EP7 Les 10 leçons puissantes tirées de mes défis de 2024 cover
EP7 Les 10 leçons puissantes tirées de mes défis de 2024 cover
Performance Équilibrée

EP7 Les 10 leçons puissantes tirées de mes défis de 2024

EP7 Les 10 leçons puissantes tirées de mes défis de 2024

30min |05/02/2025
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Performance Équilibrée

EP7 Les 10 leçons puissantes tirées de mes défis de 2024

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30min |05/02/2025
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Description

2024 a été pour moi une année marquée par des défis intenses et des prises de conscience nécessaires sur le business, le bonheur, la réussite et le véritable rôle du leadership.


Dans cet épisode, je te dévoile avec intimité les moments charnières : la pression financière inconsciente qui s’installe, les erreurs stratégiques qui coûtent cher, mais aussi les décisions alignées qui changent la donne. Entre intuition et gestion d’entreprise, entre ambition et harmonie familiale, j’ai découvert ce qui a vraiment fait la différence pour moi.


Et si l’épuisement ne venait pas seulement du travail, mais aussi (surtout) d’un désalignement profond ? Comment j’ai appris à écouter les signaux de mon corps pour retrouver de la motivation, de la clarté et une performance plus fluide ?


Si tu ressens un conflit entre qui tu es vraiment et qui tu crois devoir être pour avancer, cet épisode va t’apporter des clés concrètes. Parce que le développement personnel ne devrait jamais être séparé du management et du succès professionnel.


Un épisode qui va t'aider à repenser ta manière de travailler, de créer et d’entreprendre, sans te crâmer.

