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LE BOARD - podcast freelance & solopreneur : génère des revenus réguliers et augmente ta liberté d'indépendant (par Flavie Prévot)

4/5 🪫- Freelance : comment arrêter de se cramer et éviter le burn-out

4/5 🪫- Freelance : comment arrêter de se cramer et éviter le burn-out

14min |20/11/2025
Play
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LE BOARD - podcast freelance & solopreneur : génère des revenus réguliers et augmente ta liberté d'indépendant (par Flavie Prévot)

4/5 🪫- Freelance : comment arrêter de se cramer et éviter le burn-out

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14min |20/11/2025
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Description

Tu enchaînes les nocturnes jusqu'à 1h30 du mat', tu dis oui à tous tes clients et tu avances tête dans le guidon au point de faire sauter tes pauses dej' ?


🚩 Attention aux redflags, tu as tous les symptômes du freelance surmené...


Alors comment développer son business sans se cramer, et surtout, en évitant le burn-out ? C'est tout le sujet de cette mini-série.


Dans cet épisode, je reçois Jenny Chammas, coach et créatrice du podcast Sensées (anciennement Femme Ambitieuse). Elle accompagne des femmes dirigeantes et entrepreneures à sortir du surmenage pour retrouver sérénité et performance.


Au programme :

📌 Comment gérer ses priorités sans vouloir tout faire en même temps ?

📌 Comment combattre son perfectionnisme et oser lancer imparfait ?

📌 Comment mieux valoriser son travail et arrêter de vendre son temps ?

📌 Comment oser déléguer quand on est solo et que tout repose sur nous ?

📌 Comment s'autoriser à se reposer sans culpabiliser ?

📌 Quelles pratiques quotidiennes pour préserver son énergie (sieste, méditation, respiration) ?


Un épisode qui va t'aider à reprendre le contrôle, à bosser moins mais mieux, et à enfin profiter de la liberté qu'offre la vie de solopreneur !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP 01 - I’m free - Stevie Wonder

EP02 - Abracadabra - Lady Gaga

EP03 - Voulez-vous - ABBA

EP04 - Runnin' (Lose It All) - Naughty Boy ft. Beyoncé, Arrow Benjamin

EP05 - Breathe - Sean Paul feat. Blue Cantre


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Jenny, tu nous l'as gardé presque pour la fin de l'épisode tellement que c'est un gros dossier. Se faire aider quand on est solopreneur, freelance. Quel est ton point de vue sur la chose ? Qu'est-ce qu'on peut faire pour travailler le côté ? Je dois tout faire, c'est moi le cerveau dans l'opération, je suis seule au monde, j'ai pas d'aide. Qu'est-ce qui pourrait nous décoincer un peu cette partie-là ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense que décoincer cette partie-là, c'est peut-être penser à qu'est-ce qui se passerait si je m'autorisais à penser différemment. Ce qui se passerait probablement, c'est que déjà je ferais davantage de choses que je kiffe. Peut-être je gagnerais aussi plus d'argent. Ou alors, j'aurai plus de temps, plus de liberté. Parce qu'au fond, je pense que quand on est solopreneur, vraiment la limite du fait d'être seul, c'est cette limite de vouloir absolument tout faire et tout couvrir et du coup, de passer du temps là où on ne crée aucune valeur. Et donc, c'est coûteux à la fois en temps, en argent. Et aussi émotionnellement, parce qu'en général, c'est des trucs qu'on n'aime pas faire. Donc, c'est vraiment très coûteux, en réalité. Donc, moi, je conseille vivement de s'entourer. Et il y a différentes façons de s'entourer. Et je pense que là, c'est vraiment qu'est-ce que je trouve qui me parle. Est-ce que je m'entoure d'un écosystème d'autres solopreneurs ? Et quand je travaille sur une prestat, en fait, je ne fais que ce sur... Pourquoi je suis bon ? Mais en fait, du coup, je fais travailler un pote et on fait la prestat ensemble. Ou est-ce que je reste le lead, quoi qu'il arrive, mais je délègue en fait certaines choses ? Comme toi, tu délègues ton podcast en fait. Je délègue certaines choses sur lesquelles vraiment, je n'ai aucune valeur ajoutée, j'aime pas ça. Et je paye des prestataires en fait pour le faire.

  • Speaker #0

    Tu vois… Un petit truc qui m'a aidée à identifier ça, parce que je pense qu'on le sent quand on le fait. Tu vois, on passe un sale quart d'heure. Quand on est en train de passer une semaine de merde parce qu'on fait un truc qu'on ne devrait pas faire, on le sent, puis après, on oublie. Et donc, au moment de débourser de l'argent, on est là, bon, non, c'est bon, je vais faire moi-même. Et moi, un petit truc, tu vois, mon time tracking, j'ai un hashtag délégable. Et dès que, sur le moment, je fais un truc merdique, je me dis, mais je ne devrais pas faire ça, je ne sais pas comment on fait et tout, je mets hashtag délégable comme ça Tête reposée, un mois plus tard, je prends mon toggle, je regarde délégable et là, je prends cher parce que un mois, j'avais fait ça et j'avais compté 39 heures de trucs délégables. Donc, je n'ai pas forcément délégué les 39 heures parce qu'après, il faut trouver la bonne personne pour chaque truc. Tu ne vas pas prendre 14 freelance d'un coup et tout, mais j'ai bien... Et c'est là que j'ai commencé à travailler avec Ambre, mon assistante virtuelle. C'est à peu près 10 heures par mois. Mais ça m'élague. Une grosse partie des choses, c'est énormément de... de valeur ajoutée. Voilà, donc aussi peut-être pour les freelancers qui nous écoutent, qui se disent, parce que des fois, on va des discours un peu passer que moi, j'aime moyen en mode si tu ne délègues pas, tu es un gros naze et tout. Déléguer, ça coûte quand même cher. Il faut peut-être un peu scaler avant de se permettre d'avoir des grosses équipes. Mais donc, il y a des façons de déléguer pas cher, des petits forfaits, par exemple, cinq heures par mois, dix heures par mois ou bien des done with you, un petit peu des séances. moi j'ai pris ça tu vois stratégie SEO, une demi-journée de travail, ça m'avait coûté moins de 1000 euros, tu vois. Et du coup, c'est des petites enveloppes que tu peux te permettre et déjà, tu respires un peu. Comment tu... Tu te rappelles, toi, au début, quand justement, quand t'étais passée de solo à équipe, qu'est-ce que t'as fait ? T'es passée par quelles étapes ?

  • Speaker #1

    Moi, je suis... Et c'est justement ça dont je voulais parler. Moi, je crois que c'est vraiment en fait la première marche la plus dure. Et donc, c'est pour ça que ton conseil de commencer petit est un excellent conseil. Et donc, moi, j'avais commencé par prendre une assistante virtuelle 10 heures par mois. Et donc, cette première marche, et donc, c'était notamment pour le podcast, pour quelques publis sur les réseaux. La première marche avait l'air d'être une énorme marche. Je fais ce truc et au bout de deux semaines, je lui dis non, mais en fait, je te file 25 heures. finalement on a fini par bosser 5 ans ensemble et elle a fait plein plein d'autres choses mais ce que je veux dire c'est que ça permet déjà aussi de se tester et de quel type de format on a besoin, est-ce que l'assistante virtuelle c'est un bon truc ou alors au contraire on préfère ce que tu proposais un peu ce partnership sur un sur un sujet qui nous lance sur une façon de faire etc. et donc tester ça permet de le faire à petit budget et de s'essayer à ça. Et en fait, et ça, c'est aussi l'âme d'être entrepreneur. En fait, il faut tester pour voir. Et si on est en train de se cramer, le jeu en vaut peut-être la chandelle de tester. Oui,

  • Speaker #0

    parce qu'on crée une forme de dette et beaucoup de solopreneurs en parlent de ça, notamment Aline Bartoli, on en parlait tout à l'heure. Elle a... payer cher en fait le fait de faire beaucoup de choses toute seule et elle disait qu'elle a mis à peu près genre deux ans ensuite à combler sa dette, sa dette de tout quoi, process, fatigue, épuisement, parce que voilà on fait le surhomme pendant un petit moment puis au bout d'un moment ça revient. alors une autre question pour toi Jenny c'est tout à l'heure je disais le temps est un budget mais bizarrement j'ai remarqué que les gens ont du mal quand même le budget n'est pas miscible, en gros quand tu leur dis si tu payes 10 000 euros pour ça tu vas récupérer ta vie, tu auras du temps, tu verras tes enfants. Souvent, ils ont du mal quand même à lâcher l'argent pour racheter du temps, pour racheter de la sérénité. Comment ça se fait qu'on bloque comme ça sur des investissements financiers, alors même que c'est ça qui nous permettrait de ne pas être en surmenage avec tous les coûts indirects qui seront bien supérieurs si on finit en burn-out en fait ?

