Le podcast de Xavier Boscher cover
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Le podcast de Xavier Boscher

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Description

Je vous invite à plonger dans les coulisses de mon univers musical. Nous aborderons ensemble des sujets passionnants autour de la composition, la pratique instrumentale, la production musicale, le marketing, la promotion et la distribution.


Je suis guitariste, bassiste, claviériste et compositeur, j'ai enregistré plus de 500 titres sur plus de 60 albums.


Website : http://www.xavierboscher.com

Shop : https://xavierboscher.bandcamp.com

Tous les liens/all the links : https://li.sten.to/xavierboscher

Photo : Gérard Labully

Générique intro/outro : « Mango » de Xavier Boscher


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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16 episodes

4 playlists

    Season 1

  • L’œuvre avant tout : pourquoi la musique doit rester au centre de la carrière d’un artiste cover
    L’œuvre avant tout : pourquoi la musique doit rester au centre de la carrière d’un artiste cover
    L’œuvre avant tout : pourquoi la musique doit rester au centre de la carrière d’un artiste

    Dans le tourbillon de l’industrie musicale actuelle, il est facile de perdre de vue l’essentiel. Les réseaux sociaux, les clips, les looks travaillés et les slogans chocs accaparent l’attention. On partage des photos, on soigne des stories, on scrute les chiffres de streams… Et parfois, on en oublie que la raison d’être d’un musicien, c’est avant tout de créer de la musique. Dans un monde où la visibilité est devenue une monnaie, l’œuvre, elle, reste la véritable valeur. Quand on parle d’“œuvre”, il ne s’agit pas seulement d’un enchaînement de chansons. C’est un univers : une cohérence sonore, un ton, une sensibilité, un fil rouge qui traverse chaque morceau. C’est ce qui permet à un artiste de raconter quelque chose au-delà des notes — de transmettre une émotion, une vision du monde, une identité. Les modes passent, mais une œuvre bien construite survit. Les chansons de Jacques Brel, David Bowie, Nina Simone ou Nirvana continuent de toucher des millions d’auditeurs, parfois plusieurs générations après leur création. Pourquoi ? Parce qu’elles ne reposent pas sur une tendance visuelle ou un coup marketing, mais sur une substance artistique forte. Quand on parle d’“œuvre”, il ne s’agit pas seulement d’un enchaînement de chansons. C’est un univers : une cohérence sonore, un ton, une sensibilité, un fil rouge qui traverse chaque morceau. C’est ce qui permet à un artiste de raconter quelque chose au-delà des notes — de transmettre une émotion, une vision du monde, une identité. Les modes passent, mais une œuvre bien construite survit. Les chansons de Jacques Brel, David Bowie, Nina Simone ou Nirvana continuent de toucher des millions d’auditeurs, parfois plusieurs générations après leur création. Pourquoi ? Parce qu’elles ne reposent pas sur une tendance visuelle ou un coup marketing, mais sur une substance artistique forte. Analyse musicale réflexion interviews d'artistes podcast musique Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    04min | Published on December 18, 2025

  • L’ère des vidéos et du contenu facile à consommer : quand les algorithmes nous rendent "putaclic" (tiktok, youtube...) cover
    L’ère des vidéos et du contenu facile à consommer : quand les algorithmes nous rendent "putaclic" (tiktok, youtube...) cover
    L’ère des vidéos et du contenu facile à consommer : quand les algorithmes nous rendent "putaclic" (tiktok, youtube...)

    L’époque que nous vivons pourrait se résumer à une image : celle d’un doigt qui scrolle, indéfiniment, hypnotisé par des contenus qui s’enchaînent à la vitesse d’un battement de cil. TikTok, Instagram Reels, YouTube Shorts, ou encore les suggestions instantanées des plateformes de streaming… Partout, les vidéos se raccourcissent et se multiplient, à l’image de notre temps d’attention. Nous sommes entrés dans l’ère du contenu facile à consommer, formaté, calibré par des algorithmes invisibles qui décident, non seulement de ce que nous regardons, mais de ce que nous pensons. Ou du moins, de la manière dont nous pensons. Mais comment en est-on arrivé-là ? Pourquoi les titres racoleurs, les réactions outrées, ou les contenus tape-à-l’œil dominent-ils nos écrans ? Sommes-nous devenus, en quelque sorte, les otages consentants d'une économie de l’attention qui nous dépasse ? Tentons de décoder ensemble cette nouvelle ère médiatique. Plus que jamais, l’image est reine. Une image rapide, accessible, souvent accompagnée de musique, de titres accrocheurs et d’émotions fortes. En quelques années, les plateformes de vidéos courtes ont reconfiguré la manière dont nous consommons l’information, nous divertissons, apprenons ou échangeons. Alors qu’autrefois YouTube représentait déjà une révolution en matière de contenu vidéo, TikTok a terminé de faire exploser les barrières : là où une vidéo de 10 minutes paraissait courte, une minute est désormais un format long. L’immédiateté a pris le dessus. Et si l’on devait résumer la philosophie implicite de cette nouvelle ère, une seule phrase suffirait : « Capte mon attention tout de suite, sinon je passe. » Le créateur n’a plus 10 secondes pour séduire : il en a 1. Ce changement radical n’est pas seulement une mode : il découle d’un système bien huilé, celui de l’économie de l’attention... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) composition musicale, production musicale, distribution, interviews d'artistes, TikTok, analyse musicale, réflexion musicale, autoproduction, music business, réseaux sociaux Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    07min | Published on December 15, 2025

