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Le café des guerrier, un changement de paradigme, mes projets futurs et l'importance de la gamification.

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Transcription

• Speaker #0

  Nous sommes partis pour ce podcast de la semaine 43 de cette année 2024. J'espère que vous allez bien. De mon côté, je suis installé. J'ai mon petit café juste à côté de moi et on peut commencer. Et on va commencer justement par le café que je viens de consommer. En effet, j'ai enfin récupéré hier ma commande du café, le café des guerriers. Je ne sais pas si vous connaissez, c'est un café qui est enrichi aux champignons adaptogènes. Alors pourquoi je dis déjà enfin récupérer cette commande ? Dans le sens où simplement, mon livreur a eu l'excellente idée de mettre le colis dans un point relais qui était à une demi-heure de chez moi. Chose très intelligente, très pertinente. Bref, alors ce café en fait simplement est un café enrichi, comme je l'ai dit précédemment, aux champignons adaptogènes. Notamment à base de Lion's Mane, de Shaga, de Cordyceps et de Reishi. Le Cordyceps étant simplement le champignon, pour ceux qui ont la référence, qui a créé... l'invasion de zombies, on va dire, dans le jeu vidéo qui s'appelle, mince, ce n'est pas Uncharted, c'est The Last of Us, un excellent jeu vidéo. D'ailleurs, je n'ai pas fait le 2. En même temps, mon attrait pour les jeux vidéo est un peu compliqué, j'essaie de m'y remettre. C'est terrible, mais je n'arrive pas à me replonger dans un jeu avec l'univers qui va avec. Le dernier que j'ai fait et que j'ai ouvert, c'est Zelda Tears of the Kingdom. Étant un grand, grand fan de Zelda depuis Ocarina of Time, depuis... donc la Nintendo 64, mais malheureusement, je n'arrive plus à me plonger dedans. Pourtant, j'ai beau essayer, je me force presque à essayer de jouer, mais je n'y arrive pas. Ça tient quelques semaines, après j'abandonne complètement. Mais bon, j'attends avec impatience la sortie de la Switch 2. Peu importe, ce n'est pas le sujet. Donc, ce café, parlons-en. Ce café sur le papier, il est génial. En effet, on allie la caféine... Avec les propriétés qu'on lui connaît, notamment sur la concentration, sur l'augmentation des récepteurs à dopamine au niveau du noyau accubin, si j'en passe, avec des champignons adaptogènes qui vont booster la concentration, la motivation et même la santé de façon générale. C'est très intéressant pour l'immunité, etc. Sauf que ce café a un petit problème, et là je suis désolé au créateur de ce café car je crois qu'il est français. En même temps, vu le titre, ça paraît très logique. Ce café est pas bon. Non pas pas bon à cause des champignons. Mais pas bon dans le fait, et ça je crois que c'est commun à toutes les personnes qui mélangent café et champignons adaptogènes, pas bon dans le sens où ils prennent du café soluble. Mais pour une personne qui aime le café, le café soluble, je suis désolé, mais c'est la peine de mort, littéralement, ce n'est pas bon du tout. Donc un café, véritablement, café, un vrai café avec ces champignons-là, et je crois que je vais le faire. Là, je me tâte. J'ai un projet qui va arriver avec Pierre Dufraisse et Steph Gentis, en lien avec le podcast que nous allons lancer bientôt. Et en fait, ce projet notamment de création d'un programme qui n'est jamais vu. qui n'a, pardon, jamais été fait non plus. On va en parler juste après avec Pierre. On a un rendez-vous ensemble d'ici une heure. Il faut que je me dépêche d'ailleurs pour pouvoir manger avant et faire ma sieste avant. Donc, un projet juste exceptionnel. J'espère qu'il va, logiquement, il devrait voir le jour. Mais il faudra patienter à votre niveau car ça n'arrivera pas avant décembre 2025. Donc, fin d'année prochaine. Je n'en dis pas plus. Mais si ce projet nous rapporte les fonds que j'estime. on va dire, comment dire, pas que j'estime, mais que j'espère obtenir, logiquement, on devrait pouvoir, si Pierre est chaud, et je pense qu'il le sera, pourquoi pas lancer une marque de café ? Ça serait fou, non ? Une marque de café, mais pas un café normal, pas un café déjà soluble, un vrai café avec des grains de café qui seront moulus, avec donc des champignons adaptogènes, mais surtout, j'aimerais relancer un peu une marque qui a pas mal périclété, et dont j'ai fait la publicité il y a maintenant plusieurs années dans l'arrière, qui s'appelait Coffee Pixel, une marque notamment co-lancée par Gunther Paoli, où l'idée était simple, c'était de transformer le café en une tablette, une petite tablette de chocolat, où en fait les personnes mélangeaient le fruit entier du café avec tous ses antioxydants, toutes ses vertus, et non pas uniquement la graine torréfiée, à du chocolat et à différents autres éléments, et ça composait simplement une tablette, une petite tablette de chocolat, très très bonne en goût, très addictive également pour information et pour rappel, car je l'avais dit à l'époque comme quoi j'avais dégommé la boîte de 30 tablettes en très peu de temps. Et en fait, chaque tablette, donc déjà beaucoup de vertus en plus, vertus en termes notamment d'effets antioxydants, en termes de minéraux, en termes de nutriments, mais également chaque tablette du coup équivalait à un espresso. Et donc j'aimerais relancer ce type de production là avec du vrai café de qualité, donc la graine complète, couplée