#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale cover
#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale cover
Le diable est dans les détails

#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale

#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale

10min |07/05/2020
Play
#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale cover
#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale cover
Le diable est dans les détails

#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale

#01 Faire du contenu quand on n'a pas un budget de multinationale

10min |07/05/2020
Play

Description

Quand on parle contenu avec nos relations professionnelles ou nos prospects, la question du budget arrive finalement assez vite. Pas de notre fait… Plutôt du leur.

Dans l’imaginaire de beaucoup de personnes, le contenu, qu’il soit écrit, audio ou vidéo, ça coûte forcément cher. Dans ce premier épisode, on voulait tordre le cou à cette idée reçue. Oui, le contenu a un coût. Mais pas forcément celui qu’on croit. Et surtout, on peut faire de belles choses même si on n’a pas le budget d’une multinationale. Allez, ouvrez grand vos oreilles. C’est le Boucan !

Investir pour devenir autonome

La première chose que vous pouvez faire si vous avez un budget plutôt serré, c’est d’investir pour devenir autonome dans votre production de contenu. C’est une solution qui demande, certes, un investissement au départ, mais qui vous permettra, à terme, de faire de belles économies sur votre budget communication. Investir pour devenir autonome ça peut prendre la forme d’une formation en ligne ou d’une formation classique, en présentiel, avec d’autres apprenants… Ça peut aussi prendre la forme d’un accompagnement individuel.

La formation, qu’elle soit en ligne ou en présentiel, vous permettra par exemple d’apprendre les bases de la rédaction web, ou d’apprendre à filmer de manière professionnelle… Cela via votre ordinateur, ou en petits groupes avec un formateur. Elle vous permettra d’être armé et documenté pour mettre en place votre projet. Vous en sortirez avec des bases solides.

L’accompagnement, lui, sera plus un coaching. Toutes les semaines, tous les quinze jours ou tous les mois, vous ferez un atelier, souvent à distance, avec un professionnel de la rédaction, de la vidéo ou du podcast… Atelier qui durera généralement une heure ou une heure trente.

Le point fort de l’accompagnement, c’est qu’il est personnalisé. Le professionnel avec qui vous interagirez vous donnera des exercices à réaliser à chaque atelier et ensemble, vous définirez des objectifs qui seront directement liés à votre projet de contenu. Le résultat sera bordé par un pro, rapidement exploitable.

Bien sûr, se faire accompagner ne fera pas de vous des communicants à part entière. Il faudrait plus que quelques semaines ou quelques mois pour cela. En revanche, vous en retirerez des connaissances et des bonnes pratiques qui vous permettront d’être à l’aise dans votre production de contenu. Vous éviterez aussi de faire des erreurs ou d’être tout simplement à côté de la plaque. Et ça c’est plutôt pas mal quand on sait que tout ce que vous diffusez est public et peut donc être vu par vos prospects, mais aussi par vos clients et la concurrence.

La formation et l’accompagnement peuvent être complémentaires. On peut par exemple imaginer un investissement dans une formation en ligne qui vous donnera les bases pour bien rédiger pour le web, optimiser le référencement de vos articles ou en faire la promotion, puis un accompagnement de quelques semaines avec un professionnel pour approfondir ces nouvelles compétences et les mettre en lien avec votre projet de contenu.

Demander à un professionnel d'optimiser vos écrits

Si vous préférez déléguer votre production de contenu, au moins en partie - parce que vous manquez de temps pour vous former et pour produire des contenus de A à Z, parce que vous avez peur de ne pas avoir de fibre communicante, ou parce que ça vous rassure tout simplement - la deuxième chose que vous pouvez faire pour diffuser du contenu régulièrement tout en en optimisant votre budget, c’est de faire appel à un professionnel pour que celui-ci ajoute sa patte à votre contenu. On parlera ici de rédactionnel et donc de réécriture (ou rewriting).

Sur la base d’un écrit de votre part, d’une première version, le professionnel viendra améliorer l'existant. Il rééquilibrera votre texte si c’est nécessaire, il reverra les tournures de phrase, la forme. En fonction de votre demande, il pourra également apporter un ton. Bref, il professionnalisera tout ça.

Imaginons que vous soyez propriétaire d’un coffee-shop. Vous souhaitez réaliser un article de blog sur l’extraction à froid. Vous avez la connaissance, les bonnes sources d’information. Vous êtes plutôt à l’aise à l’écrit. Et bien sûr la base d'une première version que vous aurez écrite, le rédacteur viendra enlever un peu de jargon, imager votre propos de manière à ce que les lecteurs comprennent bien ce que vous êtes en train d'expliquer. Il ajoutera des intertitres. Il coupera certaines longueurs.