  • Speaker #1

    En fait, moi je pense que ça tient à deux choses. La première chose, c'est le rapport à l'argent. Donc, en fait, être en paix avec l'argent et savoir que l'argent, c'est de l'énergie. Ça va, ça vient. Quand on est solopreneur, freelance, on se rend compte avec le temps qu'on est capable d'en faire venir. Et du coup, en fait, c'est une énergie qui se partage. C'est-à-dire que si on n'arrive pas à aussi payer, c'est difficile de faire venir. Donc, pour moi, il y a vraiment un truc de « Ok, ça doit circuler » . et puis du coup je perds mon deuxième point donc le premier point c'est vraiment le mindset donc accepter en fait d'avoir un rapport apaisé à l'argent et puis la deuxième chose c'est que c'est pas parce qu'on est seul qu'on doit pas investir en fait si on interroge des entrepreneurs et des solopreneurs à succès, c'est-à-dire qui ont pas mal d'expérience, ont eu plein d'échecs et des succès, parce qu'à succès, ça ne veut rien dire.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Ils diront, en fait, c'est les investissements qui m'ont fait le plus peur, qui m'ont fait le plus grandir. Moi, je sais qu'à chaque fois que j'ai des personnes au téléphone pour faire un coaching avec moi, mais elles flippent à fond de dire, allez, j'investis en moi. Donc là, j'investis dans mon bien-être, j'investis dans mon leadership, j'investis dans ma valeur. C'est hyper dur. Et à la fin, elles me disent « Oh, mais pourquoi je ne l'ai pas fait avant ? J'ai tellement bien fait. » Donc, en fait, il faut savoir que c'est difficile d'investir en fonds. Moi,

  • Speaker #0

    je me faisais la réflexion que peut-être c'est un vestige aussi de notre vie de salarié. Tu sais, on a des mues un peu comme ça, on laisse des pots derrière nous. Donc, le 9 to 5, c'est vendre son temps, etc. Le côté un peu servile des fois qu'on a avec nos clients, alors qu'en fait, on devrait leur parler d'égal à égal. C'est la relation manager-manager et tout. et une des dernières pot, je trouve, c'était ça, c'est investir sur sa propre formation, parce qu'en corporate, on nous paye nos trucs, après on râle, on est d'accord ou pas d'accord, on dit j'ai pas assez de formation ou j'en ai trop, mais moi quand j'ai commencé à payer en fait 4000, 5000, 6000 euros pour me former, là je me suis dit ok c'est bon, je suis une vraie entrepreneur, je prends en charge mon propre truc, et voilà, ça y est, bye bye la vie de salarié, plus personne ne va s'occuper de moi, donc en fait, c'est le livre dont vous êtes le héros, si tu stagnes en compétences, c'est mort.

  • Speaker #1

    Oui, et puis je pense qu'il y a un autre truc qui est important à avoir en tête. Quand on est en surcharge de travail et qu'on a du mal à dire « allez, j'investis pour avoir un peu de temps » , on ne mesure pas à quel point le fait de regagner du souffle… et du temps peut avoir un impact extrêmement positif sur le business. Parce qu'on va avoir beaucoup plus de recul, beaucoup plus de clarté, on va être beaucoup plus créatif, et donc ça va forcément venir nourrir le business. Sauf que tant qu'on ne l'a pas fait, on a du mal à y croire. Au début, ça rajoute un peu.

  • Speaker #0

    Ça rajoute une petite charge de prendre une demi-journée par semaine pour se former, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est aussi un espace... Un espace où il y a de l'enthousiasme, il y a la vision des possibles. Et en fait, on a besoin de ça pour continuer sur le long terme. Parce que ce n'est pas un marathon, en fait. C'est de long terme.

  • Speaker #0

    C'est comme quand les gens me disaient « mais tu as été salarié diversifié, mais comment tu faisais pour avoir ton taf la journée et ton podcast le soir ? » Et moi, je disais « ça me reboostait tellement en motivation qu'en fait, je m'en foutais de bosser deux heures de plus par jour sur mon podcast, mais c'était la folie, j'adorais. » Et donc, voilà, c'est ce que tu disais. Ce n'est pas deux heures de temps perdu, c'est peut-être huit heures d'énergie gagnée. Hyper intéressant. Et peut-être un dernier sujet que je voulais tacler avant qu'on termine l'épisode avec ton dernier conseil, c'est l'investissement dans la sphère perso. Et ça, alors, il faudrait que j'en parle à l'occasion, mais on dit, il y a un peu ce self-made, enfin, ce mythe du self-made man, woman, où on serait tout seul, solopreneur, comme ça, on ferait tout tout seul. Moi, je m'entoure énormément de mes pairs. Je suis dans des communautés, j'achète des bootcamps, je me forme, j'ai mon propre incubateur, j'ai ma propre équipe de freelance. Et j'ai aussi, dans ma sphère perso, beaucoup d'aides. Donc, par exemple, un des premiers trucs que j'ai fait quand j'étais en société, c'était prendre des CESU, des chèques emploi-service pour... intensifier les travaux ménagers, le jardin, la garde d'enfants, etc. Je sollicite les grands-parents. Enfin, ils ne sont pas proches de moi, mais pour partir en vacances et tout. Et je pense que je ne ferais rien sans ça. Si je n'avais pas cette soupape de sécurité dans ma vie ménagère un peu de maman, et ça, toi qui as beaucoup de femmes, je pense qu'aussi les femmes prennent cher pour ça parce qu'elles ne lâchent pas assez leur, entre guillemets, le côté charge mentale perso. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est essentiel. Moi, je suis aussi team. En fait, on a besoin d'être accompagné, que ce soit quand on est en couple par son partenaire, mais aussi par tous les services dont on peut bénéficier. Après, à chacun de voir en fonction de sa bourse et en fonction de ses priorités.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, parfois, il y a des gens qui vont chercher des trucs sophistiqués. Et qui me disent, est-ce que tu crois que je devrais prendre un freelance, ghostwriter, copywriter, sur ci, sur ça ? Et ils vont se coltiner 5 heures de ménage par semaine. Tu as presque envie de dire, bah, ça commence par là, tu vois. Enfin bon, bref, après, je n'oublie personne. Mais moi, je ne suis pas dans la team non plus. Il faut se faire livrer ses repas pour être performant. Ce n'est pas du tout mon délire. Moi, j'aime bien éplucher mes petits légumes bio. Au contraire, c'est un moment où je me calme et je ne fais pas de business. J'écoute des podcasts culturels. Et ça, je ne l'externaliserai jamais. un des américains que je suis, la creator science qui dit ça, il dit un gourou de la productivité lui a dit mais tu devrais pas tondre ta pelouse aux US, ça t'en tonde ta pelouse, ça coûte 10 balles, tu prends un mec et il a dit mais si, je continue à tondre ma pelouse parce que c'est un truc méditatif où en fait je pense à ma vie et tout et c'est un moment que je veux absolument garder dans ce chaos où tout va trop vite comme on le disait en intro quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, non mais complètement je pense que en fait il faut il faut, si on peut ... se délester de tout ce qui nous prend du temps et qu'on n'aime pas faire.

  • Speaker #0

    Voilà, c'est ça.

  • Speaker #1

    Vraiment, qui est une charge, quoi.

  • Speaker #0

    Bon, mais trop bien. Donc, qu'est-ce qu'on fait ? Un petit audit des trucs qu'on peut déléguer ? Par quoi ? Complètement.

  • Speaker #1

    Je pense que l'audit des choses qu'on peut déléguer et peut-être ici, sans pression, on fait l'audit des choses qu'on peut déléguer, on choisit un truc et on teste. Même si c'est juste une chose, une chose qui n'est pas énorme, ce n'est pas grave. juste... pour voir.

  • Speaker #0

    J'adore. Allez, j'achète et puis je vous glisserai dans la newsletter un petit tâche que j'avais fait. J'avais fait les 100 tâches à déléguer en freelance. J'avais fait ça à l'époque que j'avais bossé avec Fiverr sur un sujet. Qu'est-ce qu'on peut déléguer et tout ? Donc, je vous glisse cette petite ressource comme ça, si vous n'avez pas d'idées ou si vous voulez voir en plus peut-être des idées, vous pouvez les checker. Et puis, je te propose, Jenny, qu'on termine avec le gros, gros, gros dossier, avoir le droit de se reposer en freelance ou solopreneur. Allez, c'est parti.