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Transcription

  • Speaker #0

    Chers amis, bonjour et bienvenue, Cédric Esserméant ici, bienvenue dans ce nouvel épisode de la Performance Equilibrée. Aujourd'hui, une histoire, l'histoire de cette année 2024 qui m'a amené à tirer un certain nombre de leçons, puisqu'il y a eu un certain nombre de défis. Ce qui est très intéressant, c'est qu'à l'aube de 2025, la lumière au bout du tunnel, toutes ces leçons me permettent encore une fois et encore un peu plus... d'alléger la charge que représente le fait de développer une entreprise et de rendre le processus de croissance, de vente, de prospérité financière et professionnelle beaucoup plus légère. Et c'est ça l'histoire que j'ai envie de vous raconter aujourd'hui. Bienvenue dans l'art et la science de la performance équilibrée. Il est temps d'en finir avec cette culture absurde du sacrifice. Alors on va découvrir les mécanismes qui vont te permettre de créer une vie géniale à tout point de vue. Tu bâtiras chaque jour un peu plus le... le plus bel héritage que tu vas léguer à tes enfants, l'art et la science de la performance équilibrée. Alors 2024, commence en janvier, évidemment. On a été nomades, je ne sais pas si vous l'avez su ça, mais on a été nomades pendant trois ans et demi. C'est-à-dire que au moment où le Covid est arrivé, on était sur le point de déménager à l'étranger au Canada. Le Covid arrive, plus de déménagement, donc on se retrouve à patienter dans des logements temporaires, puisqu'au moment où le Covid arrive, nous, on était en train de vendre les meubles, on avait programmé la... le fait de rendre la maison, on était en location, on était en train de vendre la voiture, bref, on avait déjà vendu une des deux voitures, on était littéralement sur le point de partir. Donc, logement temporaire, pendant trois ans et demi, on fait 14 mois de voyage avec nos deux filles, donc deux ados, qui avaient 15 et 13 ans à l'époque. Et puis, retour du tour du monde, on décide de s'installer quelque part dans le sud. Mais on avait, encore une fois, des logements temporaires qui étaient prêtés, qui étaient des deals, si tu veux, très très bon marché. Donc le fait de venir s'installer, se réinstaller dans une maison qui est la nôtre, d'avoir à nouveau un chez nous, après avoir habité chez les autres pendant trois ans et demi, nécessairement, mécaniquement, ça augmente les charges financières, les frais financiers mensuels. Et ça, je ne vais pas m'en rendre compte tout de suite, mais ça, ça va créer une certaine forme de... pression financière inconsciemment, je ne vais pas m'en rendre compte, mais je vais me foutre la pression tout seul parce qu'en gros, je passe en mode, là j'ai plus le choix, il faut absolument que je génère de l'argent, et puis plus, et puis beaucoup, etc. Donc c'est pas quelque chose de conscient, mais malgré tout ça s'installe. En février, je décide d'engager une grosse agence réputée de closing, donc de vente et de marketing pour booster les ventes, augmenter les volumes, mais aussi de stabiliser, c'est-à-dire d'avoir un... de mettre en place un plancher de chiffre d'affaires mensuel en dessous duquel je ne descendrai plus parce que j'aurais mis en place un système. Et en fait, cette agence m'a vraiment vendu ça comme idée. Je mets en place un système de marketing et de vente qui fait que je ne redescends plus en dessous de ça. Sauf que dès le mois de mars, je m'aperçois que non seulement ça n'augmente pas le volume, mais c'est même pire. C'est-à-dire que ce qui marchait avant a été cassé. On a changé les trucs. et ça marche moins bien. Pour le coup, c'est vraiment là qu'on est. Donc, un autre élément aussi, c'est que, évidemment, je ne jette pas l'éponge. Je t'ai engagé pour trois mois avec eux et je ne suis pas du genre à abandonner à la première difficulté. Donc, je continue de travailler, je continue de chercher. Mais à peu près à ce moment-là, au mois de mars, je réalise que je commence à me tirer sur les cheveux. Je mets les mains dans mes cheveux et je suis en train de me laisser pousser les cheveux. En plus, depuis 6-8 mois, à ce moment-là, ça fait 6-8 mois que... Je les laisse pousser, donc j'ai plus de longueur. Et là, j'ai mes mains qui passent dans les cheveux. Je commence littéralement à tirer dessus, puis à déposer sur le carrelage, à côté du canapé, des cheveux, de plus en plus, semaine après semaine. Et puis, petit à petit, je m'aperçois que je commence à avoir des symptômes cardiaques aussi. Les extrasystoles, c'est comme ça que ça s'appelle. En tout cas, chez moi, ça fait ça. C'est comme si mon cœur sautait un battement de cœur. Il y a les répulsations qui sont régulières, puis à un moment donné, il en manque une. C'est-à-dire... Pendant ce temps-là, le cœur, au lieu de se gonfler, de se vider, et c'est la contraction qui crée le popon, le cœur se gonfle, se gonfle, se gonfle, et c'est une pulsation encore plus tard qui va tout lâcher d'un coup. Donc j'ai un creux et ensuite un pic. Et ça fait très bizarre quand ton cœur s'arrête de battre pour se remplir. Je peux quasiment sentir le flux du sang qui gonfle mon cœur, mais pas une impulsion d'un seul coup. Ça fait très bizarre. je me pose la question parce que encore une fois je suis pas conscient que je me suis foutu la pression au niveau du business et voilà je me dis tiens nouvelle maison c'est l'énergie du lieu je suis médium d'affaires je suis particulièrement sensible aux énergies. C'est l'énergie du lieu, de la maison, il y a quelque chose, donc on commence à chercher des solutions autour de ça. Bref, je continue d'avancer. Au mois d'avril, j'engage une coach, une amie, Elsa Menghi, qui m'aide à clarifier mon positionnement de marque personnelle, le positionnement de mon message. Qu'est-ce que j'ai envie de dire au monde ? Qu'est-ce qui compte vraiment ? Et ce qui est génial avec Elsa, c'est qu'elle ne se contente jamais de la première réponse. Elle aussi, si tu as écouté les épisodes précédents, elle aussi, tant qu'elle n'a pas assez creusé, elle sait qu'on n'est pas arrivé. Donc je gagne en clarté de fou sur ce que je veux, le message, etc. Je pense que le podcast au mois d'avril 2024 commence à prendre forme. Il ne sortira qu'en janvier 2025, donc ça a mis du temps. Ce positionnement, ce gain de clarté, je ne sais pas encore quoi faire, mais je sais que c'est là et ça fait du bien d'avoir cette clarté-là. Je sais aujourd'hui que ça aura permis de semer plein d'autres trucs au cours de l'année 2024. On arrive ici au mois de mai. La période de trois mois avec l'agence marketing se termine. C'est clairement un fiasco. Si je n'avais pas eu le bouche à oreille qui nous avait sauvé les ventes, c'est-à-dire la recommandation de la part de nos clients vers des prospects qui nous amènent des clients. Si on n'avait pas eu ça, clairement, foutez la clé sur la porte. Donc évidemment, tension financière max, grosse déception. Je rentre même en litige avec cette agence parce qu'elle commence à faire vraiment n'importe quoi. Il y a des malversations. Bref, c'est pas simple. Toutefois, on arrive au mois de juin et c'est le moment de créer la nouvelle entreprise. Pourquoi ? Parce que notre déménagement dans le sud est... non seulement l'idée de quitter la vallée de Grenoble et d'avoir un endroit où on a beaucoup plus de lumière, beaucoup plus d'espace autour de nous, parce qu'à Grenoble, on est encaissé dans une vallée. Littéralement, on a des montagnes tout autour de la tête, et le soleil disparaît à 17h, même en plein été. Ici, on a un coucher de soleil tous les jours, donc c'est beaucoup plus agréable. La lumière est un élément qui est important pour se sentir bien dans ses pompes, mais il y avait aussi, d'aller dans le sud, une vocation d'optimisation. Puisqu'en créant une entreprise dans certaines zones de France, on peut avoir des grosses économies sur les impôts sur la société, notamment, nous on s'est installé dans une ZRR, une zone de revitalisation rurale, où on peut ne pas payer d'impôts sur les sociétés pendant 5 ans, en créant une nouvelle société et en habitant sur place. Donc, nous on fait ça, et on voulait, parce qu'il y allait avoir une mise à jour des règles de la ZRR en cours de juillet 2024, donc le mois de juin était le bon moment. Pour créer la société, en plus ça correspondait tout à fait à ce que l'on voulait faire en termes de numérologie. Donc Concordia, la société Concordia, est née le 9 juin 2024, avec le numéro 9 du jour, le numéro 6 du mois de juin et 2024, donc ça fait le numéro 8. Ça fait le 8 pour 2024. Tout a été conçu intentionnellement ici. Ce qui est étonnant aussi, c'est que Concordia ne relève pas seulement de... On crée une nouvelle boîte, c'est une nouvelle coquille juridique, on continue de faire la même activité qu'on avait sur l'entreprise Diamantaire précédente, qui avait presque 10 ans. En fait, il y a une sorte d'élan, on sent quelque chose, on sent qu'il y a quelque chose, une nouvelle substance à implémenter, à semer, une nouvelle graine à semer dans ce nouveau terreau qu'est cette nouvelle entreprise. C'est évidemment pas du tout le moment d'investir dans du capital, dans une nouvelle boîte, mais on y va. on le fait, on fait confiance, et on décide de suivre cet élan, ce truc qu'on sent même s'il n'y a rien de rationnel ici. C'est comme ça, quand on est à un moment donné, quand on apprend à faire collaborer le rationnel et l'irrationnel, on fait ce genre de choses. En tant que médium d'affaires, j'imagine que tu peux croire assez facilement qu'on pilote notre vie au complet et pas juste notre boîte de cette façon. Le mois de juillet arrive, 15 juillet, on part en vacances, enfin on coupe, on décide, on annonce à nos clients, qu'on a un campagnement, etc., que... On fait une pause et là je décide de prendre cinq semaines parce que je suis complètement cramé, je suis en train de subir mes journées, je subis mes semaines, je fais les choses parce qu'il faut les faire mais vraiment, voilà, on a juste assez de trésor pour passer l'été, on prend cinq semaines, ça passe, on y va et on verra bien. Donc le mois d'août est consacré à couper, je mets la première semaine à commencer à arriver à me reposer, pendant une semaine je n'arrive pas à lâcher. La deuxième semaine, je suis complètement claqué, je fais que dormir. Bref, donc il me faudra vraiment deux semaines pour commencer à être en vacances, sur cinq. Si tu fais partie de ceux qui attendent les vacances impatiemment et que tu t'aperçois que tu as pris 15 jours et qu'à la fin des 15 jours, tu n'as pas commencé à te reposer, c'est parce que, un, tu as trop attendu, tu n'es pas assez reposé en cours de route, et deux, parce qu'il fallait prendre plus que deux semaines. Moi, je me suis aperçu que les semaines 3, 4, 5 étaient littéralement les bienvenues. C'est intéressant parce que la cinquième semaine a vraiment été... une rampe de lancement, une phase de sortie où je m'aperçois que mon système était prêt à retourner, à commencer à réfléchir, à préparer des choses, même si ça ne suffira pas à récupérer toute l'énergie dépensée jusque-là. Et donc, fin août, septembre, on a contacté deux personnes qu'on sentait bien, deux clientes en l'occurrence, que l'on connaît bien, que l'on sent bien, et on s'est dit, en fait, c'est avec elles qu'on a envie de développer Concordia, parce qu'on savait déjà que... Concordia ne serait pas juste l'entreprise de Cédric et Claudine, mon épouse, mais qu'on allait co-diriger cette entreprise, que ça allait être une collaboration avec d'autres. Et la bonne surprise, c'est que les deux personnes ont dit oui tout de suite. Et là, je me sens vraiment béni d'être entouré de ces quatre personnes que j'estime tellement. Alors, je dis quatre, effectivement, c'est cinq avec moi, parce qu'il y a Élodie et Séverine, qui sont les deux personnes qui nous ont rejoints pour la direction de l'entreprise, mais on travaillait déjà avec Stéphanie. qui nous aidait déjà à accompagner nos clients sur les accompagnements individuels et un petit peu sur le groupe quand on en faisait avant. Donc on est désormais 5 à livrer nos clients, 4 à diriger l'entreprise, et c'est une vraie chance, vraiment une vraie, vraie chance. Donc on développe une nouvelle stratégie, on arrive au mois d'octobre ici, nouvelle stratégie, nouvelle entreprise, nouvelle cible client, sauf qu'en fait on a changé de segment de clientèle pour l'accompagnement individuel. et en fait le temps que ça se mette en route, ça ne se met pas en route tout de suite. Et donc en fait en deux mois on va signer un seul client, et là ça ne va pas parce qu'en fait la boîte, on n'avait pas tant de trésorerie que ça d'avant. Donc là il faut vite changer quelque chose. Mais chose surprenante, c'est que ça faisait quelques semaines qu'on communiquait avec Concordia, parce que oui on discute, on parle avec notre boîte. Concordia on lui demande de quoi tu as besoin, etc. Et à un moment donné je l'ai envoyé en mission pour nous trouver des clients. Et les clients n'arrivaient clairement pas dans les faits, mais elle a fait mieux. C'est-à-dire qu'elle nous a envoyé quatre personnes qui sont des apporteurs d'affaires. Donc deux personnes qui ont dit moi j'aimerais bien vendre pour vous et deux qui ont dit moi j'aimerais bien vous amener des clients Et on n'a pas vraiment fait de démarche pour ça, c'est juste des circonstances qui se sont présentées. Il y a même Isabelle qui a tapé à la porte dans une conversation avec Claudine, elle a dit ben… Moi, j'aimerais bien vous amener des clients, est-ce qu'on peut travailler ensemble ? Bref, on se retrouve littéralement à être rejoint par des personnes de qualité humaine et professionnelle incroyable, des personnes qui rejoignent la vision et la mission de la boîte, qui rejoignent le projet. Ce ne sont pas des gens qui disent, on tape à la porte en disant Bonjour, j'ai des compétences, combien vous me donnez ? Parce que j'ai plein de personnes autour de moi, des clients, qui recrutent et qui se retrouvent avec des gens qui viennent avec les dents qui règlent le parquet, et c'est le chèque d'abord. Nous, on a infiniment de chances d'avoir des gens qui nous rejoignent pour la mission et la vision qu'on a. C'est vraiment comme si, avec ces quatre bénédictions supplémentaires, c'est comme si Concordia était protégée et guidée par le divin ou un truc. C'est vraiment assez fou et c'est un vrai plaisir à observer. Début novembre, première quinzaine de novembre, on est parti au Canada. Alors là encore... on est parti au Canada pour donner une conférence sauf que entre le moment où je suis invité à participer à une conférence au Canada, donc je suis un des intervenants un des conférenciers de la journée et le moment où on a pris nos billets et le moment où la date arrive, en fait la journée de conférence est reportée à l'année prochaine donc nous évidemment on a nos billets d'avion on a pris avec les filles bien sûr parce que nos gamines ne nous auraient jamais pardonné de partir au Canada sans elles, on aime trop ce pays Donc on a 4 billets d'avion non modifiables, non remboursables et qui sont calés pour 10 jours, 13 jours en novembre avec une conférence annulée. Donc là, un truc qui se passe, c'est que comme ça fait un an que je me dis tiens j'organiserai bien une tournée de conférence, et bien je me dis bah tu sais quoi, on va profiter d'aller au Canada, on va pas y aller pour rien, et non seulement on va aller au Canada mais on va organiser une tournée de conférence. Canada et France. Donc on cale deux dates sur le Canada, on prévoit deux lieux, on communique dessus, on cale la billetterie Evenbright, bref, on fait deux dates au Canada, trois dates en France, Paris-Lyon-Marseille, et en fait, en gros, on fait Montréal et Ottawa au Canada, les deux plus grosses densités de population francophones. Je reviens du Canada, après ce début de tournée de conférence, complètement épuisé. Et là, il se passe un truc. C'est que... L'Amérique du Nord, j'ai dû y aller peut-être 10 ou 12 fois en 10 ans, en 15 ans. Donc le décalage horaire, le jet lag sur le retour, je connais très très bien. Là, Je m'en remets pas. Je suis complètement claqué. Je suis littéralement même apathique, vidé de toute énergie pendant des jours et des jours et des jours. J'arrive vraiment pas à repartir. Clairement, c'est pas normal. Donc évidemment, avec des médiums d'affaires que j'ai formés et que je supervise, je connais la compétence des gens qui m'entourent. Donc évidemment, je demande de l'aide aux autres médiums de l'équipe. Et c'est là que... je m'aperçois qu'effectivement, la tension qui réside à l'intérieur de moi entre qui je suis vraiment et qui je crois que je suis, entre qui je suis vraiment au fond de moi et la personne que je suis aujourd'hui, que je suis devenu et que je crois être ou que je crois avoir besoin d'être, cette tension-là, elle est plus tenable. C'est un peu comme un couple qui commence à prendre des directions différentes et même petit à petit de plus en plus opposées, et en fait l'élastique devient de plus en plus tendu dans le couple. Moi, j'ai vécu ça à l'intérieur de moi. Donc, je suis obligé de changer quelque chose tout de suite, parce que ce n'est pas tenable plus longtemps. Donc, je fais le ménage dans mon système inconscient, dans ma tête, dans mon état d'esprit, dans mon corps, ma vitalité et mon énergie. La bonne nouvelle, c'est que malgré la fatigue, les trois dates de la tournée de conférence en France ont été vraiment un succès, dans le sens où j'aime tellement, mais j'aime tellement connecter avec les gens en vrai. que ça nous a évidemment donné envie de poursuivre cette tournée de conférences, une vie qui compte, en 2025 avec une nouvelle date. On arrive début décembre, après cette deuxième quinzaine de novembre à essayer de comprendre et de dénouer ce qui fait que je me draine mon énergie tout seul. Concordia n'est pas mon activité principale, c'est pas mon revenu principal. Pour faire brouillir la marmite à la maison, j'ai une activité. tout seul, puisque Concordia, en fait, on travaille à plusieurs. On forme et on accompagne à plusieurs. Moi, Cédric Esserméan, j'ai une activité solo. Et donc, je décide que pour relancer le chiffre d'affaires de cette activité solo, j'ai une micro-entreprise, à part de la SAS Concordia, je pose trois critères, comme ça. Ça me vient tout d'un coup. Ces trois critères, c'est je veux que cette activité soit légère, joyeuse et agile. Donc je me dis, ok, qu'est-ce que je pourrais proposer comme accompagnement de groupe qui soit léger, joyeux et agile. Et là, Switch, qui est un programme, un atelier en visio, naît instantanément avec, Ah bah oui, il y a ça, il y a ça, il y a ça, on pourrait faire ci, ça va être génial, etc. Deux jours plus tard, je le mets en vente parce que la semaine d'après, on démarrait Switch. Là, j'ai créé spontanément, sans faire un objectif de chiffre d'affaires, de vente, de volume ou de nombre de personnes. Je dis, voilà, je veux m'amuser à proposer cet atelier-là qui va faire du bien aux gens, et ça va me faire du bien à moi aussi de le faire. J'ai envie de le faire, c'est léger, agile et joyeux. Ce n'est pas il faut, je dois. C'est uniquement basé sur je me respecte et je prends du plaisir à bosser, à exprimer mon savoir-faire et mon expertise. Tu sais quoi, on avait ouvert 30 places, on était complet deux jours avant la date. Je crois que ça ne m'était jamais arrivé, j'ai trouvé ça absolument génial. En deux semaines... Parce que Switch, derrière, on a proposé autre chose. Il y a huit personnes qui ont acheté la suite, etc. Donc, en deux semaines, j'ai fait un des meilleurs mois de mon année. En m'amusant. En m'amusant. Et donc, mi-décembre, je continue d'avancer. Je continue de communiquer avec des gens en off. Et je m'aperçois qu'il y a d'autres sacs de conditionnement qui ont besoin d'être déposés. Donc là, je suis aidé par d'autres personnes. Il y a Pierre, il y a Ellie. qui ne sont pas dans l'équipe de Concordia, mais malgré tout, qui m'aide à clarifier des trucs. Une autre conversation avec Elodie, mon épouse Claudine, me permet de détacher le besoin d'être aimé par les autres et donc le conditionnement, l'adaptation qui fait qu'il y a une part de séduction, il y a une intention de chercher à bien paraître. Pour pas être critiqué, pour pas être rejeté, pour pas être... Voilà, parce que déjà, c'est plus agréable d'être validé que d'être critiqué. C'est plus agréable d'être reconnu, d'être considéré que d'être... que de recevoir de la médisance, ce genre de trucs. Mais aussi, il y avait une certaine forme de validation personnelle, tu vois. Voilà, je cherchais l'approbation et... Tout ça m'a aidé ces dernières semaines du mois de décembre, m'ont vraiment aidé à prendre conscience qu'en fait, ce n'est pas bien grave. J'ai décidé que j'allais concéder aux gens, aux autres, à tout le monde, à toi et aux autres. de ne pas m'aimer si ça leur chante, et d'aimer les gens pour ça. J'ai fait la paix, en fait, avec la part de moi qui avait absolument besoin d'être validée. Et c'est fou parce que, de là, je me sens chaque jour plus solide, plus serein, plus fort, plus heureux, mais sans avoir à faire quoi que ce soit, donc sans avoir à forcer quoi que ce soit. Et ce n'est pas une question d'avoir ou pas de l'argent, ce n'est pas une question d'avoir ou pas des clients, ce n'est pas une question d'avoir une entreprise ou pas non plus. Moi, je crée des trucs, je tente des trucs, je m'amuse. Les clients de décembre ont des résultats vraiment impressionnants. C'était ça le but dans cet atelier Switch, c'était d'ouvrir un espace où je vais pouvoir tester des nouveaux processus parce que moi, je suis un peu le savant fou de l'équipe, si tu veux. Moi, je me fais plaisir en faisant de la recherche. La recherche et développement, c'est mon truc. l'innovation, se creuser la tête, tenter des nouveaux trucs, prendre des risques et aller explorer, ça c'est vraiment ma cam. Et en fait, je suis bluffé par les résultats des clients sur les nouveaux processus, et je me sens vraiment chanceux d'avoir cette expertise et ce savoir-faire là dans les mains, si tu veux. Et on arrive à fin décembre, et là je me rends compte d'un autre truc, d'avoir déposé ces deux gros sacs là, c'est-à-dire le premier c'était la tension entre qui je suis et qui je crois que j'ai besoin d'être, d'une part, et d'autre part, le besoin d'être validé, reconnu et approuvé par les autres, eh bien, je ne suis pas certain d'arriver à faire le lien, quoique, mais je me mets à prendre du plaisir à faire toutes ces petites choses qui me faisaient chier à faire pour l'entreprise jusque-là. C'est-à-dire que j'ai toujours été quelqu'un de très efficace, de très efficient, plutôt, efficient, et toutes ces petites tâches chronophages qui ne font pas vraiment avancer les choses, qu'est-ce que ça me saoulait et j'avais vraiment envie de me débarrasser de ça. Tu vois, par exemple, Bright, qui est la suite de Switch, on a huit clients, et bien j'ai moi-même créé le groupe WhatsApp, enregistré les huit contacts avec leur numéro de téléphone manuellement et créé le groupe WhatsApp. Ça, c'est le genre de truc j'aurais demandé à ma femme de le faire, de le préparer pour moi avant parce que ça m'insupportait. Et là, j'ai envie d'être plus soigneux, plus métituleux, de prendre soin des choses, de prendre le temps. Il y a vraiment quelque chose qui s'est apaisé. Il n'y a plus cette course pour courir après quelque chose, tu vois. Donc je suis vraiment en train de me sentir plus humble, plus patient, plus soigneux. Et j'aime vraiment bien cette nouvelle expérience que je fais de moi-même, parce que je me sens béni d'être qui je suis, en fait. C'est-à-dire que j'aime mon passé, j'aime mon histoire, j'aime la personne que je suis aujourd'hui, j'aime la réalité du moment, et j'aime voir... Le chemin qui m'attend. Il y aura peut-être des défis dessus, évidemment. Mais ce n'est pas grave, parce que j'ai envie d'aimer le processus d'avancer, d'explorer et d'être moi. Surtout qu'il y a une nouvelle version de moi qui s'est pointée entre-temps, donc c'est vraiment très cool pour moi. Et voilà, et si tu veux, c'était un petit peu ça, la lumière au bout du tunnel, au bout de ce tunnel qu'a été cette année 2024, c'est qu'en prenant compte, pour de vrai, des symptômes physiques, les mauvaises nuits, les insomnies, la fatigue chronique, le fait de s'arracher les cheveux, ça va beaucoup mieux, les extra-systoles, ça fait des semaines que j'en ai plus du tout. Et j'ai pas pris un seul médicament pour ça, je suis pas allé voir un médecin pour ça, juste j'ai pris conscience de ce qui agitait mon mental inconsciemment. Et c'est cette agitation qui crée des symptômes physiques. En me défaisant de tout ça, en fait, et comment je me suis défait de tout ça ? En fait, j'ai libéré les freins invisibles internes. qui créait les raisons d'être, qui créait littéralement les symptômes que je vivais. C'est-à-dire qu'on est allé suffisamment profondément dans l'inconscient pour comprendre quel était le mécanisme interne caché qui créait l'état interne dégueulasse qui, à partir de là... De toute façon, quand tu te sens mal dans tes pompes, quand tu te sens stressé, sous pression, machin, les décisions que tu prends sont merdiques, les actions que tu poses sont dégueulasses, donc tu peux pas t'attendre à avoir des résultats foufous. Donc, libérer mes freins invisibles internes m'ont permis à ce que les ventes repartent, mais vraiment sans rien faire de spécial. C'est-à-dire que j'ai dépensé 10 ou 20 fois moins d'énergie qu'avant et j'ai fait un de mes meilleurs mois de l'année. Mais effectivement, tout ça est parti du fait que j'ai essayé de mettre de la voilure sur mon entreprise à partir des techniques de business que tous les coachs te disent qu'il faut faire. Il faut faire comme si, c'est comme ça que ça marche. Ben non, en fait. Il n'y a pas une seule putain de vérité. Il faut nécessairement respecter ce qui est juste pour soi. Sinon, on est en train de se travestir. pour de l'argent et pour du succès, et on est en train de se perdre en cours de route, on peut même s'oublier, on peut même aller jusqu'à se trahir. Et quand on se trahit trop fort, notre corps nous rappelle à l'ordre, et c'est vraiment ça que moi j'ai vécu. Donc c'est un petit peu ça le message que j'ai envie de te partager ici, c'est de t'écouter, ce que tu ressens dans ton corps, ce que tu ressens dans tes émotions, ce que tu entends dans ta tête, d'observer en fait... on a tous la capacité d'observer ce qu'on pense, ce qu'on ressent, on peut se dire, tiens, je suis en train de ressentir de la colère, je suis en train de ressentir de la joie, tiens, c'est marrant, on dirait que ça fait une heure que je suis en train de me prendre la tête sur une histoire qui n'existe pas, parce que cette conversation n'a pas encore eu lieu, mais on dirait que mon mental a décidé de se faire un scénario catastrophe à propos de cette conversation qui arrive demain ou tout à l'heure, et on dirait qu'il a décidé que ça serait un conflit, alors qu'en fait... Tu sais comme moi que la plupart du temps, on se fait tout un cinéma et il se passe jamais ce qu'on avait imaginé, bref, ce que notre mental avait imaginé. Et en fait, voilà, j'ai simplement réaligné ma trajectoire sur la nature de mon énergie. Léger, joyeux, agile. Et du moment où je travaille là-dessus, léger, joyeux, agile, et ben en fait, tu vois, là je suis en train d'enregistrer des épisodes de podcast pendant les vacances, j'ai envie de le faire. J'ai envie. C'est pas je le fais parce qu'il faut. Je ne sais pas, je le fais parce que j'ai dit que je le ferais, parce que je m'inflige de la discipline. Non, non, non, non. Je le fais parce que j'ai trouvé le moyen d'aimer le chemin, plutôt que de simplement souffrir sur le chemin en attendant le résultat, parce que je me dis que c'est le résultat que je vais aimer. Sauf que tu sais comme moi que lorsque tu vas atteindre le résultat, tu vas faire Bon, c'est super, et maintenant ? Et bien maintenant, soit je suis perdu, je ne sais plus quoi faire de ma vie, soit je me cale un autre résultat et je me réengage dans un chemin de souffrance, de labeur. de contraintes, de douleurs. Et voilà. Donc, c'est vraiment une proposition de voir les choses différemment. Encore une fois, la souffrance n'est pas nécessaire, le bonheur est gratuit. Le bonheur est gratuit, c'est la phrase que j'ai identifiée avec Elsa au printemps 24. Le bonheur est gratuit, ça signifie qu'il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Il n'y a pas de prix à payer. Ça veut dire qu'il n'y a pas de sacrifice à faire, il n'y a pas de... Il n'y a pas de je vais devoir payer ce prix-là, je vais devoir souffrir, galérer, pas dormir, me lever tôt, me coucher tard, investir Non, non, non, non, non, non, non. Le bonheur est gratuit. Il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Alors, par contre, évidemment, je suis là tout de suite, je ne suis pas arrivé nulle part. Je te partage juste mon année 2024, les prises de conscience supplémentaires qui ont été les miennes. J'aurais peut-être l'occasion de te partager celles qui ont été... dans les années précédentes, mais en tout cas c'était ça le sujet du jour. Je suis encore en train d'apprendre et de progresser sur mon chemin. Je ne suis pas arrivé nulle part en train de te dire fais comme moi, tu vas voir, ça va marcher. Je te partage juste ce qui a marché pour moi, vois ce qui résonne, laisse ce qui ne résonne pas. Et voilà, par contre, ce que je peux faire, c'est que je peux te montrer comment connaître la nature de ton énergie, comment la clarifier, l'identifier, de manière à aligner ton expérience professionnelle, ta trajectoire professionnelle dessus. Que tu sois la ré...... que tu sois salarié à ton compte, influenceur sur les réseaux sociaux, athlète de haut niveau, personnalité publique, politique, peu importe, tu peux très bien aligner ta trajectoire professionnelle sur ton épanouissement personnel. Et je suis même en train de croire, pas juste là, mais je crois, j'ai cette conviction, qu'il n'y a que comme ça que tu peux vraiment kiffer ta vie. Parce que si tu n'alignes pas ton épanouissement personnel et ton accomplissement professionnel, tu es en train de faire soit l'un soit l'autre. Et tu reviens à il y a un prix à payer C'est soit je m'occupe de moi, soit je m'occupe de ma carrière, mais je ne peux pas faire les deux. Soit je m'occupe de ma carrière et je m'occupe de moi, mais c'est ma relation avec ma femme ou mon mari, c'est ma relation avec mes enfants qui va être le prix qui va être à payer. Et quand le prix à payer est trop lourd, c'est-à-dire quand tu te dis putain, j'ai eu du succès dans ma carrière, mais alors putain, à quel prix ? C'est un peu dommage, parce qu'en fait... Tout ça vient uniquement du fait qu'il y a une culture populaire qui existe depuis des lustres, depuis plusieurs décennies, peut-être même plus que ça, qui dit qu'il faut sacrifier des trucs pour avoir du succès, il faut en chier pour réussir, il faut nécessairement payer un prix à un endroit. Et en fait, non, absolument pas. Donc, voilà, c'était le message d'ici aujourd'hui. Je t'invite à prendre contact si tu veux qu'on regarde à l'occasion d'un premier rendez-vous informel, comme ça, une simple discussion, si tu veux qu'un médium d'affaires puisse regarder quels seraient pour toi aussi les écarts et la tension qui résident entre qui tu es vraiment et qui tu crois que tu as besoin d'être aujourd'hui. Si tu as envie de rendre ton chemin professionnel plus agréable, plus fluide, plus facile, plus épanouissant, plus vibrant, plus nourrissant, Peut-être qu'on devrait se parler. Voilà, je te laisse là-dessus. Et puis, je te dis à très bientôt dans un prochain épisode. Ciao !

