui se disaient ah mais on m'a invité à cette soirée mais du coup j'ai pas vraiment envie d'y aller mais genre si je vais pas, les gens ils vont penser que si, ils vont penser que ça non c'est bon les accords Toltec on se fait pas de supposition genre au bout d'un moment t'es invité à une soirée, t'as pas envie d'y aller ben les choses sont simples, dis non c'est tout, c'est tout puis si t'as envie d'y aller tu dis oui genre y'a pas à se poser 10 000 questions et puis à se polluer ce qu'il y a dans notre crâne en se disant hum Enfin voilà, en essayant de compliquer les choses qui au départ sont juste simples, c'est-à-dire que la personne qui vous a invité à cette soirée, elle ne vous a pas invité, enfin dans sa tête quand elle vous a invité, elle vous a invité parce que ça lui faisait plaisir de passer du temps avec vous, mais elle ne s'est pas dit, alors il faut que j'invite, parce que si je ne l'invite pas, du coup elle va mal le prendre. Non, non, non, les choses sont simples. Douzième révélation que j'ai. que j'ai vraiment réalisé l'année dernière quand j'étais dans le monastère bouddhiste justement et promis cet épisode ressortira mais je vous ferai un vrai épisode où vraiment on ressent qui je suis et où je parle avec le cœur comme je le fais actuellement douzième révélation faire les choses de tout son cœur sans rien attendre en retour, faire les choses sans intérêt. Ça, c'est un précepte que j'applique depuis l'année dernière, vraiment, et au début je me forçais à l'appliquer, maintenant, comme je vous l'ai dit dans les pensées, ça un peu devient un automatisme. Faire les choses sans rien attendre en retour, c'est la meilleure façon déjà d'être dans l'instant, et... d'utiliser son cœur, de faire les choses de tout son être, et le fait de rien attendre en retour, c'est la meilleure des choses, parce que vous ne serez jamais déçus, et tout ce que vous recevrez, si vous recevez, tout ce que vous recevrez, vous le prendrez vraiment pour un cadeau, et non pas comme un dû, et ça c'est tellement important, c'est-à-dire... Quand vous faites les choses sans intérêt, vu que vous n'attendez rien en retour, ce que vous allez recevoir, vous allez le recevoir fois mille et vous allez être encore plus dans la gratitude puisque vous n'attendiez rien. Et ça, honnêtement, ça permet de fluidifier les relations, ça permet... Bon, des fois aussi, on peut se faire prendre pour une bonne poire en pensant comme ça, mais je reste convaincue que les gens sont quand même bien et que... C'est ce que je répète à mes élèves, bah oui parce que je suis prof à l'université accessoirement, et c'est ce que je répète à mes élèves, c'est soyez gentil. Soyez gentil avec les gens, parce que vous pouvez être sûr que... ça va vous être retourné un jour ou l'autre, mais il ne faut pas le faire dans l'attente que vous ayez un geste de la part des personnes, mais juste soyez gentil, parce que ça peut faire que du bien, ça vous fait du bien à vous, parce que vous propagez des bonnes ondes, et ça fait du bien à eux, et genre... Tout le monde est content grâce à ça. Ensuite, treizième révélation, une petite phrase de Xavier Dolan que j'apprécie énormément qui est Tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n'abandonne jamais Ça, c'est vraiment la phrase qui me permet de rester motivée pour mon parcours entrepreneurial. En quatorzième, nous avons J'ai pas le temps de perdre mon temps Ça, je l'applique un peu aux relations avec les gens, je l'applique aux projets que je fais, c'est-à-dire pas le temps de perdre mon temps, dans le sens où c'est important de prendre son temps, mais il ne faut pas le perdre. Selon moi, le temps, c'est le cadeau le plus précieux que vous pouvez faire à quelqu'un. Dans le sens où, quand vous décidez d'accorder du temps à une personne, eh bien... Le temps, c'est la seule denrée qui ne va que dans un sens. C'est-à-dire, vous pourrez toujours avoir plus d'argent, avoir plus d'énergie, vous pourrez toujours avoir plus, mais vous ne pourrez jamais avoir plus de temps. Ça, c'est quelque chose, ça n'est pas possible. On a une durée limitée sur cette Terre, on a une date de péremption, vous voyez. Et du coup... Et bien, aujourd'hui, le temps pour moi, quand je donne du temps, c'est un cadeau que je fais. Et quand les personnes m'accordent du temps, c'est un cadeau qu'ils me font. Et c'est pour ça que je n'ai pas le temps de perdre mon temps pour des choses. Et j'essaye, par exemple, de limiter énormément... De plus en plus, mon temps passé sur les réseaux... Alors attention, quand je dis le temps passé sur les réseaux, c'est le temps passé à scroller les réseaux. Je passe du temps sur les réseaux pour échanger avec mes amis, pour échanger avec des gens, pour rencontrer de nouvelles personnes. Mais aujourd'hui, j'essaye... autant que possible, je dis pas que ça m'arrive plus évidemment parce que je reste humaine, mais j'essaye autant que possible de ne plus par exemple scroller sur Instagram parce que des fois je me rends compte que je vais scroller pendant une heure. Et là c'est une heure de temps qui est partie et clairement que j'ai perdu parce que ça va pas m'en servir pour plus tard. Et puis ça va me faire du bien, mais c'est un faux bien, vous voyez. Ça va me faire du bien à durée limitée. Et c'est pas quelque chose qui va générer chez moi du bien-être à long terme. Ensuite, 15ème révélation, tout est possible à n'importe quel âge. Ça, j'en ai beaucoup parlé du coup pendant le premier épisode sur mon voyage à Budapest. Tout est possible à n'importe quel âge, on n'est jamais trop vieux ou trop jeune pour entamer des choses. Voilà, tout est possible à n'importe quel âge, et moi ça me fait du bien de penser ça, parce que mine de rien, 26 ans, je sais pas quel âge vous avez, mais en tout cas chaque année, quand je prends un an du coup, j'ai toujours peur, parce que le temps ça reste important, et puis ça file, et... Et du coup, moi, mes jours d'anniversaire, c'est jamais des jours où je me sens dans un ultra good vibe. Enfin, si, en soi, j'aime bien. Mais, je sais pas, ça me rappelle que le temps passe et que, en fait, j'ai peur de vieillir. Mais cette phrase, tout est possible à n'importe quel âge. Elle vient pour me faire un câlin au cœur, en gros. Et puis, pour me soulager de cette peur de vieillir, justement. Ensuite, 16ème révélation, un mais est égal à une excuse. Ça, je me souviens, on en avait parlé avec Thibaut, avec Tara, avec plusieurs personnes. Un mais, c'est une excuse. Et à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, et vraiment aujourd'hui j'essaye justement de faire ce travail d'analyser les mais que je dis, parce qu'à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, ou que votre ami va vous, je sais pas, vous proposer une solution sur une problématique que vous soulevez et tout, et ben dès que vous allez dire... Ouais, c'est intéressant, mais tu vois, du coup, je ne peux pas faire ça parce que ci, parce que ça. Eh bien, non. Genre, à chaque fois que vous avez un mais dans une phrase, vous avez une excuse que vous trouvez pour ne pas commencer ce projet. Et à vous de jauger les excuses que vous trouvez, mais en tout cas... Chaque excuse est surmontable et pour moi, les gens qui me disent qu'ils ont des projets et qui mettent un mais derrière, si vraiment c'est un projet qui tient à cœur, le mais, on peut tous le faire péter. Ensuite, on va rentrer dans d'autres révélations. Je ne sais même pas combien de temps ça fait que je vous parle. Ça fait 35 minutes, on est à la 17 et on avance très bien, je suis contente. Donc la 17ème révélation, on entre dans la catégorie du moi, du moi dans le sens ce qui se passe à l'intérieur, pas dans les pensées et tout, mais plus le moi énergétique dans les révélations. Donc la 17ème révélation, c'est une phrase que m'a dit mon papa un jour et que je continue à prôner. C'est vie pour vivre des moments simples et des histoires vraies Ça, c'est une phrase qui me fait du bien, parce que déjà elle me rappelle un peu mon père. Et aussi elle me fait du bien parce que j'ai l'impression... de tout le temps être alignée avec cette phrase. Puisque aujourd'hui, je pense comme ça et que mes valeurs principales et donc les actions que je fais sont en accord avec la liberté, la sincérité, la simplicité, eh bien, j'ai toujours l'impression d'être en accord avec cette phrase et de vivre des moments simples et des histoires vraies. C'est-à-dire, j'ai l'impression de vivre des moments sincères et des histoires incroyables. Je ne sais pas ce qui fait ce bruit. Bon, j'espère que ça ne s'entend pas trop. Mais j'ai toujours l'impression de vivre des choses incroyables parce que justement, vu que pour moi, tout est simple et tout mérite d'être vu, dès que je vois quelque chose, je suis émerveillée. Vous voyez, je suis une éternelle... On peut m'appeler bisounours, mais je suis une éternelle optimiste. Bon, réaliste quand même, mais optimiste et dans le sens où... quand je suis dans une bonne vibes, mais genre, rien ne peut gâcher ma vibes, en fait. Et je vais toujours essayer de, je sais pas, de me remonter le moral, de remonter le moral des troupes et tout, parce que rien n'est grave, et tout est possible, et le mieux arrive au meilleur moment, et du coup, les moments sont simples, les histoires sont vraies. En 18ème révélation... ça c'est une révélation que j'adopte depuis plusieurs mois maintenant, pas années, mois plutôt, et où j'arrive à surfer sur cette vague et où je me sens pleinement bien, c'est que j'aime ma compagnie. J'ai découvert ça pendant mes voyages en solitaire évidemment. Et aujourd'hui, j'arrive justement depuis quelques mois à appliquer le fait d'aimer ma compagnie en étant chez moi. Ce qui était assez compliqué pour moi au début. Et genre aujourd'hui, j'aime ma compagnie et j'aime passer du temps seule. Et je sais que je me recharge en énergie comme ça. Et genre j'aime passer du temps seule. Et du coup, j'ai besoin de personne. Je dis bien j'ai besoin de personnes. Donc dans le sens où aujourd'hui quand je décide de passer du temps avec les gens, je le fais parce que j'en ai envie, mais pas parce que j'ai besoin de combler un manque affectif, ou un... je sais pas, pas parce que j'ai besoin de combler tout ça. Ensuite, dix-neuvième révélation, comprendre mon énergie. Comprendre mon énergie et comprendre en fait, et me déculpabiliser, surtout déculpabiliser, parce que... C'est sympa de se déculpabiliser des fois où je sais que pour moi il y a deux types de personnes. Il y a des gens, ils vont recharger leur batterie en étant tout seuls et en s'entourant d'autres personnes, ils vont les vider. Pas dans le sens où ils n'aiment pas être avec les gens, mais il y a des personnes où être avec les gens, ça va les vider. Et il y a d'autres personnes où être avec les gens, au contraire, ça va les recharger en énergie. Et quand ils sont tout seuls, ils vont se vider en énergie. Moi, je suis dans le premier cas. C'est-à-dire que moi, je me remplis d'énergie quand je suis seule. Et quand je suis avec des gens, je peux être avec des gens, mais au bout d'un moment, je sature. Et genre, il faut que je retourne un peu dans mon cocon pour recharger les batteries. Et au début, je culpabilisais justement. Je culpabilisais de ne pas toujours avoir envie de sortir, de ne pas toujours avoir envie de voir du monde et tout. Je me disais, je ne suis pas normale, je suis asociale, machin. Et en fait, non, c'est juste que c'est ma façon de fonctionner. Puis c'est ma façon de dealer avec mon énergie et du coup d'apporter du temps de qualité. aux personnes. C'est-à-dire d'être consciente que mon énergie, en étant avec les gens, il descend. Et du coup, il y a des fois où quand je suis avec les gens, je préfère juste dire, attendez, je vais faire une petite balade toute seule, je passe une semaine chez quelqu'un, je sais que si je passe une semaine chez une personne, je vais avoir le besoin de passer quelques temps toute seule parce que, et c'est ok en fait, au début je culpabilisais de ça. mais en fait je me disais mais je préfère quand je vois cette personne être rechargée en énergie pour pouvoir dépenser mon énergie avec elle et vraiment apprécier l'instant et passer un moment de qualité plutôt que me forcer à rester tout le temps avec la personne et du coup être vidée en énergie tout le temps et ne pas pouvoir lui accorder ce temps de qualité. Et des fois c'est mieux de dire bon bah écoutez je suis pas genre... Et ça rejoint, bah là on va passer à la vingtième du coup, avoir mon propre rythme. Et me déculpabiliser avec ça, c'est un peu de paire avec comprendre mon énergie. C'est qu'avoir son propre rythme, je le découvre depuis que je suis entrepreneuse. Assumons-le. Au début, du coup, souvent, j'ai travaillé, j'ai eu différents rythmes. J'ai été dans le monde de la nuit, dans les saisons. J'ai fait aussi du travail du 9h, 17h, métro, boulot, dodo. Et quand je suis arrivée, du coup, en auto-entrepreneuse... Je ne savais pas comment gérer mon rythme et aujourd'hui, je le découvre petit à petit. Je sais que le matin, c'est plus tranquille, l'après-midi, je bosse un peu plus, puis des fois, je vais bosser un peu plus tard et puis je vais commencer, puis je vais faire des siestes, puis machin, enfin voilà. J'arrive vraiment à trouver mon propre rythme aujourd'hui, mais c'est quelque chose où j'y suis allée à tâtons pendant beaucoup de temps. Et je culpabilisais de dire que j'avais besoin de genre 40 minutes de sieste par jour, puis au final maintenant je me dis mais en quoi j'ai à avoir honte de dire que pour moi il me faut faire des siestes ? Encore une fois, tout est une question de compréhension de son rythme et compréhension de son énergie. Et je sais que je préfère par exemple, vous voyez quand je mange à midi et demi, je finis de manger à 13h, et de 13h à 14h c'est ma pause et généralement je vais dormir 40 minutes dans cette heure-là, et bien... Je me dis en fait, pour moi c'est important, et je sais que si je décide d'enchaîner directement le travail, je ne vais pas être productive. Et genre, je préfère, entre guillemets, perdre, même si c'est pas de la perte de temps, mais je préfère entre guillemets perdre 40 minutes à dormir, et après bosser plus longtemps et être ultra productive, plutôt que bosser 40 minutes de plus. Et genre... ne pas avancer, ne pas être productif parce que justement, j'ai mal géré mon énergie et j'ai besoin de repos. Après, en 21e révélation, et après on va rentrer dans le sentimental et je risque de pleurer. 21e révélation, c'est ressentir l'instant. Ressentir l'instant, c'est... J'ai mis longtemps à comprendre ça. Vous savez, apprécier le moment présent, le pouvoir du moment présent et tout le bordel. J'ai mis longtemps à ressentir l'instant, puis à aimer ça. Puis à aimer l'instant présent. Et quand je dis ressentir l'instant, je le ressens pleinement. Je sais que là... je ressens de la gratitude parce que je suis face à vous, je vous parle avec le cœur je sais que je vais vous publier cet épisode à l'arrache parce que parce que je vais le monter vite fait et puis après je vais le publier je vais faire aucun cut etc et genre c'est ok et c'est ok et je ressens de la gratitude d'être dans cet instant là parce que là juste à cet instant je vous parle et je pense pas justement au fait de publier etc et c'est pareil je sais pas quand on est en rando et que je vais voir un oiseau planer genre je vais voir l'oiseau en train de planer face au vent et genre je vais juste être en communion avec l'oiseau à ce moment là je sais pas c'est ultra c'est des moments en fait qui me permettent vraiment de ressentir l'instant puis de me remplir en énergie aussi Ensuite, on va passer à la catégorie que j'affectionne tout particulièrement, qui est la catégorie des autres. et des relations. Parce que forcément, dans ces 26 années, il y a eu des rires, il y a eu des pleurs, il y a eu des rencontres, il y a eu des déceptions, il y a eu de l'espoir, il y a eu de l'amour, il y a eu de la tristesse, de la colère, de l'envie. Il y a eu tout ça dans ces 26 années. Et la 22e révélation que j'ai envie de vous faire, puis jusqu'à la 26, pas dans la 26, je l'ai gardée, mais la 22 à la 25, c'est vraiment des moments où je veux vous parler des autres. Et en 22e, j'ai mis Tout est éphémère chaque relation qu'on a, après c'est mon avis, c'est très personnel et c'est un avis un peu clivant, du coup je comprendrais que ce ne soit pas votre point de vue, mais tout est éphémère et je pars du principe que dans la vie, chaque relation me fera souffrir. Dans la vie, chaque relation me fera souffrir et tout est éphémère. Parce que dans le sens où à chaque fois qu'on entame une relation, attention quand je dis relation, c'est au sens large, c'est relation amoureuse, amicale, familiale ou quoi, c'est quand on commence une relation avec quelqu'un, elle est forcément éphémère dans le sens où elle durera dans le temps. que ça se finisse par une trahison, une tromperie, juste un commun accord, juste des chemins de vie qui se séparent, et c'est ok, des attentes qui ne sont plus les mêmes, ou que ça se finisse par, assez extrême, mais par la mort, et bien, chaque relation est éphémère. Et aujourd'hui, je veux m'entourer des personnes, et du coup chaque relation me fera souffrir, parce que généralement quand une relation se termine, il y a toujours un peu de tristesse, et ça fait partie du bonheur justement, il y a toujours un peu de tristesse, et chaque relation me fera souffrir, et je veux juste trouver les personnes qui en valent la peine. Et aujourd'hui je veux m'entourer, et je m'entoure des personnes qui valent la peine que je sois triste le jour où notre relation se terminera. Et c'est important parce que vous voyez, quand j'avais 19 ans, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Je ne sais même pas s'ils écouteront cette vidéo, enfin s'ils écouteront ce podcast encore moins, s'ils l'écouteront jusque là. Mais voilà, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Ils ne sont pas morts, c'est juste que nous... Oui, parce que je dis j'ai perdu, mais voilà, c'est... C'est encore une blessure qui est assez présente pour moi et ça peut s'entendre à ma petite voix tremblotante, mais on est là pour être authentique. Voilà, je les ai perdues et en fait j'ai énormément souffert de cette perte-là et on s'est quitté parce que chemin différent, c'est tout, parce que chemin de vie différent et préoccupation différente. Et notre relation s'est terminée comme ça, un peu de manière dramatique, mais j'en ai beaucoup souffert. Et en fait quand j'ai souffert, je me suis dit mais Lina, si tu souffres autant... c'est qu'ils t'ont apporté tellement d'amour que du coup, je me suis dit, au final, je suis OK de souffrir comme ça. Parce que si je souffre comme ça, ça veut dire que j'ai aussi vraiment vécu des beaux moments avec eux. Vraiment. Ensuite, 23e révélation. C'est tuer la moyenne des 5 personnes qui t'entourent. Donc, choisis les biens. Voilà. C'est une phrase d'entrepreneur qu'on retrouve un peu partout, mais au final, c'est vrai. Entourez-vous de personnes qui vous stimulent, qui vous poussent vers le haut, pâtissent vers le haut. Enfin, des personnes qui vous élèvent, comme vous, vous les élevez aussi. Entourez-vous, voilà, des personnes qui vous font du bien, des personnes qui ne sont pas jalouses, des personnes qui ne sont pas envieuses. Entourez-vous de personnes qui vont être fières de vous. et de personnes que vous allez être fiers d'elles, puis des personnes où vous avez... où la relation est gagnant-gagnant, en fait. Ensuite, 24e révélation, il n'y a pas de temporalité, ni de géographie dans les relations. Je trouve que... Et c'est ce que j'ai remarqué quand je suis partie à Verdun la semaine dernière. Je suis partie la semaine dernière à Verdun avec Tara, une très bonne amie à moi qui vit, avec qui j'ai enregistré l'épisode de Martinique. Donc je l'ai rencontrée en Martinique, on ne s'est pas parlé pendant plus d'un an. Après on s'est retrouvées parce qu'elle habite vers chez moi, etc. Et là on est retournées voir, on l'a dit et on l'a fait, et ça serait important de dire et de faire. On est retournées voir Charline. ma colloque de Martinique, j'ai enregistré d'ailleurs un épisode avec elle qui sortira bientôt mais voilà, en gros Charline était partie pendant plus d'un an et demi en Australie et là elle revient un mois en France et on s'est dit avec Tara, on l'a dit, on l'a fait on s'est dit go, on prend la voiture on l'aménage et on se casse à Verdun pour voir Charline, pour la retrouver et pour pouvoir lui parler et en fait pendant cette semaine là je me suis rendue compte que Et voilà, on commence à pleurer, c'est parti ! Je me suis rendu compte que dans les vraies relations, que ce soit en amitié ou en amour, il n'y a pas de temporalité et il n'y a pas de géographie. Des vraies relations, elles seront là malgré la distance, elles seront là malgré... Malgré la distance, malgré le fait que vous ne parlez pas pendant plusieurs années et que quand on se retrouve, la relation reste la même. Je vous le dis, quand j'ai retrouvé Charline, ça faisait un an et demi qu'on ne s'était presque pas parlé, pas appelé. Ça faisait deux ans qu'on ne s'était pas revu. Et quand on s'est revu, rien n'avait changé en fait. Et ça, c'est les vrais amis. Je ne sais pas, je suis ultra émue. Je repense aussi à Marie, à Estelle, à Carole, à Adèle, à Léa. Enfin, voilà, à plein de personnes, en fait, que j'ai rencontrées dans ma vie, que j'ai pu rencontrer, que ce soit une semaine, un an, deux ans, deux jours, en auberge de jeunesse ou dans les études ou quoi. Pour les vrais amis, pour les vraies relations, il n'y a pas de temporalité. et il n'y a pas de géographie et le tout c'est de s'entourer des bonnes personnes et des personnes qui sont fiers de vous et des vrais amis c'est pas forcément les gens qui habitent à côté de chez vous et qui sont là tout le temps et que vous voyez tous les 4 matins pour boire un verre les vraies relations c'est les gens qui vous font juste vous sentir bien et qui vous font vous sentir à votre place et qui vous font sentir à la maison alors que vous êtes à l'autre bout du monde, quand vous êtes avec elles, quand vous parlez à ces personnes-là, vous avez l'impression d'être chez vous, d'être bien et d'être... Désolée, je ne vais pas m'excuser pour ça. Et d'être là où vous devez être. Des vrais amis, quand vous êtes avec des vrais amis, vous vous sentez pleinement à votre place. Et c'est ce que j'ai découvert cette semaine. même si je le savais déjà, mais voilà, c'est ce que j'avais envie de vous partager. Et en 25e, pardon, après je vais couper ce podcast parce que je suis vraiment en train de pleurer. En 25e révélation, j'ai envie de vous dire... Un jour, il y a un gars qui m'a dit, alors il ne s'est rien passé avec cet homme-là, mais juste on parlait des relations amoureuses. Et il m'a dit, oui, un jour, cette fille, je l'ai quittée parce que j'étais amoureuse de l'amour, mais je n'étais pas amoureuse d'elle. Et puis, au début, j'ai eu du mal à comprendre. Là, on parle des relations amoureuses, on s'entend. J'ai eu du mal à comprendre ce qu'il disait. Il disait, tu vois, quand j'étais avec elle, je ressentais que j'étais amoureuse de l'affection qu'elle m'apportait, mais que cette affection, elle m'ait été apportée par elle ou par une autre, ça aurait été pareil. et pour moi c'est important de trouver une personne quand vous êtes en couple, de trouver une personne parce que vous l'aimez pour qui elle est vraiment et pas pour juste l'affection qu'elle vous apporte et le confort de vie qu'elle vous apporte et je vis pour quelqu'un qui me dit que je suis une personne spéciale pour lui pour moi c'est important quand on se met en couple d'être spéciale aux yeux de la personne et que la personne soit spéciale à vos yeux, et que vous l'aimez pour sa personne, et pas pour l'affection qu'elle vous apporte. Voilà. En 26ème révélation, pour clôturer ce podcast, je vous dirais juste une phrase, et je clôturerai par ça, parce que ça fait un petit moment que je vous parle. Je vous dirais doute moins, ose plus, aime mieux. voilà, c'est tout je ne vais pas m'éterniser sur cette 26ème phrase parce que elle parle pour moi doute moins, ose plus, aime mieux sur ce, je vous dis à la semaine prochaine la semaine prochaine je vous embarque normalement au Canada avec un québécois ça va être vraiment marrant en tout cas, voilà on tourne la page des 25 ans et bienvenue aux 26 je les accueille avec gratitude et avec merci tout le bagage que ces 25 années m'ont offert et que j'ai pu vous expliquer pendant cette heure. Merci de m'avoir écoutée et je vous dis à très vite.