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Tu enchaînes les nocturnes jusqu'à 1h30 du mat', tu dis oui à tous tes clients et tu avances tête dans le guidon au point de faire sauter tes pauses dej' ?


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Alors comment développer son business sans se cramer, et surtout, en évitant le burn-out ? C'est tout le sujet de cette mini-série.


Dans cet épisode, je reçois Jenny Chammas, coach et créatrice du podcast Sensées (anciennement Femme Ambitieuse). Elle accompagne des femmes dirigeantes et entrepreneures à sortir du surmenage pour retrouver sérénité et performance.


Au programme :

📌 Comment gérer ses priorités sans vouloir tout faire en même temps ?

📌 Comment combattre son perfectionnisme et oser lancer imparfait ?

📌 Comment mieux valoriser son travail et arrêter de vendre son temps ?

📌 Comment oser déléguer quand on est solo et que tout repose sur nous ?

📌 Comment s'autoriser à se reposer sans culpabiliser ?

📌 Quelles pratiques quotidiennes pour préserver son énergie (sieste, méditation, respiration) ?


Un épisode qui va t'aider à reprendre le contrôle, à bosser moins mais mieux, et à enfin profiter de la liberté qu'offre la vie de solopreneur !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP 01 - I’m free - Stevie Wonder

EP02 - Abracadabra - Lady Gaga

EP03 - Voulez-vous - ABBA

EP04 - Runnin' (Lose It All) - Naughty Boy ft. Beyoncé, Arrow Benjamin

EP05 - Breathe - Sean Paul feat. Blue Cantre


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Jenny, tu nous l'as gardé presque pour la fin de l'épisode tellement que c'est un gros dossier. Se faire aider quand on est solopreneur, freelance. Quel est ton point de vue sur la chose ? Qu'est-ce qu'on peut faire pour travailler le côté ? Je dois tout faire, c'est moi le cerveau dans l'opération, je suis seule au monde, j'ai pas d'aide. Qu'est-ce qui pourrait nous décoincer un peu cette partie-là ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense que décoincer cette partie-là, c'est peut-être penser à qu'est-ce qui se passerait si je m'autorisais à penser différemment. Ce qui se passerait probablement, c'est que déjà je ferais davantage de choses que je kiffe. Peut-être je gagnerais aussi plus d'argent. Ou alors, j'aurai plus de temps, plus de liberté. Parce qu'au fond, je pense que quand on est solopreneur, vraiment la limite du fait d'être seul, c'est cette limite de vouloir absolument tout faire et tout couvrir et du coup, de passer du temps là où on ne crée aucune valeur. Et donc, c'est coûteux à la fois en temps, en argent. Et aussi émotionnellement, parce qu'en général, c'est des trucs qu'on n'aime pas faire. Donc, c'est vraiment très coûteux, en réalité. Donc, moi, je conseille vivement de s'entourer. Et il y a différentes façons de s'entourer. Et je pense que là, c'est vraiment qu'est-ce que je trouve qui me parle. Est-ce que je m'entoure d'un écosystème d'autres solopreneurs ? Et quand je travaille sur une prestat, en fait, je ne fais que ce sur... Pourquoi je suis bon ? Mais en fait, du coup, je fais travailler un pote et on fait la prestat ensemble. Ou est-ce que je reste le lead, quoi qu'il arrive, mais je délègue en fait certaines choses ? Comme toi, tu délègues ton podcast en fait. Je délègue certaines choses sur lesquelles vraiment, je n'ai aucune valeur ajoutée, j'aime pas ça. Et je paye des prestataires en fait pour le faire.

  • Speaker #0

    Tu vois… Un petit truc qui m'a aidée à identifier ça, parce que je pense qu'on le sent quand on le fait. Tu vois, on passe un sale quart d'heure. Quand on est en train de passer une semaine de merde parce qu'on fait un truc qu'on ne devrait pas faire, on le sent, puis après, on oublie. Et donc, au moment de débourser de l'argent, on est là, bon, non, c'est bon, je vais faire moi-même. Et moi, un petit truc, tu vois, mon time tracking, j'ai un hashtag délégable. Et dès que, sur le moment, je fais un truc merdique, je me dis, mais je ne devrais pas faire ça, je ne sais pas comment on fait et tout, je mets hashtag délégable comme ça Tête reposée, un mois plus tard, je prends mon toggle, je regarde délégable et là, je prends cher parce que un mois, j'avais fait ça et j'avais compté 39 heures de trucs délégables. Donc, je n'ai pas forcément délégué les 39 heures parce qu'après, il faut trouver la bonne personne pour chaque truc. Tu ne vas pas prendre 14 freelance d'un coup et tout, mais j'ai bien... Et c'est là que j'ai commencé à travailler avec Ambre, mon assistante virtuelle. C'est à peu près 10 heures par mois. Mais ça m'élague. Une grosse partie des choses, c'est énormément de... de valeur ajoutée. Voilà, donc aussi peut-être pour les freelancers qui nous écoutent, qui se disent, parce que des fois, on va des discours un peu passer que moi, j'aime moyen en mode si tu ne délègues pas, tu es un gros naze et tout. Déléguer, ça coûte quand même cher. Il faut peut-être un peu scaler avant de se permettre d'avoir des grosses équipes. Mais donc, il y a des façons de déléguer pas cher, des petits forfaits, par exemple, cinq heures par mois, dix heures par mois ou bien des done with you, un petit peu des séances. moi j'ai pris ça tu vois stratégie SEO, une demi-journée de travail, ça m'avait coûté moins de 1000 euros, tu vois. Et du coup, c'est des petites enveloppes que tu peux te permettre et déjà, tu respires un peu. Comment tu... Tu te rappelles, toi, au début, quand justement, quand t'étais passée de solo à équipe, qu'est-ce que t'as fait ? T'es passée par quelles étapes ?

  • Speaker #1

    Moi, je suis... Et c'est justement ça dont je voulais parler. Moi, je crois que c'est vraiment en fait la première marche la plus dure. Et donc, c'est pour ça que ton conseil de commencer petit est un excellent conseil. Et donc, moi, j'avais commencé par prendre une assistante virtuelle 10 heures par mois. Et donc, cette première marche, et donc, c'était notamment pour le podcast, pour quelques publis sur les réseaux. La première marche avait l'air d'être une énorme marche. Je fais ce truc et au bout de deux semaines, je lui dis non, mais en fait, je te file 25 heures. finalement on a fini par bosser 5 ans ensemble et elle a fait plein plein d'autres choses mais ce que je veux dire c'est que ça permet déjà aussi de se tester et de quel type de format on a besoin, est-ce que l'assistante virtuelle c'est un bon truc ou alors au contraire on préfère ce que tu proposais un peu ce partnership sur un sur un sujet qui nous lance sur une façon de faire etc. et donc tester ça permet de le faire à petit budget et de s'essayer à ça. Et en fait, et ça, c'est aussi l'âme d'être entrepreneur. En fait, il faut tester pour voir. Et si on est en train de se cramer, le jeu en vaut peut-être la chandelle de tester. Oui,

  • Speaker #0

    parce qu'on crée une forme de dette et beaucoup de solopreneurs en parlent de ça, notamment Aline Bartoli, on en parlait tout à l'heure. Elle a... payer cher en fait le fait de faire beaucoup de choses toute seule et elle disait qu'elle a mis à peu près genre deux ans ensuite à combler sa dette, sa dette de tout quoi, process, fatigue, épuisement, parce que voilà on fait le surhomme pendant un petit moment puis au bout d'un moment ça revient. alors une autre question pour toi Jenny c'est tout à l'heure je disais le temps est un budget mais bizarrement j'ai remarqué que les gens ont du mal quand même le budget n'est pas miscible, en gros quand tu leur dis si tu payes 10 000 euros pour ça tu vas récupérer ta vie, tu auras du temps, tu verras tes enfants. Souvent, ils ont du mal quand même à lâcher l'argent pour racheter du temps, pour racheter de la sérénité. Comment ça se fait qu'on bloque comme ça sur des investissements financiers, alors même que c'est ça qui nous permettrait de ne pas être en surmenage avec tous les coûts indirects qui seront bien supérieurs si on finit en burn-out en fait ?