Ce qu’il y a de bien avec le rewriting, c’est qu’il peut vous permettre, au fur et à mesure, de monter en compétences sur cette partie rédactionnelle. À force de voir vos textes revus et corrigés par un pro, vous capterez forcément des bonnes pratiques (comme le fait d’insérer des intertitres dans vos blogs posts ou d’utiliser un langage parlé dans vos scripts de podcast…). Vous éviterez certaines erreurs assez courantes comme le fait de faire des phrases trop longues, ou d'adopter un style un peu ampoulé…

Bien sûr, l’idée c'est d’arriver au départ avec un texte relativement abouti ! Si vous fournissez un plan et quelques arguments, c’est d’une écriture à part entière dont on parlera, et pas de réécriture.

Le rewriting est couramment utilisé pour les blog posts, mais rien n’empêche d’envisager cette solution pour un script de podcast ou la voix off d’une vidéo…

Mettre en place une newsletter

La troisième et avant-dernière solution qui peut être mise en place pour produire du contenu à moindre coût, c’est la newsletter.

La newsletter est encore perçue parfois comme désuète, pas très engageante. La réalité c’est que c’est un format très efficace, qui est lu et partagé. Le taux d’ouverture d’une bonne newsletter se situe entre 15 et 25 %. À titre de comparaison, 10 % de vues sur une story Instagram, c'est déjà un très bon score.

La newsletter, c’est une communication que vous envoyez régulièrement et directement à votre base de contacts. On y retrouve votre identité, votre positionnement, votre état d’esprit, votre charte graphique aussi. Avec elle, vous fidélisez des lecteurs qui sont en adéquation avec tout cela, et bien sûr avec les informations et les messages que vous diffusez. Vous finissez avec le temps par créer un véritable rendez-vous.

Votre expertise sur des sujets métier, vos billets d’humeur, les coulisses de votre entreprise mais aussi les liens vers vos derniers articles de blog… Tout cela est un contenu riche qui va intéresser durablement votre audience, et même peut-être par faire la différence

Imaginons un cabinet d’avocat spécialisé en droit du travail. Il a toute la matière pour alimenter une newsletter. S’il vous livre régulièrement des informations intéressantes pour vous et pour votre activité, vous continuerez à le suivre. Si en plus il adopte un ton fun, décalé, parce que ça lui ressemble, et que ça vous ressemble aussi, eh bien il marquera votre esprits.

De la même manière, si vous fournissez régulièrement du contenu et des arguments solides à vos clients et à vos prospects, des informations documentées, et si possible un ton qui vous est propre, vous deviendrez a priori LE professionnel à contacter dans votre secteur. Un prospect qui reçoit et lit régulièrement votre newsletter sera plus susceptible de signer avec vous qu’avec une entreprise concurrente dont il a entendu parler par un tiers ou qu’il a trouvée sur Internet.

Attention en revanche : ne confondez pas newsletter et mail commercial. La newsletter doit rester un bulletin d’informations. Vous pouvez y raconter votre installation dans vos nouveaux locaux, ou annoncer que vous serez bientôt distribué dans une grande enseigne et que c’est une excellente nouvelle pour vous et pour vos clients. On vous déconseillera en revanche d’y annoncer que vous proposez 5 % de réduction avec le code promo REDUC2020.

Investir dans des contenus à forte valeur ajoutée

Une dernière idée qu’on peut vous donner si vous souhaitez produire un contenu sans dépenser votre budget com' annuel tout entier, c’est d’investir dans un contenu one shot, de qualité, et à forte valeur ajoutée, sur lequel vous pourrez capitaliser. Ça peut être un livre blanc - un guide pratique qui répond à une problématique liée à votre secteur. Ça peut aussi être une série d’épisodes de podcast, ou une série de vidéos courtes.

Si votre budget vous le permet, il peut être tout à fait pertinent de mettre un billet sur ce type de contenus que vous allez exploiter sur la durée, et qui va augmenter votre visibilité et assoir votre crédibilité. Quand on dit sur la durée, on parle de plusieurs mois, éventuellement de plusieurs années.

Ce contenu, vous le partagerez à vos clients. Vous le proposerez également en téléchargement gratuit sur votre site internet à destination de vos prospects.

Si vous êtes propriétaire d'une imprimerie par exemple, on peut envisager une série de vidéos montrant les différentes étapes de fabrication d’un livre. Vous apporterez ainsi de la connaissance aux personnes qui consommeront votre contenu. Vous mettrez par la même occasion en valeur votre savoir-faire, vos équipes, le soin apporté à votre travail.

Si on résume...

Voilà donc quatre solutions qui peuvent vous permettre de produire et de diffuser du contenu avec un budget tout à fait raisonnable.

  • devenir autonome en investissant dans une formation ou en vous faisant accompagner par le biais d’ateliers ;
  • faire appel à un professionnel pour réécrire vos articles de blog, éventuellement vos scripts de podcast ou vos voix off ;
  • mettre en place une newsletter ;
  • investir dans un contenu à forte valeur ajoutée sur lequel vous allez pouvoir capitaliser sur le long terme.


Je suis Nadège Folliot du Diable est dans les détails. C’était le premier épisode du Boucan. Si vous avez aimé ce podcast, on vous invite à vous abonner, et pourquoi pas à lui mettre des étoiles et des commentaires sur Apple Podcast. Vous pouvez aussi vous abonner à notre newsletter en vous rendant sur lediableestdanslesdetails.fr. Avec elle, vous serez prévenu de la sortie des prochains épisodes et vous recevrez nos derniers articles de blog. On vous dit à dans 15 jours, c’était le boucan !

