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Après un an de crise, le souverainisme français a terminé de cicatriser, et il n'a pas subi que des défaites. En effet, sur CNews et YouTube, le mouvement connaît un succès manifeste.

Au point qu'une partie de la bourgeoisie commence à se rallier à lui, tout en se méfiant de sa radicalité.

Or le souverainisme politique, mais aussi médiatique, reste hanté par la tentation morale et intellectuelle de séduire une gauche qui le hait. Dans ses bases, c'est plutôt la gauche qui conquiert le souverainisme plutôt que l'inverse : l'émergence d'un mouvement islamo-gauchiste à droite, sous le prétexte d'une contestation extrême, le montre assez. Comme le retour de sa figure centrale, Alain Soral, qui se qualifiait de national-socialiste.

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