Description

2024 a été pour moi une année marquée par des défis intenses et des prises de conscience nécessaires sur le business, le bonheur, la réussite et le véritable rôle du leadership.


Dans cet épisode, je te dévoile avec intimité les moments charnières : la pression financière inconsciente qui s’installe, les erreurs stratégiques qui coûtent cher, mais aussi les décisions alignées qui changent la donne. Entre intuition et gestion d’entreprise, entre ambition et harmonie familiale, j’ai découvert ce qui a vraiment fait la différence pour moi.


Et si l’épuisement ne venait pas seulement du travail, mais aussi (surtout) d’un désalignement profond ? Comment j’ai appris à écouter les signaux de mon corps pour retrouver de la motivation, de la clarté et une performance plus fluide ?


Si tu ressens un conflit entre qui tu es vraiment et qui tu crois devoir être pour avancer, cet épisode va t’apporter des clés concrètes. Parce que le développement personnel ne devrait jamais être séparé du management et du succès professionnel.


Un épisode qui va t'aider à repenser ta manière de travailler, de créer et d’entreprendre, sans te crâmer.

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Transcription

  • Speaker #0

    Chers amis, bonjour et bienvenue, Cédric Esserméant ici, bienvenue dans ce nouvel épisode de la Performance Equilibrée. Aujourd'hui, une histoire, l'histoire de cette année 2024 qui m'a amené à tirer un certain nombre de leçons, puisqu'il y a eu un certain nombre de défis. Ce qui est très intéressant, c'est qu'à l'aube de 2025, la lumière au bout du tunnel, toutes ces leçons me permettent encore une fois et encore un peu plus... d'alléger la charge que représente le fait de développer une entreprise et de rendre le processus de croissance, de vente, de prospérité financière et professionnelle beaucoup plus légère. Et c'est ça l'histoire que j'ai envie de vous raconter aujourd'hui. Bienvenue dans l'art et la science de la performance équilibrée. Il est temps d'en finir avec cette culture absurde du sacrifice. Alors on va découvrir les mécanismes qui vont te permettre de créer une vie géniale à tout point de vue. Tu bâtiras chaque jour un peu plus le... le plus bel héritage que tu vas léguer à tes enfants, l'art et la science de la performance équilibrée. Alors 2024, commence en janvier, évidemment. On a été nomades, je ne sais pas si vous l'avez su ça, mais on a été nomades pendant trois ans et demi. C'est-à-dire que au moment où le Covid est arrivé, on était sur le point de déménager à l'étranger au Canada. Le Covid arrive, plus de déménagement, donc on se retrouve à patienter dans des logements temporaires, puisqu'au moment où le Covid arrive, nous, on était en train de vendre les meubles, on avait programmé la... le fait de rendre la maison, on était en location, on était en train de vendre la voiture, bref, on avait déjà vendu une des deux voitures, on était littéralement sur le point de partir. Donc, logement temporaire, pendant trois ans et demi, on fait 14 mois de voyage avec nos deux filles, donc deux ados, qui avaient 15 et 13 ans à l'époque. Et puis, retour du tour du monde, on décide de s'installer quelque part dans le sud. Mais on avait, encore une fois, des logements temporaires qui étaient prêtés, qui étaient des deals, si tu veux, très très bon marché. Donc le fait de venir s'installer, se réinstaller dans une maison qui est la nôtre, d'avoir à nouveau un chez nous, après avoir habité chez les autres pendant trois ans et demi, nécessairement, mécaniquement, ça augmente les charges financières, les frais financiers mensuels. Et ça, je ne vais pas m'en rendre compte tout de suite, mais ça, ça va créer une certaine forme de... pression financière inconsciemment, je ne vais pas m'en rendre compte, mais je vais me foutre la pression tout seul parce qu'en gros, je passe en mode, là j'ai plus le choix, il faut absolument que je génère de l'argent, et puis plus, et puis beaucoup, etc. Donc c'est pas quelque chose de conscient, mais malgré tout ça s'installe. En février, je décide d'engager une grosse agence réputée de closing, donc de vente et de marketing pour booster les ventes, augmenter les volumes, mais aussi de stabiliser, c'est-à-dire d'avoir un... de mettre en place un plancher de chiffre d'affaires mensuel en dessous duquel je ne descendrai plus parce que j'aurais mis en place un système. Et en fait, cette agence m'a vraiment vendu ça comme idée. Je mets en place un système de marketing et de vente qui fait que je ne redescends plus en dessous de ça. Sauf que dès le mois de mars, je m'aperçois que non seulement ça n'augmente pas le volume, mais c'est même pire. C'est-à-dire que ce qui marchait avant a été cassé. On a changé les trucs. et ça marche moins bien. Pour le coup, c'est vraiment là qu'on est. Donc, un autre élément aussi, c'est que, évidemment, je ne jette pas l'éponge. Je t'ai engagé pour trois mois avec eux et je ne suis pas du genre à abandonner à la première difficulté. Donc, je continue de travailler, je continue de chercher. Mais à peu près à ce moment-là, au mois de mars, je réalise que je commence à me tirer sur les cheveux. Je mets les mains dans mes cheveux et je suis en train de me laisser pousser les cheveux. En plus, depuis 6-8 mois, à ce moment-là, ça fait 6-8 mois que... Je les laisse pousser, donc j'ai plus de longueur. Et là, j'ai mes mains qui passent dans les cheveux. Je commence littéralement à tirer dessus, puis à déposer sur le carrelage, à côté du canapé, des cheveux, de plus en plus, semaine après semaine. Et puis, petit à petit, je m'aperçois que je commence à avoir des symptômes cardiaques aussi. Les extrasystoles, c'est comme ça que ça s'appelle. En tout cas, chez moi, ça fait ça. C'est comme si mon cœur sautait un battement de cœur. Il y a les répulsations qui sont régulières, puis à un moment donné, il en manque une. C'est-à-dire... Pendant ce temps-là, le cœur, au lieu de se gonfler, de se vider, et c'est la contraction qui crée le popon, le cœur se gonfle, se gonfle, se gonfle, et c'est une pulsation encore plus tard qui va tout lâcher d'un coup. Donc j'ai un creux et ensuite un pic. Et ça fait très bizarre quand ton cœur s'arrête de battre pour se remplir. Je peux quasiment sentir le flux du sang qui gonfle mon cœur, mais pas une impulsion d'un seul coup. Ça fait très bizarre. je me pose la question parce que encore une fois je suis pas conscient que je me suis foutu la pression au niveau du business et voilà je me dis tiens nouvelle maison c'est l'énergie du lieu je suis médium d'affaires je suis particulièrement sensible aux énergies. C'est l'énergie du lieu, de la maison, il y a quelque chose, donc on commence à chercher des solutions autour de ça. Bref, je continue d'avancer. Au mois d'avril, j'engage une coach, une amie, Elsa Menghi, qui m'aide à clarifier mon positionnement de marque personnelle, le positionnement de mon message. Qu'est-ce que j'ai envie de dire au monde ? Qu'est-ce qui compte vraiment ? Et ce qui est génial avec Elsa, c'est qu'elle ne se contente jamais de la première réponse. Elle aussi, si tu as écouté les épisodes précédents, elle aussi, tant qu'elle n'a pas assez creusé, elle sait qu'on n'est pas arrivé. Donc je gagne en clarté de fou sur ce que je veux, le message, etc. Je pense que le podcast au mois d'avril 2024 commence à prendre forme. Il ne sortira qu'en janvier 2025, donc ça a mis du temps. Ce positionnement, ce gain de clarté, je ne sais pas encore quoi faire, mais je sais que c'est là et ça fait du bien d'avoir cette clarté-là. Je sais aujourd'hui que ça aura permis de semer plein d'autres trucs au cours de l'année 2024. On arrive ici au mois de mai. La période de trois mois avec l'agence marketing se termine. C'est clairement un fiasco. Si je n'avais pas eu le bouche à oreille qui nous avait sauvé les ventes, c'est-à-dire la recommandation de la part de nos clients vers des prospects qui nous amènent des clients. Si on n'avait pas eu ça, clairement, foutez la clé sur la porte. Donc évidemment, tension financière max, grosse déception. Je rentre même en litige avec cette agence parce qu'elle commence à faire vraiment n'importe quoi. Il y a des malversations. Bref, c'est pas simple. Toutefois, on arrive au mois de juin et c'est le moment de créer la nouvelle entreprise. Pourquoi ? Parce que notre déménagement dans le sud est... non seulement l'idée de quitter la vallée de Grenoble et d'avoir un endroit où on a beaucoup plus de lumière, beaucoup plus d'espace autour de nous, parce qu'à Grenoble, on est encaissé dans une vallée. Littéralement, on a des montagnes tout autour de la tête, et le soleil disparaît à 17h, même en plein été. Ici, on a un coucher de soleil tous les jours, donc c'est beaucoup plus agréable. La lumière est un élément qui est important pour se sentir bien dans ses pompes, mais il y avait aussi, d'aller dans le sud, une vocation d'optimisation. Puisqu'en créant une entreprise dans certaines zones de France, on peut avoir des grosses économies sur les impôts sur la société, notamment, nous on s'est installé dans une ZRR, une zone de revitalisation rurale, où on peut ne pas payer d'impôts sur les sociétés pendant 5 ans, en créant une nouvelle société et en habitant sur place. Donc, nous on fait ça, et on voulait, parce qu'il y allait avoir une mise à jour des règles de la ZRR en cours de juillet 2024, donc le mois de juin était le bon moment. Pour créer la société, en plus ça correspondait tout à fait à ce que l'on voulait faire en termes de numérologie. Donc Concordia, la société Concordia, est née le 9 juin 2024, avec le numéro 9 du jour, le numéro 6 du mois de juin et 2024, donc ça fait le numéro 8. Ça fait le 8 pour 2024. Tout a été conçu intentionnellement ici. Ce qui est étonnant aussi, c'est que Concordia ne relève pas seulement de... On crée une nouvelle boîte, c'est une nouvelle coquille juridique, on continue de faire la même activité qu'on avait sur l'entreprise Diamantaire précédente, qui avait presque 10 ans. En fait, il y a une sorte d'élan, on sent quelque chose, on sent qu'il y a quelque chose, une nouvelle substance à implémenter, à semer, une nouvelle graine à semer dans ce nouveau terreau qu'est cette nouvelle entreprise. C'est évidemment pas du tout le moment d'investir dans du capital, dans une nouvelle boîte, mais on y va. on le fait, on fait confiance, et on décide de suivre cet élan, ce truc qu'on sent même s'il n'y a rien de rationnel ici. C'est comme ça, quand on est à un moment donné, quand on apprend à faire collaborer le rationnel et l'irrationnel, on fait ce genre de choses. En tant que médium d'affaires, j'imagine que tu peux croire assez facilement qu'on pilote notre vie au complet et pas juste notre boîte de cette façon. Le mois de juillet arrive, 15 juillet, on part en vacances, enfin on coupe, on décide, on annonce à nos clients, qu'on a un campagnement, etc., que... On fait une pause et là je décide de prendre cinq semaines parce que je suis complètement cramé, je suis en train de subir mes journées, je subis mes semaines, je fais les choses parce qu'il faut les faire mais vraiment, voilà, on a juste assez de trésor pour passer l'été, on prend cinq semaines, ça passe, on y va et on verra bien. Donc le mois d'août est consacré à couper, je mets la première semaine à commencer à arriver à me reposer, pendant une semaine je n'arrive pas à lâcher. La deuxième semaine, je suis complètement claqué, je fais que dormir. Bref, donc il me faudra vraiment deux semaines pour commencer à être en vacances, sur cinq. Si tu fais partie de ceux qui attendent les vacances impatiemment et que tu t'aperçois que tu as pris 15 jours et qu'à la fin des 15 jours, tu n'as pas commencé à te reposer, c'est parce que, un, tu as trop attendu, tu n'es pas assez reposé en cours de route, et deux, parce qu'il fallait prendre plus que deux semaines. Moi, je me suis aperçu que les semaines 3, 4, 5 étaient littéralement les bienvenues. C'est intéressant parce que la cinquième semaine a vraiment été... une rampe de lancement, une phase de sortie où je m'aperçois que mon système était prêt à retourner, à commencer à réfléchir, à préparer des choses, même si ça ne suffira pas à récupérer toute l'énergie dépensée jusque-là. Et donc, fin août, septembre, on a contacté deux personnes qu'on sentait bien, deux clientes en l'occurrence, que l'on connaît bien, que l'on sent bien, et on s'est dit, en fait, c'est avec elles qu'on a envie de développer Concordia, parce qu'on savait déjà que... Concordia ne serait pas juste l'entreprise de Cédric et Claudine, mon épouse, mais qu'on allait co-diriger cette entreprise, que ça allait être une collaboration avec d'autres. Et la bonne surprise, c'est que les deux personnes ont dit oui tout de suite. Et là, je me sens vraiment béni d'être entouré de ces quatre personnes que j'estime tellement. Alors, je dis quatre, effectivement, c'est cinq avec moi, parce qu'il y a Élodie et Séverine, qui sont les deux personnes qui nous ont rejoints pour la direction de l'entreprise, mais on travaillait déjà avec Stéphanie. qui nous aidait déjà à accompagner nos clients sur les accompagnements individuels et un petit peu sur le groupe quand on en faisait avant. Donc on est désormais 5 à livrer nos clients, 4 à diriger l'entreprise, et c'est une vraie chance, vraiment une vraie, vraie chance. Donc on développe une nouvelle stratégie, on arrive au mois d'octobre ici, nouvelle stratégie, nouvelle entreprise, nouvelle cible client, sauf qu'en fait on a changé de segment de clientèle pour l'accompagnement individuel. et en fait le temps que ça se mette en route, ça ne se met pas en route tout de suite. Et donc en fait en deux mois on va signer un seul client, et là ça ne va pas parce qu'en fait la boîte, on n'avait pas tant de trésorerie que ça d'avant. Donc là il faut vite changer quelque chose. Mais chose surprenante, c'est que ça faisait quelques semaines qu'on communiquait avec Concordia, parce que oui on discute, on parle avec notre boîte. Concordia on lui demande de quoi tu as besoin, etc. Et à un moment donné je l'ai envoyé en mission pour nous trouver des clients. Et les clients n'arrivaient clairement pas dans les faits, mais elle a fait mieux. C'est-à-dire qu'elle nous a envoyé quatre personnes qui sont des apporteurs d'affaires. Donc deux personnes qui ont dit moi j'aimerais bien vendre pour vous et deux qui ont dit moi j'aimerais bien vous amener des clients Et on n'a pas vraiment fait de démarche pour ça, c'est juste des circonstances qui se sont présentées. Il y a même Isabelle qui a tapé à la porte dans une conversation avec Claudine, elle a dit ben… Moi, j'aimerais bien vous amener des clients, est-ce qu'on peut travailler ensemble ? Bref, on se retrouve littéralement à être rejoint par des personnes de qualité humaine et professionnelle incroyable, des personnes qui rejoignent la vision et la mission de la boîte, qui rejoignent le projet. Ce ne sont pas des gens qui disent, on tape à la porte en disant Bonjour, j'ai des compétences, combien vous me donnez ? Parce que j'ai plein de personnes autour de moi, des clients, qui recrutent et qui se retrouvent avec des gens qui viennent avec les dents qui règlent le parquet, et c'est le chèque d'abord. Nous, on a infiniment de chances d'avoir des gens qui nous rejoignent pour la mission et la vision qu'on a. C'est vraiment comme si, avec ces quatre bénédictions supplémentaires, c'est comme si Concordia était protégée et guidée par le divin ou un truc. C'est vraiment assez fou et c'est un vrai plaisir à observer. Début novembre, première quinzaine de novembre, on est parti au Canada. Alors là encore... on est parti au Canada pour donner une conférence sauf que entre le moment où je suis invité à participer à une conférence au Canada, donc je suis un des intervenants un des conférenciers de la journée et le moment où on a pris nos billets et le moment où la date arrive, en fait la journée de conférence est reportée à l'année prochaine donc nous évidemment on a nos billets d'avion on a pris avec les filles bien sûr parce que nos gamines ne nous auraient jamais pardonné de partir au Canada sans elles, on aime trop ce pays Donc on a 4 billets d'avion non modifiables, non remboursables et qui sont calés pour 10 jours, 13 jours en novembre avec une conférence annulée. Donc là, un truc qui se passe, c'est que comme ça fait un an que je me dis tiens j'organiserai bien une tournée de conférence, et bien je me dis