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Le carré joyeux | L'art de vivre et maison

Une porte entre ouverte, je t'explique les raisons de mon absence et l'avenir du podcast

Une porte entre ouverte, je t'explique les raisons de mon absence et l'avenir du podcast

27min |04/06/2024
Play
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Description

Nouvel épisode très attendu du podcast "Le Carré Joyeux"


C'est avec beaucoup de joie et d'émotion que je te retrouve après une longue absence. Beaucoup se demandaient où j'étais passée et ce que je faisais. Eh bien, dans cet épisode, je raconte tout en détail : absence et retour, appel à de nouveaux projets, réflexion personnelle, vision future, projets à venir, etc. Prends ta tasse et peut-être ton mouchoir, cet épisode m'a fait verser une larme.


Prochain épisode le 04 juillet


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    voici nous voilà je sais que cet épisode était très attendu non pas à cause du contenu ou des informations qui seront partagées parce que je pense que ça c'est un peu inattendu mais l'épisode était un peu attendu dans le sens à quand un autre épisode du podcast sur les carreaux joyeux ça faisait longtemps Jaël où es-tu passé qu'est-ce que fais-tu que deviens-tu On en parle en long et en large dans cet épisode. Déjà, je tiens à préciser que je voulais vraiment que ça soit comme... juste l'échange que j'ai avec toi directement pas forcément avec tous les côtés logistiques et techniques du podcast donc j'ai pas pris mon matériel du podcast là à l'instant présent je suis en train d'enregistrer juste avec mon téléphone un peu comme quand j'ai fait mes notes vocales kilométriques sur WhatsApp qui durent 14 minutes je sais pas combien de temps ça va durer cet épisode j'ai pas de trame, j'ai rien je vais juste parler comme je le sens et Je pense que ça va aussi te parler, que tu vas recevoir ta part, même si c'est une porte qui se ferme et qui se ouvre, qui reste ouverte aussi tout de même. Mais je pense que tu recevras aussi ta part dans ce qui sera partagé maintenant, ici et maintenant. Alors, avant toute chose, j'ai tenu à remercier toutes les personnes. J'ai tenu à vous remercier. Quand j'ai dit vous, j'ai parlé des auditrices, j'ai parlé des personnes qui m'ont soutenue, qui m'ont accompagnée jusqu'ici. Et pendant ces longs moments d'absence, en fait, j'ai reçu beaucoup de messages, beaucoup de soutien, les personnes qui s'inquiétaient pour moi, les personnes qui pensaient que j'étais très très malade parce que le dernier épisode a été diffusé le 18 mars. et après il y a plus d'épisodes d'abord la semaine d'avant c'était parce qu'il y avait beaucoup trop de demandes j'avais beaucoup de questions, de sollicitations alors j'ai laissé le temps dédigéré et ensuite je suis tombée malade j'étais plus en mesure de produire des épisodes mais entre temps j'avais beaucoup beaucoup d'épisodes en stock, je savais pas ce que j'ai pu, j'ai dû en faire sachant que je ne pouvais pas diffuser des épisodes alors que je n'avais pas l'énergie et les ressources pour faire la promotion de ces épisodes là qui a fait que pendant trois semaines je ne pouvais pas publier parce que j'étais malade vraiment Et ensuite, ce qui s'est passé, c'est que la vie a pris un autre tournant. J'ai reçu un appel fort, un appel fort, qui je pense s'était déjà ressenti d'une certaine manière, mais que j'étais en train d'ignorer. Donc, revenons un peu au contexte. Moi, je suis multi. Alors, j'aime m'arrêter au fait de dire je suis multi, sans rajouter multipotentiel, sans rajouter multipassion, sans rajouter tous les multis qui existent au monde. Je ne dis pas que je suis HPI, je ne le suis pas. En fait, je ne sais même pas si je le suis. Et je ne ferai jamais ces tests-là parce que je n'ai pas envie de savoir. Mais je sais que je suis multi dans le sens où j'ai des... l'intérêt pour beaucoup de choses, j'ai des compétences pour beaucoup de choses, mais dans ma casquette, ma team, ma vie des multis, je suis cyclique en fait. Je suis vraiment cyclique. Il va y avoir un moment où je vais avoir beaucoup d'intérêt pour un domaine précis et à un certain moment, je vais perdre l'intérêt. Je suis comme ça. Et même dans mes échanges avec les personnes, il y a un moment où je vais être là, vraiment présente. Je suis là, dans les interactions. Et il y a un moment où je suis juste en mode hmm, pause pause, je peux mettre mon téléphone en mode avion, je me mets en off parce que j'ai juste besoin de les récupérer. Quel genre d'extraverti je suis. Quel genre d'extraverti je suis. Autant je suis chaleureuse et chaude dans les conversations, autant parfois j'ai un moment d'érepie et quand je vois des conversations, des demandes converger vers moi, je fais juste stop, je mets mon téléphone en mode avion, je reste avec les stricts. minimum, cela dit ma mère, parce que si elle n'arrive pas à m'avoir, elle appelle la terre entière. Donc je laisse toujours une fenêtre pour qu'elle, elle arrive à me joindre. Mais c'est vraiment comme ça que je fonctionne. Et donc, dans ce fonctionnement cyclique, je suis en ce moment appelée ailleurs. Donc comme je disais, ça se faisait déjà ressentir, mais je l'ignorais un peu. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. J'ai entre-temps aussi intégré le programme de Aline Bartoli, la BSB. Il y avait aussi pas mal de remises en question de ce que je voulais faire, parce que vraiment, j'ai parti avec la vision que j'avais. mais en faisant les exercices et tout ce qui allait avec, il y avait cet appel fort dont je te parlerai, qui résonnait encore plus dans les exercices, alors je devais prendre une décision. Et c'était quoi la décision ? J'ai mis un plan, tu t'en doutes bien. Je m'étais fait un plan en tenant compte de ce que je voulais, en tenant compte du fait que je sois multi, en tenant compte à qui je voulais m'adresser, quel était mon message, quelle était la raison pour laquelle je faisais tout ça. Donc j'avais décidé de commencer par Thierry Juvial, et ensuite de pivoter par année des trois ans. Donc je t'explique un peu. J'ai annoncé que c'était une année. des lancements, une année de croissance et une année des pivots. C'est-à-dire qu'une année, je suis à fond sur un projet, un seul projet, je suis à fond dessus. une année je suis à fond pour la croissance de ce projet-là et une année je suis en mode pivot c'est-à-dire que j'ai lâché un peu le pied j'ai des legs et moi je me concentre du coup pour être à fond sur notre projet c'est un peu comme ça que j'avais fait mon plan jusqu'ici c'est ce que j'étais en train de suivre mais l'élément que j'avais mis en premier c'était Jovial alors que Je n'ai pas réussi à faire de ces joviales ce que je voulais en faire parce qu'en vrai, ces joviales, c'est vraiment un showroom. Ces joviales, c'est vraiment un espace où on vient connecter, partager. On vient rendre des choses et déposer des choses pour améliorer les intérieurs, pour améliorer les maisons, pour qu'ils... les maisons vivent et que les personnes dans ces maisons-là vivent. Comme j'aime les dire, je suis révélatrice de beauté, je suis révélatrice de potentialité. C'est vraiment, je vais révéler que les maisons dans lesquelles nous vivons, Ces maisons peuvent être belles et on n'a pas besoin de plus pour que cela soit belle. Les personnes qui sont dans une maison peuvent vivre en harmonie, peuvent avoir de belles relations, peuvent atteindre de belles destinées. C'est vraiment ça en fait, les cœurs d'Estée Joviat. Et moi, mon maître mot, en fait, si je dois appeler ça maître mot, verbe de ma vie, c'est vraiment le fait de sauver des vies. Et sauver des vies, je ne sais pas si tu en as déjà entendu parler avant, parce qu'avant, je voulais faire la médecine. J'avais perdu ma tante et ma grand-mère quand j'avais 5 et 7 ans. Donc, j'étais partie un peu en mode vengeance. Là, je me vengeais de la vie et tout. Ensuite, un peu plus loin, je me suis rendue compte que le plan que je voulais, ce n'était pas si faisable que ça, dans le sens où les médecins au Congo, la rémunération ne suivait pas avec ce que moi je voulais en faire. Je voulais faire deux polycliniques, sachant que je voulais faire une polyclinique payante, où les personnes allaient payer plein d'impôts, et me servir de ça comme fonds pour financer une deuxième polyclinique qui allait être, elle, gratuite pour les personnes démunies, parce que ma tante est partie parce que... Les soins faisaient défaut, mais ce n'est pas l'argent qui faisait défaut. Mais par contre, ma grand-mère est vraiment partie suite à des négligences médicaux. Je ne veux pas m'étaler en longueur à cause de ça. C'est vraiment quelque chose qui m'a... qui m'a toujours fait me sentir impuissante. Je sais que ma mère et ainsi que toute la famille, toutes ses sœurs, elles ont fait de leur mieux. Je sais que ma maman, elle a tout donné, mais que ce n'était pas possible. Et en fait, moi, c'est vraiment quelque chose que je voulais pas que ça arrive aussi à d'autres personnes, à d'autres familles, que faute de moyens, faute des ressources, faute des techniques et tout ça, que les vies soient arrachées aussi brutalement comme ça. Et donc je me suis dit, wow, il y a un domaine qui existe où les personnes sont pleines aux as, où les personnes arrivent à se faire de l'argent. Et c'est l'ingénierie, c'est l'ingénierie civile, alors je suis l'ingénierie civile. Et ensuite, je faisais la médecine. À chaque fois que j'étais née, c'est dit ce cours-là, les personnes me regardaient en mode... Toi, tu es un extraterrestre, c'est-à-dire ce que tu dis est impossible. En ce moment-là, je ne comprenais pas les messages qu'ils étaient en train de me véhiculer, puisque moi j'étais à fond, je croyais vraiment à ce que je suis en train de dire. On se met d'accord, je n'ai pas fait les deux cursus, mais c'est ce que je voulais. Et ce que je ne comprenais pas à cette époque-là, c'est que c'était déjà le fait que je sois multie qui s'exprimait fort en moi, le fait que je pouvais avoir des attraits. des intérêts pour plusieurs choses. Moi, je mettais plus ça dans le compte de je veux faire l'ingénierie, amasser suffisamment de fonds pour pouvoir ensuite faire médecine et concrétiser mon projet. Mais en vrai, j'étais attirée par les deux. Ce qui m'a conduit à faire un peu beaucoup de choses aussi. J'ai fait des études de sciences pour l'ingénieur. Ensuite, j'ai convergé, j'ai migré vers tout ce qui était conduite de travaux et tout ça. mais en parallèle, j'avais toujours intérêt pour tout ce qui était santé sanitaire. J'ai fait des sensibilisations aussi dans les cadres de PNMLS. J'ai fait un peu... Je pense que tout ce qui concerne la santé, ça m'intéresse. Quand je vais dans un laboratoire, je suis toujours curieuse de savoir le pourquoi du comment. Tu te doutes bien, j'ai lu des articles, des podcasts, des livres autour du sujet. C'est vraiment quelque chose qui me passionne. Je suis en train de m'étaler en langue, je ne sais pas pourquoi, rêvez-en. Donc c'était ça que je voulais, mais entre-temps, je me suis perdue en chemin. Je me suis perdue en chemin et j'ai commencé à vouloir faire des choses juste pour m'occuper, parce que je ne pouvais pas exercer ce que je voulais. Et donc j'ai commencé à faire des choses juste pour m'occuper. Et j'ai lancé en 2017, je crois, c'était 2017, j'ai lancé JoomScout. En fait, c'était juste, dans ma vision, c'était une plateforme où on pouvait comme ça librement échanger. Le but, c'était vraiment de rompre avec la routine, pouvoir s'y motiver et tout ça. Je faisais des posts sur Instagram. Je voulais en faire des espèces de messages qu'on envoyait tous les jours. Je voulais m'inspirer de Un miracle chaque jour d'Éric Sellerier pour un peu comme ça diffuser des messages tous les jours, histoire de se motiver, rompre avec la routine et tout. Je ne suis pas allée plus loin avec ça. je ne suis pas allée plus loin avec ça, mais l'effet que je voulais communiquer, je voulais communiquer visuellement. C'est comme ça que je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, j'étais sur Canva pour faire les visuels de June Scott et je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, en 2017, j'ai commencé, fin 2017. Et 2018, j'étais à fond dans la marmite Canva. Je fais un peu une pause. 2019, je suis revenue. 