Speaker #0Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de La Voix d'Or. Si vous me découvrez, vous ne me connaissez pas encore, je m'appelle Aurélia Rickebusch et je suis thérapeute spirituelle. Je guide, j'accompagne les âmes, principalement des femmes, qui se sentent perdues, qui sont dans une quête spirituelle, un cheminement, et qui se rendent compte qu'elles ont la sensation, en tout cas, d'être bloquées, qu'il y a des schémas répétitifs, c'est toujours la même chose, ils ont toujours ce même type de mec. Elles ne s'en sortent pas au boulot, elles ont l'impression de vivre à côté de leur pompe. Parfois même, elles ont déjà identifié des traumas, des choses qui se sont passées dans leur vie et sur lesquelles elles restent figées, elles sont toujours dans le passé. Moi, mon job, c'est de les aider à s'en libérer, tout simplement. Être plus sereine, plus apaisée dans leur vie. Avoir foi et confiance en leur choix de vie, pour pouvoir cheminer de façon... plus sereine, accepter, accueillir ce que la vie a à offrir et juste vivre, juste vivre la vie en fait, ne plus avoir peur de vivre cette vie, aussi dure soit-elle. Alors du coup, si tu me découvres, je t'invite déjà à aller voir les autres épisodes du podcast. Ici, je ne vais pas te donner de type de conseils, ce podcast il est juste là, presque même plus pour moi, un peu comme un journal intime, te raconter ce qui s'est passé durant ce mois écoulé. parce que je crois profondément que on est tous connectés et qu'on vit tous des choses difficiles et que le fait de pouvoir écouter, ressentir, être dans le partage de nos expériences, c'est bien plus fort que des oracles ou une guidance de cartes. Ça vient faire résonner des choses en nous et parfois ça ouvre des portes qu'on ne pensait même pas exister. Alors je te partage ce qui se passe pour moi, ce qui se passe aussi, on va dire, dans l'air du temps. durant cette période-là et peut-être que ça viendra t'éclairer, illuminer des choses à l'intérieur de toi et pour que ça puisse t'aider tout simplement à continuer de faire ton petit bonhomme de chemin parce que quoi qu'il arrive, même si c'est mon métier, de t'aider à comprendre ce qui se cache sous la surface, à lire l'énergie qui est bloquée à l'intérieur de toi et qui se manifeste de cette façon dans cette vie, ça c'est ma capacité. Ça n'empêche que la vie fait son œuvre et que c'est elle qui nous apporte tout sur un plateau. C'est juste notre mental qui très souvent se bloque et ne veut pas accueillir ce qui est là. Moi, je viens juste aider à réouvrir les portes. Alors, durant ce mois d'octobre, c'est un mois assez particulier le mois d'octobre parce qu'il y a ce changement d'heure. Donc, ça nous plonge, ça nous oblige à plonger encore plus et encore plus vite dans l'obscurité. Dans cette période qu'on appelle la période sombre, puisque les jours sont plus courts que les nuits, donc c'est pas pour rien, ce qui se passe à l'extérieur se passe aussi à l'intérieur, donc c'est aussi une façon de nous montrer qu'on a besoin de plonger dans nos ondes, dans notre obscurité, voir justement ce qui était peut-être pas mis en lumière encore en nous, mais aussi bien de choses que l'on peut... à percevoir ou juger de façon négative, comme on a tendance à juger de façon négative nos ombres, mais aussi tout simplement les parties de nous-mêmes. Les parties de nous-mêmes qui ont besoin d'être mises en lumière à ces facettes de nous que l'on cache par peur d'être jugées, rejetées, humiliées, trahies, tout ce qu'on veut. Il y a aussi besoin peut-être de les mettre un peu plus en avant et pour ça, il faut peut-être aller les rechercher parce que ça fait des années qu'on les a camouflées, qu'on les a mises au placard. Donc peut-être qu'il y a des choses aussi de cet ordre-là à aller... À