bah tu sais quoi, on va profiter d'aller au Canada, on va pas y aller pour rien, et non seulement on va aller au Canada mais on va organiser une tournée de conférence. Canada et France. Donc on cale deux dates sur le Canada, on prévoit deux lieux, on communique dessus, on cale la billetterie Evenbright, bref, on fait deux dates au Canada, trois dates en France, Paris-Lyon-Marseille, et en fait, en gros, on fait Montréal et Ottawa au Canada, les deux plus grosses densités de population francophones. Je reviens du Canada, après ce début de tournée de conférence, complètement épuisé. Et là, il se passe un truc. C'est que... L'Amérique du Nord, j'ai dû y aller peut-être 10 ou 12 fois en 10 ans, en 15 ans. Donc le décalage horaire, le jet lag sur le retour, je connais très très bien. Là, Je m'en remets pas. Je suis complètement claqué. Je suis littéralement même apathique, vidé de toute énergie pendant des jours et des jours et des jours. J'arrive vraiment pas à repartir. Clairement, c'est pas normal. Donc évidemment, avec des médiums d'affaires que j'ai formés et que je supervise, je connais la compétence des gens qui m'entourent. Donc évidemment, je demande de l'aide aux autres médiums de l'équipe. Et c'est là que... je m'aperçois qu'effectivement, la tension qui réside à l'intérieur de moi entre qui je suis vraiment et qui je crois que je suis, entre qui je suis vraiment au fond de moi et la personne que je suis aujourd'hui, que je suis devenu et que je crois être ou que je crois avoir besoin d'être, cette tension-là, elle est plus tenable. C'est un peu comme un couple qui commence à prendre des directions différentes et même petit à petit de plus en plus opposées, et en fait l'élastique devient de plus en plus tendu dans le couple. Moi, j'ai vécu ça à l'intérieur de moi. Donc, je suis obligé de changer quelque chose tout de suite, parce que ce n'est pas tenable plus longtemps. Donc, je fais le ménage dans mon système inconscient, dans ma tête, dans mon état d'esprit, dans mon corps, ma vitalité et mon énergie. La bonne nouvelle, c'est que malgré la fatigue, les trois dates de la tournée de conférence en France ont été vraiment un succès, dans le sens où j'aime tellement, mais j'aime tellement connecter avec les gens en vrai. que ça nous a évidemment donné envie de poursuivre cette tournée de conférences, une vie qui compte, en 2025 avec une nouvelle date. On arrive début décembre, après cette deuxième quinzaine de novembre à essayer de comprendre et de dénouer ce qui fait que je me draine mon énergie tout seul. Concordia n'est pas mon activité principale, c'est pas mon revenu principal. Pour faire brouillir la marmite à la maison, j'ai une activité. tout seul, puisque Concordia, en fait, on travaille à plusieurs. On forme et on accompagne à plusieurs. Moi, Cédric Esserméan, j'ai une activité solo. Et donc, je décide que pour relancer le chiffre d'affaires de cette activité solo, j'ai une micro-entreprise, à part de la SAS Concordia, je pose trois critères, comme ça. Ça me vient tout d'un coup. Ces trois critères, c'est je veux que cette activité soit légère, joyeuse et agile. Donc je me dis, ok, qu'est-ce que je pourrais proposer comme accompagnement de groupe qui soit léger, joyeux et agile. Et là, Switch, qui est un programme, un atelier en visio, naît instantanément avec, Ah bah oui, il y a ça, il y a ça, il y a ça, on pourrait faire ci, ça va être génial, etc. Deux jours plus tard, je le mets en vente parce que la semaine d'après, on démarrait Switch. Là, j'ai créé spontanément, sans faire un objectif de chiffre d'affaires, de vente, de volume ou de nombre de personnes. Je dis, voilà, je veux m'amuser à proposer cet atelier-là qui va faire du bien aux gens, et ça va me faire du bien à moi aussi de le faire. J'ai envie de le faire, c'est léger, agile et joyeux. Ce n'est pas il faut, je dois. C'est uniquement basé sur je me respecte et je prends du plaisir à bosser, à exprimer mon savoir-faire et mon expertise. Tu sais quoi, on avait ouvert 30 places, on était complet deux jours avant la date. Je crois que ça ne m'était jamais arrivé, j'ai trouvé ça absolument génial. En deux semaines... Parce que Switch, derrière, on a proposé autre chose. Il y a huit personnes qui ont acheté la suite, etc. Donc, en deux semaines, j'ai fait un des meilleurs mois de mon année. En m'amusant. En m'amusant. Et donc, mi-décembre, je continue d'avancer. Je continue de communiquer avec des gens en off. Et je m'aperçois qu'il y a d'autres sacs de conditionnement qui ont besoin d'être déposés. Donc là, je suis aidé par d'autres personnes. Il y a Pierre, il y a Ellie. qui ne sont pas dans l'équipe de Concordia, mais malgré tout, qui m'aide à clarifier des trucs. Une autre conversation avec Elodie, mon épouse Claudine, me permet de détacher le besoin d'être aimé par les autres et donc le conditionnement, l'adaptation qui fait qu'il y a une part de séduction, il y a une intention de chercher à bien paraître. Pour pas être critiqué, pour pas être rejeté, pour pas être... Voilà, parce que déjà, c'est plus agréable d'être validé que d'être critiqué. C'est plus agréable d'être reconnu, d'être considéré que d'être... que de recevoir de la médisance, ce genre de trucs. Mais aussi, il y avait une certaine forme de validation personnelle, tu vois. Voilà, je cherchais l'approbation et... Tout ça m'a aidé ces dernières semaines du mois de décembre, m'ont vraiment aidé à prendre conscience qu'en fait, ce n'est pas bien grave. J'ai décidé que j'allais concéder aux gens, aux autres, à tout le monde, à toi et aux autres. de ne pas m'aimer si ça leur chante, et d'aimer les gens pour ça. J'ai fait la paix, en fait, avec la part de moi qui avait absolument besoin d'être validée. Et c'est fou parce que, de là, je me sens chaque jour plus solide, plus serein, plus fort, plus heureux, mais sans avoir à faire quoi que ce soit, donc sans avoir à forcer quoi que ce soit. Et ce n'est pas une question d'avoir ou pas de l'argent, ce n'est pas une question d'avoir ou pas des clients, ce n'est pas une question d'avoir une entreprise ou pas non plus. Moi, je crée des trucs, je tente des trucs, je m'amuse. Les clients de décembre ont des résultats vraiment impressionnants. C'était ça le but dans cet atelier Switch, c'était d'ouvrir un espace où je vais pouvoir tester des nouveaux processus parce que moi, je suis un peu le savant fou de l'équipe, si tu veux. Moi, je me fais plaisir en faisant de la recherche. La recherche et développement, c'est mon truc. l'innovation, se creuser la tête, tenter des nouveaux trucs, prendre des risques et aller explorer, ça c'est vraiment ma cam. Et en fait, je suis bluffé par les résultats des clients sur les nouveaux processus, et je me sens vraiment chanceux d'avoir cette expertise et ce savoir-faire là dans les mains, si tu veux. Et on arrive à fin décembre, et là je me rends compte d'un autre truc, d'avoir déposé ces deux gros sacs là, c'est-à-dire le premier c'était la tension entre qui je suis et qui je crois que j'ai besoin d'être, d'une part, et d'autre part, le besoin d'être validé, reconnu et approuvé par les autres, eh bien, je ne suis pas certain d'arriver à faire le lien, quoique, mais je me mets à prendre du plaisir à faire toutes ces petites choses qui me faisaient chier à faire pour l'entreprise jusque-là. C'est-à-dire que j'ai toujours été quelqu'un de très efficace, de très efficient, plutôt, efficient, et toutes ces petites tâches chronophages qui ne font pas vraiment avancer les choses, qu'est-ce que ça me saoulait et j'avais vraiment envie de me débarrasser de ça. Tu vois, par exemple, Bright, qui est la suite de Switch, on a huit clients, et bien j'ai moi-même créé le groupe WhatsApp, enregistré les huit contacts avec leur numéro de téléphone manuellement et créé le groupe WhatsApp. Ça, c'est le genre de truc j'aurais demandé à ma femme de le faire, de le préparer pour moi avant parce que ça m'insupportait. Et là, j'ai envie d'être plus soigneux, plus métituleux, de prendre soin des choses, de prendre le temps. Il y a vraiment quelque chose qui s'est apaisé. Il n'y a plus cette course pour courir après quelque chose, tu vois. Donc je suis vraiment en train de me sentir plus humble, plus patient, plus soigneux. Et j'aime vraiment bien cette nouvelle expérience que je fais de moi-même, parce que je me sens béni d'être qui je suis, en fait. C'est-à-dire que j'aime mon passé, j'aime mon histoire, j'aime la personne que je suis aujourd'hui, j'aime la réalité du moment, et j'aime voir... Le chemin qui m'attend. Il y aura peut-être des défis dessus, évidemment. Mais ce n'est pas grave, parce que j'ai envie d'aimer le processus d'avancer, d'explorer et d'être moi. Surtout qu'il y a une nouvelle version de moi qui s'est pointée entre-temps, donc c'est vraiment très cool pour moi. Et voilà, et si tu veux, c'était un petit peu ça, la lumière au bout du tunnel, au bout de ce tunnel qu'a été cette année 2024, c'est qu'en prenant compte, pour de vrai, des symptômes physiques, les mauvaises nuits, les insomnies, la fatigue chronique, le fait de s'arracher les cheveux, ça va beaucoup mieux, les extra-systoles, ça fait des semaines que j'en ai plus du tout. Et j'ai pas pris un seul médicament pour ça, je suis pas allé voir un médecin pour ça, juste j'ai pris conscience de ce qui agitait mon mental inconsciemment. Et c'est cette agitation qui crée des symptômes physiques. En me défaisant de tout ça, en fait, et comment je me suis défait de tout ça ? En fait, j'ai libéré les freins invisibles internes. qui créait les raisons d'être, qui créait littéralement les symptômes que je vivais. C'est-à-dire qu'on est allé suffisamment profondément dans l'inconscient pour comprendre quel était le mécanisme interne caché qui créait l'état interne dégueulasse qui, à partir de là... De toute façon, quand tu te sens mal dans tes pompes, quand tu te sens stressé, sous pression, machin, les décisions que tu prends sont merdiques, les actions que tu poses sont dégueulasses, donc tu peux pas t'attendre à avoir des résultats foufous. Donc, libérer mes freins invisibles internes m'ont permis à ce que les ventes repartent, mais vraiment sans rien faire de spécial. C'est-à-dire que j'ai dépensé 10 ou 20 fois moins d'énergie qu'avant et j'ai fait un de mes meilleurs mois de l'année. Mais effectivement, tout ça est parti du fait que j'ai essayé de mettre de la voilure sur mon entreprise à partir des techniques de business que tous les coachs te disent qu'il faut faire. Il faut faire comme si, c'est comme ça que ça marche. Ben non, en fait. Il n'y a pas une seule putain de vérité. Il faut nécessairement respecter ce qui est juste pour soi. Sinon, on est en train de se travestir. pour de l'argent et pour du succès, et on est en train de se perdre en cours de route, on peut même s'oublier, on peut même aller jusqu'à se trahir. Et quand on se trahit trop fort, notre corps nous rappelle à l'ordre, et c'est vraiment ça que moi j'ai vécu. Donc c'est un petit peu ça le message que j'ai envie de te partager ici, c'est de t'écouter, ce que tu ressens dans ton corps, ce que tu ressens dans tes émotions, ce que tu entends dans ta tête, d'observer en fait... on a tous la capacité d'observer ce qu'on pense, ce qu'on ressent, on peut se dire, tiens, je suis en train de ressentir de la colère, je suis en train de ressentir de la joie, tiens, c'est marrant, on dirait que ça fait une heure que je suis en train de me prendre la tête sur une histoire qui n'existe pas, parce que cette conversation n'a pas encore eu lieu, mais on dirait que mon mental a décidé de se faire un scénario catastrophe à propos de cette conversation qui arrive demain ou tout à l'heure, et on dirait qu'il a décidé que ça serait un conflit, alors qu'en fait... Tu sais comme moi que la plupart du temps, on se fait tout un cinéma et il se passe jamais ce qu'on avait imaginé, bref, ce que notre mental avait imaginé. Et en fait, voilà, j'ai simplement réaligné ma trajectoire sur la nature de mon énergie. Léger, joyeux, agile. Et du moment où je travaille là-dessus, léger, joyeux, agile, et ben en fait, tu vois, là je suis en train d'enregistrer des épisodes de podcast pendant les vacances, j'ai envie de le faire. J'ai envie. C'est pas je le fais parce qu'il faut. Je ne sais pas, je le fais parce que j'ai dit que je le ferais, parce que je m'inflige de la discipline. Non, non, non, non. Je le fais parce que j'ai trouvé le moyen d'aimer le chemin, plutôt que de simplement souffrir sur le chemin en attendant le résultat, parce que je me dis que c'est le résultat que je vais aimer. Sauf que tu sais comme moi que lorsque tu vas atteindre le résultat, tu vas faire Bon, c'est super, et maintenant ? Et bien maintenant, soit je suis perdu, je ne sais plus quoi faire de ma vie, soit je me cale un autre résultat et je me réengage dans un chemin de souffrance, de labeur. de contraintes, de douleurs. Et voilà. Donc, c'est vraiment une proposition de voir les choses différemment. Encore une fois, la souffrance n'est pas nécessaire, le bonheur est gratuit. Le bonheur est gratuit, c'est la phrase que j'ai identifiée avec Elsa au printemps 24. Le bonheur est gratuit, ça signifie qu'il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Il n'y a pas de prix à payer. Ça veut dire qu'il n'y a pas de sacrifice à faire, il n'y a pas de... Il n'y a pas de je vais devoir payer ce prix-là, je vais devoir souffrir, galérer, pas dormir, me lever tôt, me coucher tard, investir Non, non, non, non, non, non, non. Le bonheur est gratuit. Il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Alors, par contre, évidemment, je suis là tout de suite, je ne suis pas arrivé nulle part. Je te partage juste mon année 2024, les prises de conscience supplémentaires qui ont été les miennes. J'aurais peut-être l'occasion de te partager celles qui ont été... dans les années précédentes, mais en tout cas c'était ça le sujet du jour. Je suis encore en train d'apprendre et de progresser sur mon chemin. Je ne suis pas arrivé nulle part en train de te dire fais comme moi, tu vas voir, ça va marcher. Je te partage juste ce qui a marché pour moi, vois ce qui résonne, laisse ce qui ne résonne pas. Et voilà, par contre, ce que je peux faire, c'est que je peux te montrer comment connaître la nature de ton énergie, comment la clarifier, l'identifier, de manière à aligner ton expérience professionnelle, ta trajectoire professionnelle dessus. Que tu sois la ré...... que tu sois salarié à ton compte, influenceur sur les réseaux sociaux, athlète de haut niveau, personnalité publique, politique, peu importe, tu peux très bien aligner ta trajectoire professionnelle sur ton épanouissement personnel. Et je suis même en train de croire, pas juste là, mais je crois, j'ai cette conviction, qu'il n'y a que comme ça que tu peux vraiment kiffer ta vie. Parce que si tu n'alignes pas ton épanouissement personnel et ton accomplissement professionnel, tu es en train de faire soit l'un soit l'autre. Et tu reviens à il y a un prix à payer C'est soit je m'occupe de moi, soit je m'occupe de ma carrière, mais je ne peux pas faire les deux. Soit je m'occupe de ma carrière et je m'occupe de moi, mais c'est ma relation avec ma femme ou mon mari, c'est ma relation avec mes enfants qui va être le prix qui va être à payer. Et quand le prix à payer est trop lourd, c'est-à-dire quand tu te dis putain, j'ai eu du succès dans ma carrière, mais alors putain, à quel prix ? C'est un peu dommage, parce qu'en fait... Tout ça vient uniquement du fait qu'il y a une culture populaire qui existe depuis des lustres, depuis plusieurs décennies, peut-être même plus que ça, qui dit qu'il faut sacrifier des trucs pour avoir du succès, il faut en chier pour réussir, il faut nécessairement payer un prix à un endroit. Et en fait, non, absolument pas. Donc, voilà, c'était le message d'ici aujourd'hui. Je t'invite à prendre contact si tu veux qu'on regarde à l'occasion d'un premier rendez-vous informel, comme ça, une simple discussion, si tu veux qu'un médium d'affaires puisse regarder quels seraient pour toi aussi les écarts et la tension qui résident entre qui tu es vraiment et qui tu crois que tu as besoin d'être aujourd'hui. Si tu as envie de rendre ton chemin professionnel plus agréable, plus fluide, plus facile, plus épanouissant, plus vibrant, plus nourrissant, Peut-être qu'on devrait se parler. Voilà, je te laisse là-dessus. Et puis, je te dis à très bientôt dans un prochain épisode. Ciao !