à des champignons adaptogènes. Et pourquoi pas proposer... Ce type de produit-là, avec également le café classique, avec les champignons adaptogènes. Dites-moi ce que vous en pensez, est-ce que ça pourrait vous intéresser ? Moi, je pense qu'il y a un vrai potentiel, tant en termes de business pour moi, honnêtement, mais également en termes de plus-value, parce qu'avoir dans votre poche, votre propre petite, comment dire, tablette de chocolat-café en quelque sorte, à consommer où vous voulez, avec un goût qui est super et beaucoup de vertu, facile à transporter. Franchement je pense que ça n'a pas de prix en plus, ça peut vous faire l'économie si jamais vous vous êtes souvent en déplacement comme c'est mon cas actuellement parce que je vais régulièrement sur Paris, de vous taper des gobelets en plastique avec un café bouillant qui tombe dedans avec du coup les perturbateurs endocriniens qui vont avec et ça payer un bras littéralement, si je peux vous faire l'économie de ça en termes d'exposition à des agents chimiques j'aurais rempli une partie de ma mission. Donc voilà un des projets sur lesquels j'aimerais avancer à partir de 2026 je pense. Et d'ailleurs, en parlant de projet, on va directement switcher à la dernière catégorie que j'avais notée en termes de notes sous mes yeux. En termes de projet, voici un peu comment je me projette à mon niveau, si jamais cela peut vous intéresser. J'aimerais que ma vie, à moyen terme voire court terme, s'axe sur quatre projets différents. Premier projet, c'est mon projet principal, la neuroproductivité, avec mes formations dont on parlera par la suite, avec l'année des douze semaines et que j'en passe. Ensuite, deuxième projet. Donc les vidéos YouTube et tout. D'ailleurs YouTube prend très bien, merci à vous. Les vidéos franchement sont bien vues, bien consultées. Là je suis à, je vais ouvrir mon espace administrateur de YouTube pour vous dire précisément où j'en suis en termes de statistiques. Je suis à un total de 2350 abonnés et ma dernière vidéo franchement elle marche bien sur les siestes. Je pense que la miniature a pas mal aidé. Elle est à 723 vues, donc c'est plutôt cool. Avec un total de 51 GM de commentaires. La vidéo d'avant sur le sommeil est à 533 vues, avec 43 j'aime et 13 commentaires, et celle sur le café est à 2100 vues, avec 134 commentaires. Euh, j'aime, pardon. Et pour information, je vais tester un nouveau studio fin du mois à l'occasion d'un plateau télé, que je vais faire sous peu, donc fin du mois encore une fois, sur la chaîne BeSmart. Je vous en parlerai le moment voulu. Et donc je vais tester à l'occasion de mon passage sur Paris, un autre studio pour les podcasts. Ok. Donc... Premier élément de ma vie future idéale, c'est effectivement la continuité de ce que je fais depuis des années et des années, à savoir développer la neuroproductivité et l'écosystème qui va avec. Deuxième élément, ce serait de reprendre Papapreneur, à savoir le projet que j'avais avant avec Quentin. Est-ce que je vais le poursuivre ou non avec lui ? Je ne sais pas encore. On verra bien. Ça, c'est une réflexion sur laquelle j'avance tranquillement. Ce projet a pour vocation d'aider les entrepreneurs qui deviennent papa à survivre au chaos de la parentalité. On n'en parle pas assez. projet suivant, mon projet avec Aurélie sur l'éducation des enfants, donc là ça avance progressivement, je commence à accumuler pas mal de ressources en termes de lecture à faire et je pense commencer à m'atteler à ces lectures là d'ici quelques semaines à peu près à commencer à prendre des notes et à tester sur mes enfants qui vont être mes petits sujets de laboratoire, et enfin un dernier projet sur lequel je veux avancer c'est le projet Nakama justement donc le fameux podcast avec Pierre et Steve où on va inviter uniquement des gens qui partagent nos valeurs et qui incarnent tout simplement ce qu'elles disent et ce qu'elles transmettent. Donc voilà un peu ma vision future. Et dans cette vision, qu'est-ce qui se passe ? Il se passe notamment ma volonté de refaire encore une fois tous mes programmes de formation. Ça fait environ cinq fois que je l'ai fait. Mais là, j'ai une version définitive en tête et je vais l'exécuter cette année et début d'année prochaine. À savoir déjà arrêter de vendre des programmes à l'unité. Arrêtez de vendre des programmes tels que, je sais pas, ma formation sur les routines, ma formation sur la nutrition, sur le sommeil et j'en passe, mais créez à l'inverse 4 packs de formation qui vont contenir chacun 4 formations principales. Ces packs seront sur la productivité, sur l'énergie, sur la charge mentale et sur enfin le dernier, l'apprentissage. Chacun de ces packs du coup contiendront je pense... A chaque fois, 4 formations et chaque formation durera 7 jours. Vraiment, on va chercher l'efficacité et la rentabilité à votre niveau. Également, je vais faire en sorte de, je crois l'avoir mentionné dans le podcast précédent, de scripter toutes ces futures formations pour les faire en studio également, pour vous apporter la meilleure qualité possible. Avec évidemment des illustrations et surtout beaucoup de ressources. Et encore une fois, le but, par ce scriptage-là. va être de réduire le temps et la durée des vidéos que je vais vous fournir dans ces formations. En effet, on a un biais. Quand nous sommes formateurs en ligne, un biais qui