  • L’éternel émerveillement musical cover
    L’éternel émerveillement musical cover
    L’éternel émerveillement musical

    Il y a des moments dans la vie où l’on a l’impression de franchir un seuil invisible. Pour moi, ce fut à l’adolescence, lorsque j’ai plongé dans l’univers du Metal. Je me souviens encore du choc en entendant pour la première fois les riffs rageurs de Guns N’ Roses, la puissance écrasante de Metallica, l’énergie guerrière d’Iron Maiden, ou encore la virtuosité sombre de Megadeth. Chaque groupe était une porte d’entrée vers un monde nouveau. De fil en aiguille, la curiosité m’a guidé vers les sous-genres : le heavy metal qui posait les fondations, le thrash metalqui accélère et mord, le techno-thrash pour les initiés, et bientôt le death metal avec sa noirceur viscérale. Puis vinrent les rivages plus aventureux du progressif, où la technique se met au service de l’imagination. À chaque fois, c’était comme ouvrir un livre d’images sonores, feuilleter album après album, explorer une discographie, apprendre une biographie. Chaque découverte était une pépite, et je me jetais dessus avec la ferveur d’un explorateur découvrant un continent inconnu. Mais il arrive que, dans cette quête, un album se détache, comme une balise lumineuse. Pour moi, ce fut Focus du groupe Cynic. Ce disque reste, encore aujourd’hui, mon préféré de tous les temps. Il incarnait quelque chose de singulier : un death technique qui s’ouvrait sans complexe au jazz-rock, au new-age, à des atmosphères presque spirituelles. J’ai compris à ce moment-là qu’un style n’est jamais une cage, mais une constellation : les influences se croisent, se nourrissent, se réinventent. Cet album fut une révélation, un appel. Le jazz, je le pressentais déjà, finirait par occuper une place centrale dans ma vie. J’avais exploré le jazz fusion – Return to Forever, Weather Report, Uzeb – et je m’étais laissé envoûter par le jazz modal de Miles Davis. Mais depuis quelques années, mon plaisir est ailleurs : dans les vieux standards, dans les morceaux qui semblent à la fois simples et infiniment riches, dans les improvisations qui réinventent chaque fois le même thème. C’est comme redécouvrir la même histoire, racontée par une infinité de voix différentes... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) jazz rock metal new age fusion death metal thrash technique instrumental Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on December 11, 2025

  • SPEDIDAM : pourquoi chaque musicien interprète doit déclarer ses œuvres cover
    SPEDIDAM : pourquoi chaque musicien interprète doit déclarer ses œuvres cover
    SPEDIDAM : pourquoi chaque musicien interprète doit déclarer ses œuvres

    Lorsqu’on est musicien interprète et qu’on enregistre des albums ou participe à des projets musicaux, il est facile de se concentrer sur la création et de négliger les aspects administratifs. Pourtant, déclarer vos œuvres à la SPEDIDAM est essentiel pour percevoir les droits qui vous reviennent. Mais qu’est-ce que la SPEDIDAM exactement, quels sont ses avantages et ses limites, et pourquoi est-il crucial de déclarer chaque enregistrement ? Décortiquons tout cela. Lorsqu’on est musicien interprète et qu’on enregistre des albums ou participe à des projets musicaux, il est facile de se concentrer sur la création et de négliger les aspects administratifs. Pourtant, déclarer vos œuvres à la SPEDIDAM est essentiel pour percevoir les droits qui vous reviennent. Mais qu’est-ce que la SPEDIDAM exactement, quels sont ses avantages et ses limites, et pourquoi est-il crucial de déclarer chaque enregistrement ? Décortiquons tout cela... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    05min | Published on December 8, 2025

  • Rencontre avec Bruno Karnel : Entre textures et émotions cover
    Rencontre avec Bruno Karnel : Entre textures et émotions cover
    Rencontre avec Bruno Karnel : Entre textures et émotions

    Dans cet épisode, je pars à la rencontre de Bruno Karnel, artiste inclassable et explorateur sonore dont l’univers mêle poésie, atmosphères cinématographiques et expérimentations musicales. Ensemble, on revient sur son parcours atypique, ses influences, son rapport à la création et cette quête permanente d’émotions vraies à travers la musique. Au fil de la discussion, Bruno partage sa vision de l’art comme espace de liberté, ses méthodes de composition, ses projets en cours et les réflexions qui nourrissent son travail. Une conversation sincère, inspirante, parfois surprenante, où l’on découvre un musicien passionné, profondément humain, et toujours en mouvement. Liens : https://www.brunokarnel.com/ https://open.spotify.com/intl-fr/artist/3zDYYKokWbBkltgNTloeVp https://www.facebook.com/brunokarnelmusic https://www.instagram.com/brunok.hq/# Album "Villa Solitude" : https://bitumeprods.bandcamp.com/album/villa-solitude Abstrakt Lake : https://abstraktlake.bandcamp.com/music Collaborateurs / collaboratrices : Basile Combes / Florent Morel : https://www.instagram.com/dislimn.band/ https://www.youtube.com/watch?v=WIV5BeTz4Z0 Artem Litovchenko : https://www.youtube.com/@artemlitovchenkomusic Polina Faustova : https://www.youtube.com/watch?v=tWIY52aHCFA Ella Yevtouchenko (poétesse et traductrice ) : https://www.editions-brunodoucey.com/search?q=ella+yevtouchenko Influences : Kamaniu Silelis : https://www.youtube.com/user/kamaniusilelis A Noend of Mine : https://www.youtube.com/watch?v=tN4SnpVIpBo Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    51min | Published on December 4, 2025