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Description

2024 a été pour moi une année marquée par des défis intenses et des prises de conscience nécessaires sur le business, le bonheur, la réussite et le véritable rôle du leadership.


Dans cet épisode, je te dévoile avec intimité les moments charnières : la pression financière inconsciente qui s’installe, les erreurs stratégiques qui coûtent cher, mais aussi les décisions alignées qui changent la donne. Entre intuition et gestion d’entreprise, entre ambition et harmonie familiale, j’ai découvert ce qui a vraiment fait la différence pour moi.


Et si l’épuisement ne venait pas seulement du travail, mais aussi (surtout) d’un désalignement profond ? Comment j’ai appris à écouter les signaux de mon corps pour retrouver de la motivation, de la clarté et une performance plus fluide ?


Si tu ressens un conflit entre qui tu es vraiment et qui tu crois devoir être pour avancer, cet épisode va t’apporter des clés concrètes. Parce que le développement personnel ne devrait jamais être séparé du management et du succès professionnel.


Un épisode qui va t'aider à repenser ta manière de travailler, de créer et d’entreprendre, sans te crâmer.

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Transcription

  • Speaker #0

    Chers amis, bonjour et bienvenue, Cédric Esserméant ici, bienvenue dans ce nouvel épisode de la Performance Equilibrée. Aujourd'hui, une histoire, l'histoire de cette année 2024 qui m'a amené à tirer un certain nombre de leçons, puisqu'il y a eu un certain nombre de défis. Ce qui est très intéressant, c'est qu'à l'aube de 2025, la lumière au bout du tunnel, toutes ces leçons me permettent encore une fois et encore un peu plus... d'alléger la charge que représente le fait de développer une entreprise et de rendre le processus de croissance, de vente, de prospérité financière et professionnelle beaucoup plus légère. Et c'est ça l'histoire que j'ai envie de vous raconter aujourd'hui. Bienvenue dans l'art et la science de la performance équilibrée. Il est temps d'en finir avec cette culture absurde du sacrifice. Alors on va découvrir les mécanismes qui vont te permettre de créer une vie géniale à tout point de vue. Tu bâtiras chaque jour un peu plus le... le plus bel héritage que tu vas léguer à tes enfants, l'art et la science de la performance équilibrée. Alors 2024, commence en janvier, évidemment. On a été nomades, je ne sais pas si vous l'avez su ça, mais on a été nomades pendant trois ans et demi. C'est-à-dire que au moment où le Covid est arrivé, on était sur le point de déménager à l'étranger au Canada. Le Covid arrive, plus de déménagement, donc on se retrouve à patienter dans des logements temporaires, puisqu'au moment où le Covid arrive, nous, on était en train de vendre les meubles, on avait programmé la... le fait de rendre la maison, on était en location, on était en train de vendre la voiture, bref, on avait déjà vendu une des deux voitures, on était littéralement sur le point de partir. Donc, logement temporaire, pendant trois ans et demi, on fait 14 mois de voyage avec nos deux filles, donc deux ados, qui avaient 15 et 13 ans à l'époque. Et puis, retour du tour du monde, on décide de s'installer quelque part dans le sud. Mais on avait, encore une fois, des logements temporaires qui étaient prêtés, qui étaient des deals, si tu veux, très très bon marché. Donc le fait de venir s'installer, se réinstaller dans une maison qui est la nôtre, d'avoir à nouveau un chez nous, après avoir habité chez les autres pendant trois ans et demi, nécessairement, mécaniquement, ça augmente les charges financières, les frais financiers mensuels. Et ça, je ne vais pas m'en rendre compte tout de suite, mais ça, ça va créer une certaine forme de... pression financière inconsciemment, je ne vais pas m'en rendre compte, mais je vais me foutre la pression tout seul parce qu'en gros, je passe en mode, là j'ai plus le choix, il faut absolument que je génère de l'argent, et puis plus, et puis beaucoup, etc. Donc c'est pas quelque chose de conscient, mais malgré tout ça s'installe. En février, je décide d'engager une grosse agence réputée de closing, donc de vente et de marketing pour booster les ventes, augmenter les volumes, mais aussi de stabiliser, c'est-à-dire d'avoir un... de mettre en place un plancher de chiffre d'affaires mensuel en dessous duquel je ne descendrai plus parce que j'aurais mis en place un système. Et en fait, cette agence m'a vraiment vendu ça comme idée. Je mets en place un système de marketing et de vente qui fait que je ne redescends plus en dessous de ça. Sauf que dès le mois de mars, je m'aperçois que non seulement ça n'augmente pas le volume, mais c'est même pire. C'est-à-dire que ce qui marchait avant a été cassé. On a changé les trucs. et ça marche moins bien. Pour le coup, c'est vraiment là qu'on est. Donc, un autre élément aussi, c'est que, évidemment, je ne jette pas l'éponge. Je t'ai engagé pour trois mois avec eux et je ne suis pas du genre à abandonner à la première difficulté. Donc, je continue de travailler, je continue de chercher. Mais à peu près à ce moment-là, au mois de mars, je réalise que je commence à me tirer sur les cheveux. Je mets les mains dans mes cheveux et je suis en train de me laisser pousser les cheveux. En plus, depuis 6-8 mois, à ce moment-là, ça fait 6-8 mois que... Je les laisse pousser, donc j'ai plus de longueur. Et là, j'ai mes mains qui passent dans les cheveux. Je commence littéralement à tirer dessus, puis à déposer sur le carrelage, à côté du canapé, des cheveux, de plus en plus, semaine après semaine. Et puis, petit à petit, je m'aperçois que je commence à avoir des symptômes cardiaques aussi. Les extrasystoles, c'est comme ça que ça s'appelle. En tout cas, chez moi, ça fait ça. C'est comme si mon cœur sautait un battement de cœur. Il y a les répulsations qui sont régulières, puis à un moment donné, il en manque une. C'est-à-dire... Pendant ce temps-là, le cœur, au lieu de se gonfler, de se vider, et c'est la contraction qui crée le popon, le cœur se gonfle, se gonfle, se gonfle, et c'est une pulsation encore plus tard qui va tout lâcher d'un coup. Donc j'ai un creux et ensuite un pic. Et ça fait très bizarre quand ton cœur s'arrête de battre pour se remplir. Je peux quasiment sentir le flux du sang qui gonfle mon cœur, mais pas une impulsion d'un seul coup. Ça fait très bizarre. je me pose la question parce que encore une fois je suis pas conscient que je me suis foutu la pression au niveau du business et voilà je me dis tiens nouvelle maison c'est l'énergie du lieu je suis médium d'affaires je suis particulièrement sensible aux énergies. C'est l'énergie du lieu, de la maison, il y a quelque chose, donc on commence à chercher des solutions autour de ça. Bref, je continue d'avancer. Au mois d'avril, j'engage une coach, une amie, Elsa Menghi, qui m'aide à clarifier mon positionnement de marque personnelle, le positionnement de mon message. Qu'est-ce que j'ai envie de dire au monde ? Qu'est-ce qui compte vraiment ? Et ce qui est génial avec Elsa, c'est qu'elle ne se contente jamais de la première réponse. Elle aussi, si tu as écouté les épisodes précédents, elle aussi, tant qu'elle n'a pas assez creusé, elle sait qu'on n'est pas arrivé. Donc je gagne en clarté de fou sur ce que je veux, le message, etc. Je pense que le podcast au mois d'avril 2024 commence à prendre forme. Il ne sortira qu'en janvier 2025, donc ça a mis du temps. Ce positionnement, ce gain de clarté, je ne sais pas encore quoi faire, mais je sais que c'est là et ça fait du bien d'avoir cette clarté-là. Je sais aujourd'hui que ça aura permis de semer plein d'autres trucs au cours de l'année 2024. On arrive ici au mois de mai. La période de trois mois avec l'agence marketing se termine. C'est clairement un fiasco. Si je n'avais pas eu le bouche à oreille qui nous avait sauvé les ventes, c'est-à-dire la recommandation de la part de nos clients vers des prospects qui nous amènent des clients. Si on n'avait pas eu ça, clairement, foutez la clé sur la porte. Donc évidemment, tension financière max, grosse déception. Je rentre même en litige avec cette agence parce qu'elle commence à faire vraiment n'importe quoi. Il y a des malversations. Bref, c'est pas simple. Toutefois, on arrive au mois de juin et c'est le moment de créer la nouvelle entreprise. Pourquoi ? Parce que notre déménagement dans le sud est... non seulement l'idée de quitter la vallée de Grenoble et d'avoir un endroit où on a beaucoup plus de lumière, beaucoup plus d'espace autour de nous, parce qu'à Grenoble, on est encaissé dans une vallée. Littéralement, on a des montagnes tout autour de la tête, et le soleil disparaît à 17h, même en plein été. Ici, on a un coucher de soleil tous les jours, donc c'est beaucoup plus agréable. La lumière est un élément qui est important pour se sentir bien dans ses pompes, mais il y avait aussi, d'aller dans le sud, une vocation d'optimisation. Puisqu'en créant une entreprise dans certaines zones de France, on peut avoir des grosses économies sur les impôts sur la société, notamment, nous on s'est installé dans une ZRR, une zone de revitalisation rurale, où on peut ne pas payer d'impôts sur les sociétés pendant 5 ans, en créant une nouvelle société et en habitant sur place. Donc, nous on fait ça, et on voulait, parce qu'il y allait avoir une mise à jour des règles de la ZRR en cours de juillet 2024, donc le mois de juin était le bon moment. Pour créer la société, en plus ça correspondait tout à fait à ce que l'on voulait faire en termes de numérologie. Donc Concordia, la société Concordia, est née le 9 juin 2024, avec le numéro 9 du jour, le numéro 6 du mois de juin et 2024, donc ça fait le numéro 8. Ça fait le 8 pour 2024. Tout a été conçu intentionnellement ici. Ce qui est étonnant aussi, c'est que Concordia ne relève pas seulement de... On crée une nouvelle boîte, c'est une nouvelle coquille juridique, on continue de faire la même activité qu'on avait sur l'entreprise Diamantaire précédente, qui avait presque 10 ans. En fait, il y a une sorte d'élan, on sent quelque chose, on sent qu'il y a quelque chose, une nouvelle substance à implémenter, à semer, une nouvelle graine à semer dans ce nouveau terreau qu'est cette nouvelle entreprise. C'est évidemment pas du tout le moment d'investir dans du capital, dans une nouvelle boîte, mais on y va. on le fait, on fait confiance, et on décide de suivre cet élan, ce truc qu'on sent même s'il n'y a rien de rationnel ici. C'est comme ça, quand on est à un moment donné, quand on apprend à faire collaborer le rationnel et l'irrationnel, on fait ce genre de choses. En tant que médium d'affaires, j'imagine que tu peux croire assez facilement qu'on pilote notre vie au complet et pas juste notre boîte de cette façon. Le mois de juillet arrive, 15 juillet, on part en vacances, enfin on coupe, on décide, on annonce à nos clients, qu'on a un campagnement, etc., que... On fait une pause et là je décide de prendre cinq semaines parce que je suis complètement cramé, je suis en train de subir mes journées, je subis mes semaines, je fais les choses parce qu'il faut les faire mais vraiment, voilà, on a juste assez de trésor pour passer l'été, on prend cinq semaines, ça passe, on y va et on verra bien. Donc le mois d'août est consacré à couper, je mets la première semaine à commencer à arriver à me reposer, pendant une semaine je n'arrive pas à lâcher. La deuxième semaine, je suis complètement claqué, je fais que dormir. Bref, donc il me faudra vraiment deux semaines pour commencer à être en vacances, sur cinq. Si tu fais partie de ceux qui attendent les vacances impatiemment et que tu t'aperçois que tu as pris 15 jours et qu'à la fin des 15 jours, tu n'as pas commencé à te reposer, c'est parce que, un, tu as trop attendu, tu n'es pas assez reposé en cours de route, et deux, parce qu'il fallait prendre plus que deux semaines. Moi, je me suis aperçu que les semaines 3, 4, 5 étaient littéralement les bienvenues. C'est intéressant parce que la cinquième semaine a vraiment été... une rampe de lancement, une phase de sortie où je m'aperçois que mon système était prêt à retourner, à commencer à réfléchir, à préparer des choses, même si ça ne suffira pas à récupérer toute l'énergie dépensée jusque-là. Et donc, fin août, septembre, on a contacté deux personnes qu'on sentait bien, deux clientes en l'occurrence, que l'on connaît bien, que l'on sent bien, et on s'est dit, en fait, c'est avec elles qu'on a envie de développer Concordia, parce qu'on savait déjà que... Concordia ne serait pas juste l'entreprise de Cédric et Claudine, mon épouse, mais qu'on allait co-diriger cette entreprise, que ça allait être une collaboration avec d'autres. Et la bonne surprise, c'est que les deux personnes ont dit oui tout de suite. Et là, je me sens vraiment béni d'être entouré de ces quatre personnes que j'estime tellement. Alors, je dis quatre, effectivement, c'est cinq avec moi, parce qu'il y a Élodie et Séverine, qui sont les deux personnes qui nous ont rejoints pour la direction de l'entreprise, mais on travaillait déjà avec Stéphanie. qui nous aidait déjà à accompagner nos clients sur les accompagnements individuels et un petit peu sur le groupe quand on en faisait avant. Donc on est désormais 5 à livrer nos clients, 4 à diriger l'entreprise, et c'est une vraie chance, vraiment une vraie, vraie chance. Donc on développe une nouvelle stratégie, on arrive au mois d'octobre ici, nouvelle stratégie, nouvelle entreprise, nouvelle cible client, sauf qu'en fait on a changé de segment de clientèle pour l'accompagnement individuel. et en fait le temps que ça se mette en route, ça ne se met pas en route tout de suite. Et donc en fait en deux mois on va signer un seul client, et là ça ne va pas parce qu'en fait la boîte, on n'avait pas tant de trésorerie que ça d'avant. Donc là il faut vite changer quelque chose. Mais chose surprenante, c'est que ça faisait quelques semaines qu'on communiquait avec Concordia, parce que oui on discute, on parle avec notre boîte. Concordia on lui demande de quoi tu as besoin, etc. Et à un moment donné je l'ai envoyé en mission pour nous trouver des clients. Et les clients n'arrivaient clairement pas dans les faits, mais elle a fait mieux. C'est-à-dire qu'elle nous a envoyé quatre personnes qui sont des apporteurs d'affaires. Donc deux personnes qui ont dit moi j'aimerais bien vendre pour vous et deux qui ont dit moi j'aimerais bien vous amener des clients Et on n'a pas vraiment fait de démarche pour ça, c'est juste des circonstances qui se sont présentées. Il y a même Isabelle qui a tapé à la porte dans une conversation avec Claudine, elle a dit ben… Moi, j'aimerais bien vous amener des clients, est-ce qu'on peut travailler ensemble ? Bref, on se retrouve littéralement à être rejoint par des personnes de qualité humaine et professionnelle incroyable, des personnes qui rejoignent la vision et la mission de la boîte, qui rejoignent le projet. Ce ne sont pas des gens qui disent, on tape à la porte en disant Bonjour, j'ai des compétences, combien vous me donnez ? Parce que j'ai plein de personnes autour de moi, des clients, qui recrutent et qui se retrouvent avec des gens qui viennent avec les dents qui règlent le parquet, et c'est le chèque d'abord. Nous, on a infiniment de chances d'avoir des gens qui nous rejoignent pour la mission et la vision qu'on a. C'est vraiment comme si, avec ces quatre bénédictions supplémentaires, c'est comme si Concordia était protégée et guidée par le divin ou un truc. C'est vraiment assez fou et c'est un vrai plaisir à observer. Début novembre, première quinzaine de novembre, on est parti au Canada. Alors là encore... on est parti au Canada pour donner une conférence sauf que entre le moment où je suis invité à participer à une conférence au Canada, donc je suis un des intervenants un des conférenciers de la journée et le moment où on a pris nos billets et le moment où la date arrive, en fait la journée de conférence est reportée à l'année prochaine donc nous évidemment on a nos billets d'avion on a pris avec les filles bien sûr parce que nos gamines ne nous auraient jamais pardonné de partir au Canada sans elles, on aime trop ce pays Donc on a 4 billets d'avion non modifiables, non remboursables et qui sont calés pour 10 jours, 13 jours en novembre avec une conférence annulée. Donc là, un truc qui se passe, c'est que comme ça fait un an que je me dis tiens j'organiserai bien une tournée de