fait simplement que nous avons tendance à estimer à fixer le prix d'une formation en fonction de la durée de la formation. Autrement dit, plus une formation est longue, plus inconsciemment nous allons chercher à augmenter son prix. Et plus elle est courte, plus nous allons inconsciemment vouloir diminuer son prix. Non pas le diminuer, mais plus on aura de réticence à fixer un prix élevé. Sauf que ça, je le savais depuis longtemps, mais je ne l'ai pas encore réellement intégré, et là c'est bon, le déclic a opéré. Ça, c'est une mauvaise mentalité à avoir. C'est une très mauvaise mentalité parce que c'est une mentalité qui nous pousse à rallonger les formations pour justifier un prix de formation. Et ça, c'est pas ok. Pourquoi ? Parce que les personnes qui achètent des formations, des programmes en ligne, veulent obtenir un raccourci et non pas un chemin classique. Je m'explique. Littéralement, si vous suivez mes contenus depuis le début, vous pouvez, comment dire, progresser. Autant qu'une personne qui suit mes formations. Vous avez quasiment tout à disposition. Alors peut-être pas tout, il y a quelques outils effectivement que je réserve secret, etc. C'est logique parce que les gens me payent par rapport à ça, donc je ne vais pas le distribuer également en contenu public. Mais en fait, grosso modo, tous les contenus que j'ai pu créer depuis 2016, j'ai commencé les activités sur Internet en 2016. D'ailleurs, si vous tapez Jérémy Coron sur YouTube, vous allez potentiellement tomber sur mon ancienne chaîne YouTube dans laquelle je parlais de ressources humaines. La chaîne s'appelait Let's Work. Toutes les vidéos ne sont plus accessibles, mais certaines le sont encore. Et ça, j'ai commencé le 1er janvier 2016 encore une fois. Donc, en fait, tous ces contenus-là, il faut les voir comme étant des pièces de puzzle. Vous achetez un puzzle, vous avez toutes les pièces comme ça qui sont mélangées. Ça, ce sont les contenus que j'ai produits depuis 2016. Une formation en ligne, qu'est-ce que c'est ? C'est le plan du puzzle. Tout simplement. Donc, vous avez les éléments dans l'ordre. nécessaires pour obtenir les bons résultats, avec les bons passages à l'action, la bonne progression. Et après un accompagnement, typiquement comme l'année des 12 semaines, qu'est-ce que c'est ? C'est moi qui suis avec vous en train de faire le puzzle, pour limiter encore une fois la friction du passage à l'action, et pour devoir rendre des comptes, cette notion d'accountability qui est si importante. Donc, tout ça pour dire, simplement... Si je raccroche un peu les wagons qui sont un peu éloignés, ils vont revenir, ne vous inquiétez pas. Tout ça pour dire que j'ai longtemps fait l'erreur, et comme beaucoup de mes confrères on va dire, de faire une corrélation entre le temps de la formation et simplement le prix de la formation. Sauf que comme mentionné précédemment, une personne qui achète un programme en ligne cherche un raccourci. Et donc un raccourci, qu'est-ce que c'est ? C'est un temps plus petit pour obtenir un même résultat. Donc, logiquement... il devrait y avoir une corrélation inversée entre le temps d'une formation et son prix. En effet, moi je préfère payer 5 fois le prix d'un programme classique si je peux avoir l'information dont j'ai besoin ou le résultat dont j'ai besoin en 2 fois moins de temps. Et c'est ça la logique à partir de laquelle je vais travailler à partir de maintenant. Je ne vais pas qu'intupler le prix de mes programmes. Pas du tout. Les prix vont peu ou prou rester les mêmes. Sauf que je vais réduire simplement la durée des formations pour maximiser votre passage à l'action. Forcément parce que si vous ouvrez un programme et vous faites face à une formation qui dure une demi-heure, une vidéo qui dure une demi-heure, forcément trouver le temps de suivre la vidéo sera compliqué pour vous. Donc la friction pour lancer la vidéo sera plus élevée. Mais si j'arrive, avec la logique que j'ai actuellement, à faire des scripts précis, Pour faire des vidéos qui vont durer entre 8 et 10 minutes, là en voyant uniquement moins de 10 minutes sur le temps de la vidéo, naturellement vous allez cliquer automatiquement pour la voir parce que c'est un temps qui est très court. Donc mon objectif va être simplement de créer des programmes avec un temps de vidéo qui ne dépassera dans l'idéal que très rarement les 10 minutes. Je pense que ça va le dépasser uniquement quand je ferai face à des explications plus techniques. Typiquement face à des paramétrages de logiciels ou face à des explications de méthodes, d'outils, etc. que je fournis. Mais je vais au maximum faire en sorte, encore une fois, de limiter la durée de mes vidéos de formation pour simplifier les choses à votre niveau. Et donc pour vous donner ce raccourci que vous recherchez. Et pour me décorréler, du coup, au niveau de mon esprit en quelque sorte, de la logique de durée de formation plus haute égale prix plus haut. Non. Les packs en question, justement... vont encore une fois avoir cette logique de 7 jours, parce que la durée est courte, donc qui dit durée courte dit résultat rapide, et donc 8 minutes environ par jour. Et donc tout ça pour dire qu'au final, je me perds encore une fois dans mes propos, je suis désolé mais c'est un peu on va dire la conséquence d'être 100% en live avec uniquement quelques notes à portée de main, donc tout ça