Speaker #0Allez, c'est parti ! Bienvenue à tous dans mon nouveau podcast, Anastasia, le reflet d'un parcours. Eh oui, j'ai fait des podcasts avec Catherine Lévesque, j'ai fait des podcasts toute seule il n'y a pas longtemps, le mois dernier, puisque je viens juste de les commencer, c'est le tout début d'une grande aventure, mais je ne me suis pas forcément présentée. Donc, il y a beaucoup de gens qui me connaissent au nom d'Anna, mais en fait, mon prénom, c'est Anastasia. Et aujourd'hui, j'aimerais vraiment vous raconter mon histoire, enfin, une partie de mon histoire, parce que... Je ne suis pas très vieille encore, même si j'ai des cheveux blancs. Et du coup, je vais vous raconter mon histoire aujourd'hui. Alors, j'espère que vous allez rester avec moi le temps de cette histoire et que ça va un petit peu vous éclaircir sur pas mal de choses. Mais vous verrez qu'en fait, cette histoire a permis aussi de vous montrer qu'on est tous pareils et que j'ai beau être une chef d'entreprise, avoir monté une académie, former des jeunes, former des moins jeunes, accompagner des gens, des coiffeurs, les aider, je reste une femme... Comme tout le monde. Allez, c'est parti, vous êtes prêts à m'écouter ? Je vous ai fait un petit texte avec mes petits mots à moi. Bon, je peux bafouiller un peu, puis des fois je vais en rajouter un peu des lignes, parce que je vais lire mon texte, mais à mon avis, je vais un peu rajouter des petites bêtises comme je suis en train de faire là d'ailleurs. Allez, c'est parti. Donc aujourd'hui, je vous invite dans mon histoire. Pas celle qu'on lit dans les magazines, hein, ni celle qu'on attend d'une chef d'entreprise, mais celle d'une petite fille devenue femme, qui a décidé, envers et contre tout, de construire sa vie. Je suis partie de rien. Et oui, vous m'entendez bien, de rien. Mais je ne suis jamais restée à terre, jamais. Je m'appelle Anastasia, j'ai 37 ans, bientôt 38. Je n'ai pas grandi dans un cocon, ça c'est sûr. Il n'y avait pas de papa à la maison. Mon papa, la dernière fois que je l'ai vu, j'avais un an et demi. Je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de pouvoir le revoir avant son décès. Et une maman, là, mais absente à sa manière. Je ne vais pas forcément épiloguer sur ma mère et mon père, parce que ça reste personnel, mais voilà. sans repères paternels. D'ailleurs, c'est rigolo parce que tous mes patrons étaient des hommes. J'ai eu quand même des femmes, mais c'était quand même des hommes. Donc, on reprend une maman là, mais absente. Vous allez comprendre pourquoi. Ce n'était pas facile pour moi, mais ce n'était pas forcément un gros vide puisque j'ai une sœur qui a pris la place de cette maman. Une femme d'une force immense. Elle m'a appris ce que c'est d'aimer, d'être protégée, de croire, d'avoir la foi. C'est elle qui m'a donné mes premières fondations, des valeurs qui ne bougent jamais, même quand tout le reste s'écroule. Heureusement qu'elle était là et elle est encore là d'ailleurs. Elle va m'écouter, elle va dire mais ce n'est pas possible celle-ci. Donc voilà, des fondations, des valeurs que j'ai aujourd'hui, que j'ai construites aussi avec mon mari, mes valeurs. Les premières valeurs, je les ai eues grâce à ma sœur qui a inculqué aussi ces valeurs-là à ses filles qui sont mes filloles aujourd'hui. Voilà. Là où il n'y avait pas d'amour, j'ai appris à ensemer de l'amour. Puis je pense que j'ensemme tous les jours et je continuerai jusqu'à ma mort à ensemer de l'amour. Je vais vous raconter mon histoire d'amour à moi. Pour ceux qui me connaissent bien, ils savent. Mais du coup, il y en a qui vont dire « Mais quoi ? C'est pas possible ! » Eh bien si, j'ai rencontré mon mari, j'avais 13 ans et demi. Voilà, voilà. Aujourd'hui, j'en ai bientôt 38. On a fêté nos 24 ans de vie commune, puisque comme vous l'avez... entendu juste avant ma maman n'a pas forcément été présente et à l'âge de 15 ans j'ai quitté le foyer enfin on m'a un petit peu forcé à quitter le foyer mais bon j'ai quitté le foyer on va dire sans faire d'histoire familiale donc à 13 ans et demi j'ai rencontré mon petit amoureux qui est devenu mon mari et ouais on était jeunes on aurait pu dire mais que c'était un peu trop tôt d'ailleurs on me l'a dit et on m'a dit aussi Anna fais attention à 40 ans vous allez un c'est compliqué bon mon mari va avoir 40 ans je crois que j'ai jamais aimé autant et plus les années passent plus je l'aime J'espère que ça continuera. En tout cas, la vie, on a décidé autrement. On est encore ensemble. À 16 ans, on s'est mis en ménage parce que la vie a fait qu'elle aussi n'a pas le choix. De son côté, la vie familiale