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Ma thèse d'Investissement + Top liquidité en 2026 ?

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46min |04/10/2025
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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Les amis, bonjour à toutes et à tous, j'espère que vous allez très bien en cet épisode d'Investia du... On est vendredi 3 octobre donc il devrait sortir samedi 4 octobre 2025. Moi ça va très bien, vous vous demandez peut-être pourquoi j'ai cette tenue exiguë à savoir une capuche et une veste pour tourner un podcast La raison est très simple, ce n'est pas pour des raisons stylistiques, c'est pour des raisons de... On est en automne et qu'il caille sa race dans mes bureaux. Pourquoi il caille sa race dans mes bureaux ? Parce qu'en fait, je vous explique. On a des bureaux dans un petit endroit complètement paumé, qui sont des bureaux qui sont vraiment cools. On a 100 m², 3 pièces, cuisine et tout, genre les bureaux sont vraiment cools. mais en fait c'est... Un petit vieux qui a genre 90 ans, qui a passé sa retraite, il a acheté un immeuble et en fait toute sa retraite il les a rénovées. Dédé, si tu passes ici, Dédé ne passera jamais ici évidemment, que j'embrasse, qui est extrêmement sympa, mais qui a la fâcheuse tendance d'éteindre la chaudière. Et du coup, il y a toujours deux mois de latence entre, parce que je le vois pas souvent Dédé, des fois il passe et tout, il faut que je l'attrape un peu au vol quand je le vois passer. Mais il y a souvent deux mois de latence entre octobre et genre novembre où il fait un vrai 10 degrés dans les bureaux. Et sachant que je suis pas dans le sud de la France, il fait pas chaud du tout. Donc, donc, donc, Ikaï Saras. Mais bon, ça, ça endurcit le froid et bon pour l'humain. Mais voilà pourquoi je suis en veste, casquette et capuche pour ce podcast. J'espère que vous n'en tiendrez pas compte. J'ai commencé en me faisant une promesse, c'est que je ne mettrai jamais de costard pour paraître plus sérieux dans mes vidéos. Parce que forcément j'ai une tête de mec qui fait jeune. Je suis jeune, j'ai 25 ans, mais je fais même peut-être encore un peu plus jeune. Donc le fait de mettre des hoodies, des trucs à capuche, etc. n'aide pas, et surtout dans un milieu comme celui des cryptos ou de l'investissement, où c'est quand même assez old school, il faut montrer que tu as... que tu inspires confiance par ta magnifique cravate. J'ai décidé que j'en avais rien à foutre, et que je m'habillerais comme je veux. et que j'utiliserais d'autres moyens pour montrer que je peux être digne de confiance que simplement mettre une veste de costume. Je trouve le fait de devoir aller travailler avec un code vestimentaire absolument terrible, et évidemment les gens qui le font n'ont pas le choix pour la plupart. Mais bref, ça n'a aucun intérêt, vraiment, venez en short. Alors, anecdote, on va commencer le podcast, ne vous inquiétez pas. Anecdote, on a eu un stagiaire qui travaille avec nous qui s'appelle Antoine, Antoine, gros bisous si je te vois, premier jour, premier jour du stage, il arrive, petit polo, bien habillé, petit pull, je ne sais plus ce qu'il avait, petite jean, etc., genre vraiment, tu vois, le premier jour de stage, très sérieux, très sympa, bonjour, etc. Il a vu que ce n'était pas du tout le style de la maison, donc deuxième jour du stage. il arrive, maillot de Marseille, casquette à l'envers. Bon, le maillot de Marseille, c'est un débat, mais ça me plaît parce que ici, on ne travaille pas pour les apparences, on travaille pour essayer de montrer des belles choses. Bref, on y va pour ce podcast. Je vous rappelle le principe du podcast, c'est qu'on traite plein de petits sujets autour de l'investissement, mais pas que. Aujourd'hui, il y a à peu près 6 sujets pendant une trentaine de minutes sur les choses sur lesquelles je travaille ou je réfléchis. dans ma vie. J'ai vu pas mal de gens, enfin non pas pas mal, j'ai vu quelques commentaires dire oui il y a 50% de développement personnel et seulement 50% d'investissement. Oui c'est le but. Enfin c'est pas le but c'est juste que c'est les sujets que je, c'est vraiment les sujets que j'explore et donc j'ai toujours une base d'exploration d'investissement mais je ne suis pas passionné que par l'investissement et donc je vous partage juste les trucs qui me font kiffer pour voir un peu comment on évolue, investir assez plus tôt. le podcast où j'essaye de vous partager les choses qui me font évoluer pour que si jamais vous ayez des éléments qui vous plaisent, vous pouvez les prendre et les appliquer à votre propre vie. Donc forcément, il y a de l'investissement, mais pas que. Si vous êtes là pour un podcast extrêmement deep en crypto, allez voir ma vidéo de Cosmos de 45 minutes et après, on verra. Mais ce n'est pas l'objectif. Ce n'est pas l'objectif. Si vous voulez, vous avez des petites timelines dans la description de la vidéo ou du podcast si vous êtes sur Spotify. Vous pouvez passer les différents sujets en fonction de ce qui vous plaît, moi je vous recommande quand même de vous laisser porter. Si vous êtes en train de courir, en train de faire à manger, en train de faire quoi que ce soit, je vous souhaite bon courage et on y va juste avant de commencer. Si vous pouvez vous abonner si vous êtes sur YouTube et mettre un petit like ou... mettre 5 étoiles sur Spotify, vraiment ça prend 2 secondes. Je sais que c'est pas assez chiant à faire, mais ça prend 2 secondes. On y va, j'ai 6 sujets pour ce petit podcast. On va commencer avec un côté un peu investissement, sur la globale liquidité. La liquidité mondiale, global liquidity en anglais, c'est un truc que je regarde énormément en ce moment. Pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? En fait, la liquidité mondiale, c'est une analyse de l'ensemble des flux financiers dans le monde. Je l'ai répété plusieurs fois, je vais le redire encore, on est dans un monde qui est drivé par la dette. Allez voir l'évolution de la dette américaine, il y a des sites qui font ça en temps réel, on rajoutera peut-être ça vite fait au montage. C'est terrifiant, c'est terrifiant et on n'est plus dans un monde de production comme on était dans les années 2000. Dans les années 2000, c'était la production, donc les capitaux qui avaient été produits par l'économie qui représentaient la liquidité qu'il y avait dans le monde. Maintenant, ce n'est plus le cas. La liquidité est représentée par la dette. Pourquoi ? Parce qu'en fait, plus on a de dette, plus on est obligé d'avoir de la liquidité. Et c'est extrêmement logique parce qu'en fait, une économie, elle se mesure par la productivité, par l'évolution, etc. Le truc, c'est que le PIB, par exemple, il est souvent mesuré par rapport à la dette. PIB par rapport à la dette en pourcentage. Et si on voit que, par exemple, la dette représente une trop grosse partie par rapport au PIB, on se dit, ah putain, en fait, on est dans la merde. parce qu'on a trop de dettes et ça va être très compliqué. Et donc du coup qu'est-ce qu'on fait ? Pour foutre cette dette sous le tapis, on imprime, on imprime, on imprime. Comme ça on dilue et on peut dire non mais regardez, regardez la dette ne représente pas une trop grande partie de la liquidité, parce qu'on a imprimé comme des gros ports et donc forcément on a diminué le pourcentage. Et donc on est sur cette spirale infernale. Je vous rappelle une chose, c'est que les monnaies fiduciaires sont par nature vouées à aller à zéro. Et c'est pas un move d'anarchiste ou politique, c'est par nature mathématique, les monnaies fiduciaires sont vouées à la zéro. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les banques centrales, dans leur mandat, c'est littéralement leur mission de diluer la monnaie. Pourquoi ? Parce qu'elles visent une inflation d'à peu près 2% par an. Une inflation de 2% par an, ça veut dire que tous les ans, on ajoute plus ou moins, c'est souvent plus que moins, 2%. de liquidités et de masse monétaire mondiale. En plus de ça, si on prend par exemple les gros événements qu'on a eu dernièrement, la crise de 2008, le Covid, au Covid, on a imprimé 40% de la masse monétaire mondiale. Et donc en fait, si vous regardez, si vous allez sur TradingView et que vous prenez n'importe quelle monnaie fiduciaire, et vous mettez la charte sur genre 50 ans, vous allez voir que ça tend vers zéro, on dirait vraiment un shitcoin. Le principe des monnaies fiduciaires, c'est ça, c'est d'aller à zéro parce qu'on les dilue, on en imprime toujours, toujours, toujours, toujours, toujours. Et donc j'insiste sur ça, en tant qu'investisseur, c'est vraiment la base, protéger l'argent que vous avez gagné en le plaçant de manière à ce qu'il ne se fasse pas démonter par ces taxes cachées qu'est l'inflation. Et j'insiste sur ça, et c'est pas des paroles en l'air, c'est pas de la politique, c'est simplement que c'est la réalité. Comment on fait ça ? On le place dans... des actifs qui sont anti-inflation, c'est assez simple, le S&P, l'or, l'argent, le Bitcoin, ce que vous voulez, mais ne gardez pas tout votre cash en dollars ou en euros par pitié. Bref, la liquidité mondiale, pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? Parce qu'en fait, il y a beaucoup de gens, je ne sais pas si vous avez vu, qui utilisent la M2. La M2, c'est la masse monétaire. La masse monétaire, c'est un peu, tu prends une photo de l'économie ou de la rivière à un temps réel, et tu vois la cascade et tu te dis, ah ok, il y a une cascade, ok, ça avance. La liquidité mondiale, c'est plus une mesure beaucoup plus dynamique, parce qu'elle dépend de quatre éléments. Elle dépend de la Fed, elle dépend de la Banque de Chine, elle dépend de la volatilité, elle dépend du dollar. Et en fait, la liquidité mondiale, c'est plus, on mesure le débit du courant dans la rivière. La M2, on prend une photo de la rivière. Sauf que... il y a une énorme différence. Regardez cette charte. On voit la Global Liquidity en blanc et la M2 en jaune. Pour ceux qui sont sur Spotify, on voit, regardez l'espace vert là, vert et rouge à droite. À un moment, la M2 augmente, mais la Global Liquidity diminue. Pourquoi ? Parce qu'en fait, la M2 est comprise dans la Global Liquidity. En fait, la M2... Elle reflète la santé économique d'un pays. On dit la M2 américaine. Alors que la Global Liquidity, elle mesure la facilité de financement mondial, qui est généralement absorbée par le marché financier. Ce que je veux vous dire, c'est qu'il faut suivre la Global Liquidity et non pas la M2, parce que c'est beaucoup plus précise. Et on le voit là, on a une divergence, c'est-à-dire que les deux se suivent la plupart du temps, mais pas tout le temps, notamment ici où la Global Liquidity a baissé alors que la M2 a augmenté. Et en fait, si on regarde sur ce moment-là, Ce qu'on veut vérifier avec cette divergence, c'est si Bitcoin suit toujours bien la tendance de la globale liquidité. Et oui, Bitcoin ne suit pas vraiment la M2, il suit la globale liquidité. Et c'est vraiment extrêmement important. Pourquoi la M2 a augmenté alors que la liquidité n'a pas augmenté ? C'est assez simple, je vous ai fait un petit document ici. En fait, ce qui s'est passé, c'est beaucoup derrière le rideau. A savoir, on a eu un QT, donc un Quantitative Tightening de la Fed et de la BCE. les banques centrales ont continué de réduire leur bilan, donc elles ont plus ou moins retiré de la liquidité. La banque de Chine a arrêté d'imprimer, ou en tout cas ralenti son impression, et le TGA, le compte général du trésor, a pris des liquidités hors du système. Donc on a retiré de l'argent. Sauf que ça, avec la M2, on ne le voit pas. Mais si on regarde Bitcoin, est-ce qu'il a suivi la globale liquidité ou la M2 ? Il a suivi la globale liquidité. Voilà pourquoi je travaille autant avec la globale liquidité, et voilà pourquoi vous me voyez dans les vidéos faire chier avec ça. Parce que c'est hyper, hyper important, beaucoup plus que la M2. Il faut suivre la liquidité pour comprendre où vont les dynamiques de marché. Voilà pourquoi la M2 est importante, mais la liquidité l'est encore plus. Et voilà pourquoi je suis autant la liquidité. Pourquoi peu de gens le font ? Tout simplement parce que l'indicateur blanc que je vous montre de Global Liquidité, c'est le mien. Et que la plupart des gens, je ne sais pas du tout pour paraître hautain ou quoi, mais la plupart des gens sur les... Les réseaux ne savent pas comment est faite la global liquidité, donc ils n'ont pas la capacité de créer un indicateur qui est fiable par rapport à ce qui se passe, et donc ils s'appuient sur la M2 qui est un petit peu plus simple. Voilà, c'est juste ça, mais je pense que la global liquidité est beaucoup plus simple. D'ailleurs si ça vous intéresse, je fais pas mal de suivi de la global liquidité sur ma chaîne YouTube, mais j'en fais aussi beaucoup plus sur Crypto Recherche où toutes les semaines je fais un suivi de la liquidité. parce que j'estime que c'est extrêmement important. Donc si ça vous intéresse, si vous voulez suivre un petit peu où ça en est un peu plus en détail, comprendre comment ça marche, allez faire un petit tour sur Crypto Recherche. J'adore le sport. J'adore tout ce qui tourne autour du sport de haut niveau. Et honnêtement, je suis extrêmement admiratif des sportifs de top top niveau qui arrivent à rentrer dans un niveau de contrôle et de gestion des émotions qui est absolument inhumain. Donc forcément, j'aime bien lire des trucs sur la psychologie de la performance. Et en vrai, même si vous n'aimez pas le sport, c'est une discipline qui est tellement compétitive, le sport de haut niveau, peu importe le sport, qu'en fait la différence se fait sur des détails. Et du coup, ce qui est très intéressant, c'est que les gens qui travaillent sur cette optimisation, ils vont décortiquer les détails pour les optimiser. Et ça, je trouve ça très beau parce que du coup, ça donne des informations qui sont assez belles. Et j'ai trouvé une loi qui s'appelle la loi de Yerkes-Dodson. Je ne sais pas si ça vous parle. la loi d'Hierkesdotson elle parle du fait qu'en fait il y a une relation très proche entre le stress et les performances. Le bon vieux DM de philo que tu fais la veille à 22h, sauf qu'en fait, t'es tellement stressé, parce que tu dois te bouger le cul, que t'es un monstre. Je sais pas si ça vous parle, déjà le mot DM est terrible, ça date, le lycée, mais t'arrives à 22h et tu te dis, putain, faut que je fasse ma 10h de philo, et en fait, tu torches le truc parce que t'es tellement fort, parce que t'as pas le choix, c'est demain, il faut que tu sois bon. Et en fait, Un certain niveau de stress est favorable à la performance jusqu'à un certain stade. C'est ça la loi de Yerkes-Dutton. Quand il n'y a aucune pression, on tombe dans une espèce d'ennui qui nous pousse à ne pas être performant. Il fallait me voir à la BU en septembre pour comprendre. En fait, quand tu fais tes partiels en décembre et en mai, tu dois valider tes partiels. Quand tu es à la fac, tu as des partiels à valider en décembre et en mai. Mais le reste du temps, la fac, elle te fout la paix. Et donc, des fois, tu vois, t'es plein de bonne volonté, t'arrives en septembre ou en octobre à la bibliothèque, tu te fais un grand plan, tu te dis, vas-y, je vais prendre de l'avance et tout, et t'es à la biblioth��que comme ça, et en fait, tu branles absolument rien, parce qu'on est en septembre et que t'as aucune pression. La pression aide à être performant. Ensuite, un certain niveau de stress, un certain niveau d'activation cérébrale va faire monter la performance. Mais ça, jusqu'à un certain niveau, où trop de stress est néfaste. Ça crée de l'anxiété, ça démonte la performance. Par exemple, si tu dois... Si tu as ta thèse que tu dois faire en une nuit, tu peux être absolument trop stressé et te figer. Quand tu as trop de niveau de stress, c'est pas bon pour la performance. Peut-être même des compétitions qui sont trop stressantes. Il faut que ça soit assez logique. Et du coup, ça donne cette charte. Si vous êtes sur... sur YouTube de ce que j'appelle, enfin c'est pas moi qui l'appelle, mais ce qu'on appelle la loi de Yerkes-Dodson. Et donc il y a plein de choses à tirer de ça. Première chose, la pression est un carburant. Donc se mettre soi-même dans des niveaux de pression qui sont volontairement un tout petit peu élevés permet d'être plus performant. Ça peut être un entraînement un peu plus dur, ça peut être aller s'entraîner avec quelqu'un qui est un peu plus fort que soi. Une deadline pour finir quelque chose. essayez de mettre un peu de compétitivité Genre quand on travaille sur quelque chose, dire à son pote, ok vas-y, on essaie de faire le meilleur truc et après on s'échange pour se donner des feedbacks. Juste un petit peu de pression en plus, ou quand tu travailles, tu sais qu'il y a une conséquence si jamais tu ne travailles pas de manière assez optimale. La pression est un carburant. Ensuite, il existe une sorte de sweet spot, une zone dans laquelle on est optimaux, avec un niveau de pression suffisant qui nous permet d'évoluer à notre prime. C'est la zone vraiment où on est dans ce qu'on peut appeler le flow. Le flow, c'est un peu ça. C'est le niveau où on est assez stimulé, assez sous pression, mais pas trop stressé, et du coup, on est dans la zone parfaite pour performer. Autre chose, c'est qu'on peut augmenter sa zone optimale en faisant des petits efforts permanents qui nous sortent juste un tout petit peu de notre zone de confort pour venir l'élargir. En ce moment, je fais des recherches sur un mec qui s'appelle Alex Honnold qui fait du free solo, c'est-à-dire de l'escalade en falaise à 700 mètres de haut, sans cordes. Et donc c'est un truc de malade, tu vois le truc, tu te dis mais pourquoi il fait ça ? Et en fait lui il explique que oui tu vois la vidéo du mec qui monte à 700 mètres de haut, mais en fait c'est parce que tous les jours il a fait un truc un peu plus dur que le jour d'avant, et petit à petit il a élargi sa zone de confort jusqu'à ce que ça devienne ça, sa zone de confort. Mais c'est parce qu'il y a tout ce travail derrière. Autre chose c'est que vouloir se mettre trop en stress ne marche souvent pas, et la différence dans certaines situations de stress extrême... se fait par ceux qui arrivent à mieux rester dans leur zone de génie de performance, donc à redescendre cette pression. Jouer un tie-break, prendre une décision d'investissement importante en crise, il faut un niveau de stress plus bas, donc utiliser des techniques de respiration, une routine du calme, de la préparation. Un truc qui est vraiment réel, c'est que la grosse différence entre les investisseurs, elle ne se fait pas sur les 95% du temps où on est dans des ranges, ou alors on a des montées ou des petites descentes, elle se fait sur les 5% du temps. extrême, que ça soit à la hausse ou à la baisse. Donc les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones d'euphorie, quelle va être ta décision ? Et les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones de peur, des crashs, FTX, 2008, etc., quelle va être ta décision ? En vrai, c'est juste ça. Si t'as d'acheter au crash du mois de... C'était quand ? Avril ? Du mois d'avril, 8 avril, un truc comme ça ? Ou mars ? Non, avril, je crois. 8 avril, si t'achètes à ce moment-là, t'as une décision énorme à faire sous pression, parce que c'est... des moments où tu es dans des niveaux émotionnels et de pression qui sont assez hauts, et c'est là qu'il faut réussir à prendre des bonnes décisions rationnelles. Et tout ça se travaille, et les grands sportifs travaillent ces moments-là. Ce n'est pas que tu t'élèves au moment de briller, au moment de performer, tu ne t'élèves pas, tu restes à ton niveau moyen. Et donc si tu n'as pas travaillé cette zone de génie et cette zone de résistance au stress et la façon dont tu vas prendre action, tu vas arriver là, tu vas te figer ou tu vas prendre de mauvaises décisions. Et c'est dans ces moments-là que c'est important. Et donc c'est vraiment extrêmement important à faire. J'ai écouté un podcast de Georges Saint-Pierre, qui est l'un des plus grands combattants de MMA de l'histoire, et qui est un mec que je trouve extrêmement inspirant, qui disait ça, que tu ne montes pas de niveau pour l'occasion. Tu es à la moyenne de ce que tu as fait pendant la dernière année. Et c'est pour ça que plein de petites actions vont avoir une différence sur ces fameux 5%. Les actionnables, ça peut être quoi ? Ça peut être s'exposer un peu plus à la pression, demander un feedback à quelqu'un. Quand tu as un truc à faire en 6 heures, s'exposer à ça et mettre 3 heures au lieu de 6 et se dire, OK, quand tu dois parler en public, essaye de tenter une petite vanne si tu dois parler en public. Des petits trucs à la con, tu vois, mais juste monter, monter, monter un peu sa résistance à la pression. Travailler aussi ce qu'on appelle le sweet spot, c'est-à-dire la zone de performance. Que ça soit à la hausse ou à la baisse, quand on sent qu'on l'a dépassé dans des situations de stress, essayer un peu de l'identifier, de visualiser comment on aurait pu agir différemment. Moi, j'ai fait plein de matchs de tennis, je parle beaucoup de tennis, mais je suis zéro au tennis, je suis nul. Mais j'ai fait pas mal de matchs de tennis où le tennis, ça te prend les émotions, et des fois, tu perds le fil, mais tu n'as plus rien, tu vois, parce que j'avais dépassé cette zone-là. Et après, j'ai essayé de me dire, bon, OK, comment j'aurais pu faire un peu des choses différemment, tu vois. comment, j'aime pas cette phrase parce que ça fait très développement personnel mais comment act... ton cerveau. Ensuite, essayez de pratiquer ce qu'on appelle Le progressive over-road mental, chaque semaine, ajouter un petit confort pour élargir sa zone de confort, je pense que c'est important. Essayer de se relâcher, de fractionner l'objectif et surtout se préparer en visualisant les différents scénarios possibles. C'est ça qui fait vraiment une énorme différence et surtout dans les 5% d'investissement. On a parlé des 5% d'investissement. Là, la différence est énorme dans ça. Michael Phelps qui est le plus grand athlète de l'histoire du sport, tous les jours, il visualisait tous les scénarios possibles qu'il pouvait se passer pendant genre une heure. Tous les jours. Tous les jours. Depuis qu'il a 12 ans. Donc en fait, il est arrivé à 20 ans et quelques au JO. Je crois que c'était le 200 mètres papillon. C'était en 2008 quand il a tout gagné là. Et en fait, ses lunettes se remplissent d'eau pendant le 200 mètres papillon. Ou le 100 mètres papillon, bref, on s'en fout. Ses lunettes se remplissent d'eau. Et des nageurs un peu moins expérimentés, ta course, elle a fini. parce que tes lunettes sont remplies d'eau Tu paniques un peu, t'es moins efficace, t'essaies de regarder, bref. Lui, il avait déjà visualisé ce scénario, il s'est ajusté, il a dit, ok, je sais, j'ai déjà pensé à ce que je ferais dans cette situation, et il a agi, et il a gagné. Et ça, c'est beau. Ah, celle-là, elle est belle. On retourne du côté investissement. Ma grosse thèse sur 2025-2026. Celle-là, c'est un truc que je vais beaucoup utiliser dans mes vidéos YouTube, et aussi sur Crypto Recherche. Donc vous l'avez là en avant-première sur ce podcast. C'est ma thèse pour 2025-2026. Donc je vous ai parlé de la liquidité. Avec toutes les recherches que j'ai faites sur la situation économique et de liquidité mondiale, je pense que l'année 2026 va marquer un sommet de la liquidité mondiale. Pourquoi et quelles sont les conséquences ? Déjà, pourquoi est-ce que je pense ça ? Après, je vous explique ce que ça implique. Pourquoi je pense que le 2026 va marquer un sommet de liquidité mondiale ? Pour quatre raisons. La première raison, c'est qu'on a une croissance économique qui est prévue d'à peu près 3%. Pas de récession dans les principales zones, donc on est dans un schéma propice à une hausse de la liquidité. La deuxième chose, c'est qu'on arrive en 2025, 2026, 2027 dans ce qu'on appelle un mur de refinancement. Dites-vous qu'en fin d'année 2025 et en 2026, il y a 10 trillions de dettes qui arrivent à maturité. Donc 36% de la dette mondiale qui arrive à maturité. Donc 36% des collatéraux arrivent à leur valeur maximale. Donc on va avoir un refinancement énorme de la dette. Et plus on se rapproche de la maturité des dettes, plus on a de la liquidité qui est élevée. Parce que la décote de ces collatéraux va être un peu plus faible. Bon c'est un peu technique. En gros, je vous prête mon vélo. Je vous prête mon vélo et je te dis, bon, je te le prête, mais c'est 200 euros de caution. Et tu me dis, ok, je te le rends dans 5 ans. Je vais dire, comment ça dans 5 ans ? Mon vélo, il vaut 1000 balles. Tu me le prends 5 ans, ben non, c'est pas 200 euros de caution, c'est 2000 euros de caution. Et si tu me dis par contre, ok, mais vas-y, je te le rends dans 2 jours, je vais dire, ah ben c'est bon, c'est 200 euros de caution, 100 euros, tu vois. Là, La caution que je vais demander va dépendre de si on est proche