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Le Bonheur Sans Bullsh*t

E011 | J’te jase de ma vulnérabilité

E011 | J’te jase de ma vulnérabilité

08min |01/05/2020
Play
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E011 | J’te jase de ma vulnérabilité

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08min |01/05/2020
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Description

La vulnérabilité ça peut être scary.



Ça peut être déconcertant parce qu'on se sent perdue, triste, angoissée même et dès qu'on entre dans ce tunnel sombre, la vulnérabilité commence à creep out le long des murs pour nous entourer de sa froideur noire jusqu'à ce qu'on se mette dans un coin, en p’tite boule, qu'on ferme les yeux en espérant que ça passe le plus rapidement possible.



Mais la vulnérabilité, ça peut aussi être réconfortant.



Ça peut être beau sous sa forme la plus pure, celle par laquelle on passe lorsqu'on vit quelque chose de nouveau. Lorsqu'on passe au travers une expérience challengeante qui nous fait sortir de notre zone de confort, et de laquelle on ressort gagnante, parce qu'on a pris la décision de passer au travers avec toute la résilience qui nous habite.



D'une façon ou d'une autre, ces deux scénarios sont possibles. Lequel on va vivre va dépendre de notre mindset, de notre capacité de percevoir le verre à moitié plein ou à moitié vide. 



J'ai longtemps pensé qu'être vulnérable était une faiblesse. Une faiblesse que je n'avais pas le droit de m'accorder, parce que je devais être forte. Je devais réussir à tout faire, à tout réussir et avoir l'air de la femme parfaite. Celle qui réussi à pull off le rôle de femme, de mère, de ménagère, d'entrepreneure, de cuisinière, de commissionnaire, d'amie et qui s'occupe de toute la paperasse imaginable dans le quotidien.



Chaque jour était une bataille nécessaire à ma survie émotionnelle. Je devais affronter ma vulnérabilité et réussir à la mettre KO avant qu'elle n'arrive à m'atteindre. Chaque jour je devais faire taire mes émotions pour pouvoir bâtir le mur qui allait me protéger contre les attaques extérieures de quelqu'un en qui j'aurais dû pourvoir avoir confiance.



Chaque matin commençait par l'analyse de mon environnement. J'étais rendue une funambule qui au lieu de marcher en équilibre sur un fil de fer, marchait sur une douzaine d'œufs qui devient rester intacts.



Ensuite, le mur de protection s'élevait pour éviter de me noyer dans les vagues de souffrance, de méchanceté et dévalorisation qui étaient lancés vers moi à coup de mitraillette.



Pendant des années, je ne me donnais pas le droit d'être vulnérable. J'en faisais une mission de laisser toute émotion, positive ou négative en dehors de mon mur de protection. 



Parce que je savais que si je laissais le bon entrer, le mal réussirais à se faufiler comme un serpent à travers les briques et les dommages seraient irréversibles. L'intérieur de mon monde émotionnel avait déjà été trop écorché pour pouvoir endurer d'autres trous de balles. 



Après toute ces années à me battre contre l'extérieur, mais aussi contre mon moi-même qui voulait sortir à tout prix de ce fort en béton, j'ai finalement décidé que s'en était assez. J'ai enfin réussi à prendre tout le courage qui me restait et à m'éloigner de cette situation toxique qui éteignait la chandelle de ma personnalité, de mon moi, depuis si longtemps. 



Une fois que le soleil a commencé à faire surface, la bataille n'était pas encore terminée. 



Maintenant, je devais continuer celle-ci avec moi-même. Je devais réussir à enlever chacun des blocs de béton de ma carapace et enfin laisser entrer la beauté que le monde avait à offrir. 



Je devais me reconnecter avec ma vulnérabilité et accepter que celle-ci était un cadeau de la vie, car elle me rendait humaine. Après avoir été robotique pendant longtemps, cette vulnérabilité se présentait à moi comme une libération. Un pas vers l'acceptation de soi, vers l'amour de soi.



Une étape à franchir qui m'amènerait à ma destination tant...

Description

La vulnérabilité ça peut être scary.



Ça peut être déconcertant parce qu'on se sent perdue, triste, angoissée même et dès qu'on entre dans ce tunnel sombre, la vulnérabilité commence à creep out le long des murs pour nous entourer de sa froideur noire jusqu'à ce qu'on se mette dans un coin, en p’tite boule, qu'on ferme les yeux en espérant que ça passe le plus rapidement possible.



Mais la vulnérabilité, ça peut aussi être réconfortant.



Ça peut être beau sous sa forme la plus pure, celle par laquelle on passe lorsqu'on vit quelque chose de nouveau. Lorsqu'on passe au travers une expérience challengeante qui nous fait sortir de notre zone de confort, et de laquelle on ressort gagnante, parce qu'on a pris la décision de passer au travers avec toute la résilience qui nous habite.



D'une façon ou d'une autre, ces deux scénarios sont possibles. Lequel on va vivre va dépendre de notre mindset, de notre capacité de percevoir le verre à moitié plein ou à moitié vide. 



