À l’heure de la division et de la peur, peut-on repousser le réconfort apporté par la poésie ? Ce serait dommage… D’autant plus que la poésie ne se contente pas de nous réconforter. Elle nous dit de lutter. Au nom de l’amour. La poésie sans cesse ramène à cet essentiel : ces liens qu’on tisse, ce cœur qui ne demande qu’à s’agrandir pour s’ouvrir à l’altérité, faire l’expérience d’une rencontre avec qui se révéler et cheminer. L’amour appelle à sortir de l’isolement, des a priori – s’émerveiller d’un sourire inconnu, d’un visage troublant, d’un être humain qui a son propre mode de fonctionnement, son unique carte du monde, ses convictions intimes. Accepter le bouleversement. Se dépasser pour être à la hauteur de cet élan. Grâce à l’amour, grâce aux personnes aimées, la vie devient plus étrange et plus vaste, plus déroutante et plus enthousiasmante, toujours plus riche d’espérance.Avec Paul Éluard & Suzanne Rault-Balet, plongez dans une poésie qui encourage l’ardeur, qui nourrit la lumière, qui invite à rayonner avec passion, générosité et tendresse.Fermez les yeux ...... Écoutez cette poésie enflammée et revigorante “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.  Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes.Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .  Et retrouvez-moi sur :Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/)Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/) LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer)  Pour en savoir plus sur mon travail, rendez-vous sur mon site : www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/)  Conception et lecture : Mathilde VERMEREnregistrement et Montage : Mickaël GIUNTADesign graphique : Adèle LAPARRA Accompagnement podcast : Collectif Pousse - Caroline FRANQUET Photo : Leonard Freed, Netherlands, 1964  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La saison 4 se finit avec cet épisode. Pour célébrer cette saison intense, j’ai imaginé cet épisode comme un cri du cœur, comme une déclaration d’amour.      La poésie pour se réchauffer, s’abriter, se restaurer des froids passés et présents. La poésie comme botte secrète pour accueillir le monde tel qu’il est, dans toutes ses teintes. La poésie permet une distance salutaire, un apaisement, une réconciliation avec le réel.     Dans cet épisode, je lis 5 plumes ultra-contemporaines, toutes éditées par Bruno Doucey, fabuleux dénicheur d’écritures sensibles : Sofia Karampali Farhat, Martin Page, Laura Lutard, Imasango et Moon Chung-Hee. Il est question de changer le plomb en or, il est question de confiance et de lumière, il est question d’alliances intimes pour continuer à alimenter la foi en l’humanité.      Une poésie ardente, puissante, fédératrice. A écouter sans modération !     Fermez les yeux...    ... Laissez cette poésie vous montrer comment reprendre des forces…      “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.     Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes.     Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure#_blank) .      Et retrouvez-moi sur :  Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/#_blank)  Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/#_blank)   LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer#_blank)   Pour en savoir plus sur mon travail et vous abonner à ma newsletter,  RDV sur mon site www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/#_blank)     Conception et lecture : Mathilde VERMER  Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA  Design graphique : Adèle LAPARRA   Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET  Diffusion réseaux sociaux : Cynthia BAILLY      Photo de Bess Hamiti, 2016   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Par hasard, dans une librairie sur le Vieux-Port, j’ai découvert un volume de Louis Brauquier, intitulé « Je connais des iles lointaines ». Dans ses écrits, il raconte ses voyages et chante son attachement à son port d’origine, Marseille. Des textes aux parfums d’ici et d’ailleurs : un régal.      En le lisant, a cheminé en moi une réflexion sur le besoin de partir. Qu’est-ce qui pousse un être humain à tenter l’aventure sur d’autres continents ? Et quelle place donner aux aimés quand on les quitte ? Comment se débrouiller ensuite avec l’absence et le manque ?     D’un poème à l’autre, j’ai cherché des réponses. Et c’est dans les mots de Sybille Orlandi, une poétesse d’aujourd’hui, que j’ai trouvé des pistes. Le voyage comme métaphore, source d’imprévus et d’éblouissements. Le périple nous transforme, puis nous ramène vers une exploration intérieure et philosophique. Le grand cheminement au fond, c’est celui de l’âme.     Une poésie qui nourrit le territoire de vos profondeurs. Un bonheur !     Fermez les yeux...    ... Laissez cette poésie vous emmener en voyage…     “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.     Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes.     Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .      Et retrouvez-moi sur :  Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/#_blank)  Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/#_blank)   LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer#_blank)   Pour en savoir plus sur mon travail et vous abonner à ma newsletter, RDV sur mon site www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/#_blank)     Conception et lecture : Mathilde VERMER  Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA  Design graphique : Adèle LAPARRA   Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET  Diffusion réseaux sociaux : Cynthia BAILLY     Photo de Peter Simmons, « Bateau à Voile », 2014   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Connaissez-vous la poétesse Alejandra Pizarnik, née en 1936 à Buenos Aires ? Éprise de ses écrits, j’ai passé l’été à lire et relire ses poèmes – avant de les murmurer au micro. Des mots poignants, qui laissent de la place aux émotions, à la soif de sens, au désir de beauté. Des mots qui, dans le même temps, serrent le cœur et l’ouvrent grand au vertige du cosmos.     Pour cet épisode, restant dans la logique de la saison 4, dans l’optique yin yang, je vous propose en dialogue la prose d’un poète actuel, qui est aussi le chanteur du groupe « Feu! Chatterton » : Arthur Teboul. La dimension onirique de ses textes semble tomber à pic pour cette conversation poétique, au-delà de l’espace et du temps.     Il y a aussi des échos entre les thématiques abordées par Alejandra et Arthur. Une forme de nostalgie peut-être, qu’ils attrapent chacun à leur manière. La tristesse, l’absurdité de la vie, le poète en accuse réception, pour mieux les esquiver. Il propose une poésie de la nonchalance, comme une manière irrévérencieuse de résister. Et les chagrins semblent alors s’alléger.      Quand novembre nous enferme dans sa grisaille, dans les phrases lumineuses de ce duo, je trouve des amis, des alliés, des âmes avec qui passer quelques douces minutes. Écoutez-les !      Fermez les yeux...   ... Laissez cette poésie caresser votre joue.     “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.     Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes.     Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .      Et retrouvez-moi sur :  Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/#_blank)  Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/#_blank)   LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer#_blank)   Pour en savoir plus sur mon travail et vous abonner à ma newsletter, RDV sur mon site www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/#_blank)     Conception et lecture : Mathilde VERMER  Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA  Design graphique : Adèle LAPARRA   Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET  Diffusion réseaux sociaux : Cynthia BAILLY     PHOTO : “The moon from Beirut, Lebanon”, Myriam Boulos, Magnum Photos, 2020   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Des rêveurs ? En dehors du fracas du monde ? Au contraire, je crois que les poètes sont des artistes lucides, portés par des idéaux de liberté, animés par une vision humaniste et généreuse. Leurs mots donnent du courage pour aborder le réel, dans toute sa complexité.     Ainsi, dans l’épisode de cette semaine, je vous lis deux voix poétiques enflammées, dont les écrits véhiculent des convictions d’égalité et de respect. Fidèle à la ligne de la saison 4 de ce podcast, vous entendrez les textes d’un auteur du 20ème siècle, Aimé Césaire, et d’une autrice du 21ème siècle, Lisette Lombé.     Dans leurs poèmes, on entend le refus de la violence et de la haine. Rompre avec les mythes tenaces, montrer l’ignorance derrière les préjugés, faire bouger les lignes et construire des ponts… Des phrases qui donnent frissons et force !        Fermez les yeux...   ... Laissez cette poésie nourrir votre courage.     “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.     Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes.    Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .      Et retrouvez-moi sur :  Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/#_blank)  Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/#_blank)   LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer#_blank)   Pour en savoir plus sur mon travail et vous abonner à ma newsletter, RDV sur mon site www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/#_blank)     Conception et lecture : Mathilde VERMER  Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA  Design graphique : Adèle LAPARRA   Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET     Photo par Helen Levitt: Two children dancing in New York, 1945   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chers auditeurs & auditrices, quel plaisir de revenir dans vos oreilles après des semaines d’interruption. Pour cet épisode, je commence en vous lisant un court poème, simple et puissant, de René Guy Cadou. Revenir au micro en parlant d’amour, en parlant de la vie, en vous transmettant la chaleur des mots échangés par un couple amoureux : quelle joie !      