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LE BONHEUR C'EST LES AUTRES

Grégoire Bouillier (écrivain) : « Ecrire, c’est gagner ma place au paradis »

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1h03 |19/11/2024
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1h03 |19/11/2024
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Description

Ecrivain reconnu, Grégoire Bouillier a publié récemment « Le syndrome de l’Orangerie » qui a obtenu le Prix Castel 2024 et il y a deux ans l’exceptionnel « Le cœur ne cède pas » (Prix André Malraux 2022) ou encore un peu plus tôt « le dossier M ».

J’ai connu Grégoire au mitan des années 90, alors que j’étais journaliste au magazine Sciences et Vie Micro (SVM), et lui secrétaire de rédaction.

C’est donc un ami de longue date que j’ai eu le bonheur d’aller interviewer chez lui.


Un long épisode (plus d’une heure) avec une grande profondeur dans les échanges, au plus près de l’intime. A la clé, des phrases fortes comme : « J’ai un rapport existentiel à l’écriture », « Il n’y a rien de pire que d’être dans un état de bonheur et de ne pouvoir le partager avec personne » ou cette citation de Ludwig Wittgenstein que Grégoire reprend à son compte : « Les limites de mon monde sont les limites de mon langage. »


Merci à lui pour sa confiance et cette longue interview qui, je l’espère, vous donnera à découvrir l’auteur exceptionnel qu’est Grégoire Bouillier et ses romans.


#podcast #bonheur #schizophrénie #écrivain #littérature #culture 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ecrivain reconnu, Grégoire Bouillier a publié récemment « Le syndrome de l’Orangerie » qui a obtenu le Prix Castel 2024 et il y a deux ans l’exceptionnel « Le cœur ne cède pas » (Prix André Malraux 2022) ou encore un peu plus tôt « le dossier M ».

J’ai connu Grégoire au mitan des années 90, alors que j’étais journaliste au magazine Sciences et Vie Micro (SVM), et lui secrétaire de rédaction.

C’est donc un ami de longue date que j’ai eu le bonheur d’aller interviewer chez lui.


Un long épisode (plus d’une heure) avec une grande profondeur dans les échanges, au plus près de l’intime. A la clé, des phrases fortes comme : « J’ai un rapport existentiel à l’écriture », « Il n’y a rien de pire que d’être dans un état de bonheur et de ne pouvoir le partager avec personne » ou cette citation de Ludwig Wittgenstein que Grégoire reprend à son compte : « Les limites de mon monde sont les limites de mon langage. »


Merci à lui pour sa confiance et cette longue interview qui, je l’espère, vous donnera à découvrir l’auteur exceptionnel qu’est Grégoire Bouillier et ses romans.


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J’ai connu Grégoire au mitan des années 90, alors que j’étais journaliste au magazine Sciences et Vie Micro (SVM), et lui secrétaire de rédaction.

C’est donc un ami de longue date que j’ai eu le bonheur d’aller interviewer chez lui.


Un long épisode (plus d’une heure) avec une grande profondeur dans les échanges, au plus près de l’intime. A la clé, des phrases fortes comme : « J’ai un rapport existentiel à l’écriture », « Il n’y a rien de pire que d’être dans un état de bonheur et de ne pouvoir le partager avec personne » ou cette citation de Ludwig Wittgenstein que Grégoire reprend à son compte : « Les limites de mon monde sont les limites de mon langage. »


Merci à lui pour sa confiance et cette longue interview qui, je l’espère, vous donnera à découvrir l’auteur exceptionnel qu’est Grégoire Bouillier et ses romans.


#podcast #bonheur #schizophrénie #écrivain #littérature #culture 


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Ecrivain reconnu, Grégoire Bouillier a publié récemment « Le syndrome de l’Orangerie » qui a obtenu le Prix Castel 2024 et il y a deux ans l’exceptionnel « Le cœur ne cède pas » (Prix André Malraux 2022) ou encore un peu plus tôt « le dossier M ».

J’ai connu Grégoire au mitan des années 90, alors que j’étais journaliste au magazine Sciences et Vie Micro (SVM), et lui secrétaire de rédaction.

C’est donc un ami de longue date que j’ai eu le bonheur d’aller interviewer chez lui.


Un long épisode (plus d’une heure) avec une grande profondeur dans les échanges, au plus près de l’intime. A la clé, des phrases fortes comme : « J’ai un rapport existentiel à l’écriture », « Il n’y a rien de pire que d’être dans un état de bonheur et de ne pouvoir le partager avec personne » ou cette citation de Ludwig Wittgenstein que Grégoire reprend à son compte : « Les limites de mon monde sont les limites de mon langage. »


Merci à lui pour sa confiance et cette longue interview qui, je l’espère, vous donnera à découvrir l’auteur exceptionnel qu’est Grégoire Bouillier et ses romans.


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