conférence, et bien je me dis bah tu sais quoi, on va profiter d'aller au Canada, on va pas y aller pour rien, et non seulement on va aller au Canada mais on va organiser une tournée de conférence. Canada et France. Donc on cale deux dates sur le Canada, on prévoit deux lieux, on communique dessus, on cale la billetterie Evenbright, bref, on fait deux dates au Canada, trois dates en France, Paris-Lyon-Marseille, et en fait, en gros, on fait Montréal et Ottawa au Canada, les deux plus grosses densités de population francophones. Je reviens du Canada, après ce début de tournée de conférence, complètement épuisé. Et là, il se passe un truc. C'est que... L'Amérique du Nord, j'ai dû y aller peut-être 10 ou 12 fois en 10 ans, en 15 ans. Donc le décalage horaire, le jet lag sur le retour, je connais très très bien. Là, Je m'en remets pas. Je suis complètement claqué. Je suis littéralement même apathique, vidé de toute énergie pendant des jours et des jours et des jours. J'arrive vraiment pas à repartir. Clairement, c'est pas normal. Donc évidemment, avec des médiums d'affaires que j'ai formés et que je supervise, je connais la compétence des gens qui m'entourent. Donc évidemment, je demande de l'aide aux autres médiums de l'équipe. Et c'est là que... je m'aperçois qu'effectivement, la tension qui réside à l'intérieur de moi entre qui je suis vraiment et qui je crois que je suis, entre qui je suis vraiment au fond de moi et la personne que je suis aujourd'hui, que je suis devenu et que je crois être ou que je crois avoir besoin d'être, cette tension-là, elle est plus tenable. C'est un peu comme un couple qui commence à prendre des directions différentes et même petit à petit de plus en plus opposées, et en fait l'élastique devient de plus en plus tendu dans le couple. Moi, j'ai vécu ça à l'intérieur de moi. Donc, je suis obligé de changer quelque chose tout de suite, parce que ce n'est pas tenable plus longtemps. Donc, je fais le ménage dans mon système inconscient, dans ma tête, dans mon état d'esprit, dans mon corps, ma vitalité et mon énergie. La bonne nouvelle, c'est que malgré la fatigue, les trois dates de la tournée de conférence en France ont été vraiment un succès, dans le sens où j'aime tellement, mais j'aime tellement connecter avec les gens en vrai. que ça nous a évidemment donné envie de poursuivre cette tournée de conférences, une vie qui compte, en 2025 avec une nouvelle date. On arrive début décembre, après cette deuxième quinzaine de novembre à essayer de comprendre et de dénouer ce qui fait que je me draine mon énergie tout seul. Concordia n'est pas mon activité principale, c'est pas mon revenu principal. Pour faire brouillir la marmite à la maison, j'ai une activité. tout seul, puisque Concordia, en fait, on travaille à plusieurs. On forme et on accompagne à plusieurs. Moi, Cédric Esserméan, j'ai une activité solo. Et donc, je décide que pour relancer le chiffre d'affaires de cette activité solo, j'ai une micro-entreprise, à part de la SAS Concordia, je pose trois critères, comme ça. Ça me vient tout d'un coup. Ces trois critères, c'est je veux que cette activité soit légère, joyeuse et agile. Donc je me dis, ok, qu'est-ce que je pourrais proposer comme accompagnement de groupe qui soit léger, joyeux et agile. Et là, Switch, qui est un programme, un atelier en visio, naît instantanément avec, Ah bah oui, il y a ça, il y a ça, il y a ça, on pourrait faire ci, ça va être génial, etc. Deux jours plus tard, je le mets en vente parce que la semaine d'après, on démarrait Switch. Là, j'ai créé spontanément, sans faire un objectif de chiffre d'affaires, de vente, de volume ou de nombre de personnes. Je dis, voilà, je veux m'amuser à proposer cet atelier-là qui va faire du bien aux gens, et ça va me faire du bien à moi aussi de le faire. J'ai envie de le faire, c'est léger, agile et joyeux. Ce n'est pas il faut, je dois. C'est uniquement basé sur je me respecte et je prends du plaisir à bosser, à exprimer mon savoir-faire et mon expertise. Tu sais quoi, on avait ouvert 30 places, on était complet deux jours avant la date. Je crois que ça ne m'était jamais arrivé, j'ai trouvé ça absolument génial. En deux semaines... Parce que Switch, derrière, on a proposé autre chose. Il y a huit personnes qui ont acheté la suite, etc. Donc, en deux semaines, j'ai fait un des meilleurs mois de mon année. En m'amusant. En m'amusant. Et donc, mi-décembre, je continue d'avancer. Je continue de communiquer avec des gens en off. Et je m'aperçois qu'il y a d'autres sacs de conditionnement qui ont besoin d'être déposés. Donc là, je suis aidé par d'autres personnes. Il y a Pierre, il y a Ellie. qui ne sont pas dans l'équipe de Concordia, mais malgré tout, qui m'aide à clarifier des trucs. Une autre conversation avec Elodie, mon épouse Claudine, me permet de détacher le besoin d'être aimé par les autres et donc le conditionnement, l'adaptation qui fait qu'il y a une part de séduction, il y a une intention de chercher à bien paraître. Pour pas être critiqué, pour pas être rejeté, pour pas être... Voilà, parce que déjà, c'est plus agréable d'être validé que d'être critiqué. C'est plus agréable d'être reconnu, d'être considéré que d'être... que de recevoir de la médisance, ce genre de trucs. Mais aussi, il y avait une certaine forme de validation personnelle, tu vois. Voilà, je cherchais l'approbation et... Tout ça m'a aidé ces dernières semaines du mois de décembre, m'ont vraiment aidé à prendre conscience qu'en fait, ce n'est pas bien grave. J'ai décidé que j'allais concéder aux gens, aux autres, à tout le monde, à toi et aux autres. de ne pas m'aimer si ça leur chante, et d'aimer les gens pour ça. J'ai fait la paix, en fait, avec la part de moi qui avait absolument besoin d'être validée. Et c'est fou parce que, de là, je me sens chaque jour plus solide, plus serein, plus fort, plus heureux, mais sans avoir à faire quoi que ce soit, donc sans avoir à forcer quoi que ce soit. Et ce n'est pas une question d'avoir ou pas de l'argent, ce n'est pas une question d'avoir ou pas des clients, ce n'est pas une question d'avoir une entreprise ou pas non plus. Moi, je crée des trucs, je tente des trucs, je m'amuse. Les clients de décembre ont des résultats vraiment impressionnants. C'était ça le but dans cet atelier Switch, c'était d'ouvrir un espace où je vais pouvoir tester des nouveaux processus parce que moi, je suis un peu le savant fou de l'équipe, si tu veux. Moi, je me fais plaisir en faisant de la recherche. La recherche et développement, c'est mon truc. l'innovation, se creuser la tête, tenter des nouveaux trucs, prendre des risques et aller explorer, ça c'est vraiment ma cam. Et en fait, je suis bluffé par les résultats des clients sur les nouveaux processus, et je me sens vraiment chanceux d'avoir cette expertise et ce savoir-faire là dans les mains, si tu veux. Et on arrive à fin décembre, et là je me rends compte d'un autre truc, d'avoir déposé ces deux gros sacs là, c'est-à-dire le premier c'était la tension entre qui je suis et qui je crois que j'ai besoin d'être, d'une part, et d'autre part, le besoin d'être validé, reconnu et approuvé par les autres, eh bien, je ne suis pas certain d'arriver à faire le lien, quoique, mais je me mets à prendre du plaisir à faire toutes ces petites choses qui me faisaient chier à faire pour l'entreprise jusque-là. C'est-à-dire que j'ai toujours été quelqu'un de très efficace, de très efficient, plutôt, efficient, et toutes ces petites tâches chronophages qui ne font pas vraiment avancer les choses, qu'est-ce que ça me saoulait et j'avais vraiment envie de me débarrasser de ça. Tu vois, par exemple, Bright, qui est la suite de Switch, on a huit clients, et bien j'ai moi-même créé le groupe WhatsApp, enregistré les huit contacts avec leur numéro de téléphone manuellement et créé le groupe WhatsApp. Ça, c'est le genre de truc j'aurais demandé à ma femme de le faire, de le préparer pour moi avant parce que ça m'insupportait. Et là, j'ai envie d'être plus soigneux, plus métituleux, de prendre soin des choses, de prendre le temps. Il y a vraiment quelque chose qui s'est apaisé. Il n'y a plus cette course pour courir après quelque chose, tu vois. Donc je suis vraiment en train de me sentir plus humble, plus patient, plus soigneux. Et j'aime vraiment bien cette nouvelle expérience que je fais de moi-même, parce que je me sens béni d'être qui je suis, en fait. C'est-à-dire que j'aime mon passé, j'aime mon histoire, j'aime la personne que je suis aujourd'hui, j'aime la réalité du moment, et j'aime voir... Le chemin qui m'attend. Il y aura peut-être des défis dessus, évidemment. Mais ce n'est pas grave, parce que j'ai envie d'aimer le processus d'avancer, d'explorer et d'être moi. Surtout qu'il y a une nouvelle version de moi qui s'est pointée entre-temps, donc c'est vraiment très cool pour moi. Et voilà, et si tu veux, c'était un petit peu ça, la lumière au bout du tunnel, au bout de ce tunnel qu'a été cette année 2024, c'est qu'en prenant compte, pour de vrai, des symptômes physiques, les mauvaises nuits, les insomnies, la fatigue chronique, le fait de s'arracher les cheveux, ça va beaucoup mieux, les extra-systoles, ça fait des semaines que j'en ai plus du tout. Et j'ai pas pris un seul médicament pour ça, je suis pas allé voir un médecin pour ça, juste j'ai pris conscience de ce qui agitait mon mental inconsciemment. Et c'est cette agitation qui crée des symptômes physiques. En me défaisant de tout ça, en fait, et comment je me suis défait de tout ça ? En fait, j'ai libéré les freins invisibles internes. qui créait les raisons d'être, qui créait littéralement les symptômes que je vivais. C'est-à-dire qu'on est allé suffisamment profondément dans l'inconscient pour comprendre quel était le mécanisme interne caché qui créait l'état interne dégueulasse qui, à partir de là... De toute façon, quand tu te sens mal dans tes pompes, quand tu te sens stressé, sous pression, machin, les décisions que tu prends sont merdiques, les actions que tu poses sont dégueulasses, donc tu peux pas t'attendre à avoir des résultats foufous. Donc, libérer mes freins invisibles internes m'ont permis à ce que les ventes repartent, mais vraiment sans rien faire de spécial. C'est-à-dire que j'ai dépensé 10 ou 20 fois moins d'énergie qu'avant et j'ai fait un de mes meilleurs mois de l'année. Mais effectivement, tout ça est parti du fait que j'ai essayé de mettre de la voilure sur mon entreprise à partir des techniques de business que tous les coachs te disent qu'il faut faire. Il faut faire comme si, c'est comme ça que ça marche. Ben non, en fait. Il n'y a pas une seule putain de vérité. Il faut nécessairement respecter ce qui est juste pour soi. Sinon, on est en train de se travestir. pour de l'argent et pour du succès, et on est en train de se perdre en cours de route, on peut même s'oublier, on peut même aller jusqu'à se trahir. Et quand on se trahit trop fort, notre corps nous rappelle à l'ordre, et c'est vraiment ça que moi j'ai vécu. Donc c'est un petit peu ça le message que j'ai envie de te partager ici, c'est de t'écouter, ce que tu ressens dans ton corps, ce que tu ressens dans tes émotions, ce que tu entends dans ta tête, d'observer en fait... on a tous la capacité d'observer ce qu'on pense, ce qu'on ressent, on peut se dire, tiens, je suis en train de ressentir de la colère, je suis en train de ressentir de la joie, tiens, c'est marrant, on dirait que ça fait une heure que je suis en train de me prendre la tête sur une histoire qui n'existe pas, parce que cette conversation n'a pas encore eu lieu, mais on dirait que mon mental a décidé de se faire un scénario catastrophe à propos de cette conversation qui arrive demain ou tout à l'heure, et on dirait qu'il a décidé que ça serait un conflit, alors qu'en fait... Tu sais comme moi que la plupart du temps, on se fait tout un cinéma et il se passe jamais ce qu'on avait imaginé, bref, ce que notre mental avait imaginé. Et en fait, voilà, j'ai simplement réaligné ma trajectoire sur la nature de mon énergie. Léger, joyeux, agile. Et du moment où je travaille là-dessus, léger, joyeux, agile, et ben en fait, tu vois, là je suis en train d'enregistrer des épisodes de podcast pendant les vacances, j'ai envie de le faire. J'ai envie. C'est pas je le fais parce qu'il faut. Je ne sais pas, je le fais parce que j'ai dit que je le ferais, parce que je m'inflige de la discipline. Non, non, non, non. Je le fais parce que j'ai trouvé le moyen d'aimer le chemin, plutôt que de simplement souffrir sur le chemin en attendant le résultat, parce que je me dis que c'est le résultat que je vais aimer. Sauf que tu sais comme moi que lorsque tu vas atteindre le résultat, tu vas faire Bon, c'est super, et maintenant ? Et bien maintenant, soit je suis perdu, je ne sais plus quoi faire de ma vie, soit je me cale un autre résultat et je me réengage dans un chemin de souffrance, de labeur. de contraintes, de douleurs. Et voilà. Donc, c'est vraiment une proposition de voir les choses différemment. Encore une fois, la souffrance n'est pas nécessaire, le bonheur est gratuit. Le bonheur est gratuit, c'est la phrase que j'ai identifiée avec Elsa au printemps 24. Le bonheur est gratuit, ça signifie qu'il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Il n'y a pas de prix à payer. Ça veut dire qu'il n'y a pas de sacrifice à faire, il n'y a pas de... Il n'y a pas de je vais devoir payer ce prix-là, je vais devoir souffrir, galérer, pas dormir, me lever tôt, me coucher tard, investir Non, non, non, non, non, non, non. Le bonheur est gratuit. Il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Alors, par contre, évidemment, je suis là tout de suite, je ne suis pas arrivé nulle part. Je te partage juste mon année 2024, les prises de conscience supplémentaires qui ont été les miennes. J'aurais peut-être l'occasion de te partager celles qui ont été... dans les années précédentes, mais en tout cas c'était ça le sujet du jour. Je suis encore en train d'apprendre et de progresser sur mon chemin. Je ne suis pas arrivé nulle part en train de te dire fais comme moi, tu vas voir, ça va marcher. Je te partage juste ce qui a marché pour moi, vois ce qui résonne, laisse ce qui ne résonne pas. Et voilà, par contre, ce que je peux faire, c'est que je peux te montrer comment connaître la nature de ton énergie, comment la clarifier, l'identifier, de manière à aligner ton expérience professionnelle, ta trajectoire professionnelle dessus. Que tu sois la ré...... que tu sois salarié à ton compte, influenceur sur les réseaux sociaux, athlète de haut niveau, personnalité publique, politique, peu importe, tu peux très bien aligner ta trajectoire professionnelle sur ton épanouissement personnel. Et je suis même en train de croire, pas juste là, mais je crois, j'ai cette conviction, qu'il n'y a que comme ça que tu peux vraiment kiffer ta vie. Parce que si tu n'alignes pas ton épanouissement personnel et ton accomplissement professionnel, tu es en train de faire soit l'un soit l'autre. Et tu reviens à il y a un prix à payer C'est soit je m'occupe de moi, soit je m'occupe de ma carrière, mais je ne peux pas faire les deux. Soit je m'occupe de ma carrière et je m'occupe de moi, mais c'est ma relation avec ma femme ou mon mari, c'est ma relation avec mes enfants qui va être le prix qui va être à payer. Et quand le prix à payer est trop lourd, c'est-à-dire quand tu te dis putain, j'ai eu du succès dans ma carrière, mais alors putain, à quel prix ? C'est un peu dommage, parce qu'en fait... Tout ça vient uniquement du fait qu'il y a une culture populaire qui existe depuis des lustres, depuis plusieurs décennies, peut-être même plus que ça, qui dit qu'il faut sacrifier des trucs pour avoir du succès, il faut en chier pour réussir, il faut nécessairement payer un prix à un endroit. Et en fait, non, absolument pas. Donc, voilà, c'était le message d'ici aujourd'hui. Je t'invite à prendre contact si tu veux qu'on regarde à l'occasion d'un premier rendez-vous informel, comme ça, une simple discussion, si tu veux qu'un médium d'affaires puisse regarder quels seraient pour toi aussi les écarts et la tension qui résident entre qui tu es vraiment et qui tu crois que tu as besoin d'être aujourd'hui. Si tu as envie de rendre ton chemin professionnel plus agréable, plus fluide, plus facile, plus épanouissant, plus vibrant, plus nourrissant, Peut-être qu'on devrait se parler. Voilà, je te laisse là-dessus. Et puis, je te dis à très bientôt dans un prochain épisode. Ciao !