Je vous ferai entendre ensuite les textes sublimes de sa femme, Hélène, dont l’œuvre épurée, poignante, ouverte sur le monde, colle parfaitement à notre époque.     Oui, l’amour donne goût à la vie, l’amour change la vie, dans une boucle infinie que chaque personne est invitée à expérimenter… Entre l’amour et la vie, il y a la poésie - qui illumine le réel, qui lutte contre nos tendances à tout peindre en noir.      Dans cet épisode de septembre, il sera donc question de puiser dans nos ressources d’amour, celui qu’on donne, celui qu’on reçoit, pour avancer avec confiance vers l’horizon. Des textes pour soutenir l’élan de votre cœur.     Fermez les yeux...   ... Savourez cette bulle de poésie immortelle.     “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.     Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes.     Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .      Et retrouvez-moi sur :  Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/#_blank)  Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/#_blank)   LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer#_blank)   Pour en savoir plus sur mon travail et vous abonner à ma newsletter,   RDV sur mon site www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/#_blank)     Conception et lecture : Mathilde VERMER  Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA  Design graphique : Adèle LAPARRA   Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET     Photo par Hannah SHEA, 2020   Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Parfois, il y a des textes dans lesquels je n’arrive pas à rentrer. Ce fut le cas pendant longtemps avec les poèmes de René Char. J’avais envie de découvrir cet écrivain, à cause de sa trajectoire, à cause de sa place singulière sur la scène littéraire française – mais à chaque lecture, le sens m’échappait et j’étais déboussolée. Pour cette saison 4, je ne voulais pas passer à nouveau à côté du poète. Alors je suis revenue à ce que je dis : pas besoin de comprendre la poésie. Il suffit de se laisser porter par une musique, des images, une fugace émotion… J’ai repris les recueils, lire et relire, laisser le charme opérer. Et il a opéré – avec panache. Dans ce 5ème épisode de la saison 4, je vous fais part de mes trouvailles étincelantes, et je vous lis en écho les mots intenses de Vénus Khoury-Ghata. Il sera question de secrets, de vérité, de langage, de douleur, d’amour : tous les ingrédients qui constituent une poésie salvatrice. Un épisode puissant pour cheminer et tenir debout. Fermez les yeux...  ... Écoutez ces bribes de poésie enchantée. “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.    Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes. Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .  Et retrouvez-moi sur : Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/) Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/)  LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer)  Pour en savoir plus sur mon travail et vous abonner à ma newsletter, RDV sur mon site www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/) Conception et lecture : Mathilde VERMER Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA Design graphique : Adèle LAPARRA  Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET Photo : “Fastnet, April 1995”, Mark Power / Magnum Photos, Série « The Shipping Forecast »  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans la poésie de Christian Bobin, dans ses fragments aux accents contemplatifs, on lit un amour si vaste, une invitation au recueillement, une ouverture vers un chemin qui nous rapproche du ciel et de la terre, l’un n’allant pas sans l’autre. Chez Bobin, je perçois une compréhension singulière de l’existence : il aime la vie autant dans sa douceur que dans sa brutalité. Il est le poète de la lumière, celui qui nous montre une voie inattendue de résilience, dans une ouverture totale à ce qui est. Bobin est mort en 2022 : j’avais envie de donner à entendre ses mots dans le podcast, de prolonger ainsi sa présence. Mais que dis-je ? Il est présent dans les écrits qu’il nous laisse ! Je pense aussi à lui en dévorant une poétesse qui habite de l’autre côté de l’Atlantique : Louise Dupré. Cette autrice québécoise, qui publie des romans et des recueils de poésie, propose dans son dernier ouvrage, aux éditions Bruno Doucey, des « Exercices de Joie » - comme une réponse à la dévastation du monde. Dans l’épisode d’aujourd’hui, je vous lis une poésie qui apporte du réconfort, pour toutes les situations où notre cœur se brise, désespère, enrage, angoisse… Une poésie qui tient compte du réel parfois terrible, qui nous murmure tendrement des paroles de consolation. Fermez les yeux...  ... Écoutez cette poésie du réconfort. “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.  Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes. Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .  Et retrouvez-moi sur : Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/) Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/)  LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer)  Pour en savoir plus sur mon travail et vous abonner à ma newsletter, rendez-vous sur mon site : www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/)  Conception et lecture : Mathilde VERMER Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA Design graphique : Adèle LAPARRA  Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Ce qui me plait, dans la poésie de Jacques Prévert, c’est qu’elle n’a pas pris une ride, elle garde cet aspect « sur le vif ». Comme un croquis griffonné en quelques coups de crayons. Dans son écriture, avec humour, il mélange ses observations des gens, ses convictions humanistes, ses idéaux de fraternité. Sa perspicacité, presque 50 ans après sa mort, me semble toujours aussi percutante. Je suis heureuse de faire entendre ses mots dans le podcast. De même que je suis ravie de vous faire découvrir la poésie de Gaëlle Josse, une autrice que j’aime retrouver de roman en roman. Je ressens, dans sa façon d’écrire, cette spontanéité que j’apprécie tant chez Jacques. Et même si le style est très différent, je retrouve dans sa poésie à elle des reflets de nos existences, de la tendresse, une attention à l’enfance qui me font penser à lui. Dans l’épisode d’aujourd’hui, je vous propose donc une partie de ping-pong entre deux âmes sensibles, qui nous poussent à changer de regard, rire du quotidien, chercher l’émerveillement encore et toujours… Un épisode pour se sentir pleinement vivant.e ! “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.   Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes. Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .  Et retrouvez-moi sur : Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/) Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/)  LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer)  Pour en savoir plus sur mon travail,  et recevoir ma newsletter, rendez-vous sur mon site :  www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/)  Conception et lecture : Mathilde VERMER Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA Design graphique : Adèle LAPARRA  Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET Photo : Christopher Anderson, Door with reflection, New-York, USA, 2010 , Magnum Photos Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Faut-il présenter Guillaume Apollinaire ? Les enfants adorent s’emparer de ses calligrammes malicieux, les ados pillent ses poèmes amoureux et sensuels, les artistes s’inspirent de sa fantaisie joyeuse, de son imaginaire fertile, de son talent pour bousculer les codes.   Moi, je rencontre le poète grâce au roman génial des sœurs Berest : « Gabriële ». Dans ce récit virevoltant, Anne et Claire raconte leur arrière-grand-mère, une musicienne libre, brillante, qui dans le Paris de la Belle-Époque, mène un dialogue artistique intense avec peintres et poètes. Dans le livre, Apollinaire est dépeint comme rieur, audacieux, passionné : un homme extrêmement vivant, avec qui les soirées devaient être follement amusantes.   Dans l’épisode d’aujourd’hui, j’ai imaginé une conversation entre Apollinaire et Rim Battal, une poétesse actuelle qui a le même sens de l’audace, du jeu, de la passion… Allez écouter leur échange pétillant, rejoignez-les pour une danse endiablée ! “La poésie ne s’enseigne pas, elle s’écoute, se vit et s’en va”.    Abonnez-vous pour écouter les prochains épisodes. Soutenez le podcast sur Tipeee (https://fr.tipeee.com/mathilde-vermer-auteure) .  Et retrouvez-moi sur : Facebook (https://www.facebook.com/MathildeVermerAuteure/) Instagram (https://www.instagram.com/mathildevermer/)  LinkedIn (https://www.linkedin.com/in/mathildevermer)  Pour en savoir plus sur mon travail, rendez-vous sur mon site : www.mathildevermer.fr (https://www.mathildevermer.fr/)  Conception et lecture : Mathilde VERMER Enregistrement et Montage : Mickaël GIUNTA Design graphique : Adèle LAPARRA  Accompagnement podcast : Caroline FRANQUET Photo : Robert Doisneau, Tricot sur berge, 1951 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.