  • Nous ne possédons plus rien : l’abonnement nous vole notre culture, nos outils et notre autonomie ! cover
    Nous ne possédons plus rien : l’abonnement nous vole notre culture, nos outils et notre autonomie ! cover
    Nous ne possédons plus rien : l’abonnement nous vole notre culture, nos outils et notre autonomie !

    Il y a encore dix ou quinze ans, acheter un film, un album en MP3, un logiciel ou un plug-in était un acte simple : on payait, on téléchargeait, on possédait. Aujourd’hui, ce monde est en train de disparaître sous nos yeux. Silencieusement, l’industrie culturelle et numérique nous a glissé dans une nouvelle logique : on ne possède plus rien. On loue tout. Ce glissement n’est pas anodin : c’est peut-être le plus grand bouleversement de la culture numérique depuis l’invention du MP3. Et il est temps d’ouvrir les yeux. Les géants de la tech ont d’abord présenté l’abonnement comme la solution miracle : accès illimité prix mensuel modeste mises à jour automatiques partage sur plusieurs appareils Sur le papier, c’est séduisant. Dans la pratique, c’est un enchaînement volontaire, parfaitement huilé. Un système où l’on échange sa liberté contre du confort. Où l’on renonce à la propriété en échange d’un accès temporaire. Où l’on devient dépendant de services que l’on ne contrôle pas. Car derrière la promesse de “tout, tout le temps”, il y a une réalité brutale : l’abonnement n’est pas un achat. C’est un loyer. Et dans un loyer, le propriétaire… ce n’est jamais vous. Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on December 1, 2025

  • Playlists : le grand mensonge du streaming cover
    Playlists : le grand mensonge du streaming cover
    Playlists : le grand mensonge du streaming

    Depuis l’explosion du streaming, on nous répète que les playlists sont devenues la nouvelle radio. Être placé dans la bonne sélection Spotify, Deezer ou Apple Music serait le Graal absolu pour un artiste indépendant : un tremplin vers la visibilité, la découverte et pourquoi pas la carrière. Les plateformes en font un argument marketing : « Nous aidons les artistes émergents à être entendus. » Mais derrière ces promesses de découvertes équitables se cache une réalité beaucoup plus sombre. Playlists éditoriales inaccessibles, playlisters privés qui monnayent leur influence, fausses écoutes générées par des bots : le système des playlists ressemble moins à une chance pour tous qu’à une loterie truquée, voire à un business douteux. Spotify et consorts proposent aux artistes de soumettre leurs titres aux équipes éditoriales via leur interface. En théorie, chaque chanson envoyée a une chance d’être écoutée, puis retenue pour intégrer une playlist officielle. En pratique, les portes restent closes pour la grande majorité des indépendants. Face à ce verrouillage, un autre marché s’est développé : celui des playlists indépendantes. Des particuliers créent des sélections populaires (quelques milliers à quelques centaines de milliers d’abonnés) et acceptent d’y placer des titres d’artistes… moyennant paiement... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    05min | Published on November 27, 2025

  • Comment naît une chanson : explorer les multiples chemins de la composition musicale cover
    Comment naît une chanson : explorer les multiples chemins de la composition musicale cover
    Comment naît une chanson : explorer les multiples chemins de la composition musicale

    La composition musicale est un véritable voyage. Chaque morceau naît d’une idée, d’un geste, d’une émotion, et l’endroit où il nous emmène est souvent imprévisible. C’est ce qui rend la création si fascinante : on part d’un point précis, et l’on finit par explorer des territoires sonores qu’on n’aurait jamais imaginés. Il existe mille façons d’aborder la composition. Certains musiciens commencent par un texte, une histoire ou une émotion qu’ils cherchent à traduire en musique. D’autres partent d’une mélodie, d’un motif vocal ou instrumental qui devient le fil conducteur du morceau. Certains, enfin, bâtissent leur univers autour d’une rythmique, d’un groove, ou même d’un simple son. Beaucoup de compositeurs — notamment dans la pop ou la musique de film — commencent par une mélodie. Une ligne chantée, sifflée, enregistrée à la volée sur un téléphone… c’est souvent dans ces moments d’inspiration brute que naissent les thèmes les plus marquants. L’harmonie vient ensuite donner du relief, du contraste, ou de la profondeur à cette première idée mélodique. Quel que soit le point de départ, le processus de composition suit souvent une même logique : on part d’une graine, d’un fragment d’idée, et on la fait pousser... Composer, c’est un peu comme explorer un monde inconnu à chaque morceau. On part d’une étincelle et, au fil des couches, des essais et des découvertes, la musique prend vie. Parfois, on a l’impression d’être guidé par elle. Le résultat final est souvent loin de ce qu’on avait imaginé — et c’est précisément ce mystère, ce déplacement, qui donne envie de recommencer encore et encore. La composition n’est pas seulement un acte technique : c’est un miroir de ce que nous sommes à un instant donné. Chaque morceau raconte, d’une certaine manière, notre propre voyage intérieur... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) musicien, marketing musical, réflexion, distribution musicale, podcast, analyse musicale, interviews d'artistes, production musicale Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    04min | Published on November 24, 2025