ou pas de la maturité. Si la maturité est dans deux jours, ce n'est pas pareil que si la maturité est dans deux ans ou cinq ans. Et donc, puisqu'énormément de prêts entre les banques se font avec des bons du trésor en collatéraux, en caution, plus ces bons du trésor arrivent proches de leur maturité, moins on va demander de prix supplémentaires, ce qu'on appelle une décote sur tout ça. Et donc ? Vu que l'argent, la liquidité est créée en partie via les crédits, ça va avoir un impact sur la liquidité mondiale parce qu'on aura plus de création monétaire à partir du moment où les dettes arrivent proches de maturité. Voilà pourquoi je pense que la liquidité va augmenter aussi. Ensuite, on est dans une politique monétaire qui est accommodante. On l'a vu, il y a des emplois qui ont été revisités. On croyait qu'il y avait 50 000 emplois qui avaient été faits je crois au mois d'août ou septembre. je crois que c'est mois d'août, et en fait on est à moins 3000, donc il y a eu des erreurs, en tout cas des valeurs qui étaient fausses, donc potentiellement l'économie est dans une situation pire qu'on ne le croit, et donc la Fed va baisser les taux avec beaucoup plus d'agressivité, donc on a eu 110 baisses des taux en 2025, dans toutes les banques, dont les principales zones, la Chine, les Etats-Unis, la Fed, etc. 2025 est la quatrième année. en nombre de baisses des taux. C'est une année propice à l'économie, c'est une année qui est en train de set-up quelque chose, même si 2025 est un peu puant pour les cryptos et pour l'économie. Et on a une hausse du plafond de la dette américaine qui va créer tout ça. Et donc je pense que 2026 va marquer un sommet dans la liquidité mondiale. Parce qu'on a plein de facteurs qui sont en train de se mettre en place. Donc comment est-ce qu'on s'ajuste ? On s'ajuste en étant positionné sur les actifs de qualité. Et je pense que du coup 2026 sera une belle année. Qu'il va falloir prendre des profits parce qu'on peut avoir des mouvements paraboliques. Et oui je le dis, et oui je sais, les gens n'aiment pas à quand. Les youtubeurs disent ça parce que la plupart des gens disent ça un peu n'importe comment et parlent de phase parabolique. Si vous regardez, je parle très peu de phase parabolique, d'alcool in season, etc. J'ai toujours un peu la même thèse de top de marché en fin d'année 2025, voire début 2026, ça fait longtemps que j'ai ça. Mais je pense que 2026 va marquer aussi un top pour les marchés financiers. Et que 2027-2028 peut être un peu pourri, voire bien pourri. Donc prendre des profits et savoir se préparer à ça. C'est quelque chose qui est très important. On a vécu, dans ce qui représente les 15 dernières années de notre vie, une période extrêmement historique de bullrun permanent. Et ça ne durera pas indéfiniment. Voilà, c'est tout ce qu'on peut dire, ça ne durera pas indéfiniment. Et donc, ça fait du sens qu'après l'expiration de toutes ces dettes et le renouvellement de toutes ces dettes, on puisse avoir une sorte de reset. qui ne soit pas non plus exceptionnel pour les marchés financés. Petit aparté, j'ai relancé le Discord E-REAL avec un nouveau channel Investia qui a été dédié. Donc si jamais vous voulez discuter des sujets qui tournent autour d'Investia, ce ne sont pas forcément les sujets que je parle, mais les différents topiques, que ce soit économie, crypto, développement personnel, nutrition, sport, machin, description. Vous êtes sur le Discord et vous dites bonjour, il vous faut une petite présentation de vous si vous en avez envie, et vous pouvez discuter. Allez-y, allez faire un tour parce que je vais essayer d'être actif sur ce Discord, juste pour envoyer, faire des petites discussions. Et si on a une petite communauté d'une cinquantaine de personnes minimum, même si on peut être beaucoup plus, je sais qu'on est beaucoup plus, faites-le. Et si vous en avez envie, allez vraiment faire un tour, je vais juste voir si on a de l'engouement ou pas, s'il y a suffisamment d'engouement. Pourquoi pas regarder pour créer un jour des challenges tous ensemble, je sais pas, se péter un marathon ensemble avec le... la commu, faire des petits space discord où on discute tous ensemble, ça pourrait être sympa. Ça, ça va vraiment dépendre de s'il y a de l'activité ou pas sur ce channel. C'est gratuit, évidemment. Ensuite, on change totalement de sujet. Brûler les bateaux. Je fais juste une petite parenthèse. J'ai vu un commentaire intéressant sur quelqu'un qui disait mais pourquoi... Parce que je parle beaucoup de productivité, de performance, etc. Et je vous rappelle que, en fait, le commentaire, c'était... Oui, est-ce qu'on est toujours obligé de vouloir performer, performer, et produire, et être productif, machin ? Je vous rappelle que ce que j'ai écrit, ça s'applique parce que j'ai envie, à ce moment de ma vie, d'être performant, d'être productif, machin. Mais vous faites bien ce que vous voulez, d'accord ? C'est juste la façon dont moi je vois les choses. Et du coup, si vous êtes dans le même état d'esprit et que vous avez envie de performer, de vous développer en tant qu'être humain, ça peut être utile selon moi. Mais après, chacun a ses objectifs de vie qui sont totalement différents. Et d'ailleurs, votre vision est toujours très intéressante dans les commentaires. Brûler les bateaux. Une métaphore que je trouve très puissante, c'est celle des bateaux vikings. Il y a une légende qui dit, alors je ne sais pas si c'est vrai, que quand les vikings allaient aborder une nouvelle ville, en Angleterre ou je ne sais pas où, souvent ils faisaient bien chier les anglais, ils arrivaient en bateau et avant d'aller se battre, ils brûlaient leurs bateaux. Comme ça, il n'y avait que deux issues, la mort ou la victoire. Ils ne peuvent pas juste arriver et se dire « Ah putain, c'est dur, merde, on a froid. » on n'a pas à manger et tout, on passe de nuit un peu pourri à se battre, et bon allez, vas-y, demi-tour. Et on abandonne. Non. C'est soit ils se battent, soit ils meurent. Enfin, ils se battent, soit ils meurent, soit ils gagnent, plutôt. Et cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante. On peut l'utiliser dans plein de sphères de notre vie. Quand j'ai commencé les vidéos, je vais vous faire une confession, j'étais pas si fort. Je faisais des analyses de projets, et quand on voit la vidéo, on se dit, oh putain, ok, il est chaud, il connaissait son sujet. la réalité c'est qu'il y a plein de notions que j'expliquais, que je venais d'apprendre, parce que c'était très technique en fait, comment tu veux expliquer le proof of history de Solana, ou la notion de DAG, de D-A-G sur Fantôme, de registre distribué, quand tu n'as pas fait d'informatique ou de code. Sauf que la différence c'est que le fait de faire la vidéo sur le projet, en montrant ma tête, ça m'obligeait à suffisamment comprendre le fonctionnement d'une tech, d'un protocole ou autre, pour être capable de l'expliquer en vidéo. J'avais pas le choix en fait, parce que après je montrais ma gueule derrière en vidéo en train de parler d'un truc, et il fallait pas que les gens voient que je maîtrise pas le sujet, donc pour contrer ça j'étais obligé de brûler les bateaux. Et ça c'est la version extrêmement soft de brûler les bateaux, d'accord ? Mais si on regarde plein d'histoires de gens qui ont vraiment réussi... il y a de fortes chances qu'ils aient brûlé les bateaux une fois dans leur vie de manière très drastique. Exemple qui est un peu plus puissant que se forcer à faire une vidéo, Francis Ngannou. L'ancien champion de l'UFC, qui fait de la boxe maintenant. Il vient du Cameroun, dans un village archi-pauvre. Un jour, quand il avait 18 ans, il a dit, c'est bon, ça me saoule, c'est bon, l'Afrique, je vois pas d'opportunité, je peux comprendre cette réflexion. Il est d'un tout petit village, bref. Il dit, je vais en Europe, je vais devenir champion du monde de boxe. Je n'ai jamais fait de boxe, j'ai 18 ans. Ok, bah vas-y. Il est parti, tout seul, à pied. Sans passeport, sans argent, il a traversé plein de frontières illégalement. Il a passé, je dis pas de conneries, plus d'un an à vivre dans la forêt, entre je crois que c'était le Maroc et l'Espagne, du coup pour aller en Europe. Et en fait il est enfin arrivé à Paris au bout d'un an et demi de déplacement. Et quand il est arrivé à Paris, il savait pas faire de boxe, du coup il dormait dans un parking. Il a demandé au gars de la salle s'il pouvait dormir dans la salle. Le coach a accepté et derrière il avait pas le choix de s'entraîner suffisamment. pour devenir champion, parce que c'était littéralement sa survie qui en dépendait. Et ça, c'est brûler les bateaux. Ça, je trouve ça très puissant, très, très, très... Je sais pas, il y a une sorte de loi de l'attraction qui se met en place quand tu fais ça. Est-ce que s'il avait pris des petits cours d'économie en parallèle à la fac, et qu'il avait le choix de prendre un petit job de bureau au lieu de s'entraîner et d'aller se battre, il serait quand même devenu champion ? On sait pas, mais... Quand même. Et je suis persuadé que pour vivre la vie qu'on veut, on n'a pas vraiment le choix, à un moment ou à un autre, d'être un peu extrême et de brûler les bateaux pour se concentrer à 100% sur ce qu'on fait. Et je trouve qu'il y a un côté hyper épique à ça. Et je l'ai remarqué quand j'ai arrêté les études. Bon, il y a toujours les gogoles qui me diront « Oui, t'as arrêté des études pour faire des vidéos, c'est débile. » Ouais, si tu veux. mais la différence entre quand j'étais à la fac en 50-50 et que j'ai arrêté, enfin j'ai pas vraiment arrêté, j'ai eu mon diplôme et que je suis passé full time et que ma vie était est-ce que mon business marche ou pas est-ce que je vais pouvoir continuer quand je suis passé full time la différence dans ma disponibilité et dans le fait de ma façon de réfléchir et la différence était folle parce que j'avais plus de parachute j'avais plus de au pire j'ai quand même un plan B vas-y je suis pharmacien et du coup mon business marche vraiment bien depuis ce moment là Merci. Parce que ma différence de disponibilité est mieux. Et je trouve qu'il y a un côté très épique à brûler les bateaux. Je ne vous dis pas d'arrêter vos études pour faire des vidéos, d'accord ? Mais juste, je pense que parfois, il faut savoir être un peu extrême dans sa vie et tenter des choses. Et je vois beaucoup de gens qui me disent « Ouais, en vrai, j'hésite à faire une pause dans mon taf pour lancer ce projet. » Et je sais plus qui disait ça mais j'avais trouvé ça puissant. Que en fait quand tu as une décision à prendre. Tu prends la décision. Tu prends toujours le chemin qui est le plus épique. Quel est le chemin le plus épique ? Bon c'est un peu extrême mais je trouve ça fou. Tu vois ? Ok bah en vrai vas-y. Tu vois vas-y tente. Fais une pause de un an. Galère un peu pendant un an. Et essaie de développer ton jeu vidéo, ta chaîne YouTube, ton livre peu importe. Parce que en vrai déjà c'est quand même... puissant, forcément t'apprends des choses, il n'existe pas de cas zéro où genre il n'y a zéro zéro conséquence positive pour toi. Genre ça peut ne pas marcher ton livre, mais après écrire un livre tu auras pris des contacts chez un éditeur, peut-être que tu vas en faire un deuxième, peut-être que celui-là va marcher et que tu vas pouvoir se développer et qu'au bout d'un moment tu seras moitié écrivain, moitié dans ton taf tu vois. Mais c'est hyper puissant et souvent quand j'ai des décisions comme ça Je me dis, est-ce que quand j'aurai 80 ans sur mon lit de mort, qu'est-ce que je me dirais qui a été une bonne décision ou pas une bonne décision ? Est-ce que j'ai envie d'avoir 80 ans et de me dire, ah putain, j'aurais peut-être pu faire ce truc avec YouTube et vivre de ma passion et avoir l'équipe que je veux, mais bon, j'ai choisi la sécurité, d'avoir mon diplôme et de travailler dans mon taf que je n'aime pas trop. Ben non, ben non. Et encore une fois, c'est ma vision. et si vous n'avez pas la même vision, il n'y a aucun problème, mais j'aime bien cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante, et après chacun peut l'apprendre dans son dans les circonstances qu'il veut, il y a plein de circonstances différentes mais c'est très puissant on retourne du côté investissement il y a un commentaire de Victor Barallier bonjour à toi, merci pour ton com Victor qui disait, qui posait une question que je vais vous lire Est-ce qu'après un possible top de marché vers début 2026, on entrera dans un bear market comme les cycles précédents ? Est-il théoriquement plus rentable de vendre en période de surchauffe ou hold jusqu'au prochain halving ? Ça, c'est la question qui revient tout le temps. Et là, il y a un truc qui revient tout le temps aussi, qui est en train d'arriver. C'est le fameux, il n'y aura plus de bear market, le cycle est différent. Mais c'est fou comme les choses évoluent toujours de la même façon. Je n'insiste, j'insiste sur une chose, je n'ai pas de boule de cristal. Ça se trouve, il n'y aura pas de bear market et les choses seront différentes. Pour moi, pour moi, il y aura un bear market. Et pour moi, penser que ça ne baissera plus est souvent un signe qu'on arrive dans une dernière phase de marché hyper importante. En vrai, cette réflexion se fait plus pour Bitcoin. Et Bitcoin, je peux comprendre. Ma thèse, encore une fois très personnelle, je pense que Bitcoin baissera comme il l'a toujours fait. Peut-être un peu plus tard, peut-être un peu moins fort, ouais. Mais on referme à Bitcoin à 70-80K. J'ai pas envie de dire, j'en suis sûr, mais je pense fortement. Il n'y a rien, que ce soit dans les datas, l'analyse, etc., qui montre que la structure bullrun bear market a changé sur cet aspect-là. Je dis pas le cycle de 4 ans, je dis bullrun bear market. Par contre, il faut séparer Bitcoin du reste. Bitcoin baissera, mais les mouvements seront moins violents. Il y aura une vision un peu plus long terme des investisseurs, même si on disait pareil en 2021. Par contre, côté Alcoin, on peut être sûr qu'ils vont se faire ouvrir. Et c'est historiquement plus rentable de prendre des profits très graduels dans la montée que de holder un token un peu obscur jusqu'au prochain cycle. Parce que imaginez s'il a... Qu'est-ce qui a explosé au dernier cycle ? Chilizé. En 2020 ou 2021, le truc a explosé. Vous avez fait x10 sur Chiliz, vous vous dites putain. Et vous posez la même question que Victor. Est-ce que je dois rester sur mes investissements ou pas ? Vous dites non, vas-y, je hold Chiliz. Parce que c'est dur à visualiser maintenant, mais à l'époque, c'était vraiment, on se disait c'est big. Je hold Chiliz jusqu'au prochain cycle. Bah là, c'est dans les tréfonds de CoinMarketCap. Il y a de fortes chances pour que vous ayez vendu parce que c'était trop dur à faire. Et il ne faut pas négliger la violence d'InverMarket, sincèrement. Donc... je recommande vraiment aux gens qui sont dans ce schéma pardon j'ai mon téléphone qui sonne je sais pas pourquoi ok une alarme qui s'est activée c'est bon que je recommande vraiment aux gens pour qui c'est le premier bullrun de ne pas négliger la violence d'un bear market parce qu'en fait j'étais là quand Solana était à 7 dollars j'étais là quand Bitcoin était à 15 000 c'est vraiment violent genre c'est pas en mode on sait que ça va remonter il y a cette cette peur ambiante, et en plus il y a des altcoins qui remontent pas. Atom, Polygon, Chiliz, il y en a plein. Donc non, sincèrement, en tout cas moi dans ma stratégie, je pense que c'est utopique de penser que les altcoins baisseront pas. Même si j'adore Solana, j'adore Shining, Bitensor, ils seront sûrement fortement défoncés au prochain bear market. D'ailleurs, pendant que j'y pense, si ça vous intéresse, il reste quelques places pour des petits accompagnements. En gros les accompagnements, c'est vous m'envoyez un petit mail sur le mail qui est en description. Si vous avez des besoins sur votre stratégie, votre prise de profit, vos prises de position, etc., je ne fais pas de conseil en investissement, d'accord ? Je ne vous dis pas dans quoi investir. C'est plus pour la structuration globale de votre portefeuille. Donc vous m'envoyez un petit mail et après, je fais des sessions des fois de 30 minutes, voire une heure, voire deux heures avec les gens qui en ont besoin pour ça. Et il reste quelques petites places, donc si ça vous intéresse, envoyez-moi un petit mail. Dernier sujet, les amis, ça fait quand même 40 minutes qu'on est là. J'espère que vous passez un bon moment. Dernier sujet, dernier sujet, dernier sujet, c'est celui-là. Il y a des sujets... Alors, le titre de ça, c'est apprendre quelque chose. Je vous remets le contexte. En ce moment, je suis en train d'apprendre l'anglais pour faire des vidéos YouTube en anglais. Comment te dire que... Bah, la tâche est quand même un peu désagréable. Enfin, un peu pas désagréable, parce que c'est agréable d'apprendre l'anglais, mais technique. Et du coup, je suis en train de tryhard l'anglais. Et il y a des sujets où tu te dis ça serait très stylé de les apprendre. mais la montagne est tellement haute que souvent on se fige et on ne sait pas par où commencer et ça me l'a énormément fait et au final je me figeais moi-même sans avoir même essayé ou alors en ayant regardé les mauvaises choses et en ce moment du coup je suis en train d'apprendre l'anglais et apprendre une langue c'est exactement ce syndrome la montagne t'es en mode comment je fais ça par où je commence pour que ce soit efficace avec moi mais pas trop simple, pas trop dur j'étais un peu voilà, c'est dur et Justement, j'ai vu un TEDx Talk, des TEDx Talk c'est vraiment stylé, que je vous montre en description, d'une femme qui apprend une nouvelle langue tous les deux ans, tous les deux ans pardon, qui doit en parler maintenant une dizaine de langues, et qui décortique du coup comment exactement on fait pour apprendre une langue, et je pense que ça marche pour tout ce qu'on veut apprendre dans la vie. En fait pour elle, il y a quatre piliers principaux. Le premier pilier c'est la méthode, comment on procède, est-ce qu'on a un prof qui nous donne des cours, est-ce qu'on pratique énormément, est-ce qu'on relie nos fautes. Avoir une méthode propre c'est obligatoire. Parce qu'en fait, si tu veux apprendre l'anglais et que t'as pas de méthode, bah tu vas naviguer entre différentes approches et tu seras pas efficace. Donc avoir une méthode propre qui n'est pas la méthode optimale, mais qui est propre, c'est-à-dire qui est bien déterminée, c'est hyper important. Petit tips pour ça, la pratique à fond, même quand on n'est pas prêt. Et si on a les moyens, payer pour avoir quelqu'un qui peut nous apprendre des choses et qui sait nous apprendre des choses, qui peut nous suivre et ça va nous faire gagner énormément de temps. J'ai des gens qui me suivent du coup dans l'anglais maintenant. Et la différence est folle avec quand j'étais tout seul, sincèrement. Alors, juste sur la méthode, la plupart des gens en ont une. Je pense que souvent, ça manque énormément de pratique parce que c'est souvent beaucoup de planification, parce que c'est confortable de planifier. Mais en vrai, des fois, il faut juste prendre un livre en anglais et le lire à voix haute et tout lire. Et c'est ta méthode et c'est comme ça, la pratique. Ensuite, le système. Le système, c'est le deuxième pilier. C'est le processus qu'on va mettre en place pour appliquer notre méthode. Donc par exemple pratiquer tous les jours entre midi et 13h, ça c'est un système. Moi j'ai longtemps bloqué sur le système, soit parce que je faisais des systèmes trop compliqués, et du coup je les tenais pas, genre j'avais 4 applications, je faisais ça, ça, ça, on a tous peut-être essayé le... bah je sais pas si on a tous essayé, mais en tout cas moi je faisais ça, genre je planifiais mes journées à la demi-heure près, je fais ça, ensuite je fais ça, ensuite je fais ça, et en fait ça marche pas, parce que mon système est trop compliqué, ou alors parce que je le tiens pas, ou alors parce que j'en ai pas, et du coup je faisais qu'à la motivation. Spoiler, ça marche pas. Le meilleur système, c'est le système que l'on tient. Ça doit être adapté à la personne, ça doit être adapté à votre vie, peu importe. Si ton système, c'est tous les jours entre midi et 13h, je travaille sur ça, c'est simple, c'est efficace, ça marche, mais il faut un système pour pouvoir pratiquer sa méthode. Ça, c'est les deux premiers piliers, la méthode et le système. Le troisième pilier, c'est le plaisir. En anglais, elle dit enjoyment. Prendre du plaisir dans l'apprentissage. Et ce que les gens ne comprennent pas, c'est que c'est un pilier non négligeable, obligatoire. Sinon, tu ne progresses pas. Parce qu'en fait, tu ne peux pas tenir ton système et t'améliorer sans prendre du plaisir. Pour l'anglais, je prends beaucoup de plaisir à venir parler et à essayer d'améliorer ma prononciation. C'est un truc que j'aime faire. Être fluide, etc. J'aime parler en anglais, c'est très satisfaisant. Et je préfère faire ça, par exemple, qu'écrire de l'anglais ou faire de la grammaire ou des trucs de style. Et du coup, je parle beaucoup plus. Parce que je prends plus de plaisir à ça. Et vraiment, trouver du plaisir. Et c'est cette fameuse... Cette bonne vieille citation de si tu fais ce que tu aimes, tu n'auras plus besoin de travailler qui est un peu bisounours. Mais qui est quand même importante dans le sens où si vous voulez apprendre un truc, ouais, trouver une façon que ça soit cool, tu vois. Tu veux apprendre l'anglais, si t'as envie d'aller sur des... Je sais pas, si t'es sociable et que t'as envie d'aller sur différentes plateformes pour discuter avec des gens en anglais, bah vas-y, tu vois, fais-le. Je ne suis pas d'exemple de fou, mais vous voyez ce que je veux dire. Le plaisir. Et le dernier truc, c'est le truc obus. Le plaisir, la méthode et le système. Mais c'est les quatre gros piliers. Et le dernier pilier, il est pareil, très obus et très important et plus deep qu'on ne le croit. Est-ce que vous avez une idée de quel est le dernier pilier ? Le dernier pilier de l'apprentissage, c'est la patience. On est dans une société qui veut qu'on ait tout, tout de suite. Donc entre l'excitation où on se dit je vais apprendre la guitare et je suis hyper hype et dans trois mois où j'aurai passé ce stade, il y a toujours un gouffre qui fait que la plupart des gens arrêtent. Mais c'est là où tous les systèmes sont interconnectés. On reste patient quand on a un système qu'on peut suivre, une méthode qui est claire, avec laquelle on prend du plaisir. Et c'est pour ça que c'est aussi puissant comme coup. Un truc que j'aime bien faire quand je me sens un peu découragé et que je me dis putain ça va prendre plusieurs mois etc. C'est juste me rappeler du mois il y a 6 mois. Donc il y a 6 mois, on était en septembre, août, juillet, juin, mai, avril. On est en avril dernier. Bah c'était il n'y a pas si longtemps. Et est-ce qu'en avril dernier, j'aurais été content d'avoir pris 6 mois pour apprendre l'anglais pour arriver maintenant ? Bien sûr que oui. Donc dans 6 mois, qui n'est donc pas si longtemps, je serais content du mois qui veut apprendre l'anglais maintenant et qui est devenu bon. Et franchement, je prends un accent bizarre, franchement... On peut faire des belles choses en pas tant de temps si on le fait un peu tous les jours. Genre l'anglais, là, ça fait un mois que je bosse dessus. Franchement, l'évolution est folle et je me rends compte à quel point je n'ai pas... Dans ma vie, il y a eu beaucoup de sujets sur lesquels je ne fais que ça pendant un mois. Et je ne fais pas que ça, mais je fais une heure par jour en tout cas, une ou deux heures par jour, tous les jours pendant un mois, la différence est folle. Et on peut apprendre tout ce qu'on veut en étant juste assez régulier, pendant moins de temps qu'on le croit, juste en étant assez agile et assez organisé. La méthode, le système, le plaisir, la patience. J'ai vu pas mal de gens d'ailleurs dans les commentaires du dernier podcast qui m'ont dit qu'ils essayaient d'apprendre des choses, qui ont un peu joué le jeu de dire je commence les sports de combat, machin, donc bravo à vous. J'espère que tout se passe bien pour vous. Vous êtes dans la période qu'on appelle le deep, normalement à ce moment-là. C'est que la première semaine était un peu excitante, t'étais un peu dans le truc, ah je vais me mettre à apprendre quelque chose, et en fait maintenant, c'est la période où t'es juste nul à ce que tu essaies de faire, et qui est la période la moins gratifiante et la plus ingrate. Est-ce qu'ingrat est le contraire de gratifiant ? Ouais je crois, ingrat, ça fait du sens, je savais pas. donc courage à vous courage à vous et c'est les périodes les plus difficiles donc accrochez-vous pour ce moment et c'est pour ça que le Discord peut aider donc allez faire un petit tour sur le Discord les amis, c'est la fin de ce podcast j'espère que vous avez passé un bon moment je vous embrasse, prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine pour un nouveau podcast ciao

