Speaker #0Bienvenue dans le podcast LawHer, le podcast qui vous permet de démystifier le droit et de le rendre accessible dans votre aventure entrepreneuriale en tant qu'entrepreneuse. Parce que dans LawHer, on pense que le droit et l'avocat doivent être les alliés de la réussite entrepreneuriale des femmes. On parlera donc d'entrepreneuriat, de cerveau reptilien, de contrat, de sororité ou encore de Beyoncé. Bonne écoute à toutes ! Hello à toutes et bienvenue sur le podcast. Je suis Estelle Villavocat, en droit des sociétés, et pour la première fois dans l'histoire du podcast Ausha. J'ai décidé de vous faire un épisode bilan 2024. Bon, en fait, on ne choisit pas, mais il s'avère que mon anniversaire tombe en décembre. C'est donc un mois un peu particulier pour moi parce que je ne sais pas vous, mais au moment de mon anniversaire, je ne peux pas m'empêcher de faire un petit bilan. sur l'année qui vient de s'écouler et comme ça coïncide pas mal avec la fin de l'année, je lui ai eu l'idée cette année de vous préparer un petit épisode bilan pour vous raconter ce qui s'est passé dans le cabinet pour moi cette année. Et je trouve ça pas mal en fait, en tant qu'indépendante, de vous partager aussi ce genre d'expérience parce que si ça peut aider certaines d'entre vous, vous aider dans votre introspection, pourquoi pas. Alors, évidemment... Comme tout le monde, j'ai eu des hauts et des bas au cours de cette année et j'ai fait face à pas mal de défis de mon côté, mais toujours avec mon envie de travailler selon mes valeurs et selon surtout ce que j'ai envie de faire. Et donc, premier défi de l'année, je ne vais pas y aller par quatre chemins, ça a été de réduire mon temps de travail. Je ne voulais plus travailler autant qu'en 2023. Si vous me suivez depuis un petit moment, A fin 2023, en fait, dans mon emploi du temps, toutes les semaines, plusieurs choses me prenaient beaucoup de temps et me pompaient énormément d'énergie. Et en fait, physiquement, ça n'allait plus et en fait, ça ne suivait plus. Je vais être très franche avec vous. J'étais complètement épuisée et donc je me suis dit, début 2024, arrêtons de travailler sur autant de choses. Et pour le coup, j'ai décidé d'éliminer un certain nombre de choses. Pour celles qui s'en souviennent et qui me suivent sur les réseaux sociaux, à l'époque, avec ma consœur Sabine Viermeuse, que j'embrasse si elle m'écoute, on avait un bout de camp pour aider les avocats à publier sur LinkedIn, qui s'appelait donc l'entraînement. Et comme le projet était extrêmement chronophage et à l'époque, il n'était pas suffisamment rentable, on a pris la décision d'arrêter l'entraînement. Même chose, moi je faisais aussi partie d'un groupe BNI, et pour celles qui ne connaissent pas... C'est un gros réseau d'affaires à l'américaine qui se réunit toutes les semaines très tôt pour aller rencontrer des gens, expliquer son expertise en faisant des petites infomerciales. Donc ça a été hyper instructif pour moi pendant un certain nombre de mois. Et le problème, c'est qu'en fait, physiquement, moi de mon côté, ça me cassait beaucoup trop de me lever aussitôt. Et en fait, vraiment, comme je ne suis pas du matin, je me sentais complètement épuisée toutes les semaines à me lever aussitôt pour aller... au BNI. Donc en gros, fin 2023, complètement épuisée et donc j'ai décidé d'éliminer tout ça. Et en fait, globalement, quand je regarde mon temps travaillé, je fais la comparaison entre ce qui a été fait en 2023 et en 2024, on voit de mon côté qu'il y a une nette amélioration du nombre d'heures travaillées. Alors ça, je fais vraiment une petite aparté, je ne sais pas comment vous, vous fonctionnez-vous de votre côté. Mais c'est vrai que nous, en tant qu'avocat, en fait, on a quand même une habitude, c'est-à-dire de traquer tous les temps de travail. Parce qu'il y avait aussi, donc à l'époque, quand moi j'ai commencé en cabinet d'avocat, une vraie culture, vous voyez, de la facturation à l'heure. Donc ce que moi, je pratique le moins possible. Mais c'est vrai