Description

🎂 Aujourd'hui je t'emmène dans un épisode un peu particulier !


26 ans c'est l'occasion de me replonger dans un voyage introspectif pour te livrer 26 révélations qui font de moi la personne que je suis aujourd'hui. Aucun ordre dans les révélations, aucun filtre, en toute transparence.🌿


Comme d'hab, un épisode riche en émotions, n'hésite pas à venir me dire la révélations qui t'as le plus marquée ! 


Bon épisode !


🗺️Découvre la formation Âme Vagabonde et organise ton premier voyage solo sereinement : subscribepage.io/amevagabonde


Chaque mardi, retrouve un épisode de podcast voyage et développement personnel, qui retrace une histoire de voyage, un témoignage inspirant, une aventure. Entre voyage émotionnel, exploration, découverte du monde, chaque épisode regorge de conseils, d'authenticité, de sortie de zone de confort. Vois ces épisodes comme ton mindset booster de la semaine, qui vient te prouver que TOUT est possible. 💥


Si toi aussi tu as un récit de voyage à raconter, contacte moi sur instagram : @instant_simple 📩


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Instant Simple, une parenthèse d'évasion. Aujourd'hui, je vous retrouve pour un épisode un peu spécial parce que c'est mon anniversaire, nous sommes le 19 septembre, j'ai 26 ans et qui dit 26 ans dit 26 révélations. Allez, je vous laisse avec la suite de l'épisode. Sous-titrage ST'501 Parfois un peu folle quand même. Alors si vous cherchez un podcast qui mixe développement personnel et voyage, vous êtes au bon endroit. Si ce concept vous plaît, je vous invite à soutenir ce podcast en laissant une note, un commentaire ou en le partageant à vos proches. Sur ce, bon épisode. Comment ça va aujourd'hui ? Ça fait longtemps ! Là, ça fait vraiment vraiment longtemps. Si vous saviez à quel point je... J'ai... Pouh ! Si vous saviez tout ce qui se passe dans ma vie actuellement, c'est bien rempli et en fait, j'ai eu du mal à me libérer du temps pour me poser et vous parler et surtout pour me poser et vous parler sincèrement parce que la semaine dernière, j'ai sorti un épisode de podcast. sur une semaine de retraite dans un monastère bouddhiste. Et j'ai publié l'épisode et ensuite je l'ai supprimé. Pourquoi ? Parce que je n'étais clairement pas assez authentique et j'avais enregistré cet épisode pour enregistrer un épisode et pour pouvoir sortir l'épisode. Et du coup, je me suis dit mais c'est pas moi, c'est pas ce que j'ai envie de faire et je ne veux pas m'enregistrer pour m'enregistrer parce que... Enfin voilà, je ne veux pas faire... Je ne veux pas vous donner du contenu, je ne veux pas vous donner des épisodes de podcast à écouter dans lesquels je ne suis pas à fond dans mon histoire et dans lesquels, en fait, juste je le fais parce que c'est un peu une obligation, mais pas parce que j'en ai envie. Et du coup, c'est pour ça que... La fois où j'ai enregistré l'épisode du monastère, j'ai aussi enregistré l'épisode dont je vais vous parler aujourd'hui. J'ai enregistré, on va dire, la première version de cet épisode-là. Et en fait, c'était une journée, j'étais tellement pas dans le mood pour enregistrer, mais j'allais partir en road trip, j'avais mes cours à organiser, etc. Et du coup, je m'étais dit, j'ai que cette journée-là pour enregistrer, du coup, je ne peux pas faire autrement. Donc, j'ai enregistré deux épisodes la même journée. Et clairement, aucun de ces deux-là ne sortira parce que, ben, j'étais pas moi. et j'étais très fatiguée, j'étais vraiment, enfin je ne dirais pas en burn-out parce que j'aime ce que je fais, mais voilà, j'étais fatiguée, je n'étais pas dans le mood, et du coup aujourd'hui, je reviens d'un road trip absolument incroyable dans les lacs suisses, dans les cascades, les lacs, j'ai été rendre visite à une amie sur Verdun aussi, et je me sens, vous voyez, rien que le fait de parler de... de cette dernière semaine, de toutes ces aventures. Mais waouh quoi, il s'est passé tellement de choses et j'ai envie de vous en parler à travers justement cet épisode de podcast qui risque ô combien d'être riche en émotions puisque c'est un épisode tout particulier, vous l'aurez compris. Aujourd'hui, on est le 19 septembre et... Vraiment, là, littéralement, j'enregistre cet épisode le mardi 19 septembre. Certes, mes épisodes, je les sors à 6h30 du matin d'habitude. Là, il doit être 15h. Je commence l'enregistrement. Après, je vais faire direct le montage, etc. Et j'ai envie de vous le poster aujourd'hui parce que ça me tenait quand même à cœur. Et voilà, j'ai envie vraiment de vous partager ma vibe du moment et vous partager ce qui, mine de rien... Vous parlez un peu... Alors, bon, ça fera l'objet d'un épisode à part entière, ça, mais de la semaine que j'ai passée et la semaine que j'ai vécue. Alors attendez, je vérifie juste que ça enregistre parce que... Ouais, on est bon. Non, je voulais être sûre que je ne parlais pas dans le vide depuis un petit moment quand même. Donc, je disais, la semaine qui est passée a été riche en émotions dans le sens où, vous voyez, rien... Et rien que le fait d'en parler, ça m'émeut. Non, mais ça me donne les larmes aux yeux parce que toute la semaine dernière, c'était ma dernière semaine de 25 ans. Voilà, c'était la dernière semaine de mes 25 ans. Et c'est comme si en une semaine, je me suis pris un shot d'émotion, d'énergie, de bonnes vibes et aussi de révélations incroyables. Et j'ai ressenti une... Et voilà, je commence déjà à pleurer, tout va bien se passer. Mais en fait, j'ai un peu pris du recul sur la semaine qui vient de se passer et j'ai ressenti... une vague de gratitude sur le fait que j'ai 25 ans aujourd'hui, littéralement 26 ans, et pendant ces 26 années sur cette terre, j'ai l'impression... d'avoir évolué et surtout les derniers mois, pendant le 1er octobre, ça fera un an que je suis entrepreneuse, et pendant, oui je vais renifler un petit peu, je m'excuse d'avance, et du coup pendant ces un an d'entrepreneuriat, j'ai vraiment l'impression de m'être révélée, aussi bien en tant que femme professionnelle, mais aussi d'avoir révélé ma vraie personnalité, en tant, voilà, humainement parlant. Voilà, j'ai l'impression de vivre en accord... Enfin, c'est pas... Désolée, j'enivre. Mais c'est pas... Vous voyez, j'ai vraiment l'impression de vivre en accord avec mes valeurs et... et d'incarner la personne que j'ai envie d'être, et la personne que je suis au final. Et du coup aujourd'hui je me rends compte, et c'est pour ça que cette semaine a été riche en émotions, parce que je me rends compte que je m'entoure de personnes incroyables, et que ce n'est pas par chance que je m'entoure de ces personnes-là, c'est parce qu'au final, comme toute personne, je le mérite. Et je suis tellement heureuse d'être entourée des personnes qui m'entourent aujourd'hui. Voilà. Bref, sur ces... Quand même 5 minutes d'intro c'est bien assez, on va essayer de ne pas dépasser les 1h de podcast je vous le promets. Donc sur ce, en fait aujourd'hui j'avais envie pour mes 26 ans du coup de vous enregistrer un épisode de podcast qui parle toujours de voyage évidemment, qui parle de voyage intérieur cette fois-ci. Mais vous enregistrez 26 révélations que j'ai eues dans ma vie, voilà. 26 révélations qui... qui me servent aujourd'hui, 26 phrases, ça peut être des phrases, des citations, ça peut être des enseignements, mais vraiment 26 révélations que j'ai eues et qui aujourd'hui en fait me définissent et qui guident en fait ma ligne de conduite au quotidien. Je me suis dit que... On a tous des révélations, évidemment, on vit tous en accord avec nos principes, avec certaines choses. Et moi, j'avais envie, en fait, de me poser et d'écrire noir sur blanc. ce qui me définit, ce que je ressens aujourd'hui et les phrases qui m'aident à toujours vous proposer et me proposer en fait la meilleure version de moi-même. Donc on s'entend que ces 26 révélations, elles ne vont pas du tout... Enfin, j'ai essayé de les classer par... je ne sais pas, de les regrouper par thématique, mais aucune n'est plus importante qu'une autre. Et voilà, il n'y a pas de hiérarchisation de valeur dans toutes ces révélations, c'est vraiment des façons de penser que j'ai aujourd'hui, que j'applique au quotidien et qui m'aident tellement à avancer. Et je me dis, si à travers ce podcast, vous pouvez, si je peux aider ne serait-ce qu'une personne à avoir une petite révélation et qu'elle se dise, ah tiens, Bah moi aussi j'aimerais bien penser comme ça, puis j'aimerais bien appliquer comme ça, etc. Bah voilà, avec plaisir. Donc bah écoutez, c'est parti. Donc j'ai classé ces révélations en... Laissez-moi... Non parce que... Et pensez pas que je fais tout de tête. Là j'ai quand même écrit des petites choses. Mais en 1, 2, 4, 5 catégories. La première catégorie, ça va être des révélations autour du système de pensée, autour de mon cerveau. La deuxième catégorie, ce sera des révélations autour de la zone de confort, de la force, du courage et du fait d'oser. La troisième catégorie, je l'ai appelée révélation, tout simplement, parce que c'est vraiment des grands... Je ne suis pas attachée à... à des religions, enfin on ne va pas parler de religion aujourd'hui, mais voilà, pour moi ces révélations ce sont des grands préceptes, on va dire, sans parler de religion, mais voilà, des grands préceptes qui dictent ma vie. Ensuite, autre catégorie, je l'ai appelée moi, moi dans le sens... Ce qui se passe à l'intérieur de moi au niveau de certaines révélations. Et dernière catégorie, les autres. C'est-à-dire des révélations sur mes relations avec les personnes. Alors, commençons par la première. Je me remets sur ma petite liste. Première catégorie, les pensées. Dans les pensées, j'ai regroupé quatre révélations qui, selon moi, je ne vais pas dire que chaque révélation est essentielle parce que sinon je vais lire tout le temps en fait. Donc, première révélation, notre caractère ne nous définit pas et c'est libre à nous de le changer. Qu'est-ce que j'entends par là ? J'entends derrière ça l'exemple qui me frappe le plus, enfin en tout cas qui m'a le plus touchée, c'est la timidité. Depuis toute petite, je suis une personne timide. C'est-à-dire, enfin, je me définissais comme ça. À chaque fois, je disais je suis timide. C'est-à-dire que j'associais à mon être, donc je mettais le verbe être, donc je suis, j'associais... au mot être, le mot timide. Et en fait, depuis toute petite, j'ai toujours pensé que voilà, j'étais timide, que j'étais née comme ça, et que voilà, ça ne se choisissait pas, c'était la vie, voilà, il fallait dealer avec ça. Et au final, ben, c'est tellement pas ça. Enfin, je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais genre... J'ai toujours pensé que j'étais timide. Et vu que j'alimentais cette pensée, mon cerveau a admis ça comme vrai, etc. Et du coup, je ne me voyais pas vivre autrement. Et un jour, j'ai compris, et ça je l'ai compris dans mes années, dans mes premières soirées de lycée, donc je devais avoir 16-17 ans. Et à ces premières soirées, en fait j'en avais marre de parler à personne, puis d'être toute rouge quand un garçon m'adressait la parole, et puis de... Enfin voilà, j'en avais marre de cette timidité dans laquelle je m'étais engluée et j'osais rien faire toute seule. Et vraiment, j'étais dans un état, mais c'était très compliqué. Mais le truc, c'est que je ne me voyais pas comment sortir de cette timidité. Et un jour, pendant ces premières soirées, je me suis dit, vas-y, fake it until you make it. C'est-à-dire, genre, j'ai... Je vais aller à une soirée, je vais faker que je suis ultra populaire, ultra sociable, ultra tout ce que vous voulez, enfin les mots qu'on utilise au lycée quoi, et je me suis dit vas-y, cette soirée j'y vais et je vais faire semblant d'être une personne ultra sociable et je vais aller parler à tout le monde. Et bien sûr dans cette soirée je me suis clairement forcée à adresser la parole aux gens, et j'ai découvert... que j'aimais ça. J'ai découvert que j'aimais la personne que j'étais quand je faisais semblant d'être cette personne sociable et pas cette personne timide. Et au fur et à mesure, ça a été un travail de longue haleine, mais j'ai réussi à surmonter cette timidité. Je ne dis pas qu'aujourd'hui, je ne suis plus du tout timide, mais en tout cas, je ne me définis plus comme telle. Et voilà, ça, c'est vraiment une des premières révélations que j'ai eues quand j'ai commencé à m'intéresser au développement perso. C'est vraiment... que mon caractère ne me définit pas et est libre à nous de le changer. Deuxième révélation, et ça, pareil, c'est... C'est vraiment une révélation que j'ai eue quand j'ai commencé tout juste à m'intéresser aux devs perso. J'ai commencé à m'intéresser au développement personnel grâce au podcast Oui Change Ma Vie de Clotilde Dussoulier. Et je vous le conseille vraiment et surtout écoutez ses 5-6 premiers épisodes parce qu'elle explique très bien ce que je vais expliquer là en quelques minutes. Mais elle explique très bien que tu n'es pas tes pensées. Et en utilisant le modèle de Brooke Castillo. qui est Faites penser, émotions, actions Je vais vous l'expliquer un peu plus longuement, mais le jour où j'ai pris conscience vraiment que je ne suis pas à mes pensées et que libre à moi, justement, de prendre cette position de libre penseur sur chaque situation qui m'arrive pour agir en fonction de mes valeurs, le jour où j'ai pris conscience de ça, ma vie a changé. Non, j'ai l'impression que je fais une pub pour un truc nul, mais je vous jure que c'est vrai. Je vous donne un exemple. Le modèle de Brooke Castillo, Tu n'es pas tes pensées, c'est qu'on part du principe que le cerveau, chaque jour, il doit prendre des milliers de décisions. Et du coup, forcément, c'est une machine. Et pour se simplifier la vie, il a décidé d'automatiser certains choix. Comme tous les matins, vous n'allez pas vous demander où est votre brosse à dents, ou vous n'allez pas vous demander... Est-ce que je mets du dentifrice sur ma brosse à dents ou quoi ? Non, ça c'est des décisions que votre cerveau a automatisées. Et donc, il automatise aussi bien les petits gestes du quotidien comme se brosser les dents, se laver, se brosser les cheveux, etc. Et il automatise aussi des concepts plus compliqués qui vont justement définir notre caractère. Et dans... Et dans ces choses-là, justement, dans ces choix, c'est-à-dire à chaque fois qu'il y a un fait, donc ça, c'est le modèle de Brooke Castillo, à chaque fois qu'il y a un fait, enfin qu'il y a un fait, c'est-à-dire un fait, ça part du principe que c'est vérifiable en tribunal. Je vous donne l'exemple d'un champion, je ne sais pas, un champion en sport, un champion de ski, oui, parce qu'on reste dans la montagne quand même, un champion de ski, par exemple, qui arrive deuxième à sa compétition. Donc ça, de manière littérale... Genre, il arrive deuxième, c'est un fait, c'est vérifiable en tribunal, il est arrivé deuxième, genre... c'est certain, eh bien, si on se met dans la tête du champion de ski, il va, de ce fait, générer une pensée. Et on a toujours une pensée automatique qui arrive. Ça se trouve, sa pensée automatique, ça va être de se dire, ça va être d'être dégoûté. Et de se dire, purée, j'étais à deux centièmes du premier, je suis dégoûté, ça me saoule, etc. Il peut décider de penser ça. Et de manière consciente, il peut aussi prendre cette position de libre-penseur et de choisir quelque chose qui est plus en accord avec ses valeurs. Il peut décider de penser, de choisir, ben, je suis arrivé deuxième, c'est top, j'ai battu mon meilleur record, et la prochaine fois, ce sera encore mieux. Et du coup, de la pensée qu'on a va générer une émotion. Une émotion, par exemple, là, pour la pensée d'il est dégoûté d'avoir perdu, l'émotion qui va le générer, ça va être de la tristesse, peut-être de la colère, de la frustration, de l'envie. Ce ne sera peut-être pas des bonnes émotions, alors que s'il décide de penser qu'il fera mieux la prochaine fois, là, les émotions qui sont générées, ça va être peut-être du courage, de la détermination, de la motivation, etc. Et suite à l'émotion, donc on a fait penser émotion et générer une action. et du coup une action qui sera plus en accord avec ses valeurs. Peut-être dans son premier schéma de pensée qui est automatique, il va décider de baisser les bras et puis d'arrêter de s'entraîner, et peut-être que dans la deuxième option justement, il décidera de s'entraîner encore plus, vu qu'il sera motivé, il se reboostera et il fera des entraînements peut-être plus longs, etc. Voilà la deuxième révélation qui est tu n'es pas tes pensées. Ensuite, troisième révélation, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. Dans le sens où, à partir du moment où tu comprends que tu n'es pas tes pensées, et bien certes tu n'es pas responsable des faits, c'est-à-dire des choses factuelles, mais tu es responsable à partir du moment où tu comprends justement que tu n'es pas tes pensées et que tu peux adopter cette position de libre penseur et de consciemment changer ta manière de penser, eh bien tu peux justement faire absolument ce que tu veux et reformater ton cerveau. Donc à partir de ce moment-là, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. C'est-à-dire qu'à partir du moment où tu n'es pas responsable des faits, mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ça, mais ça, mais ça c'est tellement essentiel. Je vais répéter cette phrase mais je l'aime vraiment, c'est tu n'es pas responsable des faits mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ta manière de penser un fait va considérablement changer ton état d'esprit. Mais ça, puissance 1000. Ensuite, quatrième révélation. c'est l'importance de vivre en accord avec ses valeurs. Donc déjà l'importance de les connaître. Pour moi, une valeur, c'est ce qui est important pour moi. C'est la sincérité, la liberté, l'aventure, la découverte, et puis la simplicité. Voilà, on va dire que c'est mes grands présèpes, mes grandes valeurs. Et du coup, quand on connaît ces valeurs-là, quand on prend cette position de libre-penseur et qu'on veut choisir ce qu'on pense, et bien... on va décider en fait de faire des actions et de penser des choses qui sont en accord avec nos valeurs. Et plus des pensées automatiques qui sont générées par notre cerveau. Et plus on va faire cet exercice de reprogrammation mentale, plus justement... Et bien, on va se reprogrammer avec les valeurs qui nous sont propres et on va savoir expliquer chacune de nos actions parce qu'on va avoir l'impression d'être beaucoup plus aligné puisque chacune de nos actions et nos décisions seront en raccord avec nos valeurs parce qu'on les connaît. Et on n'aura vraiment plus cette impression d'être à côté de la plaque, mais on aura cette impression d'être genre à notre place et d'être légitime et d'être fort et d'être puissant. Voilà. Je ne sais pas si ce format vous plaît. parce que j'ai l'impression de vous balancer comme ça plein de choses, mais en tout cas, moi, j'aime beaucoup. J'aime beaucoup parce que, voilà, prenez ce qu'il y a à prendre dans cette vidéo, vraiment, prenez ce qui vous intéresse. Et je ne dis pas que... Et je ne fais pas du tout ce podcast pour avoir raison sur tous les sujets et pour dire que ma parole, c'est la meilleure et la vôtre, non, etc. Non, je fais vraiment ça pour vous expliquer mon point de vue sur les choses et vous expliquer en fait moi les révélations qui me font du bien à penser qui me font du bien à entendre parce que peut-être que ça peut aussi vous faire du bien mais si vous n'êtes pas raccord avec c'est vraiment correct et il n'y a aucun problème avec ça voilà on en a fini pour la partie sur les pensées, maintenant on va passer à la partie force, courage, oser Numéro 5, donc cinquième révélation, tu es plus fort que ce que tu crois. Si vous avez écouté l'épisode qui s'appelle la nuit du 4 août, la nuit où tout a basculé, vous comprendrez pourquoi. Voilà, je n'ai pas besoin de m'éterniser plus sur cette phrase qui a fait sens pour moi le jour où j'ai perdu mon père et où je me suis rendu compte que je suis... tellement plus forte que ce que je crois. Je peux tellement plus accomplir que ce que je crois. Je suis tellement plus que je ne pense être, en fait. Et voilà. Ensuite, en sixième révélation, tout est surmontable. peu importe ce qui m'arrive aujourd'hui, je sais que ça va aller. Je sais que j'y crois et je sais que tout est surmontable et que tant qu'on a la santé, on a tout et tout peut bien se passer. Et en fait, j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses. Bon, j'en reparlerai tout à l'heure, mais j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses et surtout de... de chercher des... A chaque fois que je me lance dans un nouveau projet, avant, je me disais tout le temps, ouais, mais et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et puis, en fait, je me rendais compte que je mettais toujours du négatif derrière le et s'il se passe ça ? Alors, je disais, je vais lancer un podcast, puis après, je suis là, et si j'arrive pas à le tenir ? Et si, au final, ça me prend trop de temps ? Et si je trouve plus personne pour l'écouter ? Et si personne m'écoute ? Et si tout le monde s'en fout ? Et genre, je mettais toujours quelque chose de négatif, et aujourd'hui, je me dis, et genre, je me dis, et si ça se passait bien ? et si j'arrêtais pour une fois, quand je me lance dans un projet, de voir tout ce qui pourrait mal se passer, mais d'essayer d'étudier tout ce qui pourrait aussi très bien se passer. Voilà. Ensuite, septième révélation, la ZDC, hashtag zone de confort. La zone de confort est faite pour être repoussée. La zone de confort est faite pour être repoussée. Je l'ai répétée deux fois, c'est normal. Je la répète une troisième fois. La zone de confort est faite pour être repoussée. Ça, c'est franchement... Le jour où je suis partie toute seule à Budapest, c'était mon premier voyage solo du coup, c'est là que j'ai compris que la zone de confort était faite justement pour être franchie, et était faite pour être élargie, être repoussée dans le sens... En fait, aujourd'hui, j'ai l'impression que quand j'avais 19 ans, avant mes voyages solo, j'avais une zone de confort qui était toute petite, genre de la taille d'un village. Et aujourd'hui, j'ai l'impression que plus je voyage, plus des choses m'arrivent, et plus j'entreprends, etc. Et du coup, plus j'agrandis. les limites de ma ville, en fait. Et j'agrandis les limites de ma zone de confort. Et aujourd'hui, des choses qui me paraissaient insurmontables avant, eh bien, aujourd'hui, je les ai surmontées. Et maintenant, elles font partie de mon paysage. Elles font partie de cette zone de confort. Donc voilà, la zone de confort est faite pour être surmontée. Et au final, quand on sort de notre zone de confort, moi, au final, je sors de ma zone de confort, mais pour... C'est un peu comme rentrer... C'est un peu comme partir en bataille contre soi-même et aller conquérir des nouveaux espaces. Je vois vraiment la zone de confort comme ça. C'est-à-dire quand je sors de ma zone de confort, je vais conquérir un terrain inconnu. Et une fois que je le connais et que du coup je me sens confortable avec, il fait partie de ma zone de confort et mon territoire s'agrandit. C'est vraiment... C'est un peu les conquistadors, vous voyez. Genre vraiment, je pars en bataille contre moi-même et je vais agrandir mon terrain. Ensuite, la huitième révélation, c'est l'importance d'explorer ses zones d'ombre. Ça, je m'en rends compte quand des potes me posent des questions ou des choses comme ça. Et des fois... Des fois, on le sent. En vrai, ça arrive à tout le monde. Des fois, on sent en nous, quand on donne une réponse, qu'on ne donne pas une réponse 100% honnête envers nous. C'est-à-dire que même il y a des situations où on se ment à nous-mêmes sur certains sujets. Et au fond, nous, on est conscient qu'on se ment à nous-mêmes, mais on n'ose pas se l'avouer à haute voix. Et pour moi, c'est ça une part d'ombre. C'est-à-dire que quand on essaye... Consciemment de se cacher quelque chose, enfin de cacher quelque chose à notre propre personne, c'est que... Il y a quelque chose qui est caché dans l'ombre là-dedans et il y a quelque chose de sous-jacent avec ça. Et pour moi, c'est ultra important d'aller explorer ces zones d'ombre. On peut le faire de différentes façons. Le mieux pour moi, ça reste quand même d'être accompagné d'un expert, enfin d'un expert, d'un praticien pour tout ça. Mais voilà. Ensuite, neuvième révélation. On est toujours à une seule décision de changer notre vie pour le mieux. et aussi pour le moins bien, mais bon, là, on axe un petit peu sur le mieux quand même, on est toujours à une décision de changer notre vie. Dans le sens où, moi, j'aime cette phrase parce qu'à chaque fois, je me dis... Et bien, je suis toujours à une décision d'accomplir un rêve. Et en fait, ça rend le parcours plus simple. Ça rend le chemin mental plus simple. Par exemple, là, je suis en train de me questionner sur le fait de partir en voyage au Mexique. Et je me dis, je suis toujours à une décision de le faire. Je suis à une décision d'aller sur l'ordouille et de réserver mon billet. Et sans me dire, il faut que j'étudie ça, puis la météo, puis le climat, puis l'hébergement, puis l'avion, etc. Non, je suis toujours à une décision de décider d'y aller. et ça c'est quelque chose, à chaque fois ça me motive énormément pour commencer tous mes projets, parce que je me dis je suis toujours à un chouïa, vous voyez, à une décision, que ce soit que je fasse un game change dans ma vie. Après on va passer à l'autre catégorie qui est la catégorie des révélations, où je vais vous balancer des phrases, mais que je trouve vraiment importantes et qui ont changé ma vie. La dixième révélation c'est... Bisous Charline, si tu m'écoutes. C'est tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Je crois en la destinée, pas tout le monde n'y croit, mais pour moi voilà, des fois il y a des choses qui se passent qui sont trop énormes pour se dire que c'est un hasard. Et je crois en la destinée et tout est juste dans l'univers et si certaines choses ne se font pas, et bien c'est peut-être juste que ça ne devait pas se faire ou alors pas à ce moment-là parce que le mieux arrive au meilleur moment. Et cette phrase, je