Chapters

  • Introduction

    00:00

  • Global Liquidity

    05:03

  • Psychologie de la performance pour l’investissement

    12:14

  • Ma thèse pour 2025/2026

    21:01

  • Discord pour la communauté Investia

    26:14

  • Brûler les bateaux

    27:23

  • Bearmarket après Bullrun ?

    34:35

  • Apprendre quelque chose

    38:21

Description

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Mon Discord pour discuter tous ensemble : https://discord.gg/eNYG3gBwdu


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Transcription

  • Speaker #0

    Les amis, bonjour à toutes et à tous, j'espère que vous allez très bien en cet épisode d'Investia du... On est vendredi 3 octobre donc il devrait sortir samedi 4 octobre 2025. Moi ça va très bien, vous vous demandez peut-être pourquoi j'ai cette tenue exiguë à savoir une capuche et une veste pour tourner un podcast La raison est très simple, ce n'est pas pour des raisons stylistiques, c'est pour des raisons de... On est en automne et qu'il caille sa race dans mes bureaux. Pourquoi il caille sa race dans mes bureaux ? Parce qu'en fait, je vous explique. On a des bureaux dans un petit endroit complètement paumé, qui sont des bureaux qui sont vraiment cools. On a 100 m², 3 pièces, cuisine et tout, genre les bureaux sont vraiment cools. mais en fait c'est... Un petit vieux qui a genre 90 ans, qui a passé sa retraite, il a acheté un immeuble et en fait toute sa retraite il les a rénovées. Dédé, si tu passes ici, Dédé ne passera jamais ici évidemment, que j'embrasse, qui est extrêmement sympa, mais qui a la fâcheuse tendance d'éteindre la chaudière. Et du coup, il y a toujours deux mois de latence entre, parce que je le vois pas souvent Dédé, des fois il passe et tout, il faut que je l'attrape un peu au vol quand je le vois passer. Mais il y a souvent deux mois de latence entre octobre et genre novembre où il fait un vrai 10 degrés dans les bureaux. Et sachant que je suis pas dans le sud de la France, il fait pas chaud du tout. Donc, donc, donc, Ikaï Saras. Mais bon, ça, ça endurcit le froid et bon pour l'humain. Mais voilà pourquoi je suis en veste, casquette et capuche pour ce podcast. J'espère que vous n'en tiendrez pas compte. J'ai commencé en me faisant une promesse, c'est que je ne mettrai jamais de costard pour paraître plus sérieux dans mes vidéos. Parce que forcément j'ai une tête de mec qui fait jeune. Je suis jeune, j'ai 25 ans, mais je fais même peut-être encore un peu plus jeune. Donc le fait de mettre des hoodies, des trucs à capuche, etc. n'aide pas, et surtout dans un milieu comme celui des cryptos ou de l'investissement, où c'est quand même assez old school, il faut montrer que tu as... que tu inspires confiance par ta magnifique cravate. J'ai décidé que j'en avais rien à foutre, et que je m'habillerais comme je veux. et que j'utiliserais d'autres moyens pour montrer que je peux être digne de confiance que simplement mettre une veste de costume. Je trouve le fait de devoir aller travailler avec un code vestimentaire absolument terrible, et évidemment les gens qui le font n'ont pas le choix pour la plupart. Mais bref, ça n'a aucun intérêt, vraiment, venez en short. Alors, anecdote, on va commencer le podcast, ne vous inquiétez pas. Anecdote, on a eu un stagiaire qui travaille avec nous qui s'appelle Antoine, Antoine, gros bisous si je te vois, premier jour, premier jour du stage, il arrive, petit polo, bien habillé, petit pull, je ne sais plus ce qu'il avait, petite jean, etc., genre vraiment, tu vois, le premier jour de stage, très sérieux, très sympa, bonjour, etc. Il a vu que ce n'était pas du tout le style de la maison, donc deuxième jour du stage. il arrive, maillot de Marseille, casquette à l'envers. Bon, le maillot de Marseille, c'est un débat, mais ça me plaît parce que ici, on ne travaille pas pour les apparences, on travaille pour essayer de montrer des belles choses. Bref, on y va pour ce podcast. Je vous rappelle le principe du podcast, c'est qu'on traite plein de petits sujets autour de l'investissement, mais pas que. Aujourd'hui, il y a à peu près 6 sujets pendant une trentaine de minutes sur les choses sur lesquelles je travaille ou je réfléchis. dans ma vie. J'ai vu pas mal de gens, enfin non pas pas mal, j'ai vu quelques commentaires dire oui il y a 50% de développement personnel et seulement 50% d'investissement. Oui c'est le but. Enfin c'est pas le but c'est juste que c'est les sujets que je, c'est vraiment les sujets que j'explore et donc j'ai toujours une base d'exploration d'investissement mais je ne suis pas passionné que par l'investissement et donc je vous partage juste les trucs qui me font kiffer pour voir un peu comment on évolue, investir assez plus tôt. le podcast où j'essaye de vous partager les choses qui me font évoluer pour que si jamais vous ayez des éléments qui vous plaisent, vous pouvez les prendre et les appliquer à votre propre vie. Donc forcément, il y a de l'investissement, mais pas que. Si vous êtes là pour un podcast extrêmement deep en crypto, allez voir ma vidéo de Cosmos de 45 minutes et après, on verra. Mais ce n'est pas l'objectif. Ce n'est pas l'objectif. Si vous voulez, vous avez des petites timelines dans la description de la vidéo ou du podcast si vous êtes sur Spotify. Vous pouvez passer les différents sujets en fonction de ce qui vous plaît, moi je vous recommande quand même de vous laisser porter. Si vous êtes en train de courir, en train de faire à manger, en train de faire quoi que ce soit, je vous souhaite bon courage et on y va juste avant de commencer. Si vous pouvez vous abonner si vous êtes sur YouTube et mettre un petit like ou... mettre 5 étoiles sur Spotify, vraiment ça prend 2 secondes. Je sais que c'est pas assez chiant à faire, mais ça prend 2 secondes. On y va, j'ai 6 sujets pour ce petit podcast. On va commencer avec un côté un peu investissement, sur la globale liquidité. La liquidité mondiale, global liquidity en anglais, c'est un truc que je regarde énormément en ce moment. Pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? En fait, la liquidité mondiale, c'est une analyse de l'ensemble des flux financiers dans le monde. Je l'ai répété plusieurs fois, je vais le redire encore, on est dans un monde qui est drivé par la dette. Allez voir l'évolution de la dette américaine, il y a des sites qui font ça en temps réel, on rajoutera peut-être ça vite fait au montage. C'est terrifiant, c'est terrifiant et on n'est plus dans un monde de production comme on était dans les années 2000. Dans les années 2000, c'était la production, donc les capitaux qui avaient été produits par l'économie qui représentaient la liquidité qu'il y avait dans le monde. Maintenant, ce n'est plus le cas. La liquidité est représentée par la dette. Pourquoi ? Parce qu'en fait, plus on a de dette, plus on est obligé d'avoir de la liquidité. Et c'est extrêmement logique parce qu'en fait, une économie, elle se mesure par la productivité, par l'évolution, etc. Le truc, c'est que le PIB, par exemple, il est souvent mesuré par rapport à la dette. PIB par rapport à la dette en pourcentage. Et si on voit que, par exemple, la dette représente une trop grosse partie par rapport au PIB, on se dit, ah putain, en fait, on est dans la merde. parce qu'on a trop de dettes et ça va être très compliqué. Et donc du coup qu'est-ce qu'on fait ? Pour foutre cette dette sous le tapis, on imprime, on imprime, on imprime. Comme ça on dilue et on peut dire non mais regardez, regardez la dette ne représente pas une trop grande partie de la liquidité, parce qu'on a imprimé comme des gros ports et donc forcément on a diminué le pourcentage. Et donc on est sur cette spirale infernale. Je vous rappelle une chose, c'est que les monnaies fiduciaires sont par nature vouées à aller à zéro. Et c'est pas un move d'anarchiste ou politique, c'est par nature mathématique, les monnaies fiduciaires sont vouées à la zéro. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les banques centrales, dans leur mandat, c'est littéralement leur mission de diluer la monnaie. Pourquoi ? Parce qu'elles visent une inflation d'à peu près 2% par an. Une inflation de 2% par an, ça veut dire que tous les ans, on ajoute plus ou moins, c'est souvent plus que moins, 2%. de liquidités et de masse monétaire mondiale. En plus de ça, si on prend par exemple les gros événements qu'on a eu dernièrement, la crise de 2008, le Covid, au Covid, on a imprimé 40% de la masse monétaire mondiale. Et donc en fait, si vous regardez, si vous allez sur TradingView et que vous prenez n'importe quelle monnaie fiduciaire, et vous mettez la charte sur genre 50 ans, vous allez voir que ça tend vers zéro, on dirait vraiment un shitcoin. Le principe des monnaies fiduciaires, c'est ça, c'est d'aller à zéro parce qu'on les dilue, on en imprime toujours, toujours, toujours, toujours, toujours. Et donc j'insiste sur ça, en tant qu'investisseur, c'est vraiment la base, protéger l'argent que vous avez gagné en le plaçant de manière à ce qu'il ne se fasse pas démonter par ces taxes cachées qu'est l'inflation. Et j'insiste sur ça, et c'est pas des paroles en l'air, c'est pas de la politique, c'est simplement que c'est la réalité. Comment on fait ça ? On le place dans... des actifs qui sont anti-inflation, c'est assez simple, le S&P, l'or, l'argent, le Bitcoin, ce que vous voulez, mais ne gardez pas tout votre cash en dollars ou en euros par pitié. Bref, la liquidité mondiale, pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? Parce qu'en fait, il y a beaucoup de gens, je ne sais pas si vous avez vu, qui utilisent la M2. La M2, c'est la masse monétaire. La masse monétaire, c'est un peu, tu prends une photo de l'économie ou de la rivière à un temps réel, et tu vois la cascade et tu te dis, ah ok, il y a une cascade, ok, ça avance. La liquidité mondiale, c'est plus une mesure beaucoup plus dynamique, parce qu'elle dépend de quatre éléments. Elle dépend de la Fed, elle dépend de la Banque de Chine, elle dépend de la volatilité, elle dépend du dollar. Et en fait, la liquidité mondiale, c'est plus, on mesure le débit du courant dans la rivière. La M2, on prend une photo de la rivière. Sauf que... il y a une énorme différence. Regardez cette charte. On voit la Global Liquidity en blanc et la M2 en jaune. Pour ceux qui sont sur Spotify, on voit, regardez l'espace vert là, vert et rouge à droite. À un moment, la M2 augmente, mais la Global Liquidity diminue. Pourquoi ? Parce qu'en fait, la M2 est comprise dans la Global Liquidity. En fait, la M2... Elle reflète la santé économique d'un pays. On dit la M2 américaine. Alors que la Global Liquidity, elle mesure la facilité de financement mondial, qui est généralement absorbée par le marché financier. Ce que je veux vous dire, c'est qu'il faut suivre la Global Liquidity et non pas la M2, parce que c'est beaucoup plus précise. Et on le voit là, on a une divergence, c'est-à-dire que les deux se suivent la plupart du temps, mais pas tout le temps, notamment ici où la Global Liquidity a baissé alors que la M2 a augmenté. Et en fait, si on regarde sur ce moment-là, Ce qu'on veut vérifier avec cette divergence, c'est si Bitcoin suit toujours bien la tendance de la globale liquidité. Et oui, Bitcoin ne suit pas vraiment la M2, il suit la globale liquidité. Et c'est vraiment extrêmement important. Pourquoi la M2 a augmenté alors que la liquidité n'a pas augmenté ? C'est assez simple, je vous ai fait un petit document ici. En fait, ce qui s'est passé, c'est beaucoup derrière le rideau. A savoir, on a eu un QT, donc un Quantitative Tightening de la Fed et de la BCE. les banques centrales ont continué de réduire leur bilan, donc elles ont plus ou moins retiré de la liquidité. La banque de Chine a arrêté d'imprimer, ou en tout cas ralenti son impression, et le TGA, le compte général du trésor, a pris des liquidités hors du système. Donc on a retiré de l'argent. Sauf que ça, avec la M2, on ne le voit pas. Mais si on regarde Bitcoin, est-ce qu'il a suivi la globale liquidité ou la M2 ? Il a suivi la globale liquidité. Voilà pourquoi je travaille autant avec la globale liquidité, et voilà pourquoi vous me voyez dans les vidéos faire chier avec ça. Parce que c'est hyper, hyper important, beaucoup plus que la M2. Il faut suivre la liquidité pour comprendre où vont les dynamiques de marché. Voilà pourquoi la M2 est importante, mais la liquidité l'est encore plus. Et voilà pourquoi je suis autant la liquidité. Pourquoi peu de gens le font ? Tout simplement parce que l'indicateur blanc que je vous montre de Global Liquidité, c'est le mien. Et que la plupart des gens, je ne sais pas du tout pour paraître hautain ou quoi, mais la plupart des gens sur les... Les réseaux ne savent pas comment est faite la global liquidité, donc ils n'ont pas la capacité de créer un indicateur qui est fiable par rapport à ce qui se passe, et donc ils s'appuient sur la M2 qui est un petit peu plus simple. Voilà, c'est juste ça, mais je pense que la global liquidité est beaucoup plus simple. D'ailleurs si ça vous intéresse, je fais pas mal de suivi de la global liquidité sur ma chaîne YouTube, mais j'en fais aussi beaucoup plus sur Crypto Recherche où toutes les semaines je fais un suivi de la liquidité. parce que j'estime que c'est extrêmement important. Donc si ça vous intéresse, si vous voulez suivre un petit peu où ça en est un peu plus en détail, comprendre comment ça marche, allez faire un petit tour sur Crypto Recherche. J'adore le sport. J'adore tout ce qui tourne autour du sport de haut niveau. Et honnêtement, je suis extrêmement admiratif des sportifs de top top niveau qui arrivent à rentrer dans un niveau de contrôle et de gestion des émotions qui est absolument inhumain. Donc forcément, j'aime bien lire des trucs sur la psychologie de la performance. Et en vrai, même si vous n'aimez pas le sport, c'est une discipline qui est tellement compétitive, le sport de haut niveau, peu importe le sport, qu'en fait la différence se fait sur des détails. Et du coup, ce qui est très intéressant, c'est que les gens qui travaillent sur cette optimisation, ils vont décortiquer les détails pour les optimiser. Et ça, je trouve ça très beau parce que du coup, ça donne des informations qui sont assez belles. Et j'ai trouvé une loi qui s'appelle la loi de Yerkes-Dodson. Je ne sais pas si ça vous parle. la loi d'Hierkesdotson elle parle du fait qu'en fait il y a une relation très proche entre le stress et les performances. Le bon vieux DM de philo que tu fais la veille à 22h, sauf qu'en fait, t'es tellement stressé, parce que tu dois te bouger le cul, que t'es un monstre. Je sais pas si ça vous parle, déjà le mot DM est terrible, ça date, le lycée, mais t'arrives à 22h et tu te dis, putain, faut que je fasse ma 10h de philo, et en fait, tu torches le truc parce que t'es tellement fort, parce que t'as pas le choix, c'est demain, il faut que tu sois bon. Et en fait, Un certain niveau de stress est favorable à la performance jusqu'à un certain stade. C'est ça la loi de Yerkes-Dutton. Quand il n'y a aucune pression, on tombe dans une espèce d'ennui qui nous pousse à ne pas être performant. Il fallait me voir à la BU en septembre pour comprendre. En fait, quand tu fais tes partiels en décembre et en mai, tu dois valider tes partiels. Quand tu es à la fac, tu as des partiels à valider en décembre et en mai. Mais le reste du temps, la fac, elle te fout la paix. Et donc, des fois, tu vois, t'es plein de bonne volonté, t'arrives en septembre ou en octobre à la bibliothèque, tu te fais un grand plan, tu te dis, vas-y, je vais prendre de l'avance et tout, et t'es à la biblioth��que comme ça, et en fait, tu branles absolument rien, parce qu'on est en septembre et que t'as aucune pression. La pression aide à être performant. Ensuite, un certain niveau de stress, un certain niveau d'activation cérébrale va faire monter la performance. Mais ça, jusqu'à un certain niveau, où trop de stress est néfaste. Ça crée de l'anxiété, ça démonte la performance. Par exemple, si tu dois... Si tu as ta thèse que tu dois faire en une nuit, tu peux être absolument trop stressé et te figer. Quand tu as trop de niveau de stress, c'est pas bon pour la performance. Peut-être même des compétitions qui sont trop stressantes. Il faut que ça soit assez logique. Et du coup, ça donne cette charte. Si vous êtes sur... sur YouTube de ce que j'appelle, enfin c'est pas moi qui l'appelle, mais ce qu'on appelle la loi de Yerkes-Dodson. Et donc il y a plein de choses à tirer de ça. Première chose, la pression est un carburant. Donc se mettre soi-même dans des niveaux de pression qui sont volontairement un tout petit peu élevés permet d'être plus performant. Ça peut être un entraînement un peu plus dur, ça peut être aller s'entraîner avec quelqu'un qui est un peu plus fort que soi. Une deadline pour finir quelque chose. essayez de mettre un peu de compétitivité Genre quand on travaille sur quelque chose, dire à son pote, ok vas-y, on essaie de faire le meilleur truc et après on s'échange pour se donner des feedbacks. Juste un petit peu de pression en plus, ou quand tu travailles, tu sais qu'il y a une conséquence si jamais tu ne travailles pas de manière assez optimale. La pression est un carburant. Ensuite, il existe une sorte de sweet spot, une zone dans laquelle on est optimaux, avec un niveau de pression suffisant qui nous permet d'évoluer à notre prime. C'est la zone vraiment où on est dans ce qu'on peut appeler le flow. Le flow, c'est un peu ça. C'est le niveau où on est assez stimulé, assez sous pression, mais pas trop stressé, et du coup, on est dans la zone parfaite pour performer. Autre chose, c'est qu'on peut augmenter sa zone optimale en faisant des petits efforts permanents qui nous sortent juste un tout petit peu de notre zone de confort pour venir l'élargir. En ce moment, je fais des recherches sur un mec qui s'appelle Alex Honnold qui fait du free solo, c'est-à-dire de l'escalade en falaise à 700 mètres de haut, sans cordes. Et donc c'est un truc de malade, tu vois le truc, tu te dis mais pourquoi il fait ça ? Et en fait lui il explique que oui tu vois la vidéo du mec qui monte à 700 mètres de haut, mais en fait c'est parce que tous les jours il a fait un truc un peu plus dur que le jour d'avant, et petit à petit il a élargi sa zone de confort jusqu'à ce que ça devienne ça, sa zone de confort. Mais c'est parce qu'il y a tout ce travail derrière. Autre chose c'est que vouloir se mettre trop en stress ne marche souvent pas, et la différence dans certaines situations de stress extrême... se fait par ceux qui arrivent à mieux rester dans leur zone de génie de performance, donc à redescendre cette pression. Jouer un tie-break, prendre une décision d'investissement importante en crise, il faut un niveau de stress plus bas, donc utiliser des techniques de respiration, une routine du calme, de la préparation. Un truc qui est vraiment réel, c'est que la grosse différence entre les investisseurs, elle ne se fait pas sur les 95% du temps où on est dans des ranges, ou alors on a des montées ou des petites descentes, elle se fait sur les 5% du temps. extrême, que ça soit à la hausse ou à la baisse. Donc les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones d'euphorie, quelle va être ta décision ? Et les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones de peur, des crashs, FTX, 2008, etc., quelle va être ta décision ? En vrai, c'est juste ça. Si t'as d'acheter au crash du mois de... C'était quand ? Avril ? Du mois d'avril, 8 avril, un truc comme ça ? Ou mars ? Non, avril, je crois. 8 avril, si t'achètes à ce moment-là, t'as une décision énorme à faire sous pression, parce que c'est... des moments où tu es dans des niveaux émotionnels et de pression qui sont assez hauts, et c'est là qu'il faut réussir à prendre des bonnes décisions rationnelles. Et tout ça se travaille, et les grands sportifs travaillent ces moments-là. Ce n'est pas que tu t'élèves au moment de briller, au moment de performer, tu ne t'élèves pas, tu restes à ton niveau moyen. Et donc si tu n'as pas travaillé cette zone de génie et cette zone de résistance au stress et la façon dont tu vas prendre action, tu vas arriver là, tu vas te figer ou tu vas prendre de mauvaises décisions. Et c'est dans ces moments-là que c'est important. Et donc c'est vraiment extrêmement important à faire. J'ai écouté un podcast de Georges Saint-Pierre, qui est l'un des plus grands combattants de MMA de l'histoire, et qui est un mec que je trouve extrêmement inspirant, qui disait ça, que tu ne montes pas de niveau pour l'occasion. Tu es à la moyenne de ce que tu as fait pendant la dernière année. Et c'est pour ça que plein de petites actions vont avoir une différence sur ces fameux 5%. Les actionnables, ça peut être quoi ? Ça peut être s'exposer un peu plus à la pression, demander un feedback à quelqu'un. Quand tu as un truc à faire en 6 heures, s'exposer à ça et mettre 3 heures au lieu de 6 et se dire, OK, quand tu dois parler en public, essaye de tenter une petite vanne si tu dois parler en public. Des petits trucs à la con, tu vois, mais juste monter, monter, monter un peu sa résistance à la pression. Travailler aussi ce qu'on appelle le sweet spot, c'est-à-dire la zone de performance. Que ça soit à la hausse ou à la baisse, quand on sent qu'on l'a dépassé dans des situations de stress, essayer un peu de l'identifier, de visualiser comment on aurait pu agir différemment. Moi, j'ai fait plein de matchs de tennis, je parle beaucoup de tennis, mais je suis zéro au tennis, je suis nul. Mais j'ai fait pas mal de matchs de tennis où le tennis, ça te prend les émotions, et des fois, tu perds le fil, mais tu n'as plus rien, tu vois, parce que j'avais dépassé cette zone-là. Et après, j'ai essayé de me dire, bon, OK, comment j'aurais pu faire un peu des choses différemment, tu vois. comment, j'aime pas cette phrase parce que ça fait très développement personnel mais comment act... ton cerveau. Ensuite, essayez de pratiquer ce qu'on appelle Le progressive over-road mental, chaque semaine, ajouter un petit confort pour élargir sa zone de confort, je pense que c'est important. Essayer de se relâcher, de fractionner l'objectif et surtout se préparer en visualisant les différents scénarios possibles. C'est ça qui fait vraiment une énorme différence et surtout dans les 5% d'investissement. On a parlé des 5% d'investissement. Là, la différence est énorme dans ça. Michael Phelps qui est le plus grand athlète de l'histoire du sport, tous les jours, il visualisait tous les scénarios possibles qu'il pouvait se passer pendant genre une heure. Tous les jours. Tous les jours. Depuis qu'il a 12 ans. Donc en fait, il est arrivé à 20 ans et quelques au JO. Je crois que c'était le 200 mètres papillon. C'était en 2008 quand il a tout gagné là. Et en fait, ses lunettes se remplissent d'eau pendant le 200 mètres papillon. Ou le 100 mètres papillon, bref, on s'en fout. Ses lunettes se remplissent d'eau. Et des nageurs un peu moins expérimentés, ta course, elle a fini. parce que tes lunettes sont remplies d'eau Tu paniques un peu, t'es moins efficace, t'essaies de regarder, bref. Lui, il avait déjà visualisé ce scénario, il s'est ajusté, il a dit, ok, je sais, j'ai déjà pensé à ce que je ferais dans cette situation, et il a agi, et il a gagné. Et ça, c'est beau. Ah, celle-là, elle est belle. On retourne du côté investissement. Ma grosse thèse sur 2025-2026. Celle-là, c'est un truc que je vais beaucoup utiliser dans mes vidéos YouTube, et aussi sur Crypto Recherche. Donc vous l'avez là en avant-première sur ce podcast. C'est ma thèse pour 2025-2026. Donc je vous ai parlé de la liquidité. Avec toutes les recherches que j'ai faites sur la situation économique et de liquidité mondiale, je pense que l'année 2026 va marquer un sommet de la liquidité mondiale. Pourquoi et quelles sont les conséquences ? Déjà, pourquoi est-ce que je pense ça ? Après, je vous explique ce que ça implique. Pourquoi je pense que le 2026 va marquer un sommet de liquidité mondiale ? Pour quatre raisons. La première raison, c'est qu'on a une croissance économique qui est prévue d'à peu près 3%. Pas de récession dans les principales zones, donc on est dans un schéma propice à une hausse de la liquidité. La deuxième chose, c'est qu'on arrive en 2025, 2026, 2027 dans ce qu'on appelle un mur de refinancement. Dites-vous qu'en fin d'année 2025 et en 2026, il y a 10 trillions de dettes qui arrivent à maturité. Donc 36% de la dette mondiale qui arrive à maturité. Donc 36% des collatéraux arrivent à leur valeur maximale. Donc on va avoir un refinancement énorme de la dette. Et plus on se rapproche de la maturité des dettes, plus on a de la liquidité qui est élevée. Parce que la décote de ces collatéraux va être un peu plus faible. Bon c'est un peu technique. En gros, je vous prête mon vélo. Je vous prête mon vélo et je te dis, bon, je te le prête, mais c'est 200 euros de caution. Et tu me dis, ok, je te le rends dans 5 ans. Je vais dire, comment ça dans 5 ans ? Mon vélo, il vaut 1000 balles. Tu me le prends 5 ans, ben non, c'est pas 200 euros de caution, c'est 2000 euros de caution. Et si tu me dis par contre, ok, mais vas-y, je te le rends dans 2 jours, je