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L'épopée des reporters de guerre en Indochine. Episode 2 cover
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Le Souffle de l'Histoire

L'épopée des reporters de guerre en Indochine. Episode 2

L'épopée des reporters de guerre en Indochine. Episode 2

16min |08/01/2021|

5591

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L’épopée des Reporters de Guerre en Indochine en Indochine

Ils s’appelaient Lucien Bodard, Jean Lartéguy, Max Clos, Jacques Chancel, ils étaient  correspondants de l’AFP, Pierre Norgeu, François Gall, envoyés spéciaux comme Max Olivier-Lacamp du Figaro, Robert Capa, René Vital, Serge Bromberger, Henri Amouroux hommes de lettre comme Paul Bonnecarrère, Graham Greene, Jean Hougron…

soldats de l’images, comme  Pierre Schoendorffer, Raoul Coutard (qui deviendra l’un des chef opérateur emblématique de la Nouvelle Vague) 

Il y avait parmi eux des photographes comme 

Pierre Ferrari 

Willy Rizzo .

Nous allons plonger avec ces reporters de guerre dans les rizières, naviguer sur les eaux troubles du Mékong, survoler à bord de vieux Dakota des zones de combats, arpenter les rues de Saïgon, ou de CHolon, la ville chinoise qui jouxte Saïgon, avec ses dancings, ses taxi-girls, et ses fumeries d’Opium. 

Retrouver ces correspondants de guerre pour le rituel de l’apéritif, un verre de whisky-soda en main, en terrasse du Continental Saïgon tenu par des corses, les Franchini, partager leurs conversations autour de la « guerre heureuse », tantôt des heures sombres de la guerre d’Indochine, du scandale de la Piastre, des Bourgeois qui s’engraissent et des combattants qui souffrent, qui doutent.

Ils ont couvert le choc de la RC4, la terrible débâcle de l’évacuation de Cao Bang, puis l’espoir, avec l’année de Lattre. Le roi Jean que Lucien Bodard décrira si bien.

Espoir de courte durée, marqué par cette double tragédie. La mort de Bernard de Lattre tué  à Nan Binh, le fils unique du général de Lattre, qui s’éteindra lui aussi quelques mois plus tard.

Ils vont vivre aux côtés du corps expéditionnaire, compter les exploits, et les doutes des légionnaires du BEP, ou d’autres unités mythiques...

Croiser des artilleurs, des marins, des coloniaux, des paras. Cogny, Navarre, Bigeard, Carpentier, des figures comme le capitaine Mattei (qui inspirera Paul Bonnecarrère dans “Par le Sang Versé”), le colonel Belleux du Sdece, de sacrées gueules de soldats comme l’adjudant Vandenberghe, colosse avec ses hommes en noir, qui a tout compris de la guérilla, et mènes des opérations commandos contre les positions Viets,.

Leurs récits- contournant souvent la censure- vont fasciner, on trouvera des descriptions impressionnistes et des portraits savoureux comme celui de Miss SusanTravers, ancienne chauffeur du général Koenig, et adjudant de la légion, seule femme à être jamais entrée à la légion.

Ils vont être les témoins de cette guerre lointaine, et de la tragédie du Camp retranché de Dien Bien Phu, qui tombe le 7 mai 1954 à 17h30…

Voici l’épopée des reporters de Guerre en Indochine Episode 2.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

  

L’épopée des Reporters de Guerre en Indochine en Indochine

Ils s’appelaient Lucien Bodard, Jean Lartéguy, Max Clos, Jacques Chancel, ils étaient  correspondants de l’AFP, Pierre Norgeu, François Gall, envoyés spéciaux comme Max Olivier-Lacamp du Figaro, Robert Capa, René Vital, Serge Bromberger, Henri Amouroux hommes de lettre comme Paul Bonnecarrère, Graham Greene, Jean Hougron…

soldats de l’images, comme  Pierre Schoendorffer, Raoul Coutard (qui deviendra l’un des chef opérateur emblématique de la Nouvelle Vague) 

Il y avait parmi eux des photographes comme 

Pierre Ferrari 

Willy Rizzo .

