Il est indéniable que la séparation fait désormais partie intégrante de notre société. 

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : la moitié des couples se séparent après quelques années, souvent peu de temps après avoir emménagé ensemble.

Mais qu'en est-il de l'impact sur les enfants ?

Certes, chaque situation est unique, chaque famille traverse ce processus à sa manière, et chaque enfant ressent les choses différemment.

Il serait faux de minimiser l'impact de cette expérience simplement parce qu'elle devient de plus en plus courante. 

La normalisation des ruptures conjugales ne doit pas occulter la souffrance vécue par chaque membre de la famille.

Pour un enfant, la séparation est toujours un choc, un traumatisme à surmonter. 

La fréquence des divorces ne diminue en rien la douleur de cette épreuve, car la souffrance est une expérience personnelle et subjective.

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