En 1972, Simon Leys, attaché culturel à Pékin, parcourt la Chine pendant plusieurs mois, réussissant, grâce à sa maîtrise de la langue et sa connaissance intime des modes de vie des habitants, à échapper à l’habituelle surveillance policière. En 1974, il fait paraître ses notes et impressions sous le titre d’Ombres chinoises. Dénonçant le mensonge maoïste et offrant une plongée sans concession dans la Révolution culturelle, Ombres chinoises est aussitôt traduit en plusieurs langues et consacre la réputation internationale de Simon Leys.

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