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Le Bocal de Marsactu

Épisode 29 - Cigares, hôtels de luxe et argent public

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22min |14/05/2024
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Quel est le point commun entre 873 euros réglés dans un établissement hôtelier en Corse, des achats dans un tabac de Rognac pour un total mensuel de 1429 euros et une soirée d’un coût de 163 euros dans un cabaret bruxellois ? Ces diverses dépenses, comme le révèle une enquête de Marsactu, ont été réalisées avec la carte d’achat nominative de la maire de Rognac Sylvie Miceli-Houdais (UDI). Comme son prédécesseur, le sénateur Stéphane Le Rudulier (LR) qui fut premier magistrat de cette petite ville des Bouches-du-Rhône avant elle, la maire bénéficie de ce moyen de paiement à son nom qui sert aussi bien à faire des achats à la boucherie, à la cave à vin qu’à acquérir de très réguliers billets d’avion pour Paris.


Le temps de ce podcast, au micro de Jean-Marie Leforestier, Coralie Bonnefoy revient sur les sommes engagées. Particulièrement importantes, elle peuvent atteindre presque 15 000 euros par mois. Le décompte minutieux réalisé avec Alexia Conrath interpelle : ici 6770 euros déboursés en cinq fois dans un quatre-étoiles à Paris, là plus de 1100 euros pour une soirée au célèbre restaurant parisien le Bœuf sur le toit à Paris, ou un passage à 82 euros dans un centre d’esthétique à proximité du Sénat. Ces achats sont-ils tous en lien avec les attributions de la maire de la ville ? Sont-ils tous nécessaires à la vie de la commune ? Le dossier intéresse le procureur d’Aix-en-Provence qui confirme à Marsactu avoir été saisi.


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Quel est le point commun entre 873 euros réglés dans un établissement hôtelier en Corse, des achats dans un tabac de Rognac pour un total mensuel de 1429 euros et une soirée d’un coût de 163 euros dans un cabaret bruxellois ? Ces diverses dépenses, comme le révèle une enquête de Marsactu, ont été réalisées avec la carte d’achat nominative de la maire de Rognac Sylvie Miceli-Houdais (UDI). Comme son prédécesseur, le sénateur Stéphane Le Rudulier (LR) qui fut premier magistrat de cette petite ville des Bouches-du-Rhône avant elle, la maire bénéficie de ce moyen de paiement à son nom qui sert aussi bien à faire des achats à la boucherie, à la cave à vin qu’à acquérir de très réguliers billets d’avion pour Paris.


Le temps de ce podcast, au micro de Jean-Marie Leforestier, Coralie Bonnefoy revient sur les sommes engagées. Particulièrement importantes, elle peuvent atteindre presque 15 000 euros par mois. Le décompte minutieux réalisé avec Alexia Conrath interpelle : ici 6770 euros déboursés en cinq fois dans un quatre-étoiles à Paris, là plus de 1100 euros pour une soirée au célèbre restaurant parisien le Bœuf sur le toit à Paris, ou un passage à 82 euros dans un centre d’esthétique à proximité du Sénat. Ces achats sont-ils tous en lien avec les attributions de la maire de la ville ? Sont-ils tous nécessaires à la vie de la commune ? Le dossier intéresse le procureur d’Aix-en-Provence qui confirme à Marsactu avoir été saisi.


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