  • Speaker #1

    En fait, moi je pense que ça tient à deux choses. La première chose, c'est le rapport à l'argent. Donc, en fait, être en paix avec l'argent et savoir que l'argent, c'est de l'énergie. Ça va, ça vient. Quand on est solopreneur, freelance, on se rend compte avec le temps qu'on est capable d'en faire venir. Et du coup, en fait, c'est une énergie qui se partage. C'est-à-dire que si on n'arrive pas à aussi payer, c'est difficile de faire venir. Donc, pour moi, il y a vraiment un truc de « Ok, ça doit circuler » . et puis du coup je perds mon deuxième point donc le premier point c'est vraiment le mindset donc accepter en fait d'avoir un rapport apaisé à l'argent et puis la deuxième chose c'est que c'est pas parce qu'on est seul qu'on doit pas investir en fait si on interroge des entrepreneurs et des solopreneurs à succès, c'est-à-dire qui ont pas mal d'expérience, ont eu plein d'échecs et des succès, parce qu'à succès, ça ne veut rien dire.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Ils diront, en fait, c'est les investissements qui m'ont fait le plus peur, qui m'ont fait le plus grandir. Moi, je sais qu'à chaque fois que j'ai des personnes au téléphone pour faire un coaching avec moi, mais elles flippent à fond de dire, allez, j'investis en moi. Donc là, j'investis dans mon bien-être, j'investis dans mon leadership, j'investis dans ma valeur. C'est hyper dur. Et à la fin, elles me disent « Oh, mais pourquoi je ne l'ai pas fait avant ? J'ai tellement bien fait. » Donc, en fait, il faut savoir que c'est difficile d'investir en fonds. Moi,

  • Speaker #0

    je me faisais la réflexion que peut-être c'est un vestige aussi de notre vie de salarié. Tu sais, on a des mues un peu comme ça, on laisse des pots derrière nous. Donc, le 9 to 5, c'est vendre son temps, etc. Le côté un peu servile des fois qu'on a avec nos clients, alors qu'en fait, on devrait leur parler d'égal à égal. C'est la relation manager-manager et tout. et une des dernières pot, je trouve, c'était ça, c'est investir sur sa propre formation, parce qu'en corporate, on nous paye nos trucs, après on râle, on est d'accord ou pas d'accord, on dit j'ai pas assez de formation ou j'en ai trop, mais moi quand j'ai commencé à payer en fait 4000, 5000, 6000 euros pour me former, là je me suis dit ok c'est bon, je suis une vraie entrepreneur, je prends en charge mon propre truc, et voilà, ça y est, bye bye la vie de salarié, plus personne ne va s'occuper de moi, donc en fait, c'est le livre dont vous êtes le héros, si tu stagnes en compétences, c'est mort.

  • Speaker #1

    Oui, et puis je pense qu'il y a un autre truc qui est important à avoir en tête. Quand on est en surcharge de travail et qu'on a du mal à dire « allez, j'investis pour avoir un peu de temps » , on ne mesure pas à quel point le fait de regagner du souffle… et du temps peut avoir un impact extrêmement positif sur le business. Parce qu'on va avoir beaucoup plus de recul, beaucoup plus de clarté, on va être beaucoup plus créatif, et donc ça va forcément venir nourrir le business. Sauf que tant qu'on ne l'a pas fait, on a du mal à y croire. Au début, ça rajoute un peu.

  • Speaker #0

    Ça rajoute une petite charge de prendre une demi-journée par semaine pour se former, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est aussi un espace... Un espace où il y a de l'enthousiasme, il y a la vision des possibles. Et en fait, on a besoin de ça pour continuer sur le long terme. Parce que ce n'est pas un marathon, en fait. C'est de long terme.

  • Speaker #0

    C'est comme quand les gens me disaient « mais tu as été salarié diversifié, mais comment tu faisais pour avoir ton taf la journée et ton podcast le soir ? » Et moi, je disais « ça me reboostait tellement en motivation qu'en fait, je m'en foutais de bosser deux heures de plus par jour sur mon podcast, mais c'était la folie, j'adorais. » Et donc, voilà, c'est ce que tu disais. Ce n'est pas deux heures de temps perdu, c'est peut-être huit heures d'énergie gagnée. Hyper intéressant. Et peut-être un dernier sujet que je voulais tacler avant qu'on termine l'épisode avec ton dernier conseil, c'est l'investissement dans la sphère perso. Et ça, alors, il faudrait que j'en parle à l'occasion, mais on dit, il y a un peu ce self-made, enfin, ce mythe du self-made man, woman, où on serait tout seul, solopreneur, comme ça, on ferait tout tout seul. Moi, je m'entoure énormément de mes pairs. Je suis dans des communautés, j'achète des bootcamps, je me forme, j'ai mon propre incubateur, j'ai ma propre équipe de freelance. Et j'ai aussi, dans ma sphère perso, beaucoup d'aides. Donc, par exemple, un des premiers trucs que j'ai fait quand j'étais en société, c'était prendre des CESU, des chèques emploi-service pour... intensifier les travaux ménagers, le jardin, la garde d'enfants, etc. Je sollicite les grands-parents. Enfin, ils ne sont pas proches de moi, mais pour partir en vacances et tout. Et je pense que je ne ferais rien sans ça. Si je n'avais pas cette soupape de sécurité dans ma vie ménagère un peu de maman, et ça, toi qui as beaucoup de femmes, je pense qu'aussi les femmes prennent cher pour ça parce qu'elles ne lâchent pas assez leur, entre guillemets, le côté charge mentale perso. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est essentiel. Moi, je suis aussi team. En fait, on a besoin d'être accompagné, que ce soit quand on est en couple par son partenaire, mais aussi par tous les services dont on peut bénéficier. Après, à chacun de voir en fonction de sa bourse et en fonction de ses priorités.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, parfois, il y a des gens qui vont chercher des trucs sophistiqués. Et qui me disent, est-ce que tu crois que je devrais prendre un freelance, ghostwriter, copywriter, sur ci, sur ça ? Et ils vont se coltiner 5 heures de ménage par semaine. Tu as presque envie de dire, bah, ça commence par là, tu vois. Enfin bon, bref, après, je n'oublie personne. Mais moi, je ne suis pas dans la team non plus. Il faut se faire livrer ses repas pour être performant. Ce n'est pas du tout mon délire. Moi, j'aime bien éplucher mes petits légumes bio. Au contraire, c'est un moment où je me calme et je ne fais pas de business. J'écoute des podcasts culturels. Et ça, je ne l'externaliserai jamais. un des américains que je suis, la creator science qui dit ça, il dit un gourou de la productivité lui a dit mais tu devrais pas tondre ta pelouse aux US, ça t'en tonde ta pelouse, ça coûte 10 balles, tu prends un mec et il a dit mais si, je continue à tondre ma pelouse parce que c'est un truc méditatif où en fait je pense à ma vie et tout et c'est un moment que je veux absolument garder dans ce chaos où tout va trop vite comme on le disait en intro quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, non mais complètement je pense que en fait il faut il faut, si on peut ... se délester de tout ce qui nous prend du temps et qu'on n'aime pas faire.

  • Speaker #0

    Voilà, c'est ça.

  • Speaker #1

    Vraiment, qui est une charge, quoi.

  • Speaker #0

    Bon, mais trop bien. Donc, qu'est-ce qu'on fait ? Un petit audit des trucs qu'on peut déléguer ? Par quoi ? Complètement.

  • Speaker #1

    Je pense que l'audit des choses qu'on peut déléguer et peut-être ici, sans pression, on fait l'audit des choses qu'on peut déléguer, on choisit un truc et on teste. Même si c'est juste une chose, une chose qui n'est pas énorme, ce n'est pas grave. juste... pour voir.

  • Speaker #0

    J'adore. Allez, j'achète et puis je vous glisserai dans la newsletter un petit tâche que j'avais fait. J'avais fait les 100 tâches à déléguer en freelance. J'avais fait ça à l'époque que j'avais bossé avec Fiverr sur un sujet. Qu'est-ce qu'on peut déléguer et tout ? Donc, je vous glisse cette petite ressource comme ça, si vous n'avez pas d'idées ou si vous voulez voir en plus peut-être des idées, vous pouvez les checker. Et puis, je te propose, Jenny, qu'on termine avec le gros, gros, gros dossier, avoir le droit de se reposer en freelance ou solopreneur. Allez, c'est parti.

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Description

Tu enchaînes les nocturnes jusqu'à 1h30 du mat', tu dis oui à tous tes clients et tu avances tête dans le guidon au point de faire sauter tes pauses dej' ?


🚩 Attention aux redflags, tu as tous les symptômes du freelance surmené...


Alors comment développer son business sans se cramer, et surtout, en évitant le burn-out ? C'est tout le sujet de cette mini-série.


Dans cet épisode, je reçois Jenny Chammas, coach et créatrice du podcast Sensées (anciennement Femme Ambitieuse). Elle accompagne des femmes dirigeantes et entrepreneures à sortir du surmenage pour retrouver sérénité et performance.


Au programme :

📌 Comment gérer ses priorités sans vouloir tout faire en même temps ?

