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Premier petit pas dans l'hypnose du corps, découvrez l'importance des "postulats" et commencez à vous libérer !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bienvenue sur Eino, l'hypnose du corps, le grand renverseau. Aujourd'hui, l'intitulé est Postures. Madame Cathy Byron a travaillé beaucoup, a beaucoup questionné les gens sur est-ce que réellement c'est comme ça qu'ils voyaient les choses ? C'est-à-dire qu'il y a ce qu'on appelle des postulats, c'est-à-dire des choses qui nous paraissent évidentes, des choses qu'on ne questionne pas. Dans la vie, on ne va pas passer son temps à se prendre la tête, à tout questionner. Simplement, lorsque quelqu'un ne va pas bien, c'est toujours intéressant pour lui de questionner des choses. Alors, il y a plusieurs niveaux de questionnement. Il y a un questionnement par rapport à ce qu'on fait. Est-ce qu'on fait les choses par choix ? Est-ce que ça a un sens pour nous ? Ou est-ce qu'en fait, on les fait par habitude ? Bon, il y a comment on voit les choses. C'est-à-dire, pour beaucoup de gens, les choses sont comme ça. C'est comme ça que c'est. Un point, c'est tout et ce n'est pas du tout. questionnable. Et puis, il y a plus en profondeur. Il y a, est-ce que ce que je ressens, en fait, je le ressens parce que réellement, c'est ma réaction intime à ce qui se passe ou est-ce qu'en fait, c'est un programme ? Et là, c'est autre chose. C'est-à-dire qu'en fait, je suis agi par quelque chose. François Roustan avait une question qui revenait tout le temps, c'était, mais qu'est-ce que ça peut bien faire ? C'est-à-dire que des gens réagissent. comme ils sont programmés pour le faire et non pas comme réellement ils le ressentent. J'ai même reçu quelqu'un qui est venu me voir qui se sentait coupable parce que sa mère était décédée et en fait elle n'en avait rien à faire. Elle se sentait coupable d'en avoir rien à faire parce que le postulat c'est que lorsque notre mère décède, on doit aller mal. Attention, je ne dis pas qu'il faut ne pas aller mal. Ce que je dis, c'est qu'à chacun de réagir à sa genuse de façon, et je n'ai pas d'a priori sur comment il faudrait réagir. Et la personne se sentait mal parce qu'elle ne réagissait pas tel qu'elle pensait qu'il faudrait réagir. Il y a des tas de gens qui sont dans un... Par exemple, un monsieur qui est venu me voir et qui me disait « Ma femme m'a trompé, je suis anéanti. » Oui, d'accord, ok, on va travailler là-dessus. Et en fait, quand les choses ont été un petit peu questionnées, un petit peu décortiquées, il s'est aperçu qu'en fait, il n'en avait rien à faire. Il réagissait, il y avait un programme qui réagissait dans lui, qui était dans ce type de situation, c'est comme ça qu'il faut réagir. Mais en fait, lui, lui, il n'en avait rien à faire. Il y a des tas de gens qui auraient été réellement anéantis, ça aurait été leur réaction. Vous voyez, il y a des postulats partout. C'est très très intéressant de se poser la question de « mais qu'est-ce que j'en ai à faire ? » « Est-ce que pour moi, qu'est-ce que ça peut bien faire ? Est-ce que pour moi c'est important ou pas ? » Et puis il y a plein de postulats qui vont venir gêner notre façon d'aborder le fait d'aller mal. En psy, on nous apprend que les symptômes ont un sens. Ah bon ? Ça sort, c'est un postulat. On nous apprend que c'est dans la tête que ça se passe. D'où ça sort ? C'est un postulat aussi. Et on nous apprend aussi que pour aller bien, il faut comprendre pourquoi on va mal. Pareil, postulat. Voilà. Je voudrais comprendre pourquoi je vais mal. Ah bon, vous voulez comprendre ça, mais peut-être que ce serait mieux de vous débarrasser de ce qui fait que vous allez mal, même si vous ne comprenez pas. Ah bon, on peut aller bien sans comprendre pourquoi on allait mal. On peut aussi. Et puis, on peut aussi interpréter pourquoi vous allez mal de différentes façons. Il y a plein de choses qui sont possibles. Voilà. Je vous invite, dans votre quotidien, à réfléchir à toute cette histoire de... postulat et est-ce que c'est réellement vous ou est-ce que en fait vous êtes coincé dans un postulat qui vous empêche d'ouvrir le champ des possibles ? Voilà, à bientôt, au revoir !