2019-2020, j'étais à 100 dans la marmite. Ce qui fait qu'aujourd'hui, j'ai nage, je suis tout dans le canva. Tout, tout, tout, tout, tout. Tout. Ma vie, c'est dans le canva. Parle-moi d'une présentation. Parle-moi de tout ce que tu veux. Tout, je fais tout, tout, tout, tout, tout. Donc, en vrai, vraiment, ça a remplacé la suite Office, Word, PowerPoint, Excel. Je fais tout dans le canva. Et... C'est vraiment en étant là, qu'on voit que le côté où j'aime bien visualiser les choses, matérialiser les choses, emmener la pensée, l'imagination au concret à travers l'image, ça fait encore un peu plus ressentir. J'ai pu assister, accompagner des personnes dans des projets dans ces sens, et les personnes étaient en train beaucoup de me dire Ah oui, mais Jaël, tu captes bien les messages. En fait, on te dit quelque chose, mais quand tu le ramènes à l'image, c'est vraiment ce que... on était en train de dire là, c'était le discernement au moins qui parlait fort, fort, fort par la grâce des dieux bien sûr et donc c'est comme ça que j'ai développé l'intérêt pour tout ce qui était création visuelle, tout ce qui était vraiment véhiculer un message via l'image, c'est comme ça que ça m'est arrivé là je suis un peu en train de te parler de tous mes multis alors les enfants, c'est arrivé avec la maternité C'est arrivé avec la maternité. J'y prends un plaisir, mais un plaisir de pouvoir agencer, coordonner les tenues. C'est mon kiff à moi. J'en ai beaucoup d'autres, mais vraiment pouvoir coordonner les tenues, comment ça sera, avec quelles chaussures, avec quels accessoires, avec quel monde, tout, c'est quelque chose qui me passionne. Et du coup, ça aussi, c'est quelque chose que je vais transmettre. on n'a pas toujours besoin d'avoir 50 tenues des enfants pour que les enfants soient bien habillés, pour que les enfants soient éligents, pour que les enfants s'habillent bien. Et du coup, c'est un peu le côté de faire plus avec moins et que ça soit joli, que ça se raccorde, que ça soit visuellement agréable. Donc, j'ai un cœur qui est fort tourné vers les enfants. Et c'est pour ça aussi qu'il y a ces côtés tournés vers les enfants qui parlent fort parce qu'au fond, j'ai l'âme d'enfant, j'ai l'âme d'un enfant. et qu'est-ce que je ne dis pas ? Donc voilà un peu, je me suis un peu étalée en longueur et en profondeur, pourquoi j'ai parlé de tout ça. Parce que du coup, c'est ça le parcours que j'ai défini. C'est ça ma vie en fait. C'est à ça que je suis appelée. Je suis appelée à tout ça. Et j'étais en train de parler du coup de sauver des vies. Et donc sauver des vies dans la maison, j'étais un peu parlée. Vivre dans des beaux cadres. Beaux cadres, on ne peut pas forcément dire luxueux, mais que ça soit beau, que ça soit agréable et qu'on y trouve de la joie. de la joie de vivre, de la satisfaction. Sauver des vies pour les personnes, et les personnes, quand on sauve la vie d'une personne, c'est que la vie de la personne est soit en train de se dégrader, soit de rétrograder, soit la vie tombe vers sa fin. Et sauver la vie de la personne, c'est un peu comme ranimer la personne, comme la restaurer, comme la ramener. Et moi, ce que je fais vraiment, c'est pouvoir montrer aux personnes que, ben non. Rien n'est perdu de ce qui a l'air d'être perdu, de ce qui a l'air d'être vide. Et sans sens, en fait, il y a de la beauté dans ça. Il faudra juste voir ça autrement, il faudra traiter cela autrement, il faudra dealer avec autrement pour que la beauté de tout cela puisse se révéler et que les potentiels de choses puissent se... se révéler dans les côtés, tout ce qui est identitaire, épanouissement séminal. Et aussi, pareil, les enfants, comme j'en ai parlé, sauver les vies dans ce domaine-là, c'est aussi... pouvoir permettre aux enfants d'essayer convenablement sans forcément en avoir plus. En ce moment, dans mon discours, je ne suis pas tournée vers les personnes qui ont de gros, gros, gros moyens et qui, eux, peuvent mettre des milliers, des cents. Moi, je suis vraiment tournée vers les personnes qui, peut-être, peinent à annuler le deux-bouts du mois et qui se disent telle chose, c'est pas à notre portée, c'est trop cher, c'est pas possible Mais du coup, moi, je vais montrer, je vais inaugurer la voie des possibles. Je veux montrer que c'est possible parce que moi-même, je suis passée par là. C'est mon chemin, c'est mon parcours. Je suis passée par là, j'ai inauguré la voie des possibles pour moi-même. et je vais montrer que c'est possible pour les autres. Je parle beaucoup de sauver des vies, mais qu'on se mette d'accord, la première vie que je sauve, tous les jours, c'est la mienne. C'est la mienne parce que être dans mon appel, faire c'est pourquoi je suis appelée c'est aussi sauver ma vie de l'oubli, sauver ma vie de tout ce que le diable a pu faire, vouloir autour de ma vie. Et tous les jours, en choisissant de répondre, d'obéir à mon appel, de suivre ce que Dieu a dit pour moi, je sauve un peu aussi ma vie. de l'oubli et de comment l'ennemi a voulu m'enterrer, mais me tuer carrément. en cherchant à sauver ma vie, je sauve la vie des autres parce que c'est quand j'interviens dans la vie des autres, quand les autres ont de retour, quand les autres ont un décrit avec l'impact de changement, de transformation, que là, je me sens utile, que là, je me sens à ma place. Et donc, voilà. Il y a aussi les côtés événements, expériences qui sont forts, forts, forts. Moi, je suis une femme qui aime les expériences. Ouais, ça aussi, c'est sur la liste. Mais j'en parlerai un peu plus dans les jours à venir. Je suis un peu décusue dans ma façon de parler, mais comprends-moi. On en arrive au fait que j'ai dit que j'étais appelée ailleurs, que l'appel s'est donné à ressentir, mais que j'étais en train de diminuer ça. Pourquoi ? encore une fois, stress. Stress de ne pas être légitime, c'est l'anse qui se fait. Stress de déporter l'étiquette de quelque chose qui ne me correspondait pas. Stress de beaucoup de choses. Et cet appel qui ressemblait fort en moi, c'était vraiment l'épanouissement féminin. J'en ai abordé ici en l'un et en large plus ou moins avec la série 7 pour la femme. Mais un peu plus avant aussi, l'épanouissement féminin, c'est quelque chose qui me drive parce que j'en peux plus. d'y voir des femmes qui s'écuent à la tâche tous les jours, mais sans avoir la reconnaissance et les mérites qui vont avec. Oui, c'est un discours qu'on a déjà entendu et réentendu, mais moi, je parle vraiment de l'optique. Je sais ce que c'est d'être dans les chaos. Je sais ce que c'est d'avoir des pensées suicidaires. Je sais ce que c'est d'avoir que sa vie ne sert à rien. Je sais ce que c'est que d'être brillante, excellente, qu'est d'être dévouée. et avoir rien comme résultat. Et donc cet appel se faisait fort ressentir en moi, et je ne pouvais pas l'ignorer parce que ça devenait insoutenable, inténable. Et donc j'ai décidé de faire une pause générale en avril. Donc fin mars, début avril, j'ai pris la décision de faire pause sur tout. J'ai tout arrêté. J'ai arrêté mes missions, j'ai arrêté mes prestations, j'ai arrêté la création de contenu. J'ai tout arrêté et je suis revenue à l'hôtel. Je suis revenue à l'hôtel, je suis revenue dans la présence des dieux. Quand je dis que je suis revenue à l'hôtel, je pense beaucoup à la chanson. Rizzo Andor de Hillsong et je suis revenue à l'hôtel dans la présence de Dieu et c'était parti comme ça pour trois mois j'y suis encore ça finira en juillet mais là j'ai fait ces messages-là parce que je suis progressivement en train de revenir et j'en reviendrai pleinement à partir du mois de juillet Et donc je suis revenue à l'hôtel et pendant ce moment de prière, les seigneurs parlaient encore plus, les messages faisaient encore ressentir plus, que ce soit par moi, que ce soit par d'autres personnes, que c'était vraiment le moment d'aller dans cette voie-là. J'ai lutté avec moi-même, j'ai lutté avec les seigneurs. Et ensuite, nous sommes arrivés à la conclusion que c'était ça, la voie pour le moment. Et qui donc, de toute façon... Je n'ai pas jusqu'ici fait ce que je voulais avec ces joviales, parce que j'ai passé l'étape. Il était d'abord question de traiter, de parler, d'aborder l'identité, même si j'essaie de le faire en soumissive avec ces joviales. Mais ces joviales n'ont pas vraiment la place et les cadres pour. Là, j'ai sûrement parti sur autre chose. J'ai créé le cadre, la place, l'espace pour traiter de tout ce qui est identitaire, en tout cas, qu'est identitaire, identité des femmes, épanouissement féminin, traiter de tout ce qui est le potentiel humain, traiter de tout ce qui est mission de vie, vision, tout ce qui est organisation personnelle, comment atteindre tes objectifs. Vraiment, on en parle en haut et en large là-bas, avec un accent un peu plus sur les neurosciences, les fonctionnements du cerveau, l'histoire personnelle. Voilà un peu le topo de ce à quoi je suis appelée en ce moment. Et c'est pourquoi je suis en train aussi de travailler en ce moment. Le Seigneur m'a communiqué beaucoup de messages dans ces sens. J'espère vraiment que ça sera transmis tel que lui le veut pour toi, pour moi, pour cette génération, mais aussi pour les générations à venir. Et j'ai hâte de te présenter ça. Ça existe déjà, légalement ça existe. Il y a des choses qui sont encore en cours de construction, comme les sites internet et toute la partie de nos lecteurs qui va venir après. mais ça existe déjà parce qu'il y a déjà un compte Instagram qui a été créé, du contenu déjà qui est en train d'être partagé ici et là. Mais je vais vraiment prendre le temps de communiquer autour de ça au mois de juillet. Et qu'est-ce qu'il y a au mois de juillet ? Dans pile un mois, les Carrés Joyeux, ça fera un an que ce podcast est lancé. Donc, je vais republier un autre épisode les 14 juillet. et ensuite ça sera vraiment la longue pause jusqu'à ce que le showroom jusqu'à ce que le showroom soit créé et qu'on puisse faire l'inauguration faire la fête ensemble et décoller ensemble je suis vraiment pas allée en profondeur dans la vision des seuls joviales non pas parce que j'ai peur qu'on puisse me voler quoi que ce soit parce que à l'heure actuelle j'estime qu'on a rien à me voler et même si on venait à prendre mes idées ben ça sera pas comme moi et je saurais toujours comment emmener les choses à ma manière entre temps j'enregistrais pas mal d'épisodes j'étais promis l'épisode avec Eunice Mali mais il n'y a pas que ça j'enregistrais l'épisode avec Julie Déninec j'enregistrais l'épisode avec Bénédicte Kouvouna j'enregistrais l'épisode avec Maman Christelle Kras de Gaëlle j'enregistrais l'épisode avec Nana Décor Live j'enregistrais l'épisode avec pas mal de femmes et je ne me sentais pas de pouvoir publier des épisodes ici sans pouvoir en faire la promotion donc on se retrouve de l'autre côté et les épisodes seront publiés en temps et en heure avec toute la valeur qu'elles ont à t'apporter parce que même ces épisodes-là, ah oui, j'ai même enregistré avec Camélia aussi de Maman fait médecine et même ces épisodes-là, en fait, je les tournais déjà vers le côté épanouissement féminin qui est identitaire. Donc pour moi, c'est vraiment, c'était vraiment les fils conducteurs qui me faisaient dire Oh, tu as trop ignoré les signaux, voilà vers où ça s'enverge. Donc, je crois avoir tout dit, ou peut-être même trop dit, mais je crois avoir répondu à... les questions qui ont pu être posées, le pourquoi de mon silence, c'était quoi l'avenir des séchevilles, c'était quoi l'avenir du podcast et tout. Le podcast reviendra en temps et en heure, mais vraiment axé sur la maison, axé sur la vie de la maison et pas l'identité de la personne. Et à partir de maintenant, nous traitons de l'identité de la personne. Si tu enquêtes de toi-même, enquêtes de savoir ce qu'ont tes valeurs, comment incarner tes valeurs au quotidien, c'est quoi ton appel, ce pourquoi tu es appelé, c'est quoi ta mission de vie, c'est quoi la vision, les objectifs. Oui, on entend beaucoup objectifs, smart et tout ça, mais je ne suis vraiment pas du tout dans cette optique-là, je suis vraiment dans autre chose. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai trop, trop hâte d'essayer à découvrir au monde et aller à moi-même aussi, parce que je sais que je vais apprendre et j'apprends encore des choses dans ces sens-là. Je ne veux pas m'éterniser plus, ça fait déjà, je regarde le chrono, ça fait déjà peut-être 25 minutes que je parle. Donc, je m'arrête ici. On se retrouve le 4 juillet pour faire un peu le bilan du podcast et tout ça. Un an, qu'est-ce qui s'est passé pendant un an ? Mais là, j'ai regardé les chiffres, on est déjà à 20 000 écoutes, sachant que je suis partie de rien. Vous m'avez portée jusqu'ici avec les écoutes, les encouragements et tout ça. 20 000 écoutes, même quand je diffuse plus les épisodes, je continue à écouter, c'est énorme, ça compte énormément pour moi et je ne voulais pas juste partir comme ça du jour au lendemain, vous dire que c'est fini donc je voulais bien faire les choses c'est vraiment une pause que je prends c'est pas définitif, c'est une virgule et en temps et en heure, on se retrouvera mais le 4 juillet on a un épisode où on fait les bilans, où on parle de beaucoup de choses et je t'annonce concrètement la porte qui vient de s'ouvrir pour que tu me rejoignes dès l'autre côté A très vite, prends bien soin de toi, bye all

Description

Nouvel épisode très attendu du podcast "Le Carré Joyeux"


C'est avec beaucoup de joie et d'émotion que je te retrouve après une longue absence. Beaucoup se demandaient où j'étais passée et ce que je faisais. Eh bien, dans cet épisode, je raconte tout en détail : absence et retour, appel à de nouveaux projets, réflexion personnelle, vision future, projets à venir, etc. Prends ta tasse et peut-être ton mouchoir, cet épisode m'a fait verser une larme.