Description

Quand on parle contenu avec nos relations professionnelles ou nos prospects, la question du budget arrive finalement assez vite. Pas de notre fait… Plutôt du leur.

Dans l’imaginaire de beaucoup de personnes, le contenu, qu’il soit écrit, audio ou vidéo, ça coûte forcément cher. Dans ce premier épisode, on voulait tordre le cou à cette idée reçue. Oui, le contenu a un coût. Mais pas forcément celui qu’on croit. Et surtout, on peut faire de belles choses même si on n’a pas le budget d’une multinationale. Allez, ouvrez grand vos oreilles. C’est le Boucan !

Investir pour devenir autonome

La première chose que vous pouvez faire si vous avez un budget plutôt serré, c’est d’investir pour devenir autonome dans votre production de contenu. C’est une solution qui demande, certes, un investissement au départ, mais qui vous permettra, à terme, de faire de belles économies sur votre budget communication. Investir pour devenir autonome ça peut prendre la forme d’une formation en ligne ou d’une formation classique, en présentiel, avec d’autres apprenants… Ça peut aussi prendre la forme d’un accompagnement individuel.

La formation, qu’elle soit en ligne ou en présentiel, vous permettra par exemple d’apprendre les bases de la rédaction web, ou d’apprendre à filmer de manière professionnelle… Cela via votre ordinateur, ou en petits groupes avec un formateur. Elle vous permettra d’être armé et documenté pour mettre en place votre projet. Vous en sortirez avec des bases solides.

L’accompagnement, lui, sera plus un coaching. Toutes les semaines, tous les quinze jours ou tous les mois, vous ferez un atelier, souvent à distance, avec un professionnel de la rédaction, de la vidéo ou du podcast… Atelier qui durera généralement une heure ou une heure trente.

Le point fort de l’accompagnement, c’est qu’il est personnalisé. Le professionnel avec qui vous interagirez vous donnera des exercices à réaliser à chaque atelier et ensemble, vous définirez des objectifs qui seront directement liés à votre projet de contenu. Le résultat sera bordé par un pro, rapidement exploitable.

Bien sûr, se faire accompagner ne fera pas de vous des communicants à part entière. Il faudrait plus que quelques semaines ou quelques mois pour cela. En revanche, vous en retirerez des connaissances et des bonnes pratiques qui vous permettront d’être à l’aise dans votre production de contenu. Vous éviterez aussi de faire des erreurs ou d’être tout simplement à côté de la plaque. Et ça c’est plutôt pas mal quand on sait que tout ce que vous diffusez est public et peut donc être vu par vos prospects, mais aussi par vos clients et la concurrence.

La formation et l’accompagnement peuvent être complémentaires. On peut par exemple imaginer un investissement dans une formation en ligne qui vous donnera les bases pour bien rédiger pour le web, optimiser le référencement de vos articles ou en faire la promotion, puis un accompagnement de quelques semaines avec un professionnel pour approfondir ces nouvelles compétences et les mettre en lien avec votre projet de contenu.

Demander à un professionnel d'optimiser vos écrits

Si vous préférez déléguer votre production de contenu, au moins en partie - parce que vous manquez de temps pour vous former et pour produire des contenus de A à Z, parce que vous avez peur de ne pas avoir de fibre communicante, ou parce que ça vous rassure tout simplement - la deuxième chose que vous pouvez faire pour diffuser du contenu régulièrement tout en en optimisant votre budget, c’est de faire appel à un professionnel pour que celui-ci ajoute sa patte à votre contenu. On parlera ici de rédactionnel et donc de réécriture (ou rewriting).

Sur la base d’un écrit de votre part, d’une première version, le professionnel viendra améliorer l'existant. Il rééquilibrera votre texte si c’est nécessaire, il reverra les tournures de phrase, la forme. En fonction de votre demande, il pourra également apporter un ton. Bref, il professionnalisera tout ça.

Imaginons que vous soyez propriétaire d’un coffee-shop. Vous souhaitez réaliser un article de blog sur l’extraction à froid. Vous avez la connaissance, les bonnes sources d’information. Vous êtes plutôt à l’aise à l’écrit. Et bien sûr la base d'une première version que vous aurez écrite, le rédacteur viendra enlever un peu de jargon, imager votre propos de manière à ce que les lecteurs comprennent bien ce que vous êtes en train d'expliquer. Il ajoutera des intertitres. Il coupera certaines longueurs.

Ce qu’il y a de bien avec le rewriting, c’est qu’il peut vous permettre, au fur et à mesure, de monter en compétences sur cette partie rédactionnelle. À force de voir vos textes revus et corrigés par un pro, vous capterez forcément des bonnes pratiques (comme le fait d’insérer des intertitres dans vos blogs posts ou d’utiliser un langage parlé dans vos scripts de podcast…). Vous éviterez certaines erreurs assez courantes comme le fait de faire des phrases trop longues, ou d'adopter un style un peu ampoulé…

Bien sûr, l’idée c'est d’arriver au départ avec un texte relativement abouti ! Si vous fournissez un plan et quelques arguments, c’est d’une écriture à part entière dont on parlera, et pas de réécriture.

