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Institut Iliade

Perspectives identitaires : "Populisme identitaire"

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03min |22/01/2024
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Description

Raphaël Ayma, activiste identitaire, porte-parole de Tenesoun et auditeur de l'Institut Iliade vous présente sa chronique politique Perspectives identitaires : Populisme identitaire.

Mai 2002. La gauche, divisée, a laissé l’ignoble arriver. À la télévision du second tour, en lieu et place du traditionnel duel entre les forces du PS et du RPR, c’est le visage de Jean-Marie Le Pen, candidat du Front national, qui apparaît aux côtés de celui de Jacques Chirac. Crédité de 17,4% au premier tour, le Menhir est loin de se douter que sa fille, vingt ans plus tard, dépasserait la barre des 41% dans un autre duel pour la présidence de la République française. Pourtant à l’époque, l’atmosphère ne laissait entrevoir pas un seul instant la popularisation des idées nationales : à l’instant même où Jean-Marie Le Pen est annoncé comme finaliste de l’élection, l’ensemble des forces politiques du pays appellent à la manifestation. Les rues de France se bondent pendant l’entre-deux-tours de démonstrations massives contre le FN ; contre Jean-Marie Le Pen ; contre la pensée des Français qui ont voté pour lui. Ces manifestations seront les incubatrices du logiciel de « barrage républicain », instaurant une alliance de facto entre la droite libérale et la gauche pour bloquer le FN quand il arrive, dans n’importe quelle élection, au second tour. Jacques Chirac refusera même le débat. Vingt ans plus tard, l’hégémonie culturelle est tombée.

Comme en écho à cette situation bien française, l’arrivée du parti AfD, Alternative für Deutschland, comme seconde force politique en Allemagne et l’annonce dans son programme d’un plan en faveur de la remigration ont déclenché des manifestations massives dans le pays. (…)

Source : "Européennes : la droite identitaire allemande rebat les cartes", Libre journal du lundi soir sur Radio Courtoisie, animé par Romain Petitjean, 22 janvier 2024.
Retrouvez l'émission complète en podcast : https://soundcloud.com/institut-iliade/europeennes-la-droite-identitaire-allemande-rebat-les-cartes-radio-courtoisie-22012024

Vive la civilisation européenne !

Vive l'Institut Iliade !

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Raphaël Ayma, activiste identitaire, porte-parole de Tenesoun et auditeur de l'Institut Iliade vous présente sa chronique politique Perspectives identitaires : Populisme identitaire.

Mai 2002. La gauche, divisée, a laissé l’ignoble arriver. À la télévision du second tour, en lieu et place du traditionnel duel entre les forces du PS et du RPR, c’est le visage de Jean-Marie Le Pen, candidat du Front national, qui apparaît aux côtés de celui de Jacques Chirac. Crédité de 17,4% au premier tour, le Menhir est loin de se douter que sa fille, vingt ans plus tard, dépasserait la barre des 41% dans un autre duel pour la présidence de la République française. Pourtant à l’époque, l’atmosphère ne laissait entrevoir pas un seul instant la popularisation des idées nationales : à l’instant même où Jean-Marie Le Pen est annoncé comme finaliste de l’élection, l’ensemble des forces politiques du pays appellent à la manifestation. Les rues de France se bondent pendant l’entre-deux-tours de démonstrations massives contre le FN ; contre Jean-Marie Le Pen ; contre la pensée des Français qui ont voté pour lui. Ces manifestations seront les incubatrices du logiciel de « barrage républicain », instaurant une alliance de facto entre la droite libérale et la gauche pour bloquer le FN quand il arrive, dans n’importe quelle élection, au second tour. Jacques Chirac refusera même le débat. Vingt ans plus tard, l’hégémonie culturelle est tombée.