pour dire que l'objectif encore une fois sera de simplifier les choses à votre niveau et de vous faire obtenir le plus de résultats possibles dans le moins de temps possible. Et le prix, c'est l'élément sur lequel je voulais arriver justement avant de me perdre. Je pense que pour un pack de formation, donc à savoir 4 formations, je serai autour de 450 euros. Je pense être sous les 500 euros. Ça peut sembler cher, mais rappelez-vous, il y a 4 formations directement dedans. Donc ça sera bien moins cher que mes formations à l'unité à l'heure actuelle. Et encore une fois, si jamais vous connaissez ma façon de faire des formations, notamment mon espace de formation en ligne, vous le savez, je fais tout pour simplifier les choses. Donc d'une part, les vidéos seront plus courtes, mais également tous les passages à l'action seront explicités sous la vidéo. Et vous n'aurez qu'à valider des étapes. Donc l'application par laquelle je passe... Gamify d'expérience, donc la rang ludique, vous cliquez sur les étapes et vous voyez l'étape validée, cochée tout simplement. Et donc vous voyez également, parce que c'est corrélé tout ça, à la progression à votre niveau dans la formation. Comme ça, ça rend véritablement plus visuel, plus tangible, plus concret, votre cheminement, les progrès que vous réalisez. En parlant de gamification, le sujet est abordé. Donc en parlant de gamification, je vais faire un petit... un petit laïus par rapport à l'échange que j'ai eu c'était hier il me semble avec le premier expert notion des trois que je vais rencontrer pour créer le dashboard de l'outil que je développe pour à la fois Yomi Denzel pour sa productivité mais également pour l'année des 12 semaines en effet pour ceux qui ne le savent pas je travaille avec Yomi Denzel je suis son coach perso en productivité et pour ceux également qui ne le savent pas pardon, celles et ceux, soyons inclusifs merci Pour ces gens-là également, j'ai développé un programme qui s'appelle l'année des 12 semaines, où je présente un protocole clé en main qui dure 3 mois, pour faire plus en 12 semaines qu'en 12 mois grâce à ma méthode Neuro-Productivité. Donc j'ai rencontré ce premier expert Notion, il m'a dit qu'on pouvait dire les deux, pour commencer à lui présenter un peu ce que j'attendais de lui, pour créer un espace véritablement parfait. En effet, encore une fois, je sais que je m'en répète, ça fait un peu prétentieux que j'en ai conscience, mais là, je pense avoir résolu avec cet outil-là, là, comment dire, l'équation de la productivité, littéralement. En fait, et ça, c'est un élément que je voulais aborder, mais je ne l'ai pas noté sur ma petite tablette, je vais le noter dès maintenant, on va dire les trois temps productivité. Et en fait, j'ai pensé cet outil-là comme étant un GPS de la productivité. Comment fonctionne un GPS ? Ça commence de, ok, on planifie un voyage. Donc en l'occurrence, là, on planifie un objectif à atteindre. Donc typiquement, perdre du poids, lancer son entreprise, faire X euros de chiffre d'affaires et j'en passe. Donc ça, c'est la première étape. Ensuite, étape suivante, on démarre. Donc on vient tout simplement identifier les différents points par lesquels nous allons passer. Donc telle ville, tel village, tel lieu. On va potentiellement également commencer à planifier les arrêts. On va s'arrêter sur telle autoroute, on va s'arrêter dans telle ville, tel village, faire telle pause, faire telle escale. C'est arrêter de dormir dans tel hôtel ou tel hôtel. Et après, on commence à démarrer. Donc, si on reprend la destination, c'est l'objectif que l'on cherche à viser. Et après, les étapes, simplement, c'est les actions qu'on va entreprendre pour atteindre le but final. C'est les jalons par lesquels nous allons passer. OK. Après, l'avantage d'un GPS, c'est que c'est évolutif contrairement à une carte classique. Parce que, rappelez-vous le restique. Assez connu de la carte VSU sur le territoire, une carte représente un chemin hypothétique appris à le territoire, avec ses embouteillages, ses travaux, également potentiellement d'autres éléments tels que le vallonnement, etc. Tels que, je ne sais pas, la présence de montagnes, de cours d'eau, d'inondations, j'en passe. Et donc, contrairement à une carte, un GPS, lui, est évolutif et va constamment recalculer le temps de trajet en fonction des imprévus que nous allons trouver sur la route. Et ça, concrètement, c'est ce que permet de faire mon outil. entre autres évidemment, c'est de constamment analyser, météanaliser, passer en revue, toutes les contraintes, tous les changements, tous les événements hasardeux et chaotiques que l'on va rencontrer au long de sa progression, pour les intégrer à son cheminement, pour trouver des solutions, soit pour changer potentiellement d'objectif, soit pour changer de chemin pour l'atteindre. Et de ne pas attendre d'être face au mur, face à la deadline, face, on va dire, au... je ne sais pas, un danger véritablement dès lors qu'il est devant notre nez, pour réagir, on va anticiper les réactions pour ne pas être constamment justement dans l'urgence. Et c'est la raison pour laquelle, c'est l'élément que j'ai rajouté justement à l'instant sur ma tablette, j'ai mis en place une logique de trois temps dans cet outil en question. Il y a le temps du visionnaire, la personne qui vient justement, si on reprend la métaphore du GPS, qui