Le rewriting est couramment utilisé pour les blog posts, mais rien n’empêche d’envisager cette solution pour un script de podcast ou la voix off d’une vidéo…

Mettre en place une newsletter

La troisième et avant-dernière solution qui peut être mise en place pour produire du contenu à moindre coût, c’est la newsletter.

La newsletter est encore perçue parfois comme désuète, pas très engageante. La réalité c’est que c’est un format très efficace, qui est lu et partagé. Le taux d’ouverture d’une bonne newsletter se situe entre 15 et 25 %. À titre de comparaison, 10 % de vues sur une story Instagram, c'est déjà un très bon score.

La newsletter, c’est une communication que vous envoyez régulièrement et directement à votre base de contacts. On y retrouve votre identité, votre positionnement, votre état d’esprit, votre charte graphique aussi. Avec elle, vous fidélisez des lecteurs qui sont en adéquation avec tout cela, et bien sûr avec les informations et les messages que vous diffusez. Vous finissez avec le temps par créer un véritable rendez-vous.

Votre expertise sur des sujets métier, vos billets d’humeur, les coulisses de votre entreprise mais aussi les liens vers vos derniers articles de blog… Tout cela est un contenu riche qui va intéresser durablement votre audience, et même peut-être par faire la différence

Imaginons un cabinet d’avocat spécialisé en droit du travail. Il a toute la matière pour alimenter une newsletter. S’il vous livre régulièrement des informations intéressantes pour vous et pour votre activité, vous continuerez à le suivre. Si en plus il adopte un ton fun, décalé, parce que ça lui ressemble, et que ça vous ressemble aussi, eh bien il marquera votre esprits.

De la même manière, si vous fournissez régulièrement du contenu et des arguments solides à vos clients et à vos prospects, des informations documentées, et si possible un ton qui vous est propre, vous deviendrez a priori LE professionnel à contacter dans votre secteur. Un prospect qui reçoit et lit régulièrement votre newsletter sera plus susceptible de signer avec vous qu’avec une entreprise concurrente dont il a entendu parler par un tiers ou qu’il a trouvée sur Internet.

Attention en revanche : ne confondez pas newsletter et mail commercial. La newsletter doit rester un bulletin d’informations. Vous pouvez y raconter votre installation dans vos nouveaux locaux, ou annoncer que vous serez bientôt distribué dans une grande enseigne et que c’est une excellente nouvelle pour vous et pour vos clients. On vous déconseillera en revanche d’y annoncer que vous proposez 5 % de réduction avec le code promo REDUC2020.

Investir dans des contenus à forte valeur ajoutée

Une dernière idée qu’on peut vous donner si vous souhaitez produire un contenu sans dépenser votre budget com' annuel tout entier, c’est d’investir dans un contenu one shot, de qualité, et à forte valeur ajoutée, sur lequel vous pourrez capitaliser. Ça peut être un livre blanc - un guide pratique qui répond à une problématique liée à votre secteur. Ça peut aussi être une série d’épisodes de podcast, ou une série de vidéos courtes.

Si votre budget vous le permet, il peut être tout à fait pertinent de mettre un billet sur ce type de contenus que vous allez exploiter sur la durée, et qui va augmenter votre visibilité et assoir votre crédibilité. Quand on dit sur la durée, on parle de plusieurs mois, éventuellement de plusieurs années.

Ce contenu, vous le partagerez à vos clients. Vous le proposerez également en téléchargement gratuit sur votre site internet à destination de vos prospects.

Si vous êtes propriétaire d'une imprimerie par exemple, on peut envisager une série de vidéos montrant les différentes étapes de fabrication d’un livre. Vous apporterez ainsi de la connaissance aux personnes qui consommeront votre contenu. Vous mettrez par la même occasion en valeur votre savoir-faire, vos équipes, le soin apporté à votre travail.

Si on résume...

Voilà donc quatre solutions qui peuvent vous permettre de produire et de diffuser du contenu avec un budget tout à fait raisonnable.

  • devenir autonome en investissant dans une formation ou en vous faisant accompagner par le biais d’ateliers ;
  • faire appel à un professionnel pour réécrire vos articles de blog, éventuellement vos scripts de podcast ou vos voix off ;
  • mettre en place une newsletter ;
  • investir dans un contenu à forte valeur ajoutée sur lequel vous allez pouvoir capitaliser sur le long terme.


Je suis Nadège Folliot du Diable est dans les détails. C’était le premier épisode du Boucan. Si vous avez aimé ce podcast, on vous invite à vous abonner, et pourquoi pas à lui mettre des étoiles et des commentaires sur Apple Podcast. Vous pouvez aussi vous abonner à notre newsletter en vous rendant sur lediableestdanslesdetails.fr. Avec elle, vous serez prévenu de la sortie des prochains épisodes et vous recevrez nos derniers articles de blog. On vous dit à dans 15 jours, c’était le boucan !