vais dire, ah ben c'est bon, c'est 200 euros de caution, 100 euros, tu vois. Là, La caution que je vais demander va dépendre de si on est proche ou pas de la maturité. Si la maturité est dans deux jours, ce n'est pas pareil que si la maturité est dans deux ans ou cinq ans. Et donc, puisqu'énormément de prêts entre les banques se font avec des bons du trésor en collatéraux, en caution, plus ces bons du trésor arrivent proches de leur maturité, moins on va demander de prix supplémentaires, ce qu'on appelle une décote sur tout ça. Et donc ? Vu que l'argent, la liquidité est créée en partie via les crédits, ça va avoir un impact sur la liquidité mondiale parce qu'on aura plus de création monétaire à partir du moment où les dettes arrivent proches de maturité. Voilà pourquoi je pense que la liquidité va augmenter aussi. Ensuite, on est dans une politique monétaire qui est accommodante. On l'a vu, il y a des emplois qui ont été revisités. On croyait qu'il y avait 50 000 emplois qui avaient été faits je crois au mois d'août ou septembre. je crois que c'est mois d'août, et en fait on est à moins 3000, donc il y a eu des erreurs, en tout cas des valeurs qui étaient fausses, donc potentiellement l'économie est dans une situation pire qu'on ne le croit, et donc la Fed va baisser les taux avec beaucoup plus d'agressivité, donc on a eu 110 baisses des taux en 2025, dans toutes les banques, dont les principales zones, la Chine, les Etats-Unis, la Fed, etc. 2025 est la quatrième année. en nombre de baisses des taux. C'est une année propice à l'économie, c'est une année qui est en train de set-up quelque chose, même si 2025 est un peu puant pour les cryptos et pour l'économie. Et on a une hausse du plafond de la dette américaine qui va créer tout ça. Et donc je pense que 2026 va marquer un sommet dans la liquidité mondiale. Parce qu'on a plein de facteurs qui sont en train de se mettre en place. Donc comment est-ce qu'on s'ajuste ? On s'ajuste en étant positionné sur les actifs de qualité. Et je pense que du coup 2026 sera une belle année. Qu'il va falloir prendre des profits parce qu'on peut avoir des mouvements paraboliques. Et oui je le dis, et oui je sais, les gens n'aiment pas à quand. Les youtubeurs disent ça parce que la plupart des gens disent ça un peu n'importe comment et parlent de phase parabolique. Si vous regardez, je parle très peu de phase parabolique, d'alcool in season, etc. J'ai toujours un peu la même thèse de top de marché en fin d'année 2025, voire début 2026, ça fait longtemps que j'ai ça. Mais je pense que 2026 va marquer aussi un top pour les marchés financiers. Et que 2027-2028 peut être un peu pourri, voire bien pourri. Donc prendre des profits et savoir se préparer à ça. C'est quelque chose qui est très important. On a vécu, dans ce qui représente les 15 dernières années de notre vie, une période extrêmement historique de bullrun permanent. Et ça ne durera pas indéfiniment. Voilà, c'est tout ce qu'on peut dire, ça ne durera pas indéfiniment. Et donc, ça fait du sens qu'après l'expiration de toutes ces dettes et le renouvellement de toutes ces dettes, on puisse avoir une sorte de reset. qui ne soit pas non plus exceptionnel pour les marchés financés. Petit aparté, j'ai relancé le Discord E-REAL avec un nouveau channel Investia qui a été dédié. Donc si jamais vous voulez discuter des sujets qui tournent autour d'Investia, ce ne sont pas forcément les sujets que je parle, mais les différents topiques, que ce soit économie, crypto, développement personnel, nutrition, sport, machin, description. Vous êtes sur le Discord et vous dites bonjour, il vous faut une petite présentation de vous si vous en avez envie, et vous pouvez discuter. Allez-y, allez faire un tour parce que je vais essayer d'être actif sur ce Discord, juste pour envoyer, faire des petites discussions. Et si on a une petite communauté d'une cinquantaine de personnes minimum, même si on peut être beaucoup plus, je sais qu'on est beaucoup plus, faites-le. Et si vous en avez envie, allez vraiment faire un tour, je vais juste voir si on a de l'engouement ou pas, s'il y a suffisamment d'engouement. Pourquoi pas regarder pour créer un jour des challenges tous ensemble, je sais pas, se péter un marathon ensemble avec le... la commu, faire des petits space discord où on discute tous ensemble, ça pourrait être sympa. Ça, ça va vraiment dépendre de s'il y a de l'activité ou pas sur ce channel. C'est gratuit, évidemment. Ensuite, on change totalement de sujet. Brûler les bateaux. Je fais juste une petite parenthèse. J'ai vu un commentaire intéressant sur quelqu'un qui disait mais pourquoi... Parce que je parle beaucoup de productivité, de performance, etc. Et je vous rappelle que, en fait, le commentaire, c'était... Oui, est-ce qu'on est toujours obligé de vouloir performer, performer, et produire, et être productif, machin ? Je vous rappelle que ce que j'ai écrit, ça s'applique parce que j'ai envie, à ce moment de ma vie, d'être performant, d'être productif, machin. Mais vous faites bien ce que vous voulez, d'accord ? C'est juste la façon dont moi je vois les choses. Et du coup, si vous êtes dans le même état d'esprit et que vous avez envie de performer, de vous développer en tant qu'être humain, ça peut être utile selon moi. Mais après, chacun a ses objectifs de vie qui sont totalement différents. Et d'ailleurs, votre vision est toujours très intéressante dans les commentaires. Brûler les bateaux. Une métaphore que je trouve très puissante, c'est celle des bateaux vikings. Il y a une légende qui dit, alors je ne sais pas si c'est vrai, que quand les vikings allaient aborder une nouvelle ville, en Angleterre ou je ne sais pas où, souvent ils faisaient bien chier les anglais, ils arrivaient en bateau et avant d'aller se battre, ils brûlaient leurs bateaux. Comme ça, il n'y avait que deux issues, la mort ou la victoire. Ils ne peuvent pas juste arriver et se dire « Ah putain, c'est dur, merde, on a froid. » on n'a pas à manger et tout, on passe de nuit un peu pourri à se battre, et bon allez, vas-y, demi-tour. Et on abandonne. Non. C'est soit ils se battent, soit ils meurent. Enfin, ils se battent, soit ils meurent, soit ils gagnent, plutôt. Et cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante. On peut l'utiliser dans plein de sphères de notre vie. Quand j'ai commencé les vidéos, je vais vous faire une confession, j'étais pas si fort. Je faisais des analyses de projets, et quand on voit la vidéo, on se dit, oh putain, ok, il est chaud, il connaissait son sujet. la réalité c'est qu'il y a plein de notions que j'expliquais, que je venais d'apprendre, parce que c'était très technique en fait, comment tu veux expliquer le proof of history de Solana, ou la notion de DAG, de D-A-G sur Fantôme, de registre distribué, quand tu n'as pas fait d'informatique ou de code. Sauf que la différence c'est que le fait de faire la vidéo sur le projet, en montrant ma tête, ça m'obligeait à suffisamment comprendre le fonctionnement d'une tech, d'un protocole ou autre, pour être capable de l'expliquer en vidéo. J'avais pas le choix en fait, parce que après je montrais ma gueule derrière en vidéo en train de parler d'un truc, et il fallait pas que les gens voient que je maîtrise pas le sujet, donc pour contrer ça j'étais obligé de brûler les bateaux. Et ça c'est la version extrêmement soft de brûler les bateaux, d'accord ? Mais si on regarde plein d'histoires de gens qui ont vraiment réussi... il y a de fortes chances qu'ils aient brûlé les bateaux une fois dans leur vie de manière très drastique. Exemple qui est un peu plus puissant que se forcer à faire une vidéo, Francis Ngannou. L'ancien champion de l'UFC, qui fait de la boxe maintenant. Il vient du Cameroun, dans un village archi-pauvre. Un jour, quand il avait 18 ans, il a dit, c'est bon, ça me saoule, c'est bon, l'Afrique, je vois pas d'opportunité, je peux comprendre cette réflexion. Il est d'un tout petit village, bref. Il dit, je vais en Europe, je vais devenir champion du monde de boxe. Je n'ai jamais fait de boxe, j'ai 18 ans. Ok, bah vas-y. Il est parti, tout seul, à pied. Sans passeport, sans argent, il a traversé plein de frontières illégalement. Il a passé, je dis pas de conneries, plus d'un an à vivre dans la forêt, entre je crois que c'était le Maroc et l'Espagne, du coup pour aller en Europe. Et en fait il est enfin arrivé à Paris au bout d'un an et demi de déplacement. Et quand il est arrivé à Paris, il savait pas faire de boxe, du coup il dormait dans un parking. Il a demandé au gars de la salle s'il pouvait dormir dans la salle. Le coach a accepté et derrière il avait pas le choix de s'entraîner suffisamment. pour devenir champion, parce que c'était littéralement sa survie qui en dépendait. Et ça, c'est brûler les bateaux. Ça, je trouve ça très puissant, très, très, très... Je sais pas, il y a une sorte de loi de l'attraction qui se met en place quand tu fais ça. Est-ce que s'il avait pris des petits cours d'économie en parallèle à la fac, et qu'il avait le choix de prendre un petit job de bureau au lieu de s'entraîner et d'aller se battre, il serait quand même devenu champion ? On sait pas, mais... Quand même. Et je suis persuadé que pour vivre la vie qu'on veut, on n'a pas vraiment le choix, à un moment ou à un autre, d'être un peu extrême et de brûler les bateaux pour se concentrer à 100% sur ce qu'on fait. Et je trouve qu'il y a un côté hyper épique à ça. Et je l'ai remarqué quand j'ai arrêté les études. Bon, il y a toujours les gogoles qui me diront « Oui, t'as arrêté des études pour faire des vidéos, c'est débile. » Ouais, si tu veux. mais la différence entre quand j'étais à la fac en 50-50 et que j'ai arrêté, enfin j'ai pas vraiment arrêté, j'ai eu mon diplôme et que je suis passé full time et que ma vie était est-ce que mon business marche ou pas est-ce que je vais pouvoir continuer quand je suis passé full time la différence dans ma disponibilité et dans le fait de ma façon de réfléchir et la différence était folle parce que j'avais plus de parachute j'avais plus de au pire j'ai quand même un plan B vas-y je suis pharmacien et du coup mon business marche vraiment bien depuis ce moment là Merci. Parce que ma différence de disponibilité est mieux. Et je trouve qu'il y a un côté très épique à brûler les bateaux. Je ne vous dis pas d'arrêter vos études pour faire des vidéos, d'accord ? Mais juste, je pense que parfois, il faut savoir être un peu extrême dans sa vie et tenter des choses. Et je vois beaucoup de gens qui me disent « Ouais, en vrai, j'hésite à faire une pause dans mon taf pour lancer ce projet. » Et je sais plus qui disait ça mais j'avais trouvé ça puissant. Que en fait quand tu as une décision à prendre. Tu prends la décision. Tu prends toujours le chemin qui est le plus épique. Quel est le chemin le plus épique ? Bon c'est un peu extrême mais je trouve ça fou. Tu vois ? Ok bah en vrai vas-y. Tu vois vas-y tente. Fais une pause de un an. Galère un peu pendant un an. Et essaie de développer ton jeu vidéo, ta chaîne YouTube, ton livre peu importe. Parce que en vrai déjà c'est quand même... puissant, forcément t'apprends des choses, il n'existe pas de cas zéro où genre il n'y a zéro zéro conséquence positive pour toi. Genre ça peut ne pas marcher ton livre, mais après écrire un livre tu auras pris des contacts chez un éditeur, peut-être que tu vas en faire un deuxième, peut-être que celui-là va marcher et que tu vas pouvoir se développer et qu'au bout d'un moment tu seras moitié écrivain, moitié dans ton taf tu vois. Mais c'est hyper puissant et souvent quand j'ai des décisions comme ça Je me dis, est-ce que quand j'aurai 80 ans sur mon lit de mort, qu'est-ce que je me dirais qui a été une bonne décision ou pas une bonne décision ? Est-ce que j'ai envie d'avoir 80 ans et de me dire, ah putain, j'aurais peut-être pu faire ce truc avec YouTube et vivre de ma passion et avoir l'équipe que je veux, mais bon, j'ai choisi la sécurité, d'avoir mon diplôme et de travailler dans mon taf que je n'aime pas trop. Ben non, ben non. Et encore une fois, c'est ma vision. et si vous n'avez pas la même vision, il n'y a aucun problème, mais j'aime bien cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante, et après chacun peut l'apprendre dans son dans les circonstances qu'il veut, il y a plein de circonstances différentes mais c'est très puissant on retourne du côté investissement il y a un commentaire de Victor Barallier bonjour à toi, merci pour ton com Victor qui disait, qui posait une question que je vais vous lire Est-ce qu'après un possible top de marché vers début 2026, on entrera dans un bear market comme les cycles précédents ? Est-il théoriquement plus rentable de vendre en période de surchauffe ou hold jusqu'au prochain halving ? Ça, c'est la question qui revient tout le temps. Et là, il y a un truc qui revient tout le temps aussi, qui est en train d'arriver. C'est le fameux, il n'y aura plus de bear market, le cycle est différent. Mais c'est fou comme les choses évoluent toujours de la même façon. Je n'insiste, j'insiste sur une chose, je n'ai pas de boule de cristal. Ça se trouve, il n'y aura pas de bear market et les choses seront différentes. Pour moi, pour moi, il y aura un bear market. Et pour moi, penser que ça ne baissera plus est souvent un signe qu'on arrive dans une dernière phase de marché hyper importante. En vrai, cette réflexion se fait plus pour Bitcoin. Et Bitcoin, je peux comprendre. Ma thèse, encore une fois très personnelle, je pense que Bitcoin baissera comme il l'a toujours fait. Peut-être un peu plus tard, peut-être un peu moins fort, ouais. Mais on referme à Bitcoin à 70-80K. J'ai pas envie de dire, j'en suis sûr, mais je pense fortement. Il n'y a rien, que ce soit dans les datas, l'analyse, etc., qui montre que la structure bullrun bear market a changé sur cet aspect-là. Je dis pas le cycle de 4 ans, je dis bullrun bear market. Par contre, il faut séparer Bitcoin du reste. Bitcoin baissera, mais les mouvements seront moins violents. Il y aura une vision un peu plus long terme des investisseurs, même si on disait pareil en 2021. Par contre, côté Alcoin, on peut être sûr qu'ils vont se faire ouvrir. Et c'est historiquement plus rentable de prendre des profits très graduels dans la montée que de holder un token un peu obscur jusqu'au prochain cycle. Parce que imaginez s'il a... Qu'est-ce qui a explosé au dernier cycle ? Chilizé. En 2020 ou 2021, le truc a explosé. Vous avez fait x10 sur Chiliz, vous vous dites putain. Et vous posez la même question que Victor. Est-ce que je dois rester sur mes investissements ou pas ? Vous dites non, vas-y, je hold Chiliz. Parce que c'est dur à visualiser maintenant, mais à l'époque, c'était vraiment, on se disait c'est big. Je hold Chiliz jusqu'au prochain cycle. Bah là, c'est dans les tréfonds de CoinMarketCap. Il y a de fortes chances pour que vous ayez vendu parce que c'était trop dur à faire. Et il ne faut pas négliger la violence d'InverMarket, sincèrement. Donc... je recommande vraiment aux gens qui sont dans ce schéma pardon j'ai mon téléphone qui sonne je sais pas pourquoi ok une alarme qui s'est activée c'est bon que je recommande vraiment aux gens pour qui c'est le premier bullrun de ne pas négliger la violence d'un bear market parce qu'en fait j'étais là quand Solana était à 7 dollars j'étais là quand Bitcoin était à 15 000 c'est vraiment violent genre c'est pas en mode on sait que ça va remonter il y a cette cette peur ambiante, et en plus il y a des altcoins qui remontent pas. Atom, Polygon, Chiliz, il y en a plein. Donc non, sincèrement, en tout cas moi dans ma stratégie, je pense que c'est utopique de penser que les altcoins baisseront pas. Même si j'adore Solana, j'adore Shining, Bitensor, ils seront sûrement fortement défoncés au prochain bear market. D'ailleurs, pendant que j'y pense, si ça vous intéresse, il reste quelques places pour des petits accompagnements. En gros les accompagnements, c'est vous m'envoyez un petit mail sur le mail qui est en description. Si vous avez des besoins sur votre stratégie, votre prise de profit, vos prises de position, etc., je ne fais pas de conseil en investissement, d'accord ? Je ne vous dis pas dans quoi investir. C'est plus pour la structuration globale de votre portefeuille. Donc vous m'envoyez un petit mail et après, je fais des sessions des fois de 30 minutes, voire une heure, voire deux heures avec les gens qui en ont besoin pour ça. Et il reste quelques petites places, donc si ça vous intéresse, envoyez-moi un petit mail. Dernier sujet, les amis, ça fait quand même 40 minutes qu'on est là. J'espère que vous passez un bon moment. Dernier sujet, dernier sujet, dernier sujet, c'est celui-là. Il y a des sujets... Alors, le titre de ça, c'est apprendre quelque chose. Je vous remets le contexte. En ce moment, je suis en train d'apprendre l'anglais pour faire des vidéos YouTube en anglais. Comment te dire que... Bah, la tâche est quand même un peu désagréable. Enfin, un peu pas désagréable, parce que c'est agréable d'apprendre l'anglais, mais technique. Et du coup, je suis en train de tryhard l'anglais. Et il y a des sujets où tu te dis ça serait très stylé de les apprendre. mais la montagne est tellement haute que souvent on se fige et on ne sait pas par où commencer et ça me l'a énormément fait et au final je me figeais moi-même sans avoir même essayé ou alors en ayant regardé les mauvaises choses et en ce moment du coup je suis en train d'apprendre l'anglais et apprendre une langue c'est exactement ce syndrome la montagne t'es en mode comment je fais ça par où je commence pour que ce soit efficace avec moi mais pas trop simple, pas trop dur j'étais un peu voilà, c'est dur et Justement, j'ai vu un TEDx Talk, des TEDx Talk c'est vraiment stylé, que je vous montre en description, d'une femme qui apprend une nouvelle langue tous les deux ans, tous les deux ans pardon, qui doit en parler maintenant une dizaine de langues, et qui décortique du coup comment exactement on fait pour apprendre une langue, et je pense que ça marche pour tout ce qu'on veut apprendre dans la vie. En fait pour elle, il y a quatre piliers principaux. Le premier pilier c'est la méthode, comment on procède, est-ce qu'on a un prof qui nous donne des cours, est-ce qu'on pratique énormément, est-ce qu'on relie nos fautes. Avoir une méthode propre c'est obligatoire. Parce qu'en fait, si tu veux apprendre l'anglais et que t'as pas de méthode, bah tu vas naviguer entre différentes approches et tu seras pas efficace. Donc avoir une méthode propre qui n'est pas la méthode optimale, mais qui est propre, c'est-à-dire qui est bien déterminée, c'est hyper important. Petit tips pour ça, la pratique à fond, même quand on n'est pas prêt. Et si on a les moyens, payer pour avoir quelqu'un qui peut nous apprendre des choses et qui sait nous apprendre des choses, qui peut nous suivre et ça va nous faire gagner énormément de temps. J'ai des gens qui me suivent du coup dans l'anglais maintenant. Et la différence est folle avec quand j'étais tout seul, sincèrement. Alors, juste sur la méthode, la plupart des gens en ont une. Je pense que souvent, ça manque énormément de pratique parce que c'est souvent beaucoup de planification, parce que c'est confortable de planifier. Mais en vrai, des fois, il faut juste prendre un livre en anglais et le lire à voix haute et tout lire. Et c'est ta méthode et c'est comme ça, la pratique. Ensuite, le système. Le système, c'est le deuxième pilier. C'est le processus qu'on va mettre en place pour appliquer notre méthode. Donc par exemple pratiquer tous les jours entre midi et 13h, ça c'est un système. Moi j'ai longtemps bloqué sur le système, soit parce que je faisais des systèmes trop compliqués, et du coup je les tenais pas, genre j'avais 4 applications, je faisais ça, ça, ça, on a tous peut-être essayé le... bah je sais pas si on a tous essayé, mais en tout cas moi je faisais ça, genre je planifiais mes journées à la demi-heure près, je fais ça, ensuite je fais ça, ensuite je fais ça, et en fait ça marche pas, parce que mon système est trop compliqué, ou alors parce que je le tiens pas, ou alors parce que j'en ai pas, et du coup je faisais qu'à la motivation. Spoiler, ça marche pas. Le meilleur système, c'est le système que l'on tient. Ça doit être adapté à la personne, ça doit être adapté à votre vie, peu importe. Si ton système, c'est tous les jours entre midi et 13h, je travaille sur ça, c'est simple, c'est efficace, ça marche, mais il faut un système pour pouvoir pratiquer sa méthode. Ça, c'est les deux premiers piliers, la méthode et le système. Le troisième pilier, c'est le plaisir. En anglais, elle dit enjoyment. Prendre du plaisir dans l'apprentissage. Et ce que les gens ne comprennent pas, c'est que c'est un pilier non négligeable, obligatoire. Sinon, tu ne progresses pas. Parce qu'en fait, tu ne peux pas tenir ton système et t'améliorer sans prendre du plaisir. Pour l'anglais, je prends beaucoup de plaisir à venir parler et à essayer d'améliorer ma prononciation. C'est un truc que j'aime faire. Être fluide, etc. J'aime parler en anglais, c'est très satisfaisant. Et je préfère faire ça, par exemple, qu'écrire de l'anglais ou faire de la grammaire ou des trucs de style. Et du coup, je parle beaucoup plus. Parce que je prends plus de plaisir à ça. Et vraiment, trouver du plaisir. Et c'est cette fameuse... Cette bonne vieille citation de si tu fais ce que tu aimes, tu n'auras plus besoin de travailler qui est un peu bisounours. Mais qui est quand même importante dans le sens où si vous voulez apprendre un truc, ouais, trouver une façon que ça soit cool, tu vois. Tu veux apprendre l'anglais, si t'as envie d'aller sur des... Je sais pas, si t'es sociable et que t'as envie d'aller sur différentes plateformes pour discuter avec des gens en anglais, bah vas-y, tu vois, fais-le. Je ne suis pas d'exemple de fou, mais vous voyez ce que je veux dire. Le plaisir. Et le dernier truc, c'est le truc obus. Le plaisir, la méthode et le système. Mais c'est les quatre gros piliers. Et le dernier pilier, il est pareil, très obus et très important et plus deep qu'on ne le croit. Est-ce que vous avez une idée de quel est le dernier pilier ? Le dernier pilier de l'apprentissage, c'est la patience. On est dans une société qui veut qu'on ait tout, tout de suite. Donc entre l'excitation où on se dit je vais apprendre la guitare et je suis hyper hype et dans trois mois où j'aurai passé ce stade, il y a toujours un gouffre qui fait que la plupart des gens arrêtent. Mais c'est là où tous les systèmes sont interconnectés. On reste patient quand on a un système qu'on peut suivre, une méthode qui est claire, avec laquelle on prend du plaisir. Et c'est pour ça que c'est aussi puissant comme coup. Un truc que j'aime bien faire quand je me sens un peu découragé et que je me dis putain ça va prendre plusieurs mois etc. C'est juste me rappeler du mois il y a 6 mois. Donc il y a 6 mois, on était en septembre, août, juillet, juin, mai, avril. On est en avril dernier. Bah c'était il n'y a pas si longtemps. Et est-ce qu'en avril dernier, j'aurais été content d'avoir pris 6 mois pour apprendre l'anglais pour arriver maintenant ? Bien sûr que oui. Donc dans 6 mois, qui n'est donc pas si longtemps, je serais content du mois qui veut apprendre l'anglais maintenant et qui est devenu bon. Et franchement, je prends un accent bizarre, franchement... On peut faire des belles choses en pas tant de temps si on le fait un peu tous les jours. Genre l'anglais, là, ça fait un mois que je bosse dessus. Franchement, l'évolution est folle et je me rends compte à quel point je n'ai pas... Dans ma vie, il y a eu beaucoup de sujets sur lesquels je ne fais que ça pendant un mois. Et je ne fais pas que ça, mais je fais une heure par jour en tout cas, une ou deux heures par jour, tous les jours pendant un mois, la différence est folle. Et on peut apprendre tout ce qu'on veut en étant juste assez régulier, pendant moins de temps qu'on le croit, juste en étant assez agile et assez organisé. La méthode, le système, le plaisir, la patience. J'ai vu pas mal de gens d'ailleurs dans les commentaires du dernier podcast qui m'ont dit qu'ils essayaient d'apprendre des choses, qui ont un peu joué le jeu de dire je commence les sports de combat, machin, donc bravo à vous. J'espère que tout se passe bien pour vous. Vous êtes dans la période qu'on appelle le deep, normalement à ce moment-là. C'est que la première semaine était un peu excitante, t'étais un peu dans le truc, ah je vais me mettre à apprendre quelque chose, et en fait maintenant, c'est la période où t'es juste nul à ce que tu essaies de faire, et qui est la période la moins gratifiante et la plus ingrate. Est-ce qu'ingrat est le contraire de gratifiant ? Ouais je crois, ingrat, ça fait du sens, je savais pas. donc courage à vous courage à vous et c'est les périodes les plus difficiles donc accrochez-vous pour ce moment et c'est pour ça que le Discord peut aider donc allez faire un petit tour sur le Discord les amis, c'est la fin de ce podcast j'espère que vous avez passé un bon moment je vous embrasse, prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine pour un nouveau podcast ciao