Nous allons plonger avec ces reporters de guerre dans les rizières, naviguer sur les eaux troubles du Mékong, survoler à bord de vieux Dakota des zones de combats, arpenter les rues de Saïgon, ou de CHolon, la ville chinoise qui jouxte Saïgon, avec ses dancings, ses taxi-girls, et ses fumeries d’Opium. 

Retrouver ces correspondants de guerre pour le rituel de l’apéritif, un verre de whisky-soda en main, en terrasse du Continental Saïgon tenu par des corses, les Franchini, partager leurs conversations autour de la « guerre heureuse », tantôt des heures sombres de la guerre d’Indochine, du scandale de la Piastre, des Bourgeois qui s’engraissent et des combattants qui souffrent, qui doutent.

Ils ont couvert le choc de la RC4, la terrible débâcle de l’évacuation de Cao Bang, puis l’espoir, avec l’année de Lattre. Le roi Jean que Lucien Bodard décrira si bien.

Espoir de courte durée, marqué par cette double tragédie. La mort de Bernard de Lattre tué  à Nan Binh, le fils unique du général de Lattre, qui s’éteindra lui aussi quelques mois plus tard.

Ils vont vivre aux côtés du corps expéditionnaire, compter les exploits, et les doutes des légionnaires du BEP, ou d’autres unités mythiques...

Croiser des artilleurs, des marins, des coloniaux, des paras. Cogny, Navarre, Bigeard, Carpentier, des figures comme le capitaine Mattei (qui inspirera Paul Bonnecarrère dans “Par le Sang Versé”), le colonel Belleux du Sdece, de sacrées gueules de soldats comme l’adjudant Vandenberghe, colosse avec ses hommes en noir, qui a tout compris de la guérilla, et mènes des opérations commandos contre les positions Viets,.

Leurs récits- contournant souvent la censure- vont fasciner, on trouvera des descriptions impressionnistes et des portraits savoureux comme celui de Miss SusanTravers, ancienne chauffeur du général Koenig, et adjudant de la légion, seule femme à être jamais entrée à la légion.

Ils vont être les témoins de cette guerre lointaine, et de la tragédie du Camp retranché de Dien Bien Phu, qui tombe le 7 mai 1954 à 17h30…

Voici l’épopée des reporters de Guerre en Indochine Episode 2.


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Ils s’appelaient Lucien Bodard, Jean Lartéguy, Max Clos, Jacques Chancel, ils étaient  correspondants de l’AFP, Pierre Norgeu, François Gall, envoyés spéciaux comme Max Olivier-Lacamp du Figaro, Robert Capa, René Vital, Serge Bromberger, Henri Amouroux hommes de lettre comme Paul Bonnecarrère, Graham Greene, Jean Hougron…

soldats de l’images, comme  Pierre Schoendorffer, Raoul Coutard (qui deviendra l’un des chef opérateur emblématique de la Nouvelle Vague) 

Il y avait parmi eux des photographes comme 

Pierre Ferrari 

Willy Rizzo .

Nous allons plonger avec ces reporters de guerre dans les rizières, naviguer sur les eaux troubles du Mékong, survoler à bord de vieux Dakota des zones de combats, arpenter les rues de Saïgon, ou de CHolon, la ville chinoise qui jouxte Saïgon, avec ses dancings, ses taxi-girls, et ses fumeries d’Opium. 

Retrouver ces correspondants de guerre pour le rituel de l’apéritif, un verre de whisky-soda en main, en terrasse du Continental Saïgon tenu par des corses, les Franchini, partager leurs conversations autour de la « guerre heureuse », tantôt des heures sombres de la guerre d’Indochine, du scandale de la Piastre, des Bourgeois qui s’engraissent et des combattants qui souffrent, qui doutent.

Ils ont couvert le choc de la RC4, la terrible débâcle de l’évacuation de Cao Bang, puis l’espoir, avec l’année de Lattre. Le roi Jean que Lucien Bodard décrira si bien.

Espoir de courte durée, marqué par cette double tragédie. La mort de Bernard de Lattre tué  à Nan Binh, le fils unique du général de Lattre, qui s’éteindra lui aussi quelques mois plus tard.