  • Rencontre avec Erewän pour la sortie de son nouvel album "Soul is the Key" cover
    Rencontre avec Erewän pour la sortie de son nouvel album "Soul is the Key" cover
    Rencontre avec Erewän pour la sortie de son nouvel album "Soul is the Key"

    J'ai rencontré Erewän, un talentueux auteur-compositeur-interprète de la région niçoise qui nous parle de son nouvel album "Soul is the Key" mais également de ses influences, de son chemin et de ses aspirations. Facebook perso : https://www.facebook.com/erewan.mcrain?locale=fr_FR Facebook : https://www.facebook.com/Erewanproject/ Bandcamp : https://erewan.bandcamp.com/album/soul-is-the-key Youtube : https://www.youtube.com/@Rees0621 Shop : https://ftf-shop.com/product/erewan-soul-is-the-key/ Alexandre Lamia (réalisateur, arrangeur, guitariste, pianiste etc…) : Facebook : https://www.facebook.com/share/19yHJhdR8P/?mibextid=wwXIfr YouTube : https://youtube.com/@alexlamia?si=uih5LLhxCRSbPZWg Dothy Lorens (chanteuse) : YouTube : https://youtube.com/@dothylorens5208?si=_4l4fi-w7nGnCo7J Florent Dubreuil (photographe) : Amazon : https://www.amazon.fr/stores/author/B07CTVPN3S Instagram : https://www.instagram.com/flodubreuil/ interviews d'artistes, production musicale, distribution musicale, erewän, analyse musicale Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    52min | Published on November 20, 2025

  • Les chocs esthétiques cover
    Les chocs esthétiques cover
    Les chocs esthétiques

    (Fragments d’un itinéraire musical et mystique) Il existe des instants où la musique ne s’écoute plus : elle nous traverse. Elle ne résonne pas dans nos oreilles, mais dans tout notre être. Ces instants-là, je les appelle les chocs esthétiques. Des rencontres fulgurantes qui deviennent des influences des éveils de conscience où le son devient une lumière intérieure. Ce sont eux qui ont façonné le musicien — et l’homme — que je suis devenu. Tout a commencé dans le salon de mon enfance, autour d’un piano. Ma mère, professeure de piano, était ma première prêtresse du son. Sous ses doigts, le monde s’ouvrait : Chopin, Beethoven, Schubert... J’étais trop jeune pour comprendre la structure, mais je sentais déjà la vérité de ces notes — leur façon d’habiter l’air, de raconter sans mots ce que l’âme seule devine. Le romantisme fut ma première langue intérieure. Avec Chopin, j’ai appris la fragilité du souffle ; avec Beethoven, la tempête du cœur ; avec Schubert, la lumière douce de la résignation. Cette musique, à la fois humaine et divine, m’a initié à l’émotion pure, à cette tension entre beauté et douleur qui ne m’a jamais quitté. Quelques années plus tard, à l’université, un autre choc me frappa. J’étais en première année de musicologie à la Sorbonne lorsque j’ai chanté le Requiem de Mozart dans le Grand Amphithéâtre, avec le Grand Chœur. La voûte résonnait, les voix se mêlaient, et j’ai senti — pour la première fois peut-être — que la musique pouvait ouvrir un passage vers le sacré. Mozart, c’est la clarté absolue traversée de mystère. Sa musique ne se contente pas de consoler : elle élève. Ce soir-là, chaque note semblait prier. Et dans ce dialogue entre la vie et la mort, j’ai compris que la musique n’est pas un langage : c’est une prière qui s’ignore. Puis vint l’adolescence, et avec elle, la foudre. À quatorze ans, j’ai découvert le Metal. Le son saturé, la violence maîtrisée, les solos flamboyants. Ce n’était plus la caresse des pianos, mais la morsure électrique de guitares hurlantes. Megadeth, avec Marty Friedman, m’a révélé la virtuosité en fusion. Metallica, dans ses premiers albums, la rigueur et l’élan tragique. Iron Maiden, le souffle épique et narratif. Puis j’ai plongé dans le Death Metal technique, avec Death et Cynic — un labyrinthe de rythmes et d’idées, où chaque mesure défiait la logique, une de mes plus grandes influences. Dream Theater m’a ouvert les portes du progressif, de cette liberté architecturale où tout est possible. Là, j’ai découvert la beauté du son fretless, le velours fluide de la basse sans frettes, et le timbre limpide du Roland Jazz Chorus. Les synthés m’ont révélé la richesse des textures sonores — un autre cosmos à explorer. Et puis, il y eut une autre révélation : la guitare instrumentale. Joe Satriani et Steve Vai furent mes nouveaux guides, et quelles influences ? Satriani, avec son jeu fluide et ses mélodies chantantes, m’a appris la narration par le son : chaque morceau semblait une histoire sans paroles. Vai, lui, était le magicien du timbre, un alchimiste sonore capable de transformer la guitare en créature vivante. Entre la rigueur technique et la démesure expressive, ils ont élevé la guitare au rang d’instrument spirituel. À travers eux, j’ai compris qu’un instrument pouvait parler — non pas à l’intellect, mais directement à l’âme. C’était ma rébellion, mais aussi ma première quête sonore : comprendre comment le chaos peut devenir beauté. podcast musical réussite marketing Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on November 17, 2025