avait aussi une autre tournure. Donc, on n'a pas eu le choix de se mettre en ménage. Mais ça n'était pas plus mal parce que vous allez voir que notre vie d'après, elle est formidable. Et puis, nous, on s'est contentés de ce qu'on a eu et on était très heureux comme ça. Donc, à 16 ans, on était en ménage. Mon mari, lui, il en avait 18. On a 18 mois d'écart. à ce moment là on était tous les deux apprentis moi en coiffure, lui en menuiserie on avait pas grand chose mais les parents à mon mari à Morgane comme ils s'étaient séparés nous ont donné canapé, les frigos on a essayé de faire avec les bricoles et ça s'est très bien passé les copains qui écouteront ce podcast en sont témoins donc en tant qu'apprenti 950 euros à deux à vivre, 450 euros de loyer on a très bien réussi on a réussi à faire notre petite vie d'ado, de jeune de jeune je sais pas comment dire J'allais dire jeunes parents, non, on n'y était pas. Des jeunes qui rentrent dans la vie active. Vous avez bien entendu, 950 euros de salaire à deux, 450 euros de loyer. Aujourd'hui, j'entends aussi beaucoup, oui, mais les pauvres jeunes... Bah écoutez, c'est possible. Et puis de notre temps, c'était aussi un peu compliqué. Mais on y est arrivé. Vous allez voir après mon parcours. On peut y arriver. On n'avait pas grand-chose, mais on avait l'amour. Voilà. L'amour et l'envie surtout d'y arriver. La rage d'y arriver. L'amour, c'est hyper important. Ça, c'est hyper important. La communication. Et surtout, on avait un respect mutuel qu'on a toujours d'ailleurs. Voilà. Ensuite, on a fait notre petit bonhomme de chemin en location. On est resté six ans en location, si je ne dis pas de bêtises. Et puis là, mon mari l'a dit. on va acheter parce qu'on ne va pas rester en location toute notre vie. On a déjà dépensé 600 de loyers. Tu te rends compte ? On suit parce qu'il faut savoir que mon mari est autant entrepreneur que moi. Il y en a un qui est fini, il faut déjà en commencer deux. Bref, je ne vais pas lui jeter la pierre. Heureusement qu'il y a ça. Du coup, il a trouvé un terrain. On a mis un petit moment à trouver un terrain. Il m'a fait une jolie maison. Voilà, il l'a construit avec ses mains, il a tout donné, ses propres mains, vous entendez bien. Il a fait une maison en bois de presque 200 m² à lui tout seul en 11 mois. On a habité en mobilhome, c'était top, je crois que c'est la seule année où on ne s'est jamais engueulé. Pourtant, c'était tout petit, mais on ne s'est pas pris la tête. Voilà, donc une fois la maison construite, je pense que les nerfs ont lâché. Il y a eu un petit coup aussi qui est tombé dans ma vie. Mon père en a retrouvé mon papa que je n'avais jamais... Je n'avais jamais vu, que je ne connaissais pas. Je pensais être née sous X. Il m'avait déclarée à la naissance. Bref, je ne vous dis pas le choc émotionnel. Donc là, je vais arriver à quoi ? Vous devez vous dire, mais qu'est-ce qu'elle raconte ? Je vais arriver que du coup, le cancer est arrivé dans ma vie. Petit choc émotionnel et bam ! Une petite bombe qui arrive dans la vie d'Anna et de Morgane. Donc on venait juste de rentrer dans notre maison. On venait juste de prendre nos marques dans notre maison. J'étais indépendante, coiffeuse à domicile. Donc, j'ai continué à travailler. J'ai continué, alors évidemment, quand on entend le mot cancer, on se dit, putain, la ouf. Moi, je n'ai pas eu de chignot, tout ça. J'ai eu radiothérapie. Ça s'est très bien passé. Bon, c'était le cancer quand même, mais ça s'est très bien passé. Je vais tous les ans à Goduchaud et quand je vois toutes ces personnes qui souffrent, qui n'ont pas de cheveux, je n'ai pas le droit de me plaindre. Je vous le dis franchement, ce moment-là, je l'ai quand même détesté. Mais aujourd'hui, je le remercie parce que... Le cancer, il ne m'a pas volé la vie. Il m'a forcé à la choisir, en fait. Et ça a été, je pense, un tournant dans ma vie et dans celle de Morgane. On a vécu ces choses-là différemment tous les deux. Lui, il était plus dans la rage de dire, « Allez, avance, il ne faut pas que tu t'arrêtes, il faut y arriver. » Moi, en ce temps-là, je ne comprenais pas trop, parce que je me disais, « Mais il est fou, lui, ou quoi ? Moi, je n'en peux plus. » Et en fait, non, il n'est pas fou. Il a eu raison de me pousser. Et aujourd'hui, je suis là aujourd'hui, grâce à lui aussi. Donc, comme je vous disais, un gros tournant dans ma vie. que tout pouvait s'arrêter, alors j'ai décidé que tout pouvait aussi commencer. Et puis après avoir construit cette maison, mon mari s'est dit, je vais me mettre à mon compte. Donc il s'est mis à son compte il y a 12 ans. Et puis moi, après, je