#101 - Julien Malzieu, de hauts et de bas - La Vie pleine cover
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La Cravate

#101 - Julien Malzieu, de hauts et de bas - La Vie pleine

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2h36 |30/11/2023
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Description

Petit Auvergnat, Julien grandit du côté du Puy en Velay, dans une famille où le foot était légion ! C'est pourtant dans cette ville qu'après s'être essayé à différents sports, il arrive au rugby à l’âge de 12 ans. 

D'abord n°8 dans les catégories jeune, il attire l'œil des recruteurs Clermontois qui parviennent à l'enrôler à sa majorité. Il bascule alors très rapidement chez les 3/4 et sa carrière commence à prendre son envol entre sélections avec France -19 et premières apparitions en Pro. 

Régulièrement appelé avec France 7, il est même élu en 2005, "Meilleur Joueur" du Tournoi de Paris que la France réussit l'exploit de remporter. 

L'année suivante, l'arrivée de Vern Cotter dans le Puy de Dôme coïncide avec l'éclosion au plus haut niveau de celui qui est surnommé "Zen" (et pas uniquement pour le flegme qui le caractérise).

D'immenses déceptions en grands titres, de blessures en réussites, Julien a grandi et évolué avec la génération dorée Clermontoise !

Capé à 20 reprises avec le XV de France, il fût un acteur majeur du Grand Chelem de 2010 ! D'ailleurs, la même année, il remporte le premier Brennus de l'ASM après 10 finales perdues. 

Mais, minée par un corps qui le lâchait trop souvent, sa dernière partie de carrière l'aura vu quitter le bercail pour tenter de se relancer du coté de Montpellier. 

Finalement à la retraite sportive depuis 2017, il est resté dans le coin, et s'occupe dorénavant de sa petite famille. 

J'ai vraiment passé un super moment avec Julien : de prime abord nonchalant, il a pourtant oublié d'être bête et a su se mettre à l'abri durant sa carrière. Il peut gérer sereinement l'après et faire ce qu'il aime, loin du monde du rugby.   

Bonne écoute !

-----------------------------

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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L'année suivante, l'arrivée de Vern Cotter dans le Puy de Dôme coïncide avec l'éclosion au plus haut niveau de celui qui est surnommé "Zen" (et pas uniquement pour le flegme qui le caractérise).

D'immenses déceptions en grands titres, de blessures en réussites, Julien a grandi et évolué avec la génération dorée Clermontoise !

Capé à 20 reprises avec le XV de France, il fût un acteur majeur du Grand Chelem de 2010 ! D'ailleurs, la même année, il remporte le premier Brennus de l'ASM après 10 finales perdues. 

Mais, minée par un corps qui le lâchait trop souvent, sa dernière partie de carrière l'aura vu quitter le bercail pour tenter de se relancer du coté de Montpellier. 

Finalement à la retraite sportive depuis 2017, il est resté dans le coin, et s'occupe dorénavant de sa petite famille. 

J'ai vraiment passé un super moment avec Julien : de prime abord nonchalant, il a pourtant oublié d'être bête et a su se mettre à l'abri durant sa carrière. Il peut gérer sereinement l'après et faire ce qu'il aime, loin du monde du rugby.   

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D'abord n°8 dans les catégories jeune, il attire l'œil des recruteurs Clermontois qui parviennent à l'enrôler à sa majorité. Il bascule alors très rapidement chez les 3/4 et sa carrière commence à prendre son envol entre sélections avec France -19 et premières apparitions en Pro. 

Régulièrement appelé avec France 7, il est même élu en 2005, "Meilleur Joueur" du Tournoi de Paris que la France réussit l'exploit de remporter. 

L'année suivante, l'arrivée de Vern Cotter dans le Puy de Dôme coïncide avec l'éclosion au plus haut niveau de celui qui est surnommé "Zen" (et pas uniquement pour le flegme qui le caractérise).

D'immenses déceptions en grands titres, de blessures en réussites, Julien a grandi et évolué avec la génération dorée Clermontoise !

Capé à 20 reprises avec le XV de France, il fût un acteur majeur du Grand Chelem de 2010 ! D'ailleurs, la même année, il remporte le premier Brennus de l'ASM après 10 finales perdues. 

Mais, minée par un corps qui le lâchait trop souvent, sa dernière partie de carrière l'aura vu quitter le bercail pour tenter de se relancer du coté de Montpellier. 

Finalement à la retraite sportive depuis 2017, il est resté dans le coin, et s'occupe dorénavant de sa petite famille. 

J'ai vraiment passé un super moment avec Julien : de prime abord nonchalant, il a pourtant oublié d'être bête et a su se mettre à l'abri durant sa carrière. Il peut gérer sereinement l'après et faire ce qu'il aime, loin du monde du rugby.   

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D'abord n°8 dans les catégories jeune, il attire l'œil des recruteurs Clermontois qui parviennent à l'enrôler à sa majorité. Il bascule alors très rapidement chez les 3/4 et sa carrière commence à prendre son envol entre sélections avec France -19 et premières apparitions en Pro. 

Régulièrement appelé avec France 7, il est même élu en 2005, "Meilleur Joueur" du Tournoi de Paris que la France réussit l'exploit de remporter. 

L'année suivante, l'arrivée de Vern Cotter dans le Puy de Dôme coïncide avec l'éclosion au plus haut niveau de celui qui est surnommé "Zen" (et pas uniquement pour le flegme qui le caractérise).

D'immenses déceptions en grands titres, de blessures en réussites, Julien a grandi et évolué avec la génération dorée Clermontoise !

Capé à 20 reprises avec le XV de France, il fût un acteur majeur du Grand Chelem de 2010 ! D'ailleurs, la même année, il remporte le premier Brennus de l'ASM après 10 finales perdues. 

Mais, minée par un corps qui le lâchait trop souvent, sa dernière partie de carrière l'aura vu quitter le bercail pour tenter de se relancer du coté de Montpellier. 

Finalement à la retraite sportive depuis 2017, il est resté dans le coin, et s'occupe dorénavant de sa petite famille. 

J'ai vraiment passé un super moment avec Julien : de prime abord nonchalant, il a pourtant oublié d'être bête et a su se mettre à l'abri durant sa carrière. Il peut gérer sereinement l'après et faire ce qu'il aime, loin du monde du rugby.   

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