Chapters

  • Introduction

    00:00

  • Global Liquidity

    05:03

  • Psychologie de la performance pour l’investissement

    12:14

  • Ma thèse pour 2025/2026

    21:01

  • Discord pour la communauté Investia

    26:14

  • Brûler les bateaux

    27:23

  • Bearmarket après Bullrun ?

    34:35

  • Apprendre quelque chose

    38:21

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Transcription

  • Speaker #0

    Les amis, bonjour à toutes et à tous, j'espère que vous allez très bien en cet épisode d'Investia du... On est vendredi 3 octobre donc il devrait sortir samedi 4 octobre 2025. Moi ça va très bien, vous vous demandez peut-être pourquoi j'ai cette tenue exiguë à savoir une capuche et une veste pour tourner un podcast La raison est très simple, ce n'est pas pour des raisons stylistiques, c'est pour des raisons de... On est en automne et qu'il caille sa race dans mes bureaux. Pourquoi il caille sa race dans mes bureaux ? Parce qu'en fait, je vous explique. On a des bureaux dans un petit endroit complètement paumé, qui sont des bureaux qui sont vraiment cools. On a 100 m², 3 pièces, cuisine et tout, genre les bureaux sont vraiment cools. mais en fait c'est... Un petit vieux qui a genre 90 ans, qui a passé sa retraite, il a acheté un immeuble et en fait toute sa retraite il les a rénovées. Dédé, si tu passes ici, Dédé ne passera jamais ici évidemment, que j'embrasse, qui est extrêmement sympa, mais qui a la fâcheuse tendance d'éteindre la chaudière. Et du coup, il y a toujours deux mois de latence entre, parce que je le vois pas souvent Dédé, des fois il passe et tout, il faut que je l'attrape un peu au vol quand je le vois passer. Mais il y a souvent deux mois de latence entre octobre et genre novembre où il fait un vrai 10 degrés dans les bureaux. Et sachant que je suis pas dans le sud de la France, il fait pas chaud du tout. Donc, donc, donc, Ikaï Saras. Mais bon, ça, ça endurcit le froid et bon pour l'humain. Mais voilà pourquoi je suis en veste, casquette et capuche pour ce podcast. J'espère que vous n'en tiendrez pas compte. J'ai commencé en me faisant une promesse, c'est que je ne mettrai jamais de costard pour paraître plus sérieux dans mes vidéos. Parce que forcément j'ai une tête de mec qui fait jeune. Je suis jeune, j'ai 25 ans, mais je fais même peut-être encore un peu plus jeune. Donc le fait de mettre des hoodies, des trucs à capuche, etc. n'aide pas, et surtout dans un milieu comme celui des cryptos ou de l'investissement, où c'est quand même assez old school, il faut montrer que tu as... que tu inspires confiance par ta magnifique cravate. J'ai décidé que j'en avais rien à foutre, et que je m'habillerais comme je veux. et que j'utiliserais d'autres moyens pour montrer que je peux être digne de confiance que simplement mettre une veste de costume. Je trouve le fait de devoir aller travailler avec un code vestimentaire absolument terrible, et évidemment les gens qui le font n'ont pas le choix pour la plupart. Mais bref, ça n'a aucun intérêt, vraiment, venez en short. Alors, anecdote, on va commencer le podcast, ne vous inquiétez pas. Anecdote, on a eu un stagiaire qui travaille avec nous qui s'appelle Antoine, Antoine, gros bisous si je te vois, premier jour, premier jour du stage, il arrive, petit polo, bien habillé, petit pull, je ne sais plus ce qu'il avait, petite jean, etc., genre vraiment, tu vois, le premier jour de stage, très sérieux, très sympa, bonjour, etc. Il a vu que ce n'était pas du tout le style de la maison, donc deuxième jour du stage. il arrive, maillot de Marseille, casquette à l'envers. Bon, le maillot de Marseille, c'est un débat, mais ça me plaît parce que ici, on ne travaille pas pour les apparences, on travaille pour essayer de montrer des belles choses. Bref, on y va pour ce podcast. Je vous rappelle le principe du podcast, c'est qu'on traite plein de petits sujets autour de l'investissement, mais pas que. Aujourd'hui, il y a à peu près 6 sujets pendant une trentaine de minutes sur les choses sur lesquelles je travaille ou je réfléchis. dans ma vie. J'ai vu pas mal de gens, enfin non pas pas mal, j'ai vu quelques commentaires dire oui il y a 50% de développement personnel et seulement 50% d'investissement. Oui c'est le but. Enfin c'est pas le but c'est juste que c'est les sujets que je, c'est vraiment les sujets que j'explore et donc j'ai toujours une base d'exploration d'investissement mais je ne suis pas passionné que par l'investissement et donc je vous partage juste les trucs qui me font kiffer pour voir un peu comment on évolue, investir assez plus tôt. le podcast où j'essaye de vous partager les choses qui me font évoluer pour que si jamais vous ayez des éléments qui vous plaisent, vous pouvez les prendre et les appliquer à votre propre vie. Donc forcément, il y a de l'investissement, mais pas que. Si vous êtes là pour un podcast extrêmement deep en crypto, allez voir ma vidéo de Cosmos de 45 minutes et après, on verra. Mais ce n'est pas l'objectif. Ce n'est pas l'objectif. Si vous voulez, vous avez des petites timelines dans la description de la vidéo ou du podcast si vous êtes sur Spotify. Vous pouvez passer les différents sujets en fonction de ce qui vous plaît, moi je vous recommande quand même de vous laisser porter. Si vous êtes en train de courir, en train de faire à manger, en train de faire quoi que ce soit, je vous souhaite bon courage et on y va juste avant de commencer. Si vous pouvez vous abonner si vous êtes sur YouTube et mettre un petit like ou... mettre 5 étoiles sur Spotify, vraiment ça prend 2 secondes. Je sais que c'est pas assez chiant à faire, mais ça prend 2 secondes. On y va, j'ai 6 sujets pour ce petit podcast. On va commencer avec un côté un peu investissement, sur la globale liquidité. La liquidité mondiale, global liquidity en anglais, c'est un truc que je regarde énormément en ce moment. Pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? En fait, la liquidité mondiale, c'est une analyse de l'ensemble des flux financiers dans le monde. Je l'ai répété plusieurs fois, je vais le redire encore, on est dans un monde qui est drivé par la dette. Allez voir l'évolution de la dette américaine, il y a des sites qui font ça en temps réel, on rajoutera peut-être ça vite fait au montage. C'est terrifiant, c'est terrifiant et on n'est plus dans un monde de production comme on était dans les années 2000. Dans les années 2000, c'était la production, donc les capitaux qui avaient été produits par l'économie qui représentaient la liquidité qu'il y avait dans le monde. Maintenant, ce n'est plus le cas. La liquidité est représentée par la dette. Pourquoi ? Parce qu'en fait, plus on a de dette, plus on est obligé d'avoir de la liquidité. Et c'est extrêmement logique parce qu'en fait, une économie, elle se mesure par la productivité, par l'évolution, etc. Le truc, c'est que le PIB, par exemple, il est souvent mesuré par rapport à la dette. PIB par rapport à la dette en pourcentage. Et si on voit que, par exemple, la dette représente une trop grosse partie par rapport au PIB, on se dit, ah putain, en fait, on est dans la merde. parce qu'on a trop de dettes et ça va être très compliqué. Et donc du coup qu'est-ce qu'on fait ? Pour foutre cette dette sous le tapis, on imprime, on imprime, on imprime. Comme ça on dilue et on peut dire non mais regardez, regardez la dette ne représente pas une trop grande partie de la liquidité, parce qu'on a imprimé comme des gros ports et donc forcément on a diminué le pourcentage. Et donc on est sur cette spirale infernale. Je vous rappelle une chose, c'est que les monnaies fiduciaires sont par nature vouées à aller à zéro. Et c'est pas un move d'anarchiste ou politique, c'est par nature mathématique, les monnaies fiduciaires sont vouées à la zéro. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les banques centrales, dans leur mandat, c'est littéralement leur mission de diluer la monnaie. Pourquoi ? Parce qu'elles visent une inflation d'à peu près 2% par an. Une inflation de 2% par an, ça veut dire que tous les ans, on ajoute plus ou moins, c'est souvent plus que moins, 2%. de liquidités et de masse monétaire mondiale. En plus de ça, si on prend par exemple les gros événements qu'on a eu dernièrement, la crise de 2008, le Covid, au Covid, on a imprimé 40% de la masse monétaire mondiale. Et donc en fait, si vous regardez, si vous allez sur TradingView et que vous prenez n'importe quelle monnaie fiduciaire, et vous mettez la charte sur genre 50 ans, vous allez voir que ça tend vers zéro, on dirait vraiment un shitcoin. Le principe des monnaies fiduciaires, c'est ça, c'est d'aller à zéro parce qu'on les dilue, on en imprime toujours, toujours, toujours, toujours, toujours. Et donc j'insiste sur ça, en tant qu'investisseur, c'est vraiment la base, protéger l'argent que vous avez gagné en le plaçant de manière à ce qu'il ne se fasse pas démonter par ces taxes cachées qu'est l'inflation. Et j'insiste sur ça, et c'est pas des paroles en l'air, c'est pas de la politique, c'est simplement que c'est la réalité. Comment on fait ça ? On le place dans... des actifs qui sont anti-inflation, c'est assez simple, le S&P, l'or, l'argent, le Bitcoin, ce que vous voulez, mais ne gardez pas tout votre cash en dollars ou en euros par pitié. Bref, la liquidité mondiale, pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? Parce qu'en fait, il y a beaucoup de gens, je ne sais pas si vous avez vu, qui utilisent la M2. La M2, c'est la masse monétaire. La masse monétaire, c'est un peu, tu prends une photo de l'économie ou de la rivière à un temps réel, et tu vois la cascade et tu te dis, ah ok, il y a une cascade, ok, ça avance. La liquidité mondiale, c'est plus une mesure beaucoup plus dynamique, parce qu'elle dépend de quatre éléments. Elle dépend de la Fed, elle dépend de la Banque de Chine, elle dépend de la volatilité, elle dépend du dollar. Et en fait, la liquidité mondiale, c'est plus, on mesure le débit du courant dans la rivière. La M2, on prend une photo de la rivière. Sauf que... il y a une énorme différence. Regardez cette charte. On voit la Global Liquidity en blanc et la M2 en jaune. Pour ceux qui sont sur Spotify, on voit, regardez l'espace vert là, vert et rouge à droite. À un moment, la M2 augmente, mais la Global Liquidity diminue. Pourquoi ? Parce qu'en fait, la M2 est comprise dans la Global Liquidity. En fait, la M2... Elle reflète la santé économique d'un pays. On dit la M2 américaine. Alors que la Global Liquidity, elle mesure la facilité de financement mondial, qui est généralement absorbée par le marché financier. Ce que je veux vous dire, c'est qu'il faut suivre la Global Liquidity et non pas la M2, parce que c'est beaucoup plus précise. Et on le voit là, on a une divergence, c'est-à-dire que les deux se suivent la plupart du temps, mais pas tout le temps, notamment ici où la Global Liquidity a baissé alors que la M2 a augmenté. Et en fait, si on regarde sur ce moment-là, Ce qu'on veut vérifier avec cette divergence, c'est si Bitcoin suit toujours bien la tendance de la globale liquidité. Et oui, Bitcoin ne suit pas vraiment la M2, il suit la globale liquidité. Et c'est vraiment extrêmement important. Pourquoi la M2 a augmenté alors que la liquidité n'a pas augmenté ? C'est assez simple, je vous ai fait un petit document ici. En fait, ce qui s'est passé, c'est beaucoup derrière le rideau. A savoir, on a eu un QT, donc un Quantitative Tightening de la Fed et de la BCE. les banques centrales ont continué de réduire leur bilan, donc elles ont plus ou moins retiré de la liquidité. La banque de Chine a arrêté d'imprimer, ou en tout cas ralenti son impression, et le TGA, le compte général du trésor, a pris des liquidités hors du système. Donc on a retiré de l'argent. Sauf que ça, avec la M2, on ne le voit pas. Mais si on regarde Bitcoin, est-ce qu'il a suivi la globale liquidité ou la M2 ? Il a suivi la globale liquidité. Voilà pourquoi je travaille autant avec la globale liquidité, et voilà pourquoi vous me voyez dans les vidéos faire chier avec ça. Parce que c'est hyper, hyper important, beaucoup plus que la M2. Il faut suivre la liquidité pour comprendre où vont les dynamiques de marché. Voilà pourquoi la M2 est importante, mais la liquidité l'est encore plus. Et voilà pourquoi je suis autant la liquidité. Pourquoi peu de gens le font ? Tout simplement parce que l'indicateur blanc que je vous montre de Global Liquidité, c'est le mien. Et que la plupart des gens, je ne sais pas du tout pour paraître hautain ou quoi, mais la plupart des gens sur les... Les réseaux ne savent pas comment est faite la global liquidité, donc ils n'ont pas la capacité de créer un indicateur qui est fiable par rapport à ce qui se passe, et donc ils s'appuient sur la M2 qui est un petit peu plus simple. Voilà, c'est juste ça, mais je pense que la global liquidité est beaucoup plus simple. D'ailleurs si ça vous intéresse, je fais pas mal de suivi de la global liquidité sur ma chaîne YouTube, mais j'en fais aussi beaucoup plus sur Crypto Recherche où toutes les semaines je fais un suivi de la liquidité. parce que j'estime que c'est extrêmement important. Donc si ça vous intéresse, si vous voulez suivre un petit peu où ça en est un peu plus en détail, comprendre comment ça marche, allez faire un petit tour sur Crypto Recherche. J'adore le sport. J'adore tout ce qui tourne autour du sport de haut niveau. Et honnêtement, je suis extrêmement admiratif des sportifs de top top niveau qui arrivent à rentrer dans un niveau de contrôle et de gestion des émotions qui est absolument inhumain. Donc forcément, j'aime bien lire des trucs sur la psychologie de la performance. Et en vrai, même si vous n'aimez pas le sport, c'est une discipline qui est tellement compétitive, le sport de haut niveau, peu importe le sport, qu'en fait la différence se fait sur des détails. Et du coup, ce qui est très intéressant, c'est que les gens qui travaillent sur cette optimisation, ils vont décortiquer les détails pour les optimiser. Et ça, je trouve ça très beau parce que du coup, ça donne des informations qui sont assez belles. Et j'ai trouvé une loi qui s'appelle la loi de Yerkes-Dodson. Je ne sais pas si ça vous parle. la loi d'Hierkesdotson elle parle du fait qu'en fait il y a une relation très proche entre le stress et les performances. Le bon vieux DM de philo que tu fais la veille à 22h, sauf qu'en fait, t'es tellement stressé, parce que tu dois te bouger le cul, que t'es un monstre. Je sais pas si ça vous parle, déjà le mot DM est terrible, ça date, le lycée, mais t'arrives à 22h et tu te dis, putain, faut que je fasse ma 10h de philo, et en fait, tu torches le truc parce que t'es tellement fort, parce que t'as pas le choix, c'est demain, il faut que tu sois bon. Et en fait, Un certain niveau de stress est favorable à la performance jusqu'à un certain stade. C'est ça la loi de Yerkes-Dutton. Quand il n'y a aucune pression, on tombe dans une espèce d'ennui qui nous pousse à ne pas être performant. Il fallait me voir à la BU en septembre pour comprendre. En fait, quand tu fais tes partiels en décembre et en mai, tu dois valider tes partiels. Quand tu es à la fac, tu as des partiels à valider en décembre et en mai. Mais le reste du temps, la fac, elle te fout la paix. Et donc, des fois, tu vois, t'es plein de bonne volonté, t'arrives en septembre ou en octobre à la bibliothèque, tu te fais un grand plan, tu te dis, vas-y, je vais prendre de l'avance et tout, et t'es à la biblioth��que comme ça, et en fait, tu branles absolument rien, parce qu'on est en septembre et que t'as aucune pression. La pression aide à être performant. Ensuite, un certain niveau de stress, un certain niveau d'activation cérébrale va faire monter la performance. Mais ça, jusqu'à un certain niveau, où trop de stress est néfaste. Ça crée de l'anxiété, ça démonte la performance. Par exemple, si tu dois... Si tu as ta thèse que tu dois faire en une nuit, tu peux être absolument trop stressé et te figer. Quand tu as trop de niveau de stress, c'est pas bon pour la performance. Peut-être même des compétitions qui sont trop stressantes. Il faut que ça soit assez logique. Et du coup, ça donne cette charte. Si vous êtes sur... sur YouTube de ce que j'appelle, enfin c'est pas moi qui l'appelle, mais ce qu'on appelle la loi de Yerkes-Dodson. Et donc il y a plein de choses à tirer de ça. Première chose, la pression est un carburant. Donc se mettre soi-même dans des niveaux de pression qui sont volontairement un tout petit peu élevés permet d'être plus performant. Ça peut être un entraînement un peu plus dur, ça peut être aller s'entraîner avec quelqu'un qui est un peu plus fort que soi. Une deadline pour finir quelque chose. essayez de mettre un peu de compétitivité Genre quand on travaille sur quelque chose, dire à son pote, ok vas-y, on essaie de faire le meilleur truc et après on s'échange pour se donner des feedbacks. Juste un petit peu de pression en plus, ou quand tu travailles, tu sais qu'il y a une conséquence si jamais tu ne travailles pas de manière assez optimale. La pression est un carburant. Ensuite, il existe une sorte de sweet spot, une zone dans laquelle on est optimaux, avec un niveau de pression suffisant qui nous permet d'évoluer à notre prime. C'est la zone vraiment où on est dans ce qu'on peut appeler le flow. Le flow, c'est un peu ça. C'est le niveau où on est assez stimulé, assez sous pression, mais pas trop stressé, et du coup, on est dans la zone parfaite pour performer. Autre chose, c'est qu'on peut augmenter sa zone optimale en faisant des petits efforts permanents qui nous sortent juste un tout petit peu de notre zone de confort pour venir l'élargir. En ce moment, je fais des recherches sur un mec qui s'appelle Alex Honnold qui fait du free solo, c'est-à-dire de l'escalade en falaise à 700 mètres de haut, sans cordes. Et donc c'est un truc de malade, tu vois le truc, tu te dis mais pourquoi il fait ça ? Et en fait lui il explique que oui tu vois la vidéo du mec qui monte à 700 mètres de haut, mais en fait c'est parce que tous les jours il a fait un truc un peu plus dur que le jour d'avant, et petit à petit il a élargi sa zone de confort jusqu'à ce que ça devienne ça, sa zone de confort. Mais c'est parce qu'il y a tout ce travail derrière. Autre chose c'est que vouloir se mettre trop en stress ne marche souvent pas, et la différence dans certaines situations de stress extrême... se fait par ceux qui arrivent à mieux rester dans leur zone de génie de performance, donc à redescendre cette pression. Jouer un tie-break, prendre une décision d'investissement importante en crise, il faut un niveau de stress plus bas, donc utiliser des techniques de respiration, une routine du calme, de la préparation. Un truc qui est vraiment réel, c'est que la grosse différence entre les investisseurs, elle ne se fait pas sur les 95% du temps où on est dans des ranges, ou alors on a des montées ou des petites descentes, elle se fait sur les 5% du temps. extrême, que ça soit à la hausse ou à la baisse. Donc les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones d'euphorie, quelle va être ta décision ? Et les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones de peur, des crashs, FTX, 2008, etc., quelle va être ta décision ? En vrai, c'est juste ça. Si t'as d'acheter au crash du mois de... C'était quand ? Avril ? Du mois d'avril, 8 avril, un truc comme ça ? Ou mars ? Non, avril, je crois. 8 avril, si t'achètes à ce moment-là, t'as une décision énorme à faire sous pression, parce que c'est... des moments où tu es dans des niveaux émotionnels et de pression qui sont assez hauts, et c'est là qu'il faut réussir à prendre des bonnes décisions rationnelles. Et tout ça se travaille, et les grands sportifs travaillent ces moments-là. Ce n'est pas que tu t'élèves au moment de briller, au moment de performer, tu ne t'élèves pas, tu restes à ton niveau moyen. Et donc si tu n'as pas travaillé cette zone de génie et cette zone de résistance au stress et la façon dont tu vas prendre action, tu vas arriver là, tu vas te figer ou tu vas prendre de mauvaises décisions. Et c'est dans ces moments-là que c'est important. Et donc c'est vraiment extrêmement important à faire. J'ai écouté un podcast de Georges Saint-Pierre, qui est l'un des plus grands combattants de MMA de l'histoire, et qui est un mec que je trouve extrêmement inspirant, qui disait ça, que tu ne montes pas de niveau pour l'occasion. Tu es à la moyenne de ce que tu as fait pendant la dernière année. Et c'est pour ça que plein de petites actions vont avoir une différence sur ces fameux 5%. Les actionnables, ça peut être quoi ? Ça peut être s'exposer un peu plus à la pression, demander un feedback à quelqu'un. Quand tu as un truc à faire en 6 heures, s'exposer à ça et mettre 3 heures au lieu de 6 et se dire, OK, quand tu dois parler en public, essaye de tenter une petite vanne si tu dois parler en public. Des petits trucs à la con, tu vois, mais juste monter, monter, monter un peu sa résistance à la pression. Travailler aussi ce qu'on appelle le sweet spot, c'est-à-dire la zone de performance. Que ça soit à la hausse ou à la baisse, quand on sent qu'on l'a dépassé dans des situations de stress, essayer un peu de l'identifier, de visualiser comment on aurait pu agir différemment. Moi, j'ai fait plein de matchs de tennis, je parle beaucoup de tennis, mais je suis zéro au tennis, je suis nul. Mais j'ai fait pas mal de matchs de tennis où le tennis, ça te prend les émotions, et des fois, tu perds le fil, mais tu n'as plus rien, tu vois, parce que j'avais dépassé cette zone-là. Et après, j'ai essayé de me dire, bon, OK, comment j'aurais pu faire un peu des choses différemment, tu vois. comment, j'aime pas cette phrase parce que ça fait très développement personnel mais comment act... ton cerveau. Ensuite, essayez de pratiquer ce qu'on appelle Le progressive over-road mental, chaque semaine, ajouter un petit confort pour élargir sa zone de confort, je pense que c'est important. Essayer de se relâcher, de fractionner l'objectif et surtout se préparer en visualisant les différents scénarios possibles. C'est ça qui fait vraiment une énorme différence et surtout dans les 5% d'investissement. On a parlé des 5% d'investissement. Là, la différence est énorme dans ça. Michael Phelps qui est le plus grand athlète de l'histoire du sport, tous les jours, il visualisait tous les scénarios possibles qu'il pouvait se passer pendant genre une heure. Tous les jours. Tous les jours. Depuis qu'il a 12 ans. Donc en fait, il est arrivé à 20 ans et quelques au JO. Je crois que c'était le 200 mètres papillon. C'était en 2008 quand il a tout gagné là. Et en fait, ses lunettes se remplissent d'eau pendant le 200 mètres papillon. Ou le 100 mètres papillon, bref, on s'en fout. Ses lunettes se remplissent d'eau. Et des nageurs un peu moins expérimentés, ta course, elle a fini. parce que tes lunettes sont remplies d'eau Tu paniques un peu, t'es moins efficace, t'essaies de regarder, bref. Lui, il avait déjà visualisé ce scénario, il s'est ajusté, il a dit, ok, je sais, j'ai déjà pensé à ce que je ferais dans cette situation, et il a agi, et il a gagné. Et ça, c'est beau. Ah, celle-là, elle est belle. On retourne du côté investissement. Ma grosse thèse sur 2025-2026. Celle-là, c'est un truc que je vais beaucoup utiliser dans mes vidéos YouTube, et aussi sur Crypto Recherche. Donc vous l'avez là en avant-première sur ce podcast. C'est ma thèse pour 2025-2026. Donc je vous ai parlé de la liquidité. Avec toutes les recherches que j'ai faites sur la situation économique et de liquidité mondiale, je pense que l'année 2026 va marquer un sommet de la liquidité mondiale. Pourquoi et quelles sont les conséquences ? Déjà, pourquoi est-ce que je pense ça ? Après, je vous explique ce que ça implique. Pourquoi je pense que le 2026 va marquer un sommet de liquidité mondiale ? Pour quatre raisons. La première raison, c'est qu'on a une croissance économique qui est prévue d'à peu près 3%. Pas de récession dans les principales zones, donc on est dans un schéma propice à une hausse de la liquidité. La deuxième chose, c'est qu'on arrive en 2025, 2026, 2027 dans ce qu'on appelle un mur de refinancement. Dites-vous qu'en fin d'année 2025 et en 2026, il y a 10 trillions de dettes qui arrivent à maturité. Donc 36% de la dette mondiale qui arrive à maturité. Donc 36% des collatéraux arrivent à leur valeur maximale. Donc on va avoir un refinancement énorme de la dette. Et plus on se rapproche de la maturité des dettes, plus on a de la liquidité qui est élevée. Parce que la décote de ces collatéraux va être un peu plus faible. Bon c'est un peu technique. En gros, je vous prête mon vélo. Je vous prête mon vélo et je te dis, bon, je te le prête, mais c'est 200 euros de caution. Et tu me dis, ok, je te le rends dans 5 ans. Je vais dire, comment ça dans 5 ans ? Mon vélo, il vaut 1000 balles. Tu me le prends 5 ans, ben non, c'est pas 200 euros de caution, c'est 2000 euros de caution. Et si tu me dis par contre, ok, mais vas-y, je te le rends dans 2 jours, je vais dire, ah ben c'est bon, c'est 200 euros de caution, 100 euros, tu