que pour le coup, moi, j'avais des associés qui me demandaient de traquer tout le temps mes temps de travail, justement, pour vérifier aussi ce qu'on faisait au cabinet. Et c'est vrai qu'au final, en me remettant à mon compte, j'ai mis en place cette habitude au sein de mon cabinet pour justement comparer, donc en fonction des mois, en fonction des années, combien de temps j'ai pu travailler. Et en fait, quand je regarde mes chiffres, donc entre 2023 et 2024, il y a vraiment une nette amélioration sur le nombre d'heures travaillées. Et en fait, je ne préfère pas vous dire combien de temps de travail j'ai réduit, parce qu'en fait, même moi aujourd'hui, je me demande comment j'ai pu faire. pour travailler au temps et donc en termes de défis de l'année. réduire mon temps de travail, je peux dire que je l'ai relevé parce que c'est quand même un sujet encore né indépendant de se dire de ne pas s'épuiser parce qu'on a tout le temps 3000 projets dans la tête. On a, vous voyez, souvent le syndrome de l'objet brillant aussi, vous voyez, si vous voyez de quoi je parle. Voilà, donc en gros, de se dire, accepter aussi d'enlever des choses pour mieux se sentir parce qu'en fait, encore une fois, je ne conçois pas qu'on puisse être mal. trop travailler aussi parce qu'on est indépendant et vraiment, notre premier élément pour pouvoir bien travailler encore une fois, c'est notre santé. Donc vraiment, je vous invite à réfléchir à ça. En tous les cas, moi de mon côté, j'ai relevé ce défi et je l'ai réussi. En revanche, donc deuxième défi, donc on découle du premier. Comment on fait lorsqu'on ne veut plus travailler autant, mais qu'on veut conserver malgré tout son chiffre d'affaires, voire même l'augmenter ? Alors, en réalité... pas grand chose à faire, si ce n'est augmenter à minima ses tarifs. Donc, c'est ce que j'ai fait en début d'année, après avoir fait un audit tarifaire avec une coach super. Elle accompagne donc les avocats de manière récurrente. Et en fait, j'ai fait appel à elle parce que, justement, pour diminuer mon temps de travail. Je ne sais pas comment ça se passe pour vous, mais c'est vrai que ce n'est pas hyper simple d'augmenter ses tarifs. Et pour le coup... je trouve ça assez bien d'en parler à une tierce personne pour qu'elle vous aide à travailler dessus. Et c'était même bienvenu parce que maintenant que je vous en parle, en réalité, à fin 2023, j'ai perdu un très gros client suite à un rachat de celui-ci par un autre entrepreneur. Évidemment, en cas de rachat, celui qui rachète peut ne pas vous garder comme avocat. Vous voyez, c'est les hypothèses, on va dire, de rachat, de restructuration, où est-ce qu'en fait, vous avez... le nouvel entrepreneur qui va arriver et qui décide évidemment de ne pas vous garder comme prestataire parce que lui, en fait, de son côté, il a déjà son propre prestat. Et en fait, pour ma part, ce très gros client représentait à peu près 25% de mon chiffre d'affaires en 2023. Donc j'avais aussi cette problématique de me dire comment je fais aussi, je veux travailler moins et en même temps, je perds un gros client. Comment faire pour conserver ce niveau de chiffre d'affaires ? pour 2024. Et donc, pour le coup, j'ai anticipé le sujet et je me suis dit, il fallait vraiment que je me fasse aider pour savoir si à date, en réalité, à fin 2023, début 2024, il y avait un vrai sujet par rapport à mes prix. Est-ce qu'il fallait faire des ajustements ou pas ? Est-ce que les offres étaient cohérentes ou pas ? Donc, tous ces questionnements, en réalité, qu'on doit avoir de manière constante parce que quand on décide de changer des choses au sein de son cabinet ou de son activité au final, c'est-à-dire diminuer son temps de travail notamment, donc qui est quand même hyper impactant sur son activité, dans ce cas-là, il faut avoir cette réflexion. C'était plutôt pertinent de mon côté de travailler sur ses propres tarifs pour pouvoir compenser cette perte de gros clients et également cette volonté de moins travailler. Et pour le coup, grâce à cette