ne sais pas, elle me plaît tellement parce que... Enfin voilà, tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Moi, cette phrase, elle me soulage, elle me fait du bien. Et puis au final, c'est tout ce qu'on recherche. Phrase 11, les choses sont simples. Voilà, je n'ai pas implé mon entreprise Instant Simple pour rien. C'est parce que, selon moi, les choses sont simples. Et c'est juste nous qui aimons les compliqués. On n'aime pas forcément ça, mais genre, c'est juste nous qui les compliquons. Mais... Au final, tout est simple dans les faits. Genre, vraiment, tout est simple, que ce soit au niveau des relations, au niveau de ce qui se passe dans notre vie, au niveau de notre manière de penser, tout est simple. Et quand on... C'est un peu le fait de relativiser, quoi. Tu te retrouves dans une situation ultra compliquée et tout. Et des fois, mais simplifie-la. En fait, tout peut être beaucoup plus simple. Et des fois, on se complique tellement la vie. Et je sais que... Moi, j'ai commencé à penser comme ça quand j'ai perdu mon père. Parce que... Après son départ, eh ben... Je sais pas, quand j'allais voir mes potes et tout, des fois, on pouvait... Enfin, des fois, quand j'entendais les autres parler entre eux, eh ben, genre, les gens s'embrouillaient pour des détails qui, selon moi, étaient tellement futiles que la vie et la mort, parce que j'étais vraiment, à l'époque, dans cette dualité, quand je venais de perdre mon papa. Et du coup, en fait, pour moi, tout était plus simple que ce que je vivais. Et donc, en fait, ça m'a appris à simplifier toutes les situations. C'est-à-dire que... les gens qui se disaient ah mais on m'a invité à cette soirée mais du coup j'ai pas vraiment envie d'y aller mais genre si je vais pas, les gens ils vont penser que si, ils vont penser que ça non c'est bon les accords Toltec on se fait pas de supposition genre au bout d'un moment t'es invité à une soirée, t'as pas envie d'y aller ben les choses sont simples, dis non c'est tout, c'est tout puis si t'as envie d'y aller tu dis oui genre y'a pas à se poser 10 000 questions et puis à se polluer ce qu'il y a dans notre crâne en se disant hum Enfin voilà, en essayant de compliquer les choses qui au départ sont juste simples, c'est-à-dire que la personne qui vous a invité à cette soirée, elle ne vous a pas invité, enfin dans sa tête quand elle vous a invité, elle vous a invité parce que ça lui faisait plaisir de passer du temps avec vous, mais elle ne s'est pas dit, alors il faut que j'invite, parce que si je ne l'invite pas, du coup elle va mal le prendre. Non, non, non, les choses sont simples. Douzième révélation que j'ai. que j'ai vraiment réalisé l'année dernière quand j'étais dans le monastère bouddhiste justement et promis cet épisode ressortira mais je vous ferai un vrai épisode où vraiment on ressent qui je suis et où je parle avec le cœur comme je le fais actuellement douzième révélation faire les choses de tout son cœur sans rien attendre en retour, faire les choses sans intérêt. Ça, c'est un précepte que j'applique depuis l'année dernière, vraiment, et au début je me forçais à l'appliquer, maintenant, comme je vous l'ai dit dans les pensées, ça un peu devient un automatisme. Faire les choses sans rien attendre en retour, c'est la meilleure façon déjà d'être dans l'instant, et... d'utiliser son cœur, de faire les choses de tout son être, et le fait de rien attendre en retour, c'est la meilleure des choses, parce que vous ne serez jamais déçus, et tout ce que vous recevrez, si vous recevez, tout ce que vous recevrez, vous le prendrez vraiment pour un cadeau, et non pas comme un dû, et ça c'est tellement important, c'est-à-dire... Quand vous faites les choses sans intérêt, vu que vous n'attendez rien en retour, ce que vous allez recevoir, vous allez le recevoir fois mille et vous allez être encore plus dans la gratitude puisque vous n'attendiez rien. Et ça, honnêtement, ça permet de fluidifier les relations, ça permet... Bon, des fois aussi, on peut se faire prendre pour une bonne poire en pensant comme ça, mais je reste convaincue que les gens sont quand même bien et que... C'est ce que je répète à mes élèves, bah oui parce que je suis prof à l'université accessoirement, et c'est ce que je répète à mes élèves, c'est soyez gentil. Soyez gentil avec les gens, parce que vous pouvez être sûr que... ça va vous être retourné un jour ou l'autre, mais il ne faut pas le faire dans l'attente que vous ayez un geste de la part des personnes, mais juste soyez gentil, parce que ça peut faire que du bien, ça vous fait du bien à vous, parce que vous propagez des bonnes ondes, et ça fait du bien à eux, et genre... Tout le monde est content grâce à ça. Ensuite, treizième révélation, une petite phrase de Xavier Dolan que j'apprécie énormément qui est Tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n'abandonne jamais Ça, c'est vraiment la phrase qui me permet de rester motivée pour mon parcours entrepreneurial. En quatorzième, nous avons J'ai pas le temps de perdre mon temps Ça, je l'applique un peu aux relations avec les gens, je l'applique aux projets que je fais, c'est-à-dire pas le temps de perdre mon temps, dans le sens où c'est important de prendre son temps, mais il ne faut pas le perdre. Selon moi, le temps, c'est le cadeau le plus précieux que vous pouvez faire à quelqu'un. Dans le sens où, quand vous décidez d'accorder du temps à une personne, eh bien... Le temps, c'est la seule denrée qui ne va que dans un sens. C'est-à-dire, vous pourrez toujours avoir plus d'argent, avoir plus d'énergie, vous pourrez toujours avoir plus, mais vous ne pourrez jamais avoir plus de temps. Ça, c'est quelque chose, ça n'est pas possible. On a une durée limitée sur cette Terre, on a une date de péremption, vous voyez. Et du coup... Et bien, aujourd'hui, le temps pour moi, quand je donne du temps, c'est un cadeau que je fais. Et quand les personnes m'accordent du temps, c'est un cadeau qu'ils me font. Et c'est pour ça que je n'ai pas le temps de perdre mon temps pour des choses. Et j'essaye, par exemple, de limiter énormément... De plus en plus, mon temps passé sur les réseaux... Alors attention, quand je dis le temps passé sur les réseaux, c'est le temps passé à scroller les réseaux. Je passe du temps sur les réseaux pour échanger avec mes amis, pour échanger avec des gens, pour rencontrer de nouvelles personnes. Mais aujourd'hui, j'essaye... autant que possible, je dis pas que ça m'arrive plus évidemment parce que je reste humaine, mais j'essaye autant que possible de ne plus par exemple scroller sur Instagram parce que des fois je me rends compte que je vais scroller pendant une heure. Et là c'est une heure de temps qui est partie et clairement que j'ai perdu parce que ça va pas m'en servir pour plus tard. Et puis ça va me faire du bien, mais c'est un faux bien, vous voyez. Ça va me faire du bien à durée limitée. Et c'est pas quelque chose qui va générer chez moi du bien-être à long terme. Ensuite, 15ème révélation, tout est possible à n'importe quel âge. Ça, j'en ai beaucoup parlé du coup pendant le premier épisode sur mon voyage à Budapest. Tout est possible à n'importe quel âge, on n'est jamais trop vieux ou trop jeune pour entamer des choses. Voilà, tout est possible à n'importe quel âge, et moi ça me fait du bien de penser ça, parce que mine de rien, 26 ans, je sais pas quel âge vous avez, mais en tout cas chaque année, quand je prends un an du coup, j'ai toujours peur, parce que le temps ça reste important, et puis ça file, et... Et du coup, moi, mes jours d'anniversaire, c'est jamais des jours où je me sens dans un ultra good vibe. Enfin, si, en soi, j'aime bien. Mais, je sais pas, ça me rappelle que le temps passe et que, en fait, j'ai peur de vieillir. Mais cette phrase, tout est possible à n'importe quel âge. Elle vient pour me faire un câlin au cœur, en gros. Et puis, pour me soulager de cette peur de vieillir, justement. Ensuite, 16ème révélation, un mais est égal à une excuse. Ça, je me souviens, on en avait parlé avec Thibaut, avec Tara, avec plusieurs personnes. Un mais, c'est une excuse. Et à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, et vraiment aujourd'hui j'essaye justement de faire ce travail d'analyser les mais que je dis, parce qu'à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, ou que votre ami va vous, je sais pas, vous proposer une solution sur une problématique que vous soulevez et tout, et ben dès que vous allez dire... Ouais, c'est intéressant, mais tu vois, du coup, je ne peux pas faire ça parce que ci, parce que ça. Eh bien, non. Genre, à chaque fois que vous avez un mais dans une phrase, vous avez une excuse que vous trouvez pour ne pas commencer ce projet. Et à vous de jauger les excuses que vous trouvez, mais en tout cas... Chaque excuse est surmontable et pour moi, les gens qui me disent qu'ils ont des projets et qui mettent un mais derrière, si vraiment c'est un projet qui tient à cœur, le mais, on peut tous le faire péter. Ensuite, on va rentrer dans d'autres révélations. Je ne sais même pas combien de temps ça fait que je vous parle. Ça fait 35 minutes, on est à la 17 et on avance très bien, je suis contente. Donc la 17ème révélation, on entre dans la catégorie du moi, du moi dans le sens ce qui se passe à l'intérieur, pas dans les pensées et tout, mais plus le moi énergétique dans les révélations. Donc la 17ème révélation, c'est une phrase que m'a dit mon papa un jour et que je continue à prôner. C'est vie pour vivre des moments simples et des histoires vraies Ça, c'est une phrase qui me fait du bien, parce que déjà elle me rappelle un peu mon père. Et aussi elle me fait du bien parce que j'ai l'impression... de tout le temps être alignée avec cette phrase. Puisque aujourd'hui, je pense comme ça et que mes valeurs principales et donc les actions que je fais sont en accord avec la liberté, la sincérité, la simplicité, eh bien, j'ai toujours l'impression d'être en accord avec cette phrase et de vivre des moments simples et des histoires vraies. C'est-à-dire, j'ai l'impression de vivre des moments sincères et des histoires incroyables. Je ne sais pas ce qui fait ce bruit. Bon, j'espère que ça ne s'entend pas trop. Mais j'ai toujours l'impression de vivre des choses incroyables parce que justement, vu que pour moi, tout est simple et tout mérite d'être vu, dès que je vois quelque chose, je suis émerveillée. Vous voyez, je suis une éternelle... On peut m'appeler bisounours, mais je suis une éternelle optimiste. Bon, réaliste quand même, mais optimiste et dans le sens où... quand je suis dans une bonne vibes, mais genre, rien ne peut gâcher ma vibes, en fait. Et je vais toujours essayer de, je sais pas, de me remonter le moral, de remonter le moral des troupes et tout, parce que rien n'est grave, et tout est possible, et le mieux arrive au meilleur moment, et du coup, les moments sont simples, les histoires sont vraies. En 18ème révélation... ça c'est une révélation que j'adopte depuis plusieurs mois maintenant, pas années, mois plutôt, et où j'arrive à surfer sur cette vague et où je me sens pleinement bien, c'est que j'aime ma compagnie. J'ai découvert ça pendant mes voyages en solitaire évidemment. Et aujourd'hui, j'arrive justement depuis quelques mois à appliquer le fait d'aimer ma compagnie en étant chez moi. Ce qui était assez compliqué pour moi au début. Et genre aujourd'hui, j'aime ma compagnie et j'aime passer du temps seule. Et je sais que je me recharge en énergie comme ça. Et genre j'aime passer du temps seule. Et du coup, j'ai besoin de personne. Je dis bien j'ai besoin de personnes. Donc dans le sens où aujourd'hui quand je décide de passer du temps avec les gens, je le fais parce que j'en ai envie, mais pas parce que j'ai besoin de combler un manque affectif, ou un... je sais pas, pas parce que j'ai besoin de combler tout ça. Ensuite, dix-neuvième révélation, comprendre mon énergie. Comprendre mon énergie et comprendre en fait, et me déculpabiliser, surtout déculpabiliser, parce que... C'est sympa de se déculpabiliser des fois où je sais que pour moi il y a deux types de personnes. Il y a des gens, ils vont recharger leur batterie en étant tout seuls et en s'entourant d'autres personnes, ils vont les vider. Pas dans le sens où ils n'aiment pas être avec les gens, mais il y a des personnes où être avec les gens, ça va les vider. Et il y a d'autres personnes où être avec les gens, au contraire, ça va les recharger en énergie. Et quand ils sont tout seuls, ils vont se vider en énergie. Moi, je suis dans le premier cas. C'est-à-dire que moi, je me remplis d'énergie quand je suis seule. Et quand je suis avec des gens, je peux être avec des gens, mais au bout d'un moment, je sature. Et genre, il faut que je retourne un peu dans mon cocon pour recharger les batteries. Et au début, je culpabilisais justement. Je culpabilisais de ne pas toujours avoir envie de sortir, de ne pas toujours avoir envie de voir du monde et tout. Je me disais, je ne suis pas normale, je suis asociale, machin. Et en fait, non, c'est juste que c'est ma façon de fonctionner. Puis c'est ma façon de dealer avec mon énergie et du coup d'apporter du temps de qualité. aux personnes. C'est-à-dire d'être consciente que mon énergie, en étant avec les gens, il descend. Et du coup, il y a des fois où quand je suis avec les gens, je préfère juste dire, attendez, je vais faire une petite balade toute seule, je passe une semaine chez quelqu'un, je sais que si je passe une semaine chez une personne, je vais avoir le besoin de passer quelques temps toute seule parce que, et c'est ok en fait, au début je culpabilisais de ça. mais en fait je me disais mais je préfère quand je vois cette personne être rechargée en énergie pour pouvoir dépenser mon énergie avec elle et vraiment apprécier l'instant et passer un moment de qualité plutôt que me forcer à rester tout le temps avec la personne et du coup être vidée en énergie tout le temps et ne pas pouvoir lui accorder ce temps de qualité. Et des fois c'est mieux de dire bon bah écoutez je suis pas genre... Et ça rejoint, bah là on va passer à la vingtième du coup, avoir mon propre rythme. Et me déculpabiliser avec ça, c'est un peu de paire avec comprendre mon énergie. C'est qu'avoir son propre rythme, je le découvre depuis que je suis entrepreneuse. Assumons-le. Au début, du coup, souvent, j'ai travaillé, j'ai eu différents rythmes. J'ai été dans le monde de la nuit, dans les saisons. J'ai fait aussi du travail du 9h, 17h, métro, boulot, dodo. Et quand je suis arrivée, du coup, en auto-entrepreneuse... Je ne savais pas comment gérer mon rythme et aujourd'hui, je le découvre petit à petit. Je sais que le matin, c'est plus tranquille, l'après-midi, je bosse un peu plus, puis des fois, je vais bosser un peu plus tard et puis je vais commencer, puis je vais faire des siestes, puis machin, enfin voilà. J'arrive vraiment à trouver mon propre rythme aujourd'hui, mais c'est quelque chose où j'y suis allée à tâtons pendant beaucoup de temps. Et je culpabilisais de dire que j'avais besoin de genre 40 minutes de sieste par jour, puis au final maintenant je me dis mais en quoi j'ai à avoir honte de dire que pour moi il me faut faire des siestes ? Encore une fois, tout est une question de compréhension de son rythme et compréhension de son énergie. Et je sais que je préfère par exemple, vous voyez quand je mange à midi et demi, je finis de manger à 13h, et de 13h à 14h c'est ma pause et généralement je vais dormir 40 minutes dans cette heure-là, et bien... Je me dis en fait, pour moi c'est important, et je sais que si je décide d'enchaîner directement le travail, je ne vais pas être productive. Et genre, je préfère, entre guillemets, perdre, même si c'est pas de la perte de temps, mais je préfère entre guillemets perdre 40 minutes à dormir, et après bosser plus longtemps et être ultra productive, plutôt que bosser 40 minutes de plus. Et genre... ne pas avancer, ne pas être productif parce que justement, j'ai mal géré mon énergie et j'ai besoin de repos. Après, en 21e révélation, et après on va rentrer dans le sentimental et je risque de pleurer. 21e révélation, c'est ressentir l'instant. Ressentir l'instant, c'est... J'ai mis longtemps à comprendre ça. Vous savez, apprécier le moment présent, le pouvoir du moment présent et tout le bordel. J'ai mis longtemps à ressentir l'instant, puis à aimer ça. Puis à aimer l'instant présent. Et quand je dis ressentir l'instant, je le ressens pleinement. Je sais que là... je ressens de la gratitude parce que je suis face à vous, je vous parle avec le cœur je sais que je vais vous publier cet épisode à l'arrache parce que parce que je vais le monter vite fait et puis après je vais le publier je vais faire aucun cut etc et genre c'est ok et c'est ok et je ressens de la gratitude d'être dans cet instant là parce que là juste à cet instant je vous parle et je pense pas justement au fait de publier etc et c'est pareil je sais pas quand on est en rando et que je vais voir un oiseau planer genre je vais voir l'oiseau en train de planer face au vent et genre je vais juste être en communion avec l'oiseau à ce moment là je sais pas c'est ultra c'est des moments en fait qui me permettent vraiment de ressentir l'instant puis de me remplir en énergie aussi Ensuite, on va passer à la catégorie que j'affectionne tout particulièrement, qui est la catégorie des autres. et des relations. Parce que forcément, dans ces 26 années, il y a eu des rires, il y a eu des pleurs, il y a eu des rencontres, il y a eu des déceptions, il y a eu de l'espoir, il y a eu de l'amour, il y a eu de la tristesse, de la colère, de l'envie. Il y a eu tout ça dans ces 26 années. Et la 22e révélation que j'ai envie de vous faire, puis jusqu'à la 26, pas dans la 26, je l'ai gardée, mais la 22 à la 25, c'est vraiment des moments où je veux vous parler des autres. Et en 22e, j'ai mis Tout est éphémère chaque relation qu'on a, après c'est mon avis, c'est très personnel et c'est un avis un peu clivant, du coup je comprendrais que ce ne soit pas votre point de vue, mais tout est éphémère et je pars du principe que dans la vie, chaque relation me fera souffrir. Dans la vie, chaque relation me fera souffrir et tout est éphémère. Parce que dans le sens où à chaque fois qu'on entame une relation, attention quand je dis relation, c'est au sens large, c'est relation amoureuse, amicale, familiale ou quoi, c'est quand on commence une relation avec quelqu'un, elle est forcément éphémère dans le sens où elle durera dans le temps. que ça se finisse par une trahison, une tromperie, juste un commun accord, juste des chemins de vie qui se séparent, et c'est ok, des attentes qui ne sont plus les mêmes, ou que ça se finisse par, assez extrême, mais par la mort, et bien, chaque relation est éphémère. Et aujourd'hui, je veux m'entourer des personnes, et du coup chaque relation me fera souffrir, parce que généralement quand une relation se termine, il y a toujours un peu de tristesse, et ça fait partie du bonheur justement, il y a toujours un peu de tristesse, et chaque relation me fera souffrir, et je veux juste trouver les personnes qui en valent la peine. Et aujourd'hui je veux m'entourer, et je m'entoure des personnes qui valent la peine que je sois triste le jour où notre relation se terminera. Et c'est important parce que vous voyez, quand j'avais 19 ans, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Je ne sais même pas s'ils écouteront cette vidéo, enfin s'ils écouteront ce podcast encore moins, s'ils l'écouteront jusque là. Mais voilà, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Ils ne sont pas morts, c'est juste que nous... Oui, parce que je dis j'ai perdu, mais voilà, c'est... C'est encore une blessure qui est assez présente pour moi et ça peut s'entendre à ma petite voix tremblotante, mais on est là pour être authentique. Voilà, je les ai perdues et en fait j'ai énormément souffert de cette perte-là et on s'est quitté parce que chemin différent, c'est tout, parce que chemin de vie différent et préoccupation différente. Et notre relation s'est terminée comme ça, un peu de manière dramatique, mais j'en ai beaucoup souffert. Et en fait quand j'ai souffert, je me suis dit mais Lina, si tu souffres autant... c'est qu'ils t'ont apporté tellement d'amour que du coup, je me suis dit, au final, je suis OK de souffrir comme ça. Parce que si je souffre comme ça, ça veut dire que j'ai aussi vraiment vécu des beaux moments avec eux. Vraiment. Ensuite, 23e révélation. C'est tuer la moyenne des 5 personnes qui t'entourent. Donc, choisis les biens. Voilà. C'est une phrase d'entrepreneur qu'on retrouve un peu partout, mais au final, c'est vrai. Entourez-vous de personnes qui vous stimulent, qui vous poussent vers le haut, pâtissent vers le haut. Enfin, des personnes qui vous élèvent, comme vous, vous les élevez aussi. Entourez-vous, voilà, des personnes qui vous font du bien, des personnes qui ne sont pas jalouses, des personnes qui ne sont pas envieuses. Entourez-vous de personnes qui vont être fières de vous. et de personnes que vous allez être fiers d'elles, puis des personnes où vous avez... où la relation est gagnant-gagnant, en fait. Ensuite, 24e révélation, il n'y a pas de temporalité, ni de géographie dans les relations. Je trouve que... Et c'est ce que j'ai remarqué quand je suis partie à Verdun la semaine dernière. Je suis partie la semaine dernière à Verdun avec Tara, une très bonne amie à moi qui vit, avec qui j'ai enregistré l'épisode de Martinique. Donc je l'ai rencontrée en Martinique, on ne s'est pas parlé pendant plus d'un an. Après on s'est retrouvées parce qu'elle habite vers chez moi, etc. Et là on est retournées voir, on l'a dit et on l'a fait, et ça serait important de dire et de faire. On est retournées voir Charline. ma colloque de Martinique, j'ai enregistré d'ailleurs un épisode avec elle qui sortira bientôt mais voilà, en gros Charline était partie pendant plus d'un an et demi en Australie et là elle revient un mois en France et on s'est dit avec Tara, on l'a dit, on l'a fait on s'est dit go, on prend la voiture on l'aménage et on se casse à Verdun pour voir Charline, pour la retrouver et pour pouvoir lui parler et en fait pendant cette semaine là je me suis rendue compte que Et voilà, on commence à pleurer, c'est parti ! Je me suis rendu compte que dans les vraies relations, que ce soit en amitié ou en amour, il n'y a pas de temporalité et il n'y a pas de géographie. Des vraies relations, elles seront là malgré la distance, elles seront là malgré... Malgré la distance, malgré le fait que vous ne parlez pas pendant plusieurs années et que quand on se retrouve, la relation reste la même. Je vous le dis, quand j'ai retrouvé Charline, ça faisait un an et demi qu'on ne s'était presque pas parlé, pas appelé. Ça faisait deux ans qu'on ne s'était pas revu. Et quand on s'est revu, rien n'avait changé en fait. Et ça, c'est les vrais amis. Je ne sais pas, je suis ultra émue. Je repense aussi à Marie, à Estelle, à Carole, à Adèle, à Léa. Enfin, voilà, à plein de personnes, en fait, que j'ai rencontrées dans ma vie, que j'ai pu rencontrer, que ce soit une semaine, un an, deux ans, deux jours, en auberge de jeunesse ou dans les études ou quoi. Pour les vrais amis, pour les vraies relations, il n'y a pas de temporalité. et il n'y a pas de géographie et le tout c'est de s'entourer des bonnes personnes et des personnes qui sont fiers de vous et des vrais amis c'est pas forcément les gens qui habitent à côté de chez vous et qui sont là tout le temps et que vous voyez tous les 4 matins pour boire un verre les vraies relations c'est les gens qui vous font juste vous sentir bien et qui vous font vous sentir à votre place et qui vous font sentir à la maison alors que vous êtes à l'autre bout du monde, quand vous êtes avec elles, quand vous parlez à ces personnes-là, vous avez l'impression d'être chez vous, d'être bien et d'être... Désolée, je ne vais pas m'excuser pour ça. Et d'être là où vous devez être. Des vrais amis, quand vous êtes avec des vrais amis, vous vous sentez pleinement à votre place. Et c'est ce que j'ai découvert cette semaine. même si je le savais déjà, mais voilà, c'est ce que j'avais envie de vous partager. Et en 25e, pardon, après je vais couper ce podcast parce que je suis vraiment en train de pleurer. En 25e révélation, j'ai envie de vous dire... Un jour, il y a un gars qui m'a dit, alors il ne s'est rien passé avec cet homme-là, mais juste on parlait des relations amoureuses. Et il m'a dit, oui, un jour, cette fille, je l'ai quittée parce que j'étais amoureuse de l'amour, mais je n'étais pas amoureuse d'elle. Et puis, au début, j'ai eu du mal à comprendre. Là, on parle des relations amoureuses, on s'entend. J'ai eu du mal à comprendre ce qu'il disait. Il disait, tu vois, quand j'étais avec elle, je ressentais que j'étais amoureuse de l'affection qu'elle m'apportait, mais que cette affection, elle m'ait été apportée par elle ou par une autre, ça aurait été pareil. et pour moi c'est important de trouver une personne quand vous êtes en couple, de trouver une personne parce que vous l'aimez pour qui elle est vraiment et pas pour juste l'affection qu'elle vous apporte et le confort de vie qu'elle vous apporte et je vis pour quelqu'un qui me dit que je suis une personne spéciale pour lui pour moi c'est important quand on se met en couple d'être spéciale aux yeux de la personne et que la personne soit spéciale à vos yeux, et que vous l'aimez pour sa personne, et pas pour l'affection qu'elle vous apporte. Voilà. En 26ème révélation, pour clôturer ce podcast, je vous dirais juste une phrase, et je clôturerai par ça, parce que ça fait un petit moment que je vous parle. Je vous dirais doute moins, ose plus, aime mieux. voilà, c'est tout je ne vais pas m'éterniser sur cette 26ème phrase parce que elle parle pour moi doute moins, ose plus, aime mieux sur ce, je vous dis à la semaine prochaine la semaine prochaine je vous embarque normalement au Canada avec un québécois ça va être vraiment marrant en tout cas, voilà on tourne la page des 25 ans et bienvenue aux 26 je les accueille avec gratitude et avec merci tout le bagage que ces 25 années m'ont offert et que j'ai pu vous expliquer pendant cette heure. Merci de m'avoir écoutée et je vous dis à très vite.