Ils vont vivre aux côtés du corps expéditionnaire, compter les exploits, et les doutes des légionnaires du BEP, ou d’autres unités mythiques...

Croiser des artilleurs, des marins, des coloniaux, des paras. Cogny, Navarre, Bigeard, Carpentier, des figures comme le capitaine Mattei (qui inspirera Paul Bonnecarrère dans “Par le Sang Versé”), le colonel Belleux du Sdece, de sacrées gueules de soldats comme l’adjudant Vandenberghe, colosse avec ses hommes en noir, qui a tout compris de la guérilla, et mènes des opérations commandos contre les positions Viets,.

Leurs récits- contournant souvent la censure- vont fasciner, on trouvera des descriptions impressionnistes et des portraits savoureux comme celui de Miss SusanTravers, ancienne chauffeur du général Koenig, et adjudant de la légion, seule femme à être jamais entrée à la légion.

Ils vont être les témoins de cette guerre lointaine, et de la tragédie du Camp retranché de Dien Bien Phu, qui tombe le 7 mai 1954 à 17h30…

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Ils s’appelaient Lucien Bodard, Jean Lartéguy, Max Clos, Jacques Chancel, ils étaient  correspondants de l’AFP, Pierre Norgeu, François Gall, envoyés spéciaux comme Max Olivier-Lacamp du Figaro, Robert Capa, René Vital, Serge Bromberger, Henri Amouroux hommes de lettre comme Paul Bonnecarrère, Graham Greene, Jean Hougron…

soldats de l’images, comme  Pierre Schoendorffer, Raoul Coutard (qui deviendra l’un des chef opérateur emblématique de la Nouvelle Vague) 

Il y avait parmi eux des photographes comme 

Pierre Ferrari 

Willy Rizzo .

Nous allons plonger avec ces reporters de guerre dans les rizières, naviguer sur les eaux troubles du Mékong, survoler à bord de vieux Dakota des zones de combats, arpenter les rues de Saïgon, ou de CHolon, la ville chinoise qui jouxte Saïgon, avec ses dancings, ses taxi-girls, et ses fumeries d’Opium. 

Retrouver ces correspondants de guerre pour le rituel de l’apéritif, un verre de whisky-soda en main, en terrasse du Continental Saïgon tenu par des corses, les Franchini, partager leurs conversations autour de la « guerre heureuse », tantôt des heures sombres de la guerre d’Indochine, du scandale de la Piastre, des Bourgeois qui s’engraissent et des combattants qui souffrent, qui doutent.

Ils ont couvert le choc de la RC4, la terrible débâcle de l’évacuation de Cao Bang, puis l’espoir, avec l’année de Lattre. Le roi Jean que Lucien Bodard décrira si bien.

Espoir de courte durée, marqué par cette double tragédie. La mort de Bernard de Lattre tué  à Nan Binh, le fils unique du général de Lattre, qui s’éteindra lui aussi quelques mois plus tard.

Ils vont vivre aux côtés du corps expéditionnaire, compter les exploits, et les doutes des légionnaires du BEP, ou d’autres unités mythiques...

Croiser des artilleurs, des marins, des coloniaux, des paras. Cogny, Navarre, Bigeard, Carpentier, des figures comme le capitaine Mattei (qui inspirera Paul Bonnecarrère dans “Par le Sang Versé”), le colonel Belleux du Sdece, de sacrées gueules de soldats comme l’adjudant Vandenberghe, colosse avec ses hommes en noir, qui a tout compris de la guérilla, et mènes des opérations commandos contre les positions Viets,.

Leurs récits- contournant souvent la censure- vont fasciner, on trouvera des descriptions impressionnistes et des portraits savoureux comme celui de Miss SusanTravers, ancienne chauffeur du général Koenig, et adjudant de la légion, seule femme à être jamais entrée à la légion.

Ils vont être les témoins de cette guerre lointaine, et de la tragédie du Camp retranché de Dien Bien Phu, qui tombe le 7 mai 1954 à 17h30…

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