Prochain épisode le 04 juillet


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    voici nous voilà je sais que cet épisode était très attendu non pas à cause du contenu ou des informations qui seront partagées parce que je pense que ça c'est un peu inattendu mais l'épisode était un peu attendu dans le sens à quand un autre épisode du podcast sur les carreaux joyeux ça faisait longtemps Jaël où es-tu passé qu'est-ce que fais-tu que deviens-tu On en parle en long et en large dans cet épisode. Déjà, je tiens à préciser que je voulais vraiment que ça soit comme... juste l'échange que j'ai avec toi directement pas forcément avec tous les côtés logistiques et techniques du podcast donc j'ai pas pris mon matériel du podcast là à l'instant présent je suis en train d'enregistrer juste avec mon téléphone un peu comme quand j'ai fait mes notes vocales kilométriques sur WhatsApp qui durent 14 minutes je sais pas combien de temps ça va durer cet épisode j'ai pas de trame, j'ai rien je vais juste parler comme je le sens et Je pense que ça va aussi te parler, que tu vas recevoir ta part, même si c'est une porte qui se ferme et qui se ouvre, qui reste ouverte aussi tout de même. Mais je pense que tu recevras aussi ta part dans ce qui sera partagé maintenant, ici et maintenant. Alors, avant toute chose, j'ai tenu à remercier toutes les personnes. J'ai tenu à vous remercier. Quand j'ai dit vous, j'ai parlé des auditrices, j'ai parlé des personnes qui m'ont soutenue, qui m'ont accompagnée jusqu'ici. Et pendant ces longs moments d'absence, en fait, j'ai reçu beaucoup de messages, beaucoup de soutien, les personnes qui s'inquiétaient pour moi, les personnes qui pensaient que j'étais très très malade parce que le dernier épisode a été diffusé le 18 mars. et après il y a plus d'épisodes d'abord la semaine d'avant c'était parce qu'il y avait beaucoup trop de demandes j'avais beaucoup de questions, de sollicitations alors j'ai laissé le temps dédigéré et ensuite je suis tombée malade j'étais plus en mesure de produire des épisodes mais entre temps j'avais beaucoup beaucoup d'épisodes en stock, je savais pas ce que j'ai pu, j'ai dû en faire sachant que je ne pouvais pas diffuser des épisodes alors que je n'avais pas l'énergie et les ressources pour faire la promotion de ces épisodes là qui a fait que pendant trois semaines je ne pouvais pas publier parce que j'étais malade vraiment Et ensuite, ce qui s'est passé, c'est que la vie a pris un autre tournant. J'ai reçu un appel fort, un appel fort, qui je pense s'était déjà ressenti d'une certaine manière, mais que j'étais en train d'ignorer. Donc, revenons un peu au contexte. Moi, je suis multi. Alors, j'aime m'arrêter au fait de dire je suis multi, sans rajouter multipotentiel, sans rajouter multipassion, sans rajouter tous les multis qui existent au monde. Je ne dis pas que je suis HPI, je ne le suis pas. En fait, je ne sais même pas si je le suis. Et je ne ferai jamais ces tests-là parce que je n'ai pas envie de savoir. Mais je sais que je suis multi dans le sens où j'ai des... l'intérêt pour beaucoup de choses, j'ai des compétences pour beaucoup de choses, mais dans ma casquette, ma team, ma vie des multis, je suis cyclique en fait. Je suis vraiment cyclique. Il va y avoir un moment où je vais avoir beaucoup d'intérêt pour un domaine précis et à un certain moment, je vais perdre l'intérêt. Je suis comme ça. Et même dans mes échanges avec les personnes, il y a un moment où je vais être là, vraiment présente. Je suis là, dans les interactions. Et il y a un moment où je suis juste en mode hmm, pause pause, je peux mettre mon téléphone en mode avion, je me mets en off parce que j'ai juste besoin de les récupérer. Quel genre d'extraverti je suis. Quel genre d'extraverti je suis. Autant je suis chaleureuse et chaude dans les conversations, autant parfois j'ai un moment d'érepie et quand je vois des conversations, des demandes converger vers moi, je fais juste stop, je mets mon téléphone en mode avion, je reste avec les stricts. minimum, cela dit ma mère, parce que si elle n'arrive pas à m'avoir, elle appelle la terre entière. Donc je laisse toujours une fenêtre pour qu'elle, elle arrive à me joindre. Mais c'est vraiment comme ça que je fonctionne. Et donc, dans ce fonctionnement cyclique, je suis en ce moment appelée ailleurs. Donc comme je disais, ça se faisait déjà ressentir, mais je l'ignorais un peu. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. J'ai entre-temps aussi intégré le programme de Aline Bartoli, la BSB. Il y avait aussi pas mal de remises en question de ce que je voulais faire, parce que vraiment, j'ai parti avec la vision que j'avais. mais en faisant les exercices et tout ce qui allait avec, il y avait cet appel fort dont je te parlerai, qui résonnait encore plus dans les exercices, alors je devais prendre une décision. Et c'était quoi la décision ? J'ai mis un plan, tu t'en doutes bien. Je m'étais fait un plan en tenant compte de ce que je voulais, en tenant compte du fait que je sois multi, en tenant compte à qui je voulais m'adresser, quel était mon message, quelle était la raison pour laquelle je faisais tout ça. Donc j'avais décidé de commencer par Thierry Juvial, et ensuite de pivoter par année des trois ans. Donc je t'explique un peu. J'ai annoncé que c'était une année. des lancements, une année de croissance et une année des pivots. C'est-à-dire qu'une année, je suis à fond sur un projet, un seul projet, je suis à fond dessus. une année je suis à fond pour la croissance de ce projet-là et une année je suis en mode pivot c'est-à-dire que j'ai lâché un peu le pied j'ai des legs et moi je me concentre du coup pour être à fond sur notre projet c'est un peu comme ça que j'avais fait mon plan jusqu'ici c'est ce que j'étais en train de suivre mais l'élément que j'avais mis en premier c'était Jovial alors que Je n'ai pas réussi à faire de ces joviales ce que je voulais en faire parce qu'en vrai, ces joviales, c'est vraiment un showroom. Ces joviales, c'est vraiment un espace où on vient connecter, partager. On vient rendre des choses et déposer des choses pour améliorer les intérieurs, pour améliorer les maisons, pour qu'ils... les maisons vivent et que les personnes dans ces maisons-là vivent. Comme j'aime les dire, je suis révélatrice de beauté, je suis révélatrice de potentialité. C'est vraiment, je vais révéler que les maisons dans lesquelles nous vivons, Ces maisons peuvent être belles et on n'a pas besoin de plus pour que cela soit belle. Les personnes qui sont dans une maison peuvent vivre en harmonie, peuvent avoir de belles relations, peuvent atteindre de belles destinées. C'est vraiment ça en fait, les cœurs d'Estée Joviat. Et moi, mon maître mot, en fait, si je dois appeler ça maître mot, verbe de ma vie, c'est vraiment le fait de sauver des vies. Et sauver des vies, je ne sais pas si tu en as déjà entendu parler avant, parce qu'avant, je voulais faire la médecine. J'avais perdu ma tante et ma grand-mère quand j'avais 5 et 7 ans. Donc, j'étais partie un peu en mode vengeance. Là, je me vengeais de la vie et tout. Ensuite, un peu plus loin, je me suis rendue compte que le plan que je voulais, ce n'était pas si faisable que ça, dans le sens où les médecins au Congo, la rémunération ne suivait pas avec ce que moi je voulais en faire. Je voulais faire deux polycliniques, sachant que je voulais faire une polyclinique payante, où les personnes allaient payer plein d'impôts, et me servir de ça comme fonds pour financer une deuxième polyclinique qui allait être, elle, gratuite pour les personnes démunies, parce que ma tante est partie parce que... Les soins faisaient défaut, mais ce n'est pas l'argent qui faisait défaut. Mais par contre, ma grand-mère est vraiment partie suite à des négligences médicaux. Je ne veux pas m'étaler en longueur à cause de ça. C'est vraiment quelque chose qui m'a... qui m'a toujours fait me sentir impuissante. Je sais que ma mère et ainsi que toute la famille, toutes ses sœurs, elles ont fait de leur mieux. Je sais que ma maman, elle a tout donné, mais que ce n'était pas possible. Et en fait, moi, c'est vraiment quelque chose que je voulais pas que ça arrive aussi à d'autres personnes, à d'autres familles, que faute de moyens, faute des ressources, faute des techniques et tout ça, que les vies soient arrachées aussi brutalement comme ça. Et donc je me suis dit, wow, il y a un domaine qui existe où les personnes sont pleines aux as, où les personnes arrivent à se faire de l'argent. Et c'est l'ingénierie, c'est l'ingénierie civile, alors je suis l'ingénierie civile. Et ensuite, je faisais la médecine. À chaque fois que j'étais née, c'est dit ce cours-là, les personnes me regardaient en mode... Toi, tu es un extraterrestre, c'est-à-dire ce que tu dis est impossible. En ce moment-là, je ne comprenais pas les messages qu'ils étaient en train de me véhiculer, puisque moi j'étais à fond, je croyais vraiment à ce que je suis en train de dire. On se met d'accord, je n'ai pas fait les deux cursus, mais c'est ce que je voulais. Et ce que je ne comprenais pas à cette époque-là, c'est que c'était déjà le fait que je sois multie qui s'exprimait fort en moi, le fait que je pouvais avoir des attraits. des intérêts pour plusieurs choses. Moi, je mettais plus ça dans le compte de je veux faire l'ingénierie, amasser suffisamment de fonds pour pouvoir ensuite faire médecine et concrétiser mon projet. Mais en vrai, j'étais attirée par les deux. Ce qui m'a conduit à faire un peu beaucoup de choses aussi. J'ai fait des études de sciences pour l'ingénieur. Ensuite, j'ai convergé, j'ai migré vers tout ce qui était conduite de travaux et tout ça. mais en parallèle, j'avais toujours intérêt pour tout ce qui était santé sanitaire. J'ai fait des sensibilisations aussi dans les cadres de PNMLS. J'ai fait un peu... Je pense que tout ce qui concerne la santé, ça m'intéresse. Quand je vais dans un laboratoire, je suis toujours curieuse de savoir le pourquoi du comment. Tu te doutes bien, j'ai lu des articles, des podcasts, des livres autour du sujet. C'est vraiment quelque chose qui me passionne. Je suis en train de m'étaler en langue, je ne sais pas pourquoi, rêvez-en. Donc c'était ça que je voulais, mais entre-temps, je me suis perdue en chemin. Je me suis perdue en chemin et j'ai commencé à vouloir faire des choses juste pour m'occuper, parce que je ne pouvais pas exercer ce que je voulais. Et donc j'ai commencé à faire des choses juste pour m'occuper. Et j'ai lancé en 2017, je crois, c'était 2017, j'ai lancé JoomScout. En fait, c'était juste, dans ma vision, c'était une plateforme où on pouvait comme ça librement échanger. Le but, c'était vraiment de rompre avec la routine, pouvoir s'y motiver et tout ça. Je faisais des posts sur Instagram. Je voulais en faire des espèces de messages qu'on envoyait tous les jours. Je voulais m'inspirer de Un miracle chaque jour d'Éric Sellerier pour un peu comme ça diffuser des messages tous les jours, histoire de se motiver, rompre avec la routine et tout. Je ne suis pas allée plus loin avec ça. je ne suis pas allée plus loin avec ça, mais l'effet que je voulais communiquer, je voulais communiquer visuellement. C'est comme ça que je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, j'étais sur Canva pour faire les visuels de June Scott et je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, en 2017, j'ai commencé, fin 2017. Et 2018, j'étais à fond dans la marmite Canva. Je fais un peu une pause. 2019, je suis revenue. 