me suis dit, allez hop, on va faire un petit atelier d'un an. Mais entre les deux, on a fait un petit bébé qui s'appelle Sacha Degnaud quand même, qui a aujourd'hui 11 ans. Donc si vous calculez bien, Sacha a 11 ans, l'atelier 10, donc j'ai ouvert, il avait un an. On a réussi à allier famille, amour, passion, parce qu'on est passionnés tous les deux par notre métier. Que ce soit la coiffure ou le bois, pour moi c'est la même chose, c'est une passion d'un métier, d'un art. Donc du coup voilà, le petit Sacha est arrivé encore avec amour, même si ça n'a pas été facile de le faire, il est arrivé, il est là, avec nous. Il nous apporte tous les jours plein d'amour. Et puis du coup l'atelier d'Anna est arrivé, il avait un an. On a ouvert le 3 février, Sacha est du 5 janvier, donc il avait tout juste un an. Il a fait ses premiers pas dans le salon, donc que de l'amour encore là. Donc ouais, un salon, un salon, mais pas qu'un salon, un salon comme les autres. Enfin, en tout cas, je ne voulais pas qu'il soit comme les autres. Et aujourd'hui, je suis très fière du salon et de comment on l'a fait. Au tout début, on l'a fait avec les moyens du bord. Là, on l'a refait il y a un an et mon mari a réussi vraiment à le faire avec notre identité. L'identité, mon image, mais aussi la sienne, c'est-à-dire une image. Bienveillante, une image de pureté, des meubles très design, des choses très claires. La pureté, c'est ça, c'est sûr, c'est la pureté. Aussi, la qualité de travail, c'est important. Aujourd'hui, moi, je ne coiffe pas des cheveux, je révèle des personnes. Ce lieu, je l'ai voulu vivant, chaleureux. Il a réussi à me faire un cocon. On n'y rentre pas forcément que pour une coupe, mais on en... Enfin, si, on y rentre pour une coupe ou pour un brushing. Mais on en ressort surtout plus fort, mentalement, je pense, avec la confiance en soi. C'est important pour moi de redonner la confiance en soi à toutes les personnes qui passent chez moi, que ce soit les collaborateurs, les clients, les jeunes. surtout les gens qui sont avec moi au quotidien, c'est-à-dire mon équipe, une vraie équipe, pas des salariés, des femmes ou des hommes qui avancent avec moi, que je forme, que je pousse dans leur retranchement, que j'élève en haut, j'ai foi à vraiment les élever en haut. Tiffany, ça fait 7 ans qu'elle est là, ça fait 7 ans que je la pousse, la pauvre, elle va écouter, elle va dire « Ouais, merci » . C'est pas toujours facile, je suis quelqu'un de très gentil, très souriant, tout ça, mais c'est vrai que j'ai des exigences qui sont assez élevées quand même. Je ne vais pas dire des exigences élevées, je vais dire que j'aime tellement porter les gens vers le haut que des fois, il faut un petit peu me suivre. C'est pas toujours simple, mais bon. Voilà, qu'est-ce que je voulais dire ? Je ne sais plus. Si mon rêve à moi, c'est quoi ? C'est que mes collaboratrices, elles réalisent leurs rêves à elles. Si elles peuvent les réaliser chez moi, c'est encore mieux. Voilà, parce que je pars du principe qu'on ne monte pas seule, mais on monte avec les autres. Ça, c'est la phrase de « Seule, on va plus vite » . à plusieurs, on va plus loin. C'est un petit peu la même chose. Voilà, voilà. Ça, c'était la petite histoire d'Anna. Donc, on a dit quoi ? Départ dans la vie à 16 ans, à payer un loyer, un petit cancer, une maison, deux entreprises. On est passé par là, tout va bien. Le Covid aussi est arrivé, mais ça, dans la vie de tout le monde. Donc ça, gros, gros, gros choc par rapport à l'entreprise parce que comme tout le monde, j'ai dû fermer. Comme tout le monde, je me suis retrouvée du jour au lendemain sans boulot, avec des chars chauds. de dos et des salariés à payer. Bon, là-dessus, on peut dire ce qu'on veut, mais l'État a quand même payé nos salariés, donc c'était quand même déjà pas mal pour nous. Mais moi, ce confinement, j'ai fait un peu... C'est mon mari qui m'a vachement portée vers le haut en me disant encore, écoute, tu vois là, regarde, il y a des gens qui font des vidéos, puis il y a ceux qui les regardent. Donc, tu choisis. Soit tu fais les vidéos, soit tu les regardes, mais après, je ne vais pas t'entendre te plaindre. Ok, d'accord. Du coup, j'ai fait quoi pendant le confinement ? Je me suis... développé sur les réseaux sociaux. Je suis partie avec, je crois, j'avais 150 ou 200 followers au confinement. Aujourd'hui, j'en ai 3 400, je crois, un truc comme ça. Je ne suis plus 3 200 peut-être. Mais des vrais, vrais abonnés, des vrais gens qui me suivent. Donc, grâce à mon mari, je me suis remonté les manches. Mon fils m'a aidée. On a fait un petit studio dans la maison. J'ai