J'ai longtemps pensé qu'être vulnérable était une faiblesse. Une faiblesse que je n'avais pas le droit de m'accorder, parce que je devais être forte. Je devais réussir à tout faire, à tout réussir et avoir l'air de la femme parfaite. Celle qui réussi à pull off le rôle de femme, de mère, de ménagère, d'entrepreneure, de cuisinière, de commissionnaire, d'amie et qui s'occupe de toute la paperasse imaginable dans le quotidien.



Chaque jour était une bataille nécessaire à ma survie émotionnelle. Je devais affronter ma vulnérabilité et réussir à la mettre KO avant qu'elle n'arrive à m'atteindre. Chaque jour je devais faire taire mes émotions pour pouvoir bâtir le mur qui allait me protéger contre les attaques extérieures de quelqu'un en qui j'aurais dû pourvoir avoir confiance.



Chaque matin commençait par l'analyse de mon environnement. J'étais rendue une funambule qui au lieu de marcher en équilibre sur un fil de fer, marchait sur une douzaine d'œufs qui devient rester intacts.



Ensuite, le mur de protection s'élevait pour éviter de me noyer dans les vagues de souffrance, de méchanceté et dévalorisation qui étaient lancés vers moi à coup de mitraillette.



Pendant des années, je ne me donnais pas le droit d'être vulnérable. J'en faisais une mission de laisser toute émotion, positive ou négative en dehors de mon mur de protection. 



Parce que je savais que si je laissais le bon entrer, le mal réussirais à se faufiler comme un serpent à travers les briques et les dommages seraient irréversibles. L'intérieur de mon monde émotionnel avait déjà été trop écorché pour pouvoir endurer d'autres trous de balles. 



Après toute ces années à me battre contre l'extérieur, mais aussi contre mon moi-même qui voulait sortir à tout prix de ce fort en béton, j'ai finalement décidé que s'en était assez. J'ai enfin réussi à prendre tout le courage qui me restait et à m'éloigner de cette situation toxique qui éteignait la chandelle de ma personnalité, de mon moi, depuis si longtemps. 



Une fois que le soleil a commencé à faire surface, la bataille n'était pas encore terminée. 



Maintenant, je devais continuer celle-ci avec moi-même. Je devais réussir à enlever chacun des blocs de béton de ma carapace et enfin laisser entrer la beauté que le monde avait à offrir. 



Je devais me reconnecter avec ma vulnérabilité et accepter que celle-ci était un cadeau de la vie, car elle me rendait humaine. Après avoir été robotique pendant longtemps, cette vulnérabilité se présentait à moi comme une libération. Un pas vers l'acceptation de soi, vers l'amour de soi.



Une étape à franchir qui m'amènerait à ma destination tant...

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La vulnérabilité ça peut être scary.



Ça peut être déconcertant parce qu'on se sent perdue, triste, angoissée même et dès qu'on entre dans ce tunnel sombre, la vulnérabilité commence à creep out le long des murs pour nous entourer de sa froideur noire jusqu'à ce qu'on se mette dans un coin, en p’tite boule, qu'on ferme les yeux en espérant que ça passe le plus rapidement possible.



Mais la vulnérabilité, ça peut aussi être réconfortant.



Ça peut être beau sous sa forme la plus pure, celle par laquelle on passe lorsqu'on vit quelque chose de nouveau. Lorsqu'on passe au travers une expérience challengeante qui nous fait sortir de notre zone de confort, et de laquelle on ressort gagnante, parce qu'on a pris la décision de passer au travers avec toute la résilience qui nous habite.



D'une façon ou d'une autre, ces deux scénarios sont possibles. Lequel on va vivre va dépendre de notre mindset, de notre capacité de percevoir le verre à moitié plein ou à moitié vide. 



J'ai longtemps pensé qu'être vulnérable était une faiblesse. Une faiblesse que je n'avais pas le droit de m'accorder, parce que je devais être forte. Je devais réussir à tout faire, à tout réussir et avoir l'air de la femme parfaite. Celle qui réussi à pull off le rôle de femme, de mère, de ménagère, d'entrepreneure, de cuisinière, de commissionnaire, d'amie et qui s'occupe de toute la paperasse imaginable dans le quotidien.



Chaque jour était une bataille nécessaire à ma survie émotionnelle. Je devais affronter ma vulnérabilité et réussir à la mettre KO avant qu'elle n'arrive à m'atteindre. Chaque jour je devais faire taire mes émotions pour pouvoir bâtir le mur qui allait me protéger contre les attaques extérieures de quelqu'un en qui j'aurais dû pourvoir avoir confiance.



Chaque matin commençait par l'analyse de mon environnement. J'étais rendue une funambule qui au lieu de marcher en équilibre sur un fil de fer, marchait sur une douzaine d'œufs qui devient rester intacts.



Ensuite, le mur de protection s'élevait pour éviter de me noyer dans les vagues de souffrance, de méchanceté et dévalorisation qui étaient lancés vers moi à coup de mitraillette.



Pendant des années, je ne me donnais pas le droit d'être vulnérable. J'en faisais une mission de laisser toute émotion, positive ou négative en dehors de mon mur de protection. 