Share

Embed

You may also like

Description

Quand on parle contenu avec nos relations professionnelles ou nos prospects, la question du budget arrive finalement assez vite. Pas de notre fait… Plutôt du leur.

Dans l’imaginaire de beaucoup de personnes, le contenu, qu’il soit écrit, audio ou vidéo, ça coûte forcément cher. Dans ce premier épisode, on voulait tordre le cou à cette idée reçue. Oui, le contenu a un coût. Mais pas forcément celui qu’on croit. Et surtout, on peut faire de belles choses même si on n’a pas le budget d’une multinationale. Allez, ouvrez grand vos oreilles. C’est le Boucan !

Investir pour devenir autonome

La première chose que vous pouvez faire si vous avez un budget plutôt serré, c’est d’investir pour devenir autonome dans votre production de contenu. C’est une solution qui demande, certes, un investissement au départ, mais qui vous permettra, à terme, de faire de belles économies sur votre budget communication. Investir pour devenir autonome ça peut prendre la forme d’une formation en ligne ou d’une formation classique, en présentiel, avec d’autres apprenants… Ça peut aussi prendre la forme d’un accompagnement individuel.

La formation, qu’elle soit en ligne ou en présentiel, vous permettra par exemple d’apprendre les bases de la rédaction web, ou d’apprendre à filmer de manière professionnelle… Cela via votre ordinateur, ou en petits groupes avec un formateur. Elle vous permettra d’être armé et documenté pour mettre en place votre projet. Vous en sortirez avec des bases solides.

L’accompagnement, lui, sera plus un coaching. Toutes les semaines, tous les quinze jours ou tous les mois, vous ferez un atelier, souvent à distance, avec un professionnel de la rédaction, de la vidéo ou du podcast… Atelier qui durera généralement une heure ou une heure trente.

Le point fort de l’accompagnement, c’est qu’il est personnalisé. Le professionnel avec qui vous interagirez vous donnera des exercices à réaliser à chaque atelier et ensemble, vous définirez des objectifs qui seront directement liés à votre projet de contenu. Le résultat sera bordé par un pro, rapidement exploitable.

Bien sûr, se faire accompagner ne fera pas de vous des communicants à part entière. Il faudrait plus que quelques semaines ou quelques mois pour cela. En revanche, vous en retirerez des connaissances et des bonnes pratiques qui vous permettront d’être à l’aise dans votre production de contenu. Vous éviterez aussi de faire des erreurs ou d’être tout simplement à côté de la plaque. Et ça c’est plutôt pas mal quand on sait que tout ce que vous diffusez est public et peut donc être vu par vos prospects, mais aussi par vos clients et la concurrence.

La formation et l’accompagnement peuvent être complémentaires. On peut par exemple imaginer un investissement dans une formation en ligne qui vous donnera les bases pour bien rédiger pour le web, optimiser le référencement de vos articles ou en faire la promotion, puis un accompagnement de quelques semaines avec un professionnel pour approfondir ces nouvelles compétences et les mettre en lien avec votre projet de contenu.

Demander à un professionnel d'optimiser vos écrits

Si vous préférez déléguer votre production de contenu, au moins en partie - parce que vous manquez de temps pour vous former et pour produire des contenus de A à Z, parce que vous avez peur de ne pas avoir de fibre communicante, ou parce que ça vous rassure tout simplement - la deuxième chose que vous pouvez faire pour diffuser du contenu régulièrement tout en en optimisant votre budget, c’est de faire appel à un professionnel pour que celui-ci ajoute sa patte à votre contenu. On parlera ici de rédactionnel et donc de réécriture (ou rewriting).

Sur la base d’un écrit de votre part, d’une première version, le professionnel viendra améliorer l'existant. Il rééquilibrera votre texte si c’est nécessaire, il reverra les tournures de phrase, la forme. En fonction de votre demande, il pourra également apporter un ton. Bref, il professionnalisera tout ça.

Imaginons que vous soyez propriétaire d’un coffee-shop. Vous souhaitez réaliser un article de blog sur l’extraction à froid. Vous avez la connaissance, les bonnes sources d’information. Vous êtes plutôt à l’aise à l’écrit. Et bien sûr la base d'une première version que vous aurez écrite, le rédacteur viendra enlever un peu de jargon, imager votre propos de manière à ce que les lecteurs comprennent bien ce que vous êtes en train d'expliquer. Il ajoutera des intertitres. Il coupera certaines longueurs.

Ce qu’il y a de bien avec le rewriting, c’est qu’il peut vous permettre, au fur et à mesure, de monter en compétences sur cette partie rédactionnelle. À force de voir vos textes revus et corrigés par un pro, vous capterez forcément des bonnes pratiques (comme le fait d’insérer des intertitres dans vos blogs posts ou d’utiliser un langage parlé dans vos scripts de podcast…). Vous éviterez certaines erreurs assez courantes comme le fait de faire des phrases trop longues, ou d'adopter un style un peu ampoulé…

Bien sûr, l’idée c'est d’arriver au départ avec un texte relativement abouti ! Si vous fournissez un plan et quelques arguments, c’est d’une écriture à part entière dont on parlera, et pas de réécriture.

