Description
Avec Jean Duchesne, ancien élève de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé d’anglais et professeur de chaire supérieure en classes préparatoires, cofondateur de l’édition française de la revue Communio. Auteur de Petite histoire d’anglo-saxonie (Presses de la Renaissance)
C’était en mars dernier, le 29 précisément : La reine Elizabeth II était apparue à l’abbaye de Westminster pour la dernière fois, pour une cérémonie religieuse en hommage à son époux le prince Philip, mort près d’un an plus tôt à l’âge de 99 ans. Elle était arrivée au bras de son fils Andrew, s’appuyant sur une canne, et semblait frêle. A de nombreuses reprises, et dans les grands moments de sa vie, y compris ses funérailles, la reine d’Angleterre fréquentera ce haut-lieu de la conscience britannique. Il y fut demoiselle d’honneur dès 1934 au mariage de son oncle le prince George, avec la princesse Marina de Grèce et du Danemark. Il s’agissait du premier mariage royal retransmis à la radio. Et voilà que ses propres obsèques constituent un événement médiatique mondial. Comment en analyser la portée au regard des traditions, de l’esprit et de la singularité du monde britannique ? Jean Duchesne, spécialiste du monde anglo-saxon, nous répond.
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