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🎂 Aujourd'hui je t'emmène dans un épisode un peu particulier !


26 ans c'est l'occasion de me replonger dans un voyage introspectif pour te livrer 26 révélations qui font de moi la personne que je suis aujourd'hui. Aucun ordre dans les révélations, aucun filtre, en toute transparence.🌿


Comme d'hab, un épisode riche en émotions, n'hésite pas à venir me dire la révélations qui t'as le plus marquée ! 


Bon épisode !


🗺️Découvre la formation Âme Vagabonde et organise ton premier voyage solo sereinement : subscribepage.io/amevagabonde


Chaque mardi, retrouve un épisode de podcast voyage et développement personnel, qui retrace une histoire de voyage, un témoignage inspirant, une aventure. Entre voyage émotionnel, exploration, découverte du monde, chaque épisode regorge de conseils, d'authenticité, de sortie de zone de confort. Vois ces épisodes comme ton mindset booster de la semaine, qui vient te prouver que TOUT est possible. 💥


Si toi aussi tu as un récit de voyage à raconter, contacte moi sur instagram : @instant_simple 📩


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Instant Simple, une parenthèse d'évasion. Aujourd'hui, je vous retrouve pour un épisode un peu spécial parce que c'est mon anniversaire, nous sommes le 19 septembre, j'ai 26 ans et qui dit 26 ans dit 26 révélations. Allez, je vous laisse avec la suite de l'épisode. Sous-titrage ST'501 Parfois un peu folle quand même. Alors si vous cherchez un podcast qui mixe développement personnel et voyage, vous êtes au bon endroit. Si ce concept vous plaît, je vous invite à soutenir ce podcast en laissant une note, un commentaire ou en le partageant à vos proches. Sur ce, bon épisode. Comment ça va aujourd'hui ? Ça fait longtemps ! Là, ça fait vraiment vraiment longtemps. Si vous saviez à quel point je... J'ai... Pouh ! Si vous saviez tout ce qui se passe dans ma vie actuellement, c'est bien rempli et en fait, j'ai eu du mal à me libérer du temps pour me poser et vous parler et surtout pour me poser et vous parler sincèrement parce que la semaine dernière, j'ai sorti un épisode de podcast. sur une semaine de retraite dans un monastère bouddhiste. Et j'ai publié l'épisode et ensuite je l'ai supprimé. Pourquoi ? Parce que je n'étais clairement pas assez authentique et j'avais enregistré cet épisode pour enregistrer un épisode et pour pouvoir sortir l'épisode. Et du coup, je me suis dit mais c'est pas moi, c'est pas ce que j'ai envie de faire et je ne veux pas m'enregistrer pour m'enregistrer parce que... Enfin voilà, je ne veux pas faire... Je ne veux pas vous donner du contenu, je ne veux pas vous donner des épisodes de podcast à écouter dans lesquels je ne suis pas à fond dans mon histoire et dans lesquels, en fait, juste je le fais parce que c'est un peu une obligation, mais pas parce que j'en ai envie. Et du coup, c'est pour ça que... La fois où j'ai enregistré l'épisode du monastère, j'ai aussi enregistré l'épisode dont je vais vous parler aujourd'hui. J'ai enregistré, on va dire, la première version de cet épisode-là. Et en fait, c'était une journée, j'étais tellement pas dans le mood pour enregistrer, mais j'allais partir en road trip, j'avais mes cours à organiser, etc. Et du coup, je m'étais dit, j'ai que cette journée-là pour enregistrer, du coup, je ne peux pas faire autrement. Donc, j'ai enregistré deux épisodes la même journée. Et clairement, aucun de ces deux-là ne sortira parce que, ben, j'étais pas moi. et j'étais très fatiguée, j'étais vraiment, enfin je ne dirais pas en burn-out parce que j'aime ce que je fais, mais voilà, j'étais fatiguée, je n'étais pas dans le mood, et du coup aujourd'hui, je reviens d'un road trip absolument incroyable dans les lacs suisses, dans les cascades, les lacs, j'ai été rendre visite à une amie sur Verdun aussi, et je me sens, vous voyez, rien que le fait de parler de... de cette dernière semaine, de toutes ces aventures. Mais waouh quoi, il s'est passé tellement de choses et j'ai envie de vous en parler à travers justement cet épisode de podcast qui risque ô combien d'être riche en émotions puisque c'est un épisode tout particulier, vous l'aurez compris. Aujourd'hui, on est le 19 septembre et... Vraiment, là, littéralement, j'enregistre cet épisode le mardi 19 septembre. Certes, mes épisodes, je les sors à 6h30 du matin d'habitude. Là, il doit être 15h. Je commence l'enregistrement. Après, je vais faire direct le montage, etc. Et j'ai envie de vous le poster aujourd'hui parce que ça me tenait quand même à cœur. Et voilà, j'ai envie vraiment de vous partager ma vibe du moment et vous partager ce qui, mine de rien... Vous parlez un peu... Alors, bon, ça fera l'objet d'un épisode à part entière, ça, mais de la semaine que j'ai passée et la semaine que j'ai vécue. Alors attendez, je vérifie juste que ça enregistre parce que... Ouais, on est bon. Non, je voulais être sûre que je ne parlais pas dans le vide depuis un petit moment quand même. Donc, je disais, la semaine qui est passée a été riche en émotions dans le sens où, vous voyez, rien... Et rien que le fait d'en parler, ça m'émeut. Non, mais ça me donne les larmes aux yeux parce que toute la semaine dernière, c'était ma dernière semaine de 25 ans. Voilà, c'était la dernière semaine de mes 25 ans. Et c'est comme si en une semaine, je me suis pris un shot d'émotion, d'énergie, de bonnes vibes et aussi de révélations incroyables. Et j'ai ressenti une... Et voilà, je commence déjà à pleurer, tout va bien se passer. Mais en fait, j'ai un peu pris du recul sur la semaine qui vient de se passer et j'ai ressenti... une vague de gratitude sur le fait que j'ai 25 ans aujourd'hui, littéralement 26 ans, et pendant ces 26 années sur cette terre, j'ai l'impression... d'avoir évolué et surtout les derniers mois, pendant le 1er octobre, ça fera un an que je suis entrepreneuse, et pendant, oui je vais renifler un petit peu, je m'excuse d'avance, et du coup pendant ces un an d'entrepreneuriat, j'ai vraiment l'impression de m'être révélée, aussi bien en tant que femme professionnelle, mais aussi d'avoir révélé ma vraie personnalité, en tant, voilà, humainement parlant. Voilà, j'ai l'impression de vivre en accord... Enfin, c'est pas... Désolée, j'enivre. Mais c'est pas... Vous voyez, j'ai vraiment l'impression de vivre en accord avec mes valeurs et... et d'incarner la personne que j'ai envie d'être, et la personne que je suis au final. Et du coup aujourd'hui je me rends compte, et c'est pour ça que cette semaine a été riche en émotions, parce que je me rends compte que je m'entoure de personnes incroyables, et que ce n'est pas par chance que je m'entoure de ces personnes-là, c'est parce qu'au final, comme toute personne, je le mérite. Et je suis tellement heureuse d'être entourée des personnes qui m'entourent aujourd'hui. Voilà. Bref, sur ces... Quand même 5 minutes d'intro c'est bien assez, on va essayer de ne pas dépasser les 1h de podcast je vous le promets. Donc sur ce, en fait aujourd'hui j'avais envie pour mes 26 ans du coup de vous enregistrer un épisode de podcast qui parle toujours de voyage évidemment, qui parle de voyage intérieur cette fois-ci. Mais vous enregistrez 26 révélations que j'ai eues dans ma vie, voilà. 26 révélations qui... qui me servent aujourd'hui, 26 phrases, ça peut être des phrases, des citations, ça peut être des enseignements, mais vraiment 26 révélations que j'ai eues et qui aujourd'hui en fait me définissent et qui guident en fait ma ligne de conduite au quotidien. Je me suis dit que... On a tous des révélations, évidemment, on vit tous en accord avec nos principes, avec certaines choses. Et moi, j'avais envie, en fait, de me poser et d'écrire noir sur blanc. ce qui me définit, ce que je ressens aujourd'hui et les phrases qui m'aident à toujours vous proposer et me proposer en fait la meilleure version de moi-même. Donc on s'entend que ces 26 révélations, elles ne vont pas du tout... Enfin, j'ai essayé de les classer par... je ne sais pas, de les regrouper par thématique, mais aucune n'est plus importante qu'une autre. Et voilà, il n'y a pas de hiérarchisation de valeur dans toutes ces révélations, c'est vraiment des façons de penser que j'ai aujourd'hui, que j'applique au quotidien et qui m'aident tellement à avancer. Et je me dis, si à travers ce podcast, vous pouvez, si je peux aider ne serait-ce qu'une personne à avoir une petite révélation et qu'elle se dise, ah tiens, Bah moi aussi j'aimerais bien penser comme ça, puis j'aimerais bien appliquer comme ça, etc. Bah voilà, avec plaisir. Donc bah écoutez, c'est parti. Donc j'ai classé ces révélations en... Laissez-moi... Non parce que... Et pensez pas que je fais tout de tête. Là j'ai quand même écrit des petites choses. Mais en 1, 2, 4, 5 catégories. La première catégorie, ça va être des révélations autour du système de pensée, autour de mon cerveau. La deuxième catégorie, ce sera des révélations autour de la zone de confort, de la force, du courage et du fait d'oser. La troisième catégorie, je l'ai appelée révélation, tout simplement, parce que c'est vraiment des grands... Je ne suis pas attachée à... à des religions, enfin on ne va pas parler de religion aujourd'hui, mais voilà, pour moi ces révélations ce sont des grands préceptes, on va dire, sans parler de religion, mais voilà, des grands préceptes qui dictent ma vie. Ensuite, autre catégorie, je l'ai appelée moi, moi dans le sens... Ce qui se passe à l'intérieur de moi au niveau de certaines révélations. Et dernière catégorie, les autres. C'est-à-dire des révélations sur mes relations avec les personnes. Alors, commençons par la première. Je me remets sur ma petite liste. Première catégorie, les pensées. Dans les pensées, j'ai regroupé quatre révélations qui, selon moi, je ne vais pas dire que chaque révélation est essentielle parce que sinon je vais lire tout le temps en fait. Donc, première révélation, notre caractère ne nous définit pas et c'est libre à nous de le changer. Qu'est-ce que j'entends par là ? J'entends derrière ça l'exemple qui me frappe le plus, enfin en tout cas qui m'a le plus touchée, c'est la timidité. Depuis toute petite, je suis une personne timide. C'est-à-dire, enfin, je me définissais comme ça. À chaque fois, je disais je suis timide. C'est-à-dire que j'associais à mon être, donc je mettais le verbe être, donc je suis, j'associais... au mot être, le mot timide. Et en fait, depuis toute petite, j'ai toujours pensé que voilà, j'étais timide, que j'étais née comme ça, et que voilà, ça ne se choisissait pas, c'était la vie, voilà, il fallait dealer avec ça. Et au final, ben, c'est tellement pas ça. Enfin, je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais genre... J'ai toujours pensé que j'étais timide. Et vu que j'alimentais cette pensée, mon cerveau a admis ça comme vrai, etc. Et du coup, je ne me voyais pas vivre autrement. Et un jour, j'ai compris, et ça je l'ai compris dans mes années, dans mes premières soirées de lycée, donc je devais avoir 16-17 ans. Et à ces premières soirées, en fait j'en avais marre de parler à personne, puis d'être toute rouge quand un garçon m'adressait la parole, et puis de... Enfin voilà, j'en avais marre de cette timidité dans laquelle je m'étais engluée et j'osais rien faire toute seule. Et vraiment, j'étais dans un état, mais c'était très compliqué. Mais le truc, c'est que je ne me voyais pas comment sortir de cette timidité. Et un jour, pendant ces premières soirées, je me suis dit, vas-y, fake it until you make it. C'est-à-dire, genre, j'ai... Je vais aller à une soirée, je vais faker que je suis ultra populaire, ultra sociable, ultra tout ce que vous voulez, enfin les mots qu'on utilise au lycée quoi, et je me suis dit vas-y, cette soirée j'y vais et je vais faire semblant d'être une personne ultra sociable et je vais aller parler à tout le monde. Et bien sûr dans cette soirée je me suis clairement forcée à adresser la parole aux gens, et j'ai découvert... que j'aimais ça. J'ai découvert que j'aimais la personne que j'étais quand je faisais semblant d'être cette personne sociable et pas cette personne timide. Et au fur et à mesure, ça a été un travail de longue haleine, mais j'ai réussi à surmonter cette timidité. Je ne dis pas qu'aujourd'hui, je ne suis plus du tout timide, mais en tout cas, je ne me définis plus comme telle. Et voilà, ça, c'est vraiment une des premières révélations que j'ai eues quand j'ai commencé à m'intéresser au développement perso. C'est vraiment... que mon caractère ne me définit pas et est libre à nous de le changer. Deuxième révélation, et ça, pareil, c'est... C'est vraiment une révélation que j'ai eue quand j'ai commencé tout juste à m'intéresser aux devs perso. J'ai commencé à m'intéresser au développement personnel grâce au podcast Oui Change Ma Vie de Clotilde Dussoulier. Et je vous le conseille vraiment et surtout écoutez ses 5-6 premiers épisodes parce qu'elle explique très bien ce que je vais expliquer là en quelques minutes. Mais elle explique très bien que tu n'es pas tes pensées. Et en utilisant le modèle de Brooke Castillo. qui est Faites penser, émotions, actions Je vais vous l'expliquer un peu plus longuement, mais le jour où j'ai pris conscience vraiment que je ne suis pas à mes pensées et que libre à moi, justement, de prendre cette position de libre penseur sur chaque situation qui m'arrive pour agir en fonction de mes valeurs, le jour où j'ai pris conscience de ça, ma vie a changé. Non, j'ai l'impression que je fais une pub pour un truc nul, mais je vous jure que c'est vrai. Je vous donne un exemple. Le modèle de Brooke Castillo, Tu n'es pas tes pensées, c'est qu'on part du principe que le cerveau, chaque jour, il doit prendre des milliers de décisions. Et du coup, forcément, c'est une machine. Et pour se simplifier la vie, il a décidé d'automatiser certains choix. Comme tous les matins, vous n'allez pas vous demander où est votre brosse à dents, ou vous n'allez pas vous demander... Est-ce que je mets du dentifrice sur ma brosse à dents ou quoi ? Non, ça c'est des décisions que votre cerveau a automatisées. Et donc, il automatise aussi bien les petits gestes du quotidien comme se brosser les dents, se laver, se brosser les cheveux, etc. Et il automatise aussi des concepts plus compliqués qui vont justement définir notre caractère. Et dans... Et dans ces choses-là, justement, dans ces choix, c'est-à-dire à chaque fois qu'il y a un fait, donc ça, c'est le modèle de Brooke Castillo, à chaque fois qu'il y a un fait, enfin qu'il y a un fait, c'est-à-dire un fait, ça part du principe que c'est vérifiable en tribunal. Je vous donne l'exemple d'un champion, je ne sais pas, un champion en sport, un champion de ski, oui, parce qu'on reste dans la montagne quand même, un champion de ski, par exemple, qui arrive deuxième à sa compétition. Donc ça, de manière littérale... Genre, il arrive deuxième, c'est un fait, c'est vérifiable en tribunal, il est arrivé deuxième, genre... c'est certain, eh bien, si on se met dans la tête du champion de ski, il va, de ce fait, générer une pensée. Et on a toujours une pensée automatique qui arrive. Ça se trouve, sa pensée automatique, ça va être de se dire, ça va être d'être dégoûté. Et de se dire, purée, j'étais à deux centièmes du premier, je suis dégoûté, ça me saoule, etc. Il peut décider de penser ça. Et de manière consciente, il peut aussi prendre cette position de libre-penseur et de choisir quelque chose qui est plus en accord avec ses valeurs. Il peut décider de penser, de choisir, ben, je suis arrivé deuxième, c'est top, j'ai battu mon meilleur record, et la prochaine fois, ce sera encore mieux. Et du coup, de la pensée qu'on a va générer une émotion. Une émotion, par exemple, là, pour la pensée d'il est dégoûté d'avoir perdu, l'émotion qui va le générer, ça va être de la tristesse, peut-être de la colère, de la frustration, de l'envie. Ce ne sera peut-être pas des bonnes émotions, alors que s'il décide de penser qu'il fera mieux la prochaine fois, là, les émotions qui sont générées, ça va être peut-être du courage, de la détermination, de la motivation, etc. Et suite à l'émotion, donc on a fait penser émotion et générer une action. et du coup une action qui sera plus en accord avec ses valeurs. Peut-être dans son premier schéma de pensée qui est automatique, il va décider de baisser les bras et puis d'arrêter de s'entraîner, et peut-être que dans la deuxième option justement, il décidera de s'entraîner encore plus, vu qu'il sera motivé, il se reboostera et il fera des entraînements peut-être plus longs, etc. Voilà la deuxième révélation qui est tu n'es pas tes pensées. Ensuite, troisième révélation, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. Dans le sens où, à partir du moment où tu comprends que tu n'es pas tes pensées, et bien certes tu n'es pas responsable des faits, c'est-à-dire des choses factuelles, mais tu es responsable à partir du moment où tu comprends justement que tu n'es pas tes pensées et que tu peux adopter cette position de libre penseur et de consciemment changer ta manière de penser, eh bien tu peux justement faire absolument ce que tu veux et reformater ton cerveau. Donc à partir de ce moment-là, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. C'est-à-dire qu'à partir du moment où tu n'es pas responsable des faits, mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ça, mais ça, mais ça c'est tellement essentiel. Je vais répéter cette phrase mais je l'aime vraiment, c'est tu n'es pas responsable des faits mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ta manière de penser un fait va considérablement changer ton état d'esprit. Mais ça, puissance 1000. Ensuite, quatrième révélation. c'est l'importance de vivre en accord avec ses valeurs. Donc déjà l'importance de les connaître. Pour moi, une valeur, c'est ce qui est important pour moi. C'est la sincérité, la liberté, l'aventure, la découverte, et puis la simplicité. Voilà, on va dire que c'est mes grands présèpes, mes grandes valeurs. Et du coup, quand on connaît ces valeurs-là, quand on prend cette position de libre-penseur et qu'on veut choisir ce qu'on pense, et bien... on va décider en fait de faire des actions et de penser des choses qui sont en accord avec nos valeurs. Et plus des pensées automatiques qui sont générées par notre cerveau. Et plus on va faire cet exercice de reprogrammation mentale, plus justement... Et bien, on va se reprogrammer avec les valeurs qui nous sont propres et on va savoir expliquer chacune de nos actions parce qu'on va avoir l'impression d'être beaucoup plus aligné puisque chacune de nos actions et nos décisions seront en raccord avec nos valeurs parce qu'on les connaît. Et on n'aura vraiment plus cette impression d'être à côté de la plaque, mais on aura cette impression d'être genre à notre place et d'être légitime et d'être fort et d'être puissant. Voilà. Je ne sais pas si ce format vous plaît. parce que j'ai l'impression de vous balancer comme ça plein de choses, mais en tout cas, moi, j'aime beaucoup. J'aime beaucoup parce que, voilà, prenez ce qu'il y a à prendre dans cette vidéo, vraiment, prenez ce qui vous intéresse. Et je ne dis pas que... Et je ne fais pas du tout ce podcast pour avoir raison sur tous les sujets et pour dire que ma parole, c'est la meilleure et la vôtre, non, etc. Non, je fais vraiment ça pour vous expliquer mon point de vue sur les choses et vous expliquer en fait moi les révélations qui me font du bien à penser qui me font du bien à entendre parce que peut-être que ça peut aussi vous faire du bien mais si vous n'êtes pas raccord avec c'est vraiment correct et il n'y a aucun problème avec ça voilà on en a fini pour la partie sur les pensées, maintenant on va passer à la partie force, courage, oser Numéro 5, donc cinquième révélation, tu es plus fort que ce que tu crois. Si vous avez écouté l'épisode qui s'appelle la nuit du 4 août, la nuit où tout a basculé, vous comprendrez pourquoi. Voilà, je n'ai pas besoin de m'éterniser plus sur cette phrase qui a fait sens pour moi le jour où j'ai perdu mon père et où je me suis rendu compte que je suis... tellement plus forte que ce que je crois. Je peux tellement plus accomplir que ce que je crois. Je suis tellement plus que je ne pense être, en fait. Et voilà. Ensuite, en sixième révélation, tout est surmontable. peu importe ce qui m'arrive aujourd'hui, je sais que ça va aller. Je sais que j'y crois et je sais que tout est surmontable et que tant qu'on a la santé, on a tout et tout peut bien se passer. Et en fait, j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses. Bon, j'en reparlerai tout à l'heure, mais j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses et surtout de... de chercher des... A chaque fois que je me lance dans un nouveau projet, avant, je me disais tout le temps, ouais, mais et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et puis, en fait, je me rendais compte que je mettais toujours du négatif derrière le et s'il se passe ça ? Alors, je disais, je vais lancer un podcast, puis après, je suis là, et si j'arrive pas à le tenir ? Et si, au final, ça me prend trop de temps ? Et si je trouve plus personne pour l'écouter ? Et si personne m'écoute ? Et si tout le monde s'en fout ? Et genre, je mettais toujours quelque chose de négatif, et aujourd'hui, je me dis, et genre, je me dis, et si ça se passait bien ? et si j'arrêtais pour une fois, quand je me lance dans un projet, de voir tout ce qui pourrait mal se passer, mais d'essayer d'étudier tout ce qui pourrait aussi très bien se passer. Voilà. Ensuite, septième révélation, la ZDC, hashtag zone de confort. La zone de confort est faite pour être repoussée. La zone de confort est faite pour être repoussée. Je l'ai répétée deux fois, c'est normal. Je la répète une troisième fois. La zone de confort est faite pour être repoussée. Ça, c'est franchement... Le jour où je suis partie toute seule à Budapest, c'était mon premier voyage solo du coup, c'est là que j'ai compris que la zone de confort était faite justement pour être franchie, et était faite pour être élargie, être repoussée dans le sens... En fait, aujourd'hui, j'ai l'impression que quand j'avais 19 ans, avant mes voyages solo, j'avais une zone de confort qui était toute petite, genre de la taille d'un village. Et aujourd'hui, j'ai l'impression que plus je voyage, plus des choses m'arrivent, et plus j'entreprends, etc. Et du coup, plus j'agrandis. les limites de ma ville, en fait. Et j'agrandis les limites de ma zone de confort. Et aujourd'hui, des choses qui me paraissaient insurmontables avant, eh bien, aujourd'hui, je les ai surmontées. Et maintenant, elles font partie de mon paysage. Elles font partie de cette zone de confort. Donc voilà, la zone de confort est faite pour être surmontée. Et au final, quand on sort de notre zone de confort, moi, au final, je sors de ma zone de confort, mais pour... C'est un peu comme rentrer... C'est un peu comme partir en bataille contre soi-même et aller conquérir des nouveaux espaces. Je vois vraiment la zone de confort comme ça. C'est-à-dire quand je sors de ma zone de confort, je vais conquérir un terrain inconnu. Et une fois que je le connais et que du coup je me sens confortable avec, il fait partie de ma zone de confort et mon territoire s'agrandit. C'est vraiment... C'est un peu les conquistadors, vous voyez. Genre vraiment, je pars en bataille contre moi-même et je vais agrandir mon terrain. Ensuite, la huitième révélation, c'est l'importance d'explorer ses zones d'ombre. Ça, je m'en rends compte quand des potes me posent des questions ou des choses comme ça. Et des fois... Des fois, on le sent. En vrai, ça arrive à tout le monde. Des fois, on sent en nous, quand on donne une réponse, qu'on ne donne pas une réponse 100% honnête envers nous. C'est-à-dire que même il y a des situations où on se ment à nous-mêmes sur certains sujets. Et au fond, nous, on est conscient qu'on se ment à nous-mêmes, mais on n'ose pas se l'avouer à haute voix. Et pour moi, c'est ça une part d'ombre. C'est-à-dire que quand on essaye... Consciemment de se cacher quelque chose, enfin de cacher quelque chose à notre propre personne, c'est que... Il y a quelque chose qui est caché dans l'ombre là-dedans et il y a quelque chose de sous-jacent avec ça. Et pour moi, c'est ultra important d'aller explorer ces zones d'ombre. On peut le faire de différentes façons. Le mieux pour moi, ça reste quand même d'être accompagné d'un expert, enfin d'un expert, d'un praticien pour tout ça. Mais voilà. Ensuite, neuvième révélation. On est toujours à une seule décision de changer notre vie pour le mieux. et aussi pour le moins bien, mais bon, là, on axe un petit peu sur le mieux quand même, on est toujours à une décision de changer notre vie. Dans le sens où, moi, j'aime cette phrase parce qu'à chaque fois, je me dis... Et bien, je suis toujours à une décision d'accomplir un rêve. Et en fait, ça rend le parcours plus simple. Ça rend le chemin mental plus simple. Par exemple, là, je suis en train de me questionner sur le fait de partir en voyage au Mexique. Et je me dis, je suis toujours à une décision de le faire. Je suis à une décision d'aller sur l'ordouille et de réserver mon billet. Et sans me dire, il faut que j'étudie ça, puis la météo, puis le climat, puis l'hébergement, puis l'avion, etc. Non, je suis toujours à une décision de décider d'y aller. et ça c'est quelque chose, à chaque fois ça me motive énormément pour commencer tous mes projets, parce que je me dis je suis toujours à un chouïa, vous voyez, à une décision, que ce soit que je fasse un game change dans ma vie. Après on va passer à l'autre catégorie qui est la catégorie des révélations, où je vais vous balancer des phrases, mais que je trouve vraiment importantes et qui ont changé ma vie. La dixième révélation c'est... Bisous Charline, si tu m'écoutes. C'est tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Je crois en la destinée, pas tout le monde n'y croit, mais pour moi voilà, des fois il y a des choses qui se passent qui sont trop énormes pour se dire que c'est un hasard. Et je crois en la destinée et tout est juste dans l'univers et si certaines choses ne se font pas, et bien c'est peut-être juste que ça ne devait pas se faire ou alors pas à ce moment-là parce que le mieux arrive au meilleur