La coopération déconfinée - #1 - Le juste prix d'un masque cover
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La Voix Coopérative

La coopération déconfinée - #1 - Le juste prix d'un masque

La coopération déconfinée - #1 - Le juste prix d'un masque

17min |21/05/2020|

89

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Description

«  Le juste prix d’un masque »  propose de se saisir de  divers comportements  parfois exemplaires et parfois navrants que le manque de masques de protection et les tentatives pour y remédier ont suscités  en France , pour réfléchir collectivement à ce qui pourrait caractériser une attitude coopérative et à ce qui nous en éloigne. Nous y croiserons des ministres et un philosophe, de valeureuses couturières et  une surprise pour les amatrices et amateurs de quizz.

Un épisode coproduit par la manufacture coopérative

---

La coopération déconfinée : Faisons ensemble les prochains pas vers la coopération

Après ma dernière chronique en quarantaine je propose de démarrer une nouvelle série de chroniques coopératives pour approfondir le sujet qui m’avait d’abord amené à vouloir écrire un essai sur « les freins à la coopération et les moyens de les dépasser ».  L’actualité m’incite opportunément à rebaptiser ce projet «  LA COOPÉRATION DÉCONFINÉE ».

Le point de départ est le même. Les travaux plutôt récents de biologistes de l’évolution, de spécialistes des sciences cognitives et de l’économie comportementale nous amènent à penser que notre capacité à coopérer n’est pas un vernis culturel ou un apprentissage superficiel. Elle n’est pas même fondamentalement une stratégie rationnelle ou un engagement moral, même s’il elle est un peu tout cela, ou « qu’il y en a aussi dedans », comme diraient les Tontons Flingueurs.

Déconfiner la coopération ne consistera donc pas apprendre à coopérer au sens strict, car ce potentiel, ce savoir-faire et ce savoir-être sont déjà là, au cœur de notre équipement humain de base, de notre logiciel d’exploitation (ou de non-exploitation de l’autre pourrait-on dire pour être plus juste).

La question que je me propose de travailler avec vous est plutôt : comment lever les freins qui nous empêchent de déployer vraiment cette puissance de la coopération. Nous pouvons partager ce sentiment que nous allons avoir besoin de cette pleine capacité de coopération et l’intuition qu’il peut être intéressant de prendre conscience des obstacles, de mieux en cerner  la nature, de mieux les comprendre pour mieux les dépasser.

Mais comment réaliser cette exploration, me direz-vous?

Il y a tout d’abord en appliquant la fameuse formule du professeur Johannes « il faut voir à voir, et quand on aura vu, on verra » (Marc Johannes, fantastique professeur de philosophie à qui je souhaite dédier ce programme). Il s’agira ensuite d’écouter les coopératrices et coopérateurs, de découvrir leurs expériences concrètes, de chausser pour cela différente lunettes, longues-vues et loupes. Il nous faudra lire les auteurs clairvoyants que nous n’entendons pas assez et fuir les discours entendus de ce que nous ne voyons que trop.

Trouver des chercheurs qui cherchent et chercher les chercheurs qui trouvent. Proposer des contenus pertinents et variés tout comme une variété de tons impertinents.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

«  Le juste prix d’un masque »  propose de se saisir de  divers comportements  parfois exemplaires et parfois navrants que le manque de masques de protection et les tentatives pour y remédier ont suscités  en France , pour réfléchir collectivement à ce qui pourrait caractériser une attitude coopérative et à ce qui nous en éloigne. Nous y croiserons des ministres et un philosophe, de valeureuses couturières et  une surprise pour les amatrices et amateurs de quizz.

Un épisode coproduit par la manufacture coopérative

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La coopération déconfinée : Faisons ensemble les prochains pas vers la coopération

Après ma dernière chronique en quarantaine je propose de démarrer une nouvelle série de chroniques coopératives pour approfondir le sujet qui m’avait d’abord amené à vouloir écrire un essai sur « les freins à la coopération et les moyens de les dépasser ».  L’actualité m’incite opportunément à rebaptiser ce projet «  LA COOPÉRATION DÉCONFINÉE ».

Le point de départ est le même. Les travaux plutôt récents de biologistes de l’évolution, de spécialistes des sciences cognitives et de l’économie comportementale nous amènent à penser que notre capacité à coopérer n’est pas un vernis culturel ou un apprentissage superficiel. Elle n’est pas même fondamentalement une stratégie rationnelle ou un engagement moral, même s’il elle est un peu tout cela, ou « qu’il y en a aussi dedans », comme diraient les Tontons Flingueurs.

Déconfiner la coopération ne consistera donc pas apprendre à coopérer au sens strict, car ce potentiel, ce savoir-faire et ce savoir-être sont déjà là, au cœur de notre équipement humain de base, de notre logiciel d’exploitation (ou de non-exploitation de l’autre pourrait-on dire pour être plus juste).

La question que je me propose de travailler avec vous est plutôt : comment lever les freins qui nous empêchent de déployer vraiment cette puissance de la coopération. Nous pouvons partager ce sentiment que nous allons avoir besoin de cette pleine capacité de coopération et l’intuition qu’il peut être intéressant de prendre conscience des obstacles, de mieux en cerner  la nature, de mieux les comprendre pour mieux les dépasser.