2019-2020, j'étais à 100 dans la marmite. Ce qui fait qu'aujourd'hui, j'ai nage, je suis tout dans le canva. Tout, tout, tout, tout, tout. Tout. Ma vie, c'est dans le canva. Parle-moi d'une présentation. Parle-moi de tout ce que tu veux. Tout, je fais tout, tout, tout, tout, tout. Donc, en vrai, vraiment, ça a remplacé la suite Office, Word, PowerPoint, Excel. Je fais tout dans le canva. Et... C'est vraiment en étant là, qu'on voit que le côté où j'aime bien visualiser les choses, matérialiser les choses, emmener la pensée, l'imagination au concret à travers l'image, ça fait encore un peu plus ressentir. J'ai pu assister, accompagner des personnes dans des projets dans ces sens, et les personnes étaient en train beaucoup de me dire Ah oui, mais Jaël, tu captes bien les messages. En fait, on te dit quelque chose, mais quand tu le ramènes à l'image, c'est vraiment ce que... on était en train de dire là, c'était le discernement au moins qui parlait fort, fort, fort par la grâce des dieux bien sûr et donc c'est comme ça que j'ai développé l'intérêt pour tout ce qui était création visuelle, tout ce qui était vraiment véhiculer un message via l'image, c'est comme ça que ça m'est arrivé là je suis un peu en train de te parler de tous mes multis alors les enfants, c'est arrivé avec la maternité C'est arrivé avec la maternité. J'y prends un plaisir, mais un plaisir de pouvoir agencer, coordonner les tenues. C'est mon kiff à moi. J'en ai beaucoup d'autres, mais vraiment pouvoir coordonner les tenues, comment ça sera, avec quelles chaussures, avec quels accessoires, avec quel monde, tout, c'est quelque chose qui me passionne. Et du coup, ça aussi, c'est quelque chose que je vais transmettre. on n'a pas toujours besoin d'avoir 50 tenues des enfants pour que les enfants soient bien habillés, pour que les enfants soient éligents, pour que les enfants s'habillent bien. Et du coup, c'est un peu le côté de faire plus avec moins et que ça soit joli, que ça se raccorde, que ça soit visuellement agréable. Donc, j'ai un cœur qui est fort tourné vers les enfants. Et c'est pour ça aussi qu'il y a ces côtés tournés vers les enfants qui parlent fort parce qu'au fond, j'ai l'âme d'enfant, j'ai l'âme d'un enfant. et qu'est-ce que je ne dis pas ? Donc voilà un peu, je me suis un peu étalée en longueur et en profondeur, pourquoi j'ai parlé de tout ça. Parce que du coup, c'est ça le parcours que j'ai défini. C'est ça ma vie en fait. C'est à ça que je suis appelée. Je suis appelée à tout ça. Et j'étais en train de parler du coup de sauver des vies. Et donc sauver des vies dans la maison, j'étais un peu parlée. Vivre dans des beaux cadres. Beaux cadres, on ne peut pas forcément dire luxueux, mais que ça soit beau, que ça soit agréable et qu'on y trouve de la joie. de la joie de vivre, de la satisfaction. Sauver des vies pour les personnes, et les personnes, quand on sauve la vie d'une personne, c'est que la vie de la personne est soit en train de se dégrader, soit de rétrograder, soit la vie tombe vers sa fin. Et sauver la vie de la personne, c'est un peu comme ranimer la personne, comme la restaurer, comme la ramener. Et moi, ce que je fais vraiment, c'est pouvoir montrer aux personnes que, ben non. Rien n'est perdu de ce qui a l'air d'être perdu, de ce qui a l'air d'être vide. Et sans sens, en fait, il y a de la beauté dans ça. Il faudra juste voir ça autrement, il faudra traiter cela autrement, il faudra dealer avec autrement pour que la beauté de tout cela puisse se révéler et que les potentiels de choses puissent se... se révéler dans les côtés, tout ce qui est identitaire, épanouissement séminal. Et aussi, pareil, les enfants, comme j'en ai parlé, sauver les vies dans ce domaine-là, c'est aussi... pouvoir permettre aux enfants d'essayer convenablement sans forcément en avoir plus. En ce moment, dans mon discours, je ne suis pas tournée vers les personnes qui ont de gros, gros, gros moyens et qui, eux, peuvent mettre des milliers, des cents. Moi, je suis vraiment tournée vers les personnes qui, peut-être, peinent à annuler le deux-bouts du mois et qui se disent telle chose, c'est pas à notre portée, c'est trop cher, c'est pas possible Mais du coup, moi, je vais montrer, je vais inaugurer la voie des possibles. Je veux montrer que c'est possible parce que moi-même, je suis passée par là. C'est mon chemin, c'est mon parcours. Je suis passée par là, j'ai inauguré la voie des possibles pour moi-même. et je vais montrer que c'est possible pour les autres. Je parle beaucoup de sauver des vies, mais qu'on se mette d'accord, la première vie que je sauve, tous les jours, c'est la mienne. C'est la mienne parce que être dans mon appel, faire c'est pourquoi je suis appelée c'est aussi sauver ma vie de l'oubli, sauver ma vie de tout ce que le diable a pu faire, vouloir autour de ma vie. Et tous les jours, en choisissant de répondre, d'obéir à mon appel, de suivre ce que Dieu a dit pour moi, je sauve un peu aussi ma vie. de l'oubli et de comment l'ennemi a voulu m'enterrer, mais me tuer carrément. en cherchant à sauver ma vie, je sauve la vie des autres parce que c'est quand j'interviens dans la vie des autres, quand les autres ont de retour, quand les autres ont un décrit avec l'impact de changement, de transformation, que là, je me sens utile, que là, je me sens à ma place. Et donc, voilà. Il y a aussi les côtés événements, expériences qui sont forts, forts, forts. Moi, je suis une femme qui aime les expériences. Ouais, ça aussi, c'est sur la liste. Mais j'en parlerai un peu plus dans les jours à venir. Je suis un peu décusue dans ma façon de parler, mais comprends-moi. On en arrive au fait que j'ai dit que j'étais appelée ailleurs, que l'appel s'est donné à ressentir, mais que j'étais en train de diminuer ça. Pourquoi ? encore une fois, stress. Stress de ne pas être légitime, c'est l'anse qui se fait. Stress de déporter l'étiquette de quelque chose qui ne me correspondait pas. Stress de beaucoup de choses. Et cet appel qui ressemblait fort en moi, c'était vraiment l'épanouissement féminin. J'en ai abordé ici en l'un et en large plus ou moins avec la série 7 pour la femme. Mais un peu plus avant aussi, l'épanouissement féminin, c'est quelque chose qui me drive parce que j'en peux plus. d'y voir des femmes qui s'écuent à la tâche tous les jours, mais sans avoir la reconnaissance et les mérites qui vont avec. Oui, c'est un discours qu'on a déjà entendu et réentendu, mais moi, je parle vraiment de l'optique. Je sais ce que c'est d'être dans les chaos. Je sais ce que c'est d'avoir des pensées suicidaires. Je sais ce que c'est d'avoir que sa vie ne sert à rien. Je sais ce que c'est que d'être brillante, excellente, qu'est d'être dévouée. et avoir rien comme résultat. Et donc cet appel se faisait fort ressentir en moi, et je ne pouvais pas l'ignorer parce que ça devenait insoutenable, inténable. Et donc j'ai décidé de faire une pause générale en avril. Donc fin mars, début avril, j'ai pris la décision de faire pause sur tout. J'ai tout arrêté. J'ai arrêté mes missions, j'ai arrêté mes prestations, j'ai arrêté la création de contenu. J'ai tout arrêté et je suis revenue à l'hôtel. Je suis revenue à l'hôtel, je suis revenue dans la présence des dieux. Quand je dis que je suis revenue à l'hôtel, je pense beaucoup à la chanson. Rizzo Andor de Hillsong et je suis revenue à l'hôtel dans la présence de Dieu et c'était parti comme ça pour trois mois j'y suis encore ça finira en juillet mais là j'ai fait ces messages-là parce que je suis progressivement en train de revenir et j'en reviendrai pleinement à partir du mois de juillet Et donc je suis revenue à l'hôtel et pendant ce moment de prière, les seigneurs parlaient encore plus, les messages faisaient encore ressentir plus, que ce soit par moi, que ce soit par d'autres personnes, que c'était vraiment le moment d'aller dans cette voie-là. J'ai lutté avec moi-même, j'ai lutté avec les seigneurs. Et ensuite, nous sommes arrivés à la conclusion que c'était ça, la voie pour le moment. Et qui donc, de toute façon... Je n'ai pas jusqu'ici fait ce que je voulais avec ces joviales, parce que j'ai passé l'étape. Il était d'abord question de traiter, de parler, d'aborder l'identité, même si j'essaie de le faire en soumissive avec ces joviales. Mais ces joviales n'ont pas vraiment la place et les cadres pour. Là, j'ai sûrement parti sur autre chose. J'ai créé le cadre, la place, l'espace pour traiter de tout ce qui est identitaire, en tout cas, qu'est identitaire, identité des femmes, épanouissement féminin, traiter de tout ce qui est le potentiel humain, traiter de tout ce qui est mission de vie, vision, tout ce qui est organisation personnelle, comment atteindre tes objectifs. Vraiment, on en parle en haut et en large là-bas, avec un accent un peu plus sur les neurosciences, les fonctionnements du cerveau, l'histoire personnelle. Voilà un peu le topo de ce à quoi je suis appelée en ce moment. Et c'est pourquoi je suis en train aussi de travailler en ce moment. Le Seigneur m'a communiqué beaucoup de messages dans ces sens. J'espère vraiment que ça sera transmis tel que lui le veut pour toi, pour moi, pour cette génération, mais aussi pour les générations à venir. Et j'ai hâte de te présenter ça. Ça existe déjà, légalement ça existe. Il y a des choses qui sont encore en cours de construction, comme les sites internet et toute la partie de nos lecteurs qui va venir après. mais ça existe déjà parce qu'il y a déjà un compte Instagram qui a été créé, du contenu déjà qui est en train d'être partagé ici et là. Mais je vais vraiment prendre le temps de communiquer autour de ça au mois de juillet. Et qu'est-ce qu'il y a au mois de juillet ? Dans pile un mois, les Carrés Joyeux, ça fera un an que ce podcast est lancé. Donc, je vais republier un autre épisode les 14 juillet. et ensuite ça sera vraiment la longue pause jusqu'à ce que le showroom jusqu'à ce que le showroom soit créé et qu'on puisse faire l'inauguration faire la fête ensemble et décoller ensemble je suis vraiment pas allée en profondeur dans la vision des seuls joviales non pas parce que j'ai peur qu'on puisse me voler quoi que ce soit parce que à l'heure actuelle j'estime qu'on a rien à me voler et même si on venait à prendre mes idées ben ça sera pas comme moi et je saurais toujours comment emmener les choses à ma manière entre temps j'enregistrais pas mal d'épisodes j'étais promis l'épisode avec Eunice Mali mais il n'y a pas que ça j'enregistrais l'épisode avec Julie Déninec j'enregistrais l'épisode avec Bénédicte Kouvouna j'enregistrais l'épisode avec Maman Christelle Kras de Gaëlle j'enregistrais l'épisode avec Nana Décor Live j'enregistrais l'épisode avec pas mal de femmes et je ne me sentais pas de pouvoir publier des épisodes ici sans pouvoir en faire la promotion donc on se retrouve de l'autre côté et les épisodes seront publiés en temps et en heure avec toute la valeur qu'elles ont à t'apporter parce que même ces épisodes-là, ah oui, j'ai même enregistré avec Camélia aussi de Maman fait médecine et même ces épisodes-là, en fait, je les tournais déjà vers le côté épanouissement féminin qui est identitaire. Donc pour moi, c'est vraiment, c'était vraiment les fils conducteurs qui me faisaient dire Oh, tu as trop ignoré les signaux, voilà vers où ça s'enverge. Donc, je crois avoir tout dit, ou peut-être même trop dit, mais je crois avoir répondu à... les questions qui ont pu être posées, le pourquoi de mon silence, c'était quoi l'avenir des séchevilles, c'était quoi l'avenir du podcast et tout. Le podcast reviendra en temps et en heure, mais vraiment axé sur la maison, axé sur la vie de la maison et pas l'identité de la personne. Et à partir de maintenant, nous traitons de l'identité de la personne. Si tu enquêtes de toi-même, enquêtes de savoir ce qu'ont tes valeurs, comment incarner tes valeurs au quotidien, c'est quoi ton appel, ce pourquoi tu es appelé, c'est quoi ta mission de vie, c'est quoi la vision, les objectifs. Oui, on entend beaucoup objectifs, smart et tout ça, mais je ne suis vraiment pas du tout dans cette optique-là, je suis vraiment dans autre chose. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai trop, trop hâte d'essayer à découvrir au monde et aller à moi-même aussi, parce que je sais que je vais apprendre et j'apprends encore des choses dans ces sens-là. Je ne veux pas m'éterniser plus, ça fait déjà, je regarde le chrono, ça fait déjà peut-être 25 minutes que je parle. Donc, je m'arrête ici. On se retrouve le 4 juillet pour faire un peu le bilan du podcast et tout ça. Un an, qu'est-ce qui s'est passé pendant un an ? Mais là, j'ai regardé les chiffres, on est déjà à 20 000 écoutes, sachant que je suis partie de rien. Vous m'avez portée jusqu'ici avec les écoutes, les encouragements et tout ça. 20 000 écoutes, même quand je diffuse plus les épisodes, je continue à écouter, c'est énorme, ça compte énormément pour moi et je ne voulais pas juste partir comme ça du jour au lendemain, vous dire que c'est fini donc je voulais bien faire les choses c'est vraiment une pause que je prends c'est pas définitif, c'est une virgule et en temps et en heure, on se retrouvera mais le 4 juillet on a un épisode où on fait les bilans, où on parle de beaucoup de choses et je t'annonce concrètement la porte qui vient de s'ouvrir pour que tu me rejoignes dès l'autre côté A très vite, prends bien soin de toi, bye all

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Description

Nouvel épisode très attendu du podcast "Le Carré Joyeux"


C'est avec beaucoup de joie et d'émotion que je te retrouve après une longue absence. Beaucoup se demandaient où j'étais passée et ce que je faisais. Eh bien, dans cet épisode, je raconte tout en détail : absence et retour, appel à de nouveaux projets, réflexion personnelle, vision future, projets à venir, etc. Prends ta tasse et peut-être ton mouchoir, cet épisode m'a fait verser une larme.