l'épuiser, peut-être déterrer un vieux projet, un truc qu'on se dit non, pas maintenant, quand les enfants seront grands, quand ceci, quand cela. Ça, quand on commence à mettre des conditions, tu peux être sûre que c'est du mental et que la vie, ton âme, a certainement d'autres projets pour toi. Et que souvent, quand tu dis que c'est bloqué, que les choses n'avancent pas, mais en fait, c'est toi qui les a empêchées d'avancer. Parce que tu as jugé que ce n'était pas cette voie-là. Pour x, y raisons, pour plein de croyances, plein de peurs, c'est ça mon job, c'est d'aider à voir qu'est-ce qui a bloqué, mais ça t'empêchera pas d'agir après, derrière. Et bien évidemment que ça nous fait flipper, c'est le principe de ce pourquoi on a bloqué les choses. Et si je te dis tout ça, c'est parce que je suis un être humain aussi et que moi aussi je vis les mêmes choses. Et que ce qui est la facilité de mon travail, c'est parce que moi je suis pas toi, donc c'est plus facile pour moi de te dire ce que je vois et ce que je ressens. Mais sache que pour moi-même, c'est pareil. Il y a des fois, j'y arrive toute seule. Et même quand j'y arrive et quand je comprends ce qui est là, j'ai du mal à traverser. Tu vois, pour te raconter... J'ai mis un an, alors je ne l'ai pas fait là cet été, enfin ce mois-ci je l'ai fait cet été, mais il m'a fallu un an de rumination pour enfin oser dire quelque chose qui m'avait blessée, pour enfin oser exprimer cette colère, et vraiment dans cette idée de poser des limites, mais pas vis-à-vis de l'autre en fait, vis-à-vis de moi-même. C'est-à-dire que souvent, on veut poser des limites en mode « je veux me protéger » , donc c'est-à-dire que je vibre la peur d'être agressée, dans tous les sens du terme, spirituellement parlant aussi. Mais en fait, mettre ces limites, c'est aussi pour soi, et que si on ne sait pas s'en mettre pour soi-même, les autres ne pourront pas les respecter. Ce n'est pas poser des limites pour les autres, c'est poser ces limites pour soi-même, qu'elles sont mes limites, et si je les pose pour moi-même, si elles sont en alignement, en accord. parfait avec moi-même, alors les autres ne pourront pas les franchir. Et ce mois-ci, dans mon travail perso, c'est vraiment la continuité de cet acte que j'ai posé en juin. Je vois bien tout l'enchaînement, tout ce qui a découlé derrière, tout ce que ça m'a fait travailler sur ma relation sentimentale, sur ma relation avec mon père. Je suis en plein dedans de travailler ça, de m'autoriser à ressentir cette colère profonde, de voir aussi que de là découlait aussi un lien transgérationnel, aussi dans la lignée paternelle. Ça permet de voir en fait tous les enchaînements et les maillons et de donner du sens. Mais ça ne m'a pas empêchée de devoir poser des actes concrets dans la matière. C'est très bien de poser du sens, moi j'en ai besoin, c'est ce qui m'aide à avancer, c'est ce qui allume la flamme à l'intérieur de moi et qui me donne cette motivation. D'autres personnes, souvent les hommes d'ailleurs, n'ont pas forcément besoin de donner du sens, ils vont se mettre en mouvement différemment. On est dans des énergies différentes et c'est ok, c'est comme ça. Mais j'ai remarqué que souvent les femmes, si on était plus connectées à cette polarité féminine, c'est-à-dire que des hommes peuvent la porter aussi, bien évidemment. On va avoir besoin d'être connecté à cette intuition et de donner du sens à ce qu'on vit, parce que c'est ça qui va aussi être un moteur pour passer à l'action et donc pour basculer dans cette polarité d'Yang, de passage à l'action. Mais il faut savoir que, peu importe où est-ce qu'on va se poser, se placer, dans tous les cas on vivra les deux polarités, c'est-à-dire que même si on va d'abord passer à l'action, c'est après coup qu'on va peut-être mettre du