fait des enregistrements, des vidéos. On a vendu des box. Enfin, voilà, c'était top. J'ai pu aussi aider beaucoup de coiffeurs qui se sentaient mal. notamment dans leur bien-être, parce qu'ils n'arrivaient pas à trouver la foi et à remonter l'épreuve du confinement. Il y a beaucoup de salons confirmés, beaucoup de salons où des coiffeuses et des coiffeurs qui sont partis en dépression. J'ai essayé, comme j'ai pu, de les aider encore aujourd'hui. D'ailleurs, ça m'a créé des liens avec toutes ces personnes-là. Et je leur remercie parce que c'est des gens... Le Covid, ça a été peut-être une épreuve dure pour beaucoup de gens, mais je trouve qu'il y a quand même des belles choses qui s'en sont ressorties, même si je ne voudrais pas revivre ça. Si je le revivrais, on l'a déjà vécu une fois, on pourra peut-être le vivre différemment. Donc bref, le Covid est passé par là. Donc depuis le Covid, je me dis qu'il ne peut rien arriver de pire, à part que mon salon brûle. Mais autrement, rien ne peut m'arriver de pire. On peut toujours y arriver. Voilà. Donc grâce à ce Covid, on a pris aussi le courage à deux mains et de se dire qu'en fait, l'argent, pour moi, on m'a toujours dit. Il y a une femme que j'apprécie beaucoup qui s'appelle Cathy, vous savez, qui me dit de toute façon, Anna, l'argent, c'est de l'énergie. Ça s'en va et ça revient. À chaque fois, je chante ça s'en va et ça revient. Je vais arrêter de chanter, parce qu'on va me dire que j'ai le pire vocation. Mais avec ce Covid, j'ai compris que l'argent, c'était de l'énergie. Parce que quand j'ai rouvert le salon, j'étais à une trésorerie de presque moins 15 000, j'ai rouvert, du coup, j'ai pris l'énergie pour remettre des sous dans la caisse. Donc, comme tout le monde, on a travaillé le mois de mai comme des oufs. On a fait un chiffre d'affaires de malade. On a ouvert de 8h à je ne sais pas quelle heure le soir, minuit, je crois, moi. Donc, on a rempli les caisses et puis c'est reparti. Et puis, Cathy a raison, en fait. Tout est revenu dans l'ordre. Je n'ai jamais eu autant de trésorerie depuis le confinement, alors qu'avant, je n'en avais pas. Donc, je pense vraiment que, OK, ça a été un gros mal, ce confinement, mais ça a été aussi, je pense, quelque chose qui a permis de nous recentrer et prendre soin de nous. Moi, ça a été une pause aussi pour pouvoir me réancrer avec moi-même, savoir qui j'étais, savoir ce que je voulais, où je voulais aller. Et aujourd'hui, depuis ce confinement, je ne fais que d'évoluer avec mon mari. Donc ça, c'est top. Du coup, après ce confinement, on a décidé de vendre cette maison parce qu'on a eu une opportunité. Mon mari, ça faisait un moment qu'il cherchait un bâtiment pour son entreprise à acheter. On ne trouvait pas. Donc du coup, on s'est dit, bon, tant pis, on va rester dans notre maison. Elle était super bien notre maison, je ne voulais pas la quitter. Comme je vous ai dit, c'est mon mari qui a tout fait, donc je ne voulais pas partir. Ça m'a fait mal au cœur quand on est partis, mais aujourd'hui, je n'y retournerai pas. Je ne changerai pas ma vie que j'ai aujourd'hui pour cette maison. C'est que du matériel. Donc, on a trouvé un bâtiment pour mon mari avec une maison à Tente, à la peine sur mer, donc pas loin de mon salon. Donc, évidemment, là, on a concilié vie de famille et travail. Enfin, cent mille fois, la vie, elle nous a donné ça. Je ne sais pas. On a vraiment eu chance d'avoir eu cette opportunité parce qu'aujourd'hui, notre fils rentre manger avec nous. Moi, je mange avec mon mari tous les jours. Avant, on partait de bonheur le matin. Entre-terre, le soir, on ne se voyait pas. J'ai vraiment plein de gratitude envers ça puisque c'est une chance de pouvoir... manger avec mon mari et mon enfant le midi, de rentrer en cinq minutes de mon boulot. Pour tous ceux qui me connaissent, on m'appelle Toadette parce que j'ai un petit vélo avec des grosses roues et puis un casque au bol. Donc je fais tout à vélo et du coup ça me rend vraiment heureuse de pouvoir faire ça. Donc on a eu la chance d'acheter cette maison et ce bâtiment qui est pas loin du salon. Donc encore un autre projet, donc pour vous dire qu'on est vraiment parti de rien, on n'a pas eu d'héritage, on n'a pas eu de sous, on n'a rien eu, on est parti de rien, on a tout construit avec nos petits bras et nos... petite tête notre grande tête d'ailleurs voilà donc ce petit bâtiment après donc tout ce qui est arrivé on a on a réussi à vendre notre maison on a acheté ce bâtiment et puis et puis en 2025 donc ça c'est en 2023 qu'on a vendu notre maison et acheter le bâtiment deux ans se sont écoulés et puis en 