Speaker #1Voilà, ça y est, on démarre l'aventure de ce podcast. Dans cet épisode zéro, un peu au mode introduction, je vais t'expliquer pourquoi j'ai créé ce podcast et te parler un peu du marché de la féminité. Déjà, pourquoi créer un podcast sur le marketing équestre ? Eh bien, c'est un peu la suite logique. Après mon site, ladyweb.fr, après ma newsletter, le Clubhouse, je me suis dit que c'était bien d'avoir un format audio. Le podcast a le vent en poupe. C'est un excellent moyen de communication. Ça permet de créer une audience, d'avoir un média qui t'appartient et de décupler ta légitimité. Allez, bim, première leçon marketing. Demande-toi si le podcast pourrait être intéressant pour toi et pour ton activité. de mon côté ça fait pas si longtemps que j'écoute des podcasts je dirais environ un an j'aime bien les formats courts les formats qui sont directs c'est pour ça que j'ai prévu pas mal d'épisodes solo qui dureront moins de 20 minutes je pense pour que tu puisses directement passer à l'action ça sera vraiment des épisodes avec des stratégies des conseils des tutos pour que tu puisses appliquer directement juste après la fin de l'épisode J'ai prévu aussi des interviews de marques équestres connues ou moins connues, des marques qui démarrent. Dans ces interviews, j'ai envie de parler des stratégies marketing qu'elles ont mis en place, des stratégies qui ont marché, qui ont fonctionné, les actions gagnantes qu'elles ont faites, mais aussi des choses qui ont moins bien fonctionné et finalement, comment elles ont analysé ça, comment elles ont fait, comment elles ont rebondi et du coup, comment toi tu peux aussi t'en servir comme leçon. Et puis, je voulais te parler un peu du marché de la filière équine. C'est en fait un marché qui est en pleine mutation depuis quelques années. On entend de plus en plus parler de bien-être équin. Je dirais que ça, c'est quand même la bonne nouvelle. Mais aussi de bien-être humain pour toutes les personnes qui travaillent dans la filière. On entend aussi parler de digitalisation, d'objets connectés. Je pense notamment à tous les logiciels de gestion d'écuries. de facturation, les caméras connectées, les capteurs pour la santé du cheval, etc. Et puis, on voit apparaître aussi cette notion d'éco-responsabilité. Il y a de plus en plus de marques aujourd'hui qui se lancent et qui se veulent made in France et éco-responsables. Donc ça, c'est plutôt aussi une bonne nouvelle pour notre filière. Côté chiffres de la filière équine, je voulais aussi vous en donner quelques-uns que je trouve assez intéressants. Le ministère de l'Agriculture a sorti les derniers chiffres il y a quelques semaines. Il y a plus d'un million d'équidés en France, ce qui est quand même pas mal, avec une majorité de chevaux de salé-ponnet, bien évidemment, ça représente 68% du cheptel. Puis on a ensuite des chevaux de trait à hauteur de 19% et des chevaux de course à hauteur de 14%. Il y a 9 505 établissements équestres et 665 873 licenciés via la Fédération Française d'équitation. Ça en fait le troisième sport national, c'est quand même super important, et le premier sport féminin. Et tout ça en fait c'est sans compter les cavaliers hors structure. Qu'est-ce qu'on appelle les cavaliers hors structure ? C'est tous ceux finalement qui ne montent pas dans un centre équestre ou dans une écurie qui est affiliée à la FFE. ça va être des gens qui vont monter uniquement en balade parce qu'ils ont les chevaux chez eux, ou ils peuvent avoir des installations chez eux et ils vont monter chez eux. Donc ça fait quand même pas mal de personnes en plus. Donc en fait ça reste une filière qui est très dynamique, qui génère quand même 11 milliards de flux financiers. Alors bien sûr, attention, ce chiffre intègre les courses, on sait que les courses ça génère beaucoup d'argent, mais mine de rien ça fait aussi vivre la filière et donc on peut considérer que c'est quand même une filière assez dynamique. Et côté entreprises de ce secteur, ça bouge pas mal aussi. Il y a pas mal de marques qui ont fait leur apparition, qui en plus peuvent vraiment être aidées par différents organismes. Bien sûr, il y a les aides de l'État, mais il y a aussi des aides qu'on peut avoir notamment via le Polypolia. On aura peut-être l'occasion d'en reparler dans un prochain épisode. Donc aujourd'hui, on peut dire que c'est un marché qui est dynamique, qui a un fort potentiel de développement. Et c'est aussi pour ça que finalement ce terme de marketing inquestre est né il y a quelques années pour finalement montrer qu'on est sur un marché qui est assez spécifique, qui est unique, mais qui est aussi diversifié. Et que finalement, le marketing traditionnel, bien sûr qu'il peut s'appliquer à la filière, mais qu'il y a peut-être aussi un marketing spécifique pour ce marché. mais je dirais attention parce que qui dit potentiel dit aussi plus d'acteurs sur le marché donc c'est plus difficile aussi de se démarquer il faut en avoir conscience on le verra d'ailleurs dans les prochains épisodes comment on peut arriver à trouver un positionnement différenciant quand on est sur un marché avec pas mal de concurrents voilà, pense un peu plus sur la raison de ce podcast et ce que tu vas trouver dedans Et la question que peut-être tu te poses, c'est pourquoi le club ? Eh bien, comme je te le disais au début, ma newsletter s'appelle le Clubhouse. Donc, j'avais envie de continuité, de garder cet esprit club. Le club, c'est un peu l'endroit où on a tous débuté quand on a démarré le poney ou le cheval, ou quasiment tous. C'était les copains, c'était les concours, c'était les rigolades, c'était les chutes, et donc les gâteaux et les apéros, bien sûr, après. Et donc, c'est pour ça que j'avais envie de... de trouver cet esprit un peu cocon, un peu club sympa. Et c'est pour ça que j'ai appelé mon podcast Le Club. Eh bien, écoute, on arrive déjà à la fin de cet épisode zéro. Voilà, c'était un peu l'introduction des futurs épisodes. Donc, j'espère que tu seras au rendez-vous pour l'épisode 1, le vrai épisode 1 qui sortira bientôt. Et donc, on se retrouve au prochain épisode.