Description

2024 a été pour moi une année marquée par des défis intenses et des prises de conscience nécessaires sur le business, le bonheur, la réussite et le véritable rôle du leadership.


Dans cet épisode, je te dévoile avec intimité les moments charnières : la pression financière inconsciente qui s’installe, les erreurs stratégiques qui coûtent cher, mais aussi les décisions alignées qui changent la donne. Entre intuition et gestion d’entreprise, entre ambition et harmonie familiale, j’ai découvert ce qui a vraiment fait la différence pour moi.


Et si l’épuisement ne venait pas seulement du travail, mais aussi (surtout) d’un désalignement profond ? Comment j’ai appris à écouter les signaux de mon corps pour retrouver de la motivation, de la clarté et une performance plus fluide ?


Si tu ressens un conflit entre qui tu es vraiment et qui tu crois devoir être pour avancer, cet épisode va t’apporter des clés concrètes. Parce que le développement personnel ne devrait jamais être séparé du management et du succès professionnel.


Un épisode qui va t'aider à repenser ta manière de travailler, de créer et d’entreprendre, sans te crâmer.

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Transcription

  • Speaker #0

    Chers amis, bonjour et bienvenue, Cédric Esserméant ici, bienvenue dans ce nouvel épisode de la Performance Equilibrée. Aujourd'hui, une histoire, l'histoire de cette année 2024 qui m'a amené à tirer un certain nombre de leçons, puisqu'il y a eu un certain nombre de défis. Ce qui est très intéressant, c'est qu'à l'aube de 2025, la lumière au bout du tunnel, toutes ces leçons me permettent encore une fois et encore un peu plus... d'alléger la charge que représente le fait de développer une entreprise et de rendre le processus de croissance, de vente, de prospérité financière et professionnelle beaucoup plus légère. Et c'est ça l'histoire que j'ai envie de vous raconter aujourd'hui. Bienvenue dans l'art et la science de la performance équilibrée. Il est temps d'en finir avec cette culture absurde du sacrifice. Alors on va découvrir les mécanismes qui vont te permettre de créer une vie géniale à tout point de vue. Tu bâtiras chaque jour un peu plus le... le plus bel héritage que tu vas léguer à tes enfants, l'art et la science de la performance équilibrée. Alors 2024, commence en janvier, évidemment. On a été nomades, je ne sais pas si vous l'avez su ça, mais on a été nomades pendant trois ans et demi. C'est-à-dire que au moment où le Covid est arrivé, on était sur le point de déménager à l'étranger au Canada. Le Covid arrive, plus de déménagement, donc on se retrouve à patienter dans des logements temporaires, puisqu'au moment où le Covid arrive, nous, on était en train de vendre les meubles, on avait programmé la... le fait de rendre la maison, on était en location, on était en train de vendre la voiture, bref, on avait déjà vendu une des deux voitures, on était littéralement sur le point de partir. Donc, logement temporaire, pendant trois ans et demi, on fait 14 mois de voyage avec nos deux filles, donc deux ados, qui avaient 15 et 13 ans à l'époque. Et puis, retour du tour du monde, on décide de s'installer quelque part dans le sud. Mais on avait, encore une fois, des logements temporaires qui étaient prêtés, qui étaient des deals, si tu veux, très très bon marché. Donc le fait de venir s'installer, se réinstaller dans une maison qui est la nôtre, d'avoir à nouveau un chez nous, après avoir habité chez les autres pendant trois ans et demi, nécessairement, mécaniquement, ça augmente les charges financières, les frais financiers mensuels. Et ça, je ne vais pas m'en rendre compte tout de suite, mais ça, ça va créer une certaine forme de... pression financière inconsciemment, je ne vais pas m'en rendre compte, mais je vais me foutre la pression tout seul parce qu'en gros, je passe en mode, là j'ai plus le choix, il faut absolument que je génère de l'argent, et puis plus, et puis beaucoup, etc. Donc c'est pas quelque chose de conscient, mais malgré tout ça s'installe. En février, je décide d'engager une grosse agence réputée de closing, donc de vente et de marketing pour booster les ventes, augmenter les volumes, mais aussi de stabiliser, c'est-à-dire d'avoir un... de mettre en place un plancher de chiffre d'affaires mensuel en dessous duquel je ne descendrai plus parce que j'aurais mis en place un système. Et en fait, cette agence m'a vraiment vendu ça comme idée. Je mets en place un système de marketing et de vente qui fait que je ne redescends plus en dessous de ça. Sauf que dès le mois de mars, je m'aperçois que non seulement ça n'augmente pas le volume, mais c'est même pire. C'est-à-dire que ce qui marchait avant a été cassé. On a changé les trucs. et ça marche moins bien. Pour le coup, c'est vraiment là qu'on est. Donc, un autre élément aussi, c'est que, évidemment, je ne jette pas l'éponge. Je t'ai engagé pour trois mois avec eux et je ne suis pas du genre à abandonner à la première difficulté. Donc, je continue de travailler, je continue de chercher. Mais à peu près à ce moment-là, au mois de mars, je réalise que je commence à me tirer sur les cheveux. Je mets les mains dans mes cheveux et je suis en train de me laisser pousser les cheveux. En plus, depuis 6-8 mois, à ce moment-là, ça fait 6-8 mois que... Je les laisse pousser, donc j'ai plus de longueur. Et là, j'ai mes mains qui passent dans les cheveux. Je commence littéralement à tirer dessus, puis à déposer sur le carrelage, à côté du canapé, des cheveux, de plus en plus, semaine après semaine. Et puis, petit à petit, je m'aperçois que je commence à avoir des symptômes cardiaques aussi. Les extrasystoles, c'est comme ça que ça s'appelle. En tout cas, chez moi, ça fait ça. C'est comme si mon cœur sautait un battement de cœur. Il y a les répulsations qui sont régulières, puis à un moment donné, il en manque une. C'est-à-dire... Pendant ce temps-là, le cœur, au lieu de se gonfler, de se vider, et c'est la contraction qui crée le popon, le cœur se gonfle, se gonfle, se gonfle, et c'est une pulsation encore plus tard qui va tout lâcher d'un coup. Donc j'ai un creux et ensuite un pic. Et ça fait très bizarre quand ton cœur s'arrête de battre pour se remplir. Je peux quasiment sentir le flux du sang qui gonfle mon cœur, mais pas une impulsion d'un seul coup. Ça fait très bizarre. je me pose la question parce que encore une fois je suis pas conscient que je me suis foutu la pression au niveau du business et voilà je me dis tiens nouvelle maison c'est l'énergie du lieu je suis médium d'affaires je suis particulièrement sensible aux énergies. C'est l'énergie du lieu, de la maison, il y a quelque chose, donc on commence à chercher des solutions autour de ça. Bref, je continue d'avancer. Au mois d'avril, j'engage une coach, une amie, Elsa Menghi, qui m'aide à clarifier mon positionnement de marque personnelle, le positionnement de mon message. Qu'est-ce que j'ai envie de dire au monde ? Qu'est-ce qui compte vraiment ? Et ce qui est génial avec Elsa, c'est qu'elle ne se contente jamais de la première réponse. Elle aussi, si tu as écouté les épisodes précédents, elle aussi, tant qu'elle n'a pas assez creusé, elle sait qu'on n'est pas arrivé. Donc je gagne en clarté de fou sur ce que je veux, le message, etc. Je pense que le podcast au mois d'avril 2024 commence à prendre forme. Il ne sortira qu'en janvier 2025, donc ça a mis du temps. Ce positionnement, ce gain de clarté, je ne sais pas encore quoi faire, mais je sais que c'est là et ça fait du bien d'avoir cette clarté-là. Je sais aujourd'hui que ça aura permis de semer plein d'autres trucs au cours de l'année 2024. On arrive ici au mois de mai. La période de trois mois avec l'agence marketing se termine. C'est clairement un fiasco. Si je n'avais pas eu le bouche à oreille qui nous avait sauvé les ventes, c'est-à-dire la recommandation de la part de nos clients vers des prospects qui nous amènent des clients. Si on n'avait pas eu ça, clairement, foutez la clé sur la porte. Donc évidemment, tension financière max, grosse déception. Je rentre même en litige avec cette agence parce qu'elle commence à faire vraiment n'importe quoi. Il y a des malversations. Bref, c'est pas simple. Toutefois, on arrive au mois de juin et c'est le moment de créer la nouvelle entreprise. Pourquoi ? Parce que notre déménagement dans le sud est... non seulement l'idée de quitter la vallée de Grenoble et d'avoir un endroit où on a beaucoup plus de lumière, beaucoup plus d'espace autour de nous, parce qu'à Grenoble, on est encaissé dans une vallée. Littéralement, on a des montagnes tout autour de la tête, et le soleil disparaît à 17h, même en plein été. Ici, on a un coucher de soleil tous les jours, donc c'est beaucoup plus agréable. La lumière est un élément qui est important pour se sentir bien dans ses pompes, mais il y avait aussi, d'aller dans le sud, une vocation d'optimisation. Puisqu'en créant une entreprise dans certaines zones de France, on peut avoir des grosses économies sur les impôts sur la société, notamment, nous on s'est installé dans une ZRR, une zone de revitalisation rurale, où on peut ne pas payer d'impôts sur les sociétés pendant 5 ans, en créant une nouvelle société et en habitant sur place. Donc, nous on fait ça, et on voulait, parce qu'il y allait avoir une mise à jour des règles de la ZRR en cours de juillet 2024, donc le mois de juin était le bon moment. Pour créer la société, en plus ça correspondait tout à fait à ce que l'on voulait faire en termes de numérologie. Donc Concordia, la société Concordia, est née le 9 juin 2024, avec le numéro 9 du jour, le numéro 6 du mois de juin et 2024, donc ça fait le numéro 8. Ça fait le 8 pour 2024. Tout a été conçu intentionnellement ici. Ce qui est étonnant aussi, c'est que Concordia ne relève pas seulement de... On crée une nouvelle boîte, c'est une nouvelle coquille juridique, on continue de faire la même activité qu'on avait sur l'entreprise Diamantaire précédente, qui avait presque 10 ans. En fait, il y a une sorte d'élan, on sent quelque chose, on sent qu'il y a quelque chose, une nouvelle substance à implémenter, à semer, une nouvelle graine à semer dans ce nouveau terreau qu'est cette nouvelle entreprise. C'est évidemment pas du tout le moment d'investir dans du capital, dans une nouvelle boîte, mais on y va. on le fait, on fait confiance, et on décide de suivre cet élan, ce truc qu'on sent même s'il n'y a rien de rationnel ici. C'est comme ça, quand on est à un moment donné, quand on apprend à faire collaborer le rationnel et l'irrationnel, on fait ce genre de choses. En tant que médium d'affaires, j'imagine que tu peux croire assez facilement qu'on pilote notre vie au complet et pas juste notre boîte de cette façon. Le mois de juillet arrive, 15 juillet, on part en vacances, enfin on coupe, on décide, on annonce à nos clients, qu'on a un campagnement, etc., que... On fait une pause et là je décide de prendre cinq semaines parce que je suis complètement cramé, je suis en train de subir mes journées, je subis mes semaines, je fais les choses parce qu'il faut les faire mais vraiment, voilà, on a juste assez de trésor pour passer l'été, on prend cinq semaines, ça passe, on y va et on verra bien. Donc le mois d'août est consacré à couper, je mets la première semaine à commencer à arriver à me reposer, pendant une semaine je n'arrive pas à lâcher. La deuxième semaine, je suis complètement claqué, je fais que dormir. Bref, donc il me faudra vraiment deux semaines pour commencer à être en vacances, sur cinq. Si tu fais partie de ceux qui attendent les vacances impatiemment et que tu t'aperçois que tu as pris 15 jours et qu'à la fin des 15 jours, tu n'as pas commencé à te reposer, c'est parce que, un, tu as trop attendu, tu n'es pas assez reposé en cours de route, et deux, parce qu'il fallait prendre plus que deux semaines. Moi, je me suis aperçu que les semaines 3, 4, 5 étaient littéralement les bienvenues. C'est intéressant parce que la cinquième semaine a vraiment été... une rampe de lancement, une phase de sortie où je m'aperçois que mon système était prêt à retourner, à commencer à réfléchir, à préparer des choses, même si ça ne suffira pas à récupérer toute l'énergie dépensée jusque-là. Et donc, fin août, septembre, on a contacté deux personnes qu'on sentait bien, deux clientes en l'occurrence, que l'on connaît bien, que l'on sent bien, et on s'est dit, en fait, c'est avec elles qu'on a envie de développer Concordia, parce qu'on savait déjà que... Concordia ne serait pas juste l'entreprise de Cédric et Claudine, mon épouse, mais qu'on allait co-diriger cette entreprise, que ça allait être une collaboration avec d'autres. Et la bonne surprise, c'est que les deux personnes ont dit oui tout de suite. Et là, je me sens vraiment béni d'être entouré de ces quatre personnes que j'estime tellement. Alors, je dis quatre, effectivement, c'est cinq avec moi, parce qu'il y a Élodie et Séverine, qui sont les deux personnes qui nous ont rejoints pour la direction de l'entreprise, mais on travaillait déjà avec Stéphanie. qui nous aidait déjà à accompagner nos clients sur les accompagnements individuels et un petit peu sur le groupe quand on en faisait avant. Donc on est désormais 5 à livrer nos clients, 4 à diriger l'entreprise, et c'est une vraie chance, vraiment une vraie, vraie chance. Donc on développe une nouvelle stratégie, on arrive au mois d'octobre ici, nouvelle stratégie, nouvelle entreprise, nouvelle cible client, sauf qu'en fait on a changé de segment de clientèle pour l'accompagnement individuel. et en fait le temps que ça se mette en route, ça ne se met pas en route tout de suite. Et donc en fait en deux mois on va signer un seul client, et là ça ne va pas parce qu'en fait la boîte, on n'avait pas tant de trésorerie que ça d'avant. Donc là il faut vite changer quelque chose. Mais chose surprenante, c'est que ça faisait quelques semaines qu'on communiquait avec Concordia, parce que oui on discute, on parle avec notre boîte. Concordia on lui demande de quoi tu as besoin, etc. Et à un moment donné je l'ai envoyé en mission pour nous trouver des clients. Et les clients n'arrivaient clairement pas dans les faits, mais elle a fait mieux. C'est-à-dire qu'elle nous a envoyé quatre personnes qui sont des apporteurs d'affaires. Donc deux personnes qui ont dit moi j'aimerais bien vendre pour vous et deux qui ont dit moi j'aimerais bien vous amener des clients Et on n'a pas vraiment fait de démarche pour ça, c'est juste des circonstances qui se sont présentées. Il y a même Isabelle qui a tapé à la porte dans une conversation avec Claudine, elle a dit ben… Moi, j'aimerais bien vous amener des clients, est-ce qu'on peut travailler ensemble ? Bref, on se retrouve littéralement à être rejoint par des personnes de qualité humaine et professionnelle incroyable, des personnes qui rejoignent la vision et la mission de la boîte, qui rejoignent le projet. Ce ne sont pas des gens qui disent, on tape à la porte en disant Bonjour, j'ai des compétences, combien vous me donnez ? Parce que j'ai plein de personnes autour de moi, des clients, qui recrutent et qui se retrouvent avec des gens qui viennent avec les dents qui règlent le parquet, et c'est le chèque d'abord. Nous, on a infiniment de chances d'avoir des gens qui nous rejoignent pour la mission et la vision qu'on a. C'est vraiment comme si, avec ces quatre bénédictions supplémentaires, c'est comme si Concordia était protégée et guidée par le divin ou un truc. C'est vraiment assez fou et c'est un vrai plaisir à observer. Début novembre, première quinzaine de novembre, on est parti au Canada. Alors là encore... on est parti au Canada pour donner une conférence sauf que entre le moment où je suis invité à participer à une conférence au Canada, donc je suis un des intervenants un des conférenciers de la journée et le moment où on a pris nos billets et le moment où la date arrive, en fait la journée de conférence est reportée à l'année prochaine donc nous évidemment on a nos billets d'avion on a pris avec les filles bien sûr parce que nos gamines ne nous auraient jamais pardonné de partir au Canada sans elles, on aime trop ce pays Donc on a 4 billets d'avion non modifiables, non remboursables et qui sont calés pour 10 jours, 13 jours en novembre avec une conférence annulée. Donc là, un truc qui se passe, c'est que comme ça fait un an que je me dis tiens j'organiserai bien une tournée de conférence, et bien je me dis bah tu sais quoi, on