Mais comment réaliser cette exploration, me direz-vous?

Il y a tout d’abord en appliquant la fameuse formule du professeur Johannes « il faut voir à voir, et quand on aura vu, on verra » (Marc Johannes, fantastique professeur de philosophie à qui je souhaite dédier ce programme). Il s’agira ensuite d’écouter les coopératrices et coopérateurs, de découvrir leurs expériences concrètes, de chausser pour cela différente lunettes, longues-vues et loupes. Il nous faudra lire les auteurs clairvoyants que nous n’entendons pas assez et fuir les discours entendus de ce que nous ne voyons que trop.

Trouver des chercheurs qui cherchent et chercher les chercheurs qui trouvent. Proposer des contenus pertinents et variés tout comme une variété de tons impertinents.


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La coopération déconfinée : Faisons ensemble les prochains pas vers la coopération

Après ma dernière chronique en quarantaine je propose de démarrer une nouvelle série de chroniques coopératives pour approfondir le sujet qui m’avait d’abord amené à vouloir écrire un essai sur « les freins à la coopération et les moyens de les dépasser ».  L’actualité m’incite opportunément à rebaptiser ce projet «  LA COOPÉRATION DÉCONFINÉE ».

Le point de départ est le même. Les travaux plutôt récents de biologistes de l’évolution, de spécialistes des sciences cognitives et de l’économie comportementale nous amènent à penser que notre capacité à coopérer n’est pas un vernis culturel ou un apprentissage superficiel. Elle n’est pas même fondamentalement une stratégie rationnelle ou un engagement moral, même s’il elle est un peu tout cela, ou « qu’il y en a aussi dedans », comme diraient les Tontons Flingueurs.

Déconfiner la coopération ne consistera donc pas apprendre à coopérer au sens strict, car ce potentiel, ce savoir-faire et ce savoir-être sont déjà là, au cœur de notre équipement humain de base, de notre logiciel d’exploitation (ou de non-exploitation de l’autre pourrait-on dire pour être plus juste).

La question que je me propose de travailler avec vous est plutôt : comment lever les freins qui nous empêchent de déployer vraiment cette puissance de la coopération. Nous pouvons partager ce sentiment que nous allons avoir besoin de cette pleine capacité de coopération et l’intuition qu’il peut être intéressant de prendre conscience des obstacles, de mieux en cerner  la nature, de mieux les comprendre pour mieux les dépasser.

Mais comment réaliser cette exploration, me direz-vous?

Il y a tout d’abord en appliquant la fameuse formule du professeur Johannes « il faut voir à voir, et quand on aura vu, on verra » (Marc Johannes, fantastique professeur de philosophie à qui je souhaite dédier ce programme). Il s’agira ensuite d’écouter les coopératrices et coopérateurs, de découvrir leurs expériences concrètes, de chausser pour cela différente lunettes, longues-vues et loupes. Il nous faudra lire les auteurs clairvoyants que nous n’entendons pas assez et fuir les discours entendus de ce que nous ne voyons que trop.

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Après ma dernière chronique en quarantaine je propose de démarrer une nouvelle série de chroniques coopératives pour approfondir le sujet qui m’avait d’abord amené à vouloir écrire un essai sur « les freins à la coopération et les moyens de les dépasser ».  L’actualité m’incite opportunément à rebaptiser ce projet «  LA COOPÉRATION DÉCONFINÉE ».

Le point de départ est le même. Les travaux plutôt récents de biologistes de l’évolution, de spécialistes des sciences cognitives et de l’économie comportementale nous amènent à penser que notre capacité à coopérer n’est pas un vernis culturel ou un apprentissage superficiel. Elle n’est pas même fondamentalement une stratégie rationnelle ou un engagement moral, même s’il elle est un peu tout cela, ou « qu’il y en a aussi dedans », comme diraient les Tontons Flingueurs.

Déconfiner la coopération ne consistera donc pas apprendre à coopérer au sens strict, car ce potentiel, ce savoir-faire et ce savoir-être sont déjà là, au cœur de notre équipement humain de base, de notre logiciel d’exploitation (ou de non-exploitation de l’autre pourrait-on dire pour être plus juste).

La question que je me propose de travailler avec vous est plutôt : comment lever les freins qui nous empêchent de déployer vraiment cette puissance de la coopération. Nous pouvons partager ce sentiment que nous allons avoir besoin de cette pleine capacité de coopération et l’intuition qu’il peut être intéressant de prendre conscience des obstacles, de mieux en cerner  la nature, de mieux les comprendre pour mieux les dépasser.

Mais comment réaliser cette exploration, me direz-vous?

Il y a tout d’abord en appliquant la fameuse formule du professeur Johannes « il faut voir à voir, et quand on aura vu, on verra » (Marc Johannes, fantastique professeur de philosophie à qui je souhaite dédier ce programme). Il s’agira ensuite d’écouter les coopératrices et coopérateurs, de découvrir leurs expériences concrètes, de chausser pour cela différente lunettes, longues-vues et loupes. Il nous faudra lire les auteurs clairvoyants que nous n’entendons pas assez et fuir les discours entendus de ce que nous ne voyons que trop.

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