audite tarifaire, En fait, on va dire que je suis plutôt contente de mon premier semestre en termes de chiffres. Donc, si vous voulez travailler moins, à mon sens, c'est vraiment, vraiment la première chose à faire, augmenter ses tarifs. Alors, évidemment, il n'y a pas que des bonnes nouvelles. Évidemment, qu'est-ce qui se passe quand vous augmentez vos tarifs ? Il y a forcément un effet un peu pervers, c'est qu'il y a forcément un moment de latence suite à l'augmentation de vos tarifs, parce que forcément, Si vous ne changez pas typiquement votre cible ou encore votre com par rapport à votre cible, ceux qui antérieurement pouvaient être vos clients ne peuvent plus l'être. Et forcément, il y a un moment de latence qui se crée pendant lequel, où est-ce qu'il y a un ajustement à faire avant de récupérer les nouveaux clients. Et en fait, ça, moi, j'y crois pertinemment. Ce n'est pas comme s'il n'y en aurait plus, donc, de clients. J'ai eu une rentrée, en fait, un peu calme par rapport à ça, mais aussi c'était une période un peu bizarre suite aux élections. des législatives, le retard de nomination du gouvernement. Et en fait, on était beaucoup à être dans cet état un peu d'attente. En plus, il y avait eu les JO avant, donc c'était un peu bizarre comme période, pour ne rien vous cacher. En avoir parlé auprès de pas mal de personnes, beaucoup ont un peu cette impression. Et en fait, justement, moi, cette période un peu plus calme, ça m'a forcé donc... à retravailler aussi mes offres en tous les cas pour rester compétitive, évidemment, avec en plus une volonté de mettre en place des nouveaux produits du type. formation ou encore atelier type programme éclair. Troisième défi, donc augmenter mes interventions mais aussi mon chiffre d'affaires auprès de ma clientèle chouchou. Donc je rappelle quelle est ma clientèle chouchou, ce sont les femmes entrepreneurs, freelance, solopreneurs. En fait en 2024, j'ai eu plutôt de la chance de participer à pas mal de projets qui vont plutôt dans ce sens et en fait parmi les plus intéressants. Je peux citer le programme Mère qui est porté par Emily Friedlich et Coach. L'idée du programme Mère, c'est justement d'aider les femmes entrepreneurs qui sont en mode survie. Elles jonglent donc entre leur activité entrepreneuriale, leur réalité financière et matérielle qui peuvent s'avérer quelquefois difficiles forcément, notamment parce qu'elles sont mères. Et en fait, ce projet a été extrêmement enrichissant pour moi. Parce que typiquement, moi, dans ma matière, ça m'a permis de comprendre, par exemple, l'importance des questionnements des entrepreneuses sur leur argent, sur leur argent dans le couple et plus particulièrement sur les questions de régime matrimonial. En réalité, ce sont des choses qui ne sont pas forcément beaucoup abordées dans l'entrepreneuriat au sens classique, mais qui devraient l'être chez les femmes parce que justement, il y a des vrais sujets dans les couples. hétérosexuels, souvent c'est l'homme qui va gagner beaucoup plus que la femme, donc d'une manière générale en majorité en tous les cas, et c'est donc des vrais sujets donc à aborder pour justement mieux protéger ces femmes. Et en fait ce qui est rigolo, ça c'est vraiment une partie donc que je souhaitais vous faire, c'est que mon intervention dans Programme Mère a permis de provoquer à minima un mariage, mais également pas mal de passages chez les notaires. Et voilà, au-delà de ça... Il y a aussi une énergie incroyable entre les femmes qui interviennent en tant qu'expertes au sein du programme mère, mais aussi entre les participantes. Et aussi, donc, programme mère, c'était printemps 2024. Et aujourd'hui, on est nombreuses à faire du bise entre nous parce que ça reste avant tout un super réseau avec plein de super projets qui sont en train de se monter et qui vont forcément venir courant 2025. Mais je vous en reparlerai en temps. et en heure. Donc, autre projet sur 2024 vraiment qui m'a beaucoup plu sur lequel j'ai eu énormément de retours et qui m'ont fait