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Le cabinet d'ostéopathie

#29 : Réseaux sociaux, cosmétique et ostéopathie avec Alexandra Stintzy D.O

#29 : Réseaux sociaux, cosmétique et ostéopathie avec Alexandra Stintzy D.O

47min |17/04/2025
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Description

Dans ce podcast avec Alexandra Stintzy, nous explorons les multiples vies d’une jeune ostéopathe lyonnaise, cinq ans seulement après sa sortie d’école. Elle entreprend, elle crée, gère un compte Instagram, développe un produit cosmétique, et exerce en cabinet aux côtés d’une collaboratrice.

Nous abordons l’authenticité sur les réseaux sociaux, un sujet que je souhaitais traiter depuis longtemps.

Nous parlons d’autocensure, de ces figures ambivalentes que l’on pourrait appeler "lanceurs d’alerte", mais qui prennent parfois les traits des haters. De cette vigilance devenue nécessaire sur ce que nous écrivons, ce que nous montrons. Comme le disait Corneille :
« Le crime fait la honte, et non pas l’échafaud. »
Peut-être ces haters sont-ils plus à plaindre qu’à punir.

Comment vit-on tout cela, avant même d’avoir trente ans ?

Nous évoquons cette idée qu’au sein d’une production effrénée de contenus, dans un monde où l’intelligence artificielle est certes puissante mais enfermée en circuit clos, la créativité, l’authenticité, la rareté, l’unicité – ce que seul un esprit humain peut encore proposer – deviennent des ressources fragiles.

Nous avons tendance à lisser le contenu, à vouloir "faire bien", cette doxa conformiste et dominante ne suffit pas à ouvrir les esprits. Cela moutonne. Et s’il n’y a plus d’idées, qu’est-ce qui nourrira encore la science ?

Nous comprenons qu’il est parfois clivant de partager du contenu issu d’un ressenti, d’une intuition, sans preuve scientifique immédiate. Pourtant, n’est-ce pas précisément là le socle de la recherche scientifique : partir de l’intuition, de l’expérience sensible, pour ensuite observer, expérimenter, et tenter de reproduire ? C’est aussi le socle de l’art et du beau !

Nous parlons également de son regard d’esthète, de cette importance accordée au beau, au bien, à l’ambiance. Elle évoque, à sa manière, l’esprit des Lumières du XVIe siècle, cette époque où le contexte, la scène, l’harmonie des formes participaient d’une expérience totale et singulière.

Et puis il y a cette conscience claire : avec des choses simples, bien pensées, on peut faire de grandes choses. Dans une certaine mesure… que l’on pourrait appeler une forme de néo-paretoïsme.

Enfin, nous revenons sur l’impact des réseaux sociaux : sur la pratique, sur la vie personnelle, sur le temps d’écran, les montages, l’engagement, cette course effrénée qui épuise parfois autant qu’elle motive.

Nous évoquons aussi le drainage lymphatique, une spécialité qu’elle maîtrise, et que je n’avais encore jamais abordée sur ce podcast.

On se retrouve sur Instagram et d'ici là, bonne écoute.


Ps, voici le compte insta d’Alex : https://www.instagram.com/hellosteo_/profilecard/?igsh=bTNmaTF3YXB3c3o1


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans ce podcast avec Alexandra Stintzy, nous explorons les multiples vies d’une jeune ostéopathe lyonnaise, cinq ans seulement après sa sortie d’école. Elle entreprend, elle crée, gère un compte Instagram, développe un produit cosmétique, et exerce en cabinet aux côtés d’une collaboratrice.

Nous abordons l’authenticité sur les réseaux sociaux, un sujet que je souhaitais traiter depuis longtemps.