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Bienvenue sur Eino, l'hypnose du corps, le grand renverseau. Aujourd'hui, l'intitulé est Postures. Madame Cathy Byron a travaillé beaucoup, a beaucoup questionné les gens sur est-ce que réellement c'est comme ça qu'ils voyaient les choses ? C'est-à-dire qu'il y a ce qu'on appelle des postulats, c'est-à-dire des choses qui nous paraissent évidentes, des choses qu'on ne questionne pas. Dans la vie, on ne va pas passer son temps à se prendre la tête, à tout questionner. Simplement, lorsque quelqu'un ne va pas bien, c'est toujours intéressant pour lui de questionner des choses. Alors, il y a plusieurs niveaux de questionnement. Il y a un questionnement par rapport à ce qu'on fait. Est-ce qu'on fait les choses par choix ? Est-ce que ça a un sens pour nous ? Ou est-ce qu'en fait, on les fait par habitude ? Bon, il y a comment on voit les choses. C'est-à-dire, pour beaucoup de gens, les choses sont comme ça. C'est comme ça que c'est. Un point, c'est tout et ce n'est pas du tout. questionnable. Et puis, il y a plus en profondeur. Il y a, est-ce que ce que je ressens, en fait, je le ressens parce que réellement, c'est ma réaction intime à ce qui se passe ou est-ce qu'en fait, c'est un programme ? Et là, c'est autre chose. C'est-à-dire qu'en fait, je suis agi par quelque chose. François Roustan avait une question qui revenait tout le temps, c'était, mais qu'est-ce que ça peut bien faire ? C'est-à-dire que des gens réagissent. comme ils sont programmés pour le faire et non pas comme réellement ils le ressentent. J'ai même reçu quelqu'un qui est venu me voir qui se sentait coupable parce que sa mère était décédée et en fait elle n'en avait rien à faire. Elle se sentait coupable d'en avoir rien à faire parce que le postulat c'est que lorsque notre mère décède, on doit aller mal. Attention, je ne dis pas qu'il faut ne pas aller mal. Ce que je dis, c'est qu'à chacun de réagir à sa genuse de façon, et je n'ai pas d'a priori sur comment il faudrait réagir. Et la personne se sentait mal parce qu'elle ne réagissait pas tel qu'elle pensait qu'il faudrait réagir. Il y a des tas de gens qui sont dans un... Par exemple, un monsieur qui est venu me voir et qui me disait « Ma femme m'a trompé, je suis anéanti. » Oui, d'accord, ok, on va travailler là-dessus. Et en fait, quand les choses ont été un petit peu questionnées, un petit peu décortiquées, il s'est aperçu qu'en fait, il n'en avait rien à faire. Il réagissait, il y avait un programme qui réagissait dans lui, qui était dans ce type de situation, c'est comme ça qu'il faut réagir. Mais en fait, lui, lui, il n'en avait rien à faire. Il y a des tas de gens qui auraient été réellement anéantis, ça aurait été leur réaction. Vous voyez, il y a des postulats partout. C'est très très intéressant de se poser la question de « mais qu'est-ce que j'en ai à faire ? » « Est-ce que pour moi, qu'est-ce que ça peut bien faire ? Est-ce que pour moi c'est important ou pas ? » Et puis il y a plein de postulats qui vont venir gêner notre façon d'aborder le fait d'aller mal. En psy, on nous apprend que les symptômes ont un sens. Ah bon ? Ça sort, c'est un postulat. On nous apprend que c'est dans la tête que ça se passe. D'où ça sort ? C'est un postulat aussi. Et on nous apprend aussi que pour aller bien, il faut comprendre pourquoi on va mal. Pareil, postulat. Voilà. Je voudrais comprendre pourquoi je vais mal. Ah bon, vous voulez comprendre ça, mais peut-être que ce serait mieux de vous débarrasser de ce qui fait que vous allez mal, même si vous ne comprenez pas. Ah bon, on peut aller bien sans comprendre pourquoi on allait mal. On peut aussi. Et puis, on peut aussi interpréter pourquoi vous allez mal de différentes façons. Il y a plein de choses qui sont possibles. Voilà. Je vous invite, dans votre quotidien, à réfléchir à toute cette histoire de... postulat et est-ce que c'est réellement vous ou est-ce que en fait vous êtes coincé dans un postulat qui vous empêche d'ouvrir le champ des possibles ? Voilà, à bientôt, au revoir !