vient justement établir la destination finale. Après, on a le stratège. Le stratège, c'est lui qui dit ok. Là, il faut passer par telle route, tel endroit, passer par telle ville, faire telle pause, manger dans tel restaurant. Donc nous, ça va se traduire par je veux atteindre tel palier, à telle date, à telle semaine, à tel mois. Et après, on quitte tous ces modes-là, une fois que c'est établi, pour passer à un mode exécutant. uniquement je roule, c'est tout, j'exécute. Et en fait, comme ça, on peut zoomer précisément. Donc on passe d'une vision très large à un objectif qui est flou, à un but après qui se précise. Et après, à l'échelle de la journée, on rentre uniquement dans une catégorie, donc dans une page notion spécialisée, qui est la page de la journée, de la semaine, pardon. Et à l'échelle de la semaine, on sait précisément ce qu'on a à faire à l'échelle de la semaine. Et pas les autres semaines. Les autres semaines, on s'en fiche royalement, on ignore, on est dans l'exécution, donc dans l'instant T. On n'est pas dans le passé, on n'est pas dans le futur, nous sommes dans le présent. Et ça, c'est essentiel à comprendre pour être plus productif. Pourquoi ? J'en ai parlé justement dans la dernière session en live de l'année des 12 semaines. En effet, rappelez-vous, je co-crée ce programme actuellement pour l'exposer justement à mes premiers membres. Nous sommes donc 17, pour qu'ils puissent me faire leur retour, leur feedback. En effet, ce que je leur présente véritablement, c'est encore une version bêta. C'est pas... pas parfaits et loin de là, mais on tend à la création de la perfection avec eux pour la version, on va dire, publique qui sortira en 2025. Donc tout ça pour dire, au final, que j'ai parlé à ces membres-là de l'importance d'arrêter de travailler avec des listes de tâches. Pourquoi ? Parce que les listes de tâches, en fait, qui est le conseil numéro 1 en productivité, quand on commence, quand on ouvre n'importe quel livre, on dit, faites des Ok, mais ces gens-là qui vous conseillent de faire des listes, faire des listes, faire des listes, en fait ont un problème. C'est qu'ils ne connaissent pas le fonctionnement du cerveau humain. Ils n'ont aucune idée des implications des listes de tâches sur des mécanismes neurologiques qui sont antagonistes à la productivité, qui sont antagonistes également à l'activation du système de récompense du cerveau humain. En effet, le problème des listes de tâches, c'est que ces dernières nous placent directement face à un... paradoxe, qu'on appelle le paradoxe du choix, qui est un biais cognitif, qui fait que plus nous avons d'éléments sous les yeux, plus nous avons du mal à décider quoi faire. En effet, une super étude a été menée pour illustrer ce paradoxe-là, où, dans un hypermarché, on a mis deux stands de confitures. Confitures, c'est bien ça. Oui, ce sont des confitures. Un stand, alors là, les chiffres vont être un peu approximatifs, mais retenez simplement l'idée qu'il y a derrière. Un stand avec potentiellement cinq confitures, avec donc cinq goûts différents, et un autre avec 22 confitures. Le premier stand a attiré moins de monde que le second. Donc il y avait moins de monde qui allait voir le stand des 5 confitures que le stand des 22 confitures. Par contre, en termes d'achat, il y a eu beaucoup plus d'achats, peut-être de 50% en plus, sur le stand numéro 1, contrairement au stand numéro 2. Pourquoi ? Parce qu'on est face justement à ce fameux paradoxe du choix. Parce que littéralement, c'est également ce qui se passe quand vous êtes au restaurant devant une carte qui est trop fournie. Vous ne savez pas quoi prendre. Vous passez un temps fou à hésiter entre tous les plats qui sont devant vous. Pareil, quand vous allumez Netflix, c'est exactement le même problème. Il y a une inertie du passage à l'action. Pour quelles raisons ? C'est intéressant. On va creuser un peu ce sujet-là. C'était pas prévu initialement, mais on va le faire. Car votre cerveau, on le sait encore plus depuis les travaux de Carl Friston sur ces sujets-là, est un organe non pas de réaction, mais d'anticipation. Pourquoi je vous parle de ça ? Car votre cerveau, quand il voit tous ces choix qui s'offrent à lui, qui se présentent devant lui, va se projeter dans soit les bénéfices, soit les contraintes de tous ces choix. Donc si on reprend le cas du restaurant, votre cerveau va se projeter par rapport au fait de goûter chacun des plats face à lui. Et donc, qu'est-ce que cela a pour conséquence ? Et bien tout simplement, qu'il aura plus de mal à s'arrêter sur une décision parce que tout lui paraît potentiellement alléchant. Tout lui paraît potentiellement... intéressant et vu que choisir c'est renoncer, en s'arrêtant sur une option, il devra potentiellement en ignorer 20. Et donc la douleur est énorme. Et de surcroît, donc là si on quitte le restaurant pour le monde du travail, quand on va devoir s'arrêter sur une tâche précise, qui est sur une liste de tâches, naturellement le cerveau va également être plus enclin à faire du multitâche. Car il va regretter en partie son choix de travail. Donc dès lors qu'on va commencer à perdre en motivation, perdre en concentration, se lasser de la tâche ou avoir de la fatigue, on sera davantage poussé à faire une autre tâche pour arrêter la tâche sur laquelle nous sommes. Mais ça, on s'en fait littéralement l'économie