Comme en écho à cette situation bien française, l’arrivée du parti AfD, Alternative für Deutschland, comme seconde force politique en Allemagne et l’annonce dans son programme d’un plan en faveur de la remigration ont déclenché des manifestations massives dans le pays. (…)

Source : "Européennes : la droite identitaire allemande rebat les cartes", Libre journal du lundi soir sur Radio Courtoisie, animé par Romain Petitjean, 22 janvier 2024.
Retrouvez l'émission complète en podcast : https://soundcloud.com/institut-iliade/europeennes-la-droite-identitaire-allemande-rebat-les-cartes-radio-courtoisie-22012024

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Mai 2002. La gauche, divisée, a laissé l’ignoble arriver. À la télévision du second tour, en lieu et place du traditionnel duel entre les forces du PS et du RPR, c’est le visage de Jean-Marie Le Pen, candidat du Front national, qui apparaît aux côtés de celui de Jacques Chirac. Crédité de 17,4% au premier tour, le Menhir est loin de se douter que sa fille, vingt ans plus tard, dépasserait la barre des 41% dans un autre duel pour la présidence de la République française. Pourtant à l’époque, l’atmosphère ne laissait entrevoir pas un seul instant la popularisation des idées nationales : à l’instant même où Jean-Marie Le Pen est annoncé comme finaliste de l’élection, l’ensemble des forces politiques du pays appellent à la manifestation. Les rues de France se bondent pendant l’entre-deux-tours de démonstrations massives contre le FN ; contre Jean-Marie Le Pen ; contre la pensée des Français qui ont voté pour lui. Ces manifestations seront les incubatrices du logiciel de « barrage républicain », instaurant une alliance de facto entre la droite libérale et la gauche pour bloquer le FN quand il arrive, dans n’importe quelle élection, au second tour. Jacques Chirac refusera même le débat. Vingt ans plus tard, l’hégémonie culturelle est tombée.

Comme en écho à cette situation bien française, l’arrivée du parti AfD, Alternative für Deutschland, comme seconde force politique en Allemagne et l’annonce dans son programme d’un plan en faveur de la remigration ont déclenché des manifestations massives dans le pays. (…)

Source : "Européennes : la droite identitaire allemande rebat les cartes", Libre journal du lundi soir sur Radio Courtoisie, animé par Romain Petitjean, 22 janvier 2024.
Retrouvez l'émission complète en podcast : https://soundcloud.com/institut-iliade/europeennes-la-droite-identitaire-allemande-rebat-les-cartes-radio-courtoisie-22012024

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Mai 2002. La gauche, divisée, a laissé l’ignoble arriver. À la télévision du second tour, en lieu et place du traditionnel duel entre les forces du PS et du RPR, c’est le visage de Jean-Marie Le Pen, candidat du Front national, qui apparaît aux côtés de celui de Jacques Chirac. Crédité de 17,4% au premier tour, le Menhir est loin de se douter que sa fille, vingt ans plus tard, dépasserait la barre des 41% dans un autre duel pour la présidence de la République française. Pourtant à l’époque, l’atmosphère ne laissait entrevoir pas un seul instant la popularisation des idées nationales : à l’instant même où Jean-Marie Le Pen est annoncé comme finaliste de l’élection, l’ensemble des forces politiques du pays appellent à la manifestation. Les rues de France se bondent pendant l’entre-deux-tours de démonstrations massives contre le FN ; contre Jean-Marie Le Pen ; contre la pensée des Français qui ont voté pour lui. Ces manifestations seront les incubatrices du logiciel de « barrage républicain », instaurant une alliance de facto entre la droite libérale et la gauche pour bloquer le FN quand il arrive, dans n’importe quelle élection, au second tour. Jacques Chirac refusera même le débat. Vingt ans plus tard, l’hégémonie culturelle est tombée.

Comme en écho à cette situation bien française, l’arrivée du parti AfD, Alternative für Deutschland, comme seconde force politique en Allemagne et l’annonce dans son programme d’un plan en faveur de la remigration ont déclenché des manifestations massives dans le pays. (…)

Source : "Européennes : la droite identitaire allemande rebat les cartes", Libre journal du lundi soir sur Radio Courtoisie, animé par Romain Petitjean, 22 janvier 2024.
Retrouvez l'émission complète en podcast : https://soundcloud.com/institut-iliade/europeennes-la-droite-identitaire-allemande-rebat-les-cartes-radio-courtoisie-22012024

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