📌 Comment combattre son perfectionnisme et oser lancer imparfait ?

📌 Comment mieux valoriser son travail et arrêter de vendre son temps ?

📌 Comment oser déléguer quand on est solo et que tout repose sur nous ?

📌 Comment s'autoriser à se reposer sans culpabiliser ?

📌 Quelles pratiques quotidiennes pour préserver son énergie (sieste, méditation, respiration) ?


Un épisode qui va t'aider à reprendre le contrôle, à bosser moins mais mieux, et à enfin profiter de la liberté qu'offre la vie de solopreneur !


💌 Retrouve tous mes tips solopreneur et les bonus des épisodes dans la newsletter Solopreneur·e.


💜 Si ça t’a plu, soutiens le podcast en laissant 5 ⭐ et un avis sur Apple Podcast ou Spotify, ou en partageant sur tes réseaux (je réserve une petite surprise pour chaque avis sympa reçu).


Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP 01 - I’m free - Stevie Wonder

EP02 - Abracadabra - Lady Gaga

EP03 - Voulez-vous - ABBA

EP04 - Runnin' (Lose It All) - Naughty Boy ft. Beyoncé, Arrow Benjamin

EP05 - Breathe - Sean Paul feat. Blue Cantre


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Jenny, tu nous l'as gardé presque pour la fin de l'épisode tellement que c'est un gros dossier. Se faire aider quand on est solopreneur, freelance. Quel est ton point de vue sur la chose ? Qu'est-ce qu'on peut faire pour travailler le côté ? Je dois tout faire, c'est moi le cerveau dans l'opération, je suis seule au monde, j'ai pas d'aide. Qu'est-ce qui pourrait nous décoincer un peu cette partie-là ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense que décoincer cette partie-là, c'est peut-être penser à qu'est-ce qui se passerait si je m'autorisais à penser différemment. Ce qui se passerait probablement, c'est que déjà je ferais davantage de choses que je kiffe. Peut-être je gagnerais aussi plus d'argent. Ou alors, j'aurai plus de temps, plus de liberté. Parce qu'au fond, je pense que quand on est solopreneur, vraiment la limite du fait d'être seul, c'est cette limite de vouloir absolument tout faire et tout couvrir et du coup, de passer du temps là où on ne crée aucune valeur. Et donc, c'est coûteux à la fois en temps, en argent. Et aussi émotionnellement, parce qu'en général, c'est des trucs qu'on n'aime pas faire. Donc, c'est vraiment très coûteux, en réalité. Donc, moi, je conseille vivement de s'entourer. Et il y a différentes façons de s'entourer. Et je pense que là, c'est vraiment qu'est-ce que je trouve qui me parle. Est-ce que je m'entoure d'un écosystème d'autres solopreneurs ? Et quand je travaille sur une prestat, en fait, je ne fais que ce sur... Pourquoi je suis bon ? Mais en fait, du coup, je fais travailler un pote et on fait la prestat ensemble. Ou est-ce que je reste le lead, quoi qu'il arrive, mais je délègue en fait certaines choses ? Comme toi, tu délègues ton podcast en fait. Je délègue certaines choses sur lesquelles vraiment, je n'ai aucune valeur ajoutée, j'aime pas ça. Et je paye des prestataires en fait pour le faire.

  • Speaker #0

    Tu vois… Un petit truc qui m'a aidée à identifier ça, parce que je pense qu'on le sent quand on le fait. Tu vois, on passe un sale quart d'heure. Quand on est en train de passer une semaine de merde parce qu'on fait un truc qu'on ne devrait pas faire, on le sent, puis après, on oublie. Et donc, au moment de débourser de l'argent, on est là, bon, non, c'est bon, je vais faire moi-même. Et moi, un petit truc, tu vois, mon time tracking, j'ai un hashtag délégable. Et dès que, sur le moment, je fais un truc merdique, je me dis, mais je ne devrais pas faire ça, je ne sais pas comment on fait et tout, je mets hashtag délégable comme ça Tête reposée, un mois plus tard, je prends mon toggle, je regarde délégable et là, je prends cher parce que un mois, j'avais fait ça et j'avais compté 39 heures de trucs délégables. Donc, je n'ai pas forcément délégué les 39 heures parce qu'après, il faut trouver la bonne personne pour chaque truc. Tu ne vas pas prendre 14 freelance d'un coup et tout, mais j'ai bien... Et c'est là que j'ai commencé à travailler avec Ambre, mon assistante virtuelle. C'est à peu près 10 heures par mois. Mais ça m'élague. Une grosse partie des choses, c'est énormément de... de valeur ajoutée. Voilà, donc aussi peut-être pour les freelancers qui nous écoutent, qui se disent, parce que des fois, on va des discours un peu passer que moi, j'aime moyen en mode si tu ne délègues pas, tu es un gros naze et tout. Déléguer, ça coûte quand même cher. Il faut peut-être un peu scaler avant de se permettre d'avoir des grosses équipes. Mais donc, il y a des façons de déléguer pas cher, des petits forfaits, par exemple, cinq heures par mois, dix heures par mois ou bien des done with you, un petit peu des séances. moi j'ai pris ça tu vois stratégie SEO, une demi-journée de travail, ça m'avait coûté moins de 1000 euros, tu vois. Et du coup, c'est des petites enveloppes que tu peux te permettre et déjà, tu respires un peu. Comment tu... Tu te rappelles, toi, au début, quand justement, quand t'étais passée de solo à équipe, qu'est-ce que t'as fait ? T'es passée par quelles étapes ?

  • Speaker #1

    Moi, je suis... Et c'est justement ça dont je voulais parler. Moi, je crois que c'est vraiment en fait la première marche la plus dure. Et donc, c'est pour ça que ton conseil de commencer petit est un excellent conseil. Et donc, moi, j'avais commencé par prendre une assistante virtuelle 10 heures par mois. Et donc, cette première marche, et donc, c'était notamment pour le podcast, pour quelques publis sur les réseaux. La première marche avait l'air d'être une énorme marche. Je fais ce truc et au bout de deux semaines, je lui dis non, mais en fait, je te file 25 heures. finalement on a fini par bosser 5 ans ensemble et elle a fait plein plein d'autres choses mais ce que je veux dire c'est que ça permet déjà aussi de se tester et de quel type de format on a besoin, est-ce que l'assistante virtuelle c'est un bon truc ou alors au contraire on préfère ce que tu proposais un peu ce partnership sur un sur un sujet qui nous lance sur une façon de faire etc. et donc tester ça permet de le faire à petit budget et de s'essayer à ça. Et en fait, et ça, c'est aussi l'âme d'être entrepreneur. En fait, il faut tester pour voir. Et si on est en train de se cramer, le jeu en vaut peut-être la chandelle de tester. Oui,

  • Speaker #0

    parce qu'on crée une forme de dette et beaucoup de solopreneurs en parlent de ça, notamment Aline Bartoli, on en parlait tout à l'heure. Elle a... payer cher en fait le fait de faire beaucoup de choses toute seule et elle disait qu'elle a mis à peu près genre deux ans ensuite à combler sa dette, sa dette de tout quoi, process, fatigue, épuisement, parce que voilà on fait le surhomme pendant un petit moment puis au bout d'un moment ça revient. alors une autre question pour toi Jenny c'est tout à l'heure je disais le temps est un budget mais bizarrement j'ai remarqué que les gens ont du mal quand même le budget n'est pas miscible, en gros quand tu leur dis si tu payes 10 000 euros pour ça tu vas récupérer ta vie, tu auras du temps, tu verras tes enfants. Souvent, ils ont du mal quand même à lâcher l'argent pour racheter du temps, pour racheter de la sérénité. Comment ça se fait qu'on bloque comme ça sur des investissements financiers, alors même que c'est ça qui nous permettrait de ne pas être en surmenage avec tous les coûts indirects qui seront bien supérieurs si on finit en burn-out en fait ?