extrêmement plaisir, c'est mon interview dans le podcast de Clémentine Sarla, La Matressence. Et évidemment, c'est une intervieweuse hors pair et en fait, on a discuté du lien très fort qui peut exister entre entrepreneuriat féminin et maternité mais également donc des pièges. liées justement à l'entrepreneuriat féminin et parmi ça, donc la question du choix du statut. Et en fait, tous ces projets m'ont permis évidemment d'être plus exposée et m'ont permis de faire du chiffre d'affaires auprès de ces clientèles chouchous que je souhaite avoir, c'est-à-dire les femmes freelance et solopreneurs. Et très franchement, ce sont aussi ces projets qui m'ont permis de me donner de la motivation pour réussir à mettre en place, vous voyez, tout ce qui est... programme éclair, la formation en ligne sur le choix du statut, tout ça, parce qu'en fait, le sujet de l'argent pour les femmes entrepreneurs, il est central. Et en fait, il est vraiment essentiel pour les femmes d'arriver à mieux se rémunérer quand on sait qu'une femme touchera 40% de moins qu'un homme au moment de la retraite, si on ne compte pas la pension de réversion. D'où l'idée, suite à tous ces passages dans ces programmes, programmes mères, dans ces projets de podcast. D'où l'idée de travailler aujourd'hui sur d'autres produits que de la prestation juridique pure, parce que, évidemment, je comprends aussi qu'il peut y avoir une barrière à l'entrée en termes de prix. Donc, d'où l'idée de mettre en place de la formation ou encore des programmes. Alors, j'ai mis un petit moment pour mettre en place ça, mais en fait, à la rentrée, vraiment pour le coup, j'ai mis le paquet pour travailler sur le lancement du programme Éclair de 2 heures, sous forme d'atelier en petits groupes. pour choisir son bon statut. Alors évidemment, j'étais un peu stressée lors du lancement et comme les premiers retours ont été plutôt bons, j'ai réussi à vendre l'atelier. Donc, j'étais assez contente de moi. Il faut aussi dire ça, il faut aussi célébrer ses réussites. En fait, profiter de ce premier lancement pour recueillir des retours suite au programme. Et pour le coup, je l'ai transformé en formation en ligne. en l'améliorant suite au retour des participantes du programme ECA. Donc voilà, et donc aujourd'hui, la formation est bien en ligne. Choisis ton bon statut de freelance ou de solo pour mieux te rémunérer. Donc, n'hésitez pas à aller regarder si justement le contenu peut vous aider et si surtout vous vous posez des questions aujourd'hui sur votre statut juridique. Et sur le fait d'enlever des choses de mon emploi du temps, donc vous voyez le défi de faire moins de choses aussi, en fait, je vais être honnête avec vous. Si je n'avais pas fait ce travail de me dire qu'il fallait enlever des choses de mon emploi du temps, je n'aurais pas pu avoir l'énergie. ni le temps de mettre en place tout ça. En fait, c'était techniquement, matériellement impossible. C'est pour ça que quelques fois, je me dis, voilà, travaillez moins aussi parce qu'en fait, on ne se sent plus en adéquation avec ce dont on a envie de faire. Moins travailler et dire non à certaines choses, c'est aussi fait pour qu'on puisse se recentrer sur ce qu'on a envie de faire. Et en tous les cas... Ça a été vrai pour moi parce qu'en fait, je me rends compte aussi que je suis à nouveau, je suis en tout cas dans une phase où je suis en train de bâtir les fondations pour que mon cabinet puisse se recentrer sur ma clientèle chouchou de femmes freelance, solopreneurs. Quatrième défi, vous allez me dire mais comment tu as fait en termes de temps ? Parce que oui, évidemment, il y a plein de gens qui m'ont posé la question sur comment tu as fait pour faire ton lancement au niveau du programme. Alors déjà, je vais être très honnête avec vous. Donc, il y a eu cette espèce de creux, de vague au moment de la rentrée. J'étais vraiment dans le creux de la vague en termes d'activité. Et en fait, je me suis juste dit, vas-y, c'est le moment, comme c'est un peu plus calme, pourquoi est-ce que tu ne