Le rewriting est couramment utilisé pour les blog posts, mais rien n’empêche d’envisager cette solution pour un script de podcast ou la voix off d’une vidéo…

Mettre en place une newsletter

La troisième et avant-dernière solution qui peut être mise en place pour produire du contenu à moindre coût, c’est la newsletter.

La newsletter est encore perçue parfois comme désuète, pas très engageante. La réalité c’est que c’est un format très efficace, qui est lu et partagé. Le taux d’ouverture d’une bonne newsletter se situe entre 15 et 25 %. À titre de comparaison, 10 % de vues sur une story Instagram, c'est déjà un très bon score.

La newsletter, c’est une communication que vous envoyez régulièrement et directement à votre base de contacts. On y retrouve votre identité, votre positionnement, votre état d’esprit, votre charte graphique aussi. Avec elle, vous fidélisez des lecteurs qui sont en adéquation avec tout cela, et bien sûr avec les informations et les messages que vous diffusez. Vous finissez avec le temps par créer un véritable rendez-vous.

Votre expertise sur des sujets métier, vos billets d’humeur, les coulisses de votre entreprise mais aussi les liens vers vos derniers articles de blog… Tout cela est un contenu riche qui va intéresser durablement votre audience, et même peut-être par faire la différence

Imaginons un cabinet d’avocat spécialisé en droit du travail. Il a toute la matière pour alimenter une newsletter. S’il vous livre régulièrement des informations intéressantes pour vous et pour votre activité, vous continuerez à le suivre. Si en plus il adopte un ton fun, décalé, parce que ça lui ressemble, et que ça vous ressemble aussi, eh bien il marquera votre esprits.

De la même manière, si vous fournissez régulièrement du contenu et des arguments solides à vos clients et à vos prospects, des informations documentées, et si possible un ton qui vous est propre, vous deviendrez a priori LE professionnel à contacter dans votre secteur. Un prospect qui reçoit et lit régulièrement votre newsletter sera plus susceptible de signer avec vous qu’avec une entreprise concurrente dont il a entendu parler par un tiers ou qu’il a trouvée sur Internet.

Attention en revanche : ne confondez pas newsletter et mail commercial. La newsletter doit rester un bulletin d’informations. Vous pouvez y raconter votre installation dans vos nouveaux locaux, ou annoncer que vous serez bientôt distribué dans une grande enseigne et que c’est une excellente nouvelle pour vous et pour vos clients. On vous déconseillera en revanche d’y annoncer que vous proposez 5 % de réduction avec le code promo REDUC2020.

Investir dans des contenus à forte valeur ajoutée

Une dernière idée qu’on peut vous donner si vous souhaitez produire un contenu sans dépenser votre budget com' annuel tout entier, c’est d’investir dans un contenu one shot, de qualité, et à forte valeur ajoutée, sur lequel vous pourrez capitaliser. Ça peut être un livre blanc - un guide pratique qui répond à une problématique liée à votre secteur. Ça peut aussi être une série d’épisodes de podcast, ou une série de vidéos courtes.

Si votre budget vous le permet, il peut être tout à fait pertinent de mettre un billet sur ce type de contenus que vous allez exploiter sur la durée, et qui va augmenter votre visibilité et assoir votre crédibilité. Quand on dit sur la durée, on parle de plusieurs mois, éventuellement de plusieurs années.

Ce contenu, vous le partagerez à vos clients. Vous le proposerez également en téléchargement gratuit sur votre site internet à destination de vos prospects.

Si vous êtes propriétaire d'une imprimerie par exemple, on peut envisager une série de vidéos montrant les différentes étapes de fabrication d’un livre. Vous apporterez ainsi de la connaissance aux personnes qui consommeront votre contenu. Vous mettrez par la même occasion en valeur votre savoir-faire, vos équipes, le soin apporté à votre travail.

Si on résume...

Voilà donc quatre solutions qui peuvent vous permettre de produire et de diffuser du contenu avec un budget tout à fait raisonnable.

  • devenir autonome en investissant dans une formation ou en vous faisant accompagner par le biais d’ateliers ;
  • faire appel à un professionnel pour réécrire vos articles de blog, éventuellement vos scripts de podcast ou vos voix off ;
  • mettre en place une newsletter ;
  • investir dans un contenu à forte valeur ajoutée sur lequel vous allez pouvoir capitaliser sur le long terme.


Je suis Nadège Folliot du Diable est dans les détails. C’était le premier épisode du Boucan. Si vous avez aimé ce podcast, on vous invite à vous abonner, et pourquoi pas à lui mettre des étoiles et des commentaires sur Apple Podcast. Vous pouvez aussi vous abonner à notre newsletter en vous rendant sur lediableestdanslesdetails.fr. Avec elle, vous serez prévenu de la sortie des prochains épisodes et vous recevrez nos derniers articles de blog. On vous dit à dans 15 jours, c’était le boucan !