vois. Là, La caution que je vais demander va dépendre de si on est proche ou pas de la maturité. Si la maturité est dans deux jours, ce n'est pas pareil que si la maturité est dans deux ans ou cinq ans. Et donc, puisqu'énormément de prêts entre les banques se font avec des bons du trésor en collatéraux, en caution, plus ces bons du trésor arrivent proches de leur maturité, moins on va demander de prix supplémentaires, ce qu'on appelle une décote sur tout ça. Et donc ? Vu que l'argent, la liquidité est créée en partie via les crédits, ça va avoir un impact sur la liquidité mondiale parce qu'on aura plus de création monétaire à partir du moment où les dettes arrivent proches de maturité. Voilà pourquoi je pense que la liquidité va augmenter aussi. Ensuite, on est dans une politique monétaire qui est accommodante. On l'a vu, il y a des emplois qui ont été revisités. On croyait qu'il y avait 50 000 emplois qui avaient été faits je crois au mois d'août ou septembre. je crois que c'est mois d'août, et en fait on est à moins 3000, donc il y a eu des erreurs, en tout cas des valeurs qui étaient fausses, donc potentiellement l'économie est dans une situation pire qu'on ne le croit, et donc la Fed va baisser les taux avec beaucoup plus d'agressivité, donc on a eu 110 baisses des taux en 2025, dans toutes les banques, dont les principales zones, la Chine, les Etats-Unis, la Fed, etc. 2025 est la quatrième année. en nombre de baisses des taux. C'est une année propice à l'économie, c'est une année qui est en train de set-up quelque chose, même si 2025 est un peu puant pour les cryptos et pour l'économie. Et on a une hausse du plafond de la dette américaine qui va créer tout ça. Et donc je pense que 2026 va marquer un sommet dans la liquidité mondiale. Parce qu'on a plein de facteurs qui sont en train de se mettre en place. Donc comment est-ce qu'on s'ajuste ? On s'ajuste en étant positionné sur les actifs de qualité. Et je pense que du coup 2026 sera une belle année. Qu'il va falloir prendre des profits parce qu'on peut avoir des mouvements paraboliques. Et oui je le dis, et oui je sais, les gens n'aiment pas à quand. Les youtubeurs disent ça parce que la plupart des gens disent ça un peu n'importe comment et parlent de phase parabolique. Si vous regardez, je parle très peu de phase parabolique, d'alcool in season, etc. J'ai toujours un peu la même thèse de top de marché en fin d'année 2025, voire début 2026, ça fait longtemps que j'ai ça. Mais je pense que 2026 va marquer aussi un top pour les marchés financiers. Et que 2027-2028 peut être un peu pourri, voire bien pourri. Donc prendre des profits et savoir se préparer à ça. C'est quelque chose qui est très important. On a vécu, dans ce qui représente les 15 dernières années de notre vie, une période extrêmement historique de bullrun permanent. Et ça ne durera pas indéfiniment. Voilà, c'est tout ce qu'on peut dire, ça ne durera pas indéfiniment. Et donc, ça fait du sens qu'après l'expiration de toutes ces dettes et le renouvellement de toutes ces dettes, on puisse avoir une sorte de reset. qui ne soit pas non plus exceptionnel pour les marchés financés. Petit aparté, j'ai relancé le Discord E-REAL avec un nouveau channel Investia qui a été dédié. Donc si jamais vous voulez discuter des sujets qui tournent autour d'Investia, ce ne sont pas forcément les sujets que je parle, mais les différents topiques, que ce soit économie, crypto, développement personnel, nutrition, sport, machin, description. Vous êtes sur le Discord et vous dites bonjour, il vous faut une petite présentation de vous si vous en avez envie, et vous pouvez discuter. Allez-y, allez faire un tour parce que je vais essayer d'être actif sur ce Discord, juste pour envoyer, faire des petites discussions. Et si on a une petite communauté d'une cinquantaine de personnes minimum, même si on peut être beaucoup plus, je sais qu'on est beaucoup plus, faites-le. Et si vous en avez envie, allez vraiment faire un tour, je vais juste voir si on a de l'engouement ou pas, s'il y a suffisamment d'engouement. Pourquoi pas regarder pour créer un jour des challenges tous ensemble, je sais pas, se péter un marathon ensemble avec le... la commu, faire des petits space discord où on discute tous ensemble, ça pourrait être sympa. Ça, ça va vraiment dépendre de s'il y a de l'activité ou pas sur ce channel. C'est gratuit, évidemment. Ensuite, on change totalement de sujet. Brûler les bateaux. Je fais juste une petite parenthèse. J'ai vu un commentaire intéressant sur quelqu'un qui disait mais pourquoi... Parce que je parle beaucoup de productivité, de performance, etc. Et je vous rappelle que, en fait, le commentaire, c'était... Oui, est-ce qu'on est toujours obligé de vouloir performer, performer, et produire, et être productif, machin ? Je vous rappelle que ce que j'ai écrit, ça s'applique parce que j'ai envie, à ce moment de ma vie, d'être performant, d'être productif, machin. Mais vous faites bien ce que vous voulez, d'accord ? C'est juste la façon dont moi je vois les choses. Et du coup, si vous êtes dans le même état d'esprit et que vous avez envie de performer, de vous développer en tant qu'être humain, ça peut être utile selon moi. Mais après, chacun a ses objectifs de vie qui sont totalement différents. Et d'ailleurs, votre vision est toujours très intéressante dans les commentaires. Brûler les bateaux. Une métaphore que je trouve très puissante, c'est celle des bateaux vikings. Il y a une légende qui dit, alors je ne sais pas si c'est vrai, que quand les vikings allaient aborder une nouvelle ville, en Angleterre ou je ne sais pas où, souvent ils faisaient bien chier les anglais, ils arrivaient en bateau et avant d'aller se battre, ils brûlaient leurs bateaux. Comme ça, il n'y avait que deux issues, la mort ou la victoire. Ils ne peuvent pas juste arriver et se dire « Ah putain, c'est dur, merde, on a froid. » on n'a pas à manger et tout, on passe de nuit un peu pourri à se battre, et bon allez, vas-y, demi-tour. Et on abandonne. Non. C'est soit ils se battent, soit ils meurent. Enfin, ils se battent, soit ils meurent, soit ils gagnent, plutôt. Et cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante. On peut l'utiliser dans plein de sphères de notre vie. Quand j'ai commencé les vidéos, je vais vous faire une confession, j'étais pas si fort. Je faisais des analyses de projets, et quand on voit la vidéo, on se dit, oh putain, ok, il est chaud, il connaissait son sujet. la réalité c'est qu'il y a plein de notions que j'expliquais, que je venais d'apprendre, parce que c'était très technique en fait, comment tu veux expliquer le proof of history de Solana, ou la notion de DAG, de D-A-G sur Fantôme, de registre distribué, quand tu n'as pas fait d'informatique ou de code. Sauf que la différence c'est que le fait de faire la vidéo sur le projet, en montrant ma tête, ça m'obligeait à suffisamment comprendre le fonctionnement d'une tech, d'un protocole ou autre, pour être capable de l'expliquer en vidéo. J'avais pas le choix en fait, parce que après je montrais ma gueule derrière en vidéo en train de parler d'un truc, et il fallait pas que les gens voient que je maîtrise pas le sujet, donc pour contrer ça j'étais obligé de brûler les bateaux. Et ça c'est la version extrêmement soft de brûler les bateaux, d'accord ? Mais si on regarde plein d'histoires de gens qui ont vraiment réussi... il y a de fortes chances qu'ils aient brûlé les bateaux une fois dans leur vie de manière très drastique. Exemple qui est un peu plus puissant que se forcer à faire une vidéo, Francis Ngannou. L'ancien champion de l'UFC, qui fait de la boxe maintenant. Il vient du Cameroun, dans un village archi-pauvre. Un jour, quand il avait 18 ans, il a dit, c'est bon, ça me saoule, c'est bon, l'Afrique, je vois pas d'opportunité, je peux comprendre cette réflexion. Il est d'un tout petit village, bref. Il dit, je vais en Europe, je vais devenir champion du monde de boxe. Je n'ai jamais fait de boxe, j'ai 18 ans. Ok, bah vas-y. Il est parti, tout seul, à pied. Sans passeport, sans argent, il a traversé plein de frontières illégalement. Il a passé, je dis pas de conneries, plus d'un an à vivre dans la forêt, entre je crois que c'était le Maroc et l'Espagne, du coup pour aller en Europe. Et en fait il est enfin arrivé à Paris au bout d'un an et demi de déplacement. Et quand il est arrivé à Paris, il savait pas faire de boxe, du coup il dormait dans un parking. Il a demandé au gars de la salle s'il pouvait dormir dans la salle. Le coach a accepté et derrière il avait pas le choix de s'entraîner suffisamment. pour devenir champion, parce que c'était littéralement sa survie qui en dépendait. Et ça, c'est brûler les bateaux. Ça, je trouve ça très puissant, très, très, très... Je sais pas, il y a une sorte de loi de l'attraction qui se met en place quand tu fais ça. Est-ce que s'il avait pris des petits cours d'économie en parallèle à la fac, et qu'il avait le choix de prendre un petit job de bureau au lieu de s'entraîner et d'aller se battre, il serait quand même devenu champion ? On sait pas, mais... Quand même. Et je suis persuadé que pour vivre la vie qu'on veut, on n'a pas vraiment le choix, à un moment ou à un autre, d'être un peu extrême et de brûler les bateaux pour se concentrer à 100% sur ce qu'on fait. Et je trouve qu'il y a un côté hyper épique à ça. Et je l'ai remarqué quand j'ai arrêté les études. Bon, il y a toujours les gogoles qui me diront « Oui, t'as arrêté des études pour faire des vidéos, c'est débile. » Ouais, si tu veux. mais la différence entre quand j'étais à la fac en 50-50 et que j'ai arrêté, enfin j'ai pas vraiment arrêté, j'ai eu mon diplôme et que je suis passé full time et que ma vie était est-ce que mon business marche ou pas est-ce que je vais pouvoir continuer quand je suis passé full time la différence dans ma disponibilité et dans le fait de ma façon de réfléchir et la différence était folle parce que j'avais plus de parachute j'avais plus de au pire j'ai quand même un plan B vas-y je suis pharmacien et du coup mon business marche vraiment bien depuis ce moment là Merci. Parce que ma différence de disponibilité est mieux. Et je trouve qu'il y a un côté très épique à brûler les bateaux. Je ne vous dis pas d'arrêter vos études pour faire des vidéos, d'accord ? Mais juste, je pense que parfois, il faut savoir être un peu extrême dans sa vie et tenter des choses. Et je vois beaucoup de gens qui me disent « Ouais, en vrai, j'hésite à faire une pause dans mon taf pour lancer ce projet. » Et je sais plus qui disait ça mais j'avais trouvé ça puissant. Que en fait quand tu as une décision à prendre. Tu prends la décision. Tu prends toujours le chemin qui est le plus épique. Quel est le chemin le plus épique ? Bon c'est un peu extrême mais je trouve ça fou. Tu vois ? Ok bah en vrai vas-y. Tu vois vas-y tente. Fais une pause de un an. Galère un peu pendant un an. Et essaie de développer ton jeu vidéo, ta chaîne YouTube, ton livre peu importe. Parce que en vrai déjà c'est quand même... puissant, forcément t'apprends des choses, il n'existe pas de cas zéro où genre il n'y a zéro zéro conséquence positive pour toi. Genre ça peut ne pas marcher ton livre, mais après écrire un livre tu auras pris des contacts chez un éditeur, peut-être que tu vas en faire un deuxième, peut-être que celui-là va marcher et que tu vas pouvoir se développer et qu'au bout d'un moment tu seras moitié écrivain, moitié dans ton taf tu vois. Mais c'est hyper puissant et souvent quand j'ai des décisions comme ça Je me dis, est-ce que quand j'aurai 80 ans sur mon lit de mort, qu'est-ce que je me dirais qui a été une bonne décision ou pas une bonne décision ? Est-ce que j'ai envie d'avoir 80 ans et de me dire, ah putain, j'aurais peut-être pu faire ce truc avec YouTube et vivre de ma passion et avoir l'équipe que je veux, mais bon, j'ai choisi la sécurité, d'avoir mon diplôme et de travailler dans mon taf que je n'aime pas trop. Ben non, ben non. Et encore une fois, c'est ma vision. et si vous n'avez pas la même vision, il n'y a aucun problème, mais j'aime bien cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante, et après chacun peut l'apprendre dans son dans les circonstances qu'il veut, il y a plein de circonstances différentes mais c'est très puissant on retourne du côté investissement il y a un commentaire de Victor Barallier bonjour à toi, merci pour ton com Victor qui disait, qui posait une question que je vais vous lire Est-ce qu'après un possible top de marché vers début 2026, on entrera dans un bear market comme les cycles précédents ? Est-il théoriquement plus rentable de vendre en période de surchauffe ou hold jusqu'au prochain halving ? Ça, c'est la question qui revient tout le temps. Et là, il y a un truc qui revient tout le temps aussi, qui est en train d'arriver. C'est le fameux, il n'y aura plus de bear market, le cycle est différent. Mais c'est fou comme les choses évoluent toujours de la même façon. Je n'insiste, j'insiste sur une chose, je n'ai pas de boule de cristal. Ça se trouve, il n'y aura pas de bear market et les choses seront différentes. Pour moi, pour moi, il y aura un bear market. Et pour moi, penser que ça ne baissera plus est souvent un signe qu'on arrive dans une dernière phase de marché hyper importante. En vrai, cette réflexion se fait plus pour Bitcoin. Et Bitcoin, je peux comprendre. Ma thèse, encore une fois très personnelle, je pense que Bitcoin baissera comme il l'a toujours fait. Peut-être un peu plus tard, peut-être un peu moins fort, ouais. Mais on referme à Bitcoin à 70-80K. J'ai pas envie de dire, j'en suis sûr, mais je pense fortement. Il n'y a rien, que ce soit dans les datas, l'analyse, etc., qui montre que la structure bullrun bear market a changé sur cet aspect-là. Je dis pas le cycle de 4 ans, je dis bullrun bear market. Par contre, il faut séparer Bitcoin du reste. Bitcoin baissera, mais les mouvements seront moins violents. Il y aura une vision un peu plus long terme des investisseurs, même si on disait pareil en 2021. Par contre, côté Alcoin, on peut être sûr qu'ils vont se faire ouvrir. Et c'est historiquement plus rentable de prendre des profits très graduels dans la montée que de holder un token un peu obscur jusqu'au prochain cycle. Parce que imaginez s'il a... Qu'est-ce qui a explosé au dernier cycle ? Chilizé. En 2020 ou 2021, le truc a explosé. Vous avez fait x10 sur Chiliz, vous vous dites putain. Et vous posez la même question que Victor. Est-ce que je dois rester sur mes investissements ou pas ? Vous dites non, vas-y, je hold Chiliz. Parce que c'est dur à visualiser maintenant, mais à l'époque, c'était vraiment, on se disait c'est big. Je hold Chiliz jusqu'au prochain cycle. Bah là, c'est dans les tréfonds de CoinMarketCap. Il y a de fortes chances pour que vous ayez vendu parce que c'était trop dur à faire. Et il ne faut pas négliger la violence d'InverMarket, sincèrement. Donc... je recommande vraiment aux gens qui sont dans ce schéma pardon j'ai mon téléphone qui sonne je sais pas pourquoi ok une alarme qui s'est activée c'est bon que je recommande vraiment aux gens pour qui c'est le premier bullrun de ne pas négliger la violence d'un bear market parce qu'en fait j'étais là quand Solana était à 7 dollars j'étais là quand Bitcoin était à 15 000 c'est vraiment violent genre c'est pas en mode on sait que ça va remonter il y a cette cette peur ambiante, et en plus il y a des altcoins qui remontent pas. Atom, Polygon, Chiliz, il y en a plein. Donc non, sincèrement, en tout cas moi dans ma stratégie, je pense que c'est utopique de penser que les altcoins baisseront pas. Même si j'adore Solana, j'adore Shining, Bitensor, ils seront sûrement fortement défoncés au prochain bear market. D'ailleurs, pendant que j'y pense, si ça vous intéresse, il reste quelques places pour des petits accompagnements. En gros les accompagnements, c'est vous m'envoyez un petit mail sur le mail qui est en description. Si vous avez des besoins sur votre stratégie, votre prise de profit, vos prises de position, etc., je ne fais pas de conseil en investissement, d'accord ? Je ne vous dis pas dans quoi investir. C'est plus pour la structuration globale de votre portefeuille. Donc vous m'envoyez un petit mail et après, je fais des sessions des fois de 30 minutes, voire une heure, voire deux heures avec les gens qui en ont besoin pour ça. Et il reste quelques petites places, donc si ça vous intéresse, envoyez-moi un petit mail. Dernier sujet, les amis, ça fait quand même 40 minutes qu'on est là. J'espère que vous passez un bon moment. Dernier sujet, dernier sujet, dernier sujet, c'est celui-là. Il y a des sujets... Alors, le titre de ça, c'est apprendre quelque chose. Je vous remets le contexte. En ce moment, je suis en train d'apprendre l'anglais pour faire des vidéos YouTube en anglais. Comment te dire que... Bah, la tâche est quand même un peu désagréable. Enfin, un peu pas désagréable, parce que c'est agréable d'apprendre l'anglais, mais technique. Et du coup, je suis en train de tryhard l'anglais. Et il y a des sujets où tu te dis ça serait très stylé de les apprendre. mais la montagne est tellement haute que souvent on se fige et on ne sait pas par où commencer et ça me l'a énormément fait et au final je me figeais moi-même sans avoir même essayé ou alors en ayant regardé les mauvaises choses et en ce moment du coup je suis en train d'apprendre l'anglais et apprendre une langue c'est exactement ce syndrome la montagne t'es en mode comment je fais ça par où je commence pour que ce soit efficace avec moi mais pas trop simple, pas trop dur j'étais un peu voilà, c'est dur et Justement, j'ai vu un TEDx Talk, des TEDx Talk c'est vraiment stylé, que je vous montre en description, d'une femme qui apprend une nouvelle langue tous les deux ans, tous les deux ans pardon, qui doit en parler maintenant une dizaine de langues, et qui décortique du coup comment exactement on fait pour apprendre une langue, et je pense que ça marche pour tout ce qu'on veut apprendre dans la vie. En fait pour elle, il y a quatre piliers principaux. Le premier pilier c'est la méthode, comment on procède, est-ce qu'on a un prof qui nous donne des cours, est-ce qu'on pratique énormément, est-ce qu'on relie nos fautes. Avoir une méthode propre c'est obligatoire. Parce qu'en fait, si tu veux apprendre l'anglais et que t'as pas de méthode, bah tu vas naviguer entre différentes approches et tu seras pas efficace. Donc avoir une méthode propre qui n'est pas la méthode optimale, mais qui est propre, c'est-à-dire qui est bien déterminée, c'est hyper important. Petit tips pour ça, la pratique à fond, même quand on n'est pas prêt. Et si on a les moyens, payer pour avoir quelqu'un qui peut nous apprendre des choses et qui sait nous apprendre des choses, qui peut nous suivre et ça va nous faire gagner énormément de temps. J'ai des gens qui me suivent du coup dans l'anglais maintenant. Et la différence est folle avec quand j'étais tout seul, sincèrement. Alors, juste sur la méthode, la plupart des gens en ont une. Je pense que souvent, ça manque énormément de pratique parce que c'est souvent beaucoup de planification, parce que c'est confortable de planifier. Mais en vrai, des fois, il faut juste prendre un livre en anglais et le lire à voix haute et tout lire. Et c'est ta méthode et c'est comme ça, la pratique. Ensuite, le système. Le système, c'est le deuxième pilier. C'est le processus qu'on va mettre en place pour appliquer notre méthode. Donc par exemple pratiquer tous les jours entre midi et 13h, ça c'est un système. Moi j'ai longtemps bloqué sur le système, soit parce que je faisais des systèmes trop compliqués, et du coup je les tenais pas, genre j'avais 4 applications, je faisais ça, ça, ça, on a tous peut-être essayé le... bah je sais pas si on a tous essayé, mais en tout cas moi je faisais ça, genre je planifiais mes journées à la demi-heure près, je fais ça, ensuite je fais ça, ensuite je fais ça, et en fait ça marche pas, parce que mon système est trop compliqué, ou alors parce que je le tiens pas, ou alors parce que j'en ai pas, et du coup je faisais qu'à la motivation. Spoiler, ça marche pas. Le meilleur système, c'est le système que l'on tient. Ça doit être adapté à la personne, ça doit être adapté à votre vie, peu importe. Si ton système, c'est tous les jours entre midi et 13h, je travaille sur ça, c'est simple, c'est efficace, ça marche, mais il faut un système pour pouvoir pratiquer sa méthode. Ça, c'est les deux premiers piliers, la méthode et le système. Le troisième pilier, c'est le plaisir. En anglais, elle dit enjoyment. Prendre du plaisir dans l'apprentissage. Et ce que les gens ne comprennent pas, c'est que c'est un pilier non négligeable, obligatoire. Sinon, tu ne progresses pas. Parce qu'en fait, tu ne peux pas tenir ton système et t'améliorer sans prendre du plaisir. Pour l'anglais, je prends beaucoup de plaisir à venir parler et à essayer d'améliorer ma prononciation. C'est un truc que j'aime faire. Être fluide, etc. J'aime parler en anglais, c'est très satisfaisant. Et je préfère faire ça, par exemple, qu'écrire de l'anglais ou faire de la grammaire ou des trucs de style. Et du coup, je parle beaucoup plus. Parce que je prends plus de plaisir à ça. Et vraiment, trouver du plaisir. Et c'est cette fameuse... Cette bonne vieille citation de si tu fais ce que tu aimes, tu n'auras plus besoin de travailler qui est un peu bisounours. Mais qui est quand même importante dans le sens où si vous voulez apprendre un truc, ouais, trouver une façon que ça soit cool, tu vois. Tu veux apprendre l'anglais, si t'as envie d'aller sur des... Je sais pas, si t'es sociable et que t'as envie d'aller sur différentes plateformes pour discuter avec des gens en anglais, bah vas-y, tu vois, fais-le. Je ne suis pas d'exemple de fou, mais vous voyez ce que je veux dire. Le plaisir. Et le dernier truc, c'est le truc obus. Le plaisir, la méthode et le système. Mais c'est les quatre gros piliers. Et le dernier pilier, il est pareil, très obus et très important et plus deep qu'on ne le croit. Est-ce que vous avez une idée de quel est le dernier pilier ? Le dernier pilier de l'apprentissage, c'est la patience. On est dans une société qui veut qu'on ait tout, tout de suite. Donc entre l'excitation où on se dit je vais apprendre la guitare et je suis hyper hype et dans trois mois où j'aurai passé ce stade, il y a toujours un gouffre qui fait que la plupart des gens arrêtent. Mais c'est là où tous les systèmes sont interconnectés. On reste patient quand on a un système qu'on peut suivre, une méthode qui est claire, avec laquelle on prend du plaisir. Et c'est pour ça que c'est aussi puissant comme coup. Un truc que j'aime bien faire quand je me sens un peu découragé et que je me dis putain ça va prendre plusieurs mois etc. C'est juste me rappeler du mois il y a 6 mois. Donc il y a 6 mois, on était en septembre, août, juillet, juin, mai, avril. On est en avril dernier. Bah c'était il n'y a pas si longtemps. Et est-ce qu'en avril dernier, j'aurais été content d'avoir pris 6 mois pour apprendre l'anglais pour arriver maintenant ? Bien sûr que oui. Donc dans 6 mois, qui n'est donc pas si longtemps, je serais content du mois qui veut apprendre l'anglais maintenant et qui est devenu bon. Et franchement, je prends un accent bizarre, franchement... On peut faire des belles choses en pas tant de temps si on le fait un peu tous les jours. Genre l'anglais, là, ça fait un mois que je bosse dessus. Franchement, l'évolution est folle et je me rends compte à quel point je n'ai pas... Dans ma vie, il y a eu beaucoup de sujets sur lesquels je ne fais que ça pendant un mois. Et je ne fais pas que ça, mais je fais une heure par jour en tout cas, une ou deux heures par jour, tous les jours pendant un mois, la différence est folle. Et on peut apprendre tout ce qu'on veut en étant juste assez régulier, pendant moins de temps qu'on le croit, juste en étant assez agile et assez organisé. La méthode, le système, le plaisir, la patience. J'ai vu pas mal de gens d'ailleurs dans les commentaires du dernier podcast qui m'ont dit qu'ils essayaient d'apprendre des choses, qui ont un peu joué le jeu de dire je commence les sports de combat, machin, donc bravo à vous. J'espère que tout se passe bien pour vous. Vous êtes dans la période qu'on appelle le deep, normalement à ce moment-là. C'est que la première semaine était un peu excitante, t'étais un peu dans le truc, ah je vais me mettre à apprendre quelque chose, et en fait maintenant, c'est la période où t'es juste nul à ce que tu essaies de faire, et qui est la période la moins gratifiante et la plus ingrate. Est-ce qu'ingrat est le contraire de gratifiant ? Ouais je crois, ingrat, ça fait du sens, je savais pas. donc courage à vous courage à vous et c'est les périodes les plus difficiles donc accrochez-vous pour ce moment et c'est pour ça que le Discord peut aider donc allez faire un petit tour sur le Discord les amis, c'est la fin de ce podcast j'espère que vous avez passé un bon moment je vous embrasse, prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine pour un nouveau podcast ciao