grâce à mon système, car on arrête de réfléchir avec une logique de liste de tâches, mais uniquement à l'échelle de la semaine, avec cinq tâches à faire à la semaine. Et ça, j'ai martelé cette information par rapport à mes premiers membres de l'année des 12 semaines. Martelé le fait... que je préfère qu'ils aient que très très peu d'objectifs à l'échelle de la semaine, mais qu'ils puissent tous les atteindre, plutôt que beaucoup d'objectifs pour en atteindre au final que 40, 50, 70%. Pourquoi ? Parce que d'une part, lorsqu'ils atteignent tout leur but, même si en un mois ils sont dans un comportement qui vient renforcer le bénéfice de travailler, Notamment par l'activation du système de récompense, on est récompensé parce qu'on a accompli toutes ces tâches, on est fier de nous. Donc on est poussé à recommencer par un attrait dopaminergique de la semaine qui suit, versus être constamment placé au final dans une situation d'échec. Et même si in fine, on atteint plus de tâches quand on en programme plus, tout en encore une fois échouant sur certaines, versus en atteindre moins, mais toutes, je ne sais pas si j'étais clair, mais moi je me comprends en tout cas, et bien même si on progresse moins, on va dire de façon absolue, le renforcement dopaminergique est néanmoins plus intéressant. Et sur la durée, ce renforcement-là va davantage nous pousser à l'action, non pas à la procrastination. Donc il faut mieux atteindre moins d'objectifs, mais tous écochés, que plus d'objectifs en en laissant en suspens. Donc ça pour dire encore une fois que l'on vient quitter grâce à cette méthode-là, la logique. de la liste de tâches. Et donc on vient quitter encore une fois cette frustration induite par le paradoxe du choix. Et vu qu'on parle de ce système de productivité, je coche au fur et à mesure tous mes éléments sur ma petite tablette remarquable, qui est très bien d'ailleurs. J'aime beaucoup. Je n'ai pas encore assez creusé l'outil, mais c'est un bon outil. Cher par contre, très très cher. Je crois que ça m'a coûté plus de 800 euros la tablette. Après l'avantage encore une fois c'est que c'est une tablette qui est avec un écosystème fermé. C'est pas une tablette comme un iPad où l'écosystème est ouvert. Donc on va tenter potentiellement de faire autre chose, d'aller sur les applications telles qu'un navigateur internet ou autre. Là c'est dédié à la prise de notes. Donc c'est l'avantage et c'est le prix à payer pour un écosystème fermé. Ce qui est très important encore une fois, j'en parle dans mon livre, comme quoi l'écosystème fermé est plus intéressant pour la concentration que l'écosystème ouvert. Donc, vu que je suis sur cette fameuse application que je développe, ce fameux espace notion, je vais également vous partager un peu une réflexion que j'ai eue avec l'expert notion que j'ai eue au téléphone, à savoir l'implémentation également de beaucoup de gamification dans l'espace en question. En effet, je parle très souvent, et on l'a mis en place avec Yomi, de l'importance de se récompenser pour renforcer également l'attrait dopaminergique des tâches que l'on va effectuer. Et donc le système qu'on a mis en place avec Yomik en S'est vu sur Paris, c'est le fait que lui aime compléter ses habitudes. Donc on a implémenté un tracker d'habitude dans l'espace en question. Et il veut simplement qu'il y ait une notion de pourcentage d'habitudes complétées au quotidien. Donc par exemple, ça peut être méditer, atteindre son objectif du jour, faire des mille pas, respecter ses apports caloriques et j'en passe. Après, c'est à vous de déterminer précisément les habitudes que vous souhaitez traquer. L'idée c'est quoi ? C'est que si on atteint par exemple, admettons, 80% de complétion d'habitude, ça déclenche la possibilité d'avoir une récompense. Là j'ai deux possibilités maintenant qui ont émergé suite à mon échange avec l'expert notion. Soit on maintient ça, donc 80%, hop, on peut tirer une récompense, soit aléatoirement dans des enveloppes, soit aléatoirement sur notion. Également on va réfléchir... à la mise en place potentielle d'un système, que plus on va atteindre un pourcentage élevé, plus le pourcentage de chances pour contrer une récompense intéressante sera lui aussi élevé. Donc, admettons que sur 80%, on ait un pourcentage de, je sais pas, de 50% d'avoir une bonne récompense, potentiellement, si on tend vers du 100%, on va atteindre les 80% de chances d'avoir une très bonne récompense que l'on va tirer au hasard. Pourquoi du hasard ? Très bonne question. Parce que la dopamine, notamment, est médiée par le principe d'incertitude. Si on a un écart entre l'expectative et le résultat concret, qui est positif, le pic de dopamine sera encore plus fort. D'où, tout simplement, le fait que les casinos soient si addictifs. On est constamment dans une logique d'incertitude de la récompense. Ok, parenthèse fermée. Donc ça, c'est la première logique. Deuxième logique. On reprend également cette notion de complétion, et on peut dire que tous les X pourcentages, par exemple, à partir de 80% jusqu'à 100%, ont des blocs des coins, donc de l'argent virtuel sur Notion, qui permettront également, après, par la suite, d'être dépensés pour acheter des récompenses. L'avantage de cette deuxième option, je trouve, c'est qu'on se retrouve un peu dans la logique du test du Chamallow, développé par Marston, je crois, non ? Non, c'est pas Marston, je sais plus. On va regarder en même temps sur mon petit téléphone que j'ai à portée de main, et non. évidemment mon téléphone est bloqué vu qu'on n'est pas sur une heure de détente mais sur de productivité, donc test du chamallow, du chamallow Est-ce que c'est Marston ? Est-ce que c'est Marston ? Ah non, c'est Walter Mitchell. J'étais très très loin. Qui est Marston ? Je sais plus, peu importe. Test simplement qui avait pour but d'exposer des enfants, de façon individuelle, à un chamallow. Donc les enfants étaient dans une salle d'expérimentation, l'expérimentateur mettait un chamallow sur la table et leur disait simplement, je vais quitter la pièce. Si, quand je reviens, le chamallow est encore là, naturellement, tu pourras en avoir deux. Par contre, si, quand je reviens, le chamallow n'est plus là, tu n'en auras pas. Tu n'auras pas un nouveau. Donc l'idée c'est quoi ? C'est d'apprendre aux enfants à différer la gratification et la récompense. D'ailleurs, à part thérapie, les enfants qui ont réussi ont été suivis durant des années et des années, même ceux qui ont échoué d'ailleurs. Il s'avère que ceux qui ont réussi ont eu une meilleure vie Alors la vie c'est quoi pour un chercheur ? C'est un meilleur travail. C'est beaucoup plus complexe que ça évidemment. Mais pour eux c'était le critère d'évaluation. Et à partir d'un apparté, comment faisaient les enfants qui ont réussi à résister ? Généralement, ils se bloquaient les yeux. Du moins, ils n'exposaient pas leur regard directement au chamallow, parce que l'attention va là où le regard porte. Donc en regardant constamment le chamallow, le cerveau se projette encore plus dans le bénéfice de le manger, et donc augmente la probabilité du passage à l'action, à savoir le fait de le manger. Donc souvent, ils détournaient le regard. Très bien. Donc tout ça pour dire que l'avantage de ce système de pièces, on va dire, à gagner, c'est qu'on peut chercher également cette gratification, ce délaiement, j'ai dit le terme précédemment comme par hasard, là il m'échappe, c'est le fait de différer la gratification. Pourquoi ? Parce que si une récompense nous intéresse et vaut par exemple 10 pièces, on n'en a que 8, il faudra attendre une semaine supplémentaire pour avoir l'argent nécessaire pour la débloquer. Donc on peut différer encore une fois la gratification, ce qui est plutôt intéressant au niveau neurologique. Donc j'hésite encore, je dois voir un peu ce que va me proposer l'expert notion par rapport à tout ça. Mais en tout cas, c'est pour dire que l'espace va être fou. Encore une fois, c'est l'espace que je mettrai à disposition pour les membres actuels de l'année des 12 semaines et pour les futurs membres. Donc vous aurez accès à terme, donc en 2025, à cette notion de gamification avec des pièces pour obtenir des récompenses selon votre avancement. Et ça, ça va tout changer en termes de productivité. En fait, l'idée, c'est de concevoir la productivité par cet espace-là comme étant un jeu, tout simplement. Parce qu'il n'y a rien de mieux que le jeu pour tenir sur la durée. Et là, j'ai fait tellement de gribouillages sur ma tablette que je n'arrive plus à relire mes notes. Si, je voulais également vous parler de trois choses, quatre choses. Encore. Première chose, on va essayer de créer quelque chose de logique par rapport à la suite. J'aurais dû en parler plus tôt, mais c'est la refonte de ma newsletter. Et notamment un élément qui sort directement de l'échange que j'ai eu avec mon coach Limdin, qui m'a dit qu'il fallait que je simplifie les choses, et je pense qu'il a raison. Et en fait, je vais simplement communiquer sur les 4 packs dont j'ai parlé précédemment, et en faire 4 thématiques centrales. Et donc chacune de mes newsletters, je pense, sera maintenant axée sur 4 conseils par semaine, par exemple tous les lundis à 7h du matin, pour augmenter son énergie, améliorer sa productivité, entre guillemets, son apprentissage et mieux gérer le stress et la charge mentale. Et je proposerai, je pense à terme, et ça va être très compliqué pour moi honnêtement, dans chacun de ces emails, à la fin de chacun des paragraphes explicatifs en quelque sorte, de rejoindre les packs pour aller plus loin. Pourquoi ça va être compliqué pour moi ? Parce que je vais tendre à l'arrêt des promotions. Je sais que c'est la meilleure chose à faire. Parce que naturellement, qui dit alors promotion, sauf événements particuliers encore une fois. Typiquement, une personne qui vient de s'inscrire potentiellement aura un coupon de réduction pour faciliter le passage à l'achat et à l'action. Également, quand je vais refaire le sommet de la productivité, il y aura une promotion. Il y aura des choses qui seront en promotion. Mais j'aimerais le plus possible arrêter de faire des lancements tous les 15 jours. Et surtout changer ma logique de promotion en fait. C'est plus ça la vérité. En fait, avec les packs que je vais créer, il y aura donc... quatre formations dans chacun des packs, et après il y aura des formations, on va dire, des modules bonus, en plus, que j'offrirai uniquement à des périodes précises dans l'année. Donc la promotion ne sera pas tant sur le prix que par l'ajout de bonus à un pack principal. Pourquoi ? Alors pourquoi d'une part ce raisonnement-là, et pourquoi d'autre part je dis que ça va être compliqué pour moi ? On va