undefined cover
undefined cover
Papacito et la droite qui perd cover
Papacito et la droite qui perd cover
La Guerre Culturelle

Papacito et la droite qui perd

Papacito et la droite qui perd

49min |23/03/2025
Play
undefined cover
undefined cover
Papacito et la droite qui perd cover
Papacito et la droite qui perd cover
La Guerre Culturelle

Papacito et la droite qui perd

Papacito et la droite qui perd

49min |23/03/2025
Play

Description

Ce soir, dans la guerre culturelle, on va parler de l'idole d'une certaine jeunesse de droite, Papacito, mais pas que. Il faut dire que ses récents déboires montrent une certaine lassitude à incarner un personnage de plus en plus radical et de plus en plus clivant.


A sa décharge, Papacito, qui reste une des meilleurs plumes de sa génération, reste confiné dans une sphère de droite alternative, condamnée à devoir faire rire son public et à produire des oeuvres éphémères. Tout ça parce que la droite institutionnelle n'ose pas exister intellectuellement et culturellement, hait le peuple qui l'a rejointe, quand elle ne le méprise pas au point de ne plus se rendre compte qu'il existe.


Mais, avec cette droite qui aime perdre, le peuple est-il lui aussi condamné à perdre, à ne pouvoir s'exprimer que dans les bas-fonds des réseaux sociaux, et faute de soutien réel, à devoir produire des oeuvres destinées à se défraîchir en quelques mois ?


A un moment donné, il faut n'en avoir plus rien à faire et avoir une réelle ambition artistique et intellectuelle. Si seulement Papacito passait le pas...


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ce soir, dans la guerre culturelle, on va parler de l'idole d'une certaine jeunesse de droite, Papacito, mais pas que. Il faut dire que ses récents déboires montrent une certaine lassitude à incarner un personnage de plus en plus radical et de plus en plus clivant.


A sa décharge, Papacito, qui reste une des meilleurs plumes de sa génération, reste confiné dans une sphère de droite alternative, condamnée à devoir faire rire son public et à produire des oeuvres éphémères. Tout ça parce que la droite institutionnelle n'ose pas exister intellectuellement et culturellement, hait le peuple qui l'a rejointe, quand elle ne le méprise pas au point de ne plus se rendre compte qu'il existe.


Mais, avec cette droite qui aime perdre, le peuple est-il lui aussi condamné à perdre, à ne pouvoir s'exprimer que dans les bas-fonds des réseaux sociaux, et faute de soutien réel, à devoir produire des oeuvres destinées à se défraîchir en quelques mois ?


A un moment donné, il faut n'en avoir plus rien à faire et avoir une réelle ambition artistique et intellectuelle. Si seulement Papacito passait le pas...


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Ce soir, dans la guerre culturelle, on va parler de l'idole d'une certaine jeunesse de droite, Papacito, mais pas que. Il faut dire que ses récents déboires montrent une certaine lassitude à incarner un personnage de plus en plus radical et de plus en plus clivant.


A sa décharge, Papacito, qui reste une des meilleurs plumes de sa génération, reste confiné dans une sphère de droite alternative, condamnée à devoir faire rire son public et à produire des oeuvres éphémères. Tout ça parce que la droite institutionnelle n'ose pas exister intellectuellement et culturellement, hait le peuple qui l'a rejointe, quand elle ne le méprise pas au point de ne plus se rendre compte qu'il existe.


Mais, avec cette droite qui aime perdre, le peuple est-il lui aussi condamné à perdre, à ne pouvoir s'exprimer que dans les bas-fonds des réseaux sociaux, et faute de soutien réel, à devoir produire des oeuvres destinées à se défraîchir en quelques mois ?


A un moment donné, il faut n'en avoir plus rien à faire et avoir une réelle ambition artistique et intellectuelle. Si seulement Papacito passait le pas...


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ce soir, dans la guerre culturelle, on va parler de l'idole d'une certaine jeunesse de droite, Papacito, mais pas que. Il faut dire que ses récents déboires montrent une certaine lassitude à incarner un personnage de plus en plus radical et de plus en plus clivant.


A sa décharge, Papacito, qui reste une des meilleurs plumes de sa génération, reste confiné dans une sphère de droite alternative, condamnée à devoir faire rire son public et à produire des oeuvres éphémères. Tout ça parce que la droite institutionnelle n'ose pas exister intellectuellement et culturellement, hait le peuple qui l'a rejointe, quand elle ne le méprise pas au point de ne plus se rendre compte qu'il existe.


Mais, avec cette droite qui aime perdre, le peuple est-il lui aussi condamné à perdre, à ne pouvoir s'exprimer que dans les bas-fonds des réseaux sociaux, et faute de soutien réel, à devoir produire des oeuvres destinées à se défraîchir en quelques mois ?


A un moment donné, il faut n'en avoir plus rien à faire et avoir une réelle ambition artistique et intellectuelle. Si seulement Papacito passait le pas...


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like