Chapters

  • Introduction

    00:00

  • Global Liquidity

    05:03

  • Psychologie de la performance pour l’investissement

    12:14

  • Ma thèse pour 2025/2026

    21:01

  • Discord pour la communauté Investia

    26:14

  • Brûler les bateaux

    27:23

  • Bearmarket après Bullrun ?

    34:35

  • Apprendre quelque chose

    38:21

Description

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Transcription

  • Speaker #0

    Les amis, bonjour à toutes et à tous, j'espère que vous allez très bien en cet épisode d'Investia du... On est vendredi 3 octobre donc il devrait sortir samedi 4 octobre 2025. Moi ça va très bien, vous vous demandez peut-être pourquoi j'ai cette tenue exiguë à savoir une capuche et une veste pour tourner un podcast La raison est très simple, ce n'est pas pour des raisons stylistiques, c'est pour des raisons de... On est en automne et qu'il caille sa race dans mes bureaux. Pourquoi il caille sa race dans mes bureaux ? Parce qu'en fait, je vous explique. On a des bureaux dans un petit endroit complètement paumé, qui sont des bureaux qui sont vraiment cools. On a 100 m², 3 pièces, cuisine et tout, genre les bureaux sont vraiment cools. mais en fait c'est... Un petit vieux qui a genre 90 ans, qui a passé sa retraite, il a acheté un immeuble et en fait toute sa retraite il les a rénovées. Dédé, si tu passes ici, Dédé ne passera jamais ici évidemment, que j'embrasse, qui est extrêmement sympa, mais qui a la fâcheuse tendance d'éteindre la chaudière. Et du coup, il y a toujours deux mois de latence entre, parce que je le vois pas souvent Dédé, des fois il passe et tout, il faut que je l'attrape un peu au vol quand je le vois passer. Mais il y a souvent deux mois de latence entre octobre et genre novembre où il fait un vrai 10 degrés dans les bureaux. Et sachant que je suis pas dans le sud de la France, il fait pas chaud du tout. Donc, donc, donc, Ikaï Saras. Mais bon, ça, ça endurcit le froid et bon pour l'humain. Mais voilà pourquoi je suis en veste, casquette et capuche pour ce podcast. J'espère que vous n'en tiendrez pas compte. J'ai commencé en me faisant une promesse, c'est que je ne mettrai jamais de costard pour paraître plus sérieux dans mes vidéos. Parce que forcément j'ai une tête de mec qui fait jeune. Je suis jeune, j'ai 25 ans, mais je fais même peut-être encore un peu plus jeune. Donc le fait de mettre des hoodies, des trucs à capuche, etc. n'aide pas, et surtout dans un milieu comme celui des cryptos ou de l'investissement, où c'est quand même assez old school, il faut montrer que tu as... que tu inspires confiance par ta magnifique cravate. J'ai décidé que j'en avais rien à foutre, et que je m'habillerais comme je veux. et que j'utiliserais d'autres moyens pour montrer que je peux être digne de confiance que simplement mettre une veste de costume. Je trouve le fait de devoir aller travailler avec un code vestimentaire absolument terrible, et évidemment les gens qui le font n'ont pas le choix pour la plupart. Mais bref, ça n'a aucun intérêt, vraiment, venez en short. Alors, anecdote, on va commencer le podcast, ne vous inquiétez pas. Anecdote, on a eu un stagiaire qui travaille avec nous qui s'appelle Antoine, Antoine, gros bisous si je te vois, premier jour, premier jour du stage, il arrive, petit polo, bien habillé, petit pull, je ne sais plus ce qu'il avait, petite jean, etc., genre vraiment, tu vois, le premier jour de stage, très sérieux, très sympa, bonjour, etc. Il a vu que ce n'était pas du tout le style de la maison, donc deuxième jour du stage. il arrive, maillot de Marseille, casquette à l'envers. Bon, le maillot de Marseille, c'est un débat, mais ça me plaît parce que ici, on ne travaille pas pour les apparences, on travaille pour essayer de montrer des belles choses. Bref, on y va pour ce podcast. Je vous rappelle le principe du podcast, c'est qu'on traite plein de petits sujets autour de l'investissement, mais pas que. Aujourd'hui, il y a à peu près 6 sujets pendant une trentaine de minutes sur les choses sur lesquelles je travaille ou je réfléchis. dans ma vie. J'ai vu pas mal de gens, enfin non pas pas mal, j'ai vu quelques commentaires dire oui il y a 50% de développement personnel et seulement 50% d'investissement. Oui c'est le but. Enfin c'est pas le but c'est juste que c'est les sujets que je, c'est vraiment les sujets que j'explore et donc j'ai toujours une base d'exploration d'investissement mais je ne suis pas passionné que par l'investissement et donc je vous partage juste les trucs qui me font kiffer pour voir un peu comment on évolue, investir assez plus tôt. le podcast où j'essaye de vous partager les choses qui me font évoluer pour que si jamais vous ayez des éléments qui vous plaisent, vous pouvez les prendre et les appliquer à votre propre vie. Donc forcément, il y a de l'investissement, mais pas que. Si vous êtes là pour un podcast extrêmement deep en crypto, allez voir ma vidéo de Cosmos de 45 minutes et après, on verra. Mais ce n'est pas l'objectif. Ce n'est pas l'objectif. Si vous voulez, vous avez des petites timelines dans la description de la vidéo ou du podcast si vous êtes sur Spotify. Vous pouvez passer les différents sujets en fonction de ce qui vous plaît, moi je vous recommande quand même de vous laisser porter. Si vous êtes en train de courir, en train de faire à manger, en train de faire quoi que ce soit, je vous souhaite bon courage et on y va juste avant de commencer. Si vous pouvez vous abonner si vous êtes sur YouTube et mettre un petit like ou... mettre 5 étoiles sur Spotify, vraiment ça prend 2 secondes. Je sais que c'est pas assez chiant à faire, mais ça prend 2 secondes. On y va, j'ai 6 sujets pour ce petit podcast. On va commencer avec un côté un peu investissement, sur la globale liquidité. La liquidité mondiale, global liquidity en anglais, c'est un truc que je regarde énormément en ce moment. Pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? En fait, la liquidité mondiale, c'est une analyse de l'ensemble des flux financiers dans le monde. Je l'ai répété plusieurs fois, je vais le redire encore, on est dans un monde qui est drivé par la dette. Allez voir l'évolution de la dette américaine, il y a des sites qui font ça en temps réel, on rajoutera peut-être ça vite fait au montage. C'est terrifiant, c'est terrifiant et on n'est plus dans un monde de production comme on était dans les années 2000. Dans les années 2000, c'était la production, donc les capitaux qui avaient été produits par l'économie qui représentaient la liquidité qu'il y avait dans le monde. Maintenant, ce n'est plus le cas. La liquidité est représentée par la dette. Pourquoi ? Parce qu'en fait, plus on a de dette, plus on est obligé d'avoir de la liquidité. Et c'est extrêmement logique parce qu'en fait, une économie, elle se mesure par la productivité, par l'évolution, etc. Le truc, c'est que le PIB, par exemple, il est souvent mesuré par rapport à la dette. PIB par rapport à la dette en pourcentage. Et si on voit que, par exemple, la dette représente une trop grosse partie par rapport au PIB, on se dit, ah putain, en fait, on est dans la merde. parce qu'on a trop de dettes et ça va être très compliqué. Et donc du coup qu'est-ce qu'on fait ? Pour foutre cette dette sous le tapis, on imprime, on imprime, on imprime. Comme ça on dilue et on peut dire non mais regardez, regardez la dette ne représente pas une trop grande partie de la liquidité, parce qu'on a imprimé comme des gros ports et donc forcément on a diminué le pourcentage. Et donc on est sur cette spirale infernale. Je vous rappelle une chose, c'est que les monnaies fiduciaires sont par nature vouées à aller à zéro. Et c'est pas un move d'anarchiste ou politique, c'est par nature mathématique, les monnaies fiduciaires sont vouées à la zéro. Pourquoi ? Parce qu'en fait, les banques centrales, dans leur mandat, c'est littéralement leur mission de diluer la monnaie. Pourquoi ? Parce qu'elles visent une inflation d'à peu près 2% par an. Une inflation de 2% par an, ça veut dire que tous les ans, on ajoute plus ou moins, c'est souvent plus que moins, 2%. de liquidités et de masse monétaire mondiale. En plus de ça, si on prend par exemple les gros événements qu'on a eu dernièrement, la crise de 2008, le Covid, au Covid, on a imprimé 40% de la masse monétaire mondiale. Et donc en fait, si vous regardez, si vous allez sur TradingView et que vous prenez n'importe quelle monnaie fiduciaire, et vous mettez la charte sur genre 50 ans, vous allez voir que ça tend vers zéro, on dirait vraiment un shitcoin. Le principe des monnaies fiduciaires, c'est ça, c'est d'aller à zéro parce qu'on les dilue, on en imprime toujours, toujours, toujours, toujours, toujours. Et donc j'insiste sur ça, en tant qu'investisseur, c'est vraiment la base, protéger l'argent que vous avez gagné en le plaçant de manière à ce qu'il ne se fasse pas démonter par ces taxes cachées qu'est l'inflation. Et j'insiste sur ça, et c'est pas des paroles en l'air, c'est pas de la politique, c'est simplement que c'est la réalité. Comment on fait ça ? On le place dans... des actifs qui sont anti-inflation, c'est assez simple, le S&P, l'or, l'argent, le Bitcoin, ce que vous voulez, mais ne gardez pas tout votre cash en dollars ou en euros par pitié. Bref, la liquidité mondiale, pourquoi j'utilise la liquidité mondiale ? Parce qu'en fait, il y a beaucoup de gens, je ne sais pas si vous avez vu, qui utilisent la M2. La M2, c'est la masse monétaire. La masse monétaire, c'est un peu, tu prends une photo de l'économie ou de la rivière à un temps réel, et tu vois la cascade et tu te dis, ah ok, il y a une cascade, ok, ça avance. La liquidité mondiale, c'est plus une mesure beaucoup plus dynamique, parce qu'elle dépend de quatre éléments. Elle dépend de la Fed, elle dépend de la Banque de Chine, elle dépend de la volatilité, elle dépend du dollar. Et en fait, la liquidité mondiale, c'est plus, on mesure le débit du courant dans la rivière. La M2, on prend une photo de la rivière. Sauf que... il y a une énorme différence. Regardez cette charte. On voit la Global Liquidity en blanc et la M2 en jaune. Pour ceux qui sont sur Spotify, on voit, regardez l'espace vert là, vert et rouge à droite. À un moment, la M2 augmente, mais la Global Liquidity diminue. Pourquoi ? Parce qu'en fait, la M2 est comprise dans la Global Liquidity. En fait, la M2... Elle reflète la santé économique d'un pays. On dit la M2 américaine. Alors que la Global Liquidity, elle mesure la facilité de financement mondial, qui est généralement absorbée par le marché financier. Ce que je veux vous dire, c'est qu'il faut suivre la Global Liquidity et non pas la M2, parce que c'est beaucoup plus précise. Et on le voit là, on a une divergence, c'est-à-dire que les deux se suivent la plupart du temps, mais pas tout le temps, notamment ici où la Global Liquidity a baissé alors que la M2 a augmenté. Et en fait, si on regarde sur ce moment-là, Ce qu'on veut vérifier avec cette divergence, c'est si Bitcoin suit toujours bien la tendance de la globale liquidité. Et oui, Bitcoin ne suit pas vraiment la M2, il suit la globale liquidité. Et c'est vraiment extrêmement important. Pourquoi la M2 a augmenté alors que la liquidité n'a pas augmenté ? C'est assez simple, je vous ai fait un petit document ici. En fait, ce qui s'est passé, c'est beaucoup derrière le rideau. A savoir, on a eu un QT, donc un Quantitative Tightening de la Fed et de la BCE. les banques centrales ont continué de réduire leur bilan, donc elles ont plus ou moins retiré de la liquidité. La banque de Chine a arrêté d'imprimer, ou en tout cas ralenti son impression, et le TGA, le compte général du trésor, a pris des liquidités hors du système. Donc on a retiré de l'argent. Sauf que ça, avec la M2, on ne le voit pas. Mais si on regarde Bitcoin, est-ce qu'il a suivi la globale liquidité ou la M2 ? Il a suivi la globale liquidité. Voilà pourquoi je travaille autant avec la globale liquidité, et voilà pourquoi vous me voyez dans les vidéos faire chier avec ça. Parce que c'est hyper, hyper important, beaucoup plus que la M2. Il faut suivre la liquidité pour comprendre où vont les dynamiques de marché. Voilà pourquoi la M2 est importante, mais la liquidité l'est encore plus. Et voilà pourquoi je suis autant la liquidité. Pourquoi peu de gens le font ? Tout simplement parce que l'indicateur blanc que je vous montre de Global Liquidité, c'est le mien. Et que la plupart des gens, je ne sais pas du tout pour paraître hautain ou quoi, mais la plupart des gens sur les... Les réseaux ne savent pas comment est faite la global liquidité, donc ils n'ont pas la capacité de créer un indicateur qui est fiable par rapport à ce qui se passe, et donc ils s'appuient sur la M2 qui est un petit peu plus simple. Voilà, c'est juste ça, mais je pense que la global liquidité est beaucoup plus simple. D'ailleurs si ça vous intéresse, je fais pas mal de suivi de la global liquidité sur ma chaîne YouTube, mais j'en fais aussi beaucoup plus sur Crypto Recherche où toutes les semaines je fais un suivi de la liquidité. parce que j'estime que c'est extrêmement important. Donc si ça vous intéresse, si vous voulez suivre un petit peu où ça en est un peu plus en détail, comprendre comment ça marche, allez faire un petit tour sur Crypto Recherche. J'adore le sport. J'adore tout ce qui tourne autour du sport de haut niveau. Et honnêtement, je suis extrêmement admiratif des sportifs de top top niveau qui arrivent à rentrer dans un niveau de contrôle et de gestion des émotions qui est absolument inhumain. Donc forcément, j'aime bien lire des trucs sur la psychologie de la performance. Et en vrai, même si vous n'aimez pas le sport, c'est une discipline qui est tellement compétitive, le sport de haut niveau, peu importe le sport, qu'en fait la différence se fait sur des détails. Et du coup, ce qui est très intéressant, c'est que les gens qui travaillent sur cette optimisation, ils vont décortiquer les détails pour les optimiser. Et ça, je trouve ça très beau parce que du coup, ça donne des informations qui sont assez belles. Et j'ai trouvé une loi qui s'appelle la loi de Yerkes-Dodson. Je ne sais pas si ça vous parle. la loi d'Hierkesdotson elle parle du fait qu'en fait il y a une relation très proche entre le stress et les performances. Le bon vieux DM de philo que tu fais la veille à 22h, sauf qu'en fait, t'es tellement stressé, parce que tu dois te bouger le cul, que t'es un monstre. Je sais pas si ça vous parle, déjà le mot DM est terrible, ça date, le lycée, mais t'arrives à 22h et tu te dis, putain, faut que je fasse ma 10h de philo, et en fait, tu torches le truc parce que t'es tellement fort, parce que t'as pas le choix, c'est demain, il faut que tu sois bon. Et en fait, Un certain niveau de stress est favorable à la performance jusqu'à un certain stade. C'est ça la loi de Yerkes-Dutton. Quand il n'y a aucune pression, on tombe dans une espèce d'ennui qui nous pousse à ne pas être performant. Il fallait me voir à la BU en septembre pour comprendre. En fait, quand tu fais tes partiels en décembre et en mai, tu dois valider tes partiels. Quand tu es à la fac, tu as des partiels à valider en décembre et en mai. Mais le reste du temps, la fac, elle te fout la paix. Et donc, des fois, tu vois, t'es plein de bonne volonté, t'arrives en septembre ou en octobre à la bibliothèque, tu te fais un grand plan, tu te dis, vas-y, je vais prendre de l'avance et tout, et t'es à la biblioth��que comme ça, et en fait, tu branles absolument rien, parce qu'on est en septembre et que t'as aucune pression. La pression aide à être performant. Ensuite, un certain niveau de stress, un certain niveau d'activation cérébrale va faire monter la performance. Mais ça, jusqu'à un certain niveau, où trop de stress est néfaste. Ça crée de l'anxiété, ça démonte la performance. Par exemple, si tu dois... Si tu as ta thèse que tu dois faire en une nuit, tu peux être absolument trop stressé et te figer. Quand tu as trop de niveau de stress, c'est pas bon pour la performance. Peut-être même des compétitions qui sont trop stressantes. Il faut que ça soit assez logique. Et du coup, ça donne cette charte. Si vous êtes sur... sur YouTube de ce que j'appelle, enfin c'est pas moi qui l'appelle, mais ce qu'on appelle la loi de Yerkes-Dodson. Et donc il y a plein de choses à tirer de ça. Première chose, la pression est un carburant. Donc se mettre soi-même dans des niveaux de pression qui sont volontairement un tout petit peu élevés permet d'être plus performant. Ça peut être un entraînement un peu plus dur, ça peut être aller s'entraîner avec quelqu'un qui est un peu plus fort que soi. Une deadline pour finir quelque chose. essayez de mettre un peu de compétitivité Genre quand on travaille sur quelque chose, dire à son pote, ok vas-y, on essaie de faire le meilleur truc et après on s'échange pour se donner des feedbacks. Juste un petit peu de pression en plus, ou quand tu travailles, tu sais qu'il y a une conséquence si jamais tu ne travailles pas de manière assez optimale. La pression est un carburant. Ensuite, il existe une sorte de sweet spot, une zone dans laquelle on est optimaux, avec un niveau de pression suffisant qui nous permet d'évoluer à notre prime. C'est la zone vraiment où on est dans ce qu'on peut appeler le flow. Le flow, c'est un peu ça. C'est le niveau où on est assez stimulé, assez sous pression, mais pas trop stressé, et du coup, on est dans la zone parfaite pour performer. Autre chose, c'est qu'on peut augmenter sa zone optimale en faisant des petits efforts permanents qui nous sortent juste un tout petit peu de notre zone de confort pour venir l'élargir. En ce moment, je fais des recherches sur un mec qui s'appelle Alex Honnold qui fait du free solo, c'est-à-dire de l'escalade en falaise à 700 mètres de haut, sans cordes. Et donc c'est un truc de malade, tu vois le truc, tu te dis mais pourquoi il fait ça ? Et en fait lui il explique que oui tu vois la vidéo du mec qui monte à 700 mètres de haut, mais en fait c'est parce que tous les jours il a fait un truc un peu plus dur que le jour d'avant, et petit à petit il a élargi sa zone de confort jusqu'à ce que ça devienne ça, sa zone de confort. Mais c'est parce qu'il y a tout ce travail derrière. Autre chose c'est que vouloir se mettre trop en stress ne marche souvent pas, et la différence dans certaines situations de stress extrême... se fait par ceux qui arrivent à mieux rester dans leur zone de génie de performance, donc à redescendre cette pression. Jouer un tie-break, prendre une décision d'investissement importante en crise, il faut un niveau de stress plus bas, donc utiliser des techniques de respiration, une routine du calme, de la préparation. Un truc qui est vraiment réel, c'est que la grosse différence entre les investisseurs, elle ne se fait pas sur les 95% du temps où on est dans des ranges, ou alors on a des montées ou des petites descentes, elle se fait sur les 5% du temps. extrême, que ça soit à la hausse ou à la baisse. Donc les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones d'euphorie, quelle va être ta décision ? Et les 5% du temps où on est dans des extrêmes zones de peur, des crashs, FTX, 2008, etc., quelle va être ta décision ? En vrai, c'est juste ça. Si t'as d'acheter au crash du mois de... C'était quand ? Avril ? Du mois d'avril, 8 avril, un truc comme ça ? Ou mars ? Non, avril, je crois. 8 avril, si t'achètes à ce moment-là, t'as une décision énorme à faire sous pression, parce que c'est... des moments où tu es dans des niveaux émotionnels et de pression qui sont assez hauts, et c'est là qu'il faut réussir à prendre des bonnes décisions rationnelles. Et tout ça se travaille, et les grands sportifs travaillent ces moments-là. Ce n'est pas que tu t'élèves au moment de briller, au moment de performer, tu ne t'élèves pas, tu restes à ton niveau moyen. Et donc si tu n'as pas travaillé cette zone de génie et cette zone de résistance au stress et la façon dont tu vas prendre action, tu vas arriver là, tu vas te figer ou tu vas prendre de mauvaises décisions. Et c'est dans ces moments-là que c'est important. Et donc c'est vraiment extrêmement important à faire. J'ai écouté un podcast de Georges Saint-Pierre, qui est l'un des plus grands combattants de MMA de l'histoire, et qui est un mec que je trouve extrêmement inspirant, qui disait ça, que tu ne montes pas de niveau pour l'occasion. Tu es à la moyenne de ce que tu as fait pendant la dernière année. Et c'est pour ça que plein de petites actions vont avoir une différence sur ces fameux 5%. Les actionnables, ça peut être quoi ? Ça peut être s'exposer un peu plus à la pression, demander un feedback à quelqu'un. Quand tu as un truc à faire en 6 heures, s'exposer à ça et mettre 3 heures au lieu de 6 et se dire, OK, quand tu dois parler en public, essaye de tenter une petite vanne si tu dois parler en public. Des petits trucs à la con, tu vois, mais juste monter, monter, monter un peu sa résistance à la pression. Travailler aussi ce qu'on appelle le sweet spot, c'est-à-dire la zone de performance. Que ça soit à la hausse ou à la baisse, quand on sent qu'on l'a dépassé dans des situations de stress, essayer un peu de l'identifier, de visualiser comment on aurait pu agir différemment. Moi, j'ai fait plein de matchs de tennis, je parle beaucoup de tennis, mais je suis zéro au tennis, je suis nul. Mais j'ai fait pas mal de matchs de tennis où le tennis, ça te prend les émotions, et des fois, tu perds le fil, mais tu n'as plus rien, tu vois, parce que j'avais dépassé cette zone-là. Et après, j'ai essayé de me dire, bon, OK, comment j'aurais pu faire un peu des choses différemment, tu vois. comment, j'aime pas cette phrase parce que ça fait très développement personnel mais comment act... ton cerveau. Ensuite, essayez de pratiquer ce qu'on appelle Le progressive over-road mental, chaque semaine, ajouter un petit confort pour élargir sa zone de confort, je pense que c'est important. Essayer de se relâcher, de fractionner l'objectif et surtout se préparer en visualisant les différents scénarios possibles. C'est ça qui fait vraiment une énorme différence et surtout dans les 5% d'investissement. On a parlé des 5% d'investissement. Là, la différence est énorme dans ça. Michael Phelps qui est le plus grand athlète de l'histoire du sport, tous les jours, il visualisait tous les scénarios possibles qu'il pouvait se passer pendant genre une heure. Tous les jours. Tous les jours. Depuis qu'il a 12 ans. Donc en fait, il est arrivé à 20 ans et quelques au JO. Je crois que c'était le 200 mètres papillon. C'était en 2008 quand il a tout gagné là. Et en fait, ses lunettes se remplissent d'eau pendant le 200 mètres papillon. Ou le 100 mètres papillon, bref, on s'en fout. Ses lunettes se remplissent d'eau. Et des nageurs un peu moins expérimentés, ta course, elle a fini. parce que tes lunettes sont remplies d'eau Tu paniques un peu, t'es moins efficace, t'essaies de regarder, bref. Lui, il avait déjà visualisé ce scénario, il s'est ajusté, il a dit, ok, je sais, j'ai déjà pensé à ce que je ferais dans cette situation, et il a agi, et il a gagné. Et ça, c'est beau. Ah, celle-là, elle est belle. On retourne du côté investissement. Ma grosse thèse sur 2025-2026. Celle-là, c'est un truc que je vais beaucoup utiliser dans mes vidéos YouTube, et aussi sur Crypto Recherche. Donc vous l'avez là en avant-première sur ce podcast. C'est ma thèse pour 2025-2026. Donc je vous ai parlé de la liquidité. Avec toutes les recherches que j'ai faites sur la situation économique et de liquidité mondiale, je pense que l'année 2026 va marquer un sommet de la liquidité mondiale. Pourquoi et quelles sont les conséquences ? Déjà, pourquoi est-ce que je pense ça ? Après, je vous explique ce que ça implique. Pourquoi je pense que le 2026 va marquer un sommet de liquidité mondiale ? Pour quatre raisons. La première raison, c'est qu'on a une croissance économique qui est prévue d'à peu près 3%. Pas de récession dans les principales zones, donc on est dans un schéma propice à une hausse de la liquidité. La deuxième chose, c'est qu'on arrive en 2025, 2026, 2027 dans ce qu'on appelle un mur de refinancement. Dites-vous qu'en fin d'année 2025 et en 2026, il y a 10 trillions de dettes qui arrivent à maturité. Donc 36% de la dette mondiale qui arrive à maturité. Donc 36% des collatéraux arrivent à leur valeur maximale. Donc on va avoir un refinancement énorme de la dette. Et plus on se rapproche de la maturité des dettes, plus on a de la liquidité qui est élevée. Parce que la décote de ces collatéraux va être un peu plus faible. Bon c'est un peu technique. En gros, je vous prête mon vélo. Je vous prête mon vélo et je te dis, bon, je te le prête, mais c'est 200 euros de caution. Et tu me dis, ok, je te le rends dans 5 ans. Je vais dire, comment ça dans 5 ans ? Mon vélo, il vaut 1000 balles. Tu me le prends 5 ans, ben non, c'est pas 200 euros de caution, c'est 2000 euros de caution. Et si tu me dis par contre, ok, mais vas-y, je te le rends dans 2 jours, je vais dire, ah ben c'est bon, c'est 200 euros de caution, 100 euros, tu vois. Là, La caution que je vais demander va dépendre de si on est proche ou pas de la maturité. Si la maturité est dans deux jours, ce n'est pas pareil que si la maturité est dans deux ans ou cinq ans. Et