va profiter d'aller au Canada, on va pas y aller pour rien, et non seulement on va aller au Canada mais on va organiser une tournée de conférence. Canada et France. Donc on cale deux dates sur le Canada, on prévoit deux lieux, on communique dessus, on cale la billetterie Evenbright, bref, on fait deux dates au Canada, trois dates en France, Paris-Lyon-Marseille, et en fait, en gros, on fait Montréal et Ottawa au Canada, les deux plus grosses densités de population francophones. Je reviens du Canada, après ce début de tournée de conférence, complètement épuisé. Et là, il se passe un truc. C'est que... L'Amérique du Nord, j'ai dû y aller peut-être 10 ou 12 fois en 10 ans, en 15 ans. Donc le décalage horaire, le jet lag sur le retour, je connais très très bien. Là, Je m'en remets pas. Je suis complètement claqué. Je suis littéralement même apathique, vidé de toute énergie pendant des jours et des jours et des jours. J'arrive vraiment pas à repartir. Clairement, c'est pas normal. Donc évidemment, avec des médiums d'affaires que j'ai formés et que je supervise, je connais la compétence des gens qui m'entourent. Donc évidemment, je demande de l'aide aux autres médiums de l'équipe. Et c'est là que... je m'aperçois qu'effectivement, la tension qui réside à l'intérieur de moi entre qui je suis vraiment et qui je crois que je suis, entre qui je suis vraiment au fond de moi et la personne que je suis aujourd'hui, que je suis devenu et que je crois être ou que je crois avoir besoin d'être, cette tension-là, elle est plus tenable. C'est un peu comme un couple qui commence à prendre des directions différentes et même petit à petit de plus en plus opposées, et en fait l'élastique devient de plus en plus tendu dans le couple. Moi, j'ai vécu ça à l'intérieur de moi. Donc, je suis obligé de changer quelque chose tout de suite, parce que ce n'est pas tenable plus longtemps. Donc, je fais le ménage dans mon système inconscient, dans ma tête, dans mon état d'esprit, dans mon corps, ma vitalité et mon énergie. La bonne nouvelle, c'est que malgré la fatigue, les trois dates de la tournée de conférence en France ont été vraiment un succès, dans le sens où j'aime tellement, mais j'aime tellement connecter avec les gens en vrai. que ça nous a évidemment donné envie de poursuivre cette tournée de conférences, une vie qui compte, en 2025 avec une nouvelle date. On arrive début décembre, après cette deuxième quinzaine de novembre à essayer de comprendre et de dénouer ce qui fait que je me draine mon énergie tout seul. Concordia n'est pas mon activité principale, c'est pas mon revenu principal. Pour faire brouillir la marmite à la maison, j'ai une activité. tout seul, puisque Concordia, en fait, on travaille à plusieurs. On forme et on accompagne à plusieurs. Moi, Cédric Esserméan, j'ai une activité solo. Et donc, je décide que pour relancer le chiffre d'affaires de cette activité solo, j'ai une micro-entreprise, à part de la SAS Concordia, je pose trois critères, comme ça. Ça me vient tout d'un coup. Ces trois critères, c'est je veux que cette activité soit légère, joyeuse et agile. Donc je me dis, ok, qu'est-ce que je pourrais proposer comme accompagnement de groupe qui soit léger, joyeux et agile. Et là, Switch, qui est un programme, un atelier en visio, naît instantanément avec, Ah bah oui, il y a ça, il y a ça, il y a ça, on pourrait faire ci, ça va être génial, etc. Deux jours plus tard, je le mets en vente parce que la semaine d'après, on démarrait Switch. Là, j'ai créé spontanément, sans faire un objectif de chiffre d'affaires, de vente, de volume ou de nombre de personnes. Je dis, voilà, je veux m'amuser à proposer cet atelier-là qui va faire du bien aux gens, et ça va me faire du bien à moi aussi de le faire. J'ai envie de le faire, c'est léger, agile et joyeux. Ce n'est pas il faut, je dois. C'est uniquement basé sur je me respecte et je prends du plaisir à bosser, à exprimer mon savoir-faire et mon expertise. Tu sais quoi, on avait ouvert 30 places, on était complet deux jours avant la date. Je crois que ça ne m'était jamais arrivé, j'ai trouvé ça absolument génial. En deux semaines... Parce que Switch, derrière, on a proposé autre chose. Il y a huit personnes qui ont acheté la suite, etc. Donc, en deux semaines, j'ai fait un des meilleurs mois de mon année. En m'amusant. En m'amusant. Et donc, mi-décembre, je continue d'avancer. Je continue de communiquer avec des gens en off. Et je m'aperçois qu'il y a d'autres sacs de conditionnement qui ont besoin d'être déposés. Donc là, je suis aidé par d'autres personnes. Il y a Pierre, il y a Ellie. qui ne sont pas dans l'équipe de Concordia, mais malgré tout, qui m'aide à clarifier des trucs. Une autre conversation avec Elodie, mon épouse Claudine, me permet de détacher le besoin d'être aimé par les autres et donc le conditionnement, l'adaptation qui fait qu'il y a une part de séduction, il y a une intention de chercher à bien paraître. Pour pas être critiqué, pour pas être rejeté, pour pas être... Voilà, parce que déjà, c'est plus agréable d'être validé que d'être critiqué. C'est plus agréable d'être reconnu, d'être considéré que d'être... que de recevoir de la médisance, ce genre de trucs. Mais aussi, il y avait une certaine forme de validation personnelle, tu vois. Voilà, je cherchais l'approbation et... Tout ça m'a aidé ces dernières semaines du mois de décembre, m'ont vraiment aidé à prendre conscience qu'en fait, ce n'est pas bien grave. J'ai décidé que j'allais concéder aux gens, aux autres, à tout le monde, à toi et aux autres. de ne pas m'aimer si ça leur chante, et d'aimer les gens pour ça. J'ai fait la paix, en fait, avec la part de moi qui avait absolument besoin d'être validée. Et c'est fou parce que, de là, je me sens chaque jour plus solide, plus serein, plus fort, plus heureux, mais sans avoir à faire quoi que ce soit, donc sans avoir à forcer quoi que ce soit. Et ce n'est pas une question d'avoir ou pas de l'argent, ce n'est pas une question d'avoir ou pas des clients, ce n'est pas une question d'avoir une entreprise ou pas non plus. Moi, je crée des trucs, je tente des trucs, je m'amuse. Les clients de décembre ont des résultats vraiment impressionnants. C'était ça le but dans cet atelier Switch, c'était d'ouvrir un espace où je vais pouvoir tester des nouveaux processus parce que moi, je suis un peu le savant fou de l'équipe, si tu veux. Moi, je me fais plaisir en faisant de la recherche. La recherche et développement, c'est mon truc. l'innovation, se creuser la tête, tenter des nouveaux trucs, prendre des risques et aller explorer, ça c'est vraiment ma cam. Et en fait, je suis bluffé par les résultats des clients sur les nouveaux processus, et je me sens vraiment chanceux d'avoir cette expertise et ce savoir-faire là dans les mains, si tu veux. Et on arrive à fin décembre, et là je me rends compte d'un autre truc, d'avoir déposé ces deux gros sacs là, c'est-à-dire le premier c'était la tension entre qui je suis et qui je crois que j'ai besoin d'être, d'une part, et d'autre part, le besoin d'être validé, reconnu et approuvé par les autres, eh bien, je ne suis pas certain d'arriver à faire le lien, quoique, mais je me mets à prendre du plaisir à faire toutes ces petites choses qui me faisaient chier à faire pour l'entreprise jusque-là. C'est-à-dire que j'ai toujours été quelqu'un de très efficace, de très efficient, plutôt, efficient, et toutes ces petites tâches chronophages qui ne font pas vraiment avancer les choses, qu'est-ce que ça me saoulait et j'avais vraiment envie de me débarrasser de ça. Tu vois, par exemple, Bright, qui est la suite de Switch, on a huit clients, et bien j'ai moi-même créé le groupe WhatsApp, enregistré les huit contacts avec leur numéro de téléphone manuellement et créé le groupe WhatsApp. Ça, c'est le genre de truc j'aurais demandé à ma femme de le faire, de le préparer pour moi avant parce que ça m'insupportait. Et là, j'ai envie d'être plus soigneux, plus métituleux, de prendre soin des choses, de prendre le temps. Il y a vraiment quelque chose qui s'est apaisé. Il n'y a plus cette course pour courir après quelque chose, tu vois. Donc je suis vraiment en train de me sentir plus humble, plus patient, plus soigneux. Et j'aime vraiment bien cette nouvelle expérience que je fais de moi-même, parce que je me sens béni d'être qui je suis, en fait. C'est-à-dire que j'aime mon passé, j'aime mon histoire, j'aime la personne que je suis aujourd'hui, j'aime la réalité du moment, et j'aime voir... Le chemin qui m'attend. Il y aura peut-être des défis dessus, évidemment. Mais ce n'est pas grave, parce que j'ai envie d'aimer le processus d'avancer, d'explorer et d'être moi. Surtout qu'il y a une nouvelle version de moi qui s'est pointée entre-temps, donc c'est vraiment très cool pour moi. Et voilà, et si tu veux, c'était un petit peu ça, la lumière au bout du tunnel, au bout de ce tunnel qu'a été cette année 2024, c'est qu'en prenant compte, pour de vrai, des symptômes physiques, les mauvaises nuits, les insomnies, la fatigue chronique, le fait de s'arracher les cheveux, ça va beaucoup mieux, les extra-systoles, ça fait des semaines que j'en ai plus du tout. Et j'ai pas pris un seul médicament pour ça, je suis pas allé voir un médecin pour ça, juste j'ai pris conscience de ce qui agitait mon mental inconsciemment. Et c'est cette agitation qui crée des symptômes physiques. En me défaisant de tout ça, en fait, et comment je me suis défait de tout ça ? En fait, j'ai libéré les freins invisibles internes. qui créait les raisons d'être, qui créait littéralement les symptômes que je vivais. C'est-à-dire qu'on est allé suffisamment profondément dans l'inconscient pour comprendre quel était le mécanisme interne caché qui créait l'état interne dégueulasse qui, à partir de là... De toute façon, quand tu te sens mal dans tes pompes, quand tu te sens stressé, sous pression, machin, les décisions que tu prends sont merdiques, les actions que tu poses sont dégueulasses, donc tu peux pas t'attendre à avoir des résultats foufous. Donc, libérer mes freins invisibles internes m'ont permis à ce que les ventes repartent, mais vraiment sans rien faire de spécial. C'est-à-dire que j'ai dépensé 10 ou 20 fois moins d'énergie qu'avant et j'ai fait un de mes meilleurs mois de l'année. Mais effectivement, tout ça est parti du fait que j'ai essayé de mettre de la voilure sur mon entreprise à partir des techniques de business que tous les coachs te disent qu'il faut faire. Il faut faire comme si, c'est comme ça que ça marche. Ben non, en fait. Il n'y a pas une seule putain de vérité. Il faut nécessairement respecter ce qui est juste pour soi. Sinon, on est en train de se travestir. pour de l'argent et pour du succès, et on est en train de se perdre en cours de route, on peut même s'oublier, on peut même aller jusqu'à se trahir. Et quand on se trahit trop fort, notre corps nous rappelle à l'ordre, et c'est vraiment ça que moi j'ai vécu. Donc c'est un petit peu ça le message que j'ai envie de te partager ici, c'est de t'écouter, ce que tu ressens dans ton corps, ce que tu ressens dans tes émotions, ce que tu entends dans ta tête, d'observer en fait... on a tous la capacité d'observer ce qu'on pense, ce qu'on ressent, on peut se dire, tiens, je suis en train de ressentir de la colère, je suis en train de ressentir de la joie, tiens, c'est marrant, on dirait que ça fait une heure que je suis en train de me prendre la tête sur une histoire qui n'existe pas, parce que cette conversation n'a pas encore eu lieu, mais on dirait que mon mental a décidé de se faire un scénario catastrophe à propos de cette conversation qui arrive demain ou tout à l'heure, et on dirait qu'il a décidé que ça serait un conflit, alors qu'en fait... Tu sais comme moi que la plupart du temps, on se fait tout un cinéma et il se passe jamais ce qu'on avait imaginé, bref, ce que notre mental avait imaginé. Et en fait, voilà, j'ai simplement réaligné ma trajectoire sur la nature de mon énergie. Léger, joyeux, agile. Et du moment où je travaille là-dessus, léger, joyeux, agile, et ben en fait, tu vois, là je suis en train d'enregistrer des épisodes de podcast pendant les vacances, j'ai envie de le faire. J'ai envie. C'est pas je le fais parce qu'il faut. Je ne sais pas, je le fais parce que j'ai dit que je le ferais, parce que je m'inflige de la discipline. Non, non, non, non. Je le fais parce que j'ai trouvé le moyen d'aimer le chemin, plutôt que de simplement souffrir sur le chemin en attendant le résultat, parce que je me dis que c'est le résultat que je vais aimer. Sauf que tu sais comme moi que lorsque tu vas atteindre le résultat, tu vas faire Bon, c'est super, et maintenant ? Et bien maintenant, soit je suis perdu, je ne sais plus quoi faire de ma vie, soit je me cale un autre résultat et je me réengage dans un chemin de souffrance, de labeur. de contraintes, de douleurs. Et voilà. Donc, c'est vraiment une proposition de voir les choses différemment. Encore une fois, la souffrance n'est pas nécessaire, le bonheur est gratuit. Le bonheur est gratuit, c'est la phrase que j'ai identifiée avec Elsa au printemps 24. Le bonheur est gratuit, ça signifie qu'il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Il n'y a pas de prix à payer. Ça veut dire qu'il n'y a pas de sacrifice à faire, il n'y a pas de... Il n'y a pas de je vais devoir payer ce prix-là, je vais devoir souffrir, galérer, pas dormir, me lever tôt, me coucher tard, investir Non, non, non, non, non, non, non. Le bonheur est gratuit. Il n'y a pas de prix à payer pour être heureux. Alors, par contre, évidemment, je suis là tout de suite, je ne suis pas arrivé nulle part. Je te partage juste mon année 2024, les prises de conscience supplémentaires qui ont été les miennes. J'aurais peut-être l'occasion de te partager celles qui ont été... dans les années précédentes, mais en tout cas c'était ça le sujet du jour. Je suis encore en train d'apprendre et de progresser sur mon chemin. Je ne suis pas arrivé nulle part en train de te dire fais comme moi, tu vas voir, ça va marcher. Je te partage juste ce qui a marché pour moi, vois ce qui résonne, laisse ce qui ne résonne pas. Et voilà, par contre, ce que je peux faire, c'est que je peux te montrer comment connaître la nature de ton énergie, comment la clarifier, l'identifier, de manière à aligner ton expérience professionnelle, ta trajectoire professionnelle dessus. Que tu sois la ré...... que tu sois salarié à ton compte, influenceur sur les réseaux sociaux, athlète de haut niveau, personnalité publique, politique, peu importe, tu peux très bien aligner ta trajectoire professionnelle sur ton épanouissement personnel. Et je suis même en train de croire, pas juste là, mais je crois, j'ai cette conviction, qu'il n'y a que comme ça que tu peux vraiment kiffer ta vie. Parce que si tu n'alignes pas ton épanouissement personnel et ton accomplissement professionnel, tu es en train de faire soit l'un soit l'autre. Et tu reviens à il y a un prix à payer C'est soit je m'occupe de moi, soit je m'occupe de ma carrière, mais je ne peux pas faire les deux. Soit je m'occupe de ma carrière et je m'occupe de moi, mais c'est ma relation avec ma femme ou mon mari, c'est ma relation avec mes enfants qui va être le prix qui va être à payer. Et quand le prix à payer est trop lourd, c'est-à-dire quand tu te dis putain, j'ai eu du succès dans ma carrière, mais alors putain, à quel prix ? C'est un peu dommage, parce qu'en fait... Tout ça vient uniquement du fait qu'il y a une culture populaire qui existe depuis des lustres, depuis plusieurs décennies, peut-être même plus que ça, qui dit qu'il faut sacrifier des trucs pour avoir du succès, il faut en chier pour réussir, il faut nécessairement payer un prix à un endroit. Et en fait, non, absolument pas. Donc, voilà, c'était le message d'ici aujourd'hui. Je t'invite à prendre contact si tu veux qu'on regarde à l'occasion d'un premier rendez-vous informel, comme ça, une simple discussion, si tu veux qu'un médium d'affaires puisse regarder quels seraient pour toi aussi les écarts et la tension qui résident entre qui tu es vraiment et qui tu crois que tu as besoin d'être aujourd'hui. Si tu as envie de rendre ton chemin professionnel plus agréable, plus fluide, plus facile, plus épanouissant, plus vibrant, plus nourrissant, Peut-être qu'on devrait se parler. Voilà, je te laisse là-dessus. Et puis, je te dis à très bientôt dans un prochain épisode. Ciao !

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