Parce que je savais que si je laissais le bon entrer, le mal réussirais à se faufiler comme un serpent à travers les briques et les dommages seraient irréversibles. L'intérieur de mon monde émotionnel avait déjà été trop écorché pour pouvoir endurer d'autres trous de balles. 



Après toute ces années à me battre contre l'extérieur, mais aussi contre mon moi-même qui voulait sortir à tout prix de ce fort en béton, j'ai finalement décidé que s'en était assez. J'ai enfin réussi à prendre tout le courage qui me restait et à m'éloigner de cette situation toxique qui éteignait la chandelle de ma personnalité, de mon moi, depuis si longtemps. 



Une fois que le soleil a commencé à faire surface, la bataille n'était pas encore terminée. 



Maintenant, je devais continuer celle-ci avec moi-même. Je devais réussir à enlever chacun des blocs de béton de ma carapace et enfin laisser entrer la beauté que le monde avait à offrir. 



Je devais me reconnecter avec ma vulnérabilité et accepter que celle-ci était un cadeau de la vie, car elle me rendait humaine. Après avoir été robotique pendant longtemps, cette vulnérabilité se présentait à moi comme une libération. Un pas vers l'acceptation de soi, vers l'amour de soi.



Une étape à franchir qui m'amènerait à ma destination tant...

Description

La vulnérabilité ça peut être scary.



Ça peut être déconcertant parce qu'on se sent perdue, triste, angoissée même et dès qu'on entre dans ce tunnel sombre, la vulnérabilité commence à creep out le long des murs pour nous entourer de sa froideur noire jusqu'à ce qu'on se mette dans un coin, en p’tite boule, qu'on ferme les yeux en espérant que ça passe le plus rapidement possible.



Mais la vulnérabilité, ça peut aussi être réconfortant.



Ça peut être beau sous sa forme la plus pure, celle par laquelle on passe lorsqu'on vit quelque chose de nouveau. Lorsqu'on passe au travers une expérience challengeante qui nous fait sortir de notre zone de confort, et de laquelle on ressort gagnante, parce qu'on a pris la décision de passer au travers avec toute la résilience qui nous habite.



D'une façon ou d'une autre, ces deux scénarios sont possibles. Lequel on va vivre va dépendre de notre mindset, de notre capacité de percevoir le verre à moitié plein ou à moitié vide. 



J'ai longtemps pensé qu'être vulnérable était une faiblesse. Une faiblesse que je n'avais pas le droit de m'accorder, parce que je devais être forte. Je devais réussir à tout faire, à tout réussir et avoir l'air de la femme parfaite. Celle qui réussi à pull off le rôle de femme, de mère, de ménagère, d'entrepreneure, de cuisinière, de commissionnaire, d'amie et qui s'occupe de toute la paperasse imaginable dans le quotidien.



Chaque jour était une bataille nécessaire à ma survie émotionnelle. Je devais affronter ma vulnérabilité et réussir à la mettre KO avant qu'elle n'arrive à m'atteindre. Chaque jour je devais faire taire mes émotions pour pouvoir bâtir le mur qui allait me protéger contre les attaques extérieures de quelqu'un en qui j'aurais dû pourvoir avoir confiance.



Chaque matin commençait par l'analyse de mon environnement. J'étais rendue une funambule qui au lieu de marcher en équilibre sur un fil de fer, marchait sur une douzaine d'œufs qui devient rester intacts.



Ensuite, le mur de protection s'élevait pour éviter de me noyer dans les vagues de souffrance, de méchanceté et dévalorisation qui étaient lancés vers moi à coup de mitraillette.



Pendant des années, je ne me donnais pas le droit d'être vulnérable. J'en faisais une mission de laisser toute émotion, positive ou négative en dehors de mon mur de protection. 



Parce que je savais que si je laissais le bon entrer, le mal réussirais à se faufiler comme un serpent à travers les briques et les dommages seraient irréversibles. L'intérieur de mon monde émotionnel avait déjà été trop écorché pour pouvoir endurer d'autres trous de balles. 



Après toute ces années à me battre contre l'extérieur, mais aussi contre mon moi-même qui voulait sortir à tout prix de ce fort en béton, j'ai finalement décidé que s'en était assez. J'ai enfin réussi à prendre tout le courage qui me restait et à m'éloigner de cette situation toxique qui éteignait la chandelle de ma personnalité, de mon moi, depuis si longtemps. 



Une fois que le soleil a commencé à faire surface, la bataille n'était pas encore terminée. 



Maintenant, je devais continuer celle-ci avec moi-même. Je devais réussir à enlever chacun des blocs de béton de ma carapace et enfin laisser entrer la beauté que le monde avait à offrir. 



Je devais me reconnecter avec ma vulnérabilité et accepter que celle-ci était un cadeau de la vie, car elle me rendait humaine. Après avoir été robotique pendant longtemps, cette vulnérabilité se présentait à moi comme une libération. Un pas vers l'acceptation de soi, vers l'amour de soi.



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