2025 va passer de projets à naba oui évidemment faut continuer nos canales a dit bah allez je vais lancer l'académie d'adam pourquoi parce que Parce que je veux aider les coiffeurs, je veux que les coiffeurs retrouvent le sens de leur métier, je veux qu'ils se perfectionnent, je veux qu'ils soient fiers d'eux, surtout qu'ils se respectent. Parce qu'aujourd'hui, les coiffeurs ont du mal à être fiers d'eux, ils sont fiers de leur travail, mais ils ne sont pas forcément fiers d'eux. Ils ne se respectent pas, et ça, vous allez le savoir, c'est par rapport à la valorisation de leur travail, ils ne se valorisent pas. Donc pour moi, ils ne se respectent pas. Et moi, la première, je ne me respectais pas. Et aujourd'hui, j'apprends à me respecter là-dessus. Parce que ce métier, c'est de l'art. Ce métier, c'est une âme. On donne toute notre âme, tout ce qu'on a dans ce métier. Et l'humain, c'est vivant. J'ai tout dit là-dedans en disant que notre métier, c'est on donne toute notre âme. Et aujourd'hui, pour donner toute notre âme, il faut se respecter. Et pour se respecter, il faut valoriser son travail. Les clients pourront dire, oui, le coiffeur, c'est cher. Oui, c'est ce que vous voulez. Mais aujourd'hui, on n'a pas le choix. On n'a pas le choix de valoriser notre travail, puisque aujourd'hui, moi, je vous dis un exemple de mon salon. Moi, il me coûte 0,68 centimes à la minute, c'est-à-dire qu'au bout de 30 minutes, sans que j'ai empoché de l'argent, j'ai déjà dépensé 20 euros, je ne sais plus combien, 20,40 euros, je crois. Donc, comment vous dire que si je prends une coupe homme en 30 minutes et que je vous la fais payer 18 euros, je perds de l'argent ? Voilà, si je prends une coupe enfant à 15 balles en 30 minutes, je perds déjà 5 balles. Donc, ce n'est pas possible. Bref, c'était une petite aparté que je ne voulais pas faire, mais c'est rentré là-dedans, on s'en fiche. Ça revient sur le fait qu'il faut se respecter et se faire respecter en valorisant notre métier et notre travail. Ça, c'est hyper important. Voilà pour ça aussi que j'ai fondé l'Académie Dana et qu'arrive bientôt l'Art du Miroir. Voilà, le petit indice du titre, arrivera bientôt l'Art du Miroir, parce que l'Art du Miroir, c'est aussi un projet… qui me tient beaucoup à cœur. En fait, ce projet, je vais le partager avec une amie, Cathy, Cathy Lévesque, une femme aussi passionnée que moi de l'humain, des belles âmes, de l'amour qu'on peut donner. L'art du miroir, ça ne sera pas un lieu, ça sera des liens, ça sera des vidéos, ça sera des modules, ça sera de l'accompagnement sur trois à six mois. On vous en dira plus une fois que j'aurai fini de peaufiner tout ce dossier-là. L'art du miroir c'est surtout du respect, de la bienveillance, de la transparence, du respect de soi mais du respect de l'autre surtout et du respect de notre métier. Ça c'est important. Le miroir, pourquoi le miroir ? Pourquoi l'art du miroir ? L'art parce qu'on est dans un art, notre métier c'est un art, être chef d'entreprise c'est un art pour moi. Donc l'art c'est obligé de le mettre dans cette enseigne. Et le miroir pourquoi ? Parce que pour moi le miroir ça ne doit pas juger. Le miroir, ça doit nous révéler. Donc, on a tout dit, en fait, l'art du miroir. Le miroir ne doit pas juger, il doit nous révéler. Et ça, c'est hyper important. L'art du miroir, pour moi, ça sera un aboutissement, une mission, une mission de vie de devoir vous aider, de devoir vous donner les clés, d'être en transparence. Alors, je sais que dans notre métier, il y a beaucoup, beaucoup de coiffeuses qui se lancent dans la formation. qui se lancent dans l'accompagnement, qui se lancent dans « oui, mais les diagnostics c'est important, oui, mais il faut valoriser votre travail, il faut faire ça comme prix, il faut faire ça comme prix. Moi aujourd'hui, on va s'arrêter là, je vais vous dire cash parce que je suis cash. » Je ne fais pas l'art du miroir pour gagner de l'argent ou autre. Alors certes, ça va être facturé, c'est normal, c'est du temps. Je passe beaucoup de temps à très très tard la nuit sur tous ces modules de formation. Je vais vous donner beaucoup de temps sur Instagram, beaucoup de temps en téléphone, beaucoup de temps en visio. Donc, obligatoirement, ça se paye. Mais à côté de ça, je le fais surtout pour vous aider et surtout pour m'épanouir moi. Parce que quand je vous donne de l'amour, que je vous donne du respect, que je vous donne des astuces, en fait, je suis… Je ne sais même pas comment vous dire. Je suis heureuse, en fait. C'est de l'épanouissement. C'est toutes ces années de galère que j'ai depuis que je suis née, en fait. Aujourd'hui, j'ai