  • Speaker #1

    En fait, moi je pense que ça tient à deux choses. La première chose, c'est le rapport à l'argent. Donc, en fait, être en paix avec l'argent et savoir que l'argent, c'est de l'énergie. Ça va, ça vient. Quand on est solopreneur, freelance, on se rend compte avec le temps qu'on est capable d'en faire venir. Et du coup, en fait, c'est une énergie qui se partage. C'est-à-dire que si on n'arrive pas à aussi payer, c'est difficile de faire venir. Donc, pour moi, il y a vraiment un truc de « Ok, ça doit circuler » . et puis du coup je perds mon deuxième point donc le premier point c'est vraiment le mindset donc accepter en fait d'avoir un rapport apaisé à l'argent et puis la deuxième chose c'est que c'est pas parce qu'on est seul qu'on doit pas investir en fait si on interroge des entrepreneurs et des solopreneurs à succès, c'est-à-dire qui ont pas mal d'expérience, ont eu plein d'échecs et des succès, parce qu'à succès, ça ne veut rien dire.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Ils diront, en fait, c'est les investissements qui m'ont fait le plus peur, qui m'ont fait le plus grandir. Moi, je sais qu'à chaque fois que j'ai des personnes au téléphone pour faire un coaching avec moi, mais elles flippent à fond de dire, allez, j'investis en moi. Donc là, j'investis dans mon bien-être, j'investis dans mon leadership, j'investis dans ma valeur. C'est hyper dur. Et à la fin, elles me disent « Oh, mais pourquoi je ne l'ai pas fait avant ? J'ai tellement bien fait. » Donc, en fait, il faut savoir que c'est difficile d'investir en fonds. Moi,

  • Speaker #0

    je me faisais la réflexion que peut-être c'est un vestige aussi de notre vie de salarié. Tu sais, on a des mues un peu comme ça, on laisse des pots derrière nous. Donc, le 9 to 5, c'est vendre son temps, etc. Le côté un peu servile des fois qu'on a avec nos clients, alors qu'en fait, on devrait leur parler d'égal à égal. C'est la relation manager-manager et tout. et une des dernières pot, je trouve, c'était ça, c'est investir sur sa propre formation, parce qu'en corporate, on nous paye nos trucs, après on râle, on est d'accord ou pas d'accord, on dit j'ai pas assez de formation ou j'en ai trop, mais moi quand j'ai commencé à payer en fait 4000, 5000, 6000 euros pour me former, là je me suis dit ok c'est bon, je suis une vraie entrepreneur, je prends en charge mon propre truc, et voilà, ça y est, bye bye la vie de salarié, plus personne ne va s'occuper de moi, donc en fait, c'est le livre dont vous êtes le héros, si tu stagnes en compétences, c'est mort.

  • Speaker #1

    Oui, et puis je pense qu'il y a un autre truc qui est important à avoir en tête. Quand on est en surcharge de travail et qu'on a du mal à dire « allez, j'investis pour avoir un peu de temps » , on ne mesure pas à quel point le fait de regagner du souffle… et du temps peut avoir un impact extrêmement positif sur le business. Parce qu'on va avoir beaucoup plus de recul, beaucoup plus de clarté, on va être beaucoup plus créatif, et donc ça va forcément venir nourrir le business. Sauf que tant qu'on ne l'a pas fait, on a du mal à y croire. Au début, ça rajoute un peu.

  • Speaker #0

    Ça rajoute une petite charge de prendre une demi-journée par semaine pour se former, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est aussi un espace... Un espace où il y a de l'enthousiasme, il y a la vision des possibles. Et en fait, on a besoin de ça pour continuer sur le long terme. Parce que ce n'est pas un marathon, en fait. C'est de long terme.

  • Speaker #0

    C'est comme quand les gens me disaient « mais tu as été salarié diversifié, mais comment tu faisais pour avoir ton taf la journée et ton podcast le soir ? » Et moi, je disais « ça me reboostait tellement en motivation qu'en fait, je m'en foutais de bosser deux heures de plus par jour sur mon podcast, mais c'était la folie, j'adorais. » Et donc, voilà, c'est ce que tu disais. Ce n'est pas deux heures de temps perdu, c'est peut-être huit heures d'énergie gagnée. Hyper intéressant. Et peut-être un dernier sujet que je voulais tacler avant qu'on termine l'épisode avec ton dernier conseil, c'est l'investissement dans la sphère perso. Et ça, alors, il faudrait que j'en parle à l'occasion, mais on dit, il y a un peu ce self-made, enfin, ce mythe du self-made man, woman, où on serait tout seul, solopreneur, comme ça, on ferait tout tout seul. Moi, je m'entoure énormément de mes pairs. Je suis dans des communautés, j'achète des bootcamps, je me forme, j'ai mon propre incubateur, j'ai ma propre équipe de freelance. Et j'ai aussi, dans ma sphère perso, beaucoup d'aides. Donc, par exemple, un des premiers trucs que j'ai fait quand j'étais en société, c'était prendre des CESU, des chèques emploi-service pour... intensifier les travaux ménagers, le jardin, la garde d'enfants, etc. Je sollicite les grands-parents. Enfin, ils ne sont pas proches de moi, mais pour partir en vacances et tout. Et je pense que je ne ferais rien sans ça. Si je n'avais pas cette soupape de sécurité dans ma vie ménagère un peu de maman, et ça, toi qui as beaucoup de femmes, je pense qu'aussi les femmes prennent cher pour ça parce qu'elles ne lâchent pas assez leur, entre guillemets, le côté charge mentale perso. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est essentiel. Moi, je suis aussi team. En fait, on a besoin d'être accompagné, que ce soit quand on est en couple par son partenaire, mais aussi par tous les services dont on peut bénéficier. Après, à chacun de voir en fonction de sa bourse et en fonction de ses priorités.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, parfois, il y a des gens qui vont chercher des trucs sophistiqués. Et qui me disent, est-ce que tu crois que je devrais prendre un freelance, ghostwriter, copywriter, sur ci, sur ça ? Et ils vont se coltiner 5 heures de ménage par semaine. Tu as presque envie de dire, bah, ça commence par là, tu vois. Enfin bon, bref, après, je n'oublie personne. Mais moi, je ne suis pas dans la team non plus. Il faut se faire livrer ses repas pour être performant. Ce n'est pas du tout mon délire. Moi, j'aime bien éplucher mes petits légumes bio. Au contraire, c'est un moment où je me calme et je ne fais pas de business. J'écoute des podcasts culturels. Et ça, je ne l'externaliserai jamais. un des américains que je suis, la creator science qui dit ça, il dit un gourou de la productivité lui a dit mais tu devrais pas tondre ta pelouse aux US, ça t'en tonde ta pelouse, ça coûte 10 balles, tu prends un mec et il a dit mais si, je continue à tondre ma pelouse parce que c'est un truc méditatif où en fait je pense à ma vie et tout et c'est un moment que je veux absolument garder dans ce chaos où tout va trop vite comme on le disait en intro quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, non mais complètement je pense que en fait il faut il faut, si on peut ... se délester de tout ce qui nous prend du temps et qu'on n'aime pas faire.

  • Speaker #0

    Voilà, c'est ça.

  • Speaker #1

    Vraiment, qui est une charge, quoi.

  • Speaker #0

    Bon, mais trop bien. Donc, qu'est-ce qu'on fait ? Un petit audit des trucs qu'on peut déléguer ? Par quoi ? Complètement.

  • Speaker #1

    Je pense que l'audit des choses qu'on peut déléguer et peut-être ici, sans pression, on fait l'audit des choses qu'on peut déléguer, on choisit un truc et on teste. Même si c'est juste une chose, une chose qui n'est pas énorme, ce n'est pas grave. juste... pour voir.

  • Speaker #0

    J'adore. Allez, j'achète et puis je vous glisserai dans la newsletter un petit tâche que j'avais fait. J'avais fait les 100 tâches à déléguer en freelance. J'avais fait ça à l'époque que j'avais bossé avec Fiverr sur un sujet. Qu'est-ce qu'on peut déléguer et tout ? Donc, je vous glisse cette petite ressource comme ça, si vous n'avez pas d'idées ou si vous voulez voir en plus peut-être des idées, vous pouvez les checker. Et puis, je te propose, Jenny, qu'on termine avec le gros, gros, gros dossier, avoir le droit de se reposer en freelance ou solopreneur. Allez, c'est parti.

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Tu enchaînes les nocturnes jusqu'à 1h30 du mat', tu dis oui à tous tes clients et tu avances tête dans le guidon au point de faire sauter tes pauses dej' ?


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Alors comment développer son business sans se cramer, et surtout, en évitant le burn-out ? C'est tout le sujet de cette mini-série.


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Au programme :

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Chaque semaine, retrouve moi un nouvel épisode sur Le Board, le podcast des solopreneurs qui veulent créer un business rentable, scalable et générer des revenus passifs. Un lundi sur deux, tu retrouveras un épisode de Solo Nation, le talk show des solopreneurs que je co-anime avec les queens et les kings du business en ligne pour partager nos coulisses garanties sans bullshit et sans filtre : Aline Bartoli aka The Bboost, Valentine Helsmoortel, aka My Creator Era, Geneviève Gauvin, Hugues Trijasse aka FrenchStartuper, Sarah Zitouni aka Powher ta carrière, Kevin Ghanbarzadeh aka Shaunz, Dimby Rakotomalala, Pauline Clavelloux aka Pauline Saas builder, Océane Sorel aka the french Virologist, Alexandre Mensier, Adrien Tornier, Lucie Carbonne.