Prochain épisode le 04 juillet


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    voici nous voilà je sais que cet épisode était très attendu non pas à cause du contenu ou des informations qui seront partagées parce que je pense que ça c'est un peu inattendu mais l'épisode était un peu attendu dans le sens à quand un autre épisode du podcast sur les carreaux joyeux ça faisait longtemps Jaël où es-tu passé qu'est-ce que fais-tu que deviens-tu On en parle en long et en large dans cet épisode. Déjà, je tiens à préciser que je voulais vraiment que ça soit comme... juste l'échange que j'ai avec toi directement pas forcément avec tous les côtés logistiques et techniques du podcast donc j'ai pas pris mon matériel du podcast là à l'instant présent je suis en train d'enregistrer juste avec mon téléphone un peu comme quand j'ai fait mes notes vocales kilométriques sur WhatsApp qui durent 14 minutes je sais pas combien de temps ça va durer cet épisode j'ai pas de trame, j'ai rien je vais juste parler comme je le sens et Je pense que ça va aussi te parler, que tu vas recevoir ta part, même si c'est une porte qui se ferme et qui se ouvre, qui reste ouverte aussi tout de même. Mais je pense que tu recevras aussi ta part dans ce qui sera partagé maintenant, ici et maintenant. Alors, avant toute chose, j'ai tenu à remercier toutes les personnes. J'ai tenu à vous remercier. Quand j'ai dit vous, j'ai parlé des auditrices, j'ai parlé des personnes qui m'ont soutenue, qui m'ont accompagnée jusqu'ici. Et pendant ces longs moments d'absence, en fait, j'ai reçu beaucoup de messages, beaucoup de soutien, les personnes qui s'inquiétaient pour moi, les personnes qui pensaient que j'étais très très malade parce que le dernier épisode a été diffusé le 18 mars. et après il y a plus d'épisodes d'abord la semaine d'avant c'était parce qu'il y avait beaucoup trop de demandes j'avais beaucoup de questions, de sollicitations alors j'ai laissé le temps dédigéré et ensuite je suis tombée malade j'étais plus en mesure de produire des épisodes mais entre temps j'avais beaucoup beaucoup d'épisodes en stock, je savais pas ce que j'ai pu, j'ai dû en faire sachant que je ne pouvais pas diffuser des épisodes alors que je n'avais pas l'énergie et les ressources pour faire la promotion de ces épisodes là qui a fait que pendant trois semaines je ne pouvais pas publier parce que j'étais malade vraiment Et ensuite, ce qui s'est passé, c'est que la vie a pris un autre tournant. J'ai reçu un appel fort, un appel fort, qui je pense s'était déjà ressenti d'une certaine manière, mais que j'étais en train d'ignorer. Donc, revenons un peu au contexte. Moi, je suis multi. Alors, j'aime m'arrêter au fait de dire je suis multi, sans rajouter multipotentiel, sans rajouter multipassion, sans rajouter tous les multis qui existent au monde. Je ne dis pas que je suis HPI, je ne le suis pas. En fait, je ne sais même pas si je le suis. Et je ne ferai jamais ces tests-là parce que je n'ai pas envie de savoir. Mais je sais que je suis multi dans le sens où j'ai des... l'intérêt pour beaucoup de choses, j'ai des compétences pour beaucoup de choses, mais dans ma casquette, ma team, ma vie des multis, je suis cyclique en fait. Je suis vraiment cyclique. Il va y avoir un moment où je vais avoir beaucoup d'intérêt pour un domaine précis et à un certain moment, je vais perdre l'intérêt. Je suis comme ça. Et même dans mes échanges avec les personnes, il y a un moment où je vais être là, vraiment présente. Je suis là, dans les interactions. Et il y a un moment où je suis juste en mode hmm, pause pause, je peux mettre mon téléphone en mode avion, je me mets en off parce que j'ai juste besoin de les récupérer. Quel genre d'extraverti je suis. Quel genre d'extraverti je suis. Autant je suis chaleureuse et chaude dans les conversations, autant parfois j'ai un moment d'érepie et quand je vois des conversations, des demandes converger vers moi, je fais juste stop, je mets mon téléphone en mode avion, je reste avec les stricts. minimum, cela dit ma mère, parce que si elle n'arrive pas à m'avoir, elle appelle la terre entière. Donc je laisse toujours une fenêtre pour qu'elle, elle arrive à me joindre. Mais c'est vraiment comme ça que je fonctionne. Et donc, dans ce fonctionnement cyclique, je suis en ce moment appelée ailleurs. Donc comme je disais, ça se faisait déjà ressentir, mais je l'ignorais un peu. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. J'ai entre-temps aussi intégré le programme de Aline Bartoli, la BSB. Il y avait aussi pas mal de remises en question de ce que je voulais faire, parce que vraiment, j'ai parti avec la vision que j'avais. mais en faisant les exercices et tout ce qui allait avec, il y avait cet appel fort dont je te parlerai, qui résonnait encore plus dans les exercices, alors je devais prendre une décision. Et c'était quoi la décision ? J'ai mis un plan, tu t'en doutes bien. Je m'étais fait un plan en tenant compte de ce que je voulais, en tenant compte du fait que je sois multi, en tenant compte à qui je voulais m'adresser, quel était mon message, quelle était la raison pour laquelle je faisais tout ça. Donc j'avais décidé de commencer par Thierry Juvial, et ensuite de pivoter par année des trois ans. Donc je t'explique un peu. J'ai annoncé que c'était une année. des lancements, une année de croissance et une année des pivots. C'est-à-dire qu'une année, je suis à fond sur un projet, un seul projet, je suis à fond dessus. une année je suis à fond pour la croissance de ce projet-là et une année je suis en mode pivot c'est-à-dire que j'ai lâché un peu le pied j'ai des legs et moi je me concentre du coup pour être à fond sur notre projet c'est un peu comme ça que j'avais fait mon plan jusqu'ici c'est ce que j'étais en train de suivre mais l'élément que j'avais mis en premier c'était Jovial alors que Je n'ai pas réussi à faire de ces joviales ce que je voulais en faire parce qu'en vrai, ces joviales, c'est vraiment un showroom. Ces joviales, c'est vraiment un espace où on vient connecter, partager. On vient rendre des choses et déposer des choses pour améliorer les intérieurs, pour améliorer les maisons, pour qu'ils... les maisons vivent et que les personnes dans ces maisons-là vivent. Comme j'aime les dire, je suis révélatrice de beauté, je suis révélatrice de potentialité. C'est vraiment, je vais révéler que les maisons dans lesquelles nous vivons, Ces maisons peuvent être belles et on n'a pas besoin de plus pour que cela soit belle. Les personnes qui sont dans une maison peuvent vivre en harmonie, peuvent avoir de belles relations, peuvent atteindre de belles destinées. C'est vraiment ça en fait, les cœurs d'Estée Joviat. Et moi, mon maître mot, en fait, si je dois appeler ça maître mot, verbe de ma vie, c'est vraiment le fait de sauver des vies. Et sauver des vies, je ne sais pas si tu en as déjà entendu parler avant, parce qu'avant, je voulais faire la médecine. J'avais perdu ma tante et ma grand-mère quand j'avais 5 et 7 ans. Donc, j'étais partie un peu en mode vengeance. Là, je me vengeais de la vie et tout. Ensuite, un peu plus loin, je me suis rendue compte que le plan que je voulais, ce n'était pas si faisable que ça, dans le sens où les médecins au Congo, la rémunération ne suivait pas avec ce que moi je voulais en faire. Je voulais faire deux polycliniques, sachant que je voulais faire une polyclinique payante, où les personnes allaient payer plein d'impôts, et me servir de ça comme fonds pour financer une deuxième polyclinique qui allait être, elle, gratuite pour les personnes démunies, parce que ma tante est partie parce que... Les soins faisaient défaut, mais ce n'est pas l'argent qui faisait défaut. Mais par contre, ma grand-mère est vraiment partie suite à des négligences médicaux. Je ne veux pas m'étaler en longueur à cause de ça. C'est vraiment quelque chose qui m'a... qui m'a toujours fait me sentir impuissante. Je sais que ma mère et ainsi que toute la famille, toutes ses sœurs, elles ont fait de leur mieux. Je sais que ma maman, elle a tout donné, mais que ce n'était pas possible. Et en fait, moi, c'est vraiment quelque chose que je voulais pas que ça arrive aussi à d'autres personnes, à d'autres familles, que faute de moyens, faute des ressources, faute des techniques et tout ça, que les vies soient arrachées aussi brutalement comme ça. Et donc je me suis dit, wow, il y a un domaine qui existe où les personnes sont pleines aux as, où les personnes arrivent à se faire de l'argent. Et c'est l'ingénierie, c'est l'ingénierie civile, alors je suis l'ingénierie civile. Et ensuite, je faisais la médecine. À chaque fois que j'étais née, c'est dit ce cours-là, les personnes me regardaient en mode... Toi, tu es un extraterrestre, c'est-à-dire ce que tu dis est impossible. En ce moment-là, je ne comprenais pas les messages qu'ils étaient en train de me véhiculer, puisque moi j'étais à fond, je croyais vraiment à ce que je suis en train de dire. On se met d'accord, je n'ai pas fait les deux cursus, mais c'est ce que je voulais. Et ce que je ne comprenais pas à cette époque-là, c'est que c'était déjà le fait que je sois multie qui s'exprimait fort en moi, le fait que je pouvais avoir des attraits. des intérêts pour plusieurs choses. Moi, je mettais plus ça dans le compte de je veux faire l'ingénierie, amasser suffisamment de fonds pour pouvoir ensuite faire médecine et concrétiser mon projet. Mais en vrai, j'étais attirée par les deux. Ce qui m'a conduit à faire un peu beaucoup de choses aussi. J'ai fait des études de sciences pour l'ingénieur. Ensuite, j'ai convergé, j'ai migré vers tout ce qui était conduite de travaux et tout ça. mais en parallèle, j'avais toujours intérêt pour tout ce qui était santé sanitaire. J'ai fait des sensibilisations aussi dans les cadres de PNMLS. J'ai fait un peu... Je pense que tout ce qui concerne la santé, ça m'intéresse. Quand je vais dans un laboratoire, je suis toujours curieuse de savoir le pourquoi du comment. Tu te doutes bien, j'ai lu des articles, des podcasts, des livres autour du sujet. C'est vraiment quelque chose qui me passionne. Je suis en train de m'étaler en langue, je ne sais pas pourquoi, rêvez-en. Donc c'était ça que je voulais, mais entre-temps, je me suis perdue en chemin. Je me suis perdue en chemin et j'ai commencé à vouloir faire des choses juste pour m'occuper, parce que je ne pouvais pas exercer ce que je voulais. Et donc j'ai commencé à faire des choses juste pour m'occuper. Et j'ai lancé en 2017, je crois, c'était 2017, j'ai lancé JoomScout. En fait, c'était juste, dans ma vision, c'était une plateforme où on pouvait comme ça librement échanger. Le but, c'était vraiment de rompre avec la routine, pouvoir s'y motiver et tout ça. Je faisais des posts sur Instagram. Je voulais en faire des espèces de messages qu'on envoyait tous les jours. Je voulais m'inspirer de Un miracle chaque jour d'Éric Sellerier pour un peu comme ça diffuser des messages tous les jours, histoire de se motiver, rompre avec la routine et tout. Je ne suis pas allée plus loin avec ça. je ne suis pas allée plus loin avec ça, mais l'effet que je voulais communiquer, je voulais communiquer visuellement. C'est comme ça que je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, j'étais sur Canva pour faire les visuels de June Scott et je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, en 2017, j'ai commencé, fin 2017. Et 2018, j'étais à fond dans la marmite Canva. Je fais un peu une pause. 2019, je suis revenue. 