envie de vous aider. J'ai envie de vous dire que c'est possible. Et ces galères, pour moi, ce n'est pas des galères. Ça a été une force. Et ma mère, aujourd'hui, je la remercie. Mon père aussi, paix à son âme. Je les remercie pour la vie qu'ils m'ont donnée. Puisque aujourd'hui, la vie qu'ils m'ont donnée, ce n'était peut-être pas la vie rêvée de tous les enfants qu'on fait aujourd'hui. Puisqu'aujourd'hui, on leur donne tout. Et bien aujourd'hui, moi, cette vie m'a permis d'être ce que je suis aujourd'hui, c'est-à-dire quelqu'un d'ancré, quelqu'un, je pense, de respectueux, plein d'amour et qui a envie de donner de l'amour à toute la Terre entière, qui a envie d'aider les gens et qui a envie de s'en sortir et qui a surtout envie de prôner le non-jugement, de prôner la transparence et de prôner l'aide, l'entraide. Voilà, c'est important. Aujourd'hui, j'ai eu des gens dans ma vie comme Cathy, comme… plein d'autres que je pourrais citer, mais que je n'ai pas de nom, il n'y a que Cathy. Parce que Cathy fait partie de ma vie depuis un petit moment et je vous ai déjà fait des éloges d'elle sur mes réseaux pour la présenter. Mais je vous ferai une présentation d'elle de toute façon dans les prochains podcasts. Parce que c'est une femme aussi qui n'a pas eu la vie facile, qui est partie aussi, elle, au niveau de la santé, dès la naissance, il a fallu en grimper des marches. Donc, voilà. Donc, aujourd'hui, cette art du miroir, c'est vraiment un aboutissement, je vous l'ai dit. Et c'est aussi pour moi une mission de vie qui est en train de s'accomplir. Et je suis vraiment fière et vraiment très reconnaissante de la vie de pouvoir partager tout ça avec vous. Aujourd'hui, je regarde ce que nous avons construit avec mon mari, avec mon fils aussi. Comme vous avez pu l'entendre dans le podcast, pas de don, pas d'héritage, pas de facilité, mais par contre du cœur. du courage et de la constance et surtout de la communication. Communication, c'est le nerf de la guerre. Moi, je leur dis à tous, tous les petits jeunes qui sont passés chez moi qui m'ont dit, mais 24 ans de vie commune, 10 ans de mariage, mais c'est quoi ce sketch ? Ce n'est pas un sketch. Moi, Morgane Degnaud, des fois, j'ai envie de lui casser la tête en deux. Lui aussi, des fois, il a envie de m'arracher les cheveux. On ne se les arrache pas, on discute, on se pose sur une table. Notre famille pourra vous dire, pourtant, il y en a eu des grosses crises. Mais nous, en fait, on ne cache pas aux gens. On a toujours été transparent. Ok, on s'est pris la tête. Ok, on s'est insulté. Ok, on... Insulté, non, jamais, mais... Ok, on se gueule dessus. Ok, Morgane n'est pas forcément facile. Moi non plus, j'y suis pas. Mais on communique, en fait. Et puis après, c'est passé. Tu te dis les choses et puis hop, ça passe. C'est comme dans une équipe. Une équipe, c'est une famille, en fait. C'est une transparence. Moi, les filles, elles pourraient vous le dire. Notamment Tiffany, pardon. Notamment Tiffany. Des fois, Anna, elle est pas facile parce qu'Anna, elle pète la boue. Anna, elle dit, tu fais maintenant, il y en a marre. Vous commencez à me gonfler sérieusement, vous ne s'écoutez pas ce que je dis. Bon, et puis après, c'est bon, les filles, allez, je me suis un peu emportée, donc on va remettre les choses au point. Et voilà, c'est ça la vie, en fait. C'est ça la vie. Et notre patrimoine, on l'a construit avec toi. Notre patrimoine, c'est notre histoire gravée dans chaque pierre qu'on a posée, en fait. Et moi, je dirais même que ce n'est pas des pierres qu'on a posées, c'est des planches. C'est un peu moins épais, donc ça va un peu moins vite. Mais par contre, aujourd'hui, ça propulse, quoi. Et aujourd'hui, j'entends, ah bah ouais, ils sont riches, ils sont... artisans tous les deux, t'as vu la barraquison, t'as vu le salon, ils ont des entreprises, ils sont riches. Mais on est riches de quoi en fait ? Moi je vais vous dire les gars, encore une fois, l'argent ce n'est que de l'énergie, par contre l'amour, ça, ça, ça on est riches d'amour. J'ai encore dit à une cliente hier qui m'a raconté un petit bout de sa vie, je ne citerai pas de nom, elle se reconnaîtra si elle écoute ce podcast. Aujourd'hui on peut avoir toutes les richesses du monde, ça vous le savez, et je ne suis pas philosophe, je ne suis pas ce que vous voulez, toutes les richesses du monde. Si vous n'avez pas l'amour, le respect, vous n'avez rien en fait. Moi, je peux avoir des milliards et des milliards sur mon compte en banque, si je n'aurais pas l'amour de mon mari, l'amour de mon fils, l'amour de mes amis, de ma famille autour de moi, je