  • 1
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    Season 1

  • L’œuvre avant tout : pourquoi la musique doit rester au centre de la carrière d’un artiste cover
    L’œuvre avant tout : pourquoi la musique doit rester au centre de la carrière d’un artiste cover
    L’œuvre avant tout : pourquoi la musique doit rester au centre de la carrière d’un artiste

    Dans le tourbillon de l’industrie musicale actuelle, il est facile de perdre de vue l’essentiel. Les réseaux sociaux, les clips, les looks travaillés et les slogans chocs accaparent l’attention. On partage des photos, on soigne des stories, on scrute les chiffres de streams… Et parfois, on en oublie que la raison d’être d’un musicien, c’est avant tout de créer de la musique. Dans un monde où la visibilité est devenue une monnaie, l’œuvre, elle, reste la véritable valeur. Quand on parle d’“œuvre”, il ne s’agit pas seulement d’un enchaînement de chansons. C’est un univers : une cohérence sonore, un ton, une sensibilité, un fil rouge qui traverse chaque morceau. C’est ce qui permet à un artiste de raconter quelque chose au-delà des notes — de transmettre une émotion, une vision du monde, une identité. Les modes passent, mais une œuvre bien construite survit. Les chansons de Jacques Brel, David Bowie, Nina Simone ou Nirvana continuent de toucher des millions d’auditeurs, parfois plusieurs générations après leur création. Pourquoi ? Parce qu’elles ne reposent pas sur une tendance visuelle ou un coup marketing, mais sur une substance artistique forte. Quand on parle d’“œuvre”, il ne s’agit pas seulement d’un enchaînement de chansons. C’est un univers : une cohérence sonore, un ton, une sensibilité, un fil rouge qui traverse chaque morceau. C’est ce qui permet à un artiste de raconter quelque chose au-delà des notes — de transmettre une émotion, une vision du monde, une identité. Les modes passent, mais une œuvre bien construite survit. Les chansons de Jacques Brel, David Bowie, Nina Simone ou Nirvana continuent de toucher des millions d’auditeurs, parfois plusieurs générations après leur création. Pourquoi ? Parce qu’elles ne reposent pas sur une tendance visuelle ou un coup marketing, mais sur une substance artistique forte. Analyse musicale réflexion interviews d'artistes podcast musique Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    04min | Published on December 18, 2025

  • L’ère des vidéos et du contenu facile à consommer : quand les algorithmes nous rendent "putaclic" (tiktok, youtube...) cover
    L’ère des vidéos et du contenu facile à consommer : quand les algorithmes nous rendent "putaclic" (tiktok, youtube...) cover
    L’ère des vidéos et du contenu facile à consommer : quand les algorithmes nous rendent "putaclic" (tiktok, youtube...)

    L’époque que nous vivons pourrait se résumer à une image : celle d’un doigt qui scrolle, indéfiniment, hypnotisé par des contenus qui s’enchaînent à la vitesse d’un battement de cil. TikTok, Instagram Reels, YouTube Shorts, ou encore les suggestions instantanées des plateformes de streaming… Partout, les vidéos se raccourcissent et se multiplient, à l’image de notre temps d’attention. Nous sommes entrés dans l’ère du contenu facile à consommer, formaté, calibré par des algorithmes invisibles qui décident, non seulement de ce que nous regardons, mais de ce que nous pensons. Ou du moins, de la manière dont nous pensons. Mais comment en est-on arrivé-là ? Pourquoi les titres racoleurs, les réactions outrées, ou les contenus tape-à-l’œil dominent-ils nos écrans ? Sommes-nous devenus, en quelque sorte, les otages consentants d'une économie de l’attention qui nous dépasse ? Tentons de décoder ensemble cette nouvelle ère médiatique. Plus que jamais, l’image est reine. Une image rapide, accessible, souvent accompagnée de musique, de titres accrocheurs et d’émotions fortes. En quelques années, les plateformes de vidéos courtes ont reconfiguré la manière dont nous consommons l’information, nous divertissons, apprenons ou échangeons. Alors qu’autrefois YouTube représentait déjà une révolution en matière de contenu vidéo, TikTok a terminé de faire exploser les barrières : là où une vidéo de 10 minutes paraissait courte, une minute est désormais un format long. L’immédiateté a pris le dessus. Et si l’on devait résumer la philosophie implicite de cette nouvelle ère, une seule phrase suffirait : « Capte mon attention tout de suite, sinon je passe. » Le créateur n’a plus 10 secondes pour séduire : il en a 1. Ce changement radical n’est pas seulement une mode : il découle d’un système bien huilé, celui de l’économie de l’attention... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) composition musicale, production musicale, distribution, interviews d'artistes, TikTok, analyse musicale, réflexion musicale, autoproduction, music business, réseaux sociaux Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    07min | Published on December 15, 2025

  • L’éternel émerveillement musical cover
    L’éternel émerveillement musical cover
    L’éternel émerveillement musical

