Valérie Tong Cuong : « L’imaginaire peut-il sauver l’humanité ? » cover
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Le Rendez-vous des Futurs

Valérie Tong Cuong : « L’imaginaire peut-il sauver l’humanité ? »

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1h00 |28/04/2020|

471

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Les réseaux sociaux et les grandes plateformes numériques nous confinent de plus en plus dans des bulles cognitives ou “bulles filtrantes”. Le champ des possibles semble se réduire à tel point que nous parlons aujourd'hui “d’effondrement des imaginaires”. La puissance des algorithmes relègue la pluralité des goûts, des avis et des vérités au second rang derrière le consensus et l’uniformisation des systèmes de croyances et de références. Or, dans cette époque charnière, où l'horizon semble bloqué et le futur remis en question, nous avons besoin, plus que jamais, d’un sursaut de nos imaginaires. L’art de la fiction, l’art du roman nous ramène devant la complexité du monde et des vérités. « L’esprit du roman, écrivait Milan Kundera est l’esprit de complexité. Chaque roman dit au lecteur : les choses sont plus compliquées que tu ne le penses ». Contre le réductionnisme, le roman pose des questions, ébranle nos certitudes, affirme la complexité des choses et des êtres, force à comprendre, à penser, à imaginer. La fiction et l’art semblent avoir un rôle capital à jouer dans notre société à ce titre qu’ils sont catalyseurs de nouveaux imaginaires et contribuent ainsi à donner à notre futur de nouvelles et riches perspectives.

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Les réseaux sociaux et les grandes plateformes numériques nous confinent de plus en plus dans des bulles cognitives ou “bulles filtrantes”. Le champ des possibles semble se réduire à tel point que nous parlons aujourd'hui “d’effondrement des imaginaires”. La puissance des algorithmes relègue la pluralité des goûts, des avis et des vérités au second rang derrière le consensus et l’uniformisation des systèmes de croyances et de références. Or, dans cette époque charnière, où l'horizon semble bloqué et le futur remis en question, nous avons besoin, plus que jamais, d’un sursaut de nos imaginaires. L’art de la fiction, l’art du roman nous ramène devant la complexité du monde et des vérités. « L’esprit du roman, écrivait Milan Kundera est l’esprit de complexité. Chaque roman dit au lecteur : les choses sont plus compliquées que tu ne le penses ». Contre le réductionnisme, le roman pose des questions, ébranle nos certitudes, affirme la complexité des choses et des êtres, force à comprendre, à penser, à imaginer. La fiction et l’art semblent avoir un rôle capital à jouer dans notre société à ce titre qu’ils sont catalyseurs de nouveaux imaginaires et contribuent ainsi à donner à notre futur de nouvelles et riches perspectives.

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