Description

Quand on parle contenu avec nos relations professionnelles ou nos prospects, la question du budget arrive finalement assez vite. Pas de notre fait… Plutôt du leur.

Dans l’imaginaire de beaucoup de personnes, le contenu, qu’il soit écrit, audio ou vidéo, ça coûte forcément cher. Dans ce premier épisode, on voulait tordre le cou à cette idée reçue. Oui, le contenu a un coût. Mais pas forcément celui qu’on croit. Et surtout, on peut faire de belles choses même si on n’a pas le budget d’une multinationale. Allez, ouvrez grand vos oreilles. C’est le Boucan !

Investir pour devenir autonome

La première chose que vous pouvez faire si vous avez un budget plutôt serré, c’est d’investir pour devenir autonome dans votre production de contenu. C’est une solution qui demande, certes, un investissement au départ, mais qui vous permettra, à terme, de faire de belles économies sur votre budget communication. Investir pour devenir autonome ça peut prendre la forme d’une formation en ligne ou d’une formation classique, en présentiel, avec d’autres apprenants… Ça peut aussi prendre la forme d’un accompagnement individuel.

La formation, qu’elle soit en ligne ou en présentiel, vous permettra par exemple d’apprendre les bases de la rédaction web, ou d’apprendre à filmer de manière professionnelle… Cela via votre ordinateur, ou en petits groupes avec un formateur. Elle vous permettra d’être armé et documenté pour mettre en place votre projet. Vous en sortirez avec des bases solides.

L’accompagnement, lui, sera plus un coaching. Toutes les semaines, tous les quinze jours ou tous les mois, vous ferez un atelier, souvent à distance, avec un professionnel de la rédaction, de la vidéo ou du podcast… Atelier qui durera généralement une heure ou une heure trente.

Le point fort de l’accompagnement, c’est qu’il est personnalisé. Le professionnel avec qui vous interagirez vous donnera des exercices à réaliser à chaque atelier et ensemble, vous définirez des objectifs qui seront directement liés à votre projet de contenu. Le résultat sera bordé par un pro, rapidement exploitable.

Bien sûr, se faire accompagner ne fera pas de vous des communicants à part entière. Il faudrait plus que quelques semaines ou quelques mois pour cela. En revanche, vous en retirerez des connaissances et des bonnes pratiques qui vous permettront d’être à l’aise dans votre production de contenu. Vous éviterez aussi de faire des erreurs ou d’être tout simplement à côté de la plaque. Et ça c’est plutôt pas mal quand on sait que tout ce que vous diffusez est public et peut donc être vu par vos prospects, mais aussi par vos clients et la concurrence.

La formation et l’accompagnement peuvent être complémentaires. On peut par exemple imaginer un investissement dans une formation en ligne qui vous donnera les bases pour bien rédiger pour le web, optimiser le référencement de vos articles ou en faire la promotion, puis un accompagnement de quelques semaines avec un professionnel pour approfondir ces nouvelles compétences et les mettre en lien avec votre projet de contenu.

Demander à un professionnel d'optimiser vos écrits

Si vous préférez déléguer votre production de contenu, au moins en partie - parce que vous manquez de temps pour vous former et pour produire des contenus de A à Z, parce que vous avez peur de ne pas avoir de fibre communicante, ou parce que ça vous rassure tout simplement - la deuxième chose que vous pouvez faire pour diffuser du contenu régulièrement tout en en optimisant votre budget, c’est de faire appel à un professionnel pour que celui-ci ajoute sa patte à votre contenu. On parlera ici de rédactionnel et donc de réécriture (ou rewriting).

Sur la base d’un écrit de votre part, d’une première version, le professionnel viendra améliorer l'existant. Il rééquilibrera votre texte si c’est nécessaire, il reverra les tournures de phrase, la forme. En fonction de votre demande, il pourra également apporter un ton. Bref, il professionnalisera tout ça.

Imaginons que vous soyez propriétaire d’un coffee-shop. Vous souhaitez réaliser un article de blog sur l’extraction à froid. Vous avez la connaissance, les bonnes sources d’information. Vous êtes plutôt à l’aise à l’écrit. Et bien sûr la base d'une première version que vous aurez écrite, le rédacteur viendra enlever un peu de jargon, imager votre propos de manière à ce que les lecteurs comprennent bien ce que vous êtes en train d'expliquer. Il ajoutera des intertitres. Il coupera certaines longueurs.

Ce qu’il y a de bien avec le rewriting, c’est qu’il peut vous permettre, au fur et à mesure, de monter en compétences sur cette partie rédactionnelle. À force de voir vos textes revus et corrigés par un pro, vous capterez forcément des bonnes pratiques (comme le fait d’insérer des intertitres dans vos blogs posts ou d’utiliser un langage parlé dans vos scripts de podcast…). Vous éviterez certaines erreurs assez courantes comme le fait de faire des phrases trop longues, ou d'adopter un style un peu ampoulé…

Bien sûr, l’idée c'est d’arriver au départ avec un texte relativement abouti ! Si vous fournissez un plan et quelques arguments, c’est d’une écriture à part entière dont on parlera, et pas de réécriture.

