LES FORCES QUI SE CACHENT PROFONDÉMENT CHEZ TOUS LES GRANDS TIMIDES

Scripteur humoristique depuis 29 ans, conjoint de Josée Boudreault depuis 19, et timide de classe mondiale depuis 49 ans déjà, Louis-Philippe Rivard offre cette réflexion sur sa vie de « gêné professionnel » en expliquant comment il a surmonté cette difficulté, tout en soulignant fièrement les forces qui se cachent profondément chez tous les grands timides.

On connaît l’histoire de sa conjointe Josée Boudreault, cette animatrice et conférencière qui, en 2016, a subi un AVC la laissant aphasique. Ne pouvant plus vivre de son talent pour la communication, Josée demande alors à Louis-Philippe de l’accompagner sur scène pour ses conférences ? L’idée paraît excellente… sauf si on le connaît.

Le gars le plus invisible à l’école, tant primaire que secondaire, qui n’a jamais compté sur plus d’un ami à la fois et qui n’a jamais osé aller à un party avant la vingtaine. L’auteur de textes humoristiques qui a pris des années avant d’affirmer son point de vue dans des séances de brainstorming. Peter MacLeod a même déjà dit de lui : « Toi, t’es le genre de gars qui se cogne sur une chaise pis qui s’excuse à la chaise. » Donc, on part de loin quand on pense qu’il a présenté plus de 400 conférences avec sa conjointe à l’échelle de la province à ce jour.

Ce livre positif a pour but de motiver et d’aider les personnes qui sont mal à l’aise socialement à sortir de leur coquille pour qu’elles ne passent pas à côté de leur vie à cause du regard des autres. Car pour Louis-Philippe, la timidité cache de très grandes forces et c’est maintenant le temps de montrer ce dont vous êtes capables. C’est enfin La Revanche des timides !

LOUIS-PHILIPPE RIVARD est scripteur humoristique depuis presque 30 ans. Il a travaillé avec Peter MacLeod, Michel Barrette, Dominic Paquet, P-A Méthot, Marc Dupré, Véronic DiCaire, et plusieurs autres. Il a participé à l’écriture de trois Bye bye, l’émission 1res fois, avec Véronique Cloutier, L’oeil du cyclone et une cinquantaine d’autres projets.

Ah oui, et écrire ce genre de description sur ses réalisations le rend toujours mal à l’aise, parce qu’il trouve qu’il a l’air de se trouver bon.