moment. Et cette phrase, je ne sais pas, elle me plaît tellement parce que... Enfin voilà, tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Moi, cette phrase, elle me soulage, elle me fait du bien. Et puis au final, c'est tout ce qu'on recherche. Phrase 11, les choses sont simples. Voilà, je n'ai pas implé mon entreprise Instant Simple pour rien. C'est parce que, selon moi, les choses sont simples. Et c'est juste nous qui aimons les compliqués. On n'aime pas forcément ça, mais genre, c'est juste nous qui les compliquons. Mais... Au final, tout est simple dans les faits. Genre, vraiment, tout est simple, que ce soit au niveau des relations, au niveau de ce qui se passe dans notre vie, au niveau de notre manière de penser, tout est simple. Et quand on... C'est un peu le fait de relativiser, quoi. Tu te retrouves dans une situation ultra compliquée et tout. Et des fois, mais simplifie-la. En fait, tout peut être beaucoup plus simple. Et des fois, on se complique tellement la vie. Et je sais que... Moi, j'ai commencé à penser comme ça quand j'ai perdu mon père. Parce que... Après son départ, eh ben... Je sais pas, quand j'allais voir mes potes et tout, des fois, on pouvait... Enfin, des fois, quand j'entendais les autres parler entre eux, eh ben, genre, les gens s'embrouillaient pour des détails qui, selon moi, étaient tellement futiles que la vie et la mort, parce que j'étais vraiment, à l'époque, dans cette dualité, quand je venais de perdre mon papa. Et du coup, en fait, pour moi, tout était plus simple que ce que je vivais. Et donc, en fait, ça m'a appris à simplifier toutes les situations. C'est-à-dire que... les gens qui se disaient ah mais on m'a invité à cette soirée mais du coup j'ai pas vraiment envie d'y aller mais genre si je vais pas, les gens ils vont penser que si, ils vont penser que ça non c'est bon les accords Toltec on se fait pas de supposition genre au bout d'un moment t'es invité à une soirée, t'as pas envie d'y aller ben les choses sont simples, dis non c'est tout, c'est tout puis si t'as envie d'y aller tu dis oui genre y'a pas à se poser 10 000 questions et puis à se polluer ce qu'il y a dans notre crâne en se disant hum Enfin voilà, en essayant de compliquer les choses qui au départ sont juste simples, c'est-à-dire que la personne qui vous a invité à cette soirée, elle ne vous a pas invité, enfin dans sa tête quand elle vous a invité, elle vous a invité parce que ça lui faisait plaisir de passer du temps avec vous, mais elle ne s'est pas dit, alors il faut que j'invite, parce que si je ne l'invite pas, du coup elle va mal le prendre. Non, non, non, les choses sont simples. Douzième révélation que j'ai. que j'ai vraiment réalisé l'année dernière quand j'étais dans le monastère bouddhiste justement et promis cet épisode ressortira mais je vous ferai un vrai épisode où vraiment on ressent qui je suis et où je parle avec le cœur comme je le fais actuellement douzième révélation faire les choses de tout son cœur sans rien attendre en retour, faire les choses sans intérêt. Ça, c'est un précepte que j'applique depuis l'année dernière, vraiment, et au début je me forçais à l'appliquer, maintenant, comme je vous l'ai dit dans les pensées, ça un peu devient un automatisme. Faire les choses sans rien attendre en retour, c'est la meilleure façon déjà d'être dans l'instant, et... d'utiliser son cœur, de faire les choses de tout son être, et le fait de rien attendre en retour, c'est la meilleure des choses, parce que vous ne serez jamais déçus, et tout ce que vous recevrez, si vous recevez, tout ce que vous recevrez, vous le prendrez vraiment pour un cadeau, et non pas comme un dû, et ça c'est tellement important, c'est-à-dire... Quand vous faites les choses sans intérêt, vu que vous n'attendez rien en retour, ce que vous allez recevoir, vous allez le recevoir fois mille et vous allez être encore plus dans la gratitude puisque vous n'attendiez rien. Et ça, honnêtement, ça permet de fluidifier les relations, ça permet... Bon, des fois aussi, on peut se faire prendre pour une bonne poire en pensant comme ça, mais je reste convaincue que les gens sont quand même bien et que... C'est ce que je répète à mes élèves, bah oui parce que je suis prof à l'université accessoirement, et c'est ce que je répète à mes élèves, c'est soyez gentil. Soyez gentil avec les gens, parce que vous pouvez être sûr que... ça va vous être retourné un jour ou l'autre, mais il ne faut pas le faire dans l'attente que vous ayez un geste de la part des personnes, mais juste soyez gentil, parce que ça peut faire que du bien, ça vous fait du bien à vous, parce que vous propagez des bonnes ondes, et ça fait du bien à eux, et genre... Tout le monde est content grâce à ça. Ensuite, treizième révélation, une petite phrase de Xavier Dolan que j'apprécie énormément qui est Tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n'abandonne jamais Ça, c'est vraiment la phrase qui me permet de rester motivée pour mon parcours entrepreneurial. En quatorzième, nous avons J'ai pas le temps de perdre mon temps Ça, je l'applique un peu aux relations avec les gens, je l'applique aux projets que je fais, c'est-à-dire pas le temps de perdre mon temps, dans le sens où c'est important de prendre son temps, mais il ne faut pas le perdre. Selon moi, le temps, c'est le cadeau le plus précieux que vous pouvez faire à quelqu'un. Dans le sens où, quand vous décidez d'accorder du temps à une personne, eh bien... Le temps, c'est la seule denrée qui ne va que dans un sens. C'est-à-dire, vous pourrez toujours avoir plus d'argent, avoir plus d'énergie, vous pourrez toujours avoir plus, mais vous ne pourrez jamais avoir plus de temps. Ça, c'est quelque chose, ça n'est pas possible. On a une durée limitée sur cette Terre, on a une date de péremption, vous voyez. Et du coup... Et bien, aujourd'hui, le temps pour moi, quand je donne du temps, c'est un cadeau que je fais. Et quand les personnes m'accordent du temps, c'est un cadeau qu'ils me font. Et c'est pour ça que je n'ai pas le temps de perdre mon temps pour des choses. Et j'essaye, par exemple, de limiter énormément... De plus en plus, mon temps passé sur les réseaux... Alors attention, quand je dis le temps passé sur les réseaux, c'est le temps passé à scroller les réseaux. Je passe du temps sur les réseaux pour échanger avec mes amis, pour échanger avec des gens, pour rencontrer de nouvelles personnes. Mais aujourd'hui, j'essaye... autant que possible, je dis pas que ça m'arrive plus évidemment parce que je reste humaine, mais j'essaye autant que possible de ne plus par exemple scroller sur Instagram parce que des fois je me rends compte que je vais scroller pendant une heure. Et là c'est une heure de temps qui est partie et clairement que j'ai perdu parce que ça va pas m'en servir pour plus tard. Et puis ça va me faire du bien, mais c'est un faux bien, vous voyez. Ça va me faire du bien à durée limitée. Et c'est pas quelque chose qui va générer chez moi du bien-être à long terme. Ensuite, 15ème révélation, tout est possible à n'importe quel âge. Ça, j'en ai beaucoup parlé du coup pendant le premier épisode sur mon voyage à Budapest. Tout est possible à n'importe quel âge, on n'est jamais trop vieux ou trop jeune pour entamer des choses. Voilà, tout est possible à n'importe quel âge, et moi ça me fait du bien de penser ça, parce que mine de rien, 26 ans, je sais pas quel âge vous avez, mais en tout cas chaque année, quand je prends un an du coup, j'ai toujours peur, parce que le temps ça reste important, et puis ça file, et... Et du coup, moi, mes jours d'anniversaire, c'est jamais des jours où je me sens dans un ultra good vibe. Enfin, si, en soi, j'aime bien. Mais, je sais pas, ça me rappelle que le temps passe et que, en fait, j'ai peur de vieillir. Mais cette phrase, tout est possible à n'importe quel âge. Elle vient pour me faire un câlin au cœur, en gros. Et puis, pour me soulager de cette peur de vieillir, justement. Ensuite, 16ème révélation, un mais est égal à une excuse. Ça, je me souviens, on en avait parlé avec Thibaut, avec Tara, avec plusieurs personnes. Un mais, c'est une excuse. Et à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, et vraiment aujourd'hui j'essaye justement de faire ce travail d'analyser les mais que je dis, parce qu'à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, ou que votre ami va vous, je sais pas, vous proposer une solution sur une problématique que vous soulevez et tout, et ben dès que vous allez dire... Ouais, c'est intéressant, mais tu vois, du coup, je ne peux pas faire ça parce que ci, parce que ça. Eh bien, non. Genre, à chaque fois que vous avez un mais dans une phrase, vous avez une excuse que vous trouvez pour ne pas commencer ce projet. Et à vous de jauger les excuses que vous trouvez, mais en tout cas... Chaque excuse est surmontable et pour moi, les gens qui me disent qu'ils ont des projets et qui mettent un mais derrière, si vraiment c'est un projet qui tient à cœur, le mais, on peut tous le faire péter. Ensuite, on va rentrer dans d'autres révélations. Je ne sais même pas combien de temps ça fait que je vous parle. Ça fait 35 minutes, on est à la 17 et on avance très bien, je suis contente. Donc la 17ème révélation, on entre dans la catégorie du moi, du moi dans le sens ce qui se passe à l'intérieur, pas dans les pensées et tout, mais plus le moi énergétique dans les révélations. Donc la 17ème révélation, c'est une phrase que m'a dit mon papa un jour et que je continue à prôner. C'est vie pour vivre des moments simples et des histoires vraies Ça, c'est une phrase qui me fait du bien, parce que déjà elle me rappelle un peu mon père. Et aussi elle me fait du bien parce que j'ai l'impression... de tout le temps être alignée avec cette phrase. Puisque aujourd'hui, je pense comme ça et que mes valeurs principales et donc les actions que je fais sont en accord avec la liberté, la sincérité, la simplicité, eh bien, j'ai toujours l'impression d'être en accord avec cette phrase et de vivre des moments simples et des histoires vraies. C'est-à-dire, j'ai l'impression de vivre des moments sincères et des histoires incroyables. Je ne sais pas ce qui fait ce bruit. Bon, j'espère que ça ne s'entend pas trop. Mais j'ai toujours l'impression de vivre des choses incroyables parce que justement, vu que pour moi, tout est simple et tout mérite d'être vu, dès que je vois quelque chose, je suis émerveillée. Vous voyez, je suis une éternelle... On peut m'appeler bisounours, mais je suis une éternelle optimiste. Bon, réaliste quand même, mais optimiste et dans le sens où... quand je suis dans une bonne vibes, mais genre, rien ne peut gâcher ma vibes, en fait. Et je vais toujours essayer de, je sais pas, de me remonter le moral, de remonter le moral des troupes et tout, parce que rien n'est grave, et tout est possible, et le mieux arrive au meilleur moment, et du coup, les moments sont simples, les histoires sont vraies. En 18ème révélation... ça c'est une révélation que j'adopte depuis plusieurs mois maintenant, pas années, mois plutôt, et où j'arrive à surfer sur cette vague et où je me sens pleinement bien, c'est que j'aime ma compagnie. J'ai découvert ça pendant mes voyages en solitaire évidemment. Et aujourd'hui, j'arrive justement depuis quelques mois à appliquer le fait d'aimer ma compagnie en étant chez moi. Ce qui était assez compliqué pour moi au début. Et genre aujourd'hui, j'aime ma compagnie et j'aime passer du temps seule. Et je sais que je me recharge en énergie comme ça. Et genre j'aime passer du temps seule. Et du coup, j'ai besoin de personne. Je dis bien j'ai besoin de personnes. Donc dans le sens où aujourd'hui quand je décide de passer du temps avec les gens, je le fais parce que j'en ai envie, mais pas parce que j'ai besoin de combler un manque affectif, ou un... je sais pas, pas parce que j'ai besoin de combler tout ça. Ensuite, dix-neuvième révélation, comprendre mon énergie. Comprendre mon énergie et comprendre en fait, et me déculpabiliser, surtout déculpabiliser, parce que... C'est sympa de se déculpabiliser des fois où je sais que pour moi il y a deux types de personnes. Il y a des gens, ils vont recharger leur batterie en étant tout seuls et en s'entourant d'autres personnes, ils vont les vider. Pas dans le sens où ils n'aiment pas être avec les gens, mais il y a des personnes où être avec les gens, ça va les vider. Et il y a d'autres personnes où être avec les gens, au contraire, ça va les recharger en énergie. Et quand ils sont tout seuls, ils vont se vider en énergie. Moi, je suis dans le premier cas. C'est-à-dire que moi, je me remplis d'énergie quand je suis seule. Et quand je suis avec des gens, je peux être avec des gens, mais au bout d'un moment, je sature. Et genre, il faut que je retourne un peu dans mon cocon pour recharger les batteries. Et au début, je culpabilisais justement. Je culpabilisais de ne pas toujours avoir envie de sortir, de ne pas toujours avoir envie de voir du monde et tout. Je me disais, je ne suis pas normale, je suis asociale, machin. Et en fait, non, c'est juste que c'est ma façon de fonctionner. Puis c'est ma façon de dealer avec mon énergie et du coup d'apporter du temps de qualité. aux personnes. C'est-à-dire d'être consciente que mon énergie, en étant avec les gens, il descend. Et du coup, il y a des fois où quand je suis avec les gens, je préfère juste dire, attendez, je vais faire une petite balade toute seule, je passe une semaine chez quelqu'un, je sais que si je passe une semaine chez une personne, je vais avoir le besoin de passer quelques temps toute seule parce que, et c'est ok en fait, au début je culpabilisais de ça. mais en fait je me disais mais je préfère quand je vois cette personne être rechargée en énergie pour pouvoir dépenser mon énergie avec elle et vraiment apprécier l'instant et passer un moment de qualité plutôt que me forcer à rester tout le temps avec la personne et du coup être vidée en énergie tout le temps et ne pas pouvoir lui accorder ce temps de qualité. Et des fois c'est mieux de dire bon bah écoutez je suis pas genre... Et ça rejoint, bah là on va passer à la vingtième du coup, avoir mon propre rythme. Et me déculpabiliser avec ça, c'est un peu de paire avec comprendre mon énergie. C'est qu'avoir son propre rythme, je le découvre depuis que je suis entrepreneuse. Assumons-le. Au début, du coup, souvent, j'ai travaillé, j'ai eu différents rythmes. J'ai été dans le monde de la nuit, dans les saisons. J'ai fait aussi du travail du 9h, 17h, métro, boulot, dodo. Et quand je suis arrivée, du coup, en auto-entrepreneuse... Je ne savais pas comment gérer mon rythme et aujourd'hui, je le découvre petit à petit. Je sais que le matin, c'est plus tranquille, l'après-midi, je bosse un peu plus, puis des fois, je vais bosser un peu plus tard et puis je vais commencer, puis je vais faire des siestes, puis machin, enfin voilà. J'arrive vraiment à trouver mon propre rythme aujourd'hui, mais c'est quelque chose où j'y suis allée à tâtons pendant beaucoup de temps. Et je culpabilisais de dire que j'avais besoin de genre 40 minutes de sieste par jour, puis au final maintenant je me dis mais en quoi j'ai à avoir honte de dire que pour moi il me faut faire des siestes ? Encore une fois, tout est une question de compréhension de son rythme et compréhension de son énergie. Et je sais que je préfère par exemple, vous voyez quand je mange à midi et demi, je finis de manger à 13h, et de 13h à 14h c'est ma pause et généralement je vais dormir 40 minutes dans cette heure-là, et bien... Je me dis en fait, pour moi c'est important, et je sais que si je décide d'enchaîner directement le travail, je ne vais pas être productive. Et genre, je préfère, entre guillemets, perdre, même si c'est pas de la perte de temps, mais je préfère entre guillemets perdre 40 minutes à dormir, et après bosser plus longtemps et être ultra productive, plutôt que bosser 40 minutes de plus. Et genre... ne pas avancer, ne pas être productif parce que justement, j'ai mal géré mon énergie et j'ai besoin de repos. Après, en 21e révélation, et après on va rentrer dans le sentimental et je risque de pleurer. 21e révélation, c'est ressentir l'instant. Ressentir l'instant, c'est... J'ai mis longtemps à comprendre ça. Vous savez, apprécier le moment présent, le pouvoir du moment présent et tout le bordel. J'ai mis longtemps à ressentir l'instant, puis à aimer ça. Puis à aimer l'instant présent. Et quand je dis ressentir l'instant, je le ressens pleinement. Je sais que là... je ressens de la gratitude parce que je suis face à vous, je vous parle avec le cœur je sais que je vais vous publier cet épisode à l'arrache parce que parce que je vais le monter vite fait et puis après je vais le publier je vais faire aucun cut etc et genre c'est ok et c'est ok et je ressens de la gratitude d'être dans cet instant là parce que là juste à cet instant je vous parle et je pense pas justement au fait de publier etc et c'est pareil je sais pas quand on est en rando et que je vais voir un oiseau planer genre je vais voir l'oiseau en train de planer face au vent et genre je vais juste être en communion avec l'oiseau à ce moment là je sais pas c'est ultra c'est des moments en fait qui me permettent vraiment de ressentir l'instant puis de me remplir en énergie aussi Ensuite, on va passer à la catégorie que j'affectionne tout particulièrement, qui est la catégorie des autres. et des relations. Parce que forcément, dans ces 26 années, il y a eu des rires, il y a eu des pleurs, il y a eu des rencontres, il y a eu des déceptions, il y a eu de l'espoir, il y a eu de l'amour, il y a eu de la tristesse, de la colère, de l'envie. Il y a eu tout ça dans ces 26 années. Et la 22e révélation que j'ai envie de vous faire, puis jusqu'à la 26, pas dans la 26, je l'ai gardée, mais la 22 à la 25, c'est vraiment des moments où je veux vous parler des autres. Et en 22e, j'ai mis Tout est éphémère chaque relation qu'on a, après c'est mon avis, c'est très personnel et c'est un avis un peu clivant, du coup je comprendrais que ce ne soit pas votre point de vue, mais tout est éphémère et je pars du principe que dans la vie, chaque relation me fera souffrir. Dans la vie, chaque relation me fera souffrir et tout est éphémère. Parce que dans le sens où à chaque fois qu'on entame une relation, attention quand je dis relation, c'est au sens large, c'est relation amoureuse, amicale, familiale ou quoi, c'est quand on commence une relation avec quelqu'un, elle est forcément éphémère dans le sens où elle durera dans le temps. que ça se finisse par une trahison, une tromperie, juste un commun accord, juste des chemins de vie qui se séparent, et c'est ok, des attentes qui ne sont plus les mêmes, ou que ça se finisse par, assez extrême, mais par la mort, et bien, chaque relation est éphémère. Et aujourd'hui, je veux m'entourer des personnes, et du coup chaque relation me fera souffrir, parce que généralement quand une relation se termine, il y a toujours un peu de tristesse, et ça fait partie du bonheur justement, il y a toujours un peu de tristesse, et chaque relation me fera souffrir, et je veux juste trouver les personnes qui en valent la peine. Et aujourd'hui je veux m'entourer, et je m'entoure des personnes qui valent la peine que je sois triste le jour où notre relation se terminera. Et c'est important parce que vous voyez, quand j'avais 19 ans, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Je ne sais même pas s'ils écouteront cette vidéo, enfin s'ils écouteront ce podcast encore moins, s'ils l'écouteront jusque là. Mais voilà, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Ils ne sont pas morts, c'est juste que nous... Oui, parce que je dis j'ai perdu, mais voilà, c'est... C'est encore une blessure qui est assez présente pour moi et ça peut s'entendre à ma petite voix tremblotante, mais on est là pour être authentique. Voilà, je les ai perdues et en fait j'ai énormément souffert de cette perte-là et on s'est quitté parce que chemin différent, c'est tout, parce que chemin de vie différent et préoccupation différente. Et notre relation s'est terminée comme ça, un peu de manière dramatique, mais j'en ai beaucoup souffert. Et en fait quand j'ai souffert, je me suis dit mais Lina, si tu souffres autant... c'est qu'ils t'ont apporté tellement d'amour que du coup, je me suis dit, au final, je suis OK de souffrir comme ça. Parce que si je souffre comme ça, ça veut dire que j'ai aussi vraiment vécu des beaux moments avec eux. Vraiment. Ensuite, 23e révélation. C'est tuer la moyenne des 5 personnes qui t'entourent. Donc, choisis les biens. Voilà. C'est une phrase d'entrepreneur qu'on retrouve un peu partout, mais au final, c'est vrai. Entourez-vous de personnes qui vous stimulent, qui vous poussent vers le haut, pâtissent vers le haut. Enfin, des personnes qui vous élèvent, comme vous, vous les élevez aussi. Entourez-vous, voilà, des personnes qui vous font du bien, des personnes qui ne sont pas jalouses, des personnes qui ne sont pas envieuses. Entourez-vous de personnes qui vont être fières de vous. et de personnes que vous allez être fiers d'elles, puis des personnes où vous avez... où la relation est gagnant-gagnant, en fait. Ensuite, 24e révélation, il n'y a pas de temporalité, ni de géographie dans les relations. Je trouve que... Et c'est ce que j'ai remarqué quand je suis partie à Verdun la semaine dernière. Je suis partie la semaine dernière à Verdun avec Tara, une très bonne amie à moi qui vit, avec qui j'ai enregistré l'épisode de Martinique. Donc je l'ai rencontrée en Martinique, on ne s'est pas parlé pendant plus d'un an. Après on s'est retrouvées parce qu'elle habite vers chez moi, etc. Et là on est retournées voir, on l'a dit et on l'a fait, et ça serait important de dire et de faire. On est retournées voir Charline. ma colloque de Martinique, j'ai enregistré d'ailleurs un épisode avec elle qui sortira bientôt mais voilà, en gros Charline était partie pendant plus d'un an et demi en Australie et là elle revient un mois en France et on s'est dit avec Tara, on l'a dit, on l'a fait on s'est dit go, on prend la voiture on l'aménage et on se casse à Verdun pour voir Charline, pour la retrouver et pour pouvoir lui parler et en fait pendant cette semaine là je me suis rendue compte que Et voilà, on commence à pleurer, c'est parti ! Je me suis rendu compte que dans les vraies relations, que ce soit en amitié ou en amour, il n'y a pas de temporalité et il n'y a pas de géographie. Des vraies relations, elles seront là malgré la distance, elles seront là malgré... Malgré la distance, malgré le fait que vous ne parlez pas pendant plusieurs années et que quand on se retrouve, la relation reste la même. Je vous le dis, quand j'ai retrouvé Charline, ça faisait un an et demi qu'on ne s'était presque pas parlé, pas appelé. Ça faisait deux ans qu'on ne s'était pas revu. Et quand on s'est revu, rien n'avait changé en fait. Et ça, c'est les vrais amis. Je ne sais pas, je suis ultra émue. Je repense aussi à Marie, à Estelle, à Carole, à Adèle, à Léa. Enfin, voilà, à plein de personnes, en fait, que j'ai rencontrées dans ma vie, que j'ai pu rencontrer, que ce soit une semaine, un an, deux ans, deux jours, en auberge de jeunesse ou dans les études ou quoi. Pour les vrais amis, pour les vraies relations, il n'y a pas de temporalité. et il n'y a pas de géographie et le tout c'est de s'entourer des bonnes personnes et des personnes qui sont fiers de vous et des vrais amis c'est pas forcément les gens qui habitent à côté de chez vous et qui sont là tout le temps et que vous voyez tous les 4 matins pour boire un verre les vraies relations c'est les gens qui vous font juste vous sentir bien et qui vous font vous sentir à votre place et qui vous font sentir à la maison alors que vous êtes à l'autre bout du monde, quand vous êtes avec elles, quand vous parlez à ces personnes-là, vous avez l'impression d'être chez vous, d'être bien et d'être... Désolée, je ne vais pas m'excuser pour ça. Et d'être là où vous devez être. Des vrais amis, quand vous êtes avec des vrais amis, vous vous sentez pleinement à votre place. Et c'est ce que j'ai découvert cette semaine. même si je le savais déjà, mais voilà, c'est ce que j'avais envie de vous partager. Et en 25e, pardon, après je vais couper ce podcast parce que je suis vraiment en train de pleurer. En 25e révélation, j'ai envie de vous dire... Un jour, il y a un gars qui m'a dit, alors il ne s'est rien passé avec cet homme-là, mais juste on parlait des relations amoureuses. Et il m'a dit, oui, un jour, cette fille, je l'ai quittée parce que j'étais amoureuse de l'amour, mais je n'étais pas amoureuse d'elle. Et puis, au début, j'ai eu du mal à comprendre. Là, on parle des relations amoureuses, on s'entend. J'ai eu du mal à comprendre ce qu'il disait. Il disait, tu vois, quand j'étais avec elle, je ressentais que j'étais amoureuse de l'affection qu'elle m'apportait, mais que cette affection, elle m'ait été apportée par elle ou par une autre, ça aurait été pareil. et pour moi c'est important de trouver une personne quand vous êtes en couple, de trouver une personne parce que vous l'aimez pour qui elle est vraiment et pas pour juste l'affection qu'elle vous apporte et le confort de vie qu'elle vous apporte et je vis pour quelqu'un qui me dit que je suis une personne spéciale pour lui pour moi c'est important quand on se met en couple d'être spéciale aux yeux de la personne et que la personne soit spéciale à vos yeux, et que vous l'aimez pour sa personne, et pas pour l'affection qu'elle vous apporte. Voilà. En 26ème révélation, pour clôturer ce podcast, je vous dirais juste une phrase, et je clôturerai par ça, parce que ça fait un petit moment que je vous parle. Je vous dirais doute moins, ose plus, aime mieux. voilà, c'est tout je ne vais pas m'éterniser sur cette 26ème phrase parce que elle parle pour moi doute moins, ose plus, aime mieux sur ce, je vous dis à la semaine prochaine la semaine prochaine je vous embarque normalement au Canada avec un québécois ça va être vraiment marrant en tout cas, voilà on tourne la page des 25 ans et bienvenue aux 26 je les accueille avec gratitude et avec merci tout le bagage que ces 25 années m'ont offert et que j'ai pu vous expliquer pendant cette heure. Merci de m'avoir écoutée et je vous dis à très vite.