commencer par la logique du raisonnement. Dire en fait, faire une promotion dévalue tout simplement la valeur perçue de mes contenus. Et mes contenus valent le coup. J'en suis convaincu, donc je vais arrêter de dévaluer cette valeur-là. Et donc je vais offrir la possibilité aux personnes de rejoindre toute l'année mes programmes à un prix qui est juste et logique et cohérent, et pas un prix qui est soit artificiellement gonflé, soit artificiellement baissé, et non pas blessé. Ensuite, pourquoi c'est compliqué ? Parce que... Alors je vais parler un peu crûment, mais faire une promotion c'est imprimer de l'argent. C'est bête mais on le sait tous dans le domaine des formations en ligne, et pas que. Tous les domaines, quand on voit le Black Friday, qu'est-ce que c'est ? C'est ça, c'est on peut imprimer de l'argent en jouant sur l'effet de scarcity, donc l'effet d'urgence. Car le cerveau étant drivé par l'urgence et la peur de louper quelque chose, le fameux fear of missing out, aura davantage tendance à acheter un produit même si le produit est considéré comme étant inutile, pour ne pas... passer à côté de ce dernier et de la promotion qui est liée. Donc en fait, je vais potentiellement tendre à... ça va être compliqué à faire... à arrêter d'avoir un levier. Terrible, j'en ai conscience, mais qui me permet d'imprimer du cash, à mon niveau. Et donc de faire un chiffre d'affaires intéressant. Ce podcast, vous le voyez, est 100% transparent. Mais encore une fois, je pense que pour... que pour mon image, que pour mon entreprise, que pour moi même de façon générale, c'est le plus logique. Et surtout, quitter cette logique de baisser le prix, mais plus d'offrir des bonus, me paraît mieux parce qu'encore une fois, je ne vais pas dévaluer la valeur perçue de mes programmes. On verra comment je vais réussir à agencer tout ça, mais si j'ai le sommet de la productivité qui fait des bons chiffres, si j'ai également le projet Pierre-Estève tous les ans qui fonctionne bien, si j'ai quelques coachings par-ci par-là, l'année des 12 semaines, logiquement je serais plutôt pas trop mal, il n'y aurait pas besoin d'avoir trop de promotions à l'année, ou justement d'offres, ou je rajoute encore une fois des formations bonus. On verra, ça va être compliqué, d'autant plus qu'il faut que je crée les formations maintenant, que je recrée les packs, car ils ne sont pas prêts, avec cette nouvelle version dont j'ai parlé précédemment, de vidéos assez courtes et efficaces. Et enfin, je pense qu'on parlera de réflexion sur les mindmaps et j'en passe plus tard. Parce que là, mine de rien, le temps passe et j'ai Pierre au téléphone dans très peu de temps et je n'aurais pas fait ma sieste. Et ça, c'est terrible. Terrible pour moi. Je vais clore sur l'importance de la lumière. J'en parle très souvent, le fait de s'exposer au soleil le matin pour synchroniser son rythme biologique. Sauf qu'on arrive en hiver. Donc forcément, qui dit hiver, dit moins de lumière. Vous m'arrachez les mots de la bouche. Et donc, quoi faire à ce moment-là ? Eh bien, c'est exploiter une lampe de luminothérapie. Alors attention, cette lampe ne remplace pas le soleil. Rappelez-vous, j'en parle très souvent, c'est véritablement la lumière du soleil qui peut aller jusqu'à 100 000 lux, qui vient informer ce qu'on appelle les cellules à mélanopsine, comme quoi c'est le jour, par un message relais envoyé au noyau suprachiasmatique. Et de là découle ce qu'on appelle la synchronisation du rythme biologique. Et donc la bonne production des bonnes hormones au bon moment notamment. En hiver c'est plus compliqué forcément parce qu'on se lève très souvent avant que le soleil lui-même se lève. Donc on peut pallier à ce problème là. en en exploitant et en utilisant des lampes de lunothérapie qui elles vont par contre plafonner non pas à 100 000 lux mais à 15 000 lux grand maximum. Donc l'idée c'est d'exploiter ces lampes là quand il fait encore nuit et de s'exposer au premier rayon du soleil alors qu'il se lève pour renforcer le message d'éveil. Mais le problème que j'ai c'est que malheureusement ma lampe est tombée en rade et je sens véritablement les effets négatifs maintenant. Je sens le manque de cette lampe là donc je vais en recommander une je pense. Et pourquoi pas tester aussi ce qu'on appelle les luminettes. Alors le nom fait bobo, le nom est terrible, il est atroce. Mais en fait simplement c'est l'équivalent d'une lampe de l'hypnothérapie mais en lunettes. Et l'avantage c'est que déjà on les porte constamment. Et de surcroît en fait le signal lumineux est bel et bien envoyé au-dessus des yeux. Parce que les cellules A-mélanopsine sont situées dans la partie haute de l'œil. Donc forcément avec une information lumineuse qui tombe au niveau des yeux, cela renforce l'activation des fameuses cellules A-mélanopsine. Donc je pense tester et si jamais je le fais, évidemment je vous tiendrai au courant de l'intérêt et du bénéfice. de cela. Allez, maintenant je vais vous laisser dans une demi-heure, je m'appelle avec Pierre, donc ça va être assez speed pour moi. Je vais manger tranquillement mon premier repas de la journée, et après ça j'ai Pierre, et après ça je ferai ma sieste. Sur ce, passez une très bonne journée, une très belle semaine numéro 43 il me semble, et je vous dis à la semaine prochaine pour la suite de mes aventures en quelque sorte. Allez, ciao !