sens sur ce qui s'est passé. Et souvent, moi c'est ce que je vis quand il y a des... libération profonde dans tous mes corps qui s'opèrent, j'analyse après coup ce qui s'est passé, parce que j'ai été dans l'action. Et donc trop se perdre dans trop de sens, trop d'intuitif, trop de subtil, de spirituel, ça ne fait pas tout. Et c'est comme toujours sur Terre, on est dans une dualité qui est nécessaire, parce que c'est les deux plateaux d'une balance qui donnent cet équilibre. S'il manque un plateau à la balance, il n'y a pas d'équilibre. Si on se perd dans ce côté-là, on n'agit pas. Si on n'agit pas, on n'est pas dans le côté humain, dans le côté matière, et c'est pas bon non plus. Donc moi, ce mois-ci, ça m'a pas empêchée de poser des actes. Et d'ailleurs, après ma séance avec ma thérapeute, je me visualisais être dans cette action. Elle me disait... Elle était en train de me raconter ce que j'étais en train de voir. Et je dis oui, oui, je sais, je ressens qu'il faut que je prenne ce temps d'aller voir mon père, de lui dire que j'ai besoin de lui parler. Alors ça a été très doux. Parce que j'ai fait tout ce travail de libération émotionnelle avant, et que peut-être je n'aurais pas été dans cette posture face à mon père si je n'avais pas libéré tout ça. Et cette séance m'a aussi permis de prendre conscience qu'il y avait encore tout ça, malgré tout ce que j'avais pu travailler. On ne finit jamais de travailler sur soi, on ne finit jamais, et parfois on a l'impression, si si, j'ai guéri ce trauma, je l'ai coché sur la tout doux. Non, non, il y a toujours et encore et encore toujours des choses, des parties de soi-même à aller justement éclairer. C'est cette période. nous demandent et peut-être d'aller voir des choses tellement noires, qui nous font tellement peur parce qu'elles ne rentrent tellement pas dans notre code déontologique de la bienséance, qu'on ne va pas les voir, pourtant elles font quand même partie de nous, qu'on le veuille ou non. Et donc j'ai été voir des parties de moi où même dans la visualisation, même dans cette séance, je voyais cette autre partie de moi qui m'empêchait de dire les choses parce qu'elle jugeait que ce n'était pas gentil. Mais en fait, à force de faire ça, à force de... de vouloir être gentil pour tout le monde, je m'empêchais d'être gentil avec moi-même et donc juste d'accueillir ce qui était là. Bref, tout ça pour dire que c'est qu'une question d'équilibre et que même si aujourd'hui on bascule plus dans ce côté sombre, ce qui est caché, invisible, c'est ce qui nous demande, c'est justement pour oser le mettre sur ce plateau de cette balance pour qu'à nouveau ça soit dans l'équilibre. C'est-à-dire qu'on ne peut pas pleinement montrer notre lumière, vibrer cette lumière. et pouvoir la transmettre aux autres, les éclairer aussi, si on ne fait pas ce travail d'équilibre, d'aller voir aussi ce qu'il y a de plus noir en nous, et de ne pas le rejeter, mais l'accueillir, que c'est ce qui fait partie de nous, et c'est parce qu'on voit cette noisseur, que ça nous montre le chemin pour aller vers cette lumière. Tout comme le jour n'existe pas sans la nuit, cette nuit est nécessaire, vraiment. Ne pas avoir peur d'aller dedans. Parce que c'est parce qu'on a peur et qu'on n'y va pas à 100% que ça crée des blocages. Et ça fait croire notre mental qu'il y a un problème et un bug dans la matière, alors que pas du tout. Tellement pas. Tout ça, c'est un cheminement que je te raconte là de façon, comment dire, peut-être analytique. Mais ça se vit. Comme n'importe quel concept spirituel du lâcher prise et compagnie, ça se vit. Et voilà, peut-être que tu vas t'autoriser à vivre certains moments de façon spontanée, parce que la vie, tu sais pas pourquoi, ce jour-là, t'as laissé faire la vie et c'est super. Prends conscience