2019-2020, j'étais à 100 dans la marmite. Ce qui fait qu'aujourd'hui, j'ai nage, je suis tout dans le canva. Tout, tout, tout, tout, tout. Tout. Ma vie, c'est dans le canva. Parle-moi d'une présentation. Parle-moi de tout ce que tu veux. Tout, je fais tout, tout, tout, tout, tout. Donc, en vrai, vraiment, ça a remplacé la suite Office, Word, PowerPoint, Excel. Je fais tout dans le canva. Et... C'est vraiment en étant là, qu'on voit que le côté où j'aime bien visualiser les choses, matérialiser les choses, emmener la pensée, l'imagination au concret à travers l'image, ça fait encore un peu plus ressentir. J'ai pu assister, accompagner des personnes dans des projets dans ces sens, et les personnes étaient en train beaucoup de me dire Ah oui, mais Jaël, tu captes bien les messages. En fait, on te dit quelque chose, mais quand tu le ramènes à l'image, c'est vraiment ce que... on était en train de dire là, c'était le discernement au moins qui parlait fort, fort, fort par la grâce des dieux bien sûr et donc c'est comme ça que j'ai développé l'intérêt pour tout ce qui était création visuelle, tout ce qui était vraiment véhiculer un message via l'image, c'est comme ça que ça m'est arrivé là je suis un peu en train de te parler de tous mes multis alors les enfants, c'est arrivé avec la maternité C'est arrivé avec la maternité. J'y prends un plaisir, mais un plaisir de pouvoir agencer, coordonner les tenues. C'est mon kiff à moi. J'en ai beaucoup d'autres, mais vraiment pouvoir coordonner les tenues, comment ça sera, avec quelles chaussures, avec quels accessoires, avec quel monde, tout, c'est quelque chose qui me passionne. Et du coup, ça aussi, c'est quelque chose que je vais transmettre. on n'a pas toujours besoin d'avoir 50 tenues des enfants pour que les enfants soient bien habillés, pour que les enfants soient éligents, pour que les enfants s'habillent bien. Et du coup, c'est un peu le côté de faire plus avec moins et que ça soit joli, que ça se raccorde, que ça soit visuellement agréable. Donc, j'ai un cœur qui est fort tourné vers les enfants. Et c'est pour ça aussi qu'il y a ces côtés tournés vers les enfants qui parlent fort parce qu'au fond, j'ai l'âme d'enfant, j'ai l'âme d'un enfant. et qu'est-ce que je ne dis pas ? Donc voilà un peu, je me suis un peu étalée en longueur et en profondeur, pourquoi j'ai parlé de tout ça. Parce que du coup, c'est ça le parcours que j'ai défini. C'est ça ma vie en fait. C'est à ça que je suis appelée. Je suis appelée à tout ça. Et j'étais en train de parler du coup de sauver des vies. Et donc sauver des vies dans la maison, j'étais un peu parlée. Vivre dans des beaux cadres. Beaux cadres, on ne peut pas forcément dire luxueux, mais que ça soit beau, que ça soit agréable et qu'on y trouve de la joie. de la joie de vivre, de la satisfaction. Sauver des vies pour les personnes, et les personnes, quand on sauve la vie d'une personne, c'est que la vie de la personne est soit en train de se dégrader, soit de rétrograder, soit la vie tombe vers sa fin. Et sauver la vie de la personne, c'est un peu comme ranimer la personne, comme la restaurer, comme la ramener. Et moi, ce que je fais vraiment, c'est pouvoir montrer aux personnes que, ben non. Rien n'est perdu de ce qui a l'air d'être perdu, de ce qui a l'air d'être vide. Et sans sens, en fait, il y a de la beauté dans ça. Il faudra juste voir ça autrement, il faudra traiter cela autrement, il faudra dealer avec autrement pour que la beauté de tout cela puisse se révéler et que les potentiels de choses puissent se... se révéler dans les côtés, tout ce qui est identitaire, épanouissement séminal. Et aussi, pareil, les enfants, comme j'en ai parlé, sauver les vies dans ce domaine-là, c'est aussi... pouvoir permettre aux enfants d'essayer convenablement sans forcément en avoir plus. En ce moment, dans mon discours, je ne suis pas tournée vers les personnes qui ont de gros, gros, gros moyens et qui, eux, peuvent mettre des milliers, des cents. Moi, je suis vraiment tournée vers les personnes qui, peut-être, peinent à annuler le deux-bouts du mois et qui se disent telle chose, c'est pas à notre portée, c'est trop cher, c'est pas possible Mais du coup, moi, je vais montrer, je vais inaugurer la voie des possibles. Je veux montrer que c'est possible parce que moi-même, je suis passée par là. C'est mon chemin, c'est mon parcours. Je suis passée par là, j'ai inauguré la voie des possibles pour moi-même. et je vais montrer que c'est possible pour les autres. Je parle beaucoup de sauver des vies, mais qu'on se mette d'accord, la première vie que je sauve, tous les jours, c'est la mienne. C'est la mienne parce que être dans mon appel, faire c'est pourquoi je suis appelée c'est aussi sauver ma vie de l'oubli, sauver ma vie de tout ce que le diable a pu faire, vouloir autour de ma vie. Et tous les jours, en choisissant de répondre, d'obéir à mon appel, de suivre ce que Dieu a dit pour moi, je sauve un peu aussi ma vie. de l'oubli et de comment l'ennemi a voulu m'enterrer, mais me tuer carrément. en cherchant à sauver ma vie, je sauve la vie des autres parce que c'est quand j'interviens dans la vie des autres, quand les autres ont de retour, quand les autres ont un décrit avec l'impact de changement, de transformation, que là, je me sens utile, que là, je me sens à ma place. Et donc, voilà. Il y a aussi les côtés événements, expériences qui sont forts, forts, forts. Moi, je suis une femme qui aime les expériences. Ouais, ça aussi, c'est sur la liste. Mais j'en parlerai un peu plus dans les jours à venir. Je suis un peu décusue dans ma façon de parler, mais comprends-moi. On en arrive au fait que j'ai dit que j'étais appelée ailleurs, que l'appel s'est donné à ressentir, mais que j'étais en train de diminuer ça. Pourquoi ? encore une fois, stress. Stress de ne pas être légitime, c'est l'anse qui se fait. Stress de déporter l'étiquette de quelque chose qui ne me correspondait pas. Stress de beaucoup de choses. Et cet appel qui ressemblait fort en moi, c'était vraiment l'épanouissement féminin. J'en ai abordé ici en l'un et en large plus ou moins avec la série 7 pour la femme. Mais un peu plus avant aussi, l'épanouissement féminin, c'est quelque chose qui me drive parce que j'en peux plus. d'y voir des femmes qui s'écuent à la tâche tous les jours, mais sans avoir la reconnaissance et les mérites qui vont avec. Oui, c'est un discours qu'on a déjà entendu et réentendu, mais moi, je parle vraiment de l'optique. Je sais ce que c'est d'être dans les chaos. Je sais ce que c'est d'avoir des pensées suicidaires. Je sais ce que c'est d'avoir que sa vie ne sert à rien. Je sais ce que c'est que d'être brillante, excellente, qu'est d'être dévouée. et avoir rien comme résultat. Et donc cet appel se faisait fort ressentir en moi, et je ne pouvais pas l'ignorer parce que ça devenait insoutenable, inténable. Et donc j'ai décidé de faire une pause générale en avril. Donc fin mars, début avril, j'ai pris la décision de faire pause sur tout. J'ai tout arrêté. J'ai arrêté mes missions, j'ai arrêté mes prestations, j'ai arrêté la création de contenu. J'ai tout arrêté et je suis revenue à l'hôtel. Je suis revenue à l'hôtel, je suis revenue dans la présence des dieux. Quand je dis que je suis revenue à l'hôtel, je pense beaucoup à la chanson. Rizzo Andor de Hillsong et je suis revenue à l'hôtel dans la présence de Dieu et c'était parti comme ça pour trois mois j'y suis encore ça finira en juillet mais là j'ai fait ces messages-là parce que je suis progressivement en train de revenir et j'en reviendrai pleinement à partir du mois de juillet Et donc je suis revenue à l'hôtel et pendant ce moment de prière, les seigneurs parlaient encore plus, les messages faisaient encore ressentir plus, que ce soit par moi, que ce soit par d'autres personnes, que c'était vraiment le moment d'aller dans cette voie-là. J'ai lutté avec moi-même, j'ai lutté avec les seigneurs. Et ensuite, nous sommes arrivés à la conclusion que c'était ça, la voie pour le moment. Et qui donc, de toute façon... Je n'ai pas jusqu'ici fait ce que je voulais avec ces joviales, parce que j'ai passé l'étape. Il était d'abord question de traiter, de parler, d'aborder l'identité, même si j'essaie de le faire en soumissive avec ces joviales. Mais ces joviales n'ont pas vraiment la place et les cadres pour. Là, j'ai sûrement parti sur autre chose. J'ai créé le cadre, la place, l'espace pour traiter de tout ce qui est identitaire, en tout cas, qu'est identitaire, identité des femmes, épanouissement féminin, traiter de tout ce qui est le potentiel humain, traiter de tout ce qui est mission de vie, vision, tout ce qui est organisation personnelle, comment atteindre tes objectifs. Vraiment, on en parle en haut et en large là-bas, avec un accent un peu plus sur les neurosciences, les fonctionnements du cerveau, l'histoire personnelle. Voilà un peu le topo de ce à quoi je suis appelée en ce moment. Et c'est pourquoi je suis en train aussi de travailler en ce moment. Le Seigneur m'a communiqué beaucoup de messages dans ces sens. J'espère vraiment que ça sera transmis tel que lui le veut pour toi, pour moi, pour cette génération, mais aussi pour les générations à venir. Et j'ai hâte de te présenter ça. Ça existe déjà, légalement ça existe. Il y a des choses qui sont encore en cours de construction, comme les sites internet et toute la partie de nos lecteurs qui va venir après. mais ça existe déjà parce qu'il y a déjà un compte Instagram qui a été créé, du contenu déjà qui est en train d'être partagé ici et là. Mais je vais vraiment prendre le temps de communiquer autour de ça au mois de juillet. Et qu'est-ce qu'il y a au mois de juillet ? Dans pile un mois, les Carrés Joyeux, ça fera un an que ce podcast est lancé. Donc, je vais republier un autre épisode les 14 juillet. et ensuite ça sera vraiment la longue pause jusqu'à ce que le showroom jusqu'à ce que le showroom soit créé et qu'on puisse faire l'inauguration faire la fête ensemble et décoller ensemble je suis vraiment pas allée en profondeur dans la vision des seuls joviales non pas parce que j'ai peur qu'on puisse me voler quoi que ce soit parce que à l'heure actuelle j'estime qu'on a rien à me voler et même si on venait à prendre mes idées ben ça sera pas comme moi et je saurais toujours comment emmener les choses à ma manière entre temps j'enregistrais pas mal d'épisodes j'étais promis l'épisode avec Eunice Mali mais il n'y a pas que ça j'enregistrais l'épisode avec Julie Déninec j'enregistrais l'épisode avec Bénédicte Kouvouna j'enregistrais l'épisode avec Maman Christelle Kras de Gaëlle j'enregistrais l'épisode avec Nana Décor Live j'enregistrais l'épisode avec pas mal de femmes et je ne me sentais pas de pouvoir publier des épisodes ici sans pouvoir en faire la promotion donc on se retrouve de l'autre côté et les épisodes seront publiés en temps et en heure avec toute la valeur qu'elles ont à t'apporter parce que même ces épisodes-là, ah oui, j'ai même enregistré avec Camélia aussi de Maman fait médecine et même ces épisodes-là, en fait, je les tournais déjà vers le côté épanouissement féminin qui est identitaire. Donc pour moi, c'est vraiment, c'était vraiment les fils conducteurs qui me faisaient dire Oh, tu as trop ignoré les signaux, voilà vers où ça s'enverge. Donc, je crois avoir tout dit, ou peut-être même trop dit, mais je crois avoir répondu à... les questions qui ont pu être posées, le pourquoi de mon silence, c'était quoi l'avenir des séchevilles, c'était quoi l'avenir du podcast et tout. Le podcast reviendra en temps et en heure, mais vraiment axé sur la maison, axé sur la vie de la maison et pas l'identité de la personne. Et à partir de maintenant, nous traitons de l'identité de la personne. Si tu enquêtes de toi-même, enquêtes de savoir ce qu'ont tes valeurs, comment incarner tes valeurs au quotidien, c'est quoi ton appel, ce pourquoi tu es appelé, c'est quoi ta mission de vie, c'est quoi la vision, les objectifs. Oui, on entend beaucoup objectifs, smart et tout ça, mais je ne suis vraiment pas du tout dans cette optique-là, je suis vraiment dans autre chose. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai trop, trop hâte d'essayer à découvrir au monde et aller à moi-même aussi, parce que je sais que je vais apprendre et j'apprends encore des choses dans ces sens-là. Je ne veux pas m'éterniser plus, ça fait déjà, je regarde le chrono, ça fait déjà peut-être 25 minutes que je parle. Donc, je m'arrête ici. On se retrouve le 4 juillet pour faire un peu le bilan du podcast et tout ça. Un an, qu'est-ce qui s'est passé pendant un an ? Mais là, j'ai regardé les chiffres, on est déjà à 20 000 écoutes, sachant que je suis partie de rien. Vous m'avez portée jusqu'ici avec les écoutes, les encouragements et tout ça. 20 000 écoutes, même quand je diffuse plus les épisodes, je continue à écouter, c'est énorme, ça compte énormément pour moi et je ne voulais pas juste partir comme ça du jour au lendemain, vous dire que c'est fini donc je voulais bien faire les choses c'est vraiment une pause que je prends c'est pas définitif, c'est une virgule et en temps et en heure, on se retrouvera mais le 4 juillet on a un épisode où on fait les bilans, où on parle de beaucoup de choses et je t'annonce concrètement la porte qui vient de s'ouvrir pour que tu me rejoignes dès l'autre côté A très vite, prends bien soin de toi, bye all

Description

Nouvel épisode très attendu du podcast "Le Carré Joyeux"


C'est avec beaucoup de joie et d'émotion que je te retrouve après une longue absence. Beaucoup se demandaient où j'étais passée et ce que je faisais. Eh bien, dans cet épisode, je raconte tout en détail : absence et retour, appel à de nouveaux projets, réflexion personnelle, vision future, projets à venir, etc. Prends ta tasse et peut-être ton mouchoir, cet épisode m'a fait verser une larme.