    Il y a des moments dans la vie où l’on a l’impression de franchir un seuil invisible. Pour moi, ce fut à l’adolescence, lorsque j’ai plongé dans l’univers du Metal. Je me souviens encore du choc en entendant pour la première fois les riffs rageurs de Guns N’ Roses, la puissance écrasante de Metallica, l’énergie guerrière d’Iron Maiden, ou encore la virtuosité sombre de Megadeth. Chaque groupe était une porte d’entrée vers un monde nouveau. De fil en aiguille, la curiosité m’a guidé vers les sous-genres : le heavy metal qui posait les fondations, le thrash metalqui accélère et mord, le techno-thrash pour les initiés, et bientôt le death metal avec sa noirceur viscérale. Puis vinrent les rivages plus aventureux du progressif, où la technique se met au service de l’imagination. À chaque fois, c’était comme ouvrir un livre d’images sonores, feuilleter album après album, explorer une discographie, apprendre une biographie. Chaque découverte était une pépite, et je me jetais dessus avec la ferveur d’un explorateur découvrant un continent inconnu. Mais il arrive que, dans cette quête, un album se détache, comme une balise lumineuse. Pour moi, ce fut Focus du groupe Cynic. Ce disque reste, encore aujourd’hui, mon préféré de tous les temps. Il incarnait quelque chose de singulier : un death technique qui s’ouvrait sans complexe au jazz-rock, au new-age, à des atmosphères presque spirituelles. J’ai compris à ce moment-là qu’un style n’est jamais une cage, mais une constellation : les influences se croisent, se nourrissent, se réinventent. Cet album fut une révélation, un appel. Le jazz, je le pressentais déjà, finirait par occuper une place centrale dans ma vie. J’avais exploré le jazz fusion – Return to Forever, Weather Report, Uzeb – et je m’étais laissé envoûter par le jazz modal de Miles Davis. Mais depuis quelques années, mon plaisir est ailleurs : dans les vieux standards, dans les morceaux qui semblent à la fois simples et infiniment riches, dans les improvisations qui réinventent chaque fois le même thème. C’est comme redécouvrir la même histoire, racontée par une infinité de voix différentes... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) jazz rock metal new age fusion death metal thrash technique instrumental Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on December 11, 2025

  • SPEDIDAM : pourquoi chaque musicien interprète doit déclarer ses œuvres cover
    SPEDIDAM : pourquoi chaque musicien interprète doit déclarer ses œuvres cover
    SPEDIDAM : pourquoi chaque musicien interprète doit déclarer ses œuvres

    Lorsqu’on est musicien interprète et qu’on enregistre des albums ou participe à des projets musicaux, il est facile de se concentrer sur la création et de négliger les aspects administratifs. Pourtant, déclarer vos œuvres à la SPEDIDAM est essentiel pour percevoir les droits qui vous reviennent. Mais qu’est-ce que la SPEDIDAM exactement, quels sont ses avantages et ses limites, et pourquoi est-il crucial de déclarer chaque enregistrement ? Décortiquons tout cela. Lorsqu’on est musicien interprète et qu’on enregistre des albums ou participe à des projets musicaux, il est facile de se concentrer sur la création et de négliger les aspects administratifs. Pourtant, déclarer vos œuvres à la SPEDIDAM est essentiel pour percevoir les droits qui vous reviennent. Mais qu’est-ce que la SPEDIDAM exactement, quels sont ses avantages et ses limites, et pourquoi est-il crucial de déclarer chaque enregistrement ? Décortiquons tout cela... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    05min | Published on December 8, 2025

  • Rencontre avec Bruno Karnel : Entre textures et émotions cover
    Rencontre avec Bruno Karnel : Entre textures et émotions cover
    Rencontre avec Bruno Karnel : Entre textures et émotions

    Dans cet épisode, je pars à la rencontre de Bruno Karnel, artiste inclassable et explorateur sonore dont l’univers mêle poésie, atmosphères cinématographiques et expérimentations musicales. Ensemble, on revient sur son parcours atypique, ses influences, son rapport à la création et cette quête permanente d’émotions vraies à travers la musique. Au fil de la discussion, Bruno partage sa vision de l’art comme espace de liberté, ses méthodes de composition, ses projets en cours et les réflexions qui nourrissent son travail. Une conversation sincère, inspirante, parfois surprenante, où l’on découvre un musicien passionné, profondément humain, et toujours en mouvement. Liens : https://www.brunokarnel.com/ https://open.spotify.com/intl-fr/artist/3zDYYKokWbBkltgNTloeVp https://www.facebook.com/brunokarnelmusic https://www.instagram.com/brunok.hq/# Album "Villa Solitude" : https://bitumeprods.bandcamp.com/album/villa-solitude Abstrakt Lake : https://abstraktlake.bandcamp.com/music Collaborateurs / collaboratrices : Basile Combes / Florent Morel : https://www.instagram.com/dislimn.band/ https://www.youtube.com/watch?v=WIV5BeTz4Z0 Artem Litovchenko : https://www.youtube.com/@artemlitovchenkomusic Polina Faustova : https://www.youtube.com/watch?v=tWIY52aHCFA Ella Yevtouchenko (poétesse et traductrice ) : https://www.editions-brunodoucey.com/search?q=ella+yevtouchenko Influences : Kamaniu Silelis : https://www.youtube.com/user/kamaniusilelis A Noend of Mine : https://www.youtube.com/watch?v=tN4SnpVIpBo Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    51min | Published on December 4, 2025

  • Nous ne possédons plus rien : l’abonnement nous vole notre culture, nos outils et notre autonomie ! cover
    Nous ne possédons plus rien : l’abonnement nous vole notre culture, nos outils et notre autonomie ! cover
    Nous ne possédons plus rien : l’abonnement nous vole notre culture, nos outils et notre autonomie !