te lancerais pas justement sur le programme Éclair pour aider les femmes à choisir leur bon statut ? Et donc, c'est ce que j'ai fait. Et puis surtout, à côté, ce qu'il faut savoir, c'est que j'ai simplement dit non. pas mal d'opportunités, des opportunités de dossier parce que justement, moi dans ma tête, je considérais que ce n'était plus forcément ma priorité. Et en fait, je sais que quelquefois, ça peut paraître complètement contre-productif parce que l'idée, c'est quand même de faire du chiffre d'affaires quand on a un cabinet. Mais en fait, de mon côté, j'ai quand même refusé un certain nombre d'opportunités, vous voyez, type un détachement de plusieurs mois auprès d'un gros client, alors je crois une banque de mémoire. pour un montant de mission d'à peu près 25 000 euros, ou encore un dossier de cession d'une participation minoritaire pour une très grosse boîte. Et pour le coup, ça peut se chiffrer pas mal en termes de mission. Et encore d'autres refus que j'ai pu faire parce que je ne le sentais pas auprès du client, du prospect en tous les cas. Et en fait, au final, je suis plutôt contente d'avoir dit non. Même si, en fait, ce n'est pas simple parce que la question de faire du chiffre, encore une fois, peut se poser. Voilà. Mais en fait, dire non, c'est aussi se ménager de l'espace mental et du temps pour travailler sur des projets qui peuvent vous tenir à cœur. Donc moi, dans mon cas, c'est vraiment cette formation en ligne sur le choix du statut pour les freelancers et les indépendants que j'avais envie de mettre en place. Et en fait, je voulais clairement vérifier en amont si ça valait le coup. de lancer cette formation en ligne en proposant des gens un programme éclair, un programme en live. Alors aussi petit aparté, j'ai pu le faire aussi parce que j'avais des chiffres pas trop mauvais au premier semestre, avec un peu de trésorerie de côté. Et justement, grâce à l'augmentation de mes tarifs, j'ai eu le choix de dire non à toutes ces opportunités. Donc pour être plus raccord avec mes valeurs et sur la clientèle que je souhaite aider. Évidemment, je ne vous cache pas, quelquefois je me fais peur en disant non à des opportunités. Parce que vous voyez, on n'est jamais très logique quand on a un cerveau de personne à son compte. Parce que d'un côté, vous avez le système j'ai peur de dire non à des opportunités et pour le coup, vous prenez le dossier. Et après, quand on y réfléchit, on prend un peu de temps pour réfléchir. Est-ce que ça me convient ou pas ? En tous les cas, moi je fonctionne comme ça, je me suis rendu compte que ce n'est pas forcément... avec tes dossiers qui me permettraient d'atteindre mes objectifs en termes de vision pour mon cabinet. Et en fait, je me dis aussi que quelquefois, c'est aussi ça d'être indépendant. C'est d'avoir la liberté de choisir sur quoi on a envie de travailler. Et pour le coup, je ne regrette pas d'avoir dit non à toutes ces opportunités. Donc, je ne sais pas si j'ai réussi à relever tous ces défis, mais je le sens plutôt bien. Je suis plutôt en bonne voie, donc voilà. Et donc, sur le bilan 2024, en tous les cas, pour cette première partie, la leçon qu'il y a que j'en retiens pour cette année, c'est que travailler moins, ce n'est pas forcément un échec, c'est souvent en fait une stratégie. pour mieux travailler sur ce qui compte pour soi. Et donc, comme ça fait un petit moment que je parle, je vous propose de vous retrouver la semaine prochaine sur la deuxième partie du bilan. Et en fait, c'est sur le fait de vous faire aider. Parce que oui, pour moi, ça a été quand même quelque chose de me faire aider et qui m'a permis aujourd'hui d'être là où j'en suis. Donc voilà, écoutez, passez une bonne semaine. Je vous remercie. pour votre attention. N'hésitez pas à venir me faire des commentaires, m'envoyer des MP pour me dire ce que vous avez pensé de cet épisode bilan parce que clairement, ce n'est pas facile pour moi de le faire. Et puis, je vous retrouve à la semaine prochaine sur un nouvel épisode. À très bientôt !