Movember, également connu sous le nom de Mouvembre en français ou Novembre Bleu, représente un événement caritatif annuel d'envergure internationale orchestré par la fondation Movember Foundation Charity.  Cette initiative vise à sensibiliser le public aux problèmes de santé masculine, en particulier la prévention du cancer de la prostate et des maladies mentales. La Caisse d'Epargne Hauts de France a pris la décision d'adhérer à cette cause en s'engageant activement dans le mouvement.  C'est Yalcin Avcioglu, le directeur des ressources humaines de l'entreprise, qui nous explique l'importance pour une entreprise certifiée BCorp de participer à cet événement.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Avec chaque année, près de 400.000 nouvelles personnes qui apprennent qu'elles ont un cancer, le maintien dans l'emploi est un sujet clé.  Energy Boost, accompagne le retour à l'emploi après un cancer ou une maladie chronqiue. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Fashion Green Hub est une association d’entreprise mode et textile engagées pour une transition durable rapide. Depuis sa création fin 2015, elle produit des solutions collectives pour une Mode plus durable, éthique, locale et innovante, créatrice d’emplois sur les territoires et en phase avec l’objectif de décarbonation de l’Union Européenne. Elle rassemble aujourd’hui 400 membres situés dans toute la France. Elle est née à Roubaix, Ville de Textile et Ville pionnière du Zéro Déchet, et a à cœur d’accompagner toutes les entreprises, petites et grandes, via un travail en collectif et des projets concrets. Découvrez l'histoire et l'engagement de l'association avec Loic Pollet. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans cet épisode spécial octobre rose, Maureen Govart nous raconte les coulisses de la création de Mon bonnet rose, son association dédiée aux besoins des femmes malades d'un cancer du sein. Elle témoigne de la maladie, et partage les engagements de cette associations dans les Hauts-de-France. "L'idée de créer une association m'est tombée dessus lors d'un trajet vers la Côte d'Opale. Le temps d'un trajet, j'avais vu toutes les étapes pour créer une asso. Je me suis lancée un mois après" explique Maureen Govart.L'association Mon bonnet rose est créée en mars 2018. L'idée : rendre accessibles des bonnets essentiels mais souvent chers, entre 40 et 60 euros, et non remboursés par la Sécurité sociale. Aujourd'hui l'association organise des challenges de couture de bonnets et accompagne les malades dans des "maisons". Elle y propose des activités physiques adaptées, de la socio esthétique, de la détente, du coaching et des ateliers de retour à l'emploi.  Des engagements précis qui s'expliquent par l'histoire de Maureen Govart. À 50 ans, les médecins lui diagnostiquent un cancer du sein. Elle découvre les difficultés physiques, psychologiques, sociales et financières qu'engendre le cancer. Alors ses traitements terminées, Maureen crée Mon bonnet rose. En ce mois d'octobre rose, elle partage ses projets d'avenir : d'abord "la maison rêvée", "un lieu d'entre-soi, entre femmes, qui libère la parole, mais également ouvert aux aidants". Ensuite, un nouveau challenge prévu pour mai 2023 : pendant trois semaines, "plus je fais de pas, plus les sponsors vont nous reverser de l'argent".  Pour ce mois d'octobre, Maureen anime le challenge annuel de confection de bonnet, des ateliers dans toute la France à retrouver sur : https://lechallenge.monbonnetrose.fr/  Retrouvez Maureen sur Linkedin, Facebook, Instagram et sur son site internet : https://www.monbonnetrose.fr/ Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce nouvel épisode, Pauline Dehecq nous raconte les coulisses de la création de Mademoiselle Biloba, son entreprise dédiée à la vente de cosmétiques naturels. Elle partage avec nous son parcours, les enjeux qu’elle défend et toutes ses ambitions. « Avec l’envie de bousculer le monde des cosmétiques conventionnels », c’est dans le Vieux-Lille que Pauline ouvre Mademoiselle Biloba en 2016. Dans sa boutique, elle propose à la vente produits 100% naturels pour le soin du visage, du corps, des cheveux et du maquillage. Elle organise également différents types d’ateliers, pour apprendre à créer ses propres cosmétiques et prendre soin de soi au naturel. Avant l’aventure Mademoiselle Biloba, Pauline était salariée. Elle a appris l’entrepreneuriat sur le terrain, entourée et accompagnée par des réseaux d’entrepreneurs de la région, qui l’ont guidée tout au long de la création de son entreprise. Les réseaux sociaux, notamment Instagram, sont ses meilleurs alliés. Avec 16 000 abonnés au compteur, elle s’est construite une véritable communauté qui la suit et la soutient dans ses aventures. Sur Instagram, la cheffe d’entreprise incarne sa marque et son entreprise. « Se montrer tel que l’on est permet de se démarquer ; ça nous a permis d’acquérir la confiance des gens » explique Pauline.  Elle tient à proposer une communication la plus transparente possible, cohérente avec les produits bio et naturels de Mademoiselle Biloba. Pauline s’épanouit véritablement dans ce projet qu’elle a mené de bout en bout. Elle avait « la volonté de créer un projet qui lui corresponde pleinement, de travailler pour quelque chose qui a du sens, et d’exprimer sa créativité » : l’entrepreneuriat a répondu à toutes ses attentes. Retrouvez tous les produits de Pauline sur le site internet de Mademoiselle Biloba, sur son compte Instagram, et rendez-vous dans la boutique du Vieux-Lille ! Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans cet épisode Les Elles des Hauts-de-France, nous partons à la découverte de Capital Filles avec Dominique Goutard, Présidente de l’association. Créée en 2012 en partenariat avec les Ministères de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur, Capital Filles accompagne les jeunes filles des quartiers populaires et des zones rurales pour favoriser leur avenir professionnel. Son action repose sur l’engagement conjoint de « Marraines », collaboratrices volontaires des entreprises et institutions partenaires, et des enseignant-es qui, ensemble, favorisent les choix d’orientation - des collégiennes de troisième ou lycéennes - et leur rencontre avec le monde de l’entreprise. A ce jour, ce sont 80 entreprises françaises engagées dans cette action, dont la BPCE. Avec ses 182 marraines volontaires, BPCE est l’une des entreprises partenaires les plus investies dans cette action sociale. “Aller le plus loin possible et en toute confiance dans leurs études.” L’accompagnement offre aux jeunes filles la possibilité de faire des choix d’orientation avec des perspectives d’avenir claires et optimistes.  Et pour cela “l’apprentissage se révèle être la meilleure voie d’accès aux études supérieures.” nous partageons Dominique. Aujourd’hui, ce sont plus de 14 000 jeunes filles et 1 301 marraines qui ont rejoint Capital Filles. Le rôle des marraines permet aux collégiennes et lycéennes accompagnées de prendre confiance en elles, de comprendre les codes de l’entreprise et de trouver une inspiration professionnelle au travers de rencontres régulières (ateliers, binômes...). Par ailleurs, l’éclairage sur l’évolution des métiers lève les préjugés et ouvre à la mixité tant du côté des jeunes filles que des entreprises. Cet épisode plein d’optimisme et d’engagement vous inspirera, que vous soyez moteur ou non, dans la démarche. Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce nouvel épisode consacré à la campagne Octobre Rose, Laëtitia Ogez nous partage le combat qu’elle mène au quotidien contre le cancer du sein. Aujourd’hui engagée dans l’accompagnement des personnes malades, elle nous raconte son cheminement et ses projets à venir. En décembre 2016, Laëtitia apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. Diabétique depuis 34 ans, elle sait cohabiter avec la maladie. Cependant le cancer du sein amène des traitements lourds, des opérations, de la chimiothérapie, radiothérapie, et de nombreux effets secondaires. C’est pourquoi elle met en avant l’importance d’Octobre Rose, durant lequel « on met un accent sur le cancer du sein, des actions sont réalisées par les villes et les sociétés. » Mais il ne faut pas oublier que le cancer du sein « c’est toute l’année. » Très proche de son fils de 10 ans, Timothé, Laëtitia met en avant l’implication de ce dernier dans son parcours et sa convalescence. Ensemble, ils ont créé l’opération « Timothé : un livre pour un sourire. » Féru de lecture, l'idée vient du petit garçon lui-même qui souhaitait aider les enfants malades du Centre Oscar Lambret à Lille.  En lien avec l’association Ludopital, Timothé et sa maman ont remis plusieurs centaines de livres à l’association qui les distribuera aux différents hôpitaux des Hauts-de-France. Laëtitia prend à coeur la sensibilisation des populations aux causes de la maladie et du cancer. Elle insiste sur l'importance de libérer la parole des personnes atteintes de cancer pour que les conséquences des chimios, des opérations ou les effets secondaires soient connus de tous. L'entourage joue lui aussi un rôle primordial pendant mais aussi après la maladie. « Tout le monde connaît le cancer, mais les gens le méconnaissent », conclut Laëtitia, qui compte bien faire de « Timothé : un livre pour un sourire » une véritable association et s'engager encore plus sur le chemin de l'accompagnement des personnes malades. Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Cette semaine, Martine Wattelle nous accueille à la Ferme Wattelle, l'exploitation laitière qu'elle dirige avec son mari Hervé Wattelle au Doulieu. Ancienne laborantine, Martine a franchi le pas de l'agriculture en 1997 avec la double volonté d'entreprendre avec son mari et de voir ses enfants grandir. Pour cette fille et petite fille d'agriculteurs et agricultrices, ce changement de vie lui est apparue comme un véritable retour aux sources. Martine rappelle que sa ferme est avant tout une belle histoire de famille, et la fierté qu'elle voit dans le regard de ses enfants n'est pas pour lui déplaire. Si la Ferme Wattelle existait depuis 1960, Martine et Hervé ont trouvé un nouveau modèle économique pour décupler leur production laitière en diversifiant leurs points de vente. Aujourd'hui, leur lait sert aussi bien à produire des yaourts pour les cantines scolaires que des glaces dont nous raffolons toute l'année.  20% du lait produit sur l'exploitation est désormais transformé en glaces et en yaourts. Une transformation rendue possible grâce à l'aide précieuse de Christophe Drieux. A l'heure où la question du bien-être animal prend une place importante dans les débats liés à l'alimentation, Martine et Hervé Wattelle ont fait le choix de remettre en question les pratiques anciennes pour privilégier une alimentation verte et de qualité. Les produits de la Ferme Wattelle sont disponibles sur le site www.ferme-wattelle.fr (http://www.ferme-wattelle.fr) et dans les circuits indépendants des Hauts-de-France. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Pour ce 3ème épisode du podcast des Elles des Hauts de France, je reçois Astrid Mauduit, la présidente de Ouate. Ouate, c'est la seule gamme de produits de soins spécifiquement conçue pour les enfants de 4 à 11 ans. Nous avons parlé dans cet épisode de son parcours, de son cheminement qui l'a amené à être le "pilote" de sa propre entreprise. Ouate, c'est une conviction, une équipe, une ambition affichée et un démarrage sur en fanfare. Longue vie à Ouate (https://www.ouate-paris.com/) et vive l'entrepreneuriat ! Bonne écoute. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.