Nous parlons d’autocensure, de ces figures ambivalentes que l’on pourrait appeler "lanceurs d’alerte", mais qui prennent parfois les traits des haters. De cette vigilance devenue nécessaire sur ce que nous écrivons, ce que nous montrons. Comme le disait Corneille :
« Le crime fait la honte, et non pas l’échafaud. »
Peut-être ces haters sont-ils plus à plaindre qu’à punir.

Comment vit-on tout cela, avant même d’avoir trente ans ?

Nous évoquons cette idée qu’au sein d’une production effrénée de contenus, dans un monde où l’intelligence artificielle est certes puissante mais enfermée en circuit clos, la créativité, l’authenticité, la rareté, l’unicité – ce que seul un esprit humain peut encore proposer – deviennent des ressources fragiles.

Nous avons tendance à lisser le contenu, à vouloir "faire bien", cette doxa conformiste et dominante ne suffit pas à ouvrir les esprits. Cela moutonne. Et s’il n’y a plus d’idées, qu’est-ce qui nourrira encore la science ?

Nous comprenons qu’il est parfois clivant de partager du contenu issu d’un ressenti, d’une intuition, sans preuve scientifique immédiate. Pourtant, n’est-ce pas précisément là le socle de la recherche scientifique : partir de l’intuition, de l’expérience sensible, pour ensuite observer, expérimenter, et tenter de reproduire ? C’est aussi le socle de l’art et du beau !

Nous parlons également de son regard d’esthète, de cette importance accordée au beau, au bien, à l’ambiance. Elle évoque, à sa manière, l’esprit des Lumières du XVIe siècle, cette époque où le contexte, la scène, l’harmonie des formes participaient d’une expérience totale et singulière.

Et puis il y a cette conscience claire : avec des choses simples, bien pensées, on peut faire de grandes choses. Dans une certaine mesure… que l’on pourrait appeler une forme de néo-paretoïsme.

Enfin, nous revenons sur l’impact des réseaux sociaux : sur la pratique, sur la vie personnelle, sur le temps d’écran, les montages, l’engagement, cette course effrénée qui épuise parfois autant qu’elle motive.

Nous évoquons aussi le drainage lymphatique, une spécialité qu’elle maîtrise, et que je n’avais encore jamais abordée sur ce podcast.

On se retrouve sur Instagram et d'ici là, bonne écoute.


Ps, voici le compte insta d’Alex : https://www.instagram.com/hellosteo_/profilecard/?igsh=bTNmaTF3YXB3c3o1


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Dans ce podcast avec Alexandra Stintzy, nous explorons les multiples vies d’une jeune ostéopathe lyonnaise, cinq ans seulement après sa sortie d’école. Elle entreprend, elle crée, gère un compte Instagram, développe un produit cosmétique, et exerce en cabinet aux côtés d’une collaboratrice.

Nous abordons l’authenticité sur les réseaux sociaux, un sujet que je souhaitais traiter depuis longtemps.

Nous parlons d’autocensure, de ces figures ambivalentes que l’on pourrait appeler "lanceurs d’alerte", mais qui prennent parfois les traits des haters. De cette vigilance devenue nécessaire sur ce que nous écrivons, ce que nous montrons. Comme le disait Corneille :
« Le crime fait la honte, et non pas l’échafaud. »
Peut-être ces haters sont-ils plus à plaindre qu’à punir.

Comment vit-on tout cela, avant même d’avoir trente ans ?

Nous évoquons cette idée qu’au sein d’une production effrénée de contenus, dans un monde où l’intelligence artificielle est certes puissante mais enfermée en circuit clos, la créativité, l’authenticité, la rareté, l’unicité – ce que seul un esprit humain peut encore proposer – deviennent des ressources fragiles.

Nous avons tendance à lisser le contenu, à vouloir "faire bien", cette doxa conformiste et dominante ne suffit pas à ouvrir les esprits. Cela moutonne. Et s’il n’y a plus d’idées, qu’est-ce qui nourrira encore la science ?