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Bienvenue sur Eino, l'hypnose du corps, le grand renverseau. Aujourd'hui, l'intitulé est Postures. Madame Cathy Byron a travaillé beaucoup, a beaucoup questionné les gens sur est-ce que réellement c'est comme ça qu'ils voyaient les choses ? C'est-à-dire qu'il y a ce qu'on appelle des postulats, c'est-à-dire des choses qui nous paraissent évidentes, des choses qu'on ne questionne pas. Dans la vie, on ne va pas passer son temps à se prendre la tête, à tout questionner. Simplement, lorsque quelqu'un ne va pas bien, c'est toujours intéressant pour lui de questionner des choses. Alors, il y a plusieurs niveaux de questionnement. Il y a un questionnement par rapport à ce qu'on fait. Est-ce qu'on fait les choses par choix ? Est-ce que ça a un sens pour nous ? Ou est-ce qu'en fait, on les fait par habitude ? Bon, il y a comment on voit les choses. C'est-à-dire, pour beaucoup de gens, les choses sont comme ça. C'est comme ça que c'est. Un point, c'est tout et ce n'est pas du tout. questionnable. Et puis, il y a plus en profondeur. Il y a, est-ce que ce que je ressens, en fait, je le ressens parce que réellement, c'est ma réaction intime à ce qui se passe ou est-ce qu'en fait, c'est un programme ? Et là, c'est autre chose. C'est-à-dire qu'en fait, je suis agi par quelque chose. François Roustan avait une question qui revenait tout le temps, c'était, mais qu'est-ce que ça peut bien faire ? C'est-à-dire que des gens réagissent. comme ils sont programmés pour le faire et non pas comme réellement ils le ressentent. J'ai même reçu quelqu'un qui est venu me voir qui se sentait coupable parce que sa mère était décédée et en fait elle n'en avait rien à faire. Elle se sentait coupable d'en avoir rien à faire parce que le postulat c'est que lorsque notre mère décède, on doit aller mal. Attention, je ne dis pas qu'il faut ne pas aller mal. Ce que je dis, c'est qu'à chacun de réagir à sa genuse de façon, et je n'ai pas d'a priori sur comment il faudrait réagir. Et la personne se sentait mal parce qu'elle ne réagissait pas tel qu'elle pensait qu'il faudrait réagir. Il y a des tas de gens qui sont dans un... Par exemple, un monsieur qui est venu me voir et qui me disait « Ma femme m'a trompé, je suis anéanti. » Oui, d'accord, ok, on va travailler là-dessus. Et en fait, quand les choses ont été un petit peu questionnées, un petit peu décortiquées, il s'est aperçu qu'en fait, il n'en avait rien à faire. Il réagissait, il y avait un programme qui réagissait dans lui, qui était dans ce type de situation, c'est comme ça qu'il faut réagir. Mais en fait, lui, lui, il n'en avait rien à faire. Il y a des tas de gens qui auraient été réellement anéantis, ça aurait été leur réaction. Vous voyez, il y a des postulats partout. C'est très très intéressant de se poser la question de « mais qu'est-ce que j'en ai à faire ? » « Est-ce que pour moi, qu'est-ce que ça peut bien faire ? Est-ce que pour moi c'est important ou pas ? » Et puis il y a plein de postulats qui vont venir gêner notre façon d'aborder le fait d'aller mal. En psy, on nous apprend que les symptômes ont un sens. Ah bon ? Ça sort, c'est un postulat. On nous apprend que c'est dans la tête que ça se passe. D'où ça sort ? C'est un postulat aussi. Et on nous apprend aussi que pour aller bien, il faut comprendre pourquoi on va mal. Pareil, postulat. Voilà. Je voudrais comprendre pourquoi je vais mal. Ah bon, vous voulez comprendre ça, mais peut-être que ce serait mieux de vous débarrasser de ce qui fait que vous allez mal, même si vous ne comprenez pas. Ah bon, on peut aller bien sans comprendre pourquoi on allait mal. On peut aussi. Et puis, on peut aussi interpréter pourquoi vous allez mal de différentes façons. Il y a plein de choses qui sont possibles. Voilà. Je vous invite, dans votre quotidien, à réfléchir à toute cette histoire de... postulat et est-ce que c'est réellement vous ou est-ce que en fait vous êtes coincé dans un postulat qui vous empêche d'ouvrir le champ des possibles ? Voilà, à bientôt, au revoir !
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