Et l’autre semaine, découvre Le Board en solo, où je partage mes stratégies et conseils pour booster ton solobusiness. Ma mission ? T’aider à être plus libre et indépendant.


👋 Je suis Flavie Prévot, solopreneure et créatrice du Board, le premier podcast et incubateur dédié aux solopreneurs en France.

Que tu sois freelance, solopreneur, salarié en side-business ou en pleine transition vers l’indépendance, chaque épisode t’apporte des conseils concrets pour créer et scaler ton activité. Marketing, business en ligne, mindset, productivité, automatisation, génération de revenus passifs… Tout ce qu’il faut pour réussir en solo !


🎧 Si tu aimes les podcasts comme Génération Do it Yourself, Tribu Indé, J’peux pas j’ai business, Sans Permission, Marketing Square ou Young, Wild & Freelance, Solo Nation et Le Board devraient te plaire aussi !


Crédits musicaux :

EP 01 - I’m free - Stevie Wonder

EP02 - Abracadabra - Lady Gaga

EP03 - Voulez-vous - ABBA

EP04 - Runnin' (Lose It All) - Naughty Boy ft. Beyoncé, Arrow Benjamin

EP05 - Breathe - Sean Paul feat. Blue Cantre


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Entreprendre en solo, en toute liberté, sans employés, et développer un business rentable, scalable et durable, c'est possible. Je suis Flavie Prévost, ex-dirigeante devenue solopreneur et créatrice du premier incubateur de solopreneurs en France. Avec ce podcast, j'ai voulu créer le board que j'aurais aimé avoir à mes côtés quand je me suis lancée en solo. Un board composé des meilleurs experts, disponible chaque semaine gratuitement, à mon micro, pour te donner des super conseils et te mettre au défi. L'épisode va commencer, je te préviens, ça va vite. Alors, n'oublie pas de t'abonner à la newsletter pour recevoir les bonus. Alors, Jenny, tu nous l'as gardé presque pour la fin de l'épisode tellement que c'est un gros dossier. Se faire aider quand on est solopreneur, freelance. Quel est ton point de vue sur la chose ? Qu'est-ce qu'on peut faire pour travailler le côté ? Je dois tout faire, c'est moi le cerveau dans l'opération, je suis seule au monde, j'ai pas d'aide. Qu'est-ce qui pourrait nous décoincer un peu cette partie-là ?

  • Speaker #1

    En fait, je pense que décoincer cette partie-là, c'est peut-être penser à qu'est-ce qui se passerait si je m'autorisais à penser différemment. Ce qui se passerait probablement, c'est que déjà je ferais davantage de choses que je kiffe. Peut-être je gagnerais aussi plus d'argent. Ou alors, j'aurai plus de temps, plus de liberté. Parce qu'au fond, je pense que quand on est solopreneur, vraiment la limite du fait d'être seul, c'est cette limite de vouloir absolument tout faire et tout couvrir et du coup, de passer du temps là où on ne crée aucune valeur. Et donc, c'est coûteux à la fois en temps, en argent. Et aussi émotionnellement, parce qu'en général, c'est des trucs qu'on n'aime pas faire. Donc, c'est vraiment très coûteux, en réalité. Donc, moi, je conseille vivement de s'entourer. Et il y a différentes façons de s'entourer. Et je pense que là, c'est vraiment qu'est-ce que je trouve qui me parle. Est-ce que je m'entoure d'un écosystème d'autres solopreneurs ? Et quand je travaille sur une prestat, en fait, je ne fais que ce sur... Pourquoi je suis bon ? Mais en fait, du coup, je fais travailler un pote et on fait la prestat ensemble. Ou est-ce que je reste le lead, quoi qu'il arrive, mais je délègue en fait certaines choses ? Comme toi, tu délègues ton podcast en fait. Je délègue certaines choses sur lesquelles vraiment, je n'ai aucune valeur ajoutée, j'aime pas ça. Et je paye des prestataires en fait pour le faire.

  • Speaker #0

    Tu vois… Un petit truc qui m'a aidée à identifier ça, parce que je pense qu'on le sent quand on le fait. Tu vois, on passe un sale quart d'heure. Quand on est en train de passer une semaine de merde parce qu'on fait un truc qu'on ne devrait pas faire, on le sent, puis après, on oublie. Et donc, au moment de débourser de l'argent, on est là, bon, non, c'est bon, je vais faire moi-même. Et moi, un petit truc, tu vois, mon time tracking, j'ai un hashtag délégable. Et dès que, sur le moment, je fais un truc merdique, je me dis, mais je ne devrais pas faire ça, je ne sais pas comment on fait et tout, je mets hashtag délégable comme ça Tête reposée, un mois plus tard, je prends mon toggle, je regarde délégable et là, je prends cher parce que un mois, j'avais fait ça et j'avais compté 39 heures de trucs délégables. Donc, je n'ai pas forcément délégué les 39 heures parce qu'après, il faut trouver la bonne personne pour chaque truc. Tu ne vas pas prendre 14 freelance d'un coup et tout, mais j'ai bien... Et c'est là que j'ai commencé à travailler avec Ambre, mon assistante virtuelle. C'est à peu près 10 heures par mois. Mais ça m'élague. Une grosse partie des choses, c'est énormément de... de valeur ajoutée. Voilà, donc aussi peut-être pour les freelancers qui nous écoutent, qui se disent, parce que des fois, on va des discours un peu passer que moi, j'aime moyen en mode si tu ne délègues pas, tu es un gros naze et tout. Déléguer, ça coûte quand même cher. Il faut peut-être un peu scaler avant de se permettre d'avoir des grosses équipes. Mais donc, il y a des façons de déléguer pas cher, des petits forfaits, par exemple, cinq heures par mois, dix heures par mois ou bien des done with you, un petit peu des séances. moi j'ai pris ça tu vois stratégie SEO, une demi-journée de travail, ça m'avait coûté moins de 1000 euros, tu vois. Et du coup, c'est des petites enveloppes que tu peux te permettre et déjà, tu respires un peu. Comment tu... Tu te rappelles, toi, au début, quand justement, quand t'étais passée de solo à équipe, qu'est-ce que t'as fait ? T'es passée par quelles étapes ?

  • Speaker #1

    Moi, je suis... Et c'est justement ça dont je voulais parler. Moi, je crois que c'est vraiment en fait la première marche la plus dure. Et donc, c'est pour ça que ton conseil de commencer petit est un excellent conseil. Et donc, moi, j'avais commencé par prendre une assistante virtuelle 10 heures par mois. Et donc, cette première marche, et donc, c'était notamment pour le podcast, pour quelques publis sur les réseaux. La première marche avait l'air d'être une énorme marche. Je fais ce truc et au bout de deux semaines, je lui dis non, mais en fait, je te file 25 heures. finalement on a fini par bosser 5 ans ensemble et elle a fait plein plein d'autres choses mais ce que je veux dire c'est que ça permet déjà aussi de se tester et de quel type de format on a besoin, est-ce que l'assistante virtuelle c'est un bon truc ou alors au contraire on préfère ce que tu proposais un peu ce partnership sur un sur un sujet qui nous lance sur une façon de faire etc. et donc tester ça permet de le faire à petit budget et de s'essayer à ça. Et en fait, et ça, c'est aussi l'âme d'être entrepreneur. En fait, il faut tester pour voir. Et si on est en train de se cramer, le jeu en vaut peut-être la chandelle de tester. Oui,

  • Speaker #0

    parce qu'on crée une forme de dette et beaucoup de solopreneurs en parlent de ça, notamment Aline Bartoli, on en parlait tout à l'heure. Elle a... payer cher en fait le fait de faire beaucoup de choses toute seule et elle disait qu'elle a mis à peu près genre deux ans ensuite à combler sa dette, sa dette de tout quoi, process, fatigue, épuisement, parce que voilà on fait le surhomme pendant un petit moment puis au bout d'un moment ça revient. alors une autre question pour toi Jenny c'est tout à l'heure je disais le temps est un budget mais bizarrement j'ai remarqué que les gens ont du mal quand même le budget n'est pas miscible, en gros quand tu leur dis si tu payes 10 000 euros pour ça tu vas récupérer ta vie, tu auras du temps, tu verras tes enfants. Souvent, ils ont du mal quand même à lâcher l'argent pour racheter du temps, pour racheter de la sérénité. Comment ça se fait qu'on bloque comme ça sur des investissements financiers, alors même que c'est ça qui nous permettrait de ne pas être en surmenage avec tous les coûts indirects qui seront bien supérieurs si on finit en burn-out en fait ?

