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Démocratie et libéralisme. Avec Michaël Fœssel et Justine Lacroix cover
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L'esprit du temps

Démocratie et libéralisme. Avec Michaël Fœssel et Justine Lacroix

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49min |19/04/2024
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Description

Faut-il rejeter le libéralisme ou les libéraux pour défendre la démocratie et le peuple ? Mais à l’inverse, peut-on fonder une politique commune sans la liberté qui se conquiert face à l’État, au principe majoritaire et au risque autoritaire qui persiste et ressurgit, ici et ailleurs ?

Michaël Foessel et Justine Lacroix, philosophes, conseillers de la rédaction de la revue Esprit, sont revenus aux origines intellectuelles du libéralisme pour ausculter la place de la liberté dans une démocratie. La liberté est alors une condition et non une donnée première, et la démocratie, le lieu de la pluralité du politique. 

Cette discussion animée par Matthieu Febvre-Issaly, membre du comité de rédaction de la revue Esprit, a eu lieu le 9 février 2024 dans le cadre du séminaire de Philosophie de la justice de l’École nationale de la magistrature. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Faut-il rejeter le libéralisme ou les libéraux pour défendre la démocratie et le peuple ? Mais à l’inverse, peut-on fonder une politique commune sans la liberté qui se conquiert face à l’État, au principe majoritaire et au risque autoritaire qui persiste et ressurgit, ici et ailleurs ?

Michaël Foessel et Justine Lacroix, philosophes, conseillers de la rédaction de la revue Esprit, sont revenus aux origines intellectuelles du libéralisme pour ausculter la place de la liberté dans une démocratie. La liberté est alors une condition et non une donnée première, et la démocratie, le lieu de la pluralité du politique. 

Cette discussion animée par Matthieu Febvre-Issaly, membre du comité de rédaction de la revue Esprit, a eu lieu le 9 février 2024 dans le cadre du séminaire de Philosophie de la justice de l’École nationale de la magistrature. 


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Faut-il rejeter le libéralisme ou les libéraux pour défendre la démocratie et le peuple ? Mais à l’inverse, peut-on fonder une politique commune sans la liberté qui se conquiert face à l’État, au principe majoritaire et au risque autoritaire qui persiste et ressurgit, ici et ailleurs ?

Michaël Foessel et Justine Lacroix, philosophes, conseillers de la rédaction de la revue Esprit, sont revenus aux origines intellectuelles du libéralisme pour ausculter la place de la liberté dans une démocratie. La liberté est alors une condition et non une donnée première, et la démocratie, le lieu de la pluralité du politique. 

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Faut-il rejeter le libéralisme ou les libéraux pour défendre la démocratie et le peuple ? Mais à l’inverse, peut-on fonder une politique commune sans la liberté qui se conquiert face à l’État, au principe majoritaire et au risque autoritaire qui persiste et ressurgit, ici et ailleurs ?

Michaël Foessel et Justine Lacroix, philosophes, conseillers de la rédaction de la revue Esprit, sont revenus aux origines intellectuelles du libéralisme pour ausculter la place de la liberté dans une démocratie. La liberté est alors une condition et non une donnée première, et la démocratie, le lieu de la pluralité du politique. 

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