Prochain épisode le 04 juillet


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    voici nous voilà je sais que cet épisode était très attendu non pas à cause du contenu ou des informations qui seront partagées parce que je pense que ça c'est un peu inattendu mais l'épisode était un peu attendu dans le sens à quand un autre épisode du podcast sur les carreaux joyeux ça faisait longtemps Jaël où es-tu passé qu'est-ce que fais-tu que deviens-tu On en parle en long et en large dans cet épisode. Déjà, je tiens à préciser que je voulais vraiment que ça soit comme... juste l'échange que j'ai avec toi directement pas forcément avec tous les côtés logistiques et techniques du podcast donc j'ai pas pris mon matériel du podcast là à l'instant présent je suis en train d'enregistrer juste avec mon téléphone un peu comme quand j'ai fait mes notes vocales kilométriques sur WhatsApp qui durent 14 minutes je sais pas combien de temps ça va durer cet épisode j'ai pas de trame, j'ai rien je vais juste parler comme je le sens et Je pense que ça va aussi te parler, que tu vas recevoir ta part, même si c'est une porte qui se ferme et qui se ouvre, qui reste ouverte aussi tout de même. Mais je pense que tu recevras aussi ta part dans ce qui sera partagé maintenant, ici et maintenant. Alors, avant toute chose, j'ai tenu à remercier toutes les personnes. J'ai tenu à vous remercier. Quand j'ai dit vous, j'ai parlé des auditrices, j'ai parlé des personnes qui m'ont soutenue, qui m'ont accompagnée jusqu'ici. Et pendant ces longs moments d'absence, en fait, j'ai reçu beaucoup de messages, beaucoup de soutien, les personnes qui s'inquiétaient pour moi, les personnes qui pensaient que j'étais très très malade parce que le dernier épisode a été diffusé le 18 mars. et après il y a plus d'épisodes d'abord la semaine d'avant c'était parce qu'il y avait beaucoup trop de demandes j'avais beaucoup de questions, de sollicitations alors j'ai laissé le temps dédigéré et ensuite je suis tombée malade j'étais plus en mesure de produire des épisodes mais entre temps j'avais beaucoup beaucoup d'épisodes en stock, je savais pas ce que j'ai pu, j'ai dû en faire sachant que je ne pouvais pas diffuser des épisodes alors que je n'avais pas l'énergie et les ressources pour faire la promotion de ces épisodes là qui a fait que pendant trois semaines je ne pouvais pas publier parce que j'étais malade vraiment Et ensuite, ce qui s'est passé, c'est que la vie a pris un autre tournant. J'ai reçu un appel fort, un appel fort, qui je pense s'était déjà ressenti d'une certaine manière, mais que j'étais en train d'ignorer. Donc, revenons un peu au contexte. Moi, je suis multi. Alors, j'aime m'arrêter au fait de dire je suis multi, sans rajouter multipotentiel, sans rajouter multipassion, sans rajouter tous les multis qui existent au monde. Je ne dis pas que je suis HPI, je ne le suis pas. En fait, je ne sais même pas si je le suis. Et je ne ferai jamais ces tests-là parce que je n'ai pas envie de savoir. Mais je sais que je suis multi dans le sens où j'ai des... l'intérêt pour beaucoup de choses, j'ai des compétences pour beaucoup de choses, mais dans ma casquette, ma team, ma vie des multis, je suis cyclique en fait. Je suis vraiment cyclique. Il va y avoir un moment où je vais avoir beaucoup d'intérêt pour un domaine précis et à un certain moment, je vais perdre l'intérêt. Je suis comme ça. Et même dans mes échanges avec les personnes, il y a un moment où je vais être là, vraiment présente. Je suis là, dans les interactions. Et il y a un moment où je suis juste en mode hmm, pause pause, je peux mettre mon téléphone en mode avion, je me mets en off parce que j'ai juste besoin de les récupérer. Quel genre d'extraverti je suis. Quel genre d'extraverti je suis. Autant je suis chaleureuse et chaude dans les conversations, autant parfois j'ai un moment d'érepie et quand je vois des conversations, des demandes converger vers moi, je fais juste stop, je mets mon téléphone en mode avion, je reste avec les stricts. minimum, cela dit ma mère, parce que si elle n'arrive pas à m'avoir, elle appelle la terre entière. Donc je laisse toujours une fenêtre pour qu'elle, elle arrive à me joindre. Mais c'est vraiment comme ça que je fonctionne. Et donc, dans ce fonctionnement cyclique, je suis en ce moment appelée ailleurs. Donc comme je disais, ça se faisait déjà ressentir, mais je l'ignorais un peu. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. Les seigneurs me l'ont rappelé fort. J'ai entre-temps aussi intégré le programme de Aline Bartoli, la BSB. Il y avait aussi pas mal de remises en question de ce que je voulais faire, parce que vraiment, j'ai parti avec la vision que j'avais. mais en faisant les exercices et tout ce qui allait avec, il y avait cet appel fort dont je te parlerai, qui résonnait encore plus dans les exercices, alors je devais prendre une décision. Et c'était quoi la décision ? J'ai mis un plan, tu t'en doutes bien. Je m'étais fait un plan en tenant compte de ce que je voulais, en tenant compte du fait que je sois multi, en tenant compte à qui je voulais m'adresser, quel était mon message, quelle était la raison pour laquelle je faisais tout ça. Donc j'avais décidé de commencer par Thierry Juvial, et ensuite de pivoter par année des trois ans. Donc je t'explique un peu. J'ai annoncé que c'était une année. des lancements, une année de croissance et une année des pivots. C'est-à-dire qu'une année, je suis à fond sur un projet, un seul projet, je suis à fond dessus. une année je suis à fond pour la croissance de ce projet-là et une année je suis en mode pivot c'est-à-dire que j'ai lâché un peu le pied j'ai des legs et moi je me concentre du coup pour être à fond sur notre projet c'est un peu comme ça que j'avais fait mon plan jusqu'ici c'est ce que j'étais en train de suivre mais l'élément que j'avais mis en premier c'était Jovial alors que Je n'ai pas réussi à faire de ces joviales ce que je voulais en faire parce qu'en vrai, ces joviales, c'est vraiment un showroom. Ces joviales, c'est vraiment un espace où on vient connecter, partager. On vient rendre des choses et déposer des choses pour améliorer les intérieurs, pour améliorer les maisons, pour qu'ils... les maisons vivent et que les personnes dans ces maisons-là vivent. Comme j'aime les dire, je suis révélatrice de beauté, je suis révélatrice de potentialité. C'est vraiment, je vais révéler que les maisons dans lesquelles nous vivons, Ces maisons peuvent être belles et on n'a pas besoin de plus pour que cela soit belle. Les personnes qui sont dans une maison peuvent vivre en harmonie, peuvent avoir de belles relations, peuvent atteindre de belles destinées. C'est vraiment ça en fait, les cœurs d'Estée Joviat. Et moi, mon maître mot, en fait, si je dois appeler ça maître mot, verbe de ma vie, c'est vraiment le fait de sauver des vies. Et sauver des vies, je ne sais pas si tu en as déjà entendu parler avant, parce qu'avant, je voulais faire la médecine. J'avais perdu ma tante et ma grand-mère quand j'avais 5 et 7 ans. Donc, j'étais partie un peu en mode vengeance. Là, je me vengeais de la vie et tout. Ensuite, un peu plus loin, je me suis rendue compte que le plan que je voulais, ce n'était pas si faisable que ça, dans le sens où les médecins au Congo, la rémunération ne suivait pas avec ce que moi je voulais en faire. Je voulais faire deux polycliniques, sachant que je voulais faire une polyclinique payante, où les personnes allaient payer plein d'impôts, et me servir de ça comme fonds pour financer une deuxième polyclinique qui allait être, elle, gratuite pour les personnes démunies, parce que ma tante est partie parce que... Les soins faisaient défaut, mais ce n'est pas l'argent qui faisait défaut. Mais par contre, ma grand-mère est vraiment partie suite à des négligences médicaux. Je ne veux pas m'étaler en longueur à cause de ça. C'est vraiment quelque chose qui m'a... qui m'a toujours fait me sentir impuissante. Je sais que ma mère et ainsi que toute la famille, toutes ses sœurs, elles ont fait de leur mieux. Je sais que ma maman, elle a tout donné, mais que ce n'était pas possible. Et en fait, moi, c'est vraiment quelque chose que je voulais pas que ça arrive aussi à d'autres personnes, à d'autres familles, que faute de moyens, faute des ressources, faute des techniques et tout ça, que les vies soient arrachées aussi brutalement comme ça. Et donc je me suis dit, wow, il y a un domaine qui existe où les personnes sont pleines aux as, où les personnes arrivent à se faire de l'argent. Et c'est l'ingénierie, c'est l'ingénierie civile, alors je suis l'ingénierie civile. Et ensuite, je faisais la médecine. À chaque fois que j'étais née, c'est dit ce cours-là, les personnes me regardaient en mode... Toi, tu es un extraterrestre, c'est-à-dire ce que tu dis est impossible. En ce moment-là, je ne comprenais pas les messages qu'ils étaient en train de me véhiculer, puisque moi j'étais à fond, je croyais vraiment à ce que je suis en train de dire. On se met d'accord, je n'ai pas fait les deux cursus, mais c'est ce que je voulais. Et ce que je ne comprenais pas à cette époque-là, c'est que c'était déjà le fait que je sois multie qui s'exprimait fort en moi, le fait que je pouvais avoir des attraits. des intérêts pour plusieurs choses. Moi, je mettais plus ça dans le compte de je veux faire l'ingénierie, amasser suffisamment de fonds pour pouvoir ensuite faire médecine et concrétiser mon projet. Mais en vrai, j'étais attirée par les deux. Ce qui m'a conduit à faire un peu beaucoup de choses aussi. J'ai fait des études de sciences pour l'ingénieur. Ensuite, j'ai convergé, j'ai migré vers tout ce qui était conduite de travaux et tout ça. mais en parallèle, j'avais toujours intérêt pour tout ce qui était santé sanitaire. J'ai fait des sensibilisations aussi dans les cadres de PNMLS. J'ai fait un peu... Je pense que tout ce qui concerne la santé, ça m'intéresse. Quand je vais dans un laboratoire, je suis toujours curieuse de savoir le pourquoi du comment. Tu te doutes bien, j'ai lu des articles, des podcasts, des livres autour du sujet. C'est vraiment quelque chose qui me passionne. Je suis en train de m'étaler en langue, je ne sais pas pourquoi, rêvez-en. Donc c'était ça que je voulais, mais entre-temps, je me suis perdue en chemin. Je me suis perdue en chemin et j'ai commencé à vouloir faire des choses juste pour m'occuper, parce que je ne pouvais pas exercer ce que je voulais. Et donc j'ai commencé à faire des choses juste pour m'occuper. Et j'ai lancé en 2017, je crois, c'était 2017, j'ai lancé JoomScout. En fait, c'était juste, dans ma vision, c'était une plateforme où on pouvait comme ça librement échanger. Le but, c'était vraiment de rompre avec la routine, pouvoir s'y motiver et tout ça. Je faisais des posts sur Instagram. Je voulais en faire des espèces de messages qu'on envoyait tous les jours. Je voulais m'inspirer de Un miracle chaque jour d'Éric Sellerier pour un peu comme ça diffuser des messages tous les jours, histoire de se motiver, rompre avec la routine et tout. Je ne suis pas allée plus loin avec ça. je ne suis pas allée plus loin avec ça, mais l'effet que je voulais communiquer, je voulais communiquer visuellement. C'est comme ça que je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, j'étais sur Canva pour faire les visuels de June Scott et je suis tombée dans la marmite de Canva. Donc, en 2017, j'ai commencé, fin 2017. Et 2018, j'étais à fond dans la marmite Canva. Je fais un peu une pause. 2019, je suis revenue. 