  • Speaker #1

    En fait, moi je pense que ça tient à deux choses. La première chose, c'est le rapport à l'argent. Donc, en fait, être en paix avec l'argent et savoir que l'argent, c'est de l'énergie. Ça va, ça vient. Quand on est solopreneur, freelance, on se rend compte avec le temps qu'on est capable d'en faire venir. Et du coup, en fait, c'est une énergie qui se partage. C'est-à-dire que si on n'arrive pas à aussi payer, c'est difficile de faire venir. Donc, pour moi, il y a vraiment un truc de « Ok, ça doit circuler » . et puis du coup je perds mon deuxième point donc le premier point c'est vraiment le mindset donc accepter en fait d'avoir un rapport apaisé à l'argent et puis la deuxième chose c'est que c'est pas parce qu'on est seul qu'on doit pas investir en fait si on interroge des entrepreneurs et des solopreneurs à succès, c'est-à-dire qui ont pas mal d'expérience, ont eu plein d'échecs et des succès, parce qu'à succès, ça ne veut rien dire.

  • Speaker #0

    C'est ça.

  • Speaker #1

    Ils diront, en fait, c'est les investissements qui m'ont fait le plus peur, qui m'ont fait le plus grandir. Moi, je sais qu'à chaque fois que j'ai des personnes au téléphone pour faire un coaching avec moi, mais elles flippent à fond de dire, allez, j'investis en moi. Donc là, j'investis dans mon bien-être, j'investis dans mon leadership, j'investis dans ma valeur. C'est hyper dur. Et à la fin, elles me disent « Oh, mais pourquoi je ne l'ai pas fait avant ? J'ai tellement bien fait. » Donc, en fait, il faut savoir que c'est difficile d'investir en fonds. Moi,

  • Speaker #0

    je me faisais la réflexion que peut-être c'est un vestige aussi de notre vie de salarié. Tu sais, on a des mues un peu comme ça, on laisse des pots derrière nous. Donc, le 9 to 5, c'est vendre son temps, etc. Le côté un peu servile des fois qu'on a avec nos clients, alors qu'en fait, on devrait leur parler d'égal à égal. C'est la relation manager-manager et tout. et une des dernières pot, je trouve, c'était ça, c'est investir sur sa propre formation, parce qu'en corporate, on nous paye nos trucs, après on râle, on est d'accord ou pas d'accord, on dit j'ai pas assez de formation ou j'en ai trop, mais moi quand j'ai commencé à payer en fait 4000, 5000, 6000 euros pour me former, là je me suis dit ok c'est bon, je suis une vraie entrepreneur, je prends en charge mon propre truc, et voilà, ça y est, bye bye la vie de salarié, plus personne ne va s'occuper de moi, donc en fait, c'est le livre dont vous êtes le héros, si tu stagnes en compétences, c'est mort.

  • Speaker #1

    Oui, et puis je pense qu'il y a un autre truc qui est important à avoir en tête. Quand on est en surcharge de travail et qu'on a du mal à dire « allez, j'investis pour avoir un peu de temps » , on ne mesure pas à quel point le fait de regagner du souffle… et du temps peut avoir un impact extrêmement positif sur le business. Parce qu'on va avoir beaucoup plus de recul, beaucoup plus de clarté, on va être beaucoup plus créatif, et donc ça va forcément venir nourrir le business. Sauf que tant qu'on ne l'a pas fait, on a du mal à y croire. Au début, ça rajoute un peu.

  • Speaker #0

    Ça rajoute une petite charge de prendre une demi-journée par semaine pour se former, par exemple.

  • Speaker #1

    Oui, mais c'est aussi un espace... Un espace où il y a de l'enthousiasme, il y a la vision des possibles. Et en fait, on a besoin de ça pour continuer sur le long terme. Parce que ce n'est pas un marathon, en fait. C'est de long terme.

  • Speaker #0

    C'est comme quand les gens me disaient « mais tu as été salarié diversifié, mais comment tu faisais pour avoir ton taf la journée et ton podcast le soir ? » Et moi, je disais « ça me reboostait tellement en motivation qu'en fait, je m'en foutais de bosser deux heures de plus par jour sur mon podcast, mais c'était la folie, j'adorais. » Et donc, voilà, c'est ce que tu disais. Ce n'est pas deux heures de temps perdu, c'est peut-être huit heures d'énergie gagnée. Hyper intéressant. Et peut-être un dernier sujet que je voulais tacler avant qu'on termine l'épisode avec ton dernier conseil, c'est l'investissement dans la sphère perso. Et ça, alors, il faudrait que j'en parle à l'occasion, mais on dit, il y a un peu ce self-made, enfin, ce mythe du self-made man, woman, où on serait tout seul, solopreneur, comme ça, on ferait tout tout seul. Moi, je m'entoure énormément de mes pairs. Je suis dans des communautés, j'achète des bootcamps, je me forme, j'ai mon propre incubateur, j'ai ma propre équipe de freelance. Et j'ai aussi, dans ma sphère perso, beaucoup d'aides. Donc, par exemple, un des premiers trucs que j'ai fait quand j'étais en société, c'était prendre des CESU, des chèques emploi-service pour... intensifier les travaux ménagers, le jardin, la garde d'enfants, etc. Je sollicite les grands-parents. Enfin, ils ne sont pas proches de moi, mais pour partir en vacances et tout. Et je pense que je ne ferais rien sans ça. Si je n'avais pas cette soupape de sécurité dans ma vie ménagère un peu de maman, et ça, toi qui as beaucoup de femmes, je pense qu'aussi les femmes prennent cher pour ça parce qu'elles ne lâchent pas assez leur, entre guillemets, le côté charge mentale perso. Qu'est-ce que tu en penses ?

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est essentiel. Moi, je suis aussi team. En fait, on a besoin d'être accompagné, que ce soit quand on est en couple par son partenaire, mais aussi par tous les services dont on peut bénéficier. Après, à chacun de voir en fonction de sa bourse et en fonction de ses priorités.

  • Speaker #0

    Mais tu vois, parfois, il y a des gens qui vont chercher des trucs sophistiqués. Et qui me disent, est-ce que tu crois que je devrais prendre un freelance, ghostwriter, copywriter, sur ci, sur ça ? Et ils vont se coltiner 5 heures de ménage par semaine. Tu as presque envie de dire, bah, ça commence par là, tu vois. Enfin bon, bref, après, je n'oublie personne. Mais moi, je ne suis pas dans la team non plus. Il faut se faire livrer ses repas pour être performant. Ce n'est pas du tout mon délire. Moi, j'aime bien éplucher mes petits légumes bio. Au contraire, c'est un moment où je me calme et je ne fais pas de business. J'écoute des podcasts culturels. Et ça, je ne l'externaliserai jamais. un des américains que je suis, la creator science qui dit ça, il dit un gourou de la productivité lui a dit mais tu devrais pas tondre ta pelouse aux US, ça t'en tonde ta pelouse, ça coûte 10 balles, tu prends un mec et il a dit mais si, je continue à tondre ma pelouse parce que c'est un truc méditatif où en fait je pense à ma vie et tout et c'est un moment que je veux absolument garder dans ce chaos où tout va trop vite comme on le disait en intro quoi.

  • Speaker #1

    Ouais, non mais complètement je pense que en fait il faut il faut, si on peut ... se délester de tout ce qui nous prend du temps et qu'on n'aime pas faire.

  • Speaker #0

    Voilà, c'est ça.

  • Speaker #1

    Vraiment, qui est une charge, quoi.

  • Speaker #0

    Bon, mais trop bien. Donc, qu'est-ce qu'on fait ? Un petit audit des trucs qu'on peut déléguer ? Par quoi ? Complètement.

  • Speaker #1

    Je pense que l'audit des choses qu'on peut déléguer et peut-être ici, sans pression, on fait l'audit des choses qu'on peut déléguer, on choisit un truc et on teste. Même si c'est juste une chose, une chose qui n'est pas énorme, ce n'est pas grave. juste... pour voir.

  • Speaker #0

    J'adore. Allez, j'achète et puis je vous glisserai dans la newsletter un petit tâche que j'avais fait. J'avais fait les 100 tâches à déléguer en freelance. J'avais fait ça à l'époque que j'avais bossé avec Fiverr sur un sujet. Qu'est-ce qu'on peut déléguer et tout ? Donc, je vous glisse cette petite ressource comme ça, si vous n'avez pas d'idées ou si vous voulez voir en plus peut-être des idées, vous pouvez les checker. Et puis, je te propose, Jenny, qu'on termine avec le gros, gros, gros dossier, avoir le droit de se reposer en freelance ou solopreneur. Allez, c'est parti.

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