Description

🎂 Aujourd'hui je t'emmène dans un épisode un peu particulier !


26 ans c'est l'occasion de me replonger dans un voyage introspectif pour te livrer 26 révélations qui font de moi la personne que je suis aujourd'hui. Aucun ordre dans les révélations, aucun filtre, en toute transparence.🌿


Comme d'hab, un épisode riche en émotions, n'hésite pas à venir me dire la révélations qui t'as le plus marquée ! 


Bon épisode !


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Chaque mardi, retrouve un épisode de podcast voyage et développement personnel, qui retrace une histoire de voyage, un témoignage inspirant, une aventure. Entre voyage émotionnel, exploration, découverte du monde, chaque épisode regorge de conseils, d'authenticité, de sortie de zone de confort. Vois ces épisodes comme ton mindset booster de la semaine, qui vient te prouver que TOUT est possible. 💥


Si toi aussi tu as un récit de voyage à raconter, contacte moi sur instagram : @instant_simple 📩


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode d'Instant Simple, une parenthèse d'évasion. Aujourd'hui, je vous retrouve pour un épisode un peu spécial parce que c'est mon anniversaire, nous sommes le 19 septembre, j'ai 26 ans et qui dit 26 ans dit 26 révélations. Allez, je vous laisse avec la suite de l'épisode. Sous-titrage ST'501 Parfois un peu folle quand même. Alors si vous cherchez un podcast qui mixe développement personnel et voyage, vous êtes au bon endroit. Si ce concept vous plaît, je vous invite à soutenir ce podcast en laissant une note, un commentaire ou en le partageant à vos proches. Sur ce, bon épisode. Comment ça va aujourd'hui ? Ça fait longtemps ! Là, ça fait vraiment vraiment longtemps. Si vous saviez à quel point je... J'ai... Pouh ! Si vous saviez tout ce qui se passe dans ma vie actuellement, c'est bien rempli et en fait, j'ai eu du mal à me libérer du temps pour me poser et vous parler et surtout pour me poser et vous parler sincèrement parce que la semaine dernière, j'ai sorti un épisode de podcast. sur une semaine de retraite dans un monastère bouddhiste. Et j'ai publié l'épisode et ensuite je l'ai supprimé. Pourquoi ? Parce que je n'étais clairement pas assez authentique et j'avais enregistré cet épisode pour enregistrer un épisode et pour pouvoir sortir l'épisode. Et du coup, je me suis dit mais c'est pas moi, c'est pas ce que j'ai envie de faire et je ne veux pas m'enregistrer pour m'enregistrer parce que... Enfin voilà, je ne veux pas faire... Je ne veux pas vous donner du contenu, je ne veux pas vous donner des épisodes de podcast à écouter dans lesquels je ne suis pas à fond dans mon histoire et dans lesquels, en fait, juste je le fais parce que c'est un peu une obligation, mais pas parce que j'en ai envie. Et du coup, c'est pour ça que... La fois où j'ai enregistré l'épisode du monastère, j'ai aussi enregistré l'épisode dont je vais vous parler aujourd'hui. J'ai enregistré, on va dire, la première version de cet épisode-là. Et en fait, c'était une journée, j'étais tellement pas dans le mood pour enregistrer, mais j'allais partir en road trip, j'avais mes cours à organiser, etc. Et du coup, je m'étais dit, j'ai que cette journée-là pour enregistrer, du coup, je ne peux pas faire autrement. Donc, j'ai enregistré deux épisodes la même journée. Et clairement, aucun de ces deux-là ne sortira parce que, ben, j'étais pas moi. et j'étais très fatiguée, j'étais vraiment, enfin je ne dirais pas en burn-out parce que j'aime ce que je fais, mais voilà, j'étais fatiguée, je n'étais pas dans le mood, et du coup aujourd'hui, je reviens d'un road trip absolument incroyable dans les lacs suisses, dans les cascades, les lacs, j'ai été rendre visite à une amie sur Verdun aussi, et je me sens, vous voyez, rien que le fait de parler de... de cette dernière semaine, de toutes ces aventures. Mais waouh quoi, il s'est passé tellement de choses et j'ai envie de vous en parler à travers justement cet épisode de podcast qui risque ô combien d'être riche en émotions puisque c'est un épisode tout particulier, vous l'aurez compris. Aujourd'hui, on est le 19 septembre et... Vraiment, là, littéralement, j'enregistre cet épisode le mardi 19 septembre. Certes, mes épisodes, je les sors à 6h30 du matin d'habitude. Là, il doit être 15h. Je commence l'enregistrement. Après, je vais faire direct le montage, etc. Et j'ai envie de vous le poster aujourd'hui parce que ça me tenait quand même à cœur. Et voilà, j'ai envie vraiment de vous partager ma vibe du moment et vous partager ce qui, mine de rien... Vous parlez un peu... Alors, bon, ça fera l'objet d'un épisode à part entière, ça, mais de la semaine que j'ai passée et la semaine que j'ai vécue. Alors attendez, je vérifie juste que ça enregistre parce que... Ouais, on est bon. Non, je voulais être sûre que je ne parlais pas dans le vide depuis un petit moment quand même. Donc, je disais, la semaine qui est passée a été riche en émotions dans le sens où, vous voyez, rien... Et rien que le fait d'en parler, ça m'émeut. Non, mais ça me donne les larmes aux yeux parce que toute la semaine dernière, c'était ma dernière semaine de 25 ans. Voilà, c'était la dernière semaine de mes 25 ans. Et c'est comme si en une semaine, je me suis pris un shot d'émotion, d'énergie, de bonnes vibes et aussi de révélations incroyables. Et j'ai ressenti une... Et voilà, je commence déjà à pleurer, tout va bien se passer. Mais en fait, j'ai un peu pris du recul sur la semaine qui vient de se passer et j'ai ressenti... une vague de gratitude sur le fait que j'ai 25 ans aujourd'hui, littéralement 26 ans, et pendant ces 26 années sur cette terre, j'ai l'impression... d'avoir évolué et surtout les derniers mois, pendant le 1er octobre, ça fera un an que je suis entrepreneuse, et pendant, oui je vais renifler un petit peu, je m'excuse d'avance, et du coup pendant ces un an d'entrepreneuriat, j'ai vraiment l'impression de m'être révélée, aussi bien en tant que femme professionnelle, mais aussi d'avoir révélé ma vraie personnalité, en tant, voilà, humainement parlant. Voilà, j'ai l'impression de vivre en accord... Enfin, c'est pas... Désolée, j'enivre. Mais c'est pas... Vous voyez, j'ai vraiment l'impression de vivre en accord avec mes valeurs et... et d'incarner la personne que j'ai envie d'être, et la personne que je suis au final. Et du coup aujourd'hui je me rends compte, et c'est pour ça que cette semaine a été riche en émotions, parce que je me rends compte que je m'entoure de personnes incroyables, et que ce n'est pas par chance que je m'entoure de ces personnes-là, c'est parce qu'au final, comme toute personne, je le mérite. Et je suis tellement heureuse d'être entourée des personnes qui m'entourent aujourd'hui. Voilà. Bref, sur ces... Quand même 5 minutes d'intro c'est bien assez, on va essayer de ne pas dépasser les 1h de podcast je vous le promets. Donc sur ce, en fait aujourd'hui j'avais envie pour mes 26 ans du coup de vous enregistrer un épisode de podcast qui parle toujours de voyage évidemment, qui parle de voyage intérieur cette fois-ci. Mais vous enregistrez 26 révélations que j'ai eues dans ma vie, voilà. 26 révélations qui... qui me servent aujourd'hui, 26 phrases, ça peut être des phrases, des citations, ça peut être des enseignements, mais vraiment 26 révélations que j'ai eues et qui aujourd'hui en fait me définissent et qui guident en fait ma ligne de conduite au quotidien. Je me suis dit que... On a tous des révélations, évidemment, on vit tous en accord avec nos principes, avec certaines choses. Et moi, j'avais envie, en fait, de me poser et d'écrire noir sur blanc. ce qui me définit, ce que je ressens aujourd'hui et les phrases qui m'aident à toujours vous proposer et me proposer en fait la meilleure version de moi-même. Donc on s'entend que ces 26 révélations, elles ne vont pas du tout... Enfin, j'ai essayé de les classer par... je ne sais pas, de les regrouper par thématique, mais aucune n'est plus importante qu'une autre. Et voilà, il n'y a pas de hiérarchisation de valeur dans toutes ces révélations, c'est vraiment des façons de penser que j'ai aujourd'hui, que j'applique au quotidien et qui m'aident tellement à avancer. Et je me dis, si à travers ce podcast, vous pouvez, si je peux aider ne serait-ce qu'une personne à avoir une petite révélation et qu'elle se dise, ah tiens, Bah moi aussi j'aimerais bien penser comme ça, puis j'aimerais bien appliquer comme ça, etc. Bah voilà, avec plaisir. Donc bah écoutez, c'est parti. Donc j'ai classé ces révélations en... Laissez-moi... Non parce que... Et pensez pas que je fais tout de tête. Là j'ai quand même écrit des petites choses. Mais en 1, 2, 4, 5 catégories. La première catégorie, ça va être des révélations autour du système de pensée, autour de mon cerveau. La deuxième catégorie, ce sera des révélations autour de la zone de confort, de la force, du courage et du fait d'oser. La troisième catégorie, je l'ai appelée révélation, tout simplement, parce que c'est vraiment des grands... Je ne suis pas attachée à... à des religions, enfin on ne va pas parler de religion aujourd'hui, mais voilà, pour moi ces révélations ce sont des grands préceptes, on va dire, sans parler de religion, mais voilà, des grands préceptes qui dictent ma vie. Ensuite, autre catégorie, je l'ai appelée moi, moi dans le sens... Ce qui se passe à l'intérieur de moi au niveau de certaines révélations. Et dernière catégorie, les autres. C'est-à-dire des révélations sur mes relations avec les personnes. Alors, commençons par la première. Je me remets sur ma petite liste. Première catégorie, les pensées. Dans les pensées, j'ai regroupé quatre révélations qui, selon moi, je ne vais pas dire que chaque révélation est essentielle parce que sinon je vais lire tout le temps en fait. Donc, première révélation, notre caractère ne nous définit pas et c'est libre à nous de le changer. Qu'est-ce que j'entends par là ? J'entends derrière ça l'exemple qui me frappe le plus, enfin en tout cas qui m'a le plus touchée, c'est la timidité. Depuis toute petite, je suis une personne timide. C'est-à-dire, enfin, je me définissais comme ça. À chaque fois, je disais je suis timide. C'est-à-dire que j'associais à mon être, donc je mettais le verbe être, donc je suis, j'associais... au mot être, le mot timide. Et en fait, depuis toute petite, j'ai toujours pensé que voilà, j'étais timide, que j'étais née comme ça, et que voilà, ça ne se choisissait pas, c'était la vie, voilà, il fallait dealer avec ça. Et au final, ben, c'est tellement pas ça. Enfin, je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire, mais genre... J'ai toujours pensé que j'étais timide. Et vu que j'alimentais cette pensée, mon cerveau a admis ça comme vrai, etc. Et du coup, je ne me voyais pas vivre autrement. Et un jour, j'ai compris, et ça je l'ai compris dans mes années, dans mes premières soirées de lycée, donc je devais avoir 16-17 ans. Et à ces premières soirées, en fait j'en avais marre de parler à personne, puis d'être toute rouge quand un garçon m'adressait la parole, et puis de... Enfin voilà, j'en avais marre de cette timidité dans laquelle je m'étais engluée et j'osais rien faire toute seule. Et vraiment, j'étais dans un état, mais c'était très compliqué. Mais le truc, c'est que je ne me voyais pas comment sortir de cette timidité. Et un jour, pendant ces premières soirées, je me suis dit, vas-y, fake it until you make it. C'est-à-dire, genre, j'ai... Je vais aller à une soirée, je vais faker que je suis ultra populaire, ultra sociable, ultra tout ce que vous voulez, enfin les mots qu'on utilise au lycée quoi, et je me suis dit vas-y, cette soirée j'y vais et je vais faire semblant d'être une personne ultra sociable et je vais aller parler à tout le monde. Et bien sûr dans cette soirée je me suis clairement forcée à adresser la parole aux gens, et j'ai découvert... que j'aimais ça. J'ai découvert que j'aimais la personne que j'étais quand je faisais semblant d'être cette personne sociable et pas cette personne timide. Et au fur et à mesure, ça a été un travail de longue haleine, mais j'ai réussi à surmonter cette timidité. Je ne dis pas qu'aujourd'hui, je ne suis plus du tout timide, mais en tout cas, je ne me définis plus comme telle. Et voilà, ça, c'est vraiment une des premières révélations que j'ai eues quand j'ai commencé à m'intéresser au développement perso. C'est vraiment... que mon caractère ne me définit pas et est libre à nous de le changer. Deuxième révélation, et ça, pareil, c'est... C'est vraiment une révélation que j'ai eue quand j'ai commencé tout juste à m'intéresser aux devs perso. J'ai commencé à m'intéresser au développement personnel grâce au podcast Oui Change Ma Vie de Clotilde Dussoulier. Et je vous le conseille vraiment et surtout écoutez ses 5-6 premiers épisodes parce qu'elle explique très bien ce que je vais expliquer là en quelques minutes. Mais elle explique très bien que tu n'es pas tes pensées. Et en utilisant le modèle de Brooke Castillo. qui est Faites penser, émotions, actions Je vais vous l'expliquer un peu plus longuement, mais le jour où j'ai pris conscience vraiment que je ne suis pas à mes pensées et que libre à moi, justement, de prendre cette position de libre penseur sur chaque situation qui m'arrive pour agir en fonction de mes valeurs, le jour où j'ai pris conscience de ça, ma vie a changé. Non, j'ai l'impression que je fais une pub pour un truc nul, mais je vous jure que c'est vrai. Je vous donne un exemple. Le modèle de Brooke Castillo, Tu n'es pas tes pensées, c'est qu'on part du principe que le cerveau, chaque jour, il doit prendre des milliers de décisions. Et du coup, forcément, c'est une machine. Et pour se simplifier la vie, il a décidé d'automatiser certains choix. Comme tous les matins, vous n'allez pas vous demander où est votre brosse à dents, ou vous n'allez pas vous demander... Est-ce que je mets du dentifrice sur ma brosse à dents ou quoi ? Non, ça c'est des décisions que votre cerveau a automatisées. Et donc, il automatise aussi bien les petits gestes du quotidien comme se brosser les dents, se laver, se brosser les cheveux, etc. Et il automatise aussi des concepts plus compliqués qui vont justement définir notre caractère. Et dans... Et dans ces choses-là, justement, dans ces choix, c'est-à-dire à chaque fois qu'il y a un fait, donc ça, c'est le modèle de Brooke Castillo, à chaque fois qu'il y a un fait, enfin qu'il y a un fait, c'est-à-dire un fait, ça part du principe que c'est vérifiable en tribunal. Je vous donne l'exemple d'un champion, je ne sais pas, un champion en sport, un champion de ski, oui, parce qu'on reste dans la montagne quand même, un champion de ski, par exemple, qui arrive deuxième à sa compétition. Donc ça, de manière littérale... Genre, il arrive deuxième, c'est un fait, c'est vérifiable en tribunal, il est arrivé deuxième, genre... c'est certain, eh bien, si on se met dans la tête du champion de ski, il va, de ce fait, générer une pensée. Et on a toujours une pensée automatique qui arrive. Ça se trouve, sa pensée automatique, ça va être de se dire, ça va être d'être dégoûté. Et de se dire, purée, j'étais à deux centièmes du premier, je suis dégoûté, ça me saoule, etc. Il peut décider de penser ça. Et de manière consciente, il peut aussi prendre cette position de libre-penseur et de choisir quelque chose qui est plus en accord avec ses valeurs. Il peut décider de penser, de choisir, ben, je suis arrivé deuxième, c'est top, j'ai battu mon meilleur record, et la prochaine fois, ce sera encore mieux. Et du coup, de la pensée qu'on a va générer une émotion. Une émotion, par exemple, là, pour la pensée d'il est dégoûté d'avoir perdu, l'émotion qui va le générer, ça va être de la tristesse, peut-être de la colère, de la frustration, de l'envie. Ce ne sera peut-être pas des bonnes émotions, alors que s'il décide de penser qu'il fera mieux la prochaine fois, là, les émotions qui sont générées, ça va être peut-être du courage, de la détermination, de la motivation, etc. Et suite à l'émotion, donc on a fait penser émotion et générer une action. et du coup une action qui sera plus en accord avec ses valeurs. Peut-être dans son premier schéma de pensée qui est automatique, il va décider de baisser les bras et puis d'arrêter de s'entraîner, et peut-être que dans la deuxième option justement, il décidera de s'entraîner encore plus, vu qu'il sera motivé, il se reboostera et il fera des entraînements peut-être plus longs, etc. Voilà la deuxième révélation qui est tu n'es pas tes pensées. Ensuite, troisième révélation, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. Dans le sens où, à partir du moment où tu comprends que tu n'es pas tes pensées, et bien certes tu n'es pas responsable des faits, c'est-à-dire des choses factuelles, mais tu es responsable à partir du moment où tu comprends justement que tu n'es pas tes pensées et que tu peux adopter cette position de libre penseur et de consciemment changer ta manière de penser, eh bien tu peux justement faire absolument ce que tu veux et reformater ton cerveau. Donc à partir de ce moment-là, tu es responsable de tout ce qui t'arrive. C'est-à-dire qu'à partir du moment où tu n'es pas responsable des faits, mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ça, mais ça, mais ça c'est tellement essentiel. Je vais répéter cette phrase mais je l'aime vraiment, c'est tu n'es pas responsable des faits mais tu es responsable de ce que tu en penses. Et ta manière de penser un fait va considérablement changer ton état d'esprit. Mais