Description
Dans cet épisode, on entre dans les coulisses d’un studio créatif où la technologie ne remplace pas l’humain, elle le révèle.
On découvre un monde où finalement les mannequins ne posent plus, ils sont “designés”.
Nous avons eu le plaisir de recevoir Sandrine Decorde. Sandrine a commencé dans les directions digitales de grandes maisons de mode, puis a fondé une première entreprise revendue avec succès, avant de se lancer dans l’exploration des liens entre art, IA et blockchain.
En 2021, elle cofonde un studio entre Paris, Athènes et Shanghai, spécialisé dans la création de mannequins virtuels ultra-réalistes pour les marques de luxe.
Notre invitée construit une approche unique, mêlant esthétique, savoir-faire technique, et intelligence artificielle.
Elle ne parle pas d’outils, mais de vision. Pas de technologie pour la technologie, mais d’incarnation des marques.
Avec son équipe, elle modélise des bébés de 9 mois pour la mode enfant, crée des bases de données de mains pour la joaillerie, et imagine des campagnes entièrement digitales... qui ne se voient pas.
Avec Sandrine, cofondatrice de Artcare, on parle de :
Le dataset, pas l’outil
Des mannequins artificiels pour le luxe
Produire des bébés IA
Un workflow protégé comme une œuvre
Étendre la carrière des mannequins humains
Mango, une campagne IA qui fait débat
Les limites techniques de la vidéo IA
Des campagnes IA invisibles pour le grand public
Vrai/Faux sans filtre
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