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Le Grand Témoin – Radio Notre Dame

Olivier Poivre d’Arvor, ambassadeur chargé des pôles et des enjeux maritimes

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23min |23/03/2023
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Description

Ecrivain, diplomate, ambassadeur chargé des pôles et des enjeux maritimes (depuis novembre 2020) et envoyé spécial du président de la république pour la Conférence Océan des Nations Unies, président du conseil d’administration du musée de la Marine depuis mai 2014.

L’air devenant irrespirable dans les rues, entre poubelle et lacrymogène, il y a une bonne raison de prendre le large, de hisser les voiles et de sillonner ce continent liquide de haute mer qui vient de faire l’objet d’un traité international de protection qualifié d’accord historique. 190 pays l’ont signé au niveau des Nations Unies. Il s’agit de définir les aires maritimes protégées ainsi que les règles du jeu pour que toute activité, dans la colonne d’eau ou le sol-sol, puisse être validée en répondant à des normes. Cet accord est une étape importante vers la sanctuarisation des eaux et le juste partage des ressources.

Les faits : Du 22 au 24 mars, à New-York se tient la Conférence des Nations unis sur l’eau, une première depuis près d’un demi-siècle. L’humanité « vampirique » a « brisé le cycle de l’eau« , mettant en danger des milliards de personnes à travers la planète, a dénoncé mercredi 22 mars Antonio Guterres lors de son discours d’ouverture. « Nous avons brisé le cycle de l’eau, détruit les écosystèmes et contaminé les eaux souterraines », a lancé le secrétaire général des Nations unies. Ces trois journées doivent accueillir plus de 6.500 participants dont une centaine de ministres et une douzaine de chefs d’Etat et de gouvernement. « Nous drainons l’humanité de sa substance vitale par la surconsommation vampirique et l’utilisation non durable que nous faisons de l’eau, et nous provoquons son évaporation en réchauffant la planète », a-t-il ajouté, s’inquiétant de l’avenir « compromis » de l’eau, pourtant « la sève de l’humanité » et « un droit humain ». (Avec AFP)


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ecrivain, diplomate, ambassadeur chargé des pôles et des enjeux maritimes (depuis novembre 2020) et envoyé spécial du président de la république pour la Conférence Océan des Nations Unies, président du conseil d’administration du musée de la Marine depuis mai 2014.

L’air devenant irrespirable dans les rues, entre poubelle et lacrymogène, il y a une bonne raison de prendre le large, de hisser les voiles et de sillonner ce continent liquide de haute mer qui vient de faire l’objet d’un traité international de protection qualifié d’accord historique. 190 pays l’ont signé au niveau des Nations Unies. Il s’agit de définir les aires maritimes protégées ainsi que les règles du jeu pour que toute activité, dans la colonne d’eau ou le sol-sol, puisse être validée en répondant à des normes. Cet accord est une étape importante vers la sanctuarisation des eaux et le juste partage des ressources.

Les faits : Du 22 au 24 mars, à New-York se tient la Conférence des Nations unis sur l’eau, une première depuis près d’un demi-siècle. L’humanité « vampirique » a « brisé le cycle de l’eau« , mettant en danger des milliards de personnes à travers la planète, a dénoncé mercredi 22 mars Antonio Guterres lors de son discours d’ouverture. « Nous avons brisé le cycle de l’eau, détruit les écosystèmes et contaminé les eaux souterraines », a lancé le secrétaire général des Nations unies. Ces trois journées doivent accueillir plus de 6.500 participants dont une centaine de ministres et une douzaine de chefs d’Etat et de gouvernement. « Nous drainons l’humanité de sa substance vitale par la surconsommation vampirique et l’utilisation non durable que nous faisons de l’eau, et nous provoquons son évaporation en réchauffant la planète », a-t-il ajouté, s’inquiétant de l’avenir « compromis » de l’eau, pourtant « la sève de l’humanité » et « un droit humain ». (Avec AFP)


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Ecrivain, diplomate, ambassadeur chargé des pôles et des enjeux maritimes (depuis novembre 2020) et envoyé spécial du président de la république pour la Conférence Océan des Nations Unies, président du conseil d’administration du musée de la Marine depuis mai 2014.

L’air devenant irrespirable dans les rues, entre poubelle et lacrymogène, il y a une bonne raison de prendre le large, de hisser les voiles et de sillonner ce continent liquide de haute mer qui vient de faire l’objet d’un traité international de protection qualifié d’accord historique. 190 pays l’ont signé au niveau des Nations Unies. Il s’agit de définir les aires maritimes protégées ainsi que les règles du jeu pour que toute activité, dans la colonne d’eau ou le sol-sol, puisse être validée en répondant à des normes. Cet accord est une étape importante vers la sanctuarisation des eaux et le juste partage des ressources.

Les faits : Du 22 au 24 mars, à New-York se tient la Conférence des Nations unis sur l’eau, une première depuis près d’un demi-siècle. L’humanité « vampirique » a « brisé le cycle de l’eau« , mettant en danger des milliards de personnes à travers la planète, a dénoncé mercredi 22 mars Antonio Guterres lors de son discours d’ouverture. « Nous avons brisé le cycle de l’eau, détruit les écosystèmes et contaminé les eaux souterraines », a lancé le secrétaire général des Nations unies. Ces trois journées doivent accueillir plus de 6.500 participants dont une centaine de ministres et une douzaine de chefs d’Etat et de gouvernement. « Nous drainons l’humanité de sa substance vitale par la surconsommation vampirique et l’utilisation non durable que nous faisons de l’eau, et nous provoquons son évaporation en réchauffant la planète », a-t-il ajouté, s’inquiétant de l’avenir « compromis » de l’eau, pourtant « la sève de l’humanité » et « un droit humain ». (Avec AFP)


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Ecrivain, diplomate, ambassadeur chargé des pôles et des enjeux maritimes (depuis novembre 2020) et envoyé spécial du président de la république pour la Conférence Océan des Nations Unies, président du conseil d’administration du musée de la Marine depuis mai 2014.

L’air devenant irrespirable dans les rues, entre poubelle et lacrymogène, il y a une bonne raison de prendre le large, de hisser les voiles et de sillonner ce continent liquide de haute mer qui vient de faire l’objet d’un traité international de protection qualifié d’accord historique. 190 pays l’ont signé au niveau des Nations Unies. Il s’agit de définir les aires maritimes protégées ainsi que les règles du jeu pour que toute activité, dans la colonne d’eau ou le sol-sol, puisse être validée en répondant à des normes. Cet accord est une étape importante vers la sanctuarisation des eaux et le juste partage des ressources.

Les faits : Du 22 au 24 mars, à New-York se tient la Conférence des Nations unis sur l’eau, une première depuis près d’un demi-siècle. L’humanité « vampirique » a « brisé le cycle de l’eau« , mettant en danger des milliards de personnes à travers la planète, a dénoncé mercredi 22 mars Antonio Guterres lors de son discours d’ouverture. « Nous avons brisé le cycle de l’eau, détruit les écosystèmes et contaminé les eaux souterraines », a lancé le secrétaire général des Nations unies. Ces trois journées doivent accueillir plus de 6.500 participants dont une centaine de ministres et une douzaine de chefs d’Etat et de gouvernement. « Nous drainons l’humanité de sa substance vitale par la surconsommation vampirique et l’utilisation non durable que nous faisons de l’eau, et nous provoquons son évaporation en réchauffant la planète », a-t-il ajouté, s’inquiétant de l’avenir « compromis » de l’eau, pourtant « la sève de l’humanité » et « un droit humain ». (Avec AFP)


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