serais une merde en fait, je n'aurais rien. L'argent, ok, ça fait beaucoup de choses, parce que ça te permet de te propulser dans tes projets, ça te permet tout ça, mais c'est tout en fait. Les codes, comme dirait Cathy, les codes, moi on me les a quand même donnés, parce que je ne veux pas cracher sur ma famille, loin de là. Mes grands-parents, même ma mère, elle m'a inculqué des choses. Ma mère, on peut dire ce qu'on veut. Là, je ne vous ai pas de jugement à porter envers ma mère. Ma mère, elle a toujours travaillé, s'est toujours occupée de ses enfants. Voilà, c'est comme ça, c'est la vie. Et je la respecte encore aujourd'hui. Et je respecte... la vie qu'elle m'a donnée, puisque comme je vous ai dit, je ne serais peut-être pas arrivée aujourd'hui à ce que j'ai si je n'aurais pas eu cette vie-là. Voilà, quoi vous dire d'autre à part que je vous aime, que vous avez pris le temps de m'écouter, que je suis hyper contente de lancer l'art du miroir, que ce qui compte, ce n'est pas d'où vous partez surtout, mais ce qui compte, c'est ce que vous choisissez de bâtir. Et aujourd'hui, j'aimerais qu'on termine là-dessus. Ce qui compte, ce n'est pas d'où vous partez. ce qui compte, c'est ce que vous choisissez de bâtir. Ça, c'est hyper important. Et moi, avec l'art du miroir, avec Cathy, avec d'autres intervenants aussi, on va être là pour vous aider à choisir ce que vous avez à bâtir. Parce que des fois dans la vie, on a toujours besoin de quelqu'un. D'accord ? Comme je vous ai dit, seul, on va plus vite. À plusieurs, on va plus loin. Et on m'a toujours dit, entoure-toi des bonnes personnes. On m'a toujours dit aussi, tu es le reflet des cinq personnes que tu côtoies le plus. ok, moi, si je vous disais les cinq personnes que je côtoie le plus, je suis hyper fière, en fait, parce que je vais être propulsée de ouf, de ouf, de ouf, de ouf, parce que c'est important de s'entourer des bonnes personnes. D'accord ? Tout le monde le sait. Ce n'est pas toujours facile. Et les bonnes personnes, en fait, on les attire. C'est comme nos clients. On me dit, Anna, non, mais toi, ta clientèle est trop gentille. Comment tu fais ? Comment je fais ? En fait, ce n'est pas pour se faire des chevilles. Comment je fais ? Alors déjà, un, ma clientèle… Ça fait des années et des années que je l'ai. Et pourquoi il reste ? Alors, OK, il y a eu des augmentations, il y a eu des baisses de prix puisque j'ai travaillé dans un salon où c'était assez cher. Après, je me suis mis à domicile, donc on est redescendu en prix. Après, je me suis remis à mon compte, on est remonté un peu. Aujourd'hui, on est monté en gamme, donc on monte en prix et on va encore monter en prix puisque je vais proposer des services encore plus personnalisés. Et c'est normal, c'est des services qui se paient. Et aujourd'hui, en fait, je vais vous dire, et c'est pour ça qu'il faut se respecter, c'est qu'aujourd'hui, Mes clientes, elles viennent pour moi, elles viennent pour Tiffany, elles viennent pour Sandra, elles viennent pour les dames que nous sommes, elles viennent pour notre savoir-faire, d'accord, mais elles viennent aussi pour notre savoir-être. Et aujourd'hui, avec l'art du miroir, je vais vous apprendre votre savoir-être, en fait. Le savoir-être, moi, il y a des gens, Anna, elle est adorable, elle est gentille, mais il y a des gens, j'ai envie de leur dire, là, vous n'allez pas être content, ta gueule. Parce que tu es coiffeur, mais tu ne te respectes pas. Donc, tu ne respectes pas tes clients. on m'a toujours dit tu attires ce que tu as envie de t'attirer alors qu'on ne me dise pas oui mais il y a des gens alors moi j'ai été malade j'ai pas eu envie de m'attirer la maladie mais si cette maladie allait arriver c'était peut-être pour montrer quelque chose bref on va pas rentrer dans ce dialogue là mais en tout cas tout ce que je peux vous dire c'est que ma clientèle que j'ai aujourd'hui c'est pas une chance en fait je la mérite et elle me mérite on se respecte mutuellement c'est des gens que j'adore alors que que je respecte. Mais je vais vous dire quelque chose, demain, mes clients, ils savent très bien que s'ils ont envie de changer de coiffeuse, s'ils ont envie d'aller dans un autre salon, je les croise au Super U, à Intermarché, au marché au bord de la mer où vous voulez, je leur dis bonjour avec un grand sourire et je suis très contente de les voir parce que les clients, ils n'appartiennent à personne, en fait. Ça, j'ai déjà dit aux filles, les clients n'appartiennent à personne. Moi, quand je vais chez mon esthéticienne, des fois, je vais chez mon autre esthéticienne, Louise, parce qu'elle est aussi cliente