Speaker #0Fantase. Le désir est parfois aussi ironique que le destin. L'énergie que ce sous-officier athlétique et bien nourri avait sa veste et sa chemise déchirées sur son poitrail velu d'un poil ailleurs. Son pantalon pendait sur une jambe et l'autre était à même le sol. Il se révélait sale debout. Cependant, pas de crasse puante. Ses cheveux hirsutes étaient sans tout. Poivre et sel. Le poivre de ses fiers trente ans. Et le sel poussiéreux de la guerre. Il haletait l'appréhension parce que... Nous étions de camps adverses, et moi individu d'une île sous le soleil, donc de couleur, pour lui naturellement d'un être inférieur. Étrangement, a priori nous ne ressentions nulle animosité envers lui, je crois. Ni lui ni moi, la froideur attentive de qui fait son boulot, dirions-nous aujourd'hui, où je relate un instant lointain de mon existence passée. Lui n'avait plus de munitions et ignorait me concernant ainsi. Il n'empêche que le manche de mon poignard était visible et ne lui avait-on pas parlé des sauvages cannibales ? On était à l'étage d'une maison en ruine. Tout autour, la bataille avait fait rage. Puis s'était éloigné. Le silence. Nos fusils. Je me suis entraîné à son côté, avec son casque, et le mien restait fermement pointé vers lui. Et, pouce, la bagarre s'évisatrice. La bagarre, quelle bagarre ! Je la rejoins le dos rond, avec mes soixante kilos tout habillés, sur ma souple carrure de moineau, courbée, non, pas nécessité, mais pour être à son niveau, garder des fenêtres. et afin de ne pas trop l'effrayer. Mes yeux brillaient et lui disaient qu'il m'appartenait parce que j'étais entier et debout, quand lui... Ainsi c'était donc cela, un exemplaire des superbes hommes plombs qui défilaient à Berne. Ces beaux mâles crânes et brutes m'avoir fait rêver d'une main devant leur virilité. Du sang s'écoulait d'une de ses tempes et engluait ses mèches d'or sous le fur noir, son sang séché et d'un frais rouge sur son cou sali quand sa peau luisait bronzée et rose au bout d'un rayon de soleil. Souffrait-il ? Il en montrait guère les stigmates, faisait fatiguer. Lasse. Des lambeaux du tissu écarté me laissaient voir une longue estaphilade sur sa large cuisse au friseux éclair, jusqu'à la frontière de son caleçon impeccable, le propre dévêtement de corps intime des gens. Le son du désir. Pour devenir VIP du son du désir et accéder à des centaines d'histoires érotiques immersives, une seule adresse, le sondudésir.fr. Et abonnez-vous discrètement en seulement trois clics. Moi, la soukouque et lui, mal dominé. Il adoucit sa respiration pendant que je passais mes doigts en doux éventail sur son visage. Un signe d'empathie, tellement que j'allais m'enfoncer mon poignard dans son estomac. Avoir un âge similaire, bien qu'aux extrêmes des canons de la beauté des hommes tels que nous fûmes parsemés sur terre, en teintes différentes, faut tout pour faire un monde, les voies du Seigneur, n'est-ce pas, au moment de l'octroi des grâces et du commun, etc. Arme principale, je me remprêta tout, d'une main je démoutonnais les restes de sa chemise, et il se laissa aller en allongeant son anatomie de statue antique. façon imagerie d'épinal. Il s'abandonnait à ma volonté, à mon sort. Il était vraiment vaincu. Je pensais à la chèvre de M. Seguin, dont montait l'histoire, à l'école républicaine gauloise de ma lointaine brousse. Sa ceinture promptement défaite et les pans de sa braguette grand ouverts, mon fusil alors posé à distance. J'entrepris de faire glisser son pantalon afin d'examiner sa blessure, et il souleva ses hanches au bout. Je profitais de son effort pour placer sous ses fesses encore vêtues de pudeur un journal qui traînait là. M'imagina-t-il maternel en train de le préparer pour un oblate ? au mars de l'armée européenne. Pour un sacrifice tribal, sans une colombe de la paix, je maîtrisais les gestes. Servi le serviteur, allait-il penser son être plein ? Ou l'adolescent, fils d'esclave, autrefois abusé, s'il se vengeait et rendra l'appareil ? Je ne suis pas un médecin. Manifestement des dommages peu importants. Il avait aussi du sang séché sur l'aine. Mes yeux bruns fixés dans ses yeux, je ne connaissais qu'un son technique à dessus et autour de ce triste ou pauvre organe pondu de chère flasque. Malgré cela, prometteur d'appeler l'expérience, devrais-je avouer mon vu. Écoute, son pubis supportait ce magma visque noirâtre qui en collait la toison des yeux. Du fait de sa position mis-assise précédente, sa vigoureuse sève était agglutinée. J'ai passé la paume d'une langue si je voulais caresser cet endroit-là précisément. Les ventres et les... M'enquérir d'où il souffrirait le plus, sachant les cruels dégissements de ses semblables à l'entre-deux. Il ne paraissait pas davantage blessé. Hormis à sa tempe, la simple éraflure. En revanche... Il était vraiment épuisé. À ma merci. À la merci d'un cerf, puisqu'on lui avait dit et répété que, lui, il était de la race supérieure appelée à commander le monde. Mon avis, à l'inverse de ce qu'il tue, subodoré de mon sac à dos de bifin, j'ai sorti mon rasoir à l'âme et décisant. À part un coupe-coupe. Délicatement, je lui ai nettoyé le bas-ventre et ses parties génitales. J'ai mis à jour sa peau, son sexe qui grossissait au fur et à mesure de ma tectime. Ses pouces à lourdes testicules que j'avais bien soulevées, que j'ai soulevées. Soulevées ou sous-pesées ? Estimées. Sûres. Pas pour leur poids, afin d'évaluer leur fortune potentielle. Dieu que c'était doux, Dieu qu'il apprécia pendant, Dieu que ce fut bon et pour lui et pour moi, lorsque mes grosses lèvres chaudes et nos yeux d'une inquisitrice. Devenez VIP sur lesondudésir.fr. Moi, j'ai créé cette plateforme d'audio érotique pour vous, pour le plaisir des mots, de la voix et du corps. Le son du désir n'existe que par vous et grâce à vous. Alors, s'il vous plaît, je compte sur vous pour mettre un petit commentaire sur ce podcast. 5 étoiles, ce serait super. Ça compte énormément pour notre visibilité. Alors, à bientôt et merci.