    Il y a encore dix ou quinze ans, acheter un film, un album en MP3, un logiciel ou un plug-in était un acte simple : on payait, on téléchargeait, on possédait. Aujourd’hui, ce monde est en train de disparaître sous nos yeux. Silencieusement, l’industrie culturelle et numérique nous a glissé dans une nouvelle logique : on ne possède plus rien. On loue tout. Ce glissement n’est pas anodin : c’est peut-être le plus grand bouleversement de la culture numérique depuis l’invention du MP3. Et il est temps d’ouvrir les yeux. Les géants de la tech ont d’abord présenté l’abonnement comme la solution miracle : accès illimité prix mensuel modeste mises à jour automatiques partage sur plusieurs appareils Sur le papier, c’est séduisant. Dans la pratique, c’est un enchaînement volontaire, parfaitement huilé. Un système où l’on échange sa liberté contre du confort. Où l’on renonce à la propriété en échange d’un accès temporaire. Où l’on devient dépendant de services que l’on ne contrôle pas. Car derrière la promesse de “tout, tout le temps”, il y a une réalité brutale : l’abonnement n’est pas un achat. C’est un loyer. Et dans un loyer, le propriétaire… ce n’est jamais vous. Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on December 1, 2025

  • Playlists : le grand mensonge du streaming cover
    Playlists : le grand mensonge du streaming cover
    Playlists : le grand mensonge du streaming

    Depuis l’explosion du streaming, on nous répète que les playlists sont devenues la nouvelle radio. Être placé dans la bonne sélection Spotify, Deezer ou Apple Music serait le Graal absolu pour un artiste indépendant : un tremplin vers la visibilité, la découverte et pourquoi pas la carrière. Les plateformes en font un argument marketing : « Nous aidons les artistes émergents à être entendus. » Mais derrière ces promesses de découvertes équitables se cache une réalité beaucoup plus sombre. Playlists éditoriales inaccessibles, playlisters privés qui monnayent leur influence, fausses écoutes générées par des bots : le système des playlists ressemble moins à une chance pour tous qu’à une loterie truquée, voire à un business douteux. Spotify et consorts proposent aux artistes de soumettre leurs titres aux équipes éditoriales via leur interface. En théorie, chaque chanson envoyée a une chance d’être écoutée, puis retenue pour intégrer une playlist officielle. En pratique, les portes restent closes pour la grande majorité des indépendants. Face à ce verrouillage, un autre marché s’est développé : celui des playlists indépendantes. Des particuliers créent des sélections populaires (quelques milliers à quelques centaines de milliers d’abonnés) et acceptent d’y placer des titres d’artistes… moyennant paiement... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    05min | Published on November 27, 2025

  • Comment naît une chanson : explorer les multiples chemins de la composition musicale cover
    Comment naît une chanson : explorer les multiples chemins de la composition musicale cover
    Comment naît une chanson : explorer les multiples chemins de la composition musicale

    La composition musicale est un véritable voyage. Chaque morceau naît d’une idée, d’un geste, d’une émotion, et l’endroit où il nous emmène est souvent imprévisible. C’est ce qui rend la création si fascinante : on part d’un point précis, et l’on finit par explorer des territoires sonores qu’on n’aurait jamais imaginés. Il existe mille façons d’aborder la composition. Certains musiciens commencent par un texte, une histoire ou une émotion qu’ils cherchent à traduire en musique. D’autres partent d’une mélodie, d’un motif vocal ou instrumental qui devient le fil conducteur du morceau. Certains, enfin, bâtissent leur univers autour d’une rythmique, d’un groove, ou même d’un simple son. Beaucoup de compositeurs — notamment dans la pop ou la musique de film — commencent par une mélodie. Une ligne chantée, sifflée, enregistrée à la volée sur un téléphone… c’est souvent dans ces moments d’inspiration brute que naissent les thèmes les plus marquants. L’harmonie vient ensuite donner du relief, du contraste, ou de la profondeur à cette première idée mélodique. Quel que soit le point de départ, le processus de composition suit souvent une même logique : on part d’une graine, d’un fragment d’idée, et on la fait pousser... Composer, c’est un peu comme explorer un monde inconnu à chaque morceau. On part d’une étincelle et, au fil des couches, des essais et des découvertes, la musique prend vie. Parfois, on a l’impression d’être guidé par elle. Le résultat final est souvent loin de ce qu’on avait imaginé — et c’est précisément ce mystère, ce déplacement, qui donne envie de recommencer encore et encore. La composition n’est pas seulement un acte technique : c’est un miroir de ce que nous sommes à un instant donné. Chaque morceau raconte, d’une certaine manière, notre propre voyage intérieur... Retrouvez la suite de l'article sur mon blog : https://www.xavierboscher.com/fr/blog/ (https://www.xavierboscher.com/fr/blog/) musicien, marketing musical, réflexion, distribution musicale, podcast, analyse musicale, interviews d'artistes, production musicale Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    04min | Published on November 24, 2025