Je veux dire, moi, je suis bien dans mes baskets là-dedans. Il n'y a pas d'exclusivité pour personne. Et aujourd'hui, pourquoi on arrive, nous, à l'atelier Dana, à renouveler notre clientèle ? Parce qu'on respecte nos clients et les clients nous respectent. Évidemment, des fois, il y a des petits coups de gueule parce qu'il y en a, ils passent par là, dans l'épuisette, et ils ne nous respectent pas. Donc, on met des petits coups de gueule et on leur dit, ça a pouffé maintenant, ce n'est pas bien. Enfin, bref. Donc, voilà. Du coup, je vais arrêter parce qu'autrement, je vais encore en parler pendant 100 ans. En tout cas, tout ce que je peux vous dire, c'est que l'Académie Dana aujourd'hui, elle a été construite avec cœur, avec âme, avec amour, avec respect, avec transparence. Que l'art du miroir, c'est juste le premium de l'Académie Dana, puisque l'Académie Dana, je vais vous former dans le perfectionnement, balayage, coup à sec, business. Mais l'art du miroir, c'est vraiment, je vous donne toute mon âme. Je vous aide vraiment à vous en sortir. Je vais être, entre autres, votre coach de vie, si on peut dire ça comme ça, avec Cathy. On va être là pour vous réaligner, pour vous dématérialiser de tout ce qui a dématérialisé, parce qu'aujourd'hui, on a du mal à se détacher de plein de choses. Vous voyez mes bagages que j'ai eus avant, et encore, je ne vous ai pas raconté toute ma vie, parce que je pense que vous seriez tombés de votre chaise. Toutes ces choses-là, je les ai travaillées, je les ai enlevées de moi. Ils sont dans moi puisque c'est moi, c'est ce qui m'a construit. Mais par contre, je ne les ai pas oubliés, je ne les ai pas balayés, mais j'ai pris la petite clé, j'ai fermé la petite clé et j'ai jeté la clé. Ça y est, c'est fini. On n'en parle plus, on avance. Si on va dans le passé tout le temps, on n'avance jamais. Moi, avec la vie que j'ai eue, je n'avancerai pas, en fait, les gars. Je serais toujours à me dire, oui, mais moi, je n'ai pas eu de peur. Oui, mais moi, merci. Oui, mais mes soeurs là. Oui, mais mon frère là. Non, en fait, on arrête les conneries. Il faut avancer. Il n'y a pas le choix. Et puis, au moment où on est grand, on prend ses petits outils. Et puis, on se défend tous. Parce que personne ne fera les choses à votre place. Par contre, vous pouvez vous faire aider. Et aujourd'hui, l'art du miroir va être là pour vous aider. Donc, je ferai le lancement le plus rapidement possible. J'ai encore plein, plein de taf. à faire sur la mise en page et tout ça. Mais en tout cas, je sais qu'il y a déjà plein de collègues qui pourront vous aider sur le business, sur tout ça. Et vous allez vous dire, encore ? Sauf que l'art du miroir, ce n'est pas du tout ça. Je me suis entourée de beaucoup de personnes qui sont comme moi, très ancrées. Et comme vous le savez, Anna, on me dit souvent, non mais toi, tu es magicienne, tu devines tout. Non mais Anna, t'es magicienne. Non, je ne suis pas magicienne. Je suis juste quelqu'un qui est ancré, qui a rêvé sur cette terre avec une mission de vie, c'est d'aider les autres, aider les enfants, notamment les juniors. J'ai beaucoup de juniors sur mon chemin. Donc l'art du miroir va être là pour concrétiser tout ça. C'est un outil, l'art du miroir, qui va pouvoir m'aider à vous aider, à vous épanouir, à vous accompagner et à être votre coach de vie. Voilà, donc je vous fais de gros bisous. Je vous remercie beaucoup. N'hésitez pas à liker ce podcast, à me suivre. Vous pourrez l'écouter sur toutes les plateformes, Spotify, Deezer, Apple Podcasts et j'en passe. Je vous dis à très vite. J'espère qu'il vous a plu. Je n'ai pas regardé combien de temps ça a duré, mais là, je pense que j'ai un peu plus parlé que d'habitude. Si ce type de podcast vous a plu et si vous voulez en savoir encore plus, je pense que je ferai aussi des podcasts sur ma carrière ça sera important aussi de vous expliquer ma carrière ça sera le prochain je pense là c'était ma petite vie que je vous ai racontée j'espère qu'elle va être encore longue à vous raconter, que j'arriverai à agrandir encore ma famille, que ça soit de l'atelier, de l'académie, de l'art du miroir ou même ma famille tout court je vous fais des gros bisous, merci pour votre fidélité et puis je suis vraiment pleine de gratitude, je remercie l'univers aussi pour tout ce qu'il m'apporte jour après jour et un petit dédicace à mon mari que j'aime très très fort et sans lui je ne serais pas là voilà je vous fais des gros bisous et surtout gardez dans la tête l'art du miroir et surtout abonnez-vous sur nos réseaux sociaux pour pouvoir suivre toutes les actualités allez à très vite