ça, puissance 1000. Ensuite, quatrième révélation. c'est l'importance de vivre en accord avec ses valeurs. Donc déjà l'importance de les connaître. Pour moi, une valeur, c'est ce qui est important pour moi. C'est la sincérité, la liberté, l'aventure, la découverte, et puis la simplicité. Voilà, on va dire que c'est mes grands présèpes, mes grandes valeurs. Et du coup, quand on connaît ces valeurs-là, quand on prend cette position de libre-penseur et qu'on veut choisir ce qu'on pense, et bien... on va décider en fait de faire des actions et de penser des choses qui sont en accord avec nos valeurs. Et plus des pensées automatiques qui sont générées par notre cerveau. Et plus on va faire cet exercice de reprogrammation mentale, plus justement... Et bien, on va se reprogrammer avec les valeurs qui nous sont propres et on va savoir expliquer chacune de nos actions parce qu'on va avoir l'impression d'être beaucoup plus aligné puisque chacune de nos actions et nos décisions seront en raccord avec nos valeurs parce qu'on les connaît. Et on n'aura vraiment plus cette impression d'être à côté de la plaque, mais on aura cette impression d'être genre à notre place et d'être légitime et d'être fort et d'être puissant. Voilà. Je ne sais pas si ce format vous plaît. parce que j'ai l'impression de vous balancer comme ça plein de choses, mais en tout cas, moi, j'aime beaucoup. J'aime beaucoup parce que, voilà, prenez ce qu'il y a à prendre dans cette vidéo, vraiment, prenez ce qui vous intéresse. Et je ne dis pas que... Et je ne fais pas du tout ce podcast pour avoir raison sur tous les sujets et pour dire que ma parole, c'est la meilleure et la vôtre, non, etc. Non, je fais vraiment ça pour vous expliquer mon point de vue sur les choses et vous expliquer en fait moi les révélations qui me font du bien à penser qui me font du bien à entendre parce que peut-être que ça peut aussi vous faire du bien mais si vous n'êtes pas raccord avec c'est vraiment correct et il n'y a aucun problème avec ça voilà on en a fini pour la partie sur les pensées, maintenant on va passer à la partie force, courage, oser Numéro 5, donc cinquième révélation, tu es plus fort que ce que tu crois. Si vous avez écouté l'épisode qui s'appelle la nuit du 4 août, la nuit où tout a basculé, vous comprendrez pourquoi. Voilà, je n'ai pas besoin de m'éterniser plus sur cette phrase qui a fait sens pour moi le jour où j'ai perdu mon père et où je me suis rendu compte que je suis... tellement plus forte que ce que je crois. Je peux tellement plus accomplir que ce que je crois. Je suis tellement plus que je ne pense être, en fait. Et voilà. Ensuite, en sixième révélation, tout est surmontable. peu importe ce qui m'arrive aujourd'hui, je sais que ça va aller. Je sais que j'y crois et je sais que tout est surmontable et que tant qu'on a la santé, on a tout et tout peut bien se passer. Et en fait, j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses. Bon, j'en reparlerai tout à l'heure, mais j'arrête aujourd'hui de me trouver des excuses et surtout de... de chercher des... A chaque fois que je me lance dans un nouveau projet, avant, je me disais tout le temps, ouais, mais et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et s'il se passe ça ? Et puis, en fait, je me rendais compte que je mettais toujours du négatif derrière le et s'il se passe ça ? Alors, je disais, je vais lancer un podcast, puis après, je suis là, et si j'arrive pas à le tenir ? Et si, au final, ça me prend trop de temps ? Et si je trouve plus personne pour l'écouter ? Et si personne m'écoute ? Et si tout le monde s'en fout ? Et genre, je mettais toujours quelque chose de négatif, et aujourd'hui, je me dis, et genre, je me dis, et si ça se passait bien ? et si j'arrêtais pour une fois, quand je me lance dans un projet, de voir tout ce qui pourrait mal se passer, mais d'essayer d'étudier tout ce qui pourrait aussi très bien se passer. Voilà. Ensuite, septième révélation, la ZDC, hashtag zone de confort. La zone de confort est faite pour être repoussée. La zone de confort est faite pour être repoussée. Je l'ai répétée deux fois, c'est normal. Je la répète une troisième fois. La zone de confort est faite pour être repoussée. Ça, c'est franchement... Le jour où je suis partie toute seule à Budapest, c'était mon premier voyage solo du coup, c'est là que j'ai compris que la zone de confort était faite justement pour être franchie, et était faite pour être élargie, être repoussée dans le sens... En fait, aujourd'hui, j'ai l'impression que quand j'avais 19 ans, avant mes voyages solo, j'avais une zone de confort qui était toute petite, genre de la taille d'un village. Et aujourd'hui, j'ai l'impression que plus je voyage, plus des choses m'arrivent, et plus j'entreprends, etc. Et du coup, plus j'agrandis. les limites de ma ville, en fait. Et j'agrandis les limites de ma zone de confort. Et aujourd'hui, des choses qui me paraissaient insurmontables avant, eh bien, aujourd'hui, je les ai surmontées. Et maintenant, elles font partie de mon paysage. Elles font partie de cette zone de confort. Donc voilà, la zone de confort est faite pour être surmontée. Et au final, quand on sort de notre zone de confort, moi, au final, je sors de ma zone de confort, mais pour... C'est un peu comme rentrer... C'est un peu comme partir en bataille contre soi-même et aller conquérir des nouveaux espaces. Je vois vraiment la zone de confort comme ça. C'est-à-dire quand je sors de ma zone de confort, je vais conquérir un terrain inconnu. Et une fois que je le connais et que du coup je me sens confortable avec, il fait partie de ma zone de confort et mon territoire s'agrandit. C'est vraiment... C'est un peu les conquistadors, vous voyez. Genre vraiment, je pars en bataille contre moi-même et je vais agrandir mon terrain. Ensuite, la huitième révélation, c'est l'importance d'explorer ses zones d'ombre. Ça, je m'en rends compte quand des potes me posent des questions ou des choses comme ça. Et des fois... Des fois, on le sent. En vrai, ça arrive à tout le monde. Des fois, on sent en nous, quand on donne une réponse, qu'on ne donne pas une réponse 100% honnête envers nous. C'est-à-dire que même il y a des situations où on se ment à nous-mêmes sur certains sujets. Et au fond, nous, on est conscient qu'on se ment à nous-mêmes, mais on n'ose pas se l'avouer à haute voix. Et pour moi, c'est ça une part d'ombre. C'est-à-dire que quand on essaye... Consciemment de se cacher quelque chose, enfin de cacher quelque chose à notre propre personne, c'est que... Il y a quelque chose qui est caché dans l'ombre là-dedans et il y a quelque chose de sous-jacent avec ça. Et pour moi, c'est ultra important d'aller explorer ces zones d'ombre. On peut le faire de différentes façons. Le mieux pour moi, ça reste quand même d'être accompagné d'un expert, enfin d'un expert, d'un praticien pour tout ça. Mais voilà. Ensuite, neuvième révélation. On est toujours à une seule décision de changer notre vie pour le mieux. et aussi pour le moins bien, mais bon, là, on axe un petit peu sur le mieux quand même, on est toujours à une décision de changer notre vie. Dans le sens où, moi, j'aime cette phrase parce qu'à chaque fois, je me dis... Et bien, je suis toujours à une décision d'accomplir un rêve. Et en fait, ça rend le parcours plus simple. Ça rend le chemin mental plus simple. Par exemple, là, je suis en train de me questionner sur le fait de partir en voyage au Mexique. Et je me dis, je suis toujours à une décision de le faire. Je suis à une décision d'aller sur l'ordouille et de réserver mon billet. Et sans me dire, il faut que j'étudie ça, puis la météo, puis le climat, puis l'hébergement, puis l'avion, etc. Non, je suis toujours à une décision de décider d'y aller. et ça c'est quelque chose, à chaque fois ça me motive énormément pour commencer tous mes projets, parce que je me dis je suis toujours à un chouïa, vous voyez, à une décision, que ce soit que je fasse un game change dans ma vie. Après on va passer à l'autre catégorie qui est la catégorie des révélations, où je vais vous balancer des phrases, mais que je trouve vraiment importantes et qui ont changé ma vie. La dixième révélation c'est... Bisous Charline, si tu m'écoutes. C'est tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Je crois en la destinée, pas tout le monde n'y croit, mais pour moi voilà, des fois il y a des choses qui se passent qui sont trop énormes pour se dire que c'est un hasard. Et je crois en la destinée et tout est juste dans l'univers et si certaines choses ne se font pas, et bien c'est peut-être juste que ça ne devait pas se faire ou alors pas à ce moment-là parce que le mieux arrive au meilleur moment. Et cette phrase, je ne sais pas, elle me plaît tellement parce que... Enfin voilà, tout est juste dans l'univers et le mieux arrive au meilleur moment. Moi, cette phrase, elle me soulage, elle me fait du bien. Et puis au final, c'est tout ce qu'on recherche. Phrase 11, les choses sont simples. Voilà, je n'ai pas implé mon entreprise Instant Simple pour rien. C'est parce que, selon moi, les choses sont simples. Et c'est juste nous qui aimons les compliqués. On n'aime pas forcément ça, mais genre, c'est juste nous qui les compliquons. Mais... Au final, tout est simple dans les faits. Genre, vraiment, tout est simple, que ce soit au niveau des relations, au niveau de ce qui se passe dans notre vie, au niveau de notre manière de penser, tout est simple. Et quand on... C'est un peu le fait de relativiser, quoi. Tu te retrouves dans une situation ultra compliquée et tout. Et des fois, mais simplifie-la. En fait, tout peut être beaucoup plus simple. Et des fois, on se complique tellement la vie. Et je sais que... Moi, j'ai commencé à penser comme ça quand j'ai perdu mon père. Parce que... Après son départ, eh ben... Je sais pas, quand j'allais voir mes potes et tout, des fois, on pouvait... Enfin, des fois, quand j'entendais les autres parler entre eux, eh ben, genre, les gens s'embrouillaient pour des détails qui, selon moi, étaient tellement futiles que la vie et la mort, parce que j'étais vraiment, à l'époque, dans cette dualité, quand je venais de perdre mon papa. Et du coup, en fait, pour moi, tout était plus simple que ce que je vivais. Et donc, en fait, ça m'a appris à simplifier toutes les situations. C'est-à-dire que... les gens qui se disaient ah mais on m'a invité à cette soirée mais du coup j'ai pas vraiment envie d'y aller mais genre si je vais pas, les gens ils vont penser que si, ils vont penser que ça non c'est bon les accords Toltec on se fait pas de supposition genre au bout d'un moment t'es invité à une soirée, t'as pas envie d'y aller ben les choses sont simples, dis non c'est tout, c'est tout puis si t'as envie d'y aller tu dis oui genre y'a pas à se poser 10 000 questions et puis à se polluer ce qu'il y a dans notre crâne en se disant hum Enfin voilà, en essayant de compliquer les choses qui au départ sont juste simples, c'est-à-dire que la personne qui vous a invité à cette soirée, elle ne vous a pas invité, enfin dans sa tête quand elle vous a invité, elle vous a invité parce que ça lui faisait plaisir de passer du temps avec vous, mais elle ne s'est pas dit, alors il faut que j'invite, parce que si je ne l'invite pas, du coup elle va mal le prendre. Non, non, non, les choses sont simples. Douzième révélation que j'ai. que j'ai vraiment réalisé l'année dernière quand j'étais dans le monastère bouddhiste justement et promis cet épisode ressortira mais je vous ferai un vrai épisode où vraiment on ressent qui je suis et où je parle avec le cœur comme je le fais actuellement douzième révélation faire les choses de tout son cœur sans rien attendre en retour, faire les choses sans intérêt. Ça, c'est un précepte que j'applique depuis l'année dernière, vraiment, et au début je me forçais à l'appliquer, maintenant, comme je vous l'ai dit dans les pensées, ça un peu devient un automatisme. Faire les choses sans rien attendre en retour, c'est la meilleure façon déjà d'être dans l'instant, et... d'utiliser son cœur, de faire les choses de tout son être, et le fait de rien attendre en retour, c'est la meilleure des choses, parce que vous ne serez jamais déçus, et tout ce que vous recevrez, si vous recevez, tout ce que vous recevrez, vous le prendrez vraiment pour un cadeau, et non pas comme un dû, et ça c'est tellement important, c'est-à-dire... Quand vous faites les choses sans intérêt, vu que vous n'attendez rien en retour, ce que vous allez recevoir, vous allez le recevoir fois mille et vous allez être encore plus dans la gratitude puisque vous n'attendiez rien. Et ça, honnêtement, ça permet de fluidifier les relations, ça permet... Bon, des fois aussi, on peut se faire prendre pour une bonne poire en pensant comme ça, mais je reste convaincue que les gens sont quand même bien et que... C'est ce que je répète à mes élèves, bah oui parce que je suis prof à l'université accessoirement, et c'est ce que je répète à mes élèves, c'est soyez gentil. Soyez gentil avec les gens, parce que vous pouvez être sûr que... ça va vous être retourné un jour ou l'autre, mais il ne faut pas le faire dans l'attente que vous ayez un geste de la part des personnes, mais juste soyez gentil, parce que ça peut faire que du bien, ça vous fait du bien à vous, parce que vous propagez des bonnes ondes, et ça fait du bien à eux, et genre... Tout le monde est content grâce à ça. Ensuite, treizième révélation, une petite phrase de Xavier Dolan que j'apprécie énormément qui est Tout est possible à qui rêve, ose, travaille et n'abandonne jamais Ça, c'est vraiment la phrase qui me permet de rester motivée pour mon parcours entrepreneurial. En quatorzième, nous avons J'ai pas le temps de perdre mon temps Ça, je l'applique un peu aux relations avec les gens, je l'applique aux projets que je fais, c'est-à-dire pas le temps de perdre mon temps, dans le sens où c'est important de prendre son temps, mais il ne faut pas le perdre. Selon moi, le temps, c'est le cadeau le plus précieux que vous pouvez faire à quelqu'un. Dans le sens où, quand vous décidez d'accorder du temps à une personne, eh bien... Le temps, c'est la seule denrée qui ne va que dans un sens. C'est-à-dire, vous pourrez toujours avoir plus d'argent, avoir plus d'énergie, vous pourrez toujours avoir plus, mais vous ne pourrez jamais avoir plus de temps. Ça, c'est quelque chose, ça n'est pas possible. On a une durée limitée sur cette Terre, on a une date de péremption, vous voyez. Et du coup... Et bien, aujourd'hui, le temps pour moi, quand je donne du temps, c'est un cadeau que je fais. Et quand les personnes m'accordent du temps, c'est un cadeau qu'ils me font. Et c'est pour ça que je n'ai pas le temps de perdre mon temps pour des choses. Et j'essaye, par exemple, de limiter énormément... De plus en plus, mon temps passé sur les réseaux... Alors attention, quand je dis le temps passé sur les réseaux, c'est le temps passé à scroller les réseaux. Je passe du temps sur les réseaux pour échanger avec mes amis, pour échanger avec des gens, pour rencontrer de nouvelles personnes. Mais aujourd'hui, j'essaye... autant que possible, je dis pas que ça m'arrive plus évidemment parce que je reste humaine, mais j'essaye autant que possible de ne plus par exemple scroller sur Instagram parce que des fois je me rends compte que je vais scroller pendant une heure. Et là c'est une heure de temps qui est partie et clairement que j'ai perdu parce que ça va pas m'en servir pour plus tard. Et puis ça va me faire du bien, mais c'est un faux bien, vous voyez. Ça va me faire du bien à durée limitée. Et c'est pas quelque chose qui va générer chez moi du bien-être à long terme. Ensuite, 15ème révélation, tout est possible à n'importe quel âge. Ça, j'en ai beaucoup parlé du coup pendant le premier épisode sur mon voyage à Budapest. Tout est possible à n'importe quel âge, on n'est jamais trop vieux ou trop jeune pour entamer des choses. Voilà, tout est possible à n'importe quel âge, et moi ça me fait du bien de penser ça, parce que mine de rien, 26 ans, je sais pas quel âge vous avez, mais en tout cas chaque année, quand je prends un an du coup, j'ai toujours peur, parce que le temps ça reste important, et puis ça file, et... Et du coup, moi, mes jours d'anniversaire, c'est jamais des jours où je me sens dans un ultra good vibe. Enfin, si, en soi, j'aime bien. Mais, je sais pas, ça me rappelle que le temps passe et que, en fait, j'ai peur de vieillir. Mais cette phrase, tout est possible à n'importe quel âge. Elle vient pour me faire un câlin au cœur, en gros. Et puis, pour me soulager de cette peur de vieillir, justement. Ensuite, 16ème révélation, un mais est égal à une excuse. Ça, je me souviens, on en avait parlé avec Thibaut, avec Tara, avec plusieurs personnes. Un mais, c'est une excuse. Et à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, et vraiment aujourd'hui j'essaye justement de faire ce travail d'analyser les mais que je dis, parce qu'à chaque fois que vous voulez vous lancer dans un projet, ou que votre ami va vous, je sais pas, vous proposer une solution sur une problématique que vous soulevez et tout, et ben dès que vous allez dire... Ouais, c'est intéressant, mais tu vois, du coup, je ne peux pas faire ça parce que ci, parce que ça. Eh bien, non. Genre, à chaque fois que vous avez un mais dans une phrase, vous avez une excuse que vous trouvez pour ne pas commencer ce projet. Et à vous de jauger les excuses que vous trouvez, mais en tout cas... Chaque excuse est