après coup que à ce moment-là, ce qui s'est passé là, cette fluidité, ça veut pas dire que c'était facile à vivre, mais c'était fluide, et bah c'est la vie qui a fait son œuvre. Et de te montrer que... Quand la vie fait son oeuvre, ça peut être très challengeant, bouleversant, émotionnellement, énergétiquement, physiquement, mais c'est pas négatif. Souvent on dit « oui, mais j'ai pleuré, donc là ça veut dire que ça va pas » . Bah, qui a dit ça ? Qui a décrété ça ? Avoir mal, ça veut pas dire qu'il y a un problème. Ça veut pas dire qu'il y a un truc que t'as mal fait. Au contraire, ça veut dire que tu es dans ta partie humaine, en fait, et c'est très bien. Moi, mon plus grand challenge, c'est d'arrêter d'avoir peur de mes émotions, d'arrêter d'avoir peur d'avoir mal, d'arrêter de croire que j'ai un problème. Même avec mon fils, durant cette période scolaire, où j'ai dit qu'il m'a aidée à accueillir que ce n'était pas un problème, de me détacher, de me dire que c'était un problème et que donc, il fallait que je fasse une solution à cette dualité. S'il n'y a pas de problème, il n'y a pas de solution à chercher, tout va bien, on continue en fait. Donc ces derniers temps... J'apprends aussi à voir, ok, tu ressens de la haine, de la violence en toi, c'est ok en fait. Ça sert à rien de vouloir l'empêcher d'exister, parce que ça veut dire que tu nies son existence, donc tu peux pas aller vers sa lumière. Elle est là, donc équilibre-la avec des actes où tu vas aussi vibrer l'amour, mais à 100%, quoi, inconditionnel. Tu vois, tu veux poser des limites auprès des autres, mais en fait, c'est pas les autres. Qu'est-ce que tu peux faire pour toi ? Et quelles sont les limites que tu as, toi, à t'offrir ? Pas à t'imposer, mais à t'offrir ce cadre sécurisant, plutôt que des limites. Parce que certains mots ont une connotation négative dans l'inconscient collectif, et ça, quoi qu'on en dise, ça nous impacte et ça nous influence dans cette sphère mentale, ce corps mental. Donc apprends à jouer avec ça, et utilise d'autres mots qui pourraient vibrer une énergie différente, et allumer quelque chose de différent en toi, plutôt moteur que paralysant. Donc fais ce travail de l'ombre, c'est pas forcément toujours plancher, te poser des questions, c'est juste accueillir si ça va pas aujourd'hui, parce que ça fait partie du processus. Tout comme tu peux pas accepter quelque chose si t'es pas en train de voir que là il y a un truc que t'acceptes pas. Et tu vois ça a été ma révélation avec mon père, c'est que je comprenais pas pourquoi il bougeait pas, pourquoi il faisait pas ça, mais c'est parce qu'en fait pour lui il y a pas un truc qu'il accepte pas, il y a pas un truc, il y a pas un problème chez lui. C'est juste moi qui vois les problèmes, mais c'est pas parce que je les vois que lui doit les résoudre, que c'est le bon moment pour lui de le faire. Et en fait, j'ai pris conscience que dans son univers, tout allait très bien, et que c'est pour ça qu'il ne changeait pas, c'est que pour lui, tout va bien. Et donc, si pour lui, tout va bien, c'est peut-être ce qu'il a à vivre et que c'est OK. Si lui, il va bien, c'est tout ce qui compte. Si lui, il se sent bien dans sa vie, c'est tout ce qui compte. Ça m'a aidée à me détacher aussi de vouloir le voir comme un problème. Et que ça, il n'y a qu'en discutant avec l'autre qu'on peut s'en rendre compte. Et que même, encore une fois, si moi je vois et je préçois, pressant derrière que non, il y a quelque chose et qu'il se voile peut-être la face, peu importe, ça veut juste dire qu'il n'est pas prêt en fait. Et que s'il n'est pas prêt, qui suis-je pour juger ? Qui suis-je pour lui imposer ma vision des choses, même si j'ai la sensation que c'est la vérité ? Je n'ai pas à faire ça en fait. Je n'ai pas à me substituer à... à