donc, puisqu'énormément de prêts entre les banques se font avec des bons du trésor en collatéraux, en caution, plus ces bons du trésor arrivent proches de leur maturité, moins on va demander de prix supplémentaires, ce qu'on appelle une décote sur tout ça. Et donc ? Vu que l'argent, la liquidité est créée en partie via les crédits, ça va avoir un impact sur la liquidité mondiale parce qu'on aura plus de création monétaire à partir du moment où les dettes arrivent proches de maturité. Voilà pourquoi je pense que la liquidité va augmenter aussi. Ensuite, on est dans une politique monétaire qui est accommodante. On l'a vu, il y a des emplois qui ont été revisités. On croyait qu'il y avait 50 000 emplois qui avaient été faits je crois au mois d'août ou septembre. je crois que c'est mois d'août, et en fait on est à moins 3000, donc il y a eu des erreurs, en tout cas des valeurs qui étaient fausses, donc potentiellement l'économie est dans une situation pire qu'on ne le croit, et donc la Fed va baisser les taux avec beaucoup plus d'agressivité, donc on a eu 110 baisses des taux en 2025, dans toutes les banques, dont les principales zones, la Chine, les Etats-Unis, la Fed, etc. 2025 est la quatrième année. en nombre de baisses des taux. C'est une année propice à l'économie, c'est une année qui est en train de set-up quelque chose, même si 2025 est un peu puant pour les cryptos et pour l'économie. Et on a une hausse du plafond de la dette américaine qui va créer tout ça. Et donc je pense que 2026 va marquer un sommet dans la liquidité mondiale. Parce qu'on a plein de facteurs qui sont en train de se mettre en place. Donc comment est-ce qu'on s'ajuste ? On s'ajuste en étant positionné sur les actifs de qualité. Et je pense que du coup 2026 sera une belle année. Qu'il va falloir prendre des profits parce qu'on peut avoir des mouvements paraboliques. Et oui je le dis, et oui je sais, les gens n'aiment pas à quand. Les youtubeurs disent ça parce que la plupart des gens disent ça un peu n'importe comment et parlent de phase parabolique. Si vous regardez, je parle très peu de phase parabolique, d'alcool in season, etc. J'ai toujours un peu la même thèse de top de marché en fin d'année 2025, voire début 2026, ça fait longtemps que j'ai ça. Mais je pense que 2026 va marquer aussi un top pour les marchés financiers. Et que 2027-2028 peut être un peu pourri, voire bien pourri. Donc prendre des profits et savoir se préparer à ça. C'est quelque chose qui est très important. On a vécu, dans ce qui représente les 15 dernières années de notre vie, une période extrêmement historique de bullrun permanent. Et ça ne durera pas indéfiniment. Voilà, c'est tout ce qu'on peut dire, ça ne durera pas indéfiniment. Et donc, ça fait du sens qu'après l'expiration de toutes ces dettes et le renouvellement de toutes ces dettes, on puisse avoir une sorte de reset. qui ne soit pas non plus exceptionnel pour les marchés financés. Petit aparté, j'ai relancé le Discord E-REAL avec un nouveau channel Investia qui a été dédié. Donc si jamais vous voulez discuter des sujets qui tournent autour d'Investia, ce ne sont pas forcément les sujets que je parle, mais les différents topiques, que ce soit économie, crypto, développement personnel, nutrition, sport, machin, description. Vous êtes sur le Discord et vous dites bonjour, il vous faut une petite présentation de vous si vous en avez envie, et vous pouvez discuter. Allez-y, allez faire un tour parce que je vais essayer d'être actif sur ce Discord, juste pour envoyer, faire des petites discussions. Et si on a une petite communauté d'une cinquantaine de personnes minimum, même si on peut être beaucoup plus, je sais qu'on est beaucoup plus, faites-le. Et si vous en avez envie, allez vraiment faire un tour, je vais juste voir si on a de l'engouement ou pas, s'il y a suffisamment d'engouement. Pourquoi pas regarder pour créer un jour des challenges tous ensemble, je sais pas, se péter un marathon ensemble avec le... la commu, faire des petits space discord où on discute tous ensemble, ça pourrait être sympa. Ça, ça va vraiment dépendre de s'il y a de l'activité ou pas sur ce channel. C'est gratuit, évidemment. Ensuite, on change totalement de sujet. Brûler les bateaux. Je fais juste une petite parenthèse. J'ai vu un commentaire intéressant sur quelqu'un qui disait mais pourquoi... Parce que je parle beaucoup de productivité, de performance, etc. Et je vous rappelle que, en fait, le commentaire, c'était... Oui, est-ce qu'on est toujours obligé de vouloir performer, performer, et produire, et être productif, machin ? Je vous rappelle que ce que j'ai écrit, ça s'applique parce que j'ai envie, à ce moment de ma vie, d'être performant, d'être productif, machin. Mais vous faites bien ce que vous voulez, d'accord ? C'est juste la façon dont moi je vois les choses. Et du coup, si vous êtes dans le même état d'esprit et que vous avez envie de performer, de vous développer en tant qu'être humain, ça peut être utile selon moi. Mais après, chacun a ses objectifs de vie qui sont totalement différents. Et d'ailleurs, votre vision est toujours très intéressante dans les commentaires. Brûler les bateaux. Une métaphore que je trouve très puissante, c'est celle des bateaux vikings. Il y a une légende qui dit, alors je ne sais pas si c'est vrai, que quand les vikings allaient aborder une nouvelle ville, en Angleterre ou je ne sais pas où, souvent ils faisaient bien chier les anglais, ils arrivaient en bateau et avant d'aller se battre, ils brûlaient leurs bateaux. Comme ça, il n'y avait que deux issues, la mort ou la victoire. Ils ne peuvent pas juste arriver et se dire « Ah putain, c'est dur, merde, on a froid. » on n'a pas à manger et tout, on passe de nuit un peu pourri à se battre, et bon allez, vas-y, demi-tour. Et on abandonne. Non. C'est soit ils se battent, soit ils meurent. Enfin, ils se battent, soit ils meurent, soit ils gagnent, plutôt. Et cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante. On peut l'utiliser dans plein de sphères de notre vie. Quand j'ai commencé les vidéos, je vais vous faire une confession, j'étais pas si fort. Je faisais des analyses de projets, et quand on voit la vidéo, on se dit, oh putain, ok, il est chaud, il connaissait son sujet. la réalité c'est qu'il y a plein de notions que j'expliquais, que je venais d'apprendre, parce que c'était très technique en fait, comment tu veux expliquer le proof of history de Solana, ou la notion de DAG, de D-A-G sur Fantôme, de registre distribué, quand tu n'as pas fait d'informatique ou de code. Sauf que la différence c'est que le fait de faire la vidéo sur le projet, en montrant ma tête, ça m'obligeait à suffisamment comprendre le fonctionnement d'une tech, d'un protocole ou autre, pour être capable de l'expliquer en vidéo. J'avais pas le choix en fait, parce que après je montrais ma gueule derrière en vidéo en train de parler d'un truc, et il fallait pas que les gens voient que je maîtrise pas le sujet, donc pour contrer ça j'étais obligé de brûler les bateaux. Et ça c'est la version extrêmement soft de brûler les bateaux, d'accord ? Mais si on regarde plein d'histoires de gens qui ont vraiment réussi... il y a de fortes chances qu'ils aient brûlé les bateaux une fois dans leur vie de manière très drastique. Exemple qui est un peu plus puissant que se forcer à faire une vidéo, Francis Ngannou. L'ancien champion de l'UFC, qui fait de la boxe maintenant. Il vient du Cameroun, dans un village archi-pauvre. Un jour, quand il avait 18 ans, il a dit, c'est bon, ça me saoule, c'est bon, l'Afrique, je vois pas d'opportunité, je peux comprendre cette réflexion. Il est d'un tout petit village, bref. Il dit, je vais en Europe, je vais devenir champion du monde de boxe. Je n'ai jamais fait de boxe, j'ai 18 ans. Ok, bah vas-y. Il est parti, tout seul, à pied. Sans passeport, sans argent, il a traversé plein de frontières illégalement. Il a passé, je dis pas de conneries, plus d'un an à vivre dans la forêt, entre je crois que c'était le Maroc et l'Espagne, du coup pour aller en Europe. Et en fait il est enfin arrivé à Paris au bout d'un an et demi de déplacement. Et quand il est arrivé à Paris, il savait pas faire de boxe, du coup il dormait dans un parking. Il a demandé au gars de la salle s'il pouvait dormir dans la salle. Le coach a accepté et derrière il avait pas le choix de s'entraîner suffisamment. pour devenir champion, parce que c'était littéralement sa survie qui en dépendait. Et ça, c'est brûler les bateaux. Ça, je trouve ça très puissant, très, très, très... Je sais pas, il y a une sorte de loi de l'attraction qui se met en place quand tu fais ça. Est-ce que s'il avait pris des petits cours d'économie en parallèle à la fac, et qu'il avait le choix de prendre un petit job de bureau au lieu de s'entraîner et d'aller se battre, il serait quand même devenu champion ? On sait pas, mais... Quand même. Et je suis persuadé que pour vivre la vie qu'on veut, on n'a pas vraiment le choix, à un moment ou à un autre, d'être un peu extrême et de brûler les bateaux pour se concentrer à 100% sur ce qu'on fait. Et je trouve qu'il y a un côté hyper épique à ça. Et je l'ai remarqué quand j'ai arrêté les études. Bon, il y a toujours les gogoles qui me diront « Oui, t'as arrêté des études pour faire des vidéos, c'est débile. » Ouais, si tu veux. mais la différence entre quand j'étais à la fac en 50-50 et que j'ai arrêté, enfin j'ai pas vraiment arrêté, j'ai eu mon diplôme et que je suis passé full time et que ma vie était est-ce que mon business marche ou pas est-ce que je vais pouvoir continuer quand je suis passé full time la différence dans ma disponibilité et dans le fait de ma façon de réfléchir et la différence était folle parce que j'avais plus de parachute j'avais plus de au pire j'ai quand même un plan B vas-y je suis pharmacien et du coup mon business marche vraiment bien depuis ce moment là Merci. Parce que ma différence de disponibilité est mieux. Et je trouve qu'il y a un côté très épique à brûler les bateaux. Je ne vous dis pas d'arrêter vos études pour faire des vidéos, d'accord ? Mais juste, je pense que parfois, il faut savoir être un peu extrême dans sa vie et tenter des choses. Et je vois beaucoup de gens qui me disent « Ouais, en vrai, j'hésite à faire une pause dans mon taf pour lancer ce projet. » Et je sais plus qui disait ça mais j'avais trouvé ça puissant. Que en fait quand tu as une décision à prendre. Tu prends la décision. Tu prends toujours le chemin qui est le plus épique. Quel est le chemin le plus épique ? Bon c'est un peu extrême mais je trouve ça fou. Tu vois ? Ok bah en vrai vas-y. Tu vois vas-y tente. Fais une pause de un an. Galère un peu pendant un an. Et essaie de développer ton jeu vidéo, ta chaîne YouTube, ton livre peu importe. Parce que en vrai déjà c'est quand même... puissant, forcément t'apprends des choses, il n'existe pas de cas zéro où genre il n'y a zéro zéro conséquence positive pour toi. Genre ça peut ne pas marcher ton livre, mais après écrire un livre tu auras pris des contacts chez un éditeur, peut-être que tu vas en faire un deuxième, peut-être que celui-là va marcher et que tu vas pouvoir se développer et qu'au bout d'un moment tu seras moitié écrivain, moitié dans ton taf tu vois. Mais c'est hyper puissant et souvent quand j'ai des décisions comme ça Je me dis, est-ce que quand j'aurai 80 ans sur mon lit de mort, qu'est-ce que je me dirais qui a été une bonne décision ou pas une bonne décision ? Est-ce que j'ai envie d'avoir 80 ans et de me dire, ah putain, j'aurais peut-être pu faire ce truc avec YouTube et vivre de ma passion et avoir l'équipe que je veux, mais bon, j'ai choisi la sécurité, d'avoir mon diplôme et de travailler dans mon taf que je n'aime pas trop. Ben non, ben non. Et encore une fois, c'est ma vision. et si vous n'avez pas la même vision, il n'y a aucun problème, mais j'aime bien cette notion de brûler les bateaux, je la trouve très puissante, et après chacun peut l'apprendre dans son dans les circonstances qu'il veut, il y a plein de circonstances différentes mais c'est très puissant on retourne du côté investissement il y a un commentaire de Victor Barallier bonjour à toi, merci pour ton com Victor qui disait, qui posait une question que je vais vous lire Est-ce qu'après un possible top de marché vers début 2026, on entrera dans un bear market comme les cycles précédents ? Est-il théoriquement plus rentable de vendre en période de surchauffe ou hold jusqu'au prochain halving ? Ça, c'est la question qui revient tout le temps. Et là, il y a un truc qui revient tout le temps aussi, qui est en train d'arriver. C'est le fameux, il n'y aura plus de bear market, le cycle est différent. Mais c'est fou comme les choses évoluent toujours de la même façon. Je n'insiste, j'insiste sur une chose, je n'ai pas de boule de cristal. Ça se trouve, il n'y aura pas de bear market et les choses seront différentes. Pour moi, pour moi, il y aura un bear market. Et pour moi, penser que ça ne baissera plus est souvent un signe qu'on arrive dans une dernière phase de marché hyper importante. En vrai, cette réflexion se fait plus pour Bitcoin. Et Bitcoin, je peux comprendre. Ma thèse, encore une fois très personnelle, je pense que Bitcoin baissera comme il l'a toujours fait. Peut-être un peu plus tard, peut-être un peu moins fort, ouais. Mais on referme à Bitcoin à 70-80K. J'ai pas envie de dire, j'en suis sûr, mais je pense fortement. Il n'y a rien, que ce soit dans les datas, l'analyse, etc., qui montre que la structure bullrun bear market a changé sur cet aspect-là. Je dis pas le cycle de 4 ans, je dis bullrun bear market. Par contre, il faut séparer Bitcoin du reste. Bitcoin baissera, mais les mouvements seront moins violents. Il y aura une vision un peu plus long terme des investisseurs, même si on disait pareil en 2021. Par contre, côté Alcoin, on peut être sûr qu'ils vont se faire ouvrir. Et c'est historiquement plus rentable de prendre des profits très graduels dans la montée que de holder un token un peu obscur jusqu'au prochain cycle. Parce que imaginez s'il a... Qu'est-ce qui a explosé au dernier cycle ? Chilizé. En 2020 ou 2021, le truc a explosé. Vous avez fait x10 sur Chiliz, vous vous dites putain. Et vous posez la même question que Victor. Est-ce que je dois rester sur mes investissements ou pas ? Vous dites non, vas-y, je hold Chiliz. Parce que c'est dur à visualiser maintenant, mais à l'époque, c'était vraiment, on se disait c'est big. Je hold Chiliz jusqu'au prochain cycle. Bah là, c'est dans les tréfonds de CoinMarketCap. Il y a de fortes chances pour que vous ayez vendu parce que c'était trop dur à faire. Et il ne faut pas négliger la violence d'InverMarket, sincèrement. Donc... je recommande vraiment aux gens qui sont dans ce schéma pardon j'ai mon téléphone qui sonne je sais pas pourquoi ok une alarme qui s'est activée c'est bon que je recommande vraiment aux gens pour qui c'est le premier bullrun de ne pas négliger la violence d'un bear market parce qu'en fait j'étais là quand Solana était à 7 dollars j'étais là quand Bitcoin était à 15 000 c'est vraiment violent genre c'est pas en mode on sait que ça va remonter il y a cette cette peur ambiante, et en plus il y a des altcoins qui remontent pas. Atom, Polygon, Chiliz, il y en a plein. Donc non, sincèrement, en tout cas moi dans ma stratégie, je pense que c'est utopique de penser que les altcoins baisseront pas. Même si j'adore Solana, j'adore Shining, Bitensor, ils seront sûrement fortement défoncés au prochain bear market. D'ailleurs, pendant que j'y pense, si ça vous intéresse, il reste quelques places pour des petits accompagnements. En gros les accompagnements, c'est vous m'envoyez un petit mail sur le mail qui est en description. Si vous avez des besoins sur votre stratégie, votre prise de profit, vos prises de position, etc., je ne fais pas de conseil en investissement, d'accord ? Je ne vous dis pas dans quoi investir. C'est plus pour la structuration globale de votre portefeuille. Donc vous m'envoyez un petit mail et après, je fais des sessions des fois de 30 minutes, voire une heure, voire deux heures avec les gens qui en ont besoin pour ça. Et il reste quelques petites places, donc si ça vous intéresse, envoyez-moi un petit mail. Dernier sujet, les amis, ça fait quand même 40 minutes qu'on est là. J'espère que vous passez un bon moment. Dernier sujet, dernier sujet, dernier sujet, c'est celui-là. Il y a des sujets... Alors, le titre de ça, c'est apprendre quelque chose. Je vous remets le contexte. En ce moment, je suis en train d'apprendre l'anglais pour faire des vidéos YouTube en anglais. Comment te dire que... Bah, la tâche est quand même un peu désagréable. Enfin, un peu pas désagréable, parce que c'est agréable d'apprendre l'anglais, mais technique. Et du coup, je suis en train de tryhard l'anglais. Et il y a des sujets où tu te dis ça serait très stylé de les apprendre. mais la montagne est tellement haute que souvent on se fige et on ne sait pas par où commencer et ça me l'a énormément fait et au final je me figeais moi-même sans avoir même essayé ou alors en ayant regardé les mauvaises choses et en ce moment du coup je suis en train d'apprendre l'anglais et apprendre une langue c'est exactement ce syndrome la montagne t'es en mode comment je fais ça par où je commence pour que ce soit efficace avec moi mais pas trop simple, pas trop dur j'étais un peu voilà, c'est dur et Justement, j'ai vu un TEDx Talk, des TEDx Talk c'est vraiment stylé, que je vous montre en description, d'une femme qui apprend une nouvelle langue tous les deux ans, tous les deux ans pardon, qui doit en parler maintenant une dizaine de langues, et qui décortique du coup comment exactement on fait pour apprendre une langue, et je pense que ça marche pour tout ce qu'on veut apprendre dans la vie. En fait pour elle, il y a quatre piliers principaux. Le premier pilier c'est la méthode, comment on procède, est-ce qu'on a un prof qui nous donne des cours, est-ce qu'on pratique énormément, est-ce qu'on relie nos fautes. Avoir une méthode propre c'est obligatoire. Parce qu'en fait, si tu veux apprendre l'anglais et que t'as pas de méthode, bah tu vas naviguer entre différentes approches et tu seras pas efficace. Donc avoir une méthode propre qui n'est pas la méthode optimale, mais qui est propre, c'est-à-dire qui est bien déterminée, c'est hyper important. Petit tips pour ça, la pratique à fond, même quand on n'est pas prêt. Et si on a les moyens, payer pour avoir quelqu'un qui peut nous apprendre des choses et qui sait nous apprendre des choses, qui peut nous suivre et ça va nous faire gagner énormément de temps. J'ai des gens qui me suivent du coup dans l'anglais maintenant. Et la différence est folle avec quand j'étais tout seul, sincèrement. Alors, juste sur la méthode, la plupart des gens en ont une. Je pense que souvent, ça manque énormément de pratique parce que c'est souvent beaucoup de planification, parce que c'est confortable de planifier. Mais en vrai, des fois, il faut juste prendre un livre en anglais et le lire à voix haute et tout lire. Et c'est ta méthode et c'est comme ça, la pratique. Ensuite, le système. Le système, c'est le deuxième pilier. C'est le processus qu'on va mettre en place pour appliquer notre méthode. Donc par exemple pratiquer tous les jours entre midi et 13h, ça c'est un système. Moi j'ai longtemps bloqué sur le système, soit parce que je faisais des systèmes trop compliqués, et du coup je les tenais pas, genre j'avais 4 applications, je faisais ça, ça, ça, on a tous peut-être essayé le... bah je sais pas si on a tous essayé, mais en tout cas moi je faisais ça, genre je planifiais mes journées à la demi-heure près, je fais ça, ensuite je fais ça, ensuite je fais ça, et en fait ça marche pas, parce que mon système est trop compliqué, ou alors parce que je le tiens pas, ou alors parce que j'en ai pas, et du coup je faisais qu'à la motivation. Spoiler, ça marche pas. Le meilleur système, c'est le système que l'on tient. Ça doit être adapté à la personne, ça doit être adapté à votre vie, peu importe. Si ton système, c'est tous les jours entre midi et 13h, je travaille sur ça, c'est simple, c'est efficace, ça marche, mais il faut un système pour pouvoir pratiquer sa méthode. Ça, c'est les deux premiers piliers, la méthode et le système. Le troisième pilier, c'est le plaisir. En anglais, elle dit enjoyment. Prendre du plaisir dans l'apprentissage. Et ce que les gens ne comprennent pas, c'est que c'est un pilier non négligeable, obligatoire. Sinon, tu ne progresses pas. Parce qu'en fait, tu ne peux pas tenir ton système et t'améliorer sans prendre du plaisir. Pour l'anglais, je prends beaucoup de plaisir à venir parler et à essayer d'améliorer ma prononciation. C'est un truc que j'aime faire. Être fluide, etc. J'aime parler en anglais, c'est très satisfaisant. Et je préfère faire ça, par exemple, qu'écrire de l'anglais ou faire de la grammaire ou des trucs de style. Et du coup, je parle beaucoup plus. Parce que je prends plus de plaisir à ça. Et vraiment, trouver du plaisir. Et c'est cette fameuse... Cette bonne vieille citation de si tu fais ce que tu aimes, tu n'auras plus besoin de travailler qui est un peu bisounours. Mais qui est quand même importante dans le sens où si vous voulez apprendre un truc, ouais, trouver une façon que ça soit cool, tu vois. Tu veux apprendre l'anglais, si t'as envie d'aller sur des... Je sais pas, si t'es sociable et que t'as envie d'aller sur différentes plateformes pour discuter avec des gens en anglais, bah vas-y, tu vois, fais-le. Je ne suis pas d'exemple de fou, mais vous voyez ce que je veux dire. Le plaisir. Et le dernier truc, c'est le truc obus. Le plaisir, la méthode et le système. Mais c'est les quatre gros piliers. Et le dernier pilier, il est pareil, très obus et très important et plus deep qu'on ne le croit. Est-ce que vous avez une idée de quel est le dernier pilier ? Le dernier pilier de l'apprentissage, c'est la patience. On est dans une société qui veut qu'on ait tout, tout de suite. Donc entre l'excitation où on se dit je vais apprendre la guitare et je suis hyper hype et dans trois mois où j'aurai passé ce stade, il y a toujours un gouffre qui fait que la plupart des gens arrêtent. Mais c'est là où tous les systèmes sont interconnectés. On reste patient quand on a un système qu'on peut suivre, une méthode qui est claire, avec laquelle on prend du plaisir. Et c'est pour ça que c'est aussi puissant comme coup. Un truc que j'aime bien faire quand je me sens un peu découragé et que je me dis putain ça va prendre plusieurs mois etc. C'est juste me rappeler du mois il y a 6 mois. Donc il y a 6 mois, on était en septembre, août, juillet, juin, mai, avril. On est en avril dernier. Bah c'était il n'y a pas si longtemps. Et est-ce qu'en avril dernier, j'aurais été content d'avoir pris 6 mois pour apprendre l'anglais pour arriver maintenant ? Bien sûr que oui. Donc dans 6 mois, qui n'est donc pas si longtemps, je serais content du mois qui veut apprendre l'anglais maintenant et qui est devenu bon. Et franchement, je prends un accent bizarre, franchement... On peut faire des belles choses en pas tant de temps si on le fait un peu tous les jours. Genre l'anglais, là, ça fait un mois que je bosse dessus. Franchement, l'évolution est folle et je me rends compte à quel point je n'ai pas... Dans ma vie, il y a eu beaucoup de sujets sur lesquels je ne fais que ça pendant un mois. Et je ne fais pas que ça, mais je fais une heure par jour en tout cas, une ou deux heures par jour, tous les jours pendant un mois, la différence est folle. Et on peut apprendre tout ce qu'on veut en étant juste assez régulier, pendant moins de temps qu'on le croit, juste en étant assez agile et assez organisé. La méthode, le système, le plaisir, la patience. J'ai vu pas mal de gens d'ailleurs dans les commentaires du dernier podcast qui m'ont dit qu'ils essayaient d'apprendre des choses, qui ont un peu joué le jeu de dire je commence les sports de combat, machin, donc bravo à vous. J'espère que tout se passe bien pour vous. Vous êtes dans la période qu'on appelle le deep, normalement à ce moment-là. C'est que la première semaine était un peu excitante, t'étais un peu dans le truc, ah je vais me mettre à apprendre quelque chose, et en fait maintenant, c'est la période où t'es juste nul à ce que tu essaies de faire, et qui est la période la moins gratifiante et la plus ingrate. Est-ce qu'ingrat est le contraire de gratifiant ? Ouais je crois, ingrat, ça fait du sens, je savais pas. donc courage à vous courage à vous et c'est les périodes les plus difficiles donc accrochez-vous pour ce moment et c'est pour ça que le Discord peut aider donc allez faire un petit tour sur le Discord les amis, c'est la fin de ce podcast j'espère que vous avez passé un bon moment je vous embrasse, prenez soin de vous et on se voit la semaine prochaine pour un nouveau podcast ciao

Chapters

  • Introduction

    00:00

  • Global Liquidity

    05:03

  • Psychologie de la performance pour l’investissement

    12:14

  • Ma thèse pour 2025/2026

    21:01

  • Discord pour la communauté Investia

    26:14

  • Brûler les bateaux

    27:23

  • Bearmarket après Bullrun ?

    34:35

  • Apprendre quelque chose

    38:21

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