surmontable et pour moi, les gens qui me disent qu'ils ont des projets et qui mettent un mais derrière, si vraiment c'est un projet qui tient à cœur, le mais, on peut tous le faire péter. Ensuite, on va rentrer dans d'autres révélations. Je ne sais même pas combien de temps ça fait que je vous parle. Ça fait 35 minutes, on est à la 17 et on avance très bien, je suis contente. Donc la 17ème révélation, on entre dans la catégorie du moi, du moi dans le sens ce qui se passe à l'intérieur, pas dans les pensées et tout, mais plus le moi énergétique dans les révélations. Donc la 17ème révélation, c'est une phrase que m'a dit mon papa un jour et que je continue à prôner. C'est vie pour vivre des moments simples et des histoires vraies Ça, c'est une phrase qui me fait du bien, parce que déjà elle me rappelle un peu mon père. Et aussi elle me fait du bien parce que j'ai l'impression... de tout le temps être alignée avec cette phrase. Puisque aujourd'hui, je pense comme ça et que mes valeurs principales et donc les actions que je fais sont en accord avec la liberté, la sincérité, la simplicité, eh bien, j'ai toujours l'impression d'être en accord avec cette phrase et de vivre des moments simples et des histoires vraies. C'est-à-dire, j'ai l'impression de vivre des moments sincères et des histoires incroyables. Je ne sais pas ce qui fait ce bruit. Bon, j'espère que ça ne s'entend pas trop. Mais j'ai toujours l'impression de vivre des choses incroyables parce que justement, vu que pour moi, tout est simple et tout mérite d'être vu, dès que je vois quelque chose, je suis émerveillée. Vous voyez, je suis une éternelle... On peut m'appeler bisounours, mais je suis une éternelle optimiste. Bon, réaliste quand même, mais optimiste et dans le sens où... quand je suis dans une bonne vibes, mais genre, rien ne peut gâcher ma vibes, en fait. Et je vais toujours essayer de, je sais pas, de me remonter le moral, de remonter le moral des troupes et tout, parce que rien n'est grave, et tout est possible, et le mieux arrive au meilleur moment, et du coup, les moments sont simples, les histoires sont vraies. En 18ème révélation... ça c'est une révélation que j'adopte depuis plusieurs mois maintenant, pas années, mois plutôt, et où j'arrive à surfer sur cette vague et où je me sens pleinement bien, c'est que j'aime ma compagnie. J'ai découvert ça pendant mes voyages en solitaire évidemment. Et aujourd'hui, j'arrive justement depuis quelques mois à appliquer le fait d'aimer ma compagnie en étant chez moi. Ce qui était assez compliqué pour moi au début. Et genre aujourd'hui, j'aime ma compagnie et j'aime passer du temps seule. Et je sais que je me recharge en énergie comme ça. Et genre j'aime passer du temps seule. Et du coup, j'ai besoin de personne. Je dis bien j'ai besoin de personnes. Donc dans le sens où aujourd'hui quand je décide de passer du temps avec les gens, je le fais parce que j'en ai envie, mais pas parce que j'ai besoin de combler un manque affectif, ou un... je sais pas, pas parce que j'ai besoin de combler tout ça. Ensuite, dix-neuvième révélation, comprendre mon énergie. Comprendre mon énergie et comprendre en fait, et me déculpabiliser, surtout déculpabiliser, parce que... C'est sympa de se déculpabiliser des fois où je sais que pour moi il y a deux types de personnes. Il y a des gens, ils vont recharger leur batterie en étant tout seuls et en s'entourant d'autres personnes, ils vont les vider. Pas dans le sens où ils n'aiment pas être avec les gens, mais il y a des personnes où être avec les gens, ça va les vider. Et il y a d'autres personnes où être avec les gens, au contraire, ça va les recharger en énergie. Et quand ils sont tout seuls, ils vont se vider en énergie. Moi, je suis dans le premier cas. C'est-à-dire que moi, je me remplis d'énergie quand je suis seule. Et quand je suis avec des gens, je peux être avec des gens, mais au bout d'un moment, je sature. Et genre, il faut que je retourne un peu dans mon cocon pour recharger les batteries. Et au début, je culpabilisais justement. Je culpabilisais de ne pas toujours avoir envie de sortir, de ne pas toujours avoir envie de voir du monde et tout. Je me disais, je ne suis pas normale, je suis asociale, machin. Et en fait, non, c'est juste que c'est ma façon de fonctionner. Puis c'est ma façon de dealer avec mon énergie et du coup d'apporter du temps de qualité. aux personnes. C'est-à-dire d'être consciente que mon énergie, en étant avec les gens, il descend. Et du coup, il y a des fois où quand je suis avec les gens, je préfère juste dire, attendez, je vais faire une petite balade toute seule, je passe une semaine chez quelqu'un, je sais que si je passe une semaine chez une personne, je vais avoir le besoin de passer quelques temps toute seule parce que, et c'est ok en fait, au début je culpabilisais de ça. mais en fait je me disais mais je préfère quand je vois cette personne être rechargée en énergie pour pouvoir dépenser mon énergie avec elle et vraiment apprécier l'instant et passer un moment de qualité plutôt que me forcer à rester tout le temps avec la personne et du coup être vidée en énergie tout le temps et ne pas pouvoir lui accorder ce temps de qualité. Et des fois c'est mieux de dire bon bah écoutez je suis pas genre... Et ça rejoint, bah là on va passer à la vingtième du coup, avoir mon propre rythme. Et me déculpabiliser avec ça, c'est un peu de paire avec comprendre mon énergie. C'est qu'avoir son propre rythme, je le découvre depuis que je suis entrepreneuse. Assumons-le. Au début, du coup, souvent, j'ai travaillé, j'ai eu différents rythmes. J'ai été dans le monde de la nuit, dans les saisons. J'ai fait aussi du travail du 9h, 17h, métro, boulot, dodo. Et quand je suis arrivée, du coup, en auto-entrepreneuse... Je ne savais pas comment gérer mon rythme et aujourd'hui, je le découvre petit à petit. Je sais que le matin, c'est plus tranquille, l'après-midi, je bosse un peu plus, puis des fois, je vais bosser un peu plus tard et puis je vais commencer, puis je vais faire des siestes, puis machin, enfin voilà. J'arrive vraiment à trouver mon propre rythme aujourd'hui, mais c'est quelque chose où j'y suis allée à tâtons pendant beaucoup de temps. Et je culpabilisais de dire que j'avais besoin de genre 40 minutes de sieste par jour, puis au final maintenant je me dis mais en quoi j'ai à avoir honte de dire que pour moi il me faut faire des siestes ? Encore une fois, tout est une question de compréhension de son rythme et compréhension de son énergie. Et je sais que je préfère par exemple, vous voyez quand je mange à midi et demi, je finis de manger à 13h, et de 13h à 14h c'est ma pause et généralement je vais dormir 40 minutes dans cette heure-là, et bien... Je me dis en fait, pour moi c'est important, et je sais que si je décide d'enchaîner directement le travail, je ne vais pas être productive. Et genre, je préfère, entre guillemets, perdre, même si c'est pas de la perte de temps, mais je préfère entre guillemets perdre 40 minutes à dormir, et après bosser plus longtemps et être ultra productive, plutôt que bosser 40 minutes de plus. Et genre... ne pas avancer, ne pas être productif parce que justement, j'ai mal géré mon énergie et j'ai besoin de repos. Après, en 21e révélation, et après on va rentrer dans le sentimental et je risque de pleurer. 21e révélation, c'est ressentir l'instant. Ressentir l'instant, c'est... J'ai mis longtemps à comprendre ça. Vous savez, apprécier le moment présent, le pouvoir du moment présent et tout le bordel. J'ai mis longtemps à ressentir l'instant, puis à aimer ça. Puis à aimer l'instant présent. Et quand je dis ressentir l'instant, je le ressens pleinement. Je sais que là... je ressens de la gratitude parce que je suis face à vous, je vous parle avec le cœur je sais que je vais vous publier cet épisode à l'arrache parce que parce que je vais le monter vite fait et puis après je vais le publier je vais faire aucun cut etc et genre c'est ok et c'est ok et je ressens de la gratitude d'être dans cet instant là parce que là juste à cet instant je vous parle et je pense pas justement au fait de publier etc et c'est pareil je sais pas quand on est en rando et que je vais voir un oiseau planer genre je vais voir l'oiseau en train de planer face au vent et genre je vais juste être en communion avec l'oiseau à ce moment là je sais pas c'est ultra c'est des moments en fait qui me permettent vraiment de ressentir l'instant puis de me remplir en énergie aussi Ensuite, on va passer à la catégorie que j'affectionne tout particulièrement, qui est la catégorie des autres. et des relations. Parce que forcément, dans ces 26 années, il y a eu des rires, il y a eu des pleurs, il y a eu des rencontres, il y a eu des déceptions, il y a eu de l'espoir, il y a eu de l'amour, il y a eu de la tristesse, de la colère, de l'envie. Il y a eu tout ça dans ces 26 années. Et la 22e révélation que j'ai envie de vous faire, puis jusqu'à la 26, pas dans la 26, je l'ai gardée, mais la 22 à la 25, c'est vraiment des moments où je veux vous parler des autres. Et en 22e, j'ai mis Tout est éphémère chaque relation qu'on a, après c'est mon avis, c'est très personnel et c'est un avis un peu clivant, du coup je comprendrais que ce ne soit pas votre point de vue, mais tout est éphémère et je pars du principe que dans la vie, chaque relation me fera souffrir. Dans la vie, chaque relation me fera souffrir et tout est éphémère. Parce que dans le sens où à chaque fois qu'on entame une relation, attention quand je dis relation, c'est au sens large, c'est relation amoureuse, amicale, familiale ou quoi, c'est quand on commence une relation avec quelqu'un, elle est forcément éphémère dans le sens où elle durera dans le temps. que ça se finisse par une trahison, une tromperie, juste un commun accord, juste des chemins de vie qui se séparent, et c'est ok, des attentes qui ne sont plus les mêmes, ou que ça se finisse par, assez extrême, mais par la mort, et bien, chaque relation est éphémère. Et aujourd'hui, je veux m'entourer des personnes, et du coup chaque relation me fera souffrir, parce que généralement quand une relation se termine, il y a toujours un peu de tristesse, et ça fait partie du bonheur justement, il y a toujours un peu de tristesse, et chaque relation me fera souffrir, et je veux juste trouver les personnes qui en valent la peine. Et aujourd'hui je veux m'entourer, et je m'entoure des personnes qui valent la peine que je sois triste le jour où notre relation se terminera. Et c'est important parce que vous voyez, quand j'avais 19 ans, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Je ne sais même pas s'ils écouteront cette vidéo, enfin s'ils écouteront ce podcast encore moins, s'ils l'écouteront jusque là. Mais voilà, j'ai perdu mes deux meilleurs amis. Ils ne sont pas morts, c'est juste que nous... Oui, parce que je dis j'ai perdu, mais voilà, c'est... C'est encore une blessure qui est assez présente pour moi et ça peut s'entendre à ma petite voix tremblotante, mais on est là pour être authentique. Voilà, je les ai perdues et en fait j'ai énormément souffert de cette perte-là et on s'est quitté parce que chemin différent, c'est tout, parce que chemin de vie différent et préoccupation différente. Et notre relation s'est terminée comme ça, un peu de manière dramatique, mais j'en ai beaucoup souffert. Et en fait quand j'ai souffert, je me suis dit mais Lina, si tu souffres autant... c'est qu'ils t'ont apporté tellement d'amour que du coup, je me suis dit, au final, je suis OK de souffrir comme ça. Parce que si je souffre comme ça, ça veut dire que j'ai aussi vraiment vécu des beaux moments avec eux. Vraiment. Ensuite, 23e révélation. C'est tuer la moyenne des 5 personnes qui t'entourent. Donc, choisis les biens. Voilà. C'est une phrase d'entrepreneur qu'on retrouve un peu partout, mais au final, c'est vrai. Entourez-vous de personnes qui vous stimulent, qui vous poussent vers le haut, pâtissent vers le haut. Enfin, des personnes qui vous élèvent, comme vous, vous les élevez aussi. Entourez-vous, voilà, des personnes qui vous font du bien, des personnes qui ne sont pas jalouses, des personnes qui ne sont pas envieuses. Entourez-vous de personnes qui vont être fières de vous. et de personnes que vous allez être fiers d'elles, puis des personnes où vous avez... où la relation est gagnant-gagnant, en fait. Ensuite, 24e révélation, il n'y a pas de temporalité, ni de géographie dans les relations. Je trouve que... Et c'est ce que j'ai remarqué quand je suis partie à Verdun la semaine dernière. Je suis partie la semaine dernière à Verdun avec Tara, une très bonne amie à moi qui vit, avec qui j'ai enregistré l'épisode de Martinique. Donc je l'ai rencontrée en Martinique, on ne s'est pas parlé pendant plus d'un an. Après on s'est retrouvées parce qu'elle habite vers chez moi, etc. Et là on est retournées voir, on l'a dit et on l'a fait, et ça serait important de dire et de faire. On est retournées voir Charline. ma colloque de Martinique, j'ai enregistré d'ailleurs un épisode avec elle qui sortira bientôt mais voilà, en gros Charline était partie pendant plus d'un an et demi en Australie et là elle revient un mois en France et on s'est dit avec Tara, on l'a dit, on l'a fait on s'est dit go, on prend la voiture on l'aménage et on se casse à Verdun pour voir Charline, pour la retrouver et pour pouvoir lui parler et en fait pendant cette semaine là je me suis rendue compte que Et voilà, on commence à pleurer, c'est parti ! Je me suis rendu compte que dans les vraies relations, que ce soit en amitié ou en amour, il n'y a pas de temporalité et il n'y a pas de géographie. Des vraies relations, elles seront là malgré la distance, elles seront là malgré... Malgré la distance, malgré le fait que vous ne parlez pas pendant plusieurs années et que quand on se retrouve, la relation reste la même. Je vous le dis, quand j'ai retrouvé Charline, ça faisait un an et demi qu'on ne s'était presque pas parlé, pas appelé. Ça faisait deux ans qu'on ne s'était pas revu. Et quand on s'est revu, rien n'avait changé en fait. Et ça, c'est les vrais amis. Je ne sais pas, je suis ultra émue. Je repense aussi à Marie, à Estelle, à Carole, à Adèle, à Léa. Enfin, voilà, à plein de personnes, en fait, que j'ai rencontrées dans ma vie, que j'ai pu rencontrer, que ce soit une semaine, un an, deux ans, deux jours, en auberge de jeunesse ou dans les études ou quoi. Pour les vrais amis, pour les vraies relations, il n'y a pas de temporalité. et il n'y a pas de géographie et le tout c'est de s'entourer des bonnes personnes et des personnes qui sont fiers de vous et des vrais amis c'est pas forcément les gens qui habitent à côté de chez vous et qui sont là tout le temps et que vous voyez tous les 4 matins pour boire un verre les vraies relations c'est les gens qui vous font juste vous sentir bien et qui vous font vous sentir à votre place et qui vous font sentir à la maison alors que vous êtes à l'autre bout du monde, quand vous êtes avec elles, quand vous parlez à ces personnes-là, vous avez l'impression d'être chez vous, d'être bien et d'être... Désolée, je ne vais pas m'excuser pour ça. Et d'être là où vous devez être. Des vrais amis, quand vous êtes avec des vrais amis, vous vous sentez pleinement à votre place. Et c'est ce que j'ai découvert cette semaine. même si je le savais déjà, mais voilà, c'est ce que j'avais envie de vous partager. Et en 25e, pardon, après je vais couper ce podcast parce que je suis vraiment en train de pleurer. En 25e révélation, j'ai envie de vous dire... Un jour, il y a un gars qui m'a dit, alors il ne s'est rien passé avec cet homme-là, mais juste on parlait des relations amoureuses. Et il m'a dit, oui, un jour, cette fille, je l'ai quittée parce que j'étais amoureuse de l'amour, mais je n'étais pas amoureuse d'elle. Et puis, au début, j'ai eu du mal à comprendre. Là, on parle des relations amoureuses, on s'entend. J'ai eu du mal à comprendre ce qu'il disait. Il disait, tu vois, quand j'étais avec elle, je ressentais que j'étais amoureuse de l'affection qu'elle m'apportait, mais que cette affection, elle m'ait été apportée par elle ou par une autre, ça aurait été pareil. et pour moi c'est important de trouver une personne quand vous êtes en couple, de trouver une personne parce que vous l'aimez pour qui elle est vraiment et pas pour juste l'affection qu'elle vous apporte et le confort de vie qu'elle vous apporte et je vis pour quelqu'un qui me dit que je suis une personne spéciale pour lui pour moi c'est important quand on se met en couple d'être spéciale aux yeux de la personne et que la personne soit spéciale à vos yeux, et que vous l'aimez pour sa personne, et pas pour l'affection qu'elle vous apporte. Voilà. En 26ème révélation, pour clôturer ce podcast, je vous dirais juste une phrase, et je clôturerai par ça, parce que ça fait un petit moment que je vous parle. Je vous dirais doute moins, ose plus, aime mieux. voilà, c'est tout je ne vais pas m'éterniser sur cette 26ème phrase parce que elle parle pour moi doute moins, ose plus, aime mieux sur ce, je vous dis à la semaine prochaine la semaine prochaine je vous embarque normalement au Canada avec un québécois ça va être vraiment marrant en tout cas, voilà on tourne la page des 25 ans et bienvenue aux 26 je les accueille avec gratitude et avec merci tout le bagage que ces 25 années m'ont offert et que j'ai pu vous expliquer pendant cette heure. Merci de m'avoir écoutée et je vous dis à très vite.

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