Nous comprenons qu’il est parfois clivant de partager du contenu issu d’un ressenti, d’une intuition, sans preuve scientifique immédiate. Pourtant, n’est-ce pas précisément là le socle de la recherche scientifique : partir de l’intuition, de l’expérience sensible, pour ensuite observer, expérimenter, et tenter de reproduire ? C’est aussi le socle de l’art et du beau !

Nous parlons également de son regard d’esthète, de cette importance accordée au beau, au bien, à l’ambiance. Elle évoque, à sa manière, l’esprit des Lumières du XVIe siècle, cette époque où le contexte, la scène, l’harmonie des formes participaient d’une expérience totale et singulière.

Et puis il y a cette conscience claire : avec des choses simples, bien pensées, on peut faire de grandes choses. Dans une certaine mesure… que l’on pourrait appeler une forme de néo-paretoïsme.

Enfin, nous revenons sur l’impact des réseaux sociaux : sur la pratique, sur la vie personnelle, sur le temps d’écran, les montages, l’engagement, cette course effrénée qui épuise parfois autant qu’elle motive.

Nous évoquons aussi le drainage lymphatique, une spécialité qu’elle maîtrise, et que je n’avais encore jamais abordée sur ce podcast.

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Dans ce podcast avec Alexandra Stintzy, nous explorons les multiples vies d’une jeune ostéopathe lyonnaise, cinq ans seulement après sa sortie d’école. Elle entreprend, elle crée, gère un compte Instagram, développe un produit cosmétique, et exerce en cabinet aux côtés d’une collaboratrice.

Nous abordons l’authenticité sur les réseaux sociaux, un sujet que je souhaitais traiter depuis longtemps.

Nous parlons d’autocensure, de ces figures ambivalentes que l’on pourrait appeler "lanceurs d’alerte", mais qui prennent parfois les traits des haters. De cette vigilance devenue nécessaire sur ce que nous écrivons, ce que nous montrons. Comme le disait Corneille :
« Le crime fait la honte, et non pas l’échafaud. »
Peut-être ces haters sont-ils plus à plaindre qu’à punir.

Comment vit-on tout cela, avant même d’avoir trente ans ?

Nous évoquons cette idée qu’au sein d’une production effrénée de contenus, dans un monde où l’intelligence artificielle est certes puissante mais enfermée en circuit clos, la créativité, l’authenticité, la rareté, l’unicité – ce que seul un esprit humain peut encore proposer – deviennent des ressources fragiles.

Nous avons tendance à lisser le contenu, à vouloir "faire bien", cette doxa conformiste et dominante ne suffit pas à ouvrir les esprits. Cela moutonne. Et s’il n’y a plus d’idées, qu’est-ce qui nourrira encore la science ?

Nous comprenons qu’il est parfois clivant de partager du contenu issu d’un ressenti, d’une intuition, sans preuve scientifique immédiate. Pourtant, n’est-ce pas précisément là le socle de la recherche scientifique : partir de l’intuition, de l’expérience sensible, pour ensuite observer, expérimenter, et tenter de reproduire ? C’est aussi le socle de l’art et du beau !

Nous parlons également de son regard d’esthète, de cette importance accordée au beau, au bien, à l’ambiance. Elle évoque, à sa manière, l’esprit des Lumières du XVIe siècle, cette époque où le contexte, la scène, l’harmonie des formes participaient d’une expérience totale et singulière.

Et puis il y a cette conscience claire : avec des choses simples, bien pensées, on peut faire de grandes choses. Dans une certaine mesure… que l’on pourrait appeler une forme de néo-paretoïsme.

Enfin, nous revenons sur l’impact des réseaux sociaux : sur la pratique, sur la vie personnelle, sur le temps d’écran, les montages, l’engagement, cette course effrénée qui épuise parfois autant qu’elle motive.

Nous évoquons aussi le drainage lymphatique, une spécialité qu’elle maîtrise, et que je n’avais encore jamais abordée sur ce podcast.

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