  • Rencontre avec Erewän pour la sortie de son nouvel album "Soul is the Key" cover
    Rencontre avec Erewän pour la sortie de son nouvel album "Soul is the Key" cover
    Rencontre avec Erewän pour la sortie de son nouvel album "Soul is the Key"

    J'ai rencontré Erewän, un talentueux auteur-compositeur-interprète de la région niçoise qui nous parle de son nouvel album "Soul is the Key" mais également de ses influences, de son chemin et de ses aspirations. Facebook perso : https://www.facebook.com/erewan.mcrain?locale=fr_FR Facebook : https://www.facebook.com/Erewanproject/ Bandcamp : https://erewan.bandcamp.com/album/soul-is-the-key Youtube : https://www.youtube.com/@Rees0621 Shop : https://ftf-shop.com/product/erewan-soul-is-the-key/ Alexandre Lamia (réalisateur, arrangeur, guitariste, pianiste etc…) : Facebook : https://www.facebook.com/share/19yHJhdR8P/?mibextid=wwXIfr YouTube : https://youtube.com/@alexlamia?si=uih5LLhxCRSbPZWg Dothy Lorens (chanteuse) : YouTube : https://youtube.com/@dothylorens5208?si=_4l4fi-w7nGnCo7J Florent Dubreuil (photographe) : Amazon : https://www.amazon.fr/stores/author/B07CTVPN3S Instagram : https://www.instagram.com/flodubreuil/ interviews d'artistes, production musicale, distribution musicale, erewän, analyse musicale Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    52min | Published on November 20, 2025

  • Les chocs esthétiques cover
    Les chocs esthétiques cover
    Les chocs esthétiques

    (Fragments d’un itinéraire musical et mystique) Il existe des instants où la musique ne s’écoute plus : elle nous traverse. Elle ne résonne pas dans nos oreilles, mais dans tout notre être. Ces instants-là, je les appelle les chocs esthétiques. Des rencontres fulgurantes qui deviennent des influences des éveils de conscience où le son devient une lumière intérieure. Ce sont eux qui ont façonné le musicien — et l’homme — que je suis devenu. Tout a commencé dans le salon de mon enfance, autour d’un piano. Ma mère, professeure de piano, était ma première prêtresse du son. Sous ses doigts, le monde s’ouvrait : Chopin, Beethoven, Schubert... J’étais trop jeune pour comprendre la structure, mais je sentais déjà la vérité de ces notes — leur façon d’habiter l’air, de raconter sans mots ce que l’âme seule devine. Le romantisme fut ma première langue intérieure. Avec Chopin, j’ai appris la fragilité du souffle ; avec Beethoven, la tempête du cœur ; avec Schubert, la lumière douce de la résignation. Cette musique, à la fois humaine et divine, m’a initié à l’émotion pure, à cette tension entre beauté et douleur qui ne m’a jamais quitté. Quelques années plus tard, à l’université, un autre choc me frappa. J’étais en première année de musicologie à la Sorbonne lorsque j’ai chanté le Requiem de Mozart dans le Grand Amphithéâtre, avec le Grand Chœur. La voûte résonnait, les voix se mêlaient, et j’ai senti — pour la première fois peut-être — que la musique pouvait ouvrir un passage vers le sacré. Mozart, c’est la clarté absolue traversée de mystère. Sa musique ne se contente pas de consoler : elle élève. Ce soir-là, chaque note semblait prier. Et dans ce dialogue entre la vie et la mort, j’ai compris que la musique n’est pas un langage : c’est une prière qui s’ignore. Puis vint l’adolescence, et avec elle, la foudre. À quatorze ans, j’ai découvert le Metal. Le son saturé, la violence maîtrisée, les solos flamboyants. Ce n’était plus la caresse des pianos, mais la morsure électrique de guitares hurlantes. Megadeth, avec Marty Friedman, m’a révélé la virtuosité en fusion. Metallica, dans ses premiers albums, la rigueur et l’élan tragique. Iron Maiden, le souffle épique et narratif. Puis j’ai plongé dans le Death Metal technique, avec Death et Cynic — un labyrinthe de rythmes et d’idées, où chaque mesure défiait la logique, une de mes plus grandes influences. Dream Theater m’a ouvert les portes du progressif, de cette liberté architecturale où tout est possible. Là, j’ai découvert la beauté du son fretless, le velours fluide de la basse sans frettes, et le timbre limpide du Roland Jazz Chorus. Les synthés m’ont révélé la richesse des textures sonores — un autre cosmos à explorer. Et puis, il y eut une autre révélation : la guitare instrumentale. Joe Satriani et Steve Vai furent mes nouveaux guides, et quelles influences ? Satriani, avec son jeu fluide et ses mélodies chantantes, m’a appris la narration par le son : chaque morceau semblait une histoire sans paroles. Vai, lui, était le magicien du timbre, un alchimiste sonore capable de transformer la guitare en créature vivante. Entre la rigueur technique et la démesure expressive, ils ont élevé la guitare au rang d’instrument spirituel. À travers eux, j’ai compris qu’un instrument pouvait parler — non pas à l’intellect, mais directement à l’âme. C’était ma rébellion, mais aussi ma première quête sonore : comprendre comment le chaos peut devenir beauté. podcast musical réussite marketing Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on November 17, 2025

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