2019-2020, j'étais à 100 dans la marmite. Ce qui fait qu'aujourd'hui, j'ai nage, je suis tout dans le canva. Tout, tout, tout, tout, tout. Tout. Ma vie, c'est dans le canva. Parle-moi d'une présentation. Parle-moi de tout ce que tu veux. Tout, je fais tout, tout, tout, tout, tout. Donc, en vrai, vraiment, ça a remplacé la suite Office, Word, PowerPoint, Excel. Je fais tout dans le canva. Et... C'est vraiment en étant là, qu'on voit que le côté où j'aime bien visualiser les choses, matérialiser les choses, emmener la pensée, l'imagination au concret à travers l'image, ça fait encore un peu plus ressentir. J'ai pu assister, accompagner des personnes dans des projets dans ces sens, et les personnes étaient en train beaucoup de me dire Ah oui, mais Jaël, tu captes bien les messages. En fait, on te dit quelque chose, mais quand tu le ramènes à l'image, c'est vraiment ce que... on était en train de dire là, c'était le discernement au moins qui parlait fort, fort, fort par la grâce des dieux bien sûr et donc c'est comme ça que j'ai développé l'intérêt pour tout ce qui était création visuelle, tout ce qui était vraiment véhiculer un message via l'image, c'est comme ça que ça m'est arrivé là je suis un peu en train de te parler de tous mes multis alors les enfants, c'est arrivé avec la maternité C'est arrivé avec la maternité. J'y prends un plaisir, mais un plaisir de pouvoir agencer, coordonner les tenues. C'est mon kiff à moi. J'en ai beaucoup d'autres, mais vraiment pouvoir coordonner les tenues, comment ça sera, avec quelles chaussures, avec quels accessoires, avec quel monde, tout, c'est quelque chose qui me passionne. Et du coup, ça aussi, c'est quelque chose que je vais transmettre. on n'a pas toujours besoin d'avoir 50 tenues des enfants pour que les enfants soient bien habillés, pour que les enfants soient éligents, pour que les enfants s'habillent bien. Et du coup, c'est un peu le côté de faire plus avec moins et que ça soit joli, que ça se raccorde, que ça soit visuellement agréable. Donc, j'ai un cœur qui est fort tourné vers les enfants. Et c'est pour ça aussi qu'il y a ces côtés tournés vers les enfants qui parlent fort parce qu'au fond, j'ai l'âme d'enfant, j'ai l'âme d'un enfant. et qu'est-ce que je ne dis pas ? Donc voilà un peu, je me suis un peu étalée en longueur et en profondeur, pourquoi j'ai parlé de tout ça. Parce que du coup, c'est ça le parcours que j'ai défini. C'est ça ma vie en fait. C'est à ça que je suis appelée. Je suis appelée à tout ça. Et j'étais en train de parler du coup de sauver des vies. Et donc sauver des vies dans la maison, j'étais un peu parlée. Vivre dans des beaux cadres. Beaux cadres, on ne peut pas forcément dire luxueux, mais que ça soit beau, que ça soit agréable et qu'on y trouve de la joie. de la joie de vivre, de la satisfaction. Sauver des vies pour les personnes, et les personnes, quand on sauve la vie d'une personne, c'est que la vie de la personne est soit en train de se dégrader, soit de rétrograder, soit la vie tombe vers sa fin. Et sauver la vie de la personne, c'est un peu comme ranimer la personne, comme la restaurer, comme la ramener. Et moi, ce que je fais vraiment, c'est pouvoir montrer aux personnes que, ben non. Rien n'est perdu de ce qui a l'air d'être perdu, de ce qui a l'air d'être vide. Et sans sens, en fait, il y a de la beauté dans ça. Il faudra juste voir ça autrement, il faudra traiter cela autrement, il faudra dealer avec autrement pour que la beauté de tout cela puisse se révéler et que les potentiels de choses puissent se... se révéler dans les côtés, tout ce qui est identitaire, épanouissement séminal. Et aussi, pareil, les enfants, comme j'en ai parlé, sauver les vies dans ce domaine-là, c'est aussi... pouvoir permettre aux enfants d'essayer convenablement sans forcément en avoir plus. En ce moment, dans mon discours, je ne suis pas tournée vers les personnes qui ont de gros, gros, gros moyens et qui, eux, peuvent mettre des milliers, des cents. Moi, je suis vraiment tournée vers les personnes qui, peut-être, peinent à annuler le deux-bouts du mois et qui se disent telle chose, c'est pas à notre portée, c'est trop cher, c'est pas possible Mais du coup, moi, je vais montrer, je vais inaugurer la voie des possibles. Je veux montrer que c'est possible parce que moi-même, je suis passée par là. C'est mon chemin, c'est mon parcours. Je suis passée par là, j'ai inauguré la voie des possibles pour moi-même. et je vais montrer que c'est possible pour les autres. Je parle beaucoup de sauver des vies, mais qu'on se mette d'accord, la première vie que je sauve, tous les jours, c'est la mienne. C'est la mienne parce que être dans mon appel, faire c'est pourquoi je suis appelée c'est aussi sauver ma vie de l'oubli, sauver ma vie de tout ce que le diable a pu faire, vouloir autour de ma vie. Et tous les jours, en choisissant de répondre, d'obéir à mon appel, de suivre ce que Dieu a dit pour moi, je sauve un peu aussi ma vie. de l'oubli et de comment l'ennemi a voulu m'enterrer, mais me tuer carrément. en cherchant à sauver ma vie, je sauve la vie des autres parce que c'est quand j'interviens dans la vie des autres, quand les autres ont de retour, quand les autres ont un décrit avec l'impact de changement, de transformation, que là, je me sens utile, que là, je me sens à ma place. Et donc, voilà. Il y a aussi les côtés événements, expériences qui sont forts, forts, forts. Moi, je suis une femme qui aime les expériences. Ouais, ça aussi, c'est sur la liste. Mais j'en parlerai un peu plus dans les jours à venir. Je suis un peu décusue dans ma façon de parler, mais comprends-moi. On en arrive au fait que j'ai dit que j'étais appelée ailleurs, que l'appel s'est donné à ressentir, mais que j'étais en train de diminuer ça. Pourquoi ? encore une fois, stress. Stress de ne pas être légitime, c'est l'anse qui se fait. Stress de déporter l'étiquette de quelque chose qui ne me correspondait pas. Stress de beaucoup de choses. Et cet appel qui ressemblait fort en moi, c'était vraiment l'épanouissement féminin. J'en ai abordé ici en l'un et en large plus ou moins avec la série 7 pour la femme. Mais un peu plus avant aussi, l'épanouissement féminin, c'est quelque chose qui me drive parce que j'en peux plus. d'y voir des femmes qui s'écuent à la tâche tous les jours, mais sans avoir la reconnaissance et les mérites qui vont avec. Oui, c'est un discours qu'on a déjà entendu et réentendu, mais moi, je parle vraiment de l'optique. Je sais ce que c'est d'être dans les chaos. Je sais ce que c'est d'avoir des pensées suicidaires. Je sais ce que c'est d'avoir que sa vie ne sert à rien. Je sais ce que c'est que d'être brillante, excellente, qu'est d'être dévouée. et avoir rien comme résultat. Et donc cet appel se faisait fort ressentir en moi, et je ne pouvais pas l'ignorer parce que ça devenait insoutenable, inténable. Et donc j'ai décidé de faire une pause générale en avril. Donc fin mars, début avril, j'ai pris la décision de faire pause sur tout. J'ai tout arrêté. J'ai arrêté mes missions, j'ai arrêté mes prestations, j'ai arrêté la création de contenu. J'ai tout arrêté et je suis revenue à l'hôtel. Je suis revenue à l'hôtel, je suis revenue dans la présence des dieux. Quand je dis que je suis revenue à l'hôtel, je pense beaucoup à la chanson. Rizzo Andor de Hillsong et je suis revenue à l'hôtel dans la présence de Dieu et c'était parti comme ça pour trois mois j'y suis encore ça finira en juillet mais là j'ai fait ces messages-là parce que je suis progressivement en train de revenir et j'en reviendrai pleinement à partir du mois de juillet Et donc je suis revenue à l'hôtel et pendant ce moment de prière, les seigneurs parlaient encore plus, les messages faisaient encore ressentir plus, que ce soit par moi, que ce soit par d'autres personnes, que c'était vraiment le moment d'aller dans cette voie-là. J'ai lutté avec moi-même, j'ai lutté avec les seigneurs. Et ensuite, nous sommes arrivés à la conclusion que c'était ça, la voie pour le moment. Et qui donc, de toute façon... Je n'ai pas jusqu'ici fait ce que je voulais avec ces joviales, parce que j'ai passé l'étape. Il était d'abord question de traiter, de parler, d'aborder l'identité, même si j'essaie de le faire en soumissive avec ces joviales. Mais ces joviales n'ont pas vraiment la place et les cadres pour. Là, j'ai sûrement parti sur autre chose. J'ai créé le cadre, la place, l'espace pour traiter de tout ce qui est identitaire, en tout cas, qu'est identitaire, identité des femmes, épanouissement féminin, traiter de tout ce qui est le potentiel humain, traiter de tout ce qui est mission de vie, vision, tout ce qui est organisation personnelle, comment atteindre tes objectifs. Vraiment, on en parle en haut et en large là-bas, avec un accent un peu plus sur les neurosciences, les fonctionnements du cerveau, l'histoire personnelle. Voilà un peu le topo de ce à quoi je suis appelée en ce moment. Et c'est pourquoi je suis en train aussi de travailler en ce moment. Le Seigneur m'a communiqué beaucoup de messages dans ces sens. J'espère vraiment que ça sera transmis tel que lui le veut pour toi, pour moi, pour cette génération, mais aussi pour les générations à venir. Et j'ai hâte de te présenter ça. Ça existe déjà, légalement ça existe. Il y a des choses qui sont encore en cours de construction, comme les sites internet et toute la partie de nos lecteurs qui va venir après. mais ça existe déjà parce qu'il y a déjà un compte Instagram qui a été créé, du contenu déjà qui est en train d'être partagé ici et là. Mais je vais vraiment prendre le temps de communiquer autour de ça au mois de juillet. Et qu'est-ce qu'il y a au mois de juillet ? Dans pile un mois, les Carrés Joyeux, ça fera un an que ce podcast est lancé. Donc, je vais republier un autre épisode les 14 juillet. et ensuite ça sera vraiment la longue pause jusqu'à ce que le showroom jusqu'à ce que le showroom soit créé et qu'on puisse faire l'inauguration faire la fête ensemble et décoller ensemble je suis vraiment pas allée en profondeur dans la vision des seuls joviales non pas parce que j'ai peur qu'on puisse me voler quoi que ce soit parce que à l'heure actuelle j'estime qu'on a rien à me voler et même si on venait à prendre mes idées ben ça sera pas comme moi et je saurais toujours comment emmener les choses à ma manière entre temps j'enregistrais pas mal d'épisodes j'étais promis l'épisode avec Eunice Mali mais il n'y a pas que ça j'enregistrais l'épisode avec Julie Déninec j'enregistrais l'épisode avec Bénédicte Kouvouna j'enregistrais l'épisode avec Maman Christelle Kras de Gaëlle j'enregistrais l'épisode avec Nana Décor Live j'enregistrais l'épisode avec pas mal de femmes et je ne me sentais pas de pouvoir publier des épisodes ici sans pouvoir en faire la promotion donc on se retrouve de l'autre côté et les épisodes seront publiés en temps et en heure avec toute la valeur qu'elles ont à t'apporter parce que même ces épisodes-là, ah oui, j'ai même enregistré avec Camélia aussi de Maman fait médecine et même ces épisodes-là, en fait, je les tournais déjà vers le côté épanouissement féminin qui est identitaire. Donc pour moi, c'est vraiment, c'était vraiment les fils conducteurs qui me faisaient dire Oh, tu as trop ignoré les signaux, voilà vers où ça s'enverge. Donc, je crois avoir tout dit, ou peut-être même trop dit, mais je crois avoir répondu à... les questions qui ont pu être posées, le pourquoi de mon silence, c'était quoi l'avenir des séchevilles, c'était quoi l'avenir du podcast et tout. Le podcast reviendra en temps et en heure, mais vraiment axé sur la maison, axé sur la vie de la maison et pas l'identité de la personne. Et à partir de maintenant, nous traitons de l'identité de la personne. Si tu enquêtes de toi-même, enquêtes de savoir ce qu'ont tes valeurs, comment incarner tes valeurs au quotidien, c'est quoi ton appel, ce pourquoi tu es appelé, c'est quoi ta mission de vie, c'est quoi la vision, les objectifs. Oui, on entend beaucoup objectifs, smart et tout ça, mais je ne suis vraiment pas du tout dans cette optique-là, je suis vraiment dans autre chose. Et c'est vraiment quelque chose que j'ai trop, trop hâte d'essayer à découvrir au monde et aller à moi-même aussi, parce que je sais que je vais apprendre et j'apprends encore des choses dans ces sens-là. Je ne veux pas m'éterniser plus, ça fait déjà, je regarde le chrono, ça fait déjà peut-être 25 minutes que je parle. Donc, je m'arrête ici. On se retrouve le 4 juillet pour faire un peu le bilan du podcast et tout ça. Un an, qu'est-ce qui s'est passé pendant un an ? Mais là, j'ai regardé les chiffres, on est déjà à 20 000 écoutes, sachant que je suis partie de rien. Vous m'avez portée jusqu'ici avec les écoutes, les encouragements et tout ça. 20 000 écoutes, même quand je diffuse plus les épisodes, je continue à écouter, c'est énorme, ça compte énormément pour moi et je ne voulais pas juste partir comme ça du jour au lendemain, vous dire que c'est fini donc je voulais bien faire les choses c'est vraiment une pause que je prends c'est pas définitif, c'est une virgule et en temps et en heure, on se retrouvera mais le 4 juillet on a un épisode où on fait les bilans, où on parle de beaucoup de choses et je t'annonce concrètement la porte qui vient de s'ouvrir pour que tu me rejoignes dès l'autre côté A très vite, prends bien soin de toi, bye all

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