Le rewriting est couramment utilisé pour les blog posts, mais rien n’empêche d’envisager cette solution pour un script de podcast ou la voix off d’une vidéo…

Mettre en place une newsletter

La troisième et avant-dernière solution qui peut être mise en place pour produire du contenu à moindre coût, c’est la newsletter.

La newsletter est encore perçue parfois comme désuète, pas très engageante. La réalité c’est que c’est un format très efficace, qui est lu et partagé. Le taux d’ouverture d’une bonne newsletter se situe entre 15 et 25 %. À titre de comparaison, 10 % de vues sur une story Instagram, c'est déjà un très bon score.

La newsletter, c’est une communication que vous envoyez régulièrement et directement à votre base de contacts. On y retrouve votre identité, votre positionnement, votre état d’esprit, votre charte graphique aussi. Avec elle, vous fidélisez des lecteurs qui sont en adéquation avec tout cela, et bien sûr avec les informations et les messages que vous diffusez. Vous finissez avec le temps par créer un véritable rendez-vous.

Votre expertise sur des sujets métier, vos billets d’humeur, les coulisses de votre entreprise mais aussi les liens vers vos derniers articles de blog… Tout cela est un contenu riche qui va intéresser durablement votre audience, et même peut-être par faire la différence

Imaginons un cabinet d’avocat spécialisé en droit du travail. Il a toute la matière pour alimenter une newsletter. S’il vous livre régulièrement des informations intéressantes pour vous et pour votre activité, vous continuerez à le suivre. Si en plus il adopte un ton fun, décalé, parce que ça lui ressemble, et que ça vous ressemble aussi, eh bien il marquera votre esprits.

De la même manière, si vous fournissez régulièrement du contenu et des arguments solides à vos clients et à vos prospects, des informations documentées, et si possible un ton qui vous est propre, vous deviendrez a priori LE professionnel à contacter dans votre secteur. Un prospect qui reçoit et lit régulièrement votre newsletter sera plus susceptible de signer avec vous qu’avec une entreprise concurrente dont il a entendu parler par un tiers ou qu’il a trouvée sur Internet.

Attention en revanche : ne confondez pas newsletter et mail commercial. La newsletter doit rester un bulletin d’informations. Vous pouvez y raconter votre installation dans vos nouveaux locaux, ou annoncer que vous serez bientôt distribué dans une grande enseigne et que c’est une excellente nouvelle pour vous et pour vos clients. On vous déconseillera en revanche d’y annoncer que vous proposez 5 % de réduction avec le code promo REDUC2020.

Investir dans des contenus à forte valeur ajoutée

Une dernière idée qu’on peut vous donner si vous souhaitez produire un contenu sans dépenser votre budget com' annuel tout entier, c’est d’investir dans un contenu one shot, de qualité, et à forte valeur ajoutée, sur lequel vous pourrez capitaliser. Ça peut être un livre blanc - un guide pratique qui répond à une problématique liée à votre secteur. Ça peut aussi être une série d’épisodes de podcast, ou une série de vidéos courtes.

Si votre budget vous le permet, il peut être tout à fait pertinent de mettre un billet sur ce type de contenus que vous allez exploiter sur la durée, et qui va augmenter votre visibilité et assoir votre crédibilité. Quand on dit sur la durée, on parle de plusieurs mois, éventuellement de plusieurs années.

Ce contenu, vous le partagerez à vos clients. Vous le proposerez également en téléchargement gratuit sur votre site internet à destination de vos prospects.

Si vous êtes propriétaire d'une imprimerie par exemple, on peut envisager une série de vidéos montrant les différentes étapes de fabrication d’un livre. Vous apporterez ainsi de la connaissance aux personnes qui consommeront votre contenu. Vous mettrez par la même occasion en valeur votre savoir-faire, vos équipes, le soin apporté à votre travail.

Si on résume...

Voilà donc quatre solutions qui peuvent vous permettre de produire et de diffuser du contenu avec un budget tout à fait raisonnable.

  • devenir autonome en investissant dans une formation ou en vous faisant accompagner par le biais d’ateliers ;
  • faire appel à un professionnel pour réécrire vos articles de blog, éventuellement vos scripts de podcast ou vos voix off ;
  • mettre en place une newsletter ;
  • investir dans un contenu à forte valeur ajoutée sur lequel vous allez pouvoir capitaliser sur le long terme.


Je suis Nadège Folliot du Diable est dans les détails. C’était le premier épisode du Boucan. Si vous avez aimé ce podcast, on vous invite à vous abonner, et pourquoi pas à lui mettre des étoiles et des commentaires sur Apple Podcast. Vous pouvez aussi vous abonner à notre newsletter en vous rendant sur lediableestdanslesdetails.fr. Avec elle, vous serez prévenu de la sortie des prochains épisodes et vous recevrez nos derniers articles de blog. On vous dit à dans 15 jours, c’était le boucan !

Share

Embed

You may also like