plus grand que moi, en fait. Voilà, c'était mes réflexions de ce mois-ci. Mes réflexions sur ce côté ombre-lumière, et puis parfois, c'est bientôt mon anniversaire, alors parfois c'est important de se poser et de faire la rétrospective de ce que cette année écoulée m'a apporté, ce que j'ai compris sur moi-même, ce que j'ai lâché. Parce que quand on est dedans, C'est bien d'être dans l'instant présent, mais quand on est dedans, parfois on a l'impression qu'on s'en sortira jamais, qu'il y a toujours des trucs à régler, des choses à libérer, et le fait est qu'il y en a, mais il y en aura toute notre vie. Donc de pouvoir voir le chemin parcouru et voir de là où je suis partie et de là où je suis arrivée en un an, et alors si je fais les rétrospectives des huit dernières années, c'est encore plus énorme, c'est important de le faire, ce point. Alors moi je le fais au moment de mon anniversaire. Il y en a qui le font au moment de la nouvelle année, peu importe. Choisis le temps, le moment qui est le plus propice pour toi. Tu peux même le faire tous les mois si tu veux, mais de... De voir aussi à long terme dans le passé de comment est-ce que tu as évolué et bougé en toi-même. Est-ce que tu n'es pas revenu un petit peu plus au centre de toi-même finalement ? Parce que tes comportements sont plus équilibrés. D'un extrême à l'autre, ce n'est pas bon non plus. C'est toujours cette notion d'équilibre et de te visualiser comme une sphère et d'être au centre de toi-même pour voir toutes ces parties en toi. Parce que que tu le veuilles ou non, elles font partie de toi et elles ne vont pas partir. Parce que sinon, tu ne serais plus toi. Tu seras plutôt incarné dans ton corps ici, dans cette vie-là. Et donc ça, c'est juste, parce que c'est ce que tu as choisi de vivre et d'incarner, et de voir et d'accueillir pleinement, en fait. Tu n'as jamais demandé de supprimer des parties de toi. Donc c'est ça aussi, ce passage-là, d'aller voir ces différentes parties en soi, de les mettre en lumière, mais de mettre cette partie ombre en lumière qui restera une partie ombre, peut-être. Voilà, ça c'est des choses que je peux te proposer en mentorat, par exemple, de t'accompagner sur six mois, un an, pour te permettre justement de faire aussi au bout du chemin, avec moi, cette rétrospective que tu puisses te rendre compte de tout ce chemin parcouru, et t'aider à t'aimer toi-même. Voilà, j'en dirai pas plus, j'ai plus rien d'autre à dire. Si ça a réveillé des choses à l'intérieur de toi, et si tu veux commencer à aborder ce cheminement de façon ne serait-ce que autonome, d'y aller à ta mesure, sache qu'à la fin de la semaine, il y a une surprise pour toi en lien avec mon anniversaire, mais j'en dirai plus sur mon compte Insta, et puis par mail si tu es abonné à mes newsletters, si ce n'est pas le cas, tu peux m'écrire et je t'enregistrerai. Mais voilà, si déjà t'as envie d'aller plus loin et t'as envie d'être accompagnée de façon plus poussée, plus profonde, eh bien tu as le mentorat. Et donc ça, c'est bien qu'on puisse en discuter ensemble, mais sache que c'est possible. Donc si tu te sens prête, si c'est le bon moment pour toi de faire ce travail en profondeur, spirituel, énergétique, émotionnel, mental, physique, tout ce que tu veux. contacte-moi, puis on en discutera ensemble et puis on verra ensemble si effectivement c'est le bon moment pour toi et si effectivement c'est la bonne formule aussi pour toi je t'embrasse, je te souhaite une très belle journée je te souhaite une très très belle période de Samine, de la Toussaint et aussi de la fête des morts parce que c'est un passage particulier et voilà, si tu veux en savoir plus j'en parle justement j'